3
Les derniers dossiers e-HEMATimage : e-H 12.03 : Femme de 71 ans qui a consulté son médecin pour une douleur du poignet. e-PARASITimage : e-P 12.01 : Douleur de l'hypocondre D d'apparition brutale chez un jeune d'origine algérienne. e-MYCOimage : e-M 12.01 : Alopécie du cuir chevelu chez un enfant de 5 ans. CYTim@ge : DC1202 : Frottis de dépistage systématique du col utérin chez une femme de 46 ans. Lettre n°42 Avril 2012 Lʼédito De quoi sera fait l'avenir ? Nous savons avec certitude que BIOFORMA, dans ses vingt ans à peine, est en train de vivre ses derniers moments. En 2013, un autre organisme, l'OGDPC*, sera en charge de cette activité si importante qu'est la formation continue. Importante, elle l'est au moins trois fois : pour les professionnels confrontés à la question de la connaissance, pour les patients dont la santé dépend de l'acuité des précédents, pour les états de plus en plus confrontés aux dépenses de santé. La France avait bien perçu cela en laissant la Sécurité Sociale prendre en charge les coûts de cette formation pour les biologistes, de façon efficace en convention avec les professionnels. Parallèlement à la réforme de la biologie médicale a été mis en place l'OGDPC visant à prendre en charge la totalité des professions de santé. Les modalités n'en sont pas toutes déterminées et l'on peut s'interroger sur ce que sera l'avenir. L'avenir c'est demain. Avenir des structures qui, comme FCBM, dans le respect de règles éthiques strictes, ont jusqu'ici contribué à l'offre en matière de formation continue. Avenir pour les individus qui restent dans l'incertitude concernant le financement (organisé ou libre ?) de cette formation obligatoire. Avenir pour la profession de "spécialiste en biologie médicale" dont l'unité à été signée par la réforme BACHELOT en mettant le patient au centre de la préoccupation du laboratoire et en affirmant l'unicité du biologiste, quelle que soit sa filière de formation initiale. On peut dès lors s'interroger sur le sens de confier la gestion de leur formation continue à deux commissions différentes, selon leur doctorat d'exercice. A l'évidence, tout le monde est pressé de savoir de quoi sera fait l'avenir. Quelques jours encore à attendre** ! Pr. Joël X. CORBERAND * Organisme de Gestion du Développement Professionnel Continu ** Aucune allusion aux évènements politiques de ce printemps. Lettre éditée par l’Association FCBM - Tél : 05 62 17 39 25 - Email : [email protected] www.medicinimage.com www.e-medicinimage.eu e-MEDICINimage La Lettre du Mois Immunocytochimie et cytofluorométrie La ques(on de la différence entre ces deux techniques a été récemment posée par un u(lisateur du programme eHEMATimage. Voici quelques éléments de réponses, volontairement simplifiés. Ces deux techniques visent, toutes deux, à caractériser des cellules en révélant la présence de sites an7géniques à la surface de leur membrane ou l'intérieur de la cellule. Ce>e révéla7on s'effectue en u7lisant des an7corps monoclonaux que l'on saura repérer une fois qu'ils auront été fixés sur les an7gènes correspondants. En immunocytochimie, la révéla7on est enzyma7que (expression d'une peroxydase), en cytofluorométrie l'an7corps monoclonal est associé à un marqueur fluorescent. En immunocytochimie, le plus souvent, un seul an7corps est u7lisé. En cytofluorométrie, plusieurs an7corps associés à des marqueurs fluorescents différents (exprimant des couleurs différentes) peuvent être u7lisés simultanément et, de ce fait, marquer la même cellule. On peut ainsi affirmer qu'une même cellule exprime plusieurs an7gènes. Si l'on ajoute que la cytofluorométrie peut analyser des milliers de cellules avec une extrême rapidité, on est convaincu de l'écrasante supériorité pra7que de la cytofluorométrie versus l'immunocytochimie. Alors, l'immunocytochimie doitelle être abandonnée ? Certes, elle est de moins en moins u7lisée pour la caractérisa7on des hémopathies malignes (LA et syndromes lymphoproliféra7fs) mais elle conserve un intérêt pour rechercher des évènements rares dans des 7ssus, comme des micrométastases médullaires. Reconnaissons aussi que l'immunocytochimie, sans appareillage spécial, est délicate et de réalisa7on assez longue et ne peut être réalisée que dans des laboratoires spécialisés. Quant à la cytofluorométrie, elle nécessite des automates d'autant plus onéreux qu'ils sont perfec7onnés et requiert, elle aussi, un grand savoir faire. On est dans le domaine de la grande spécialisa7on. Vous vous posez des questions d'ordre technique ou médical, relatives aux dossiers de formation ou en rapport avec votre exercice professionnel ? N'hésitez pas à les adresser au secrétariat de FCBM qui les transmettra aux spécialistes concernés. La réponse vous sera adressée directement par e-mail et sera plus tard l'objet d'un petit article dans la Lettre du Mois d'e-MEDICINimage. [email protected] L'art de s'occuper de tous !

