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LesMALADIES INTESTIN Aliment des Infants et c/esConvalescents Bien rares, hêlas I sont malnfenant les femmes qui no souffrent pas do Ia constipation ot du mauvais état do leur instestin, et cela est. d'autant plus grave quo Ia constipation ost toujóurs accooipagnée d'ua cortège plus ou moins important do malaises dau- gcroux tels quo : man* d'estomae, j|:o>li'.tluira. bailonnements, «li{f©t*(«oi*i* pénibleg, inaladiosde pean, du iolc, dos i-cins, man* de tête, riee dn sang, nervesité et iaiblesse generale, idees noircs, etc..» IL FAUT DQNC SOIGNER SON INTESTIN Mals comment ! Lo célèïii'e pi-ofessenp Trtwiean a monlró que 1'abus dos pilules ditos laxatives, Ioiu de faire disparaitre la constipation avail pour cflet do la rendro plus rebelle, plus invctérée. Toutes les pilules a base de produits ohimi- ques, en effet, comme les eaux salines les plus réputóos ont lo mêmo inconvenient : elles detrniamt lenteinenl les mnquenses intestinales «ini eeswent alors do secréter lo mucus indispensable au bon fonctionnomcnt do l'intestin. Et aprcs avoir amené quelques selles elles sont causes de désordres irréparablcs et laissent souvent a la suite do leur emploi prolongé des ententes que riea ne pourra plus guérir. CÖP.1IV1ENT DONCCOfVIBATTRELA CONSTIPATION? La nature nous permet de répondre ; clle nous fournit des plqntes laxatives qu'illaut savoir choisir, d'une action süre etd'une parlaito inocuité. Le ÏMÉ IS ES FAMIEI.ES est bien connu pour Stro un produit uniquement a base de ces planles de choix. C'est done au Tlié des Families que l'on demandera la euro radicale do la constipation. Le THE IS ES FAMIJjS.es assure une scllo quotidienne sans douleurs, ni coliques. Son emploi continu n'offre aucun danger ; bien au contraire puisqu'il régónèro a la longue 1'inteMiit. Le THE HES FAMSIjLES a encore d'autres avantages quo plusieurs années de succes (voir los lettres d'attestations) a permis de constater. Kon seulement ii regularise les selles, niais encore il agit commo un puissant asitiseHtifjue de l'in¬ testin, s'opposant a I'envahissement. des vers, et cela est important, surtout pour les eiriaiits, chez lesquels i'inleciion par les vers est «les pins danfgereuses. Le THÉ HES FAMIïjïjES est done lc döpuratif, ie laxatif et le vermifuge par excellence. II est, d'autre part d'un goüt trés agitable, facile a prendre, convenant aux jcuncs enlants comme aux personnes les plus délicates. si vous avez TOUT ESSAYÉ SANS RÉSULTAT ESSAYE2 ENCORE LES Vente ï M°°*d'alimentation ct llS, faub. St-Honoré. Parian Dera, Catal. Prod, de Régime, Usines de Nanterre (Setae), Laxatives. Antiglatreases. Anllbithusss, DSpuratiVes. 1 ELLES RÊUSSISSENT U OUTOUT i ÉSH0UÉ Elles ne dorment jamais de coliques parce qu'elles n'irritent pas i inte^tin et produisent toujours de S'E/jef. UNE ou DEUX Aeheteurs sérieux, adressez-vous en toute confianoe A L'AGENCE COMMERCIALE 68, Hue Vlctor-IEugo, CS qui possède un trés grand choix de 1' onds de toute nature, a prendre de suite, A des prix trés avantageux. RENSEIGNEMENTSGRATUITS prises au repas du soir procurent toujours le lendemain un résultat satisfaisant. , U MEFIERDESINNOMBRABLBS CONTREFAQONS ET IMITATI0N8 > ||* II faul cxiger dans toutes tes Pharmacies Jm ik LESVRAIES PILULES BOTÜIS JR Lea Exiger ou Boites do 2 fr. (iuipöt comjiris) portaut uno óloilo roago (marque deposéo) le courorcle etles mots " Dupui* LHh " impritnés on noir sur chaquo ' - V— couleur rouge, Culture Physique EooleDESBONiTET, 25ler, ruedela Bourss ItÉOUVKUTUItE DES COURS Legons partioulières pour Enfants et Dames AIIONNKMF..VI8 DIVERS Cours du IHmancbc par Séries TRUTENIENTDE L'OBfSITÉ- - A-SOUPLtSSWENT Développement du corps. Force RÊSULfATSCARANTIS. HY080THÊRAPIE (3517) LeTHÉ DES FAKILLES estle Sauveur del'intestin ® francs (Impót compris) dans toutes les bonnes pharmacies ou contre mandat adressé au THÉ IOBQS3 I*'-A.!IXdEXI_tIIL.33ES3, 71, me Casimir-Delavigne, au Havre. RAYMOND LOCATION deLITEFtlE différentesKóglureset Formats A VENDRE EN SOLDE J. LAVERGNE, 60, riifi deI'Eglise _ . 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Prix : JLÖ.ÖOO francs S'adresser k I'AGENCE COMMERCIALE,G8, rue Victor-Hugo (i" étage), Le Havre, (3003) A tous Iss Ages par l'ÉLIXIE de CAFE -RESTAURANT qui fait disparaitre les accidents de la Formation et du Retour d'dge tels que : Hémorragies, Congestions, Vertiges, Etouffements, Palpita¬ tions, Gastralgies, Désordres Digestifs ei Nervaux. Ce médicament guéril êgalement les Varices et Ulcères variqueux, la Phlébite et les Eémorroïd63. En découpant ce Bon j~T33~l et en i'adressant & PRODUITS NYRDAHL, 20, ru® de X<aRochefoucauld, PAEïS on recevra gratuitement et franco une intéressante brochure de i5o pages. Jolie installation neuve dans le centre Selles affaires, cause de départ. A prendre de suite Prix ï T„Öt>© francs S'adresser a I'AGENCE COMMERCIALE,GR, rue Victor-Hugo (i" étage), Le Hayre. (3804) BIÈRES DEL'ESPÉRANCE fïU 1 U 4' i I A\' stylo l.ouis XV, compose ïffbïU SAL5I1™ do : / Canapé, 2 Fauteuils, E Chaises et / Table. » viTatHrainst même style. Z£9 mètros carrés Tapis salon mfmc style. S'adresser au bureau du journal.— Brooanteurs e'abstenir, D'YVR" ST Brasseiie fondée I Strasbourg en1746 Qttaïité Bock supérieur en füts Liivraison immediate A domicile I.éon THOMAS tl, rue Carnet — HARFLEUR (Téléphono7) | . MaJ»—3i m (3250) A CÉDER BEAUPAVILIONNFUBI.Ê dans le centre, 11 Ghambres richcmcnt meu- blées, grandes dépendances, petit loyer, avec jardio. Prix : 20.000 francs S'adresser A I'Agence Gommerciale, 68, rue Victor-Hugo (1" étage), Lo Havre, —■»(1175) -A. VEN DELE! PETSTE CHIENNE COGKFf? Prendre-l'adrcsse au bureau du journal, (3568z) SPECIALITÉpour la MARINE Henni "CflREIi A DXDüIR »E SUITE 2THÈS BELLES CHAiBOES armoires a glace, 2 portes, grand lit de milieu ct sommior, salie amm glacés, tableaux. Occasion excep ionnel/e, tl l'état neuf. Ras prix. S'adresser cours de la Répubiique, 54, rez-de- chaussée. (357iz) Pioprisiaires dsPavilions et Maisons qui désirez vendre, adressez-vous en l'ó- tude E. METRAIi, ancien notoire, 5, rue Edouarü Larue, Jer etage, cu vous trouverez des acquêreurs immédiats et au oomotant. BUREAUX: 52, rue Volteire ATELIER : 9, s*ue Diequemare Entrepreneur et Fournisseur de la Marine Nationale et des PriacipalesMaisoasd®Construotions et RéparatiensdaHavre — »-V«3c-t-= EXÉeilTION des TRnVALIX psj* Ancien Chef-Eiectricien de Constructions nsvales ENTREPRISE GENÉRALE LUMINEUSES Seront vosMontr es, Réveils,PENDULES HEURES V/SI BLESla nuit Avec la dissolution " ** Résultat instantané Envoi d'un nécessaire pour 2 monti'es contre S francs mandat E. MOULIN, 4, r. Leriche, Paris(XV') _ 7.9.11.13.15.17(5837) Paro du Champ de Mars, A PARIS, 70, Avenue de la Bourdonnais, (tel. Saxe7G-57). Grand choix do pieces détachées do toutes marques : Chaines pour tourisme et poids lourds, bouteilles d'ac&tylène, dossiers et coussins de ooitures, carrosserie s toarisme et poids lourds, moteurs roues, essleux, cylindres, etc. Toutes les pièccs exposóes sont vendues de gré a gré et peuvent être payées et emportées immédiatement, (5833) FONDS DE COMMERCE Pour VENDRE ou ACHETER un Fonds de Commerce, adressez-vous en toute confiance au Cabinet do M. J.-M. CAD1C, 231, rue de Normandie, au Havre, En lui écrivant une simplo lettre, il passera chez vous. 11»— (5312) Fournisseur du GÉNIE MILITAIRE TELEPHONE, LUMIÈRE, S0NNERIE.T.S.F Béparation et Bobinage deMoteurs detoutesmargues Bépèt central : 88,rueJulesLecesne MaJD.,—(5055) AVEC LE GRAIN Poules médiocres AVEC LA PROVENDE Résuitat certain J. 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La femme atteinto de Métrite guérira süre- rnent saus operation en faisant usage de la 4, rue de Metz actuellement VENTE de CUIRen monceaux pour petites reparations (min. : 10 kil.) ' (3558Z) Er! Eer cc portrait EP16ERIE CHTLLOT 83, rue Casimir-Belavig'ne VENTE- EÉCEAME dudèlicieux CACAO sucrs enétuis & 6 la* n ^ « . (Q5G5Z) Le Petit Havre — Mardl 7 Janvier

LePetitHavre Janvier LesMALADIES INTESTIN

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Page 1: LePetitHavre Janvier LesMALADIES INTESTIN

LesMALADIES INTESTINAlimentdes Infants

et c/esConvalescents

Bien rares, hêlas I sont malnfenant les femmes qui no souffrent pas do Ia constipation ot du mauvais état do leur instestin, etcela est. d'autant plus grave quo Ia constipation ost toujóurs accooipagnée d'ua cortège plus ou moins important do malaises dau-gcroux tels quo : man* d'estomae, j|:o>li'.tluira. bailonnements, «li{f©t*(«oi*i* pénibleg, inaladiosde pean,du iolc, dos i-cins, man* de tête, riee dn sang, nervesité et iaiblesse generale, idees noircs, etc..»

