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LECTURES CROISEES « Habiter la ville »
Littérature et société Classes de 2 nde 524 et 533
M. CLOUET (HistoireGéographie) Mme. COTENTIN (Lettres )
Littérature et société « Lectures croisées »
1 er CONSTAT : UN DÉCALAGE entre
l’apprentissage et la pratique de la lecture formalisés en fonction de programmes et d’exercices scolaires – et le plus souvent sur support papier,
la pratique intuitive des TICE par nos élèves, à travers les jeux vidéo, les réseaux sociaux, les blogs… , l’écran étant associé alors à un loisir et chargé d’une dimension ludique.
Comment conserver à l‛écran sa dimension attractive, tout en le mettant au service des apprentissages ?
Comment passer du divertissement à une exigence de réflexion ?
Littérature et société « L‛utilisation de l‛écran dans une pédagogie transversale »
2 nd CONSTAT : UN DÉCALAGE entre nos propres pratiques de lecture et d’apprentissage, car nous ne sommes pas nés avec l’informatique au bout des doigts, les pratiques de nos élèves : nous les observons, tirons des constats, mais ne maîtrisons pas nousmêmes de la même façon les processus qu’ils mettent en œuvre.
Comment discerner les causes des difficultés, quand nous-mêmes avons été formés à d‛autres approches de la lecture ?
Comment proposer des remédiations qui prennent davantage appui sur le fonctionnement des élèves ?
Littérature et société L’enseignement d’exploration nous a offert l’occasion de mettre en œuvre, de façon systématisée et en continu (3 h/hebdo. – 1 semestre), une pédagogie de projet, avec un enjeu : comment créer une interaction entre deux mondes que tout sépare :
celui de l’écran, familier aux jeunes lycéens, avec son immédiateté, mais auquel l’enseignant est moins habitué,
celui des supports textuels et iconographiques propres à nos disciplines, dont l’approche exige la durée et met en œuvre des mécanismes complexes, mais que nous maîtrisons bien ?
Pour nous, enseignants, il s‛agissait donc aussi d‛une exploration de cette zone encore floue :
l‛interaction entre l‛usage des TICE et les pratiques de lecture et d‛écriture
qu‛elles induisent chez des élèves, qui les utilisent depuis leur plus jeune âge.
1. Écrire pour changer le monde : l’écrivain et les grands débats de société La notion d’utopie : à la recherche d’une société idéale, ici d’une « ville » idéale
2. Des tablettes d’argile à l’écran numérique : l’aventure du livre et de l’écrit Archiver, conserver, diffuser : transmettre la mémoire d’une société, Textualité numérique et formes « ouvertes » de l’écrit aujourd’hui.
3. Images et langages : donner à voir, se faire entendre Le paysage, réalités et représentations, ici le paysage urbain.
ÉLABORATION DU PROJET Parmi les domaines d’exploration proposés,
trois ont été croisés à partir d’une problématique : « Habiter la ville », qui permettait d’aborder plusieurs pistes d’étude :
MISE EN OEUVRE
3 temps forts ont été retenus, formant trois séquences :
Comment une ville « se fonde » : qu’estce qui donne à une ville son « âme », sa spécificité ? Autour de quels « mythes » ? Périodes retenues : la Grèce antique, Rome, de Lutèce à Paris [3 séances prévues, 4 nécessaires en raison des grèves]
Comment une ville évolue : urbanisme et architecture, la constitution d’un patrimoine, les lieux clés d’une époque liés aux modes de vie, à partir de l’exemple de Paris. Périodes retenues : l’Ancien Régime – le XIX° siècle (les transformations d’Haussmann) et le XX° siècle. [6 séances]
Quelle ville pour demain ? : vers une « ville durable », la notion d’utopie. [3 séances]
3 séances ont permis de finaliser la production.
ORGANISATION DES SÉQUENCES
Chaque séquence a été organisée en 3 temps :
En amont : une phase de sensibilisation, pour mobiliser l’attention des élèves, formuler les hypothèses de travail et créer une motivation à partir de l’observation, ou poser les prérequis : recours à l’écran.
Une phase de recherche pour acquérir les contenus : 1 à partir de dossiers sur papier (textes et documents iconographiques) croisant les disciplines, et conduisant à des analyses, puis à une synthèse, 2 à partir d’une découverte hors établissement [pour les 2 premières séquences].
