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C’est en 1656 que l’architecte Louis le Vau entama la construc-tion du splendide logis de Nicolas Fouquet, surintendant des Finances. Le décor des salles, confi é à Charles le Brun, se distingue par des plafonds à caissons peints, introduits depuis peu d’Italie, tandis que le paysagiste André Le Nôtre concourra à la création des jardins. Il s’ins-pira de ceux de la Renaissance italienne, aux parterres composés et formant des perspectives, mais il leur donna une ampleur inédite, allant jusqu’à créer l’illusion d’un espace sans fi n.
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La chambre du Roi est, dans toute
grande demeure, laissée à disposition
d’un visiteur de marque. Aucun souve-
rain ne dormit à Vaux-le-Vicomte.
La magnifi cence du domaine était alors sans égale. En 1661, à la mort de Mazarin, alors premier ministre, Fouquet osa se hisser au bord de l’Olympe et il convia, le 17 août à Vaux-le-Vicomte, Louis XIV à une fête somptueuse.
Ce qui devait sonner comme l’apothéose de Fouquet devint son re-quiem : le surintendant fut bientôt livré à la vindicte royale, déjà en gesta-tion depuis quelques mois et à l’issue d’un procès inique, il demeura captif jusqu’à sa mort en 1680. Quant aux artistes sollicités par le dignitaire déchu, ils passèrent au service du souverain et s’illustrèrent à Versailles.
Sa famille récupéra Vaux-le-Vicomte, dépourvu de ses objets d’arts que le roi confi squa ou acheta. En 1875, les jardins n’existaient plus, le bâtiment était démeublé et dégradé, mais Alfred Sommier, propriétaire de raffi neries sucrières, décida d’acheter le domaine. Il restaura le château puis il commença à restituer les jardins. Ses descendants poursuivirent son œuvre, jusqu’aux actuels propriétaires, le comte Patrice de Vogüé et ses trois fi ls.
Sa famille récupéra Vaux-le-Vicomte, dépourvu de ses objets d’arts que le roi confi squa ou acheta. En 1875, les jardins n’existaient plus, le bâtiment était démeublé et dégradé, mais Alfred Sommier, propriétaire de raffi neries sucrières, décida d’acheter le domaine. Il restaura le châ-teau puis il commença à restituer les jardins. Ses descendants poursui-virent son oeuvre, jusqu’aux actuels propriétaires, le comte Patrice de Vogüé et ses trois fi ls.
Sa famille récupéra Vaux-le-Vicomte, dépourvu de ses objets d’arts que le roi confi squa ou acheta. En 1875, les jardins n’existaient plus, le bâtiment était démeublé et dégradé, mais Alfred Sommier, propriétaire virent son oeuvre, jusqu’aux actuels propriétaires, le comte Patrice de Vogüé et ses trois fi ls.
LA MAGNIFICENCE DU DOMAINE
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17 Le château du Haut-Koenigsbourg qui dresse sa silhouette mas-
sive, en grès rose, au-dessus de la plaine d’Alsace, constituait le verrou occidental de l’empire germanique. L’ouvrage subit à ce titre divers assauts, notamment en 1462, lors d’une expédition punitive contre des chevaliers pillards qui y logeaient. Reconstruit peu après, il fut incendié à l’issue d’un siège mené par les troupes suédoises durant la guerre de Trente ans; les vestiges demeurèrent en l’état.
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19Fugiatec uptatur arum sequi dolo voloria audion endebitate pratiis
et aligent iuntiostrum eaque nullictectus enient, eos accae audaecus.Cor sum expe magnimet fugias a sunt.Assit, sa et, optamus eicias et offi caboriam endam qui cus exer-
chitium eum, tem et as mo cus dolorpor aut occulpa ad milloru ntotae et fugiasp elluptium assunt qui apit apit dolupta turepernati doluptatis exeribus velicid expla sint eiundae ceatur moluptae et eictorp ossedit, omnimenimus mo
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et aligent iuntiostrum eaque nullictectus enient, eos accae audaecus.Cor sum expe magnimet fugias a sunt.Assit, sa et, optamus eicias et offi caboriam endam qui cus exer-
chitium eum, tem et as mo cus dolorpor aut occulpa ad milloru ntotae et fugiasp elluptium assunt qui apit apit dolupta turepernati doluptatis exeribus velicid expla sint eiundae ceatur moluptae et eictorp ossedit, omnimenimus mo
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La magnifi cence du domaine était alors sans égale. En 1661, à la mort de Mazarin, alors premier ministre, Fouquet osa se hisser au bord de l’Olympe et il convia, le 17 août à Vaux-le-Vicomte, Louis XIV à une fête somptueuse. Ce qui devait sonner comme l’apothéose de Fouquet devint son requiem : le surintendant fut bientôt livré à la vindicte royale, déjà en gestation depuis quelques mois et à l’issue d’un procès inique, il demeura captif jusqu’à sa mort en 1680. Quant aux artistes sollicités par le dignitaire déchu, ils passèrent au service du souverain et s’illus-trèrent à Versailles.
Sa famille récupéra Vaux-le-Vicomte, dépourvu de ses objets d’arts que le roi confi squa ou acheta. En 1875, les jardins n’existaient plus, le bâtiment était démeublé et dégradé, mais Alfred Sommier, propriétaire de raffi neries sucrières, décida d’acheter le domaine. Il restaura le château puis il commença à restituer les jardins. Ses descendants poursuivirent son
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La chambre du Roi est,
dans toute grande demeure,
laissée à disposition d’un visiteur
de marque. Aucun souverain
ne dormit à Vaux-le-Vicomte.
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œuvre, jusqu’aux actuels propriétaires, le comte Patrice de Vogüé et ses trois fi ls.
Sa famille récupéra Vaux-le-Vicomte, dépourvu de ses objets d’arts que le roi confi squa ou acheta. En 1875, les jardins n’existaient plus, le bâtiment était démeublé et dégradé, mais Alfred Sommier, propriétaire de raffi neries sucrières, décida d’acheter le domaine. Il restaura le châ-teau puis il commença à restituer les jardins. Ses descendants poursui-virent son oeuvre, jusqu’aux actuels propriétaires, le comte Patrice de Vogüé et ses trois fi ls.
Sa famille récupéra Vaux-le-Vicomte, dépourvu de ses objets d’arts que le roi confi squa ou acheta. En 1875, les jardins n’existaient plus, le bâtiment était démeublé et dégradé, mais Alfred Sommier, propriétaire virent son oeuvre, jusqu’aux actuels propriétaires, le comte Patrice de Vogüé et ses trois fi ls.
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