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Les secteurs économiques

Les secteurs économiques. le sécteur primaire

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Les secteurs économiques

Produits de la nature

Produits semi-finis

Biens de

consommation

Biens de

production

Extraction

Transformation

Consommation

Secteur

primaire

Secteur

secondaire

Secteur

tertiaire

Charbon, fer, caoutchouc (caucho) etc.

Houille (hulla), fer, etc.

Industrie

automobile

Sidérurgie

Ind. Pneu

(neumáticos

Machines

Extraction

Transformation

Consommation

Secteur

primaire

Secteur

secondaire

Secteur

tertiairevoitures

Conceptos: Secano

Regadío

Monocultivo

Policultivo

hábitat concentrado

hábitat disperso

campos cerrados

campos abiertos.

Identificar las características de los principales tipos de paisajes agrarios.

Diferenciar la ganadería extensiva de intensiva.

Agricultura, ganadería, pesca y explotación forestal:

El sector primario en la actualidad: peso económico y en la población activa.

Los factores físicos y humanos que condicionan el aprovechamiento agrícola.

La agricultura de mercado: características y efectos.

La agricultura de plantación: características y efectos.

La agricultura tradicional: características, variedad y efectos.

La ganadería: definición, características y cambios que está sufriendo en la actualidad.

La ganadería intensiva y la extensiva.

La explotación forestal.

Los elementos de los paisajes agrarios: las parcelas, el grado de aprovechamiento, los sistemas de riego, los cultivos, el hábitat y la red viaria.

La pesca: definición, tipos (litoral, de bajura y de altura), principales caladeros y potencias pesqueras. La acuicultura.

• Interpretación de mapas, gráficos e imágenes con contenido económico y de un paisaje rural. Análisis de casos reales. Lectura de un mapa de usos de suelo agrarios. Investigación en Internet: CORINE. Análisis de noticias de prensa.

El sector primario en la UE, España y Aragón Conocer las principales características del sector primario

europeo.

Contextualizar el sector primario español en ese marco, analizando las características específicas.

Explicar qué son la PAC y la Política Pesquera Común y cuáles han sido sus efectos sobre el sector primario europeo y español.

Distinguir los paisajes agrarios característicos de España: localización, hábitat, cultivos, relación con el clima, etc. Localizar y caracterizar las principales regiones pesqueras de nuestro país.

Investigar cómo es el sector primario de la Comunidad Autónoma.

Comparar el sector primario de la Comunidad Autónoma con las características generales del sector primario español.

El sector primario en Aragón.

Interpretación de mapas, fotos y gráficos con contenido económico y estudio de casos reales. Investigación de campo sobre los productos agrícolas, ganaderos y pesqueros que consumen los alumnos. Análisis de un paisaje rural y los usos del suelo en un mapa topográfico.

THÈME 7

Le secteur primaire comprend les activités qui apportent

des produits directement issus de la la nature.

Il est importante définir trois notions:

l’adjectif “agricole” fait référence à l’agriculture

le terme “agraire” a un sens plus large (amplio) car il

s’attache à tout ce qui occupe le sol de campagne:

tant les terres cultivées que les pâturages (pastos), les bois ou

les forêts.

Les paysages agraires sont des paysages naturels transformés par

l’agriculture, l’élevage ou l’exploitation forestière.

Le terme “rural” s’attache à tout ce qui n’est pas urbain.

Le 39 % de la population active mondiale travaille dans le secteur primaire.

C’est une proportion importante mais elle continue à diminuer dans la plupart des pays en faveur de l’industrie et, surtout, des services.

Son poids économique diminue également. (en 2008, 4% de la valeur totale de la production mondiale) même si la production augmente grâce aux améliorations techniques.

C’est sa valeur par rapport à celle des autres secteurs qui diminue.

Il existe de grandes différences entre les pays :

Développés

Sous-développés

azada: houe

arado: charrue

siega: moisson

rastrillo: râteau

cosecha: récolte

arar: labourer

hoz: faucille

yugo: joug

battre: trillar

DANS LES PAYS DÉVELOPPÉS:

cette activité emploie entre 1 et 6% de la population active.

En revanche, l’agriculture possède une haute productivité grâce

aux avancées techniques

et à la mécanisation (doc 4 & 5 p 117).

La production a donc été dupliquée pendant les trois dernières décennies.