Une phase de production, ellemême précédée d’un temps de recherche, notamment sur Internet [traitement de texte pour la 1 ère séquence, Power Point pour les 2 suivantes].
SÉQUENCE 1 SÉQUENCE 2 SÉQUENCE 3
Phase d’observation
lSite de la Mairie de Nice : ses rubriques, parcours interne pour dégager les 3 temps forts de l’année : http://www.nice.fr/
l Diaporama Power Point, réalisé par le professeur d’histoire‐géographie (Athènes et Rome) è Lire sur écran – rechercher – créer
Extraits de l’émission « C’est pas sorcier » sur Paris, en deux temps •Paris au moyen‐âge et sous l’Ancien Régime •Paris aux XIX°‐XX° siècles [2 questionnaires de compréhension] lCDRom Power Point (réalisé par des élèves de 2 nde (projet d’échange européen 2009‐2010) èSaisir et trier l’information ‐ construire un parcours de lecture
l Écrans réalisés sur la 2 ème séquence par les différents groupes, l Comment modaliser pour persuader : les procédés d’écriture lLe développement durable : reprise de la notion èEcrire sur écran : le parcours de lecture, la lisibilité, effets sur le destinataire
Phase de recherche
Analyse d’un dossier‐papier (groupes) ½ classe : antiquité ½ classe : de Lutèce à Paris [ 2 questionnaires] è Synthèse : le mythe fondateur – lecture de l’image – mise en relation texte‐plan
Visite des Archives départementales : activité sur place è Synthèse : conserver le patrimoine
Parcours dans Nice : + ½ H. en classe pour bilan du parcours, organisé autour des « mythes fondateurs de Nice » et histoire‐géographie de Nice, le patrimoine niçois è synthèse : évolution de la ville
Analyse de 2 dossiers‐papier sur Paris (groupes) : ‐ l’Ancien Régime (questionnaire) ‐XIX° ‐ XX° siècles. (tableau de synthèse) è 2 synthèses : l’évolution de la ville – l’éloge et le blâme ‐ lecture d’un plan, d’une photo aérienne…
Analyse d’un dossier‐ papier sur « Ville et utopie » (groupes) Recherche sur la mise en valeur de la dimension utopique – les procédés de modalisation – le développement durable (association texte‐image) è synthèse
Phase de production
l Reprise collective des synthèses lRédaction (groupes) : carnet de voyage (4 jours) illustré, en choisissant une période de l’histoire de Nice (lieux, impressions, activités, jugement…) è Le texte narratif – fonctions de la description ‐ le contexte historique et géographique
l Reprise collective des synthèses l Avant la production : recherches à partir des activités et réalisations antérieures + Internet, lCréation 3‐4 écrans Power Point sur « Paris dans l’histoire » (thème libre, par groupes) + 1 groupe sur Athènes è Le texte informatif
Création 3‐4 écrans Power Point sur « La ville idéale » : plan, urbanisme, lieux et fonctions, modes de vie…, visant à en faire l’éloge (forme libre, par groupes) è Le texte argumentatif : l’éloge
ORGANISATION DES ACTIVITÉS DU SEMESTRE
1. Le rôle de l’écran : ‐ dynamiser la lecture, mobiliser l’attention, ‐ conduire le questionnement selon la progression
prévue pour le cours, ‐ modéliser pour la future production.
2. Structurer l’écran : placer les titres, organiser les documents iconographiques, donc un parcours.
3. Le rapport texte‐image
4. Les références des documents : les sources et les légendes
LIRE SUR ÉCRAN
L‛ ÉCRAN CRÉÉ PAR L‛ENSEIGNANT
Ath Athè ènes nes et les dieux et les dieux
1: Temple d’Artémis 2: Statue d’Athéna 3: Temple d’Athéna Nikê ( la victoire)
4: Erechthéion abritant… 5: …l’olivier sacré d’Athéna 6: Le Parthénon 7: Les Propylées 8: Autel d’Athéna
Les Caryatides de l’Erechthéion
Les travaux de l Les travaux de l’ ’Acropole Acropole
Athéna (Statue chryséléphantine)
Lire et exploiter un document vidéo Émission « C’est pas sorcier », FR3
[montage d’extraits en fonction des objectifs]
1.Le questionnaire de compréhension : son élaboration en fonction des objectifs visés, Questions sur le discours, Questions sur l’image.
