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BIEN-ÊTREPROFITER MIEUX

Esther Mamarbachi La journaliste veut être plus «zen»

SportsRenforcer ses abdos en rigolant

CosmétiquesQuelle huille végétale pour ma peau?

Méditation Le «mindfulness» pour déstresser

Les produits du terroir Savourez la Bénichon

L'apéro écoloMettez la main à la terre

Activités en famille Jetez l'ancre

SEPTEMBRE 2014

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U N S U P P L É M E N T T H É M A T I Q U E D E S M A R T M E D I A

Le style de vie moderne, sou-vent marqué par un manque d’activité physique, des phases de repos trop courtes et une alimentation inappro-priée, représente un facteur de risque majeur pour l’apparition d’affections très répandues, tels que le diabète de type 2 et les maladies cardio-vasculaires. Manger et boire de manière équili-brée, bouger suffisamment: telle est la recette d’un mode

de vie sain qui a des effets positifs sur la santé corpo-relle et diminue le risque de maladies chroniques.

Il est important de boire suffisamment, surtout pendant la saison chaude. Mais pas, ou tout du moins pas seulement, sous la forme de boissons sucrées ou énergétiques ou encore de jus de fruits, particulièrement prisés des enfants et des jeunes. En effet, il existe un lien prouvé entre la consommation de boissons contenant du sucre et le risque de surpoids. Or le surpoids est un facteur de risque du diabète. L’eau est une option sans calorie et économique qui contribue fortement à un poids corporel sain. En Suisse, l’eau du robinet est d’excellente qualité et le Château la pompe convient donc parfaitement en tant que boisson quotidienne. La sensibilisation aux ques-tions de santé ne se limite

néanmoins pas à la vie privée et à l’individu. Les exigences imposées par la vie profes-sionnelle sont de plus en plus complexes et il n’est pas rare qu’elles causent des troubles psychiques. La santé relève

donc aussi de la responsabilité des dirigeants d’entreprises, qui doivent optimiser les conditions de travail de leurs employés. La gestion de la santé en entreprise (GSE) joue à cet égard un rôle capital, mais elle ne doit pas uniquement se concentrer sur la sécurité du travail et sur la

santé corporelle. La santé psy-chique compte elle aussi parmi les facteurs de santé à protéger.

S’OCCUPER DE SA SANTÉ DOIT

ÊTRE UN RÉEL PLAISIR

En réalité, il n’en faut pas beau-coup pour faire quelque chose pour sa santé et augmenter son bien-être personnel. Il est essentiel de ne pas considérer un style de vie sain comme une obligation et de ne pas vouloir tout, tout de suite. Il vous suffit de prendre les escaliers au lieu de l’ascen-seur, de prévoir des phases de repos et d’activité en plein air pendant vos heures de travail et au-delà et de commander une eau minérale au lieu d’une boisson sucrée. Etant donné que votre santé est un thème intemporel, il est important de faire en sorte que son maintien soit un réel plaisir.

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Thomas MattigDirecteur de Promotion Santé Suisse

04 Le Biopéro

05 Aventures outdoor

06 Faire du sport – et rigoler

08 Relaxation

10 Interview avec Esther Mamarbachi

12 Beauté

13 Wellness

14 Produits du terroire

16 Explorer la culture

18 Article spécialisé

CONTENU

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BIEN-ÊTREChef de projet: tenesi.kunga@smartmediapublishing.com Rédactrice en chef: Lassila Karuta Equipe éditoriale: Stéphanie Casarin, Jada Albasini, Lassila Karuta Production: Smart Media Publishing GmbH Impression: Swissprinters AG Graphisme: Benedikt Schmitt Pour plus d’informations sur Smart Media: Jeroen Minee, jeroen.minee@smartmediapublishing.com, Smart Media Publishing Schweiz GmbH, Tel. 044 258 86 00

SMART MEDIASmart Media produit et publie des suppléments thématiques qui paraissent avec les médias suisses. Nos publications innovatrices permettent d’attirer l’attention sur nos clients et de renforcer leurs marques. Notre contenu rédactionnel se distingue par sa qualité et son originalité.

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EDITORIAL

References-bien-etre.chRiche en actualités et événements, references-bien-etre.ch incarne le portail Internet romand dédié à la sérénité et au bien-être.Attractif et au design accueillant, le site propose un ensemble de services dans di� érents secteurs du bien-être : soins thérapeutiques, beauté, développe-ment personnel, loisirs ainsi que les animaux. Que trouve-t-on dans references-bien-etre.ch ?Des articles et informations utiles, un annuaire, mais aussi les événements que les professionnels du bien-être publient sur le portail. Une newsletter est égale-ment envoyée gratuitement aux abonnés a� n de les informer des dernières actualités.

Des solutions pour les professionnelsParce que la présence sur le web a aujourd’hui un impact majeur et facilite les contacts, references-bien-etre.ch

met à disposition des professionnels du bien-être un espace spécialisé pour eux.Présence dans l’annuaire et publication de leurs actu-alités (formations, stages, ateliers, conférences), ainsi que des rubriques permettant, par exemple, de propo-ser aux internautes des avantages ou o� res promo-tionnelles sur certains cours et soins. Comment s’inscrire et publier ses événements ?Facile et pratique, ce service permet de gérer soi-même ses annonces. Plusieurs formules avantageuses sont pro-posées sur le site, par exemple la formule Pro qui permet de publier durant la durée d’abonnement toutes les an-nonces souhaitées. De plus, les annonces peuvent aussi être présentes dans la newsletter, ceci sans supplément. www.references-bien-etre.ch

Jean-François et Nicole Bally, créateurs du site

En bonne santé à l’automne et au-delà

» La santé relève aussi de la respons-abilité des dirigeants d’entreprises.