Lettre n°42 e-MEDICINimage · high technology ! savez-vous que les reponses de votre tuteur vont se loger automatiquement dans le dossier correspondant chaque fois que vous ouvrez

  • Upload
    others

  • View
    2

  • Download
    0

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: Lettre n°42 e-MEDICINimage · high technology ! savez-vous que les reponses de votre tuteur vont se loger automatiquement dans le dossier correspondant chaque fois que vous ouvrez

Les derniers dossierse-HEMATimage : e-H 12.03 :  Femme de 71 ans qui a consulté son médecin pour une douleur du poignet.e-PARASITimage : e-P 12.01 : Douleur de l'hypocondre D d'apparition brutale chez un jeune d'origine algérienne.e-MYCOimage : e-M 12.01 : Alopécie du cuir chevelu chez un enfant de 5 ans.CYTim@ge : DC1202 : Frottis de dépistage systématique du col utérin chez une femme de 46 ans.

Lettre n°42 Avril 2012

LʼéditoDe quoi sera fait l'avenir ?

Nous savons avec certitude que BIOFORMA, dans ses vingt ans à peine, est en train de vivre ses derniers moments. En 2013, un autre organisme, l'OGDPC*, sera en charge de cette activité si importante qu'est la formation continue. Importante, elle l'est au moins trois fois : pour les professionnels confrontés à la question de la connaissance, pour les patients dont la santé dépend de l'acuité des précédents, pour les états de plus en plus confrontés aux dépenses de santé. La France avait bien perçu cela en laissant la Sécurité Sociale prendre en charge les coûts de cette formation pour les biologistes, de façon efficace en convention avec les professionnels.Parallèlement à la réforme de la biologie médicale a été mis en place l'OGDPC visant à prendre en charge la totalité des professions de santé. Les modalités n'en sont pas toutes déterminées et l'on peut s'interroger sur ce que sera l'avenir. L'avenir c'est demain. Avenir des structures qui, comme FCBM, dans le respect de règles éthiques strictes, ont jusqu'ici contribué à l'offre en matière de formation continue. Avenir pour les individus qui restent dans l'incertitude concernant le financement (organisé ou libre ?) de cette formation obligatoire. Avenir pour la profession de "spécialiste en biologie médicale" dont l'unité à été signée par la réforme BACHELOT en mettant le pat ient au centre de la préoccupation du laboratoire et en affirmant l'unicité du biologiste, quelle que soit sa filière de formation initiale. On peut dès lors s'interroger sur le sens de confier la gestion de leur format ion cont inue à deux commissions différentes, selon leur doctorat d'exercice.A l'évidence, tout le monde est pressé de savoir de quoi sera fait l'avenir. Quelques jours encore à attendre** !

Pr. Joël X. CORBERAND

* Organisme de Gestion du Développement Professionnel Continu** Aucune allusion aux évènements politiques de ce printemps.

Lettre éditée par l’Association FCBM - Tél : 05 62 17 39 25 - Email : [email protected]

www.medicinimage.com www.e-medicinimage.eu

e-MEDICINimageLa Lettre du Mois

Immunocytochimie  et  cytofluorométrie

La   ques(on   de  la   différence  entre  ces  deux   techniques  a  été  récemment   posée  par   un  u(lisateur   du   programme   e-­‐HEMATimage.   Voici   quelques   éléments   de   réponses,  volontairement  simplifiés.