Mais la contribution du secteur primaire à la richesse nationale est faible:

moins de 4% du PIB

et parfois à peine 1,5% (Etats-Unis, Japon).

DANS LES PAYS SOUS-DÉVELOPPÉS:

le secteur

emploie en moyenne la moitié de la population

et apporte plus de 10% du PIB.

Dans les PMA (pays les moins avancés), principalement situés en Afrique subsaharienne

les activités agraires emploient 80 % de la population

et apportent plus de la moitié de la valeur de la production.

L’usage de technique de production traditionnelle (doc 5 p 117) maintient un faible niveau de productivité

ce qui empêche de répondre à tous les besoins alimentaires d’une population qui croît à un rythme supérieur à la production.

•Realiza la actividad la actividad 1 y 2 de la pág. 117

L’agriculture est la culture (cultivo) de la terre afin

d’obtenir:

des aliments pour la consommation humaine et animale

et des matières premières pour l’industrie.

Elle est pratiquée dans presque tous les pays du monde où vivent les humains.

Cependant, elle est conditionnée par:

des facteurs physiques

et humains qui favorisent, rendent difficile ou bien peuvent

empêcher l’exploitation agricole.

Actuellement, les avancées technologiques permettent de vaincre certains obstacles mais pas tous.

Les principaux facteurs physiques qui ont une

influence sur l’activité agricole sont:

LE CLIMAT

LE RELIEF

LE SOL

LE CLIMAT:

Chaque plante a besoin de certaines conditions

de température

et d’humidité pour pousser (crecer).

De plus, il y a des facteurs climatiques qui empêchent la pratique de l’agriculture.

Les plantes ne se développent pas

là où les températures sont très élevées (au-dessus de 45°C)

ou bien très basses (en-dessous de 10°C)

ou dans les zones où les pluies sont:

très faibles ou trop fortes.

LE RELIEF:

L’altitude et la pente (inclinación) du terrain

conditionnent l’activité agraire.

Les températures baissent à mesure que l’altitude augmente

ce qui limite le développement des

espèces à partir d’une certaine altitude.

C’est pour cela que l’agriculture s’étend généralement dans les vallées et les plaines.

Mais parfois il est nécessaire de cultiver sur les versants (= laderas) des montagnes.

Il existe des terrasses de culture (doc 6 p 118)

LE SOL:

Chaque plante a besoin d’un terrain.

La taille des grains de terre

et la porosité (présence de nombreux trous minuscules dans un matériau)

conditionnent la quantité d’oxygène du sol et sa

capacité à retenir l’eau.

De plus, chaque sol a une composition

chimique

et biologique qui détermine:- son degré d’acidité

-et sa richesse:

en nutriments minéraux

et matière organique (docs 7, 8, 9 p 118).

On compte 6 facteurs humains qui conditionnent fortement la production agricole :

Le volume de la population.

Les techniques agricoles.

L’objectif final de production.

La mondialisation.

Les politiques agraires.

Les politiques environnementales.

Beaucoup de ces mesures sont aussi liées à une autre préoccupation majeure de notre temps:

manger des aliments sains.

Le volume de la population. Le besoin d’alimenter une population toujours plus nombreuse a entraîné:

l’extension de la superficie cultivée

et l’emploi de moyens qui améliorent le rendement des terres.

Les techniques agricoles. L’utilisation de certaines techniques détermine le rendement des terres cultivées.

Dans les pays développés, les techniques agricoles modernes ont augmenté la production…

L’objectif final de production:

Dans l’agriculture vivrière (agricultura de subsistencia):

la production est destinée à la consommation de la famille paysanne qui cultive tous les produits.

Au contraire, l’agriculture de marché:

se spécialise dans un produit (ou un petit nombre de produits) car la production est destinée à la vente.

La mondialisation.

La globalisation des échanges a impulsé l‘agriculture de marché en permettant aux pays:

de vendre

et d’acheter à d’autres pays.

Etre compétent sur le marché mondial impose aux producteurs d’être compétitifs du point de vue:

de la qualité

et du prix donc produire plus et à moindre coût.

Ceci les amène à:

introduire des variété de plantes génétiquement modifiées

plus résistantes aux épidémies

mûrissant pus vite

ayant une plus grande valeur nutritive

et à employer beaucoup de fertilisants et de techniques de production intensives.