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U N S U P P L É M E N T T H É M A T I Q U E D E S M A R T M E D I A

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APÉRO

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Bienvenue au Biopéro, l’apéro écolo

Organiser un apéro écolo sans paraître «has-been» c’est possible, car les produits naturels ont la cote. Selon un sondage, plus de la moitié de la population suisse déclare ache-ter des produits issus de l’agriculture biologique plusieurs fois par mois. Mais en plus, les aliments produits de façon écologique ont chacun leur histoire. Voici les meilleurs récits et anecdotes à servir à ses invités.

«ATTENTION CE VIN EST VIVANT!»

Il existe des vins qui ne font mal ni à la tête, ni à la planète. On les appelle les vins naturels ou vins vivants, car ce sont les levures naturelles qui se chargent de la fermentation. Issues de l’agriculture biologique les grappes de raisin sont vendan-gées à la main et l’ajout de produits chimiques est proscrit. Seule une quantité minime de sulfite ajoutée est tolérée. Lors de la dégustation du vin la surprise est garantie, puisque le goût du breuvage change de goût et évolue constamment.Vin naturel: www.levinnaturel.ch

«J’AI CULTIVÉ LES

DIPS SUR MON BALCON»

Les habitants d’immeubles peuvent dorénavant servir fièrement à leurs amis des légumes qu’ils ont cultivés

eux-mêmes grâce au concept «Pimp your balcony» dévelop-pé par l’association Equiterre. Le principe est simple: un coach initie les participants à l’art du jardinage écologique sur balcon. Les jardi-

niers urbains repartent avec du matériel de base ainsi que des précieux conseils techniques pour transformer leurs quelques mètres carrés bétonnés en jardin potager.Pimp your balcony: equiterre.ch.

Servir des feuilletés aux pleu-rotes que l’on a vu grandir dans sa cuisine. Voilà de quoi éveiller la

curiosité de ses amis. Plusieurs socié-tés proposent des kits prêts à pousser. Ils contiennent du marc de café et du mycélium de champignon. Il suffit d’arroser le mélange et cela pousse comme…des champignons. Au final, le marc de café peut être utilisé comme engrais pour les plantes.Kits prêt à pousser: pretapousser.fr.

«CETTE BIÈRE TRANSMET

DE L’ÉNERGIE LUNAIRE»Les soirs de pleine lune, le maître brasseur de la brasserie Locher en Appenzel, descend dans sa cave pour brasser la mystérieuse Vollmond bier. Une bière non filtrée et biolo-gique qui promet de transmettre à ceux qui ose la déguster la magie et la force du satellite naturel. Avec des produits sains et naturels profitons de prendre l’apéro. Santé!

PRODUITS LOCAUX

Même sur son petit balcon, on peut mettre la main à la terre.

Entre scandales alimentaires et aliments transformés assai-sonnés aux produits chimiques, difficile de trouver des ali-ments bons pour la santé. Voici quelques idées pour épater ses amis avec des produits 100% naturels, locaux et atypiques.

TEXTE STÉPHANIE CASARIN » Lors de la dégustation du vin la surprise est garantie.

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U N S U P P L É M E N T T H É M A T I Q U E D E S M A R T M E D I A

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«Le bonheur ne se trouve pas au sommet de la mon-tagne, mais dans la façon de la gravir». Cela tombe bien, il existe de nombreuses manières d’arpenter les sentiers. Les organisa-teurs de promenades hors du commun redoublent d’inventivité pour que chacun puisse trouver chaussure à son pied.

LE SENTIER

DES CHATOUILLES

Pour être bien dans vos basquettes, commencez par les enlever! A l’entrée de ces chemins aménagés pour le plus grand bonheur des pieds, les marcheurs se déchaussent. Boue, pomme

de pin, sable, galet et autres matériaux naturels contenus dans des bacs en bois procurent des sensations inédites. A Rebeuvelier dans le canton du Jura, le sentier pieds nus comporte une partie sauvage. Cet itinéraire forestier passe à proximité d’un étang et traverse un ruisseau. Pas de risque de blessures, car les éléments désagréables sont quotidien-nement retirés du tracé.

LA CUEILLETTE

DES HERBETTES Les forêts et les prairies suisses regorgent de ressources insoup-çonnées. Un grand nombre d’initiés transmettent leurs connaissances botaniques au cours de promenades accom-pagnées placées sous le signe de la cueillette. Les élèves d’un jour apprendront à reconnaitre les plantes comestibles. Initiés à l’art de la cuisine sauvage, ces derniers concocteront

des mets inédits tel que du vin de sureau, de la crème brulée au lierre terrestre ou encore de la terrine de gland.

LA BALADE

ENCHANTÉE Décharger ses soucis dans l’eau d’un lac ou recharger ses batteries au pied d’un arbre, c’est ce que l’on apprend au fil des trente balades propo-sées par le «Guide des lieux enchantés de Suisse» romande. Les auteurs de cet ouvrage proposent de partir à la ren-contre des esprits de la nature dans des lieux mystérieux et enveloppants. Qu’il prenne la forme de fée ou de troll dans notre imagination, l’esprit de la nature n’est autre que l’énergie dégagée par les cours d’eau, les roches et la végétation.