IL FAUT DQNC SOIGNER SON INTESTINMals comment ! Lo célèïii'e pi-ofessenp Trtwiean a monlró que 1'abus dos pilules ditos laxatives, Ioiu de faire

disparaitre la constipation avail pour cflet do la rendro plus rebelle, plus invctérée. Toutes les pilules a base de produits ohimi-ques, en effet, comme les eaux salines les plus réputóos ont lo mêmo inconvenient : elles detrniamt lenteinenl lesmnquenses intestinales «ini eeswent alors do secréter lo mucus indispensable au bon fonctionnomcnt do l'intestin.Et aprcs avoir amené quelques selles elles sont causes de désordres irréparablcs et laissent souvent a la suite do leur emploiprolongé des ententes que riea ne pourra plus guérir.

CÖP.1IV1ENTDONC COfVIBATTRELA CONSTIPATION?La nature nous permet de répondre ; clle nous fournit des plqntes laxatives qu'illaut savoir choisir, d'une action süre etd'uneparlaito inocuité.Le ÏMÉ IS ES FAMIEI.ES est bien connu pour Stro un produit uniquement a base de ces planles de choix. C'est doneau Tlié des Families que l'on demandera la euro radicale do la constipation.

Le THE IS ES FAMIJjS.es assure une scllo quotidienne sans douleurs, ni coliques. Son emploi continu n'offre aucundanger ; bien au contraire puisqu'il régónèro a la longue 1'inteMiit.

Le THE HES FAMSIjLES a encore d'autres avantages quo plusieurs années de succes (voir los lettres d'attestations) apermis de constater. Kon seulement ii regularise les selles, niais encore il agit commo un puissant asitiseHtifjue de l'in¬testin, s'opposant a I'envahissement. des vers, et cela est important, surtout pour les eiriaiits, chez lesquels i'inleciionpar les vers est «les pins danfgereuses.Le THÉ HES FAMIïjïjES est done lc döpuratif, ie laxatif et le vermifuge par excellence. II est, d'autre part d'un goüttrés agitable, facile a prendre, convenant aux jcuncs enlants comme aux personnes les plus délicates.

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Vente ï M°°*d'alimentation ct llS, faub. St-Honoré. ParianDera, Catal. Prod, de Régime, Usines de Nanterre (Setae),

Laxatives. Antiglatreases. Anllbithusss, DSpuratiVes. 1

ELLESRÊUSSISSENTU OUTOUTi ÉSH0UÉElles ne dorment jamais de coliques parce qu'elles n'irritent pas

i inte^tin et produisent toujours de S'E/jef.

UNE ou DEUXAeheteurs sérieux, adressez-vous en

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L'AGENCECOMMERCIALE68, Hue Vlctor-IEugo, CSqui possède un trés grand choix de1' onds de toute nature, a prendre desuite, A des prix trés avantageux.RENSEIGNEMENTSGRATUITS

prises au repas du soir procurent toujours le lendemainun résultat satisfaisant.

, U MEFIERDESINNOMBRABLBSCONTREFAQONSET IMITATI0N8 >||* II faul cxiger dans toutes tes Pharmacies Jm

ik LESVRAIESPILULES BOTÜIS JRLea Exiger ou Boites do 2 fr. (iuipöt comjiris)portaut uno óloilo roago (marque deposéo)le courorcle etles mots " Dupui*LHh "impritnés on noir sur chaquo

' - V— couleur rouge,

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Legons partioulières pour Enfants et DamesAIIONNKMF..VI8 DIVERS

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LeTHÉ DES FAKILLES estleSauveurdel'intestin® francs (Impót compris) dans toutes les bonnes pharmacies ou contre mandat

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©ri ir«rïTBT t1 <1° construction récente etjOiiL Ml'iiiUBLL dépendances, au HavreS£S'adresser M. Fv.lix VIVIEK, G4, rue daSalnt-Quentin, Le Havre. 7.8. (3523)

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BUREAUX: 52, rue Volteire ATELIER: 9, s*ueDiequemare

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Paro du Champ de Mars, A PARIS, 70,Avenue de la Bourdonnais, (tel. Saxe7G-57). Grandchoix do pieces détachées do toutes marques :Chaines pour tourisme et poids lourds, bouteillesd'ac&tylène, dossiers et coussins de ooitures,carrosserie s toarisme et poids lourds, moteursroues, essleux, cylindres, etc. Toutes les pièccsexposóes sont vendues de gré a gré et peuvent êtrepayées et emportées immédiatement, (5833)

FONDSDE COMMERCEPour VENDRE ou ACHETER un Fondsde Commerce, adressez-vous en toute confianceau Cabinet do M. J.-M. CAD1C, 231, rue deNormandie, au Havre, En lui écrivant unesimplo lettre, il passera chez vous. 11»—(5312)

Fournisseur du GÉNIE MILITAIRE

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AVEC LE GRAINPoules médiocres

AVEC LA PROVENDERésuitat certain

J. BOUL.OGIVE5Elcveur u Godervillc (prospectus franco).

g—Ma26fév.(279G)

Les ENTREPOTSEUBUFFETnchétent si domicileLITRES 2 BAGUES

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| est sujette aux Pertes blanches, aux Hémorragies,1 aux Maux d'estomac, Yomissements, Renvois, Ai-greurs, Manque d'appétit, aux idéés noires, doitcraindre Ia Metrite.La femme atteinto de Métrite guérira süre-rnent saus operation en faisant usage de la

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USFMMB1DIU7SDansIe but d'exploiter nos sentimentsliurnanitaireset aussi d'apitoyersur leursort le neutre dont ils escomptaient leconcours,lesAllemandsontsouventdressöau-dessusde leurs ligncs le spectre de la

1 Leurs soldats, cependant, continuaientd'etre gros el gras. Un ravitailiernent re¬gulier et abondant les venait trouver. LaFaminedont on parlait souvent dans Iajircsse allemande ne paraissait pasporterun casque. .On précisait alors que c'étaieut surtoutles dents civilcs qui devenaieat longues,et que, malgréle savant régimedes ersatz,les ventres naguèr* redoutésdu tenancierde la brasserie s'étaient transformés eaoutres flasques.sur lesquelles les plis dugilet faisaientune dansecocassect lamen¬table. . . ,Les journaux gerniamques ont jouéiongtemps de eettc vieille guitare. lis u-rent reprendrc la complainte par leursamis de Suisse,deHollaudeet d'Espagne.Kousavonssérieusement cru que ie buftetdeM. Boclie était vide, au point d'atlri-buer uniquementa la faimsa decisionder-nière de se rendre. .II apparaitcependant,aujourd'hui, que,la encore,un sérieux camouflagede la ve-rité égara quelquepeu nossuppositions.11nous üt exagérerune situation alimenfairesérieuse, certes.mais qui n'avait, au 10no-vembre dernier, ricu de tragique ni dedésespéré.L'autoritéallemandea traité sur ce pointles populationsdes territoiresenvahisavecune rigueur implacable. Elle n'a rien mé¬nagé dans ses restrictions. Toutce qui putconcourira i'aidevitalede nosmalheureuxeompatrioteset des infortunésBeiges, elleïe réduisit jusqu'a la suppressionpresquecompléte. , . .Si le concours américain, dont nousn'oublieronsjamaislagénérosiléempressée,n'était venusauverce qui pouvaitêtre sau-vé, les immensescimetières qui couvrentle sol torturé seraient aujourd'huiplus im¬mensesencore. .L'Allemagneservait ninsi ses intérêiséconomiques,militaireset politiques. Ellese nourrissaiLauxdépensde ceuxdontelleavait faitdes esclaveset, devantles autres,elle criait sa délresse.Lejour oüelle constataqu'ellc aliait fa-talementvers la défaite,et que l'Alsace etla LorrainenieserftieiHbientót plus terred'Empire, Tautorité allemande fit payer,nar avance,auxAlsaciensót aux Lorrains,le lourdprix de sonorgueil abattu.Les réquisilions se firent plus fipres,plus sévères.Unevéritableinquisitioncon-duisit lesmanoeuvresde ia police toujoursa ia pisted'un pouletou d'un pore que lamalicecampagnarderéussissait de tempsen tempsè «déguiser en courantd'air • .Lesenquêteurs établirent de véritablescomptabililéspour imposerla remised'ufioeuf qui « aurait dü » être pondu etappuyerleur exigencede la menace d'uneamende.On mangeait peu, on mangeaitmalen Alsace,en novetnbredernier, surtoutdans les villeset gros villages,oü lasurveillanceplus élroite rendait la fraudedifficilect dangereuse.Maisil semblebien, è I'heure présente,gue cefte pénurie excessive des vivresti'ait élé qu'un rideau, et que derrière cedécor de famine, l'Allemagne ait conti¬nué de vivre, plus modestement, il vasans dire, mais sans juger indispensabled'aller démolir le palais impérialpour secaler patriotiquement les gencives avecdesbriques.Un membre de laalliée dans les eauxit ce proposdans lelions bien édifiautes.« Si les conditions d'alimentalion dansjc reste de l'Allemagnene sont pas, dit-ii,pire et de beaucoupqu'en Mecklembourg,gn Öldenbourget en Schlcsvig-IIolstein,alorsil n'y a certespas lieu, de la part desAllies, de se hater d'aller y porIer dos se-tours. ïEt le correspondantsouligneque ni lui,ni aucumembredes diversessous-commis¬sionsqui ont parcouru des centaines dekilomèlresdans Ie payset vu des dizainesde millede personnes,n'a remarqué « unatrace quelconque de l'insuffisauced'ali¬mentalionchezles habitants.»Toutesles populations de ces régions,lant danslesvillesquedansles campagnes,onl élé ét sont suffisammentnourries pourgarder lenr vigueurphysique.Leshommesque ce voyageura rencon¬trés aux docks, et les premiers mnrinsexaminésa Wilhelmshaven,quoiqtte malmis.malproprcs,ueportaieut aucuue tracede famine.