(OGM, organismes

génétiquement

modifiés)

Les politiques agraires.

Les gouvernements sont décisifs pour:

les caractéristiques et

l’évolution de l’agriculture

grâce à différentes mesures:

lois de réforme agraire

plans hydrologiquespermettant d’irriguer de nouvelles terres

aides économiques aux agriculteurs

ou quotas d’un certain type de production.

Les politiques environnementales

l’enjeu est:

d’augmenter

ou de maintenir la production agricole sans

dégrader le milieu naturel.

C’est pour cela qu’on adopte des lois et des normes pour:

réguler la consommation d’eau pour l’arrosage ou l’irrigation

limiter l’usage de pesticides ou fertilisant (engrais chimiques) qui polluent les eaux et les sols

éviter la dégradation des sols causée par:

des mauvaises pratiques agricoles

ou une utilisation inadéquate des résidus polluants

préserver la biodiversité, etc.

GLOSSAIRE

Exploitation agraire:

unité de base de la production.

Elle désigne l’ensemble des éléments d’une exploitation qui participent à l’obtention de la production (terrain, installation, technologies,

capitaux etc.)

Révolution agricole:

changement extrêmement rapide des formes de propriété et de travail de la terre.

Elle commence à la fin du XVIIIème siècle en Angleterre, et elle a permis l’augmentation de la production avec deux effets principaux :

d’une part la libération de main d’œuvre disponible pour d’autres activité

et d’autre part l’amélioration de l’alimentation et par conséquent la baisse de la mortalité et la croissance de la population.

La révolution agricole suppose:

le passage d’une agriculture vivrière: destinée à alimenter les familles paysannes

à une agriculture d’agriculture de marché :orientée vers la vente

Qu’est-ce que l’agriculture de marché ?

Son principal objectif est d’obtenir le plus grand bénéfice grâce à différents moyens:

La spécialisation de la production.

La mécanisation du travail dans les champs.

L’application de techniques de culture modernes

La spécialisation de la production.

On cultive en général un seul produit dans chaque exploitation agricole

ce qui simplifie le travail

et l’utilisation de machines

et donc l’amélioration des rendements.

La mécanisation du travail dans les champs.

Grande partie du travail humain est remplacé par les machines

ce qui autorise de réaliser les tâches agricoles

en moins de temps

et à un moindre coût.

L’application de techniques de culture modernes,comme:

les fertilisants qui améliorent les capacités du sol et permettent plusieurs récoltes annuelles

des semences à hauts rendements

des produits phytosanitaires qui empêchent le développement des maladies des plantes

et là où le climat est très sec et les sols très pauvres, on cultive:

sous serre (invernadero)

sur des sols artificiels

ou avec de nouveaux systèmes d’irrigation (lire docs 12-15 p 120).

L’avancée de la biotechnologie donne aussi lieu à de nouvelles variétés de culture génétiquement modifiée: les trangéniques ou OGM.

•Realiza un

esquema de las

modernas

técnicas de

mercado.

•Busca

información

sobre los

transgénicos.

L’agriculture de marché a des conséquences importantes sur les prix, le commerce et la distribution des produits.

La haute productivité permet de baisser les prix des produits et favorise leur compétitivité sur le marché.

La commercialisation est facilitée car il y a de grandes quantités de produits dans des lieux précis.

Grâce aux importantes quantités d’un produit, des transports spécialisés peuvent être utilisés pour la distribution.

Mais cette agriculture a aussi des effets négatifs.

Par exemple, les fertilisants polluent le sol et les eaux, et ils peuvent toucher les aliments que nous consommons, donc notre santé.

Par ailleurs, les subventions que donnent les gouvernements des États riches à leurs agriculteurs placent les produits des pays pauvres en désavantage car ils ne peuvent pas concurrencer les pays riches.

Lire et

résumez

le doc.

11,

page

120

Dans les pays sous-développés l’agriculture a un poids très important.

Elle est principalement traditionnelle mais à côté des modestes propriétés familiales se trouvent les grandes plantations

Qu’est-ce que l’agriculture traditionnelle ?

agriculture vivrière

polyculture

des techniques et des outils de culture très primitifs

la productivité est faible.

Dépendance aux facteurs physiques

Son principal objectif est d’obtenir l’alimentation nécessaire pour la

famille paysanne C’est donc une agriculture

vivrière qui se pratique dans de

petites exploitations.

Pour assurer l’alimentation tout au long de l’année

c’est la polyculture qui prédomine.

Les travaux agricoles se réalisent avec beaucoup d’efforts:

à la main

avec des techniques et des outils de culture très primitifs (doc 16 p 122).

C’est pour cela que la productivité est faible.

Il existe une forte dépendance aux facteurs physiques car les agriculteurs n’ont pas accès aux avancées technologiques.

C’est une exploitation agricole située en général dans les pays tropicaux:

surtout en Afrique

en Amérique Centrale et du Sud

en Inde

et dans le sud-est asiatique.

L’origine des plantations est ancienne:

Du XVIème au XIXème siècles, certains pays européens conquièrent (conquistaron) des territoires loin de l’Europe et créent des exploitations pour obtenir les produits qui ne se cultivent pas dans leur pays.

Aujourd´hui, la mondialisation économique a multiplié le nombre de plantations dans les pays en développement contrôlée:

soit directement par les multinationales étrangères (européennes ou étatsuniennes)

soit par des producteurs locaux qui vendent leur productions ces grandes entreprises.

•C’est une agriculture de marché, destinée à l’exportation.

•En général, l’agriculture de plantation se pratique dans de

grandes exploitations.

•Elle demande un lourd investissement de capital pour acheter le

terrain et l’exploiter, comme pour transporter, conserver et

commercialiser les produits sur de longues distances

•La monoculture prédomine.

•Elle emploie une main d’oeuvre abondante, mal payée

•La productivité est élevée et tous les moyens techniques

possibles sont employés.

Les exemples les plus connus sont les plantations de café au Brésil et en Éthiopie, de canne à sucre à Cuba, de thé en Inde et de

caoutchouc en Indonésie et en Malaisie.

Les mutinationales engagées dans ce type de

production bénéficient:

de faibles coûts de production, principalement grâce au bas coût des

salaires de la main d’œuvre locale

et de prix d’achat élevés dans les pays où ces produits sont

consommés.

Mais l’établissement de ces plantations possède aussi

certains avantages pour les pays qui les accueillent.

Elle stimule l’économie locale en créant surtout de l’emploi.

De plus, comme al production est destinée à l’exportation, elles

promeuvent la création d’infrastructures de transport et de

commercialisation.

Mais malgré les bienfaits mentionnés, ce type d’agriculture pose quand même plusieurs problèmes dans les pays les moins développés:

Les bénéfices économiques sont pour les entreprises étrangères alors que les travailleurs locaux ont un niveau de vie bas.

Beaucoup de petits paysans ont quitté leurs terres pour travailler dans les plantations.

La conséquence, c’est que certains pays doivent importer des aliments pour la population car les cultures des plantations sont exportées.

L’exploitation est très intensive et beaucoup de terres se sont épuisées.

L’impact environnemental peut être considérable

Les décisions dépendent des prix de vente des produits.

Si les prix baisses, les salaires peuvent baisser aussi et l’exploitation peut même fermer (doc 18 p 123)

Realiza

la act.

5 y 6

de la

pág

123

L’élevage consiste à élever (criar) des animaux pour leur exploitation:

production de viande, de lait, d’oeufs, de cuir, de laine, de miel, etc.

Certains animaux sont aussi utilisés comme force de travail

ou, simplement, sont destinés à la reproduction.

Les espèces animales les plus nombreuses sont celles qui constituent l’élevage bovin, ovin et porcin.

De plus, dans certains lieux:

l’élevage caprin et chevalin sont très importants

ainsi que la cuniculture (de lapins), l’aviculture (d’oiseaux) et l’apiculture (d’abeilles).

cheval: caballo jument: yegua mula: mulet

boeuf: buey oveja: mouton carnero: bélier

veau: ternero, becerro génisse: ternera, becerra poule: gallina

coq: gallo pavo: dindon caille: codorniz

perdiz: perdrix pato: canard burro: âne

Traditionnellement, l’élevage a été considéré

comme un complément de l’agriculture,

en général, on le trouve dans les zones les moins

favorisées pour le développement des cultures.

L’élevage a beaucoup changé pendant le siècle dernier.

La recherche scientifique a permis d’obtenir des races sélectionnées qui donnent un rendement élevé et vaincre les maladies.

On distingue deux types d’élevage en fonction de leur mécanisation et de leur technicité:

L’élevage extensif

L’élevage intensif

Les nouvelles technologies ont permis:

d’augmenter la production

et de développer des systèmes de réfrigération et de congélation pour un meilleur transport des produits.

Il est pratiqué dans les pays développés

et dans les pays sous-développés:

L’élevage extensif est pratiqué dans lesgrandes exploitations où le bétail (el ganado)

se promène dans les champs

et s’alimente de pâtures (pastos) naturelles.

Il demande un faible investissement

en main d’œuvre

en installations pour les animaux

en aliments mais sa productivité est faible.

Les types d’élevage caractéristiques sont le bovin et l’ovin, dont les produits sont destinés:

à la vente

ou à la propre consommation de la population (pays sous-développés).

Exemples de ce

type d’élevage:

•Ouest des Etats-

Unis

•la Pampa argentine

•l’est du Brésil

•le sud de la Russie

•en Australie

•et en République

sud-africaine où il

existe de nombreux

pâturages.

L’élevage intensif, également appelé industriel se pratique surtout dans les pays développés et ses caractéristiques sont:

Il est pratiqué dans des exploitations spécialisées.

Il demande un important investissement pour le bétail:

en installations

Technologie

fourrage (pienso) mais sa productivité est élevée.

C’est un élevage en batterie (ganadería estabulada)

les animaux sont élevés dans des étables

parfois dans des conditions de température, de lumière et d’humidité artificielles pour augmenter la production le plus rapidement possible(doc 26 p.127)

Les types d’élevage caractéristiques sont le bovin, le porcin et l’avicole et la production est destinée au marché.

Ce type

d’élevage est

pratiqué surtout

• à l’est des États-

Unis et du Canada

•en Europe

Occidentale

•dans le sud-est de

l’Australie

• et en Nouvelle

Zélande.

C’est l’exploitation économique des forêts.

On en obtient le bois, la résine, le liège (corcho), le caoutchouc, etc.

La ressource forestière la plus importante est le bois, employé surtout pour la fabrication du papier, la construction et l’industrie du meuble.

La production de bois est associée aux conditions climatiques des pays.

On obtient les meilleurs rendements dans:

les forêts tropicales humides, où les espèces poussent rapidement,

ainsi que dans les forêts tempérées septentrionales, où abondent les conifères (pins, sapins…)

pino piñonero: pin parasol cedro: cèdre abeto:sapin

roble: chêne abedul: bouleau sauce: saule

álamo : peuplier haya : hêtre nogal : noyer

alcornoque: chêne-liège encina:chêne vert olivo: olivier

castaño:châtaignier eucalipto: eucalyptus almendro: amandier

Quand nous cultivons la terre, nous transformons le paysage naturel et donnons lieu à une diversité de paysages agraires.

Les parcelles sont les portions de terrain qui constituent l’ensemble de l’espace agricole appartenant à un propriétaire.

Les parcelles présentent différentes taille et forme :

Quand les parcelles ne sont pas fermés, cela crée un paysage caractérisé par de grandes parcelles indépendantes mais sans séparation entre le paysage est appelé champs ouverts ou openfield (doc 23 p 126).

Quand nous observons un paysage où dominent les petites parcelles fermées, , il s’agit d’un paysage de bocage ou champs fermés.

Selon l´exploitation du terrain:

dans une agriculture intensive on cherche à exploiter au maximum.

l’agriculture extensive les parcelles ne sont pas exploitées dans leur totalité, une partie est laissée en jachère (barbecho)

Selon la disponibilité d´eaux, il y a deux types d’agriculture :

L’agriculture sèche ou non irriguée (secano), qui ne reçoit que l’eau de pluie

et l’agriculture irriguée (regadío) dans laquelle l’agriculteur installe des systèmes d’irrigation artificielle (asperseur, goute-à-goute, etc)

SÈCHE OU NON

IRRIGUÉE

Selon la variété des cultures dans une même exploitation, on parle du Polyculture:

Différentes cultives dans le même espace

Elle est pratiquée dans:

l’horticulture (doc 27 p127)

et dans des parcelles de petite taille dont la production est destinée principalement à la consommation de la famille d’agriculteurs.

Lorsque dans une exploitation agricole on ne cultive qu’un seul produit, il s’agit de monoculture.