LA CHASSE AU «TRÉSOR»

«Quoi qu’il arrive, le meilleur moyen de s’évader ce sont les petites aventures à deux pas de chez soi, même en ville. Il suffit d’éviter les grands axes, cela permet de redécouvrir sa région et de dénicher des petits bijoux, des endroits magnifiques», conseille Pierre Corajoud auteur des plusieurs guides de balades insolites et organi-sateur de chasses au trésor dans la ville de Lausanne.

Trouver une randonnée à son pied

L'automne se prête à la découverte de la nature.

GUIDEOUTDOOR

Suivre les sentiers pédestres, vagabonder l’esprit léger entre les arbres, au fil des cours d’eau et au sommet des montagnes, cela ravive le moral. Mettre un pied devant l’autre peut devenir lassant. Mais cet automne, wellness, gourmande, aventu-reuse ou mystérieuse, les randonnées sortent des sentiers battus.

TEXTE STÉPHANIE CASARIN

Préparation adéquate

La randonnée en mon-tagne compte parmi les sports les plus populaires en Suisse. Il faut dire qu’avec ses 20 000 kilomètres d’itinéraires balisés et bien entretenus, notre pays est un véritable paradis pour les randonneurs. Mais le danger n’est souvent qu’à un pas: une pierre, une racine, un passage glissant et c’est la chute! Celle-ci peut avoir de graves conséquences, surtout lorsque la pente est raide. Chaque année, ce sont quelque 6500 randonneurs qui sont accidentés en montag-ne, dont 30 mortelle-ment. Pour écarter les dangers qui se dres-sent sur votre chemin, suivez les conseils du bpa. Vous les trou-verez ici: sac-cas.ch

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U N S U P P L É M E N T T H É M A T I Q U E D E S M A R T M E D I A

Les sports tendances de cet automne sont placés sous le signe de la rigolade. En tester un ou deux, juste pour rigoler. Pourquoi pas? L’Aqua Zumba ou le yoga du rire, deux activités sportives qui musclent les zygomatiques et tonifient le sourire.S’éclater en dansant sur des choré-graphies dignes des soirées en boîte de nuit entre copines, c’est l’objectif de la zumba. Ce sport se décline

maintenant en version aquatique. Danser dans une piscine sur de la musique latino, c’est beaucoup plus rigolo que sur la terre ferme. En plus, grâce à la résistance de l’eau, les mus-cles travaillent doublement. Écla-boussures et éclats de rire garantis. Pour se relaxer gaiement, il existe aussi le yoga du rire. Un sport inventé en 1995 par le docteur indien Madan Kataria. Il combine des moments de rire et des techniques de respirations propres au yoga tradi-tionnel. Se promener dans une salle en tapant dans les mains au son des ho, ho, ho, ha, ha, ha, ou rire à gorge déployée sans aucune raison devant des inconnus, c’est déroutant. Mais tout le monde fini par se prendre au jeu. Les participants repartent apaisés, le sourire aux lèvres et avec à la clé des astuces pour voir la vie

du bon côté. Par exemple, lorsque vous êtes coincés dans un bouchon au lieu de pester…éclatez de rire.

RIGOLER, C’EST

BON POUR LA SANTÉ

«Rire est une réaction émotionnelle qui permet de garder le système corporel en bonne santé», explique

Didier Saudenman, chercheur au sein du département de médecine de l’Université de Fribourg. Une «gymnastique douce» qui, d’après

le neurologue Henri Rubinstein, touche tous les organes vitaux. La respiration est plus profonde et par conséquent l’oxygénation du cerveau et la désintoxication du sang sont meilleures. Le scientifique William F. Fry estime qu’une minute de rire équivaut, au niveau cardiovascu-laire, à dix minutes de jogging ou de rameur, car les battements du cœur s’accélèrent, les artères se dilatent et la pression artérielle diminue.Selon une récente étude menée à l’Université de Loma Linda aux Etats-Unis, rigoler permet aussi de lutter contre le stress. Le corps fabrique de l’endorphine, une subs-tance analgésique et anti-anxiété. Une minute de rire équivaudrait à 45 minutes de relaxation, selon le Dr. Rubinstein. Faire du sport et rigoler: les clés de la santé.

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Renforcer ses abdominaux avec des éclats de rire!

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SPORT LES TENDANCES

Faire du sport et rigoler: les clés de la santé.

Le sport peut rimer avec efforts, résistance et cour-batures. Pourtant pas besoin de souffrir pour se faire du bien. Des études démontrent qu’éclater de rires plusieurs fois par jour est, au niveau car-dio-vasculaire très bénéfique.

TEXTE STÉPHANIE CASARIN

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RELAXATION MINDFULNESS

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La méditation «pleine conscience»

«Concentrez-vous sur votre res-piration mais ne changez pas son rythme», dit Ela Amarie d’une voix claire. Dans la salle, une dizaine de personnes méditent les yeux fermés. Les uns sont assis sur un cousin par terre en position tailleur, d’autres sur des chaises. Elles forment un grand cercle. A intervalle régulier, les instructions de la formatrice rompent le silence. Nous sommes à Zurich dans une classe qui pratique la méditation «en pleine conscience», traduit de l’anglais «mindfulness meditation». La séance de méditation

proprement dite dure une vingtaine de minutes. Auparavant, Ela Amarie et les participants ont discuté du livre «Focus» du psychologue améri-cain Daniel Goleman, le père de l’intelligence émotionnelle. Chaque mardi soir, des gens viennent à cette séance, qui dure environ une heure, appelée «urban mindfulness meditation». «Il y a des réguliers, mais il y a toujours des nouveaux», précise la psychologue. Ce soir-là la majorité ce sont des hommes.