truit toute sourced'activitéet de richesse,daas ces déserts de mortet de ruines versiesquels les instincts nostalgiques de larace ramènent des victimes qui veulcntmalgré tout ressusciler a l'espérance, etfaire pousserun jour sur cetteterre de dou-leur et de tristesse Ia joie des aveuirs ré¬parateurs.Lessensibilitésagissanies,lessentimentsde générositéct de solidarity humainesnesauraient trop s'affirmera I'heureprésente,mais on concevrait mal quils allassentvers les coupablesavant que d'avoir assuréaussi largement, aussi complètementquepossiblel'adoucissemeutdes maux causéspar ceux dont l'hypocrisiea pousséle raffi¬nementjusqu'è travestir la simulation dela misère.

Alsert-Herrenschmidt.

DeniiriHtartUne Prise d'armes h MetsMri. —Mardi matin, & dix heures, te marécha-Péiaui procédasur I'Esplanadea la rernisodes fourrscoreset des decorations La cérémoniefu impo-santodans sa simplicita ; la place était garnio dotroupes do toutes armes. Derrière les sentmollesdeservice se pressail uno foutenombreiuse.A 1arrivéodu tnaréchal, la Marseillaiseretentit ; toutes lostêtes se dócouvrirent. , , . .Le marechala remis a 10régiments les insignesde la fourragère,dont une aux couleursdo la Legiond'honneur, cinq aux couleurs de ta medaille mili¬taire, et dix aux couleursde la croix de guerre.Enlin il décorade nombreuxofficierset soldatsnolammoiitil altacbaau cou du généralViolandlaeravale de commandeur do la Legion d honneur,puis loutesTes troupes défilèrentdevant lo maré-chal et alterentensuito saluer le nouveaumonument('levésur resplauadoinla place de celui do Ouu-laume I", Cost lo Potlu victorioux. Ce fut un cn-Uiousiasmeindicibloot chaeun, rentrant chez sol,répêtait la devise iuscrilc sur lo socle : «Onlos a. »

p©«jfSaSoeiété des NationsParis. —Lord Robert Cecil est arrivé a Paris,spécialoment chargé do representor lo gouverne¬ment brilanuiquo dans los discussions pour la bo-ciötódesRations.

C1TOYEMS D'AÏHÈMESAil'.èrws.—A 1'ouverture de la séancedu Consei'municipal, lundi, le rnaire d'Atbènes, apres avoiroxailédans un vibrant discours l'ceuvro accompliopar les chcls d'Etet alltés ligués pour sauver lernondedu despotisme ct do rabsolutisme, proposade nommercitoyenshonorairesd'Athèncsles grandslibéraleurs do l'humanité : Wilson, Ciemenceau,LloydGeorge,Venizelosct le marëchal Foch. Lapropositionfut votéö d'enthousiasmo parsoil.

La Misère en RussieParis. —Onmande dc Stockholma l'agencotélé-grapbiquorusso :a Le manquodc nourriture ct do charbon Pe-trogradest tol, quo dans un ou deux mois, Iaclasse moyenne doit disparaltro,Les prisonruersrccoivent deux soupespar semaine, jamaisdo pain.oLosotages mcurent do faim, les habitants senourrissont dc la chalr des chsvaux morts dans la11n L'élémcntmaximalistedo la populationn'atlointpas 5 OfO,mais beaucoup adherent au mouvement\pour avoir a manger.Petrograd risque do so trans¬former on cimettère.a Ladisciplineet le contrdlosont inoxislants, losvols sont commisdu haul en bas de l'échelloadmi¬nistrative. Ijouzi millionsfureut voidsii la légationdoNorvègo. _

UnContre-Torpsüeursvarié par une mine

Paris, —Lodestroyer francais Enseigne-Ilenryaélé avarld, dans la mor Noire, dans la matinee du1" janvier par I'explosiond'une mine.Escorté par los navires francaisBissonetteran et le batiment anglais Buhis, YEnsagne-lhnry a pu gagnerpar ses propres moyens Cons¬tantinopleoü il sera réparé.Quatremarins fluent tués par t'explosiou,

HamiaageauxMarinsduCommerceParis. — M.Bouisson,sous-secretaired'Etat a 1amarine marchando,convoqua,mardi aprós-midi,lesdivers représentants des organisations prolession-nellosmaritimes et, on leur presence, procéda al'installatlondu commissariatdopolice dola manuomarchande,ct prononcauno allocutionhonoran!lamdmoircdes marins du commerce morts pour iapatrie.

LesEvènementsdeRussiaLe retour de M, Noulens

Pendant son séjourULcith, M.Nculens a dcclarêè un représentant dc la prcsse qu'aucuTiCdes mo-

OMpsLocale

LeRetenduPrésidentWilson

le Con-

Commissionnavalealiemandes publieTimesdes coastata-

c Dansaucuneville anglaise semblable,cornmePortsmouth,Plymouthou Harwich,les gens u'auraient eu une meilleureappa-rence de santéet de force. Mêineen faitdevètements,la comparaisoneütété en faveurdes Allemands.»A cela, rien de bien extraordinaire.L'Aiiemanda tiré de la terre tout le partiutile qu'il en pouvait tirer. Avec le con¬coursdes prisonnierset par le travail inlas-sabledesfemmeset desenfants, il a accom¬pli des chosesremarquables.Lesfermesdela régiondeKiel, notamment,sont en par¬fait état, les lerres entretenues, cultivées,iraitéespar des moyens scientifiquesquidoublentl'efforthumain. Lesgrangessontbondées,les hangarscombies; les fournilsregorgentde fourrageenlassé. Tout prouveque la récoltea élé vraimeutabondante." L'état actuel des champs de Lorraine,d'Alsace surtout, ie l'ai constaté de mesyeux, montred'ailleurs la méthodesuivieel permetde pressentir ce qu'ellepeut, cequ clie doit donnerailleurs.La vie difficile,la misère, la faim, ellesgontdans les régions libérées, dans lespays oil I'euneau a sysiématiquementdó-

