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DIRECTE Le magazine du conseil général de la Haute-Marne www.haute-marne.fr Accueillant familial : plus qu’un métier PAGE 6 | SOLIDARITÉ Les routes sous haute surveillance PAGE 8 | ROUTES La Cité des sapeurs-pompiers opérationnelle PAGE 15 | SÉCURITÉ CIVILE AUTOMNE 2014 N°114 | DOSSIER : LE 11 E PARC NATIONAL DES FORÊTS DE CHAMPAGNE ET BOURGOGNE, L’OR VERT DE LA HAUTE-MARNE

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DIRECTELe magazine du conseil général de la Haute-Marne www.haute-marne.fr

Accueillant familial : plus qu’un métier

PAGE

6

| SOLIDARITÉ

Les routes sous haute surveillance

PAGE

8

| ROUTES

La Cité des sapeurs-pompiers opérationnelle

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15

| SÉCURITÉ CIVILE

AUTOMNE 2014

N°114

| DOSSIER : LE 11E PARC NATIONAL DES FORÊTS DE CHAMPAGNEET BOURGOGNE, L’OR VERT DE LA HAUTE-MARNE

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SOMMAIRELIGNE DIRECTE N° 114

AUTOMNE 2014

DIRECTEUR DE LA PUBLICATION : Bruno Sido

CO-DIRECTEUR : Gérard Groslambert

RÉDACTION :Service Communication

RÉALISATION : Conception, exécution, photogravure,

IPPAC/groupe Graphycom

SERVICE COMMUNICATION : 03 25 32 88 12 - Fax : 03 25 32 85 18

CRÉDITS PHOTOS : Association CCSL (page 4) ;

Eric Girardot (page 5) ; GIP Parc national des forêts

de Champagne et Bourgogne, Office national des forêts, conseil général

de la Haute-Marne (pages 9 à 14) ; O. Menschor (page 14) ;

Stéphane Vallet - stephoto.fr (page 17) ; Aurélie Loiseau – Foyers ruraux

Haute-Marne ( page18) ; Association Au cœur des mots (page 19) ; Régis Perrin, Francis Goussard (page 20) ;

Metallurgic Park – Ecolin Ville de Saint-Dizier ;

Elsa Tomkowiak ; Sylvain Chaix ; Julia Vesely ;

Sophie Comtet Kouyaté ; Ulysse ; Orchestre national de Lorraine ;

Bruno Barbazan ; Charlotte Spillemaecker ; Aurélie Loiseau – O fil des mots ;

Ville de Saint-Dizier ; Ville de Langres (pages 21 à 26) ;

service communication du conseil général de la Haute-Marne;

SITE INTERNET : www.haute-marne.fr

Conseil général de la Haute-Marne, 1 rue du Commandant Hugueny,

CS 62127 - 52905 Chaumont Cedex 9 TIRAGE :

88 000 exemplaires. Dépot légal

N° 206 ISSN N°1166-729 X

IMPRESSION : Roto Champagne

P. 4/5 ACTUALITÉS

P. 6/7 SOLIDARITÉ Accueillant familial : plus

qu’un métier, un engagement

P. 8 ROUTES Les routes sous haute

surveillance

P. 9/13 DOSSIER Le 11e Parc national des forêts de Champagne et Bourgogne, l’or vert de la Haute-Marne

P. 14 AGRICULTURE Des repas de fêtes

100% haut-marnais

P. 15 SÉCURITÉ CIVILE La Cité des sapeurs-pompiers

est opérationnelle

P. 16 MÉDIATHÈQUE DÉPARTEMENTALE Faciliter l’accès à la lecture,

à la musique, au cinéma aussi

P. 17 CULTURE Pour se rappeler

et s’interroger aussi

P. 18 CULTURE Histoires en campagne

P. 19 UNE ÉQUIPE À L’HONNEUR Quand la parole se fait lien

P. 20 ÉVÈNEMENT Un festival unique en Europe

P. 21/26 LOISIRS À voir, à lire, à faire.

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Le 17 septembre, les conseil-lers généraux jeunes se sont rendus à Strasbourg pour vi-siter le Parlement européen.

Tous les ans, le conseil général organise un voyage à la fois pédagogique et culturel pