4
Les techniques ou technologies nouvelles et les droits ou principes fondamentaux Bioéthique Journées d’étude du mardi 20 et mercredi 21 avril 2010 Contacts : Pierre-Jérôme Delage – [email protected] – 06 74 56 99 55

Les techniques ou technologies nouvelles et les droits ou principes fondamentaux

  • Upload
    nuwa

  • View
    27

  • Download
    0

Embed Size (px)

DESCRIPTION

Journées d’étude du mardi 20 et mercredi 21 avril 2010. Les techniques ou technologies nouvelles et les droits ou principes fondamentaux. Bioéthique. Contacts : Pierre-Jérôme Delage – [email protected] – 06 74 56 99 55 - PowerPoint PPT Presentation

Citation preview

Page 1: Les techniques ou technologies nouvelles et les droits ou principes fondamentaux

Les techniques ou technologies nouvelles et les droits ou principes fondamentaux

Bioéthique

Journées d’étude du mardi 20 et mercredi 21 avril 2010

Contacts : Pierre-Jérôme Delage – [email protected] – 06 74 56 99 55 Laurent Berthier – [email protected] – 06 80 33 40 69

Page 2: Les techniques ou technologies nouvelles et les droits ou principes fondamentaux

Programme de la matinée du mardi 20 avril 2010 – 9h

Sous la présidence de Brigitte Feuillet-Liger, Professeur à l’Université de Rennes I, membre de l’Institut Universitaire de France

9h30 – 10h : « Première approche des rapports entre biomédecine et droits fondamentaux », Gérard Mémeteau, Professeur à l’Université de Poitiers

10h – 10h45 : « Réflexions philosophiques et juridiques autour de l’assistance médicale à la procréation », Philippe Descamps, Docteur en philosophie de l’Université Paris IV – Sorbonne, journaliste scientifique, et Laurence Brunet, Chercheur au Centre de Recherches Droits, Sciences et Techniques (CRDST), Université Paris I – Panthéon Sorbonne

10h45 - 11h Débat avec la salle

11h - 11h15 - Pause

11h15 – 11h45 : « Les recherches sur la personne : un cadre technique respectueux des enjeux éthiques », Marie-Catherine Chemtob-Concé, Maître de conférences à l’Université de Rouen

11h45 – 12h15 : « Les biobanques », Xavier Bioy, Professeur à l’Université de Toulouse I – Capitole

12h15 - 12h30 Débat avec la salle

12h30 Pause déjeuner

Page 3: Les techniques ou technologies nouvelles et les droits ou principes fondamentaux

Programme de l’après-midi du mercredi 21 avril 2010 – 14 h

Séminaires(Salles à préciser)

Séminaire 2 : La liberté

Modération par Christian Moulinard, Maître de

conférences à l’Université de Limoges

15h30 – 16h : « Liberté n’égale pas dignité »,

Pierre-Jérôme Delage, Doctorant à l’Université de

Poitiers, membre du RERDH

16h – 16h30 : « Science sans conscience…Quelques réflexions sur les relations entre liberté scientifique et

bioéthique », Emilie Chevalier, Doctorante à l’Université de Limoges

16h30 – 17h : Débat avec la salle

Séminaire 1 : La vie

Modération par Jean Morange, Professeur à l’Université de Limoges

14h – 14h30 : « Le droit à la vie face aux

nouvelles technologies médicales », Salwa

Hamrouni, Maître de conférences à

l’Université de Tunis

14h30 – 15h : « L’euthanasie et les droits des patients »,

Marie-Christine Steckel, Maître de

conférences à l’Université de Limoges

15h – 15h30 : Débat avec la salle

Page 4: Les techniques ou technologies nouvelles et les droits ou principes fondamentaux

Les techniques ou technologies nouvelles, par leur omniprésence et leur diversité, ne peuvent être ignorées par le Droit ; plus intensément encore, leur existence s’impose à lui. Source de progrès et de facilités, peut-être

même de nouveaux droits subjectifs, elles peuvent aussi se révéler menaces, dangers pour la personne. Probablement est-ce cette dualité (ce paradoxe ?)

à elles intrinsèque qui ouvre les plus larges perspectives de réflexion au juriste.

L’hypothèse se vérifie dès lors qu’inscrite dans ce champ d’investigation absolument original qu’est la bioéthique. En son sein, les techniques ou

technologies nouvelles, laissant entrevoir la satisfaction du désir individuel (celui, par exemple, de l’enfant) ou nourrissant l’espoir collectif (ainsi de la

recherche biomédicale) sont, en un mouvement contraire, en tension permanente avec l’être humain, le respect de son corps et de sa dignité, la prohibition de sa réification. Les questions suscitées sont donc immenses,

hésitant notamment entre conciliation des intérêts en présence, ou affirmation de la primauté des uns sur les autres.