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pv---àî si- ÎÎÎ-:__ -_._4_4. __Sixième année. 18 Juillet 1895. Numéro 210. _, ir; 9 tr. '~-« , aa « til. .agf il - JÖURNAL HEBDOMADAIRE D'ÊTUl)ES ÊSOTÊRIQUES þÿ a l lû l l i l l l l l i lû l l l l i l l l l l lû l l lû l û î n l l l l l l l l l l l l l a . þÿ g l l l l l l l l l l l l I l I l l l l I I I I l I I I I l l l l I l i 'ua sramunrtg DIRHCTHUH - PAPUS LE «inisiiuië Ê Rédacteur en chef: Lucien HIUGIIEL É n'existe pas Ê Secrétaires dela Rédaction: P. Slîiilll et Noël' . ' il Ê n'existe pas I 2 ã þÿ v n n i i n i n n r m u a ""`¢'""* 9""` Q; ÎlllIIIIIIIlIIIIIlllllllllllllllllllllllllllllilllll Le Nïlméro : 10 Cen ^B°~,g§,'¿§NTS Aomiuisrnmou ar nénicnouä þÿ ^ = ¿ : § ~ = M = ~ } S Un AI .... .v. . ãfr. 791 }5`¿l'uboÎu1'g þÿ P < > i S S 0 n n i è r ¢ : : 79 uv AS .mÎ"ÎpÎ)sia.e6fr. þÿ Î : ï = ' a Î ) Î 9 i » ï _ § iï,___. rF'^r"'S þÿ î È ¿ 7 ° ' : Î ~ a ~ Î Á ï _ Le iurucusme parisien Tout est dans tout, et_ les lois qui prési- dèrentà la conglomération des soleils et des planètes trouvent aussi leur application dans le développement des cités comme dans la constitution de l`individu humain. Or, il n'est pas exagéré de dire' que toute forme est Pexpression d'unc action bi-po- larisée de Pénergie sur la matière et qu'il est, par conséquent, possible de réduire toute forme à un schéma théorique com- prenant : deuiq pôles symétriquement oppo- sés, un axe joignant rectiligncment ces deux pôles, une ligne neutre perpendiculaire åi l'axe et distante également de I`un et l'antre pôle ; enfin des lignes de forces plus ou moins nombreuses et serrées et formant deux à deux, d'un pôle à l'autre, des sortes d`ellip- ses imparfaits. Telle Fimage schématique (l'un aimant, telle aussi la projection verticale de la sphère terrestre, ce .gigantesque aimant. Plus une forme physique se rapproche de cette figure idéale, plus _ vraisemblable- ment- l'ètre qu'elle révèle est nó, s`cst développe, vit et mourra suivant la Norme ; c"est pourquoi les êtres les plus évolués, en quelque sens que ce soit, ont, tout naturel- lement, des formes plus regulières, plus sy- métriques, plus théoriques ; c'est aussi pourquoi un être parfait (relativement il notre matérielle imperfection). ne peut sans miracle se réaliser sensiblement sous une forme physiq,ue,'Lla réalisation physique etant, en notre imparfaite ambiance, inca- pable d'cxpriiner/plns que Fimperfcction la moins grossière 'dont nous soyions actuel- lement susceptibles. Si ces conceptions ne sont point erro- nées, l`évoluti0n de ces entités collectives que sont les cités se pourrait apprécier avec assez d`exactitude d`après leur forme; et la ville dc Paris, refuge encore inviolé - malgré les matérielles conquêtes - de la nefsacrée de Iotre-Dame-Isis, semble s'être développée normalement comme il sied à l'hóritière, en notre occident moderne, des ésotériques cnseignementsjaillisdes sources di* Nil, fulgurés du Mont Sinaï, puis de l`0- lympe, puis du béni Calvaire, ' Les deux pôles de Paris sont la place de l'Etoile (pôle de la richesse, de Paristocra- tie rastaquouère, courtisane et artistique aussi) et de la placede la Nation (pôle pro- letarial, travailleur. misércnx et grossière- ment instinetif). Entre -esfloux pôles s'é- tend de l`()uest-N-() à l`EST-S-l*] l'axe presque rectiligne des Champs-Elysées, rues de Rivoli, St-Antoine et du faubourg St-Antoine. Au milieu, la ligne neutre per- pendiculaire suit l'avenuc d'Orlóans, la rue

Le Voile d'Isis - 1895-07-18 - 210

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Le Voile d'Isis « organe hebdomadaire du Groupe indépendant d'études ésotériques de Paris » (1890-1935). Revue ésotérique française publiée à Paris par la Bibliothèque Chacornac, fondée par Papus (Dr Gérard Encausse), consacrée à l'occultisme

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  • pv--- -- si- ___. -:__ _ , _. g ___ . -_._4_4. __ _.