Ces   deux   techniques   visent,   toutes   deux,   à   caractériser   des   cellules   en   révélant   la  présence   de   sites   an7géniques   à   la   surface   de   leur   membrane   ou   l'intérieur   de   la  cellule.   Ce>e   révéla7on   s'effectue   en   u7lisant   des   an7corps   monoclonaux   que   l'on  saura  repérer  une  fois  qu'ils  auront  été  fixés  sur  les  an7gènes  correspondants.  En  immunocytochimie,  la  révéla7on  est  enzyma7que  (expression  d'une  peroxydase),  en  cytofluorométrie   l'an7corps   monoclonal   est   associé   à   un   marqueur   fluorescent.   En  immunocytochimie,   le   plus   souvent,  un   seul  an7corps  est  u7lisé.  En   cytofluorométrie,  plusieurs   an7corps   associés   à   des   marqueurs   fluorescents   différents   (exprimant   des  couleurs   différentes)   peuvent   être   u7lisés   simultanément   et,   de   ce   fait,  marquer   la  même  cellule.  On  peut  ainsi  affirmer  qu'une  même  cellule  exprime  plusieurs  an7gènes.Si   l'on   ajoute   que   la   cytofluorométrie   peut   analyser   des  milliers   de   cellules   avec  une  extrême   rapidité,   on   est   convaincu   de   l'écrasante   supériorité   pra7que   de   la  cytofluorométrie  versus  l'immunocytochimie.  Alors,   l'immunocytochimie   doit-­‐elle   être   abandonnée   ?  Certes,   elle   est   de  moins   en  moins   u7lisée   pour   la   caractérisa7on   des   hémopathies   malignes   (LA   et   syndromes  lymphoproliféra7fs)   mais   elle   conserve   un   intérêt   pour   rechercher   des   évènements  rares  dans  des  7ssus,  comme  des  micro-­‐métastases  médullaires.  Reconnaissons  aussi   que  l'immunocytochimie,  sans  appareillage  spécial,  est  délicate  et  de   réalisa7on   assez   longue   et   ne   peut   être   réalisée   que   dans   des   laboratoires  spécialisés.  Quant   à   la   cytofluorométrie,   elle   nécessite   des   automates   d'autant   plus  onéreux   qu'ils   sont   perfec7onnés  et   requiert,  elle   aussi,  un   grand   savoir   faire.  On   est  dans  le  domaine  de  la  grande  spécialisa7on.

Vous vous posez des questions d'ordre technique ou médical,

relatives aux dossiers de formation ou en rapport avec votre exercice professionnel ?

N'hésitez pas à les adresser au secrétariat de FCBM qui les transmettra aux spécialistes concernés. La réponse vous sera adressée directement par e-mail et sera plus tard l'objet d'un petit article dans la Lettre du Mois d'e-MEDICINimage.

[email protected]  L'art  de  s'occuper  de  tous  !

Page 2: Lettre n°42 e-MEDICINimage · high technology ! savez-vous que les reponses de votre tuteur vont se loger automatiquement dans le dossier correspondant chaque fois que vous ouvrez

Les  schizocytes  :  un  sujet  pointu  !

Nous   répétons  sans  cesse  que  les  héma2es  sont  les  mal  aimées   des   cellules   sanguines,   surtout  sur   la  pla2ne  du  microscope.  Sans  doute  sont  elles  trop  nombreuses,  trop  uniformément   colorées   pour   qu'on   s'en   préoccupe  vraiment.   Pourtant,   i l   est   des   situa2ons   où  l'homologa2on   d'une   anomalie   est   essen2elle   pour   le  pa2ent.  Par   exemple,  en  ce   qui  concerne   le   contenu  de  l'héma2e,   la   présence   de   Plasmodium   falciparum  perme@ant   le   diagnos2c   de   la   forme   mortelle   du  paludisme   ou   les   héma2es   ponctuées   perme@ant   le  diagnos2c   de   saturnisme   (les   terribles   coliques   de  plomb  !).Les   schizocytes   sont   eux   aussi   très   dignes   d'intérêt  dans   la  mesure  où  derrière  eux  peuvent  se   trouver  des  affec=ons   gravissimes,   les   microangiopathies  thrombo=ques   (MAT).   CeHe   ques=on   a   été   très  sérieusement   abordée   dans   un   ar=cle   récent   de  l'Interna=onal  Journal  of  Laboratory  Hematology*.  En  voici  les  points  saillants.