UNE TECHNIQUE POUR

VIVRE DANS LE «PRÉSENT»

La méditation en pleine conscience est une technique développée par le scientifique américain John Kabat-Zinn en 1979. Elle a mainte-nant des adeptes aux quatre coins du monde. Selon des études,

une pratique régulière permet notamment d'augmenter sa capacité de concentration, au travail ou dans sa vie quotidienne. « L’attention est comme un muscle que nous pouvons affûter. Et en développant notre concentration, nous vivons les moments présents plus pleine-ment», explique la formatrice. Anne*, une des participante à cette séance, cherche à apaiser son anxiété par la méditation en pleine conscience. «Cette pratique me détend et je viens les mardi parce c’est plus facile d’exercer en groupe», explique la trentenaire. Une pratique régulière est néces-saire pour en récolter les bienfaits.

En se basant sur la médita-tion orientale, John Kabat-Zinn a aussi mis sur pied un programme appelé «Mindfulness Based Stress

Reduction», destiné à réduire le stress. Ce MBSR est aujourd’hui en-seigné un peu partout dans le monde et même dans certains hôpitaux. Aux Etats-Unis, Google a même dévéloppé un programme de médi-tation pour ses employés. Certains des participants dans la salle ont suivi ce programme de 8 semaines et viennent les mardi pour médi-ter en groupe. En Suisse, certaines assurances remboursent le MBSR. D’après le magazine «Time», le succès de la méditation et du MBSR, s’explique en partie par le fait qu’il y a des preuves scientifiques de l’impact de la «pleine conscience» sur la santé et que le stress est un véritable fléau: 477 articles sur le «mindfulness» ont été publiés dans des revues scientifiques en 2012. En 2002, ils n’étaient que 52.

De l’intérêt pour une profession dans la santé, plusieursvoies de formation vous permettent de réaliser vos projetsASSC: assistante en soins et santé communautaire, certificat fédéral de capacité (CFC) en école plein temps, formation en 3 ans, alter-nance école-stages ou en forma-tion duale, chez un employeur.

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Renseignements:www.ecoledesoins.ch, Admissions : 021 804 26 12

La méditation «pleine conscience» a de plus en de plus d’adeptes.

Un des moyens de réduire le stress et de développer la concentration est la médita-tion « pleine conscience».

TEXTE LASSILA KARUTA

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Selon certaines études cliniques, l’ail, le thé vert, le soya et l’épice curcuma posséderaient une grande quantité de composés anticancéreux, alors que le chocolat noir combattrait la dépression et augmenterait les facultés intellectuelles.

En 2013, The New En-gland Journal of Medecine publie un article contro-versé qui prouverait que les flavonöides, molécules que l’on retrouve dans le cacao, le vin rouge et quelques fruits, auraient des propriétés médicales afin de lutter contre la dégé-nérescence cognitive liée à l’âge. Le rapport révèle également qu’il existerait une corrélation entre la consommation de chocolat au sein d’une population et son nombre de Prix Nobel. Info ou intox, la Suisse, grande dégustatrice des fèves, se classe première.

Ces aliments dits fonction-nels sont également appelés «alicaments» naturels. À ne pas confondre avec les produits nutraceutiques - pour nutriments et phar-maceutiques - comme les suppléments alimentaires. La liste de ces «guéris-seurs», qui compte aussi l’huile d’olive, la tomate ou les baies, n’est pas approu-vée par l’ensemble de la communauté scientifique. Certains spécialistes restent sceptiques et craignent les comportements extrêmes à l’image de certains ré-gimes à la mode. «Il serait dommage de limiter sa consommation à certains vivres. Plus la palette de nutriments est variée au

quotidien, mieux ce sera pour la santé. Il n’existe pas d’aliment miracle», estime

Muriel Jaquet, diététicienne à la Société Suisse de Nutrition. Un avis partagé par Luc Tappy, professeur de la Faculté de biologie et de médecine de Lausanne. «Une alimentation saine et équilibrée maintient les personnes en santé.

Mais les ingrédients d’un met, quels qu’ils soient, ne guérissent pas les maladies.»

CROYANCES ANCESTRALES

Une affirmation contre-dite par nos ancêtres qui croyaient vivement à leurs ef-fets curatifs. «Nos aïeuls ten-taient d’utiliser les aliments comme remèdes à tâtons, sans connaître réellement leurs propriétés chimiques. Et parfois de manière surpre-nante», explique Alexandre Wenger, professeur dans le cadre du programme «Méde-cine et Société» de la Faculté des sciences de l’Université de Fribourg, qui a organisé une exposition virtuelle sur les liens méconnus entre médecine et nutrition. Au Moyen-Âge, par exemple, les docteurs assuraient que le citron guérissait les infections rénales. Quant au poivre, selon le Trésor de la Santé, manuel médical datant de 1607, il venait à bout des fièvres intermittentes. Simple conviction ou dogme, les avis à ce jour restent partagés. Mais tous se rejoignent pour déclarer que le plaisir ainsi que la notion de partage à table, restent d’excellentes solutions pour vivre long-temps en bonne santé.

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» Simple conviction ou dogme, lesavis à ce jourrestent partagés.