LaRevolutionenAllemagneBale.—OnmaudodoBerlin qu'au cours do deuxrencontres entro majorilaires et spartakistes présdo l'hótelKaiserhoffet do ta chancollerioil fut faitusagede grenades cl dc revolvers, on compto desviclimos.Bale.— On mande de Francfort quo l'agenceWolffa transférc sou siègeprovisoirementa Franc-fort,Bpie,—on mandede Berlinque de conlinuollesmanifestationsso déroulentdans les rues.Ltebknecht,harangant les manifeslants, réclamale combata outrancoconlre legouvernement..Radek aurait égalemcntreparu kBerlin.Losspartakistes sosontemparésdes dépótsdc mumlioiisdoSpandau. , ,Legouvernementest disposé a causer avec lesspartakislcsa trois conditions:desarmementde tousles civiis, évacualiondo tons les bklimciits et desrédaclions,soumissiond'Eichorn.flüie,—Onmandode Berlin que lo Conscilcen¬tral de la Républiquo socialisteallemande a lancéune proclamationdisanl nolammcnt: •<Nousavonsdecidede donner au gouvernement pleinspouvoirscxtraordinaires,afin qu'i! soit on état de rnaintenirle calmeet ia sccuriló nécessaire.Tousles Consousd'ouvriers èt soldats ont lo devoir donous soulonirlo plus promptoment dans la lutte, conformémenta la volontépopulaire». -Lundi, iimidi, a ou lieu ii LaChancellerloun Cou-seildo guerre dos commissaires des pouples,enpresencedes membresdu Cimiló centra!desC.O.S.Logouvernementa decide d'intervenir aussitotavec les moyensdont il dispose pour rnettrc fin auxinenées spartakistes. Lo commissaire Noske estnommécommandanteu chef des troupes gouverue-raenlales. . , , . .Logouvernementa refusó do nogocioravec lesSpartakistes.Les deux partis sont, a la Wilhems-Irasso, a une cenlaincdomélres t'ua de I'autre.Bale —Onmande de Berlin qu'au cours desmanifestations d'hier dovant la chancelierio, lescommissairesdu peuptoEbort et Scheidomann fu-rout accueilispar les acclamations d'une foulo doplusieurs milliers dopersonnesqu'ils haranguèrent.Ebort dcclara entr'autres que <■rien ne met plusen danger le nouveau gouvernementdo liberie quola funostepolitiquedes spartaciensavec scs viseescriminelles.o Noussommesdisposés, ajouta-t-il,ii fairo faceavec uno énergieextaèmea ce danger lo plusgrandqui soit couru par la révolution. II faut défendre laliberté contrc ces gens qui nous reprochent d elrefes partisans de la violenceet jetteut sur nous le.sang dos travailleurs ».Scheidomannannoneaqu'uno demi-beureaupara-vant, il fut decidede lemcltreamort.ainsiqu'Ebort.Cottocommunicalionfut accuoilliepar les siffletsetles cris dohésapprobationénorgiques.Schoidemanucontinua .*a Nous faisons et conti-nuerons ii faire notre dovoir jusqu'au bout Vousaussi vous savezquelen est 1'enjcu. Ces eflroya-vabiesmachinations,doivent-ellesconlinuer ? Nosfemmos,nos onfants,seront alors exposés aux souf-franeesdc la faimencorepires que cellesdes autresaiinécsde laguerro. »Scheidomannconclutcn demandantaux auditeursdc soutenir lo gouvernement,

Ludendorffa quittél'AllemagneLondres. — Suivant uno dépactiedc Copenhagu®aux journauxanglais, le ministère suédois auraitcoulirmél'inlormationdu Poiiiikcn, annonfant l'ar-rivóe en Suédcdo Ludondorff.Ondit quo LudendoiJJvit sousun nomd'cmprunt,dans une ferme, ii UesRholmc, localilé presque in-habitéode Soanie.II aurait dit ii Ia policequ il s'ap-pelaitErnest Binstroermet était consolllerdo la lé-galiondo Finlande&Berlin.Leministrode Finlandea Stockholmdit qu il n ya personnede ce nom dans le mondodiplomatiquefinnois.Ludendorffvlvrait avec un nomméBagnerOlssonqui habita plusieurs annéosl'Allemagne.La familiedc Ludeudprlfdément qu'il soit cn Suède.

Le présidentWilson,aceompagnédo Mmect MUeWilson,et des personnatitésde sa suite, est arrivémardi a Paris, revenantd'ltalie. Lotraiu spécialestentré en gare de Lyon a 10heures.M.Wiisona étó reo,u,a sa descontede wagonparlocomie Bonin-Longaro,ambassadeurd'Ualie ii Pa¬ris, et par MM.Dorvilic,présidentdu Conseil d'ad-minislration dos Clieminsde for P.-L.-M,; Mignot,chef de l'expioitation,qui ont rerois a MmeWilsonune superbegorbede rososde France.Un serviced'ordre avait étó organise.La foufe,qui s'était rapidomentamasséo, a chaleureusemontacclaméle présidenttandis qu'il moiitaiten automo¬bile pour gagnei'l'hótel Murat oü il est arrivé ''10h. 30.Aprèsle départ doM.Wilson,des officiersaméri-cains ont fait procédera renlèvomeut dos bagageset des divers objetsquo lc président rapports dason voyaged'Ualie.Les projets da président

M.Wiison va repartir immódiatement pour serendro dans les régionsqui ont étó dóvastées pen¬dant la guerre. .....Son retour h Paris est prévu de lelie fafon quoles conversations officiouses entre les gouverncmeutedesgraudc-spuissancess'engageni,commeonl'a annoncé,dès te début de la semaiuoprochaine.Les invitations pour la premièro séance plér.ièrode la conférencene pourront êlre lancées, semble-Sril, quo quelquosjours plus lard.

sures quo l'on pourra prendre ne sauvegardeia losintéréts économiquesel politiques do i Ententetanlquo los bolchovisttsrestoront au pouvoir. Lesalliesdoivent désormais Iravaitler ü renverser les holcho-vistes. « Ceux-ci,ajouta-t-il, gouvernentpar la ter¬reur ; lour force est plus apparente que rcelle ctdisparaitra rapidementsi les alllés agissent avecénergie. La Russio conliont heurcusoment encored'excclionlselementsdont.les allies pourront faireusage.Les boiehevistossont les ennemis les plusdangoreuxde leur propre pays.La situationa Petrograd

Scionune depêched'Helsingtorsau Times,les der-niers membresdo la dólégationdanoisequi msientrestés a Petrograd.sont arrivés Le5 janvier a Hel-singlors. Les autorités bolchovistesavaientordonnela detentiondo tous les membres de la delegatiouiusau'a ce quo lo gouvernementdanots eftl autorise10départ des représentantsbolchovistes.Suivant lesdeux attachésdo la délégatioudanoise,u ne restsiaI'heure actueilek Petrograd aucun représentant di¬plomatiquedospays neutres, a 1exception de M.Odier,ministrode Suisse, detenupar les boichevis-les, par voiode représailles, pour 1expulsion de lalégationbolcho-vistedoSuisse. .Lesprisonniersbritanniquesmilitairesetcivils enprison ii Moscousubissentun traitementtyrannique.11y a plus do3.000prisonnierspolitiques russes detoutes lesclassesdans la mème prison; ils rccoi¬vent moinsdo60 grammesde pain par jour et del'eau chaudo.Descivlls et desmilitaires semes somégalcmentdétenusdaas cette prison,Lovéritablediclateur a Petrogradest uno femmenomméeYacodleva.figéede vingt-doux ans, qui,commechefde la fameuse commission extraordi¬naire pour la repressiondo la contrc-revolution,dela speculationot du sabotage,a surpasse tout ce quel'on peut imaginercommecruaulé. ■La population de Petrograd n'est plus que deeoo.ooohabitants, y compris les gardes rouges.Lestservices des tramways sont suspendus,il n y a plusde charbonet on nopeut avoirde lumiereéioctriquequopendantdeux heures par jour. Tout commerceest suspenduou paralyse ; los troi3 quarts des ma-gasinssont fermés.Ungrand nombredc gonsmeu-ront dc-faimdans les rues. Lesgardes rouges conti-r,uentü éfre bien nourris, la discipline est ngou-reuso ot lomoindre acle a'tnsubordination csi punido mort. Leurs effeclifsa Petrograds'élèvent » plusde 60,000hommes,y compris la division des fusi¬liers Iettoiis.

Hapafi-iemeafs msilstaïreis rt eivlli]/ cargo-mixtebrésilienA'.cgril-, venant poar laseconde fois deRotterdam avc<c des prisonniersfrancais, est arrivé sur rade dans la nuit de lundiii mardi.11est entré au port vers 1 li. 1/4 de l'apres-midiet a pris placedaus lo bassin do l'Eure au quai doNew-Yorkoü aura lieu le débarquement._Costoamer avait ii bord 2,030 jnisonmers fran¬cais, dont 1,000du cainpde Hameln,1,000du campde Lanoensalzaet 50du campdcDuimen.Le commandantRavallier,du 81°d'infanterie, re¬présentant l'amiral-gouverneur,a saluó nosmalheu¬reux soldats a leur arrivée et la musiquedu l'JT'aioué la Marseillaiseet leshymnesmilitaires.Parmi les rapatriés, se trouvait un mutile ampulede la jambodroite.Les prisoiuiiorsdu campd'Hamelaonlélé amenésjusqu'a Rotterdamen cliemindo for. Ceuxdu campdoLangeusalzaembarquèrentiiWessl,a bord de pe-niches, pour descendrele Rhin.Noslecteurs se souviennentque Ie campde Lan¬geusalzafut le Ihéatre,lo27novembrodormer, seizeFoursaprès la signaturede l'armistice, de 1assassi-nat de plusieursprisonniersfrancais par los sonti-nellesaliemandes. .Caltescènedo sauvageriene fut jusliflee par au¬cun acte reprehensiblede lapart do nos prisonniers.Ceux-ciallalonttout simplement cherclierdu boispour reconslïtuer loui' Ihéatre. Los sentineliesalle-mandes.pour leson cmpècher, tirOreatsur eux plu-sieurs coupsde fusil qui tjièrent 10 Francais et eublessérent16autres.De Iels attentats doiventattirer d ïnexorahlescha-timents.

«: *Ra étóprocédé,mardi toute ta journée, au débar¬quement de 1,100personnes qui étaient restéesabqrd du stoamerhollandaisMacedonia,au quai dEs-familiesrapalriéesont pris placedans un train,

ea garomaritime, pour être dirigéessur nouon.