Les  schizocytes  sont  des  fragments  de  globules  rouges  (GR)  produits  par  des  trauma7smes  mécaniques  au  sein  même   de   la   circula7on   sanguine.   La   détec7on   de  schizocytes   est   une   donnée   importante   pour   le  diagnos7c   morphologique   de   MAT.   Cependant,   les  critères   d'homologa7on   ne   sont   pas   les  mêmes   d'un  laboratoire  à  l'autre,  en  raison  de  la  variabilité  de  forme  et   de   nature   des   fragments,   et   de   la   subjec7vité   de  l'observateur.     Le   manque   de   normalisa7on   peut  conduire   à   des   diagnos7cs  erronés   avec   conséquence  sur  l'issue  clinique.Le  Groupe  de  travail  sur  le  schizocyte  mis  en  place  par  le  "Interna7onal   Council   for   Standardiza7on   in  Haematology"   (ICSH)   a  proposé   des   recommanda7ons  pour   normaliser   l'iden7fica7on   des   schizocytes,     leur  numéra7on  et  l'expression  du  résultat.Ces   recommanda7ons   concernent   le   froZs,   le  comptage  et  une  descrip7on  morphologique  basée  sur  des   critères  posi7fs.   La   numéra7on   des   schizocytes  a  une  grande  valeur  clinique  pour  le  diagnos7c  de  MAT  en  l'absence  d'autres  anomalies  importantes  des  héma7es.  La  numéra7on  automa7sée  des  héma7es  fragmentées  est   également   recommandée   par   l'ICSH   comme   un  complément   u7le   au   microscope,   compte   tenu   de   la  haute  valeur  prédic7ve  de  résultats  néga7fs.

Les schizocytes doivent être identifiés sur la base de critères morphologiques positifs

Les  schizocytes   sont  des  fragments  d'héma7es  ou   des  érythrocytes   amputés   répondant   à   un   mécanisme   de  forma7on   univoque   :   le   trauma7sme   mécanique  d'héma7es  qui  s'empalant  sur   des  filaments  de  fibrine  ancrés   à   surface   endothéliale   voire   à   un   excès   de  turbulence  du  sang.

Par  conséquent,  les  schizocytes  sont  toujours  plus  pe7ts  que   les   héma7es   normales   et   correspondent   aux  éléments  suivants,  presque  toujours  pointus  :  

1-­‐  pe7ts  fragments  de  différentes  formes,  parfois  avec  des  pointes  aiguës  ou  en  forme  d'épine  (triangulaire),  habituellement   de   couleur   foncée,   parfois   très   claire  par   perte   d'hémoglobine   au   moment   de   la  fragmenta7on  ;   les  formes  en  micro-­‐croissants  doivent  être  dis7nguées,  sur  la  base  de  leur  taille,  des  héma7es  falciformes  (drépanocytes).

2-­‐   cellules  en  casque,  avec  une   (rarement   deux),   zone  amputée   entourée   d'une   bordure   lisse,   dont   des  extrémités   sont   pointues   :   la   par7e   de   cellule  manquante  correspond  à  un  fragment  éjecté  lors  de  la  fracture  de  l'héma7e  sur  un  filament  de  fibrine;  

3-­‐   cellules   endommagées,   plus  grandes   que   les  pe7ts  fragments,   avec   une   paire   de   spicules,   parfois   même  deux   ou   trois,   séparées   par   un   bout   concave,   semi-­‐circulaire  de  membrane.  Ils  sont  généralement  désignés  sous  le  terme  de  kératocytes  (cellules  à   cornes).   Ils  se  forment  dans  les  mêmes  condi7ons  que   les  formes  en  triangle,   en   croissant   et   les   cellules   en   casque,   par  rupture  d'une  ou  plusieurs  pseudo-­‐vacuoles  suivie  de  la  répara7on   de   la   membrane   cellulaire.   Des   cellules  morphologiquement   iden7ques   se   produisent   dans  l'anémie   hémoly7que   avec   corps   de   Heinz   (déficit   en  GD6P)   ;   elles   se   dis7nguent   des   kératocytes,   comme  élément  d'expression  d'une  MAT,  en  tenant  compte  du  contexte  dans  lequel  elles  surviennent.  

4-­‐   héma7es   de   pe7te   taille,   hyperdenses,   de   forme  ronde   et   foncées,   désignées   sous   le   terme   de  microsphérocytes   (ou   sphéro-­‐schizocytes).   Ces  microsphérocytes  cons7tuent   un  état  secondaire  de  la  fragmenta7on  et  ne  doivent  être  inclus  dans  le  compte  des   schizocytes   que   s'il   existe   par   ailleurs   les   formes  men7onnées   aux   points  1  à  3.   Ils  ne  doivent   pas  être  confondus   avec   les     sphérocytes   de   la   sphérocytose  héréditaire  ou  des  anémies  hémoly7ques  immunes,  qui  ont   un  diamètre   diminué,  mais  qui   ne   sont   pas   aussi  pe7ts.

* G. ZINI, G. d'ONOFRIO, C. BRIGGS, W. ERBER, J.M. JOU, S.H. LEE, S. MCFADDEN, J.L. VIVES-CORRONS, N. YUTAKA, J.F. LESESVE : ICSH recommendations for identification, diagnostic value, and quantitation of schistocytes. Int. Jnl. Lab. Hem. 2011, 33, 1-9

Comment retrouver les « Lettre du Mois »

1 - Vous connecter au site : http://www.e-medicinimage.eu

2 -  Cliquer sur la rubrique à gauche : "Lettre du mois"3 - Choisir la Lettre du mois qui vous intéresse, vous pouvez soit la consulter, soit l'enregistrer sur votre ordinateur et l'imprimer.

Page 3: Lettre n°42 e-MEDICINimage · high technology ! savez-vous que les reponses de votre tuteur vont se loger automatiquement dans le dossier correspondant chaque fois que vous ouvrez

HIGH TECHNOLOGY !SAVEZ-VOUS QUE LES REPONSES DE VOTRE TUTEUR VONT SE LOGER AUTOMATIQUEMENT DANS LE DOSSIER CORRESPONDANT CHAQUE FOIS QUE VOUS OUVREZ VOTRE LOGICIEL.

N'est-ce pas merveilleux ?

Difficultés avec le logiciel e-MEDICINimage ?

Ne procrastinez* pas !Contactez tout de suite

l'assistance technique de FCBM- soit par téléphone : 00 33 (5) 62 17 39 25

- soit par e-mail : [email protected]

Procrastiner : remettre au lendemain ce qu'on pourrait faire le jour même.

Organisées par l'Association des Biologistes de Midi-Pyrénées (ABMP) avec le concours de l'AFCBM-MP

Le Jeudi 24 Mai :

Le matin, bactériologie sous la présidence du Pr René COURCOL (Président de la Société Française de Microbiologie) du CHRU de LilleL'après-midi, actualités microbiologiques, sous la présidence du Pr Patrice MASSIP, infectiologue, du CHU de Toulouse.

Le vendredi 25 Mai :

Le matin, hématologie, sous la présidence du Pr Christian RECHER, hématologiste, du CHU de Toulouse.L'après-midi, 4 ateliers :- dosage de la CDT,- troponine HS,- pro-calcitonine,- métabolisme phospho-calcique.

Renseignements et Inscriptions : ABMPTél : 05 34 56 90 35 – Fax : 05 34 56 90 33e-mai : [email protected] Web : www.jtbm.fr

Réservation hôtelière :http://abmp2012.reserv-hotels.fr

!"#"$%&'()*)+,,$-%$,%."'*$,($%&/0,$%*)1021)+,%'3+402,1%-2%.+**)#)-)1'%&$%-2%."'*$,($%&$%*(5)6+(71$*%%%

89291/)-%&$*%*(5)6+(71$*%%*0"%-$%:"+11)*%;%

<0)% =+,%

>$*%*(5)6+(71$*%*+,19)-*%-/2,+?2-)$%&+?),2,1$%@A%5'?21)$*%

.+-7(5"+?21+.5)-$*B%'"715"+#-2*1$*%$1%%15"+?#+.',)$C%;%

%

%89291/)-%0,$%:+"1$%*0*.)()+,%(-),)40$%

&$%D!E%;%%

<0)% <0)%=+,% =+,%

%F0*.)()+,%&$%ED!%

%

%=0?'"21)+,%&$*%*(5)6+(71$*%*0"%

:"+11)*%%

=0?'"21)+,%201+?21)*'$%&$*%

5'?21)$*%:"2G?$,1'$*%%

%%%!,2-7*$%&0%%%%%:"+11)*%.+0"%%%%(2"2(1'")*$"%%%%%%%%&/201"$*%%%%%.215+-+G)$*%%

H2)"$%0,%:"+11)*%*2,G0),%40+1)&)$,%

%

%H),%&$%-/2(1)+,%

%