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Certaines denrées ali-mentaires auraient des vertus thérapeutiques. Il existerait des «remè-des» dissimulés dans nos assiettes. Entre croyances et sciences.

TEXTE JADE ALBASINI

Enquête suisse sur la santé

Un peu plus de la moitié des personnes actives sont exposées dans leur travail à un cumul de risques phy-siques. C’est dix points de pourcentage de plus qu’en 2007 (42%). Ces personnes déclarent deux fois et demi plus souvent un état de santé général qui n’est pas bon que celles non exposées à ces risques. La part des personnes craignant de perdre leur emploi n’a par contre pas augmenté depuis 2007 (13%). El-les sont deux fois plus nombreuses à déclarer des symptômes de détresse psychologique que celles sans crainte à ce sujet. Ce sont là quelques résultats de l’enquête suisse sur la santé 2012, réalisée par l’Office fédéral de la statistique (OFS), au sujet des relations entre le travail et la santé. Vous trouverez l’enquête complète ici: bfs.admin.ch

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D’où vous vient cette passion pour la politique?Ce sont mes parents qui me l’ont transmise. Ma mère est Espagnole et mon père est Syrien et nous débattions beaucoup de politique à la maison, surtout de politique internationale. J’étais la seule à me passionner pour la politique suisse. J’ai par la suite étudié les sciences politiques à l’université de Genève et j’ai eu un professeur qui m’a aussi beaucoup inspirée.

Vous animez maintenant In-frarouge après avoir présenté le Journal Télévisé. Qu’est ce qui est le plus demandant?C’est Infrarouge. Le journal télé-visé demande aussi beaucoup de travail et des heures de présence mais il y a toute une équipe qui vous soutient. Pour Infrarouge, j’ai une double charge. Je suis la responsable d'une petite équipe et j'assume aussi la présentation en alternance avec David Berger. Il y a l’angoisse, chaque semaine, de ne pas trouver le bon sujet ou les bons invités. En plus, c’est plus difficile de faire venir des invités à 22h30 qu’à 19h30 pour le JT. A Infrarouge nous sommes très liés à l’actuali-té et s’il y a une grosse actualité

le weekend, il faut être réactif et changer le sujet pour le mardi.

Vous avez plus de stressavant ou pendant le débat?Avant. Pendant l’émission, il faut juste être concentrée et espérer que vous avez fait le bon choix d'invités.

Quel était le plus gros stress que vous avez eu à Infrarouge?On a récemment eu un invité, le vice-président du Front Na-tional, en duplex de Paris qui est parti pendant l’émission.

Qu’est ce qui s’est passé?Il est venu mais a perdu patience durant les essais car nous avions un problème technique. Du coup, quand nous avons finalement pu commencer l'enregistrement de

l'émission, il est parti. Mais son chef de cabinet, avec qui nous avions négocié l'interview, l'a convaincu de retourner au studio. C'était un gros stress en régie, mais sur-tout pour David qui présentait.

Comment est-ceque vous décompressez?En faisant du sport notamment. Je marche et je nage régulièrement en été. En hiver, je fais de la peau de phoque. Et sinon, je me déplace à vélo. Je ne fais plus de marathons depuis quelques années parce que j’ai des problèmes au niveau des hanches. Mon médecin m’a vivement déconseillé de courir.

Et lorsque vous ne faites de sport?Je suis beaucoup dans l’action. Cependant depuis un certain temps, j’apprends à me poser, à ne rien faire. Ce n’est pas évident, mais j'apprends la zénitude. C'est aussi un bon moyen d'évacuer son stress! J'aime aussi aller dans des spas ou des bains thermaux.

Et côté alimentation?Au fait je ne mange pas beaucoup.

C’est pourquoi vous êtes aussi mince?

(rires) J’ai redécouvert le plaisir de manger avec mes enfants, en cuisinant pour eux. J’aime les vrais goûts. Un bon fromage, un bon vin rouge. (...) Sinon, je mange beaucoup de fruits, de légumes, des produits frais et bio. Je ne mange de la viande qu’une fois par semaine

mais lorsque j’en mange, il me faut un bon morceau. Un steak par exemple. Je préfère investir dans la qualité que dans la quantité.

Vous aimez cuisiner?Oui, cela me détend. Je prépare surtout des choses brutes donc sans sauce. Je cuisine un peu de tout, notamment des plats méditerra-néens ou orientaux. Mon père adore cuisiner, j’ai hérité ce côté de lui.

Et la lecture?Pour mon travail, je lis beaucoup les magazines d’actualité. Pour me détendre, je lis des romans.

Esther Mamarbachi, une des journalistes les plus connues en Romandie, nous confie dans cet entretien comment elle décompresse et se maintient en forme.

PROPOS RECUEILLIS PAR LASSILA KARUTA

«J'apprends la zénitude»

»Mon père adorecuisiner, j’ai héritéce côté de lui.

» Je suis beaucoupdans l’action. Cependant depuis un certaintemps, j’apprends à me poser, à ne rien faire.

INTERVIEW

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Ma fille de 17 ans lit énormément et c’est elle qui me conseille. En ce mo-ment, je lis «Le tailleur des pierre» de Camilla Läckberg. C’est un policier. Une histoire horrible mais qui vous tient en haleine. (...) Fred Vargas écrit aussi des policiers que j’aime.