THÊRTpS&COfiGEHTS.Grand -ThcMre

Whilfiiigton and laas catLa vieilleet charmante histoire de WhitlingtüBet de son clial est un thème bien clier au cceurde»auteurs de « Christmas pantomimes que nousappellerionsen France des rovuistes, si la revua- genre émiiK1-""""'

do Koel estn"était pas un genre éminemmentfrancais,la pantomimedo

Syndicatde la Boaelieriedn HavreAVIS

LaChafnbreSyndicalede la Boudieriea lTionneurtl'informerla populationque, par suito de la hausseconsidérabledes viandos, eiie vouille bion se res-treindre lo pluspossibledans scs achats pendantuncertain temps.noiA, —Prix de la viande noltesur pied ■

LI RETOURDEM.ClÉMENGEAÏÏM.Clomenccau,rentrant de Lucon,est arrivé k Iagure Montparnassemarili, è 7 h.80 du matin.II a été saluó par MM.Nail,I'ams, Levgues,lo gé-nérai Mordacket ie secrétairegéaóral du reseau dol'Elai.

LalortdeTancienPrêsiflentRaosBTell

LaSituationattentatedal'AllsniagnaBóle.—Onmandodc Berlin qu'ii la suite d'unedemandofalte a la Commissionde l'armisticea Spa,los autorités aliemandespermirent k des détegationsd'olficiers anglais de so rendro a Berlin,Leipzig,Cassel,Hamnovreet dans d'autres villes pour étu-dterUsituaUoanluueuUlrs.

Nousavons, annoncéhier, le décèsde M.ThéödoroRoosevelt,ancienprésidentdosEtatsUnis.Theodore Roosevelt,qui était aveeWilson 1unedes plus hautes personualités d'Amérique,était nélo 27 octohre1838.II débuta, ii vingt-cinqans,dans Ia politiquecom¬me députéde New-York.Laperte, coup sur coup,de sa mere et ae safemmo,lui fit abandonner momentanément Now-York et la politique.U se rstira sur les bords duMissouri. , „ . , . .En 1886,il se romana, détaissa alors la vie duranch el, reprenant son róle politique,devint prési¬dent de la Commission do police, c'est-ü-dire unesorto de préfetde police de New-York.11passaeu-suito au départementde la Marine,en qualitó desecrétaire-adjoint. La guerro avec l'Espagne letrouva dans ces fonctions; e'est gracok son acli-vité quo l'amiral Dewey put remplir la missiondont il avait été chargé, en Extrêmo-Orient,MaisThéodoroRooseveltno se contehtapas do ce róloadministratif: au cours do cette mèmoguerro, ilrecruta un régimentd'óclaireurs a cheval.de roughriders, a la tètc duquel ii Ut toute la campagnedeCUDovenu,a Ia suite de cette oxpédition,immonsó-ment populaire,il fut élu, en 1868,gouverneur deNew-York; en 1CK)0,vice-president do la Républi-qua, sousla présidencedeMac-Kinloy.Le 14septem-bro U'Ol,te président ayant été assassiné,M Roo¬sevelt, conformémenta la Constitution amérieaine,luisuccéda. II fut réélu lo8 novembre1004.En 1908,il ne se represents pas et M.Taftfutélu. En 1012,le colonel Rooseveltse remit sur lesrangscommecandidald'un 'nouveau parti, lopartiprogressiste.La scissiondu parti républicainamenaie succèi du candidaldémocrateM.Wilson.Désle début de la guerromondiale, M.Roosevelts'était prononcépour l'intorvention des Etats-Unisaux cótésde la France et do l'Angletorre.On sait qu'il avait voulu lever une armee poui'venir combattrek nos cótés sur le front occidentalet qu'fl ne puf mottro son proiet a oxécution.Parcoiuro, sos tils no tardèrent pas ü venir sur nolrefront. L'un d'eux, Quenlin Roosevelt,pilotohabileautant qu'audacieux, fut iuó dans un combatavecun aviateur enneini au mois de juiUetdornier.Unautre de ses fits, lo majorThéoiV-"o.Roosevelt,étaitblessék la mèmoépoquo, dans un engagementau-auel il prenait part a fa tête. de soa baiaülon, surles bords do la Mame,i Chateau-Thierry II availété dcjScité ü l'ordre du joUrde t'armée amerlcainequelquetemps auparavant, le 26 juin.Ecrivain primesautier, orateur mordant, Roose¬velt était une physiononiieaussi originatequo sym-pathique. La decision, cftsz lui, était rapide ; laponséo,agllo ct iufiligable; ia volontéd'actionin-cessante.II aimail Ia grandevie physique, les chasses auxbC-tosféroces,qu'il pratiquaitordii-airementdans lesMonlagnesRocheuses.etqui leconduisirentjusqu'cnAlrique.Maisla vie intelteciuellen'était pas rnoinsintense et on lui doit,h cötódoses récitsde voyages,des ouvrages hisloriques remarquables: la Guerrede 1812,la biographic du gouverneurMorïiset uneétude sur Cromwell.

CondoléancesDèsque fut comiue la mort de M.Roosevelt, leprésidentdoIaRépublique a télcgraphié ses vivoscondoléancesüses (ils, officiersdans 1'armee amerr-caine, et qui se trouvent actuellementa Coblentz.M.Poincaréa telegraphicégalementa MmeRoose¬velt.Deuilgênêral aux Etats-TJnis

A l'annoncede la mort de M. Rooseveltles dra"drapeauxont élé mis en herne a la Maison-Blanchc»au Capitate,sur tous les éta.Wissementspublics,surtous les vaisseaux,'lans toutes les stations nayaleset dans les campsde i'aimée aux Etats-Uniset a l'C-tranger.

LESAFFAIRESPiiLOlISESTentativede révolutiona VarsovieLe Timespublicla dépêchesuivante,dcVar¬sovie:Le 5 janvier, pendant les premières heures de Iaraatinée,des révolutionnairesont occupéavec z09ou 300hommesdc la milico civite les princtpauxmonuments, tandis quo de potits détachemenlsétaient envovésoccuporles maisons de M. Morac-zowski, présidentdu Conseilj dc M, Wasilowski,ministrc des affairesétrangêres; doM.Tnugut,mi-nistre de l'intérieur, qu! furent- arretés. DosgardesparticuliersdeM. Thugut, qui rosistèront, furenttués. Deuxautres personnes,eri dehors dos minis-tres, furent arrêtées, dont l'uue est Is cjef do la^D^'honne heuro, dans la matlnée, le généralSzeptveki,chofdo l'état-major, a étó arreté, pmslibéré par ses soldats. Une longue conference eutlieu ensuiteontre to princeSapieha, le generalPil-sudski, logénéral Szeptyckiet M. Paderewski. Onen arriva a un accord aux termes duquel il fut ar-rêló uuo si les soldatset les officiers qui avaientnris Dartau mouvementétaient assures d uno am-nislio entièrepar lo général Pilsudski, les mombresdu cabinetseraient remisen liberie.Onne sait pas oü so trouvent ks aulres membresdu cabinet.La situation en Posnanie

D'aprèsdes dépêchesde source polonaise,les opó-rations des troupéspolonaisesdans la réglonde Po¬sen sont dirigéespar le chef de SokolsLange.11dis;nos©d'onviron 9,000hommes; il s cst deja emparede 120mitrailleuseset de 10 batteries d artillerie :les septs(oris qui entourent la viile de Posensontlous entre les mains desPolonals,L'armée régulière polonaise désarme systemati-quement tous les soldats allemandsqu'elle rencon-trcLa ville doGnesena élé ecoupéepar lesPolonais.Un detachementde soldatsallemands,a tentó de lareconqucrir. 11y a ou unobrèv© fusillado saus ro-A la suite do négocialion3,les troupes aliemandesse sont imgagéesi évacuer Gutsen et ses environs.

Boen? 8 Ir. le 1/2kilo.Veau 5 tr, •Mouten 5 fr. »

Le Président,REKÉ KESOl'F.

O.v PROTESTEOnnous signals a nouveau 16sans-gfine do cer-taines entreprisos qui persistent k placer mcon-sidórémentleursmatériaux sur la voie publiqueaudétriment de laséeurilé des habitants.C'estainsi qu'hier soir, rue du Lycée,vers7h. 1/2,il nous a été donnó-d'asstster a la chuto de deuxjeunes fillessur ua tasdocaillouxdéposesur le trot¬toir mèrne,et que l'obscuritéen eet endroü avaitempêchéd'apweovoir.Ellesso reteverent, les vötemoutmaculésct légèrementblesséosaux mains.Nousinsistonsprés deaservices competents pourmettre ordro ü ua état de chosesqui pourrait avoirdos consequencesencoreplus graves.A défaut de lanternes, ne pourrait-on au molnsmettre ces matériaux sous les becs de gaz...alluÊaés.