    __Sixime anne. 18 Juillet 1895. Numro 210.

    _, ir; 9 tr. .'~- , aa til. .agf il -

    JURNAL HEBDOMADAIRE D'TUl)ES SOTRIQUES a l l l l i l l l l l i l l l l l i l l l l l l l l l l n l l l l l l l l l l l l l a . g l l l l l l l l l l l l I l I l l l l I I I I l I I I I l l l l I l i l l l l l l l l l l f l l l t l l l

    'ua sramunrtg DIRHCTHUH - PAPUS LE inisiiui Rdacteur en chef: Lucien HIUGIIEL

    n'existe pas Secrtaires dela Rdaction: P. Sliilll et Nol' . ' il n'existe pas _

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    ^B~,g,'NTS Aomiuisrnmou ar nnicnou ^ = : ~ = M = ~ } SUn AI .... .v. . fr. 791 }5`l'ubou1'g P < > i S S 0 n n i r : :79 uv AS .m"p)sia.e6fr. : = ' a ) 9 i _ i,___. i i r rF'^r"'S r r __ .c i 7 ' : ~ a ~ _

    Le iurucusme parisienTout est dans tout, et_ les lois qui prsi-

    drent la conglomration des soleils et desplantes trouvent aussi leur applicationdans le dveloppement des cits commedans la constitution de l`individu humain.

    Or, il n'est pas exagr de dire' que touteforme est Pexpression d'unc action bi-po-larise de Pnergie sur la matire et qu'ilest, par consquent, possible de rduiretoute forme un schma thorique com-prenant : deuiq ples symtriquement oppo-ss, un axe joignant rectiligncment ces deuxples, une ligne neutre perpendiculaire il'axe et distante galement de I`un et l'antreple ; enfin des lignes de forces plus ou moinsnombreuses et serres et formant deux deux, d'un ple l'autre, des sortes d`ellip-ses imparfaits.

    Telle Fimage schmatique (l'un aimant,telle aussi la projection verticale de la sphreterrestre, ce .gigantesque aimant. Plusune forme physique se rapproche decette figure idale, plus _ vraisemblable-ment- l'tre qu'elle rvle est n, s`cstdveloppe, vit et mourra suivant la Norme ;c"est pourquoi les tres les plus volus, enquelque sens que ce soit, ont, tout naturel-lement, des formes plus regulires, plus sy-

    mtriques, plus thoriques ; c'est aussipourquoi un tre parfait (relativement ilnotre matrielle imperfection). ne peut sansmiracle se raliser sensiblement sous uneforme physiq,ue,'Lla ralisation physiqueetant, en notre imparfaite ambiance, inca-pable d'cxpriiner/plns que Fimperfcction lamoins grossire 'dont nous soyions actuel-lement susceptibles.

    Si ces conceptions ne sont point erro-nes, l`voluti0n de ces entits collectivesque sont les cits se pourrait apprcier avecassez d`exactitude d`aprs leur forme; etla ville dc Paris, refuge encore inviol -malgr les matrielles conqutes - de lanefsacre de Iotre-Dame-Isis, semble s'tredveloppe normalement comme il sied l'hritire, en notre occident moderne, dessotriques cnseignementsjaillisdes sourcesdi* Nil, fulgurs du Mont Sina, puis de l`0-lympe, puis du bni Calvaire, '

    Les deux ples de Paris sont la place del'Etoile (ple de la richesse, de Paristocra-tie rastaquoure, courtisane et artistiqueaussi) et de la placede la Nation (ple pro-letarial, travailleur. misrcnx et grossire-ment instinetif). Entre -esfloux ples s'-tend de l`()uest-N-() l`EST-S-l*] l'axepresque rectiligne des Champs-Elyses,rues de Rivoli, St-Antoine et du faubourgSt-Antoine. Au milieu, la ligne neutre per-pendiculaire suit l'avenuc d'Orlans, la rue

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    2 LE VOILE D'ISlS

    Denfert-Rochereau, les boulevards St-Mi-chel, de Sbastopol et de- Strasbourg; jus-qu' la Seine, la ligne neutre est doubleet sa seconde branche suit les rues dela Tombe-Issoire, du fg St-Jacques,puis St-Martin et du fg St-Martin ; partir de la Seine, cette ligne importante(Pquateur de Paris) se triple avec lesrues St-Denis et du fg Saint-Denis, cettedernire voie se prolongeant droit auNord, partir de la gare de l'Est par la ruede la Chapelle, tandis que la rue du fg St-Martiu, partir du mme point, s`inl`lclit l'Est, continue par la rue de Flandre ;c'est tout au long dela ligne neutre que s'a-gitcnt avec plus d'activit le commerce etl'industrie de Paris et c'est aussi dans leprolongement (plus ou moins rigoureux) decette mme ligne neutre que les commis-sions suburbaincs sont les plus o r i s s a n t e s

    Les lignes de force ellipsodes sont lesavenues Marceau , Bosquet, Duquesne,boulevard des Invalides, du Montparnasse,de Port-Royal, faubourg Marcel, de l'Ho-pital et Diderot, puis avenue Philippe-Au-gusta, boulevard de Mnilmontant, de Bel-leville, de la Villette,de la Chapelle,de Ro-chechouart, de Clichy, des Batignolles, deCourcelles et avenue de Wagram.