2.La reprise collective des réponses : L’association discoursimage, Les difficultés rencontrées : le lexique.
QUESTIONNEMENT SUR LE 2 ND EXTRAIT 1. Pourquoi peuton parler de « labyrinthe » pour Paris au début du XIX° siècle ? 2. Quels sont les objectifs du Baron Haussmann ? Citer 3 de ses grandes réalisations. 3. Qu’appelleton une « guinguette » à la fin du XIX° siècle ? Dans quel quartier de Paris étaient situées ces guinguettes ? Qu’estce qui va caractériser ce même quartier au début du XX° siècle ? 3. L’alimentation en eau de Paris :
comment la ville estelle alimentée ? quelle maladie était liée à la mauvaise qualité de l’eau ? que nommeton un « collecteur » ? comment sont organisés les égouts parisiens ?
4. Expliquer l’évolution de l’éclairage de Paris. 5. Quels ont été les grands changements dans les moyens de transport des Parisiens ? 6. Que savezvous sur la Tour Eiffel ?
Synthèse : De quoi un urbaniste doitil se préoccuper pour aménager une ville ?
L’ ÉCRAN CRÉÉ PAR LES ÉLÈVES
Il exige une pluralité de lectures.
1 . Pour la phase de recherche
Lire le document 4. Repérer les trois aspects de la ville mis en évidence. A l’aide de trois couleurs, entourer sur les plans (document 3) les lieux qui s’y rapportent et les faire correspondre dans un tableau.
DOCUMENT 4 : Guy de Bazoches, Eloge de Paris, Chroniques, vers 1175 « Je suis à Paris, dans cette ville royale qui non seulement retient ceux qui y sont par la douceur et l’abondance de ses
dons naturels, mais encore attire ceux qui en sont loin, invite ceux qui n’en sont pas. Comme la lune, par la majesté et le plus grand éclat de son miroir, éclipse la clarté de ses astres, de même ladite ville dresse au milieu des autres sa tête altière, ceinte du diadème de la dignité royale. Elle est assise au sein d’un vallon délicieux, au centre d’une couronne de coteaux qu’enrichissent à l’envie Cérès et Bacchus.[…]
La Seine, qui est loin d’être méprisable parmi la cohorte des fleuves et s’enorgueillit de son lit, arrive de l’Orient, et forme une île, enserrant dans ses deux bras la tête, le cœur, la moelle de toute la ville. Deux faubourgs s’étendent sur la gauche et sur la droite. […] L’un et l’autre faubourg envoient vers l’île deux ponts de pierre. […] Le pont qui est dit Grand, large, riche, commerçant, […] bouillonne de navires, exhale des richesses, abonde en marchandises. Quant au Petit Pont, il est dédié aux logiciens qui y passent, s’y promènent ou y discutent. Au sein de cette île surgit la hauteur du palais royal. […] Dans l’île, à côté du palais des rois qui domine toute la ville, on voit le palais de la philosophie où l’étude règne seule en souveraine, citadelle de lumière et d’immortalité. »
DOCUMENT 3a : Paris au XIII° siècle DOCUMENT 3b : Paris du X° au XIV° siècle
Paris au Moyen Âge [dossier séquence 1]
Les aménagements de Paris sous Haussmann [dossier séquence 2]
La croissance et les aménagements urbains à partir de deux plans de Paris
= une difficulté croissante pour les élèves : la lecture de la légende
LA LECTURE TRANSVERSALE : du plan à la photo aérienne
LECTURE LINÉAIRE ET LECTURE TRANSVERSALE
• Lecture des sites pour compléter les informations : La prise de notes à partir d’Internet [pour éviter l’accumulation de pages imprimées, impossibles ensuite à analyser, ou couvertes de surligneur], La progression de la recherche = la garder en mémoire, Elle est chronophage = importance de mieux cibler la recherche et de lui fixer une durée.
• La réalisation d’une maquette sur papier : écran d’ouverture, parcours de lecture (quels « clics » pour aller où ?), introduction, conclusion, place des documents iconographiques. [ Elle permet une négociation au sein d’un groupe, pour hiérarchiser les contenus, et accélère la réalisation]
• L’iconographie : s’interroger, « quelle image pour quel texte ? ».