Ce système simplifie l’usage des machines

et il est fait pour:

obtenir la production maximale à un coût minimum

la rendre ainsi compétitive sur le marché auquel elle est exclusivement destinée (doc 26 p 127).

Elle est en générale pratiquée dans de grandes exploitations.

Lorsque celles-ci dépassent les 100 hectares, on les appelle latifundium (latifundios).

Polyculture: Différentes cultives dans le même espace

Elle est pratiquée dans:

l’horticulture (doc 27 p127)

et dans des parcelles de petite taille dont la production est destinée principalement à la consommation de la famille d’agriculteurs.

Lorsque dans une exploitation agricole on ne cultive qu’un seul produit, il s’agit de monoculture.

Ce système simplifie l’usage des machines

et il est fait pour:

obtenir la production maximale à un coût minimum

la rendre ainsi compétitive sur le marché auquel elle est exclusivement destinée (doc 26 p 127).

Elle est en générale pratiquée dans de grandes exploitations.

Lorsque celles-ci dépassent les 100 hectares, on les appelle latifundium (latifundios).

L’habitat rural fait aussi partie des paysages.

Il désigne la façon dont les établissements (asentamientos) humains sont distribués dans l’espace des campagnes.

Dans les grandes lignes, on peut d’abord différentier deux types d’habitat :

l’habitat dispersé : les maisons sont dispersées dans l’espace.

Autour de chaque maison s’étend l’exploitation

l’habitat groupé : les maisons et autres bâtiments sont rassemblés et forment un village.

Autour de ce noyau de population s’étendent les terres agricoles.

Observez les

docs p 128-129

Lire l’encadré violet de la page 131.

Observez et commentez la carte p. 131-

132

La pêche est la capture en mer, fleuve ou

lac, de poissons et autres animaux

aquatiques.

Actuellement, près de 75% des captures

mondiales sont destinées à la consommation

humaine.

Une autre partie est utilisée comme matière

première pour fabriquer des farines de

poisson et de l’huile.

La pêche côtière (litoral)

La pêche industrielle ou

hauturière (de bajura)

La grande pêche (de altura)

LA PÊCHE CÔTIÈRE (litoral)

se pratique:

près des côtes

dans de petites embarcations

avec ou sans moteur avec des méthodes artisanales:

Harpons

pièges…

Les captures sont destinées:

à l’auto-consommation et parfois au marché local.

C’est une ressource alimentaire très importante dans les pays sous-développés.

LA PÊCHE INDUSTRIELLE

OU HAUTURIÈRE (de bajura)

se pratique:

près des côtes

dans de petites ou moyennes embarcations équipées avec différents matériels de pêche en fonction des espèces capturées.

Les caves de ces bâteaux sont préparées pour conserver les captures dans de la glace ou dans des chambres froides (cámaras frigoríficas).

Ce type de pêche est pratiqué pendant une journée.

LA GRANDE PÊCHE

(de altura)

se pratique en haute mer

avec des bâteaux: lourds

équipés avec des instruments techniques modernes

qui permettent de détecter et de connaître la taille des bancs de poissons.

Ce sont d’authentiques bateaux-usines

préparés pour des campagnes de pêche de plusieurs semaines ou même d’un mois.

La

senneLe chalutage

La palangre

Dans la mer, les espèces se concentrent dans des zones déterminées appropriées pour la pêche:

les lieux de pêche (caladeros).

Les pêcheurs ne peuvent pas travailler là où ils veulent.

La législation internationale permet que les pays côtiers se réservent le droit d’exploiter la zone qui part de leurs côtes jusqu’à 370 km vers l’intérieur de la mer

C’est la zone économique exclusive.

Pour que les bateaux d’un pays puissent pêcher dans les eaux d’un autre pays, il est nécessaire de signer des accords de pêche.

L’UE signe fréquemment des accords avec le Maroc qui permettent la pêche des bateaux espagnols et portugais dans les mers de notre voisin du sud.

Depuis 1950, les captures ont presque été multipliées par 5, entrainant ainsi l’épuisement de certaines zones de pêche et la disparition d’espèces.

C’est pour cela que beaucoup de pays ont adopté l’aquaculture ou pisciculture

qui consiste à élever des poissons:

en captivité

ou dans des environnements contrôlés.

Actuellement, environ 36% de la production de la pêche mondiale vient de l’aquaculture (saumon, truite, dorades, moules, etc.)

L’aquaculture permet d’augmenter les ressources en poissons et fruits de mer en même temps qu’elle permet d’éviter leur extinction.

Mais très souvent les espèces des piscicultures s’alimentent de farine de poisson issue de la pêche en haute mer.

Para consultar información sobre el tema de la agricultura:

www.fao.org (organización de la agricultura y alimentación de la ONU)

Para investigar

www.intermonoxfam.org global express “lo que la nevera esconde”

Para profundizar y entender dos temas de debate muy importantes VER Y RESUMIR TRES EMISIONES DEL PROGRAMA “C´PAS SORCIER”

c´est pas sorcier: l´agriculture bio

C'est Pas Sorcier - Bio et compagnie, vers une autre agriculture (26 min 14 seg)

https://www.youtube.com/watch?v=9FfkyK49eOE

C'est pas sorcier -PESTICIDES

https://www.youtube.com/watch?v=Cqm6Ztr-ndg

C'est Pas Sorcier - Les OGM, du rififi dans les gènes

https://www.youtube.com/watch?v=ntVAnBdUfOs

Politique menée par l’Union européenne (UE) dans le domaine agricole, visant:

à assurer une stabilité des prix sur les marchés

à garantir un revenu minimum à certains agriculteurs

et à améliorer les conditions de la production agricole en agissant sur les structures de la production.

L'agriculture est la politique la plus intégrée de l'UE et absorbe de ce fait une part non négligeable du budget européen.

Cet argent est géré par l'UE et correspond à des dépenses que les États effectueraient de toute façon.

Par ailleurs, les dépenses agricoles ont fortement baissé au fil du temps:

de 70 % dans les années 1970

elles sont passées à 34 % au cours de la période 2007-2013.

http://www.iletaitunefoislapac.com/enseignement/index.php/visionner

D´abord, visionnez l’émission animée (en bas):

>Il était une fois la PAC

Après, visionnez quelques vidéos et témoignages :

>Découvrons la PAC

>PAC et ruralité

>Les défis de la PAC

>Le métier d’agriculteur

>La PAC, qu’en savez-vous ?

L ´agriculture signifie moins de 3% du Produit Intérieur Brut

mais , sa signification est plus profonde, même si l'Espagne se dégage de l'image d'un pays longtemps rural

Le quart de la population active dans le Sud

le tiers en Castille et Estrémadure

la moitié en Galice demeurent dans le secteur primaire.

Ce contraste se perpétue à l'échelle nationale:

les exploitations supérieures à 200 ha occupent une bonne part de la superficie totale, ce qui pose des problèmes

Il y a un contraste fondamental entre culture sèche (secano) et terres irriguées (regadío).

Il s'agit des productions spécialisées d'un pays qui appartient à l'Union européenne et:

qui fournit (fournir; proveer) du vin (dont il est le deuxième producteur mondial)

et des primeurs, de l'huile d'olive et des agrumes (cítricos),

avec un important troupeau (rebaño, manada) ovin.

Les contrastes posent des problèmes:

techniques (extensivité, bas rendements, monoculture)

surtout sociaux, avec:

d'une part, l'absentéisme citadin des propriétaires

et, d'autre part:

le bas niveau de vie

le chômage

une main-d'œuvre abondante et sous-payée, contrainte (forzada) à l'exode.

Entre culture sèche (secano) et terres irriguées (regadío).

Population active faible et vieillie

Élevé proportion de petites et moyennes exploitations

Faible productivité de l´agriculture sèche et de

l´élevage extensif

Population active faible et vieillie:

Les activités primaires emploient seulement au 4% de la population

Plus du 61% des propriétaires des exploitations ont plus de 55 ans et par contre, seulement le 4,5% a moins de 35 ans

Élevé proportion de petites et moyennes exploitations

ce qui pose un problème pour arriver à être compétent dans le marché

Faible productivité de l´agriculture sèche et de l´élevage extensif:

Il y a une productivité basse de la terre à cause de l´érosion et la désertification, ainsi que par l´aridité

On n´a pas d´agriculture compétitive

On a une dépendance importante à l´élevage intensif

Etre compétent sur le marché mondial impose aux producteurs d’être compétitifs du point de vue de la qualité et du prix