    Il existe, en outre, deux ples secon-

    FEUILLETON DU voiu; msis ll

    ETUDESSU

    LA MA:;PHSEllll lllllllltl B1 H l t l l f l l l l l lil 13 Stlllllllll

    du D; .lenn MALl*`A'l'l'l de MON1`EllEGGl0traduites par Christien OSTROWSKI

    (Suite)

    De mme que le gnral se rpte dans leparticulier, l'abstrait dans le concret, ainsiFindtermin se rpte aussi dans le dter-min comme

    Pnocss innivmunx. ma LA vm

    A l'instar des autres plantes, la terre,outre ses rapports d'orbite extrieur avec leoleil comme foyer gnral, en possde o n-

    -

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    dares qui sont la place de la Concorde ofut guillotin le dernier des rois de Franceet o s'lve maintenant le palais du chefdu gouvernement rpublicain, et la place dela Bastille ou fut cette prison plus politiqueetanti-aristocratique qu'anti-populaire maisdont, par une aberration bien digne desfoules, la destruction fut acclame commel`aurore de la Libert, tandis que la Salp-trierc et Bictre regorgeaitencore de malheu-reux. Les lignes de force qui joignent lesdeux ples sont les boulevards St-Germain etHenri IV d`une part, puis les boulevardsBeaumarchais, du Temple, St-Martin, St-Denis, Bonne-Nouvelle,Poissonnire, Mont-martre, dcs Italiens, des Capucines, de laMadeleine, et la rue Royale, d'autre part.

    Signalons encore les deux ples intellec-tuels : la butte Montmartre avec sa basiliquedu S a c r - C S u ret ses nombreux cabaretsartistiques, puis la colline du Panthonqui domine ce quartier latin o l`oncompte autant de couvents et de chapellesque d`eoles et cafs femmes, et remar-quons que ces deux ples sont placs encroix par rapport aux deux premiers (ri-chesse et travail) qui sont les ples mat-riels.

    _

    Puis constatons que la vieille noblesses'est rfugio en ce morne faubourg St-Ger-

    core un individuel en elle-mme et cela aumoyen du mouvement de rotation par lequelelle acquiert une existence propre : indi-vidualit queles anciens Indiens et les Grecsalllrmaient dans leur S u fdu monde prcit,de mme qu'ils reconnaissaicnt dans sonsegment suprieur le ciel, dans l'infrieurla terre etdans celui du milieul'atm osplire.

    La mme chose se rpte dans l'individua-lisation sexuelle de l'espce : ljhumanitdevenue individuelle sur notre plantecomme vraisemblablement aussi sur d'autresplantes, oscille entre le jour et la nuit, enelle et autour delle, transporte le gnraldans le particulier. le tient li dans uneforme organique, et par sa participation ala rotation et au mouvement orbitaire de laplante terrestre autour'd'elle et autour dusoleil, elle achve le lien qui unit le parti-culier au gnral avec l'allirmation de sonindividualit.

    Et si, plus haut, la triple vie du monde(sidrale, atmosphrique et tellurique) a d'a-

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    -iv : -~ _ _'-Z---Ilr'

    LE VOILE D'ISIS 7

    main qui gt du Panthon (ple intellec-tuel) et les places de l'Etoile et de la con-corde, tandis que la haute bourgeoisie nocefrntiquement entre ces mmes plesriches et l'autre ple intellectuel qui estMontmartre.

    Enfin montrons l`Htel de Ville, la Ca'-thdrale, la Prfecture de Police, le Palaisde Justice et... les Halles, groups au c S u rmme de Paris, lintersection de l'axe etde la ligne neutre, et nous en aurons ditassez pour permettre, d'aprs cet exemplesommaire, d'expliquer, par leur anatomic,lefonctionnement volutif des grandes cits,et d'tudier leur maladies, suivant les loisde la polarit et de Panalogie, et la naturede leurs lments constitutifs.

    Manms DECRESPE.

    Une soire chez le Professeur X.