L’ ÉCRAN CRÉÉ PAR LES ÉLÈVES
• Structurer la production : réaliser une démarche de lecture progressive, avec éventuel réajustement par rapport à la maquette initiale.
• Traiter le « copiercoller » : résumer, reformuler, recouper les informations, synthétiser plusieurs informations…[Il est très difficile de faire admettre aux élèves qu’ils peuvent écrire aussi bien, par reformulation, que ce qu’ils ont trouvé sur Internet.]
• Mettre en forme le texte : se mettre à la place du destinataire pour faciliter sa propre lecture des écrans créés.
• Améliorer la dimension esthétique : fond d’écran et problème de lisibilité, association texteimage.
2 . Pour la phase de création
ASSOCIER LECTURE ET ÉCRITURE Deux notions centrales : lisibilité et intelligibilité
1. La police d’écriture : la notion de lisibilité + l’appropriation de la police au sujet présenté [les élèves ont toujours tendance aux « fioritures » ou choisissent des polices peu adaptées au texte],
2. Titres et soustitres : les codes typographiques, taille et place sur l’écran, par rapport au texte et à l’iconographie,
3. Légendes : pour les documents iconographiques, 4. Introduction et conclusion : les associer à la notion de
« sommaire » pour aider le parcours du destinataire potentiel, 5. Le paragraphe : faciliter sa perception globale et une lecture
rapide « en diagonale » pour aider à son intelligibilité (phrases d’ouverture, de fermeture, mise en valeur des motsclés, élucidation du lexique spécifique),
ASSOCIER LECTURE ET ÉCRITURE
1.Du brouillon sur papier au texte sur écran : La dictée, faite par un élève à celui qui est au clavier, La « double lecture » : de celui qui dicte et de celui qui écrit, pour limiter les fautes de frappe, et contrôler l’orthographe,
L ’écran luimême brouillon : les modifications successives.
2.La relecture : Réflexion sur la logique lors d’une première relecture : assurer la cohérence en cas de permutation de paragraphe, de phrase, d’ajout ou de suppression de mots,
La ponctuation : son importance, dans la phrase et pour l’insertion des exemples.
…
ATHÈNES
Sommaire Sommaire
Athènes estelle une ville modèle et organisée ?
Pour répondre à cette question nous allons présenter les différentes fonctions d'Athènes:
RELIGION POLITIQUE MILITAIRE RETO UR
L’ORGANISATION POLITIQUE À ATHENES Durant l’Antiquité, un nouveau régime est créé : la Démocratie. Démocratie signifie le pouvoir du peuple ,c’est aussi une nouvelle manière de gouverner Elle s’oppose à plusieurs autres régimes.
I I – – La citoyennet La citoyenneté é à à Ath Athè ènes : nes :
métèques hommes, de + 18 ans, esclaves Issus de père et mère athéniens femmes,
enfants
CITOYEN NON
CITOYEN
RETO UR
SUIVA NT
II II– – Droits & Devoirs du citoyen Droits & Devoirs du citoyen
Droits Devoirs
éphébie *
Liturgie **
Défendre la cité
Droit d’imposer ses idées
Liberté d’expression = art de la parole Donc éducation
* L’Ephébie prépare militairement mais aussi politiquement les hommes libres de 18 ans. Les hommes apprennent aussi à vénérer les dieux . Elle sert également à la cité car elle contient des valeurs démocratiques.
** La liturgie est un travail manuel qui sert au bon fonctionnement de la cité.
RETO UR
SUIVA NT
III III Les Les lieux d lieux d’ ’expression expression
La Pnyx
La Boulè
L'Héliée
L'Acropole
RETO UR
I Une religion civique: l’exemple des Panathénées
LA RELIGION
Les Panathénées sont des grandes fêtes nationales organisées en l’honneur de la divinité protectrice de la cité Athéna. Une procession traverse la ville pour porter à Athéna les vêtements sacrés que les jeunes filles vierges de la cité ont tissés.
La procession s’achève au Parthénon. Ce temple est décoré d’une frise sur laquelle sont représentés les moments importants de cette fête religieuse.