Vous allez au cinéma?Le cinéma est un moyen de m’éva-der. Je vais volontiers au ciné mais je n’aime pas les films violents ou qui me prennent la tête. Quand je sors d’un cinéma, je veux être de bonne humeur. Le dernier film que j’ai regardé c’était «Qu’est-ce qu’on a fait au Bon Dieu». Il est très drôle. Je suis aussi fan des séries «Despe-rate Housewives» ou «Borgen».

Vous faites encore du théâtre?Non, j’en ai fais de 16 à 25 ans. A un moment de ma vie, j’avais d’autres priorités. Mais c’est quelque chose que je reprendrai peut-être un jour.

A la télé, vous avez l’air dur alors que durant cet entretien, vous ne l’êtes pas. Vous jouez un rôle dans Infrarouge?J’ai la réputation d’être sérieuse. C'est un adjectif qui me colle à la peau depuis mes débuts. Certes, je travaille beaucoup et je ne prends pas les choses à la légère. Je l’as-sume. C’est mon côté helvétique. Je suis exigeante mais je ne suis pas la

marathonienne protestante, qu’on décrit parfois. Du moins, je le crois. De plus maintenant, j’ai l’impres-sion que le plaisir me rattrape. La vie d’une femme de 45 ans com-porte de nouveaux horizons: mes enfants de 13 et 17 ans ont grandi et j'ai plus de moments pour moi.

Vous arrivez à vous déconnecter du travail pendant les vacances?J’y arrive après quelques jours.

C’est quoi vos vacances idylliques?Etre entourée des personnes que j’aime et qui me font rire. Je vais souvent aux mêmes endroits en Valais ou en Catalogne. Découvrir de nouveaux endroits, c’est aussi fascinant. Mais je n’ai pas besoin de partir en Amazonie pour m’amuser.

Où est-ce que vousvous voyez dans cinq ans?C’est une question que je me pose. Je ne sais pas. Ce qui est sûr c’est que je ne passerai pas les vingt prochaines années à animer des débats. Je serais prête à prendre davantage de responsabilités et à partager mon expérience.

Mais vous voulezrester dans le journalisme?Probablement. Mais la vie peut aussi vous réserver des surprises. On verra.Esther Mamarbachi marche et nage régulièrement.

» Le cinéma est un moyen de m’évader. Je vaisvolontiers au ciné mais je n’aime pas les films violents.

INTERVIEW

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U N S U P P L É M E N T T H É M A T I Q U E D E S M A R T M E D I A

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BEAUTÉ HUILES VÉGÉTALES

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Quelle huile végétale pour ma peau?

Elles nourrissent, protègent et raffer-missent notre peau. Leurs bienfaits ne sont plus à démontrer. Du fait de leur forte concentration en antioxy-dants, en acides gras essentiels et en vitamines, les huiles végétales sont depuis la nuit des temps utilisées dans nos cuisines mais aussi à des fins cosmétiques. Elles sont extraites des noix, pépins ou graines de différents fruits. «Les cellules qui composent ces huiles végétales présentent une affinité avec celles de

notre peau, d’où leur efficacité. La structure moléculaire de l’huile de jojoba par exemple est assez sem-blable à celle du sébum, produit par notre peau et nos cheveux. Cela lui permet de pénétrer rapidement dans notre peau», explique la biochimiste Sibi Lawson, qui a aussi pris des cours de phyto et aromathérapie.Chaque type de peau ayant ses ca-ractéristiques, il est donc important de trouver celle qui vous convient le mieux. Toutefois ne confondez pas les huiles végétales et essentielles.

DES HUILES VIERGES

Pour bénéficier des vertus d’une huile au maximum, achetez de préférence «une huile vierge de première pression à froid sans additifs.» C’est une huile pure, sans traitements ni additifs. Et non une

crème «enrichie d’huile » comme certaines marques cosmétiques en proposent. Pour la conservation, il est recommandé de les mettre au réfrigérateur car beaucoup d’huiles végétales n’aiment pas l’oxygène, la chaleur et la lumière. «Si elles se solidifient, il suffit de les réchauffer à environ 50°C», précise Sibi Lawsson

UTILISATION

Quelques gouttes suffisent pour l’hydratation quotidienne du visage. Certaines gens n’utilisent qu’une seule huile végétale et d’autres les mélangent. Parfois on y ajoute éga-lement quelques gouttes d’huiles es-sentielles. Mais attention aux dosages car ces dernières même si elles sont naturelles, elles peuvent être toxiques du fait de leur forte concentration en substances actives. «Les cosmétiques

faits maison ne sont pas toujours faciles à concocter et les effets varient d’une personne à une autre car chaque peau est unique.» Il faut donc mieux se faire conseiller auprès d’un spécialiste, surtout si vous utilisez aussi des huiles essentielles.

Voici une liste non exhaus-tive pour vous y retrouver:• Peaux Sèches: Argan, Avocat, Bourrache, Tamanu, Jojoba, Sésame, Monoï • Peaux Normales: Rose Musquée, Onagre, Argan, Jojoba • Peaux Grasses: Pépin de Raisin, Jojoba, Argousier • Peaux Matures: Onagre, Argan, Bourrache, Avocat, Macadamia,• Peaux Mixtes: Pépin de Raisin, Jojoba, Nigelle Source: oleassence.fr/

Chaque type de peau ayant ses caractéristiques, il est important de trouver l’huile qui vous convient le mieux.

Les vertus des huiles végétales sont innombrables. En utilisant l’huile qui vous convient le mieux et correctement, vous pouvez mettre la nature au service de votre bien-être.