Le sucrc manque, la Saccharine ne rnan,que pas. . . au moins chcz KESADWfrères qui pouvent approvisionner a la taxect sans délai. —S'adresser 13, rue do Bapaume

commecmüic-mmealun genre

britannique.L'avcuture tout ii fait morale de ce pauvreDickWhitlington, que dos méchantes geus lont passerpour un voleur, alorsqu'il ost l'innocencemiine, etqui a la faveur rare de réaliser le joli rêvo qu'il fitun soir de fatigue, cette avonture sert depuis dalouguesannéesde cadre traditionnel a toute la tan-laisie qu'on peut mellrodans le tableau.I! y a Irentc ans, ii Drury Lanc,ü Londres, Whit-linglon nous avail lour a tour amusé,ému, charméintéressépar sesmalheurs immóriléset scs joics.Voussavez peut être que la douce Alicekitst-warren, 1111edc sonpatron deCheapside,l'adore eli'épouserait la fin de la piece.MaisauparavantWhittington et son insoparablichat, compagnondojours de misèrect de splendeuiierrcront a travers le mondoii la recherchede la for¬tune. Ils ferontnaulrago 6ur les cötes du Marqc,lechat Tomtuera tous les rats qui intestent te jiataisdu sultan; son maïtre, en recompense,touchera iaforlo somme.WhittingtonreviendraalorskLondres,sera Lord Maire, corntne te songe 1'avail pr&<dit, et aura beaucoupd'enfants.Oil1n'arrachez*jamaisles enfantsau LordMauw.L'liistoiren'a paschangé.Ala retrouvorhier, adap-tée par ses détails a i'actualité, nous avons priscommejadis, un plaisir extréme. Whittington esttoujours trés spirituel, son chat plus souple qu#amais, Alice k'itzwarren toujours airnahls et gra-cieuse, Idle Jack, to raéchant rival toujours peasympathique.Et le sultan du Maroc demeuro impo¬sant et noiraud. , .Quebonnesgracessolent renduos au joh conlmII nous a rajeuni de deux fols quinze ans peudaindeux heuresI , , , ,M,.1.i. Allan,qui a repris lo vieux Ct vénór»scénarioen a tiré deux actesqu'une troupe do co-médiensimprovises,soldatsdo l'arméebritanmqua,...les HangBoys,interprètent avec un entrainbonnoiiumcur qui gagnontsans peine l'auditoriII y a dans cottogailébritannique,qui poutparire puérile, un lond solide d'honnétoté.Le comiqu»osciiloentro le calcrnhourget la houilonnerio cari-caluralosans cesserde demeurcr d'une tenuehum-lialo.Si lo rire cascade, il roste décent.C'est unaqualitóet e'est aussi un avantage qui raSsuro paravanceles esprits en évitant des surprises parioi»facheuscs.Voilaun spectaclede tout repos.La piècedeM.J.-J.Allana rolrouvé hier sur Isscènedu Grand-Théatro1»vif succès qu'elle rem-porta ces jours-ci sur celledu campn' 14.Ona applaudiscs oxcellentsinterprètes,M.TaylotkIeparfaitWhittingtonet un des triomphateursoe Usoiree,MissesBarbaraJones,JoanUnderbill,I'atncjaFay dans les róles d'Alice,ae la fée Sunsiiinect daMissPert ; et M.Applebee,un amusantFitzwarranjet M.Lucrafi,en Phyiis Crurnmet,et M.lticapitalnaFullérton,onsultan du Maroc,sans oubliorle Demonrat, quoM.Mossincarnoavec adressc,ni surtout lafameuxTom,le chatporte.-veiqe.auquo!M.Beardwetprêta uno souplesseacrobatiqueque tes Raiamagra-bis authentiquesadmiroraicnts-os réserve;-D'autressoraient k citer eneorq,mais la placefMIdéfaut.Elle va nous rnanqParpour dire le succèndes cluBursd'bommes,dotfSmcs,desdansos, de »scènepatriotique,Ain't thai worthfighting far, (1ft-claméeavec clialeurpar M.Frank Moss,danste ro»dn sergéiit,ot du grand tableau final Victoii'o;ou,dans une apothéosetrèshabilementpresentee,Misse»JoanUnderbillct Patricia Fay symhqjjsei'OEtBrt-tannia et la FrotMe.Desbraves nombreuxont rendu hommageau la¬tent et au concours de tous. lis so reneuvi-iteroifsürornentk la nouvelle representation do 1'ouvraaqui sera donnéeau théatro,ce soir, jcudi, nu p omcommecelled'hier, des soldatset marins bntau'quesmutilcs,

■■ mmtMum

Ideutiié élahlieNousavons signalé qu'une pauvTo femmeavaitété trouvéomorfe, le 2 janvier, vers six heures etdemiedu rnalin, quai GeorgeV.L'snquêteouvortopar Ia policedu 6 arrondisse¬ment vieritd'établir que la défuntese nommeLu-génieGoucnay,agéeda 56 ans, domicilieea Trou-vilie-sur-Mor,née au Havre, ou olieétait momoula-11D'aprèsI'examendu docteur Loir, k la Morgue,lamort docette femme&été déterminéepar uno con¬gestioncérébrale.

Folies-BergèreCesoir.ii 8 h.I/2, soirée: RevueCa va ! rDomainJeudi,Matinee ii 2 h. 1/2. Revue.Locationde 11h. k midi et de 1h,1/2 ii 3 beurs*.

Ca val

la mmimbilapaixLss Plécipateatiairsebrésilieasè.laConférencede la Paix

Le cargo-mixtebrcsilienCurvcüoest parti de San¬tos, k destinationdu Havre,avec du caféet diversesmarchandises.A bord do cebétiment se trouvent les plémpoten-liaires brésüiens appelés a prendre part a la Conlé-rence do la Paix.Ce vapour ost l'ex-allem. 1 Gertrud-Warmann,d'une jauge brute dc 6,546tomieaux,conslruit en1007.Le Secretariat,de la ConférenceCertainsjournaux étrangers ont publiédes infor¬mations relatives au secretariat de la conferencequiva se réunir it Paris. Desnomsont été cites.II convientd'observerquochacunodesdelegationsinvitées a la conférenceaura son propre secretariat,nommé par le gouvernement que la delegationre-présento. . ..... „En dehorsdo cos organisationspartlcuuères, il yaura naturellementplace pour un secretariat inter¬national,qui s'oocupera des allaires communesatoutes les delegations.Maisles membresde cet autresecretariat ne pourront être choigisque par la cou-iorenceeUe-ro'-me. .Tant que la conférencen'est pas réume. touteslesinformations publiéos k co sujet doiventdone êtreconsidéréescommeprématuréesou inoxactes.

Le secretariat internationalde la conférenceserainstallóau minish-re des •"

LeDocteurJeanNUSSBfeUM1 bis, rue Bernardin-de-Saint-Pierre, a l'hon-nour d'informersacüentölequ it a repris ses consul¬tations de / h. ii 31ft. et le soir de f h. it 9 heitres,sanaedi exospté.

FAITS LOCAUXLa police du 4' arrondissementa arrèlé CharlesLucas, 18 ans, gaifon boulanger,qui, le 4 courant,avait volé20francs ii un camarado, nommePous-sier, garpon chez M.Gaudray, 27, chausste desEtats-Unis.—Dans !a matiuéo de dimanchc, pondant queMme veuve Tonnelier, épiciöre, 205, nie doNor-mandie, était oecupcedans son magasm,une per¬sonne restée inconnue réussit k pénetrerdiscrete-mont dans la cuisine ét a soustraire une sommede188francsqui était dans unoarinoirc.Lo servicedo la Sureté fait dosrecherches.—Loservicbde la süretó vient d'arrfiter Rabatben FathatDjabatlah,35 ans, journalier, 15,rue duDocteur-Fauvol,centre lequelun mandat a\ ait etedélivré par lo parquetda Lyon,sous 1inculpationdevol.—Unjeune ouvrier JutesViel, Sgéde 20ans, de-meurant, l,rue Duguesclin,entravaillant lundi soir,a borddu paquebotLa-Tauraine, perdit 1equilibroet tombadans la soule. . ,, . ,Danscetto chute d'une hauteur de huit a dix me¬tres, Viel se fit de multiples contusionsqui ntccssi-terent £on transport a l'Höpital Pasteur.

Théêtire-Cirque OmniaCinéma Omnia-1'atlié

C'est un véritableconté de mille et une nuits quefo film,LeNaulahka, figurantcotte semaineau pro¬grammedu Théatre-Cirque. . . .Empressons-nousde dire quo faction principal»sopassedans l'Indemystéricuseot comportedes I»bleauxvraiment féoriques, des décorsmervoilleuJet des effetsdo lumièreadmirables.Le Naulahkaest uno ceinturo sacrée qu unjeuMet bravoAméricaina proraisde rapportera 1opa^,sa ville d'origlne,no pensantpas aux obstaclespoll-vant sodresser entre lui et le préeieux collier.Delii, pour arriver k ce résultat, toute une série d épisodesdes plus impressionnants.Uncharmantromand'amour ajoutela note sentimentalek cette ocuvroet en fait une piece desplus séduisantes.En outre de ce numéro Important,signalonsd au¬tres projectionsqui ont été trés appréoiées: un filminstructif des plus intéressants,Les,Suutsacrobatrowespris awBalentiseur; Les DermerosAclualltesdo la Guerre montrant plusieurs sousmarins alle"niandssur la Tamise; M.G.Ciemenceauet le maro-chalFoch quittant ï Angletorre.C'estonsuiteune chanson filrnéointerpretee par

G.CAILLARO,{ESüEeSS-MlSÏÏ,lï, rmfilfii-Ml)

Lesmbedu dernier devoirérents et amis de l'ceuvre sont instam-

_ _ ^ HI no*

que los diverses Commissions que la conférenceconstituera. On"aménago actuellement pour cetusage1'étage supérieur du principal corps de bati-munt, dont la fafadoest sur le quai d'Orsav.Lesséances plénièresde laconferencesetiendrontdans le mêmecorps do batiment,mais au rez-de-chaussée,dans la grandosalle qui donnesur le jar-din et qui a sorvi de sallok manger pour recevoirun trés grand noinbre de convives.Les reunions,moins noinbreuses,auront probablement lieu dansla salle de 1'Horlogo.qui donno sur le qua! ct jutnotammentemployeepour Laconférence lateraltieede W16. »

affaires «rangères, ainsi

facilité'dc tous'lei" originsservant a maitriser Is*prisonniers. _ . , , „ ■Puis pour terminer, To Mauonde leiflame, dontc'ótait !e 2°épisodeintitule : L'OEilda hgre, romaitjont l'intérêt pathétiquo va toujours croissant,eti.inadindam le boudoirjapontsis,faptaiSlOSemöe0?"Jncs vraiment bouifonnes.sc

Aujourd'hui, &8 h.I/2, soirée : BernUresAetutt*litis: Le MaréchalFochel M.Ciemenceaueii An-Eleterre,S.M.Ie roi d'Ualie a Paris : Le Naa-lahlta, comédiedramatlque.Chansontilmée: Lunaiolte, chanlée par MileMaudhya Attraction :Wevsson, l'évadéperpétuel. La dela Ilaino : 2' épisode; L'CEtltillTtgre; B'S'titn.dam le boudoirjaponais (Prince).Locationouverte.

meuro'lo-soldatJoankollec, prisonnier rapatrUdont t'inhumationaura lieu mercredi 8 courant, a13heures IS, hópttal n° 15.

Le Retour de M.NoulensM.Noulens, ambassadeurde Franc# en Buss!#avec un personnelconsiderable,est arrivé aLelthle6 janvier, a bord du Yaroshibana.DenombreuxofficiersCchappesdes prisonsae Pe-trograd, qui avaient réussi a gagnorpédestrementArkliangel,sont arrives avec I'ambassadSWiTousrspwteatfourlaFranca»

03SÉQUE8 DS WI5UTAIRESLes obsèquesdu soldatErnest harel, du 1" régitment d'artillerie a pied, mobitisé aux Forges e-Chantlersde la Méditerranée, domicilió au Havre,quai deSaóne, 25, auront lieu le mercredi 8 jan¬vier, a 8 h. 1/2, a 1'HospiceGénéral, rue Gustaie,Flaubert, 55bw.

PRI OR«Jlorgj^xaMone&znl**

fas Hjujis»

Select-PalaceAujourd'huisoirée a 8 h. 1/2 : Maman, coméd»seuUroenUile; La flotlcde IVnttleSam him Olfictadu Gouvernementaméricain, en 4 parties : l par-tie *ILes Sous-marins ; Le Devourmentde c»t*netle' comédie dramatiquo. Débutde la ctianso»filmée : Commean temps des Ateux, cnante#par Mile Maudhia ; Pipenbois slfer>lf, comiqu#Attraction : L-cs VVflliot, extraordinairesjon¬gleurs. L'entree des troupes Jrancatsesen Atsac#-Lorraine et en Allemagne; Lo <4 Icmoin, comDemain2jeudimalinée a 3. h et soirèe a S b IjlII est prudent de retemr sosplaces a 1avance. I*salle est chaulféo. ua,„.neLocationde 10h. a midi et de 1 h. 1/2a 5 heutea.

Clné-Palace 229,niedeNormanili'éTous les jours A8 h. 1/4. Jeudi et dimanoh®,

matinee A 3 heuresFRANCELES FILLES DU PAYS DE

GrandDraraepatrioliquoen 3 partiesJL,J.-; dCEtJïl »E 724IBTTBGrandDramavécu, cn 4 parties

MA KIK, ComiquoLA JALOUSIE. DE FROU-FROU,

Page 3: LePetitHavre Janvier LesMALADIES INTESTIN

Le Petit Havre — Mereredi 8 Janvier 1919

AVIS DIVERSCÏ3LI-K «Jim VAIE.,.111JouC par Bossic- BarriscaleNotre oecnpalioncn-Atlomagne:AIX-LA-CHAPELLE, WIESBADENLc Knünia &SfayeaceEn Matinée : LE NOS.LBY VELINB

ONMADEUna0UVRIÈREU. eiff" EdoaardLESTEVEN.néeHELLARD;ff. et ft" CHuntsPASSOU,nés HELLADD;IK'" Jailetta LASANTE:lea Fomilies HELLARB, LABARTE *t CUE-HARDEAU,Out ladcnlein- dc vous la Ire part dc !a perteerucite qu'iis vienneut (Téprouver en ïa personae

ERHATltlUDans Favis de décès doMonsieur Victor ROUSSELpara hier dans JU Petit Havre du 7,Lire : de la part de sIB. et SI- Eugene ROUSSEL;IS ft IS*' Adolphe PAHEL, nés ROUSSEL,etkur Enfant ;/?/. el Hi'-"Paul FOUBiHER, nés ROUSSEL,etkur Enfant ;La Familie et Iss Amis.

uPMBiiirsrpour les CONSOMEMATEURSqmassqaiat fiePOMMBSdeTERRB

ACilEr&m SUR PRAUE13, rue de Bapaume,Havre-- (3670)

ct line Petite Ouvriere Itcnasse«?»esi.Rue Mlcheiet, 91. (36412)

ONDETOTOpkRSONnhsau oournnt de la vente, leus les diroanehes matinPrendre l'adresse au bureau du journal, £3653)

mmrnAovers, lloune pour en¬fant do 2 aus. — So présenter avec references tonsJos. wars, après i homes, 6, route du Havre, a Mon-•tmHwi-s. (SiWlzt

Bm«SEii LES PltÉJUGÉS£ j a H f| a I Drawn? teterprélé par(I | | J| |9 I 9 MiSS«AIL KANEvil I IIII lil Le Dernier desCognas- . r , . Vaudeville en 4 partiesM, filS td.-LafU8 AMES BE FOUS (Fin)Ü— — AettuUUe anjour It Jme, ete.Aujonrd'hiii) Seirée a S Iteui'es ljS

"»* AVISPar actft s. s. p.. en date au Havre du 20 decsm-IiralOW, »1" f*?.llEIVÏOü, a vendu a VI. et51»" l.t'oa I53vAI.SE. !e fonds do commerce detafé-Siitf, qfrclle cxptoito au Havre, cours de lanépubliuuo, n" 4t(i.Pi iso do possession le 1" iévrier 1919el paiementeoSiidant.Eleetioa do tlomiciio au toads vendu. 29.8 53041if)

fêadameV*eU8AHTE,VveHELLARDB38 SIMON

kuv roère, helle-mère, tante et eousine, décildéoJe 6 janvier iitly, a 12 heures, dans sa80° aweëc, munic "des safmaeids de l'égijse.Kt voa» prfent do Men vouloir assjster a seseonvoi, service et inimnsation, qui anion! lieute jeudi ü courant, a 8 heures du matte, enïégösc Saiat-Miehe), sa parefese.Oa se réunira a ïéglise.Fiiez Dieu paar Ie reges de ::okAm-o5

II ne sera jpaa errvoyé de lettres d'in-vitafciou, le présent avis en tenant lieu.

ONDEHAMÜBonne sérieuseS'adrcsser <i, rnó GuHteume-io-Geisqnéraui.

7.9(33232)

Ml BSMIMS1 «»»« I5W1V1VËa toutff» l*HWil!wf37 faire, trés sdrienss. puurhotel. ' r» lr. par mois, manie do bonnes référenees,el uwe LAVEDSli pouv imaadevie, 3 jours nar«emalne. Prendre i'adresje au Bur. da journal.

(3630b)

onamvai""isvtzzt*"de -preference «ne personae de Ia campagne.S'adresser 13, quai de Flie. «jób se»

Par acte s. s. p. en date du 23 décssnbre 1918,M" Maria 4iUlVKMËUJt. dcmeuraiit auHavre, 30, rue-cteHonBimdic, a vendu a use per-'Sonne y dénomméc son fonds de commerce de Frulter(8-lig"BiaS'Crimrie qu'clto cxploite au Havre,30, run de norm-indie.La prissde possession et paiement comptant fe31 janvier 4919.Eientioa de «omieito pour "les op¬positions. s'il y a fieu, au domicile de JU** vcuveüOVEll, 28, ruc -Fcüleaoy, an Havre. (29962)

3 3, reic öa SScïaKURSAALVcas Mes prid dc Wen vouloir assisfer au Ser¬vice reiigieux qui sera eéléiiré ie Veodredi 40Janvier, a neuiheures du matin, en i'Egiiso Sain-te-Annc-, saparoisse, d la Biéinoire deionsieupErne&t-fhar-esEUQUETStrnmt au 3£9' ü'Jnfanterie

Dicorè de la Croiscde gtterre (2 okaikit»)fué a J'ennemi, ie 30 septemiwo 1218, at» Ven-teaux^Mame) dans sa 26' aneée.De la part de }

Af.Charles BUQUET,Inspecteur do la Sflrelé,et Sfadame, ses père et mèro ;ld. Ceorges BUQUET.sou frere :t''>' töartiie BUQUET,sa seoor ;Des Families BUQUET,HERVIEUX,LAMDIÈRE,BEtiAHO, PLCÜif, &ASSEL tl, LEÉATABSet afetens Iss autres Membres de la Familie ; rlss Amis,de Pi. ei KI" hUHHi-i'OiSiU et au Personnel dela Capitalisation oü il était employé avaat Iaguejue.friez Dietspos?Is reposöe sonhue !

Le présent avis tiendra lieu de lettresd'invitatioa.20, rue Lespeur, La Havre.

ATELIER SPÉCIAL DE B©MStpectaek permanent icus les jours tSe3 ft. IJ2 &

j heme 3 et le solr 0 S.h. j}2WnKiÈBB CODilSfi fLAÏ'/ÏA BOYGrand Dramc amérieafn, f parties

—§or le» bord» cl if. fVivaritab —Grand Drame, 3 partk-s

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Le DoclBEr WILLEMIK venant d'acheteïnn gres Stack dc BES/SiES 3t»ïiA*l*»4fera des OEJSTJBËSSS & JO fr. ia Deat,

RÉPARATIOMSIKftlEDIATESSsfissdesDents : : TravauxAmérisainslïaiiaction «ans doolear S. Ir.itlLLEUa MA8CHÉQUEPARTOÜTJUlLEüRt

HeSD(ÏS02I

Voos êtespriés d'assisier aus eonvoi, servieecl inteuaation de

Sadamsllarïe-ErtiestioeDESROCpESnée TALMY

déeédde lo 0 janvier 4010, dans sa 72*anmio, enson domicile, 82, passage Dunton, mtoiie desBacremeitls do l'Egüse, <nii sucobI iieu te fendi0 courant, a sept Jiearcs trois quarts, on J'égitsoSainf-Vluco«l-dc-P«ul, «a pwoUso.On se rénriira au domicile Hwrtnairo.Do la part dc :

IB.Henri OESBCCQb'ES,son épouv ;les ramilka DESROCffUES,TALMT, ROBERT,BiARCHET,BAULOBAY,AUZÜU, CAtlCRASHel lesAmis, ses treur, bcau-ireres, brtio-sosur, noveu.v,Bitees, cousins et cousiues.

Priez Bieu gour Elie.11 rs seea pas eavoyé de lettres iI'ïq-vitatioü, le présent avis en tenant lien.

i-!EtudsiDatiasieprélérablem Coursdüsok€oitrs d'Ani,!«i«, depins 7 h. du matin, 12cours par «ennfno ; 2 h. par swnaine, fi Ir. paymois. 12 fr. lo trnucstre,3b. par scmaiue. 0 fr. narmois, 13 fr. te trtmestrc. Cours «p»*lal Ir dimancho,3 h. m, 3 fr. lo mois. 9 h. 1/2 a 1.0Si. ifi, 8 fr.lo molï. TvadueöoBS eomnicrciates ét lettres dafa--niïbo rendues le mfrno jour, i fr. — S'iuscrtre fcmatte, 39, quai d OHéans. MiuoAMOHS-GSiTAW.

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ACBETEZmsBRlLLflNTS§alleiin dss <Saetéiés

^vndirat jéHérs! des Oawk'M dupnrtct feinjllalres « « Havre. — Deus véBnier.s dotuariiers auront lieu : la 1", 5cnrerccedi 8 Janvier,t'Jiy, a8h. 0. salfcdu fbéfttre du I'cupls ; la 2',te jendi-i) janvmr, 1019, è 8 &. 30, salie de l'écolefein-teeé.Les questions qui sercmtlraiWcs a ces réunionssoni : GoBipto-raMit do Taugffientatioii des salaires ;Éégiemontation du tra vail sur le port ; Construc-fons, lente-abri, lavabós; Hygiène et salubrHé surfes quais.

Syndic nf «la (Scetioü Gotfvcrtureles ouvriers "et aides eoiivrcurs, piombiers, zin-luewrs du Havre et rins lavmins). ~ Les syiiöiqués»t nun syndiqBés soiif pt ids d'assisier a la réuuionjnensuelfo qui aura lieu !e mereredt 8 janvier, è8 hcuresdn soir, au siege social, Bourse du Travail,S, rue Jean-Bart :Paiement des cotfsattess. adljésie-iw, changcmciïtAcscartes gyBdlealcs, JPrdsóm» cbligaioire.

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Fris ; 3 fr. so et si fr. so

TRIBUN AUXTribunalGerreetisfisti«iaHaw»Audit nes du 7 Jmvier 1919

Présiifeöcc dc 5!. D.'.vin, vko-présidcat.Une W©y'K.@esEEé pent JaeSIe

Les employés dc la Coapaguio des tramways out, \parait-il, a so plaiudre des ouvrtóres do ia base bri- iiai.niqus de Graviüe, qui vofusent souvent de payerfeur place et aussi prodigiK-ci les injures et mesaoparfois les coups.C'qst peur un fait de ec genro quo,eonJBwait aaotesjac O. , domicltiéo -au Havre, dansiê quarlierw o-Dame. iters qu'éüe. dte.lt, lo 27 soptcrabro der¬ail , vers 0 heitres au soir, «ar la plate-formerviuat d'un bram gagaan! lo Havre, olie donna desjifias ii la watworuïn, Mme Guérault ïui arracha satwquétto et la mitdans TimpcssibiUlö dc eontinuerso!i service.iprès pleidoirie do K' de Geuser, )a belüqueuseBUvnère est condamncc a 8 jours 'do prison avceiursis ot 50 francs d amnidc.

La CHÏCOKÉEds l'Abbaye dc Graviüe

% '■'Laars LALLEBAH.D,sa filte ;.ff11'mark LALLEffAHO,sa sceer ;ff::' Henrietta LALLEffAKO,sa niéco ;ff- et ff"' Jules ffABTlHef leers Eni'ants : üh'osnse OLiYIEBet ses Enfants ; st Albert

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DEiCOTetisurs Enfants ; M«° veuoe BRAYÊ,etsss Enfants, soa cousins et cousines ;Les Families LEPICARD, LEMA.ITFiE,LOitiOTet ks Amis,On la doulcur do vous faire part do la pertocrueile qu'iis vionnent d'éprouvcr cn ïa per-somio de

MonsieurMfcefi-ArcacULALLBMA$53)Courtier Honoraire

leur père. frérc, oncls, cousin, parent ct nml, dé-cédé te 6 janvier 1919, a quatro heares et domiedu soir, dans sa 6a*année, mimi des Saeremenlsde l'lïg'ise.Et vous prieel do hion vouloir assister b seseonvoi, service et inhumation, qui auront lieule Yondredi 10 courant, d neat heures du rnatin,cn 1Egüse Saint-Vinceht-de-Paul, sa paroisso.On se réunira au domicile mortuaire, 30, ruedes Gobelins.PriezDieapour18rapesdasoa Ame!

II ne sera pas cnvoyé «is lettres d'in vi-tation, le present avis en tenant lieu.

peur la réparal ion «les calsscsS° présenter SS;-;s.vis-.t-:-te.i<>, rao du PróstdcntAt'lïson. «_i )

fW ftMfrwfW ,,n nmiME «hfcrlews,It&juïriliiefi musl do bonnes réléropccs,

pour le nstteyege et ie cliauffUgs central. — S'adrps-ser 8, rue de Dhateboarg, aujourd'imi, do «o a13 heures. (3fi«aiGbavlHe»Selrtte*-M6fiori«e /

Allocations miiit ires. — Les allocations militai-fes, pour la période du 9 d'teembreMiS au 7janvier1.919,seront payées le jeuói 9 janvier, Ecole desfilïes du Centre, dans ï'crdro des eertiiieats d'adiais-Aon :De 7 hemes a 10 heures, n" l i. 2,000 ;De 10 heures a 11 b., it' 5,001 ïi 3,000 ;De 11 heures a 14 h. IJ2, n 3.091 a 3,800 ;De S heures h 3 h. Ui. n* 3,301 a 4.800 ;De 3 heures 4/2 6 4 'h. 1/2, ii* de 4,801 a 5,000.De 4 beares 4/2 3 ö h. Ifé,-uv6,001 b,la fin.Prière de se murtir de petfte ïuounaio.La perception, 84, roate SalioMle, -sera ferméo ïeterne jour-.Ooteviï!e»surIVler

Chorion. —Line distribution de cbarcon au'-a lieui parlir.de. increrodi 8 courant ebez les détaillants,sur la presentation de fancies carnet.Prestations. — f// regisire desliaó a recevolr lesdeclarations d'option restera -«avert jusqu'au 22sourant ineiusivement.

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Vous êtes prie-de bien vouloir assister ausconvoi, service et inhumation do

M!1,!Gsrfnalos-EsgéDfs-FIsrssÜffeDESGOHOESdécédee pieusement lc Hindi 6 iar.vior 1919, aiö Si.1/2 du soir, dans sa 16' " année, muniedes Sacrements do l'église.Qui auront lieu le jeudi 9 iar.vier 19-19,è dixheures du matin, en l'église tie Samt-Laurent-de-jirivedeni, sa paroisse.On se réunira au domicile mortuaire, A ncufheures trots quarts, au Carreau.

friet üieu pcup ie repos tie sen Am?.De Ia part de :

ff. el AP" Eeighno OESCOBDES,ses père etmèro ; hi. Ulysss DESCOBDES,son frère ; desFami!:os DES.ORDES, KAHOEYIUE, SHAKO-SERRE, PCDPEL, LE8AS, LF.FAWf, L/SET,CUBARD, HEBYiEUX,BiMDEL, OESENETAiSeldes Amis.SaSutLaurciit, ie 7 janvier 1919.

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MonsieurEdouardCHEVALLIBBdécédc en son domicile, route du Havre, 77 aMonlivilliers, le ii.mdi 6 janvier 1919, i 1 iieurodu matte, dans sa 61*anaée,Qui auront iicu le jeudi 9 courant, & deuxheurcs precises du soir.Do la part de :if"' LEOATet hi. Charles LECOMTE,son ecvcd;ff*'Vsuoa DUPUtS,née CHEVALUiR, sa soeurf' DUPUlf DUPiJ'S' ,}!ade'"c:<"kurs Entente;Èl. Robert DUPUtS;ses ncveux et nieces ;La Familie et tes Amis.On se réunira au domicile mortuaire, ü useheure trois quarts.

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