« La procession »
SUIVA NT
II – L’importance de la Religion et des sacrifices
A Athènes, comme dans les autres cités grecques, il n’existe aucune séparation entre les affaires politiques et la religion. Ainsi un sacrifice et une prière ouvraient chaque séance de l’assemblée. Les sacrifices ne prenaient vraiment tout leur sens que s’ils sont accomplis en présence des « habitants libres » de la cité . De plus seuls les citoyens participent au banquet rituel. Cependant, les femmes participaient aux célébrations politiques et elles pouvaient remplir des fonctions religieuses importantes comme dans l’exemple des Panathénées.
« Les ergastines » RETO UR
LA FONCTION MILITAIRE Le premier devoir du citoyen est de défendre la terre des ses ancêtres, sa cité. A 18 ans, le jeune athénien, l’Ephèbe effectue son service militaire. Il devient ensuite citoyen et devient mobilisable jusqu’à l’âge de 49 ans. La place occupée dans l’armée dépend de la fortune de chacun, et chaque soldat paie son propre équipement.
Les citoyens les plus riches combattent comme cavaliers. Les citoyens moins riches sont des fantassins, des hoplites. Et les citoyens les plus pauvres sont faiblement armés ou sont des rameurs.
CONCLUSION
Pour répondre à cette problématique on peut affirmer que Athènes est bien une ville organisée car elle fonctionne sur une trilogie qui met en avant trois valeur démocratiques: La religion au sommet , la politique et la guerre qui sont considérés comme les piliers fondateurs de cette organisation modèle aux autres cités dans l’exemple du modèle romain Même aujourd’hui Athènes nous a laissé un véritable témoignage sur l’organisation politique car jusqu’à présent la Démocratie reste un des principaux régimes politiques. De plus Athènes a beaucoup d’influence ,de l’antiquité à nos jours comme dans le domaine de structure et politique.
Pour répondre à cette problématique on peut affirmer que Athènes est bien une ville organisée car elle fonctionne sur une trilogie qui met en avant trois valeur démocratiques: La religion au sommet , la politique et la guerre qui sont considérés comme les piliers fondateurs de cette organisation modèle aux autres cités dans l’exemple du modèle romain Même aujourd’hui Athènes nous a laissé un véritable témoignage sur l’organisation politique car jusqu’à présent la Démocratie reste un des principaux régimes politiques. De plus Athènes a beaucoup d’influence ,de l’antiquité à nos jours comme dans le domaine de structure et politique.
Athènes estelle une ville modèle et organisée ?
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Sommaire : 1. Les Tuileries 2. Le Louvre 3. Le pont Neuf 4. Les Invalides
Paris est connu pour ses célèbres monuments. Au fil du temps, ils ont évolué.
En effet, de l’Ancien Régime à aujourd’hui, certains ont changé de fonctions, d’autres ont même été
détruits..
L’évolution des monuments de Paris de l’Ancien Régime
à aujourd’hui Que sont‐ils devenus ?
Le palais des Tuileries
Agrandi sous les règnes successifs, il devint résidence royale de nombreux souverains (Henri IV, Louis XIV, Louis XVI ou encore Louis XVIII), puis impériale (Napoléon Ier puis Napoléon III).Durant l'Ancien Régime, les principaux habitants des Tuileries furent des nobles auxquels le Roi octroyait des logements de faveur, ainsi que des artistes, des retraités et des personnes de toute condition.
Après avoir été reconverti en hospice pour les invalides de guerre, le palais redevint résidence officielle lorsque Louis‐Napoléon Bonaparte, président de la République, vint s'y installer, avant d'y être proclamé empereur en décembre 1852.
Le palais des Tuileries a été détruit par un incendie en mai 1871.
Le palais des Tuileries était un palais parisien dont la construction commença en 1564 sous l'impulsion de Catherine de Médicis, à l'emplacement occupé auparavant par des fabriques de tuiles. Elle les fit raser et demanda aux architectes Philibert Delorme et Jean Bullant d'y édifier un palais .
Le projet d'origine était ambitieux : deux grands bâtiments parallèles et perpendiculaires à la Seine, réunis par quatre ailes plus courtes, compartimentant ainsi trois cours intérieures. Mais seul le bâtiment occidental fut finalement construit, et c'est celui‐ci que l'on appela en définitive le Palais des Tuileries. Catherine de Médicis, très superstitieuse, refusa finalement d'habiter aux Tuileries et s'installa dans un hôtel. La légende raconte que son astrologue Ruggieri lui avait prédit qu'elle mourrait " près de Saint‐Germain" et le palais se trouvait à proximité de l'église Saint‐Germain‐ l'Auxerrois.
Le Pont‐Neuf sous l'Ancien Régime (tableau datant de 1852)...
Le Pont Neuf
Le Pont‐Neuf était révolutionnaire pour le XVI° siècle.
Commencé sous Henri II, achevé par Henri IV, le Pont‐Neuf est d’une grande originalité : il était le premier pont n’ayant pas d’habitations dessus. Sa construction s'est fait longtemps attendre. Avant, il n'existait que 2 axes traversant la Seine, le plus souvent très encombrés et de surcroît en mauvais état. Le long du pont, il y avait des remparts arrondis appelés demi‐lunes où les marchands exposaient leurs produits. Il a été conçu essentiellement pour le commerce et les promenades, on y a donc installé de larges trottoirs.
Aujourd’hui, le Pont‐Neuf porte mal son nom, puisqu’il est le plus vieux de Paris.
Donnant une vue magnifique sur la Seine, il supporte une majestueuse statue d’Henri IV.
Avant
Aujourd'hui
Les Invalides Le 24 février 1670, Louis XIV décide de faire construire un bâtiment susceptible d'abriter ses soldats invalides
ou trop âgés pour servir. Ce projet s'inscrit dans le courant charitable et social du XVIIe siècle et l'Hôtel des Invalides devient un exemple pour d'autres pays
européens. On reprit le plan de l'Escurial, palais monastère de Philippe II d'Espagne à Madrid. Sa construction est achevée en trois ans seulement et les premiers invalides s'y installent dès octobre 1674.
L'hôtel des Invalides se dote très tôt d'une fonction muséographique : musée d'artillerie en 1872 et musée historique des armées en 1896, réunis en musée de l'armée en 1905. En 1942, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, période pendant laquelle les Invalides cachèrent un réseau de résistance, le musée s'est agrandi du musée de l’Ordre de la Libération et du Musée d’Histoire contemporaine. Il accueille encore aujourd'hui une centaine de retraités et invalides des armées françaises. L'administration chargée de cette mission est l'Institut national des invalides. Le bâtiment est aussi un Panthéon militaire ; plusieurs hommes de guerre français reposent aux Invalides comme Rouget de Lisle, l'auteur de La Marseillaise. Aujourd’hui l’Hôtel des Invalides est donc toujours actif mais est utilisé comme hôpital et comme musée.
Avant .. XVIIe siècle
Après .. Du XIXe siècle à aujourd'hui
Conclusion Paris est connu pour ses célèbres monuments dont la
majorité ont été construits avant l'Ancien Régime. La plupart d'entre eux ont changé de fonction ou sont devenus des sites touristiques car la fonction qu'ils avaient autrefois n‘est plus utilisée de nos jours, par exemple, les palais des rois. D'autres, en revanche, ont été détruits à cause de la guerre et aujourd'hui il n'en reste que quelques vestiges comme le palais des Tuileries dont il ne reste aujourd'hui qu'un jardin. Les monuments ayant changé de fonction sont la plupart devenus des musées (le Louvre) ou des batiments à fonction politique.
Comment vivaient les Parisiens sous l’ancien régime?
1. La vie des Parisiens : dans quelles conditions viventils ?
2. L’hygiène 3. L’état d’esprit des Parisiens
Sommaire
LA VIE DES PARISIENS
Dans quelles conditions viventils ?