TEXTE LASSILA KARUTA

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.ch FONDATION SPORTSMILE

La Fondation Sportsmile s‘occupe de l‘avenir de la jeune génération en proposant des activités éducatives en fa-veur des enfants et des adolescents en excès de poids.

Notre mission est de promouvoir une activité physique et une alimentation équilibrée chez nos participants pour favoriser leur santé, leur qualité de vie et leur intégration.

Pour atteindre nos objectifs, nous organisons des camps, des cours de sport adapté ainsi que des programmes thérapeu-tiques dans les cantons de Genève, Vaud, Neuchâtel et Valais.

Fondation Sportsmile

Case postale 2323 CH-1211 Genève 2T. +41 79 665 83 70info@sportsmile.chwww.sportsmile.ch

Témoignez votre soutien par un don!

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U N S U P P L É M E N T T H É M A T I Q U E D E S M A R T M E D I A

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MANIFESTATIONS

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A vos fourchettes!

Vous avez peut-être raté la deuxième édition de «la Bénichon du Pays de Fribourg» qui a été organisée à Bulle du 19 au 21 Septembre, mais ne vous en faites pas. Cette dernière rassemble certes le plus de gens mais certains villages du canton de Fribourg fêtent la Bénichon notamment au mois d’Octobre. Cette manifestation, qui date du 15e siècle était la fête patronale paroissiale, et est maintenant celle des récoltes. Le menu diffère selon les villages cependant vous pouvez vous attendre à ceci.

- Cuchaule et moutarde de Bénichon; - Bouilli - soupe aux choux - Raves, carottes et céleris- Ragoût de mouton aux raisins -purée de pommes de terre- Jambon fumé à la borne, saucisson, langue de veau, lard, choux, carottes et pommes de terre- Gigot d'agneau, purée de pommes de terre et poires à Botzi- Plat de fromages de la région (Gruyère, vacherin, etc)- Meringues et crème double - Des fruits- Bricelets et pain d'anis, cuquettes, beignets, croquets

LA SEMAINE DU GOÛT

Vous avez encore quelques jours pour savourer des mets à base de produits locaux ou de prendre part

à l’une des nombreuses activités organisées pendant la semaine du goût qui se termine le 28 septembre.Cette année, c’est la ville de Mou-tier qui a été élue «la ville du goût 2014 » et le parrain de la manifes-tation est le chef Carlo Crisci.

Les organisateurs cherchent à «encou-rager les événements qui valorisent le plaisir de manger des produits de qualité, la convivialité autour de la table et les productions artisanales», peut-on lire sur le site «gout.ch». On y trouve également un calendrier

détaillé des activités qui font le bon-heur non seulement de nos papilles mais également de nos cerveaux.

SALON DES GOÛTS ET TERROIRS

Toujours dans le canton de Fribourg, la 15ème édition du Salon des goûts et terroirs se tiendra du 29 Octobre au 2 Novembre, à Bulle. Cette année, les in-vités d’honneur de ce salon, qui attire des milliers de visiteurs, sont le Liban, le canton d’Appenzell ainsi que les Parcs suisses et le Swiss Bakery Trophy.Pour les petits et grands, de nom-breuses animations seront au programme dont l’Arène Gourmande, animée par des chefs et personna-lités. Des centaines de producteurs venant de la Suisse entière seront également au rendez-vous.Plus d’informations:gouts-et-terroirs.ch/accueil/.

» Ces activités font le bonheur de nospapilles et cerveaux.

www.terroir-fribourg.ch

PRODUITS DU TERROIR

L’automne nous offre des occasions pour savourer les produits du terroir.

Voici quelques manifesta-tions qui vous permet-tront de déguster des produits frais du terroir.

TEXTE LA RÉDACTION

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•NOUVEAUTÉ 2014 :«ARTHUR–auRoyaumedesMinimoys».Unegigantesqueattractionindooretdenombreusesaventures

àdécouvrirenfamille!•Plusde100attractionsetspectaclesépoustouflants•17différentsquartiersthématiques,dont13européens

•Chambresfamilialesderêvedanslescinqhôtelsthématiques4étoiles•Délicesculinairesdanslesneufrestaurantsetlessixbarsdeshôtels• TroisespacesWellness&Spaproposantunegrandepaletted’offres•Quatreespacespiscineetsaunaavecdifférentsthèmes•Deuxairesdejeuxaquatiquespourdesmomentséclaboussants

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Europa-Park – Le parc de loisirs préféré en Europe·InformationsCH·0848373737·www.europapark.de

Halloween-Festival

DJ BoBo – live ! « Halloween Circus »Inclusdansleprixd‘entréeduparc

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DIVERTISSEMENTS

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«Nous sommes ce que nous mangeons»

Quand j’étais petite, comme la plupart enfants, mes parents me forçaient à manger des épinards. «Ils donnent des forces », me disaient-ils. Pour moi «Popeye le marin» en était d’ailleurs la preuve vivante… Mais est-ce que les épinards contiennent-ils autant de fer qu’on le croit ? Non. Dans son livre «Manger des bananes attire les moustiques»,

la nutritionniste Julie DesGroseil-liers explique que ce mythe est né…de la faute de frappe d'une secrétaire, qui multiplia par dix le taux réel contenu dans les épinards. Passée inaperçue pendant des dizaines d'an-nées, cette erreur a induit le monde entier en erreur. Comme quoi, il est parfois difficile de s’y retrouver dans le flux incessant d’informations sur une bonne alimentation. Or c’est important. «Nous sommes ce que nous mangeons», dit un proverbe.

Le musée de l’alimentation de Vevey, avec son exposition «De-tox», propose d’aller à la chasse aux croyances erronées sur la nutrition. A travers des jeux vidéo ainsi qu'un parcours thématique en réalité augmentée, les visiteurs de tout âge peuvent simplement s’amuser ou mesurer leur niveau de

connaissance. «Detox» s’arti-cule autour de cinq thèmes: le corps, les aliments, les régimes, les croyances et le lait. L’expo va jusqu’au 30 avril 2015.

LA SUISSE À LA VOILE

Est-ce que vous vous êtes déjà dit que faire de la voile serait «cool»? Mais voilà vous en êtes resté là et

vous n’avez pas pris de cours. C’est le moment de vérifier si ça vous intéresse vraiment. Le musée des

Transports de Lucerne présente jusqu’au 19 octobre une exposition intitulée «La Suisse à la voile». Petits et grands y trouvent leur compte.

La pièce maitresse de cette expo est le voilier «Alinghi SUI 100», qui a permis à l'équipe suisse de rempor-ter la Coupe de l'America en 2007. Vous pouvez le scruter sous tous les angles. Et les enfants à partir de sept ans peuvent faire leurs premiers essais de navigation sur des voiliers Optimist. Ces bateaux sont dans le bassin de 1400 m2 du musée et des ventilateurs produisent du vent pour essayer de recréer les conditions na-turelles de navigation. L’on peut aussi apprendre à faire des nœuds. Les plus petits quant à eux s’amuseront avec les voiliers-jouets. Les fondements de la navigation sont également expliqués via des courts métrages.

» Les petits peuventprendre un cours de voile dans le bassin.

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MUSÉES

Les enfants peuvent prendre un cours de voile dans le bassin du musée.

Départager le vrai du faux dans les informations sur une alimentation saine ou faire ses premiers pas de voile sont quelqu’unes des activités que le musée de l’alimentation de Vevey et celui des Transports à Lucer-ne proposent actuellement.

TEXTE LASSILA KARUTA

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c i n q t e r r o i r s , u n e a p p e l l a t i o n

U N S U P P L É M E N T T H É M A T I Q U E D E S M A R T M E D I A

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ARTICLE SPÉCIALISÉ

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Le bien être par la peau

LA PEAU UNE INTERFACE ES-

SENTIELLE AVEC LES AUTRES

La peau est un organe touché et visible. Dès la naissance elle per-met d’établir un lien étroit entre la mère et l’enfant (les caresses, le mamelon par lequel l’enfant tête…). Puis plus tard elle s’asso-cie à la représentation de la beauté et de la séduction, la peau est épilée, maquillée, tatouée, bron-zée, parfumée. L’altération de la peau, surtout quand elle atteint le visage, entraine souvent des sen-timents de honte et d’embarras, voire de manque de confiance en soi en particulier dans les interac-tions avec les autres parfois même une dépression. En consultation nous retrouvons ces situations pour des patients de tous âges, de l’acné de l’adolescent au sujet âgé qui vous montre des taches ines-

thétiques. De nombreuses études ont montré que la qualité de vie de patients souffrant de psoriasis était détériorée et qu’elle pouvait être aussi mauvaise que celle de personnes ayant eu un infarctus.

LA PEAU EST AUSSI LE

REFLET DU TEMPS QUI PASSE

Le vieillissement se voit alors que dans sa tête on reste jeune. Il semblerait que ces rides d’expres-

sion marquées soient capables d’influencer notre humeur. Le Dr Finzi, dermatologue américain, a injecté de la toxine botulinique pour gommer les rides du lion et du front à des patients déprimés et il a observé une réduction de 47% de la sévérité de leurs symptômes psychiques. Si ce n’est certainement pas le traitement miracle de la dépression, l’effet des traitements pour ralentir les

effets du vieillissement a un rôle positif dans la perception de notre image. La demande est croissante pour effacer ses signes visibles et est renforcée par cette idéologie que beauté rime avec santé.

LA PRISE EN CHARGE GLOBALE DU

BIEN-ÊTRE EN DERMATOLOGIE

Prendre en charge et traiter les maladies de peau est indispen-sable. Cette phrase si souvent en-tendue dans l’acné, «ce n’est rien, c’est l’adolescence, cela va passer» n’est plus de mise aujourd’hui et des affections que l’on considère comme bégnines peuvent avoir un impact important sur notre image de soi et le sentiment de bien-être. La prise en charge médicale peut inclure des soins complé-mentaires (maquillage, soins du visage ou du corps) qui sont des outils essentiels pour renforcer le bien-être comme cela a pu être montré chez des patients souf-frant de dermatoses chronique ou des patients atteints de cancers.Prendre soin de sa peau est un acte positif, c’est apprendre à s’aimer. Prendre du temps pour le faire, c’est prendre du temps pour soi et donc accéder à son bien-être personnel.

*Dermatologue FMHCentre de dermatologie, RolleInstitut Spa Oteli-na, Nyon et Genève

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Prendre en charge et traiter les maladies de peau est indispensable.

De nombreuses expressions populaires reflètent les inter-actions peau et psychisme, «mal dans sa peau, j’ai les nerfs à fleur de peau, changer de peau, faire peau neuve…...» Paul Valéry a dit «la peau est ce qu’il y a de plus profond chez l’homme», alors en tant que dermatologue je suis convaincue que le bien-être passe par une peau «saine» que l’on aime entretenir.

TEXT DR CATHERINE LARNIER*

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