    Ai-je rv ? Les phnomnes que j`ai vusdans la soire de dimanche dernier taient-ils bien rels 'I

    Mon ancien professeur, M. X., m'avaitinvit des expriences d'hypnotisme qu'ildevait faire ce soir-l. Comme je lui de-mandais; quelques jours auparavant, ce

    qu'il fallait penser des expriences de M. deRochas sur la sensibilit extriorise. Ve-nez chez moi dimanche soir, vers neuf heu-res, avait-il rpondu, j"essaierai de les re-produire en votre prsence, vous en ju-gerez par vous-mme. : : .

    A neuf heures donc, j'tais introduit chezM. X. par un jeune garon de quinze seize ans, robuste, bien rbl, aux traitsrguliers, au teint brun,au regard vif etdroit ; et ma premire surprise fut d'ap-prendre que ce jeune homme, originairedes Pyrnes, taitjustement le sujet surlequel devaient se faire les expriences.

    Vous vous rappelez peut-tre, me ditM.X.,les notes parues dans les journauxsur les phnomnes extraordinaires dcou-verts par M. :le_Roehas. J'tais bien prt, jel'avoue, de partager l'opinion des gens quine voyaient dans cette prtendue extrie-risation de la sensibilit : : que des effets dela suggestion, peut-tre mme de la simu-lation, deux causes d'erreur bien frquen-tes et bien puissantes dans cet ordre d`ex-priences. Notez que les gens qui parlaientainsi taient presque tous des mdecins dontl'avis fait autorit dans la matire * ils d-7claraient n'avoir jamais rien observ depareil. (A suivre.)

    bord t individualise dans l ' S u f d umonde,en trouve maintenant cette vie triadique in-dividuelle ralise dans P S u fet rellementtriple, telle qu`elle est indique d'avance etsans exception dans les trois enveloppesovaires de l'amnios (la spirituelle, l'animaleet la zoo-vgtale).

    Ceci se v r i eencore dans Porganismehumain tri-membre, la tte, la poitrine etle ventre, comme S u ftriplement dve-lopp (1).

    '

    Ce triple faisceau rsume limage et la re-miniscence du foyer sidral dansle cerveauovode, celle du foyer tellurique dans laforme ovale du ventre, et le ternaire de lazone atmosphrique dans la poitrine o lesdeux extrmes de l'tre individuel interneet externe se manifestent dans le c S u r ,comme 'dans le punctmn saliens du procsigno-sanguin.

    Les deux foyers de Fellipsede organique

    (1) '.snr l'ai-chitectonique de l'oi-ganisme humain 23 Etude.

    du c S u ry parviennent au plus grand rap-prochement dans le systole et au plus grandloignementdans le diaatele ; c'est pourquoile c S u rse trouvant au centre,ternellementmobile, affectant d'un ct le cne tronqu,de l'autre le cercle manqu, soutient unelutte oscillatoire dans laquelle il dtermineet effectue l'intrieur la naissance de laforme cylindrique du systme vasculaire eta Pextrieur la reproduction de la forme el~liptique des deux systmes gnitaux.

    Or, comme le c S u rest avec l'air et l'eau,par les poumons et les reins, dans un rapportextrieur atmosphre-tellurique et dter-mine ainsi la reproduction et la rsorptiondans le procs sanguin, il est galement enrapport avec l'ellipse universelle de l'espcecomme foyer de l'me et de l'amour (cc ra-dius vector-animique) au moyen des organesnomms, dont le premier se termine l'ap-pareil de l'organe vocal, c'est-.-dire de laprocration spirituelle, de mme que le se-cond aboutit celui du systme gnital, c'est-

  • 8 LE VOILE D'ISlS-:

    IIHAHIIEL, diteur, 79,iauhaurg Puissunnire, ParisVient de paratre : ~

    LES CLASSIQUES'DE L`OCCULTE

    PISTIS- SPHIOuvrage historique de VALENTIN

    Traduit du copie en franais avec une introduction parE. AMLINEAU

    M.u'rnn nn conrnsucss A rjiconn mas mures izrnm-zs, i,i~.uiu:.t'r ni: ijissrirurUn volume in-8 carr, texte compact. . _ '? 50

    P.A.[JL. SIIDIIIR

    Les ivimoiizs ninexQuEs

    A i E li il iiDE ZOIIAIQJ

    Traduction iranaisc de llcnri CHATEAU avec lettre-prface de PAPUSUn volume in-8carr, texte compact . . . ." _ . _ . _ . . . 7 5"

    -dire de la cration corporelle, commenous le prouverons dans le

    DOUBLE PROCS nn LA m u : c m . m o N

    La forme elliptique reconstruite ici ollredans Fhumanit individuelle entiere uneforme vivace identique originelle qui nousrappelle son principium individuutionis,c'est--dire le point et le moment o l'es-pce humaine est passe dans_ le sexuel(Pindividuel), le point et le moment o lanaissance et la mort se sont