Au XVIIIe siècle, les Parisiens vivaient sous le régime de Louis XV, puis Louis XVI. C’était une monarchie absolue, le peuple était donc pauvre et souffrant. Certains des monuments actuels à Paris existaient déjà à cette époque, comme le Louvre, qui occupait une fonction politique puisqu’il hébergeait le Roi. Cependant ce monument appartient à l’État. Nous retrouvons aussi NotreDame de Paris construite durant le XIIe siècle, qui avait, elle, une fonction religieuse. Au fil du temps, cette cathédrale a acquis une fonction touristique. On trouve la zone portuaire fluviale qui indique la fonction commerciale au sein de la ville . Auparavant, tous les parisiens venaient se divertir aux abords de la Seine. Le port était appelé le port « St Paul », c’était une ressource commerciale importante qui avait pour but de satisfaire les besoins des parisiens. La nourriture, les matériaux et les matières premières étaient alors importés à Paris de divers endroit de France par le biais de la Seine. Ainsi, les conditions de vie des Parisiens devinrent meilleures. Cependant à part ces monuments, les rues parisiennes n’étaient pas aussi accueillantes : des rues sales, boueuses, serrées qui recueillaient beaucoup de maladies.
L’hygiène des Parisiens au XVIIIe siècle était totalement différente de celle
d’aujourd’hui. A cette époque, les vaccins de Pasteur n’existaient pas encore, et la population mourait très facilement de maladies, choléra ou peste. De plus, la mauvaise hygiène de l’époque, ainsi que les regroupements de la population, lors de fêtes religieuses, par exemple, favorisaient les épidémies. Les rues étaient sales, boueuses, mal faites, humides, incrustées de nourriture pourrie, et étaient l’objet de réception de ’’pots de chambre’’. Les Parisiens considéraient l’eau comme ‘’sale’’, et, ils ne se lavaient que très rarement. Ils avaient une odeur nauséabonde qu’ils tentaient de camoufler à l’aide de parfum ! Ainsi, la vie à Paris était difficile. A cette époque les maisons étaient de fortune, les odeurs et bruits passaient à travers les cloisons. Il était pénible d’entendre sans arrêt les sabots et bruits des chevaux, les hurlements des gens, et de supporter la mauvaise odeur quotidiennement. Cependant, ils se jugeaient propres, jusqu’au jour où les choses ont évolué, principalement dans le domaine de la médecine.
Retour
En amont : Il est certain que le recours à la lecture sur écran permet d’apporter aux apprenants les prérequis culturels, rendus plus vivants, de créer un horizon d’attente, en les conduisant à formuler euxmêmes les objectifs de la séquence et les hypothèses d’une lecture ultérieure sur support traditionnel, de faciliter la requête ultérieure sur Internet,
Une « mise en appétit » en quelque sorte… Mais l’écran ne supprime pas les difficultés de compréhension… et il faut penser à garder des traces de ce qui peut être observé.
Lors des recherches : Où lire ? Que lire ? Comment lire ? Que retenir de cette lecture dans la perspective d’une écriture ultérieure, sur écran elle aussi ? Autour de ces questions, l’écran joue un rôle incontournable aujourd’hui, mais conduit aussi à bien des dérives…
Lors d’une production sur écran : Susciter chez un jeune lycéen le désir de créer à son tour en recourant aux TICE constitue l’aboutissement de cette démarche pédagogique, afin de passer de l’analyse, encadrée par l’enseignant, à une production personnelle, en s’appropriant les contenus découverts et les méthodologies enseignées.
POUR CONCLURE…
Pour la lecture, il nous semble important de croiser les documents sur support papier et TICE, car le seul recours à l’écran crée d’autres formes de « blocage » : fatigue visuelle, perception trop globale, ou, inversement, partielle et fragmentée, adhésion sans recul, primat de l’image…
De plus passer d’un support TICE à un support plus traditionnel, et inversement, permet de faire apparaître leur complémentarité, et leurs fonctions différentes.
Quand l’écran devient support d’écriture, sa fonction de séduction risque de l’emporter sur la rigueur et la cohérence du discours, outre le « copiercoller », d’entraîner, par mimétisme avec les écrans familiers aux élèves, des effets pervers : un « éclatement » du discours, l’abus de phrases non verbales, une ponctuation grammaticalement incorrecte, un mauvais emploi des majuscules…
Une vigilance…
IL’écologie IITransports IIIActivités et travail
IL’écologie
L’écologie, un nouveau mode de vie ? Grâce aux immeubles merveilleusement chauffés aux panneaux solaires, aux éoliennes pour l’électricité, tout cela met fin à la crise économique ! De plus le progrès nous permet l’accès aux voitures électriques accessibles à tous. Cela réduit la pollution et la dégradation de la ville.
Comment peuton intégrer l’agriculture en plein centre ville ? Pour une nourriture plus saine, une solution s’ouvre à vous : l’agriculture biologique ! De petits lopins de terre sont installés sur le toit des villas pour cultiver des légumes, fruits ou même de la végétation. Les terrasses des immeubles possèdent aussi de grands balcons. De plus cela peut apporter des atouts économiques et vous facilite la vie.
WAGMIL CITY
La super city est un enchantement paradisiaque ,qui débute de la mer vers les jardins extraordinaires ,le cœur de la ville est animé par un désir de créer des espaces d’harmonie et de douceur . C’est une véritable révolution verte pour faire de la super city une ville responsable et citoyenne .
SOMMAIRE SOMMAIRE
I I Situation g Situation gé éographique ographique
II II Am Amé énagement urbain nagement urbain Transports
Habitations
III III Nature et bien être Nature et bien être Parcs naturels Tourisme
Wagmil City se situe dans la mer méditerranée près de la Corse. Non vous ne rêvez pas, Wagmil City est une île! Elle combine l’harmonie de la nature et la modernité de la ville. Un climat chaud et tropical, des plages de sable blanc, une ambiance festive donnent à cette ville un charme extraordinaire.
SITUATION GEOGRAPHIQUE SITUATION GEOGRAPHIQUE
3. Coffeecar
Enfin, notre toute dernière nouveauté, le résultat de six ans de recherche : les coffeecars ! La coffeecar est une espèce de voiture en forme de tasse, vous permettant un voyage seul ou à deux, au rythme qui vous convient… les coffeecars ne roulent pas sur des routes mais lévitent ! Ce nouveau système se base sur la diminution de la pollution sonore et sur le respect de l’environnement. Il s’agit d’un système d’aimants, placés sur la « route » et sur le dessous du véhicule. Ces aimants, par un système de gravité, se repoussent, et permettent ainsi à la Coffeecar de léviter, diminuant ainsi les effets sonores. La coffeecar n’a pas besoin de carburant, elle est donc un moyen de transport durable !
LES TRANSPORTS LES TRANSPORTS
WAGMIL CITY vous offre de splendides habitations. Nous proposons de fantastiques et gigantesques maisons construites entièrement de verre, avec de jolis jardins sur lesquels sont implantés de grands parterres de fleurs. Nous proposons également des immeubles radieux à vous en couper le souffle, entièrement recouverts de panneaux solaires pour ne pas nuire à la nature. Les structures sont colorées avec beaucoup de goût et d’imagination pour un plaisir des yeux remarquable. L’électricité ne marche aussi qu’avec les panneaux solaires. De plus, il vous suffit de frapper des mains pour allumer ou éteindre la lumière. L’intérieur de ces habitations est meublé avec de tout nouveaux meubles High teck pour le plus grand plaisir de tous. Toutes ces habitations sont accompagnées de somptueuses piscines intérieurs chauffées.
Ces demeures de rêve n’attendent plus que vous !
LES HABITATIONS LES HABITATIONS
Tourisme
L’échappée belle, l’échappée verte! Vous avez envie de vous changer les idées… alors n’hésitez plus allez au centre commercial de la super city qui se situe au terminus de la station des cofeecar. Des magasins à ne plus savoir quoi choisir par tentation d’acheter. Alors laisser vous guider par vos goûts, il ne vous reste plus qu’à choisir !
NATURE ET BIEN ETRE NATURE ET BIEN ETRE
L’écriture sur écran constitue certainement une remédiation efficace au peu de goût de bien des élèves pour des apprentissages dont ils ne perçoivent pas toujours l’utilité. Créer sur écran, c’est aussi faire oublier l’enseignant
destinataire en rassurant sur un état final du travail qui ne sera pas « pollué » par de multiples corrections. Mais il ne s’agit pas pour autant de négliger un destinataire
potentiel, d’où l’importance d’une production socialisée. L’écriture sur écran exige de la part de l’enseignant de
composer entre la créativité, parfois débordante de l’élève, son désir de rapidité, inhérent à sa pratique de l’écran, et stimulée par une information surabondante, mal triée, et les exigences de réflexion et d’approfondissement propres aux disciplines impliquées, et, plus globalement, nécessaires à l’apprentissage.
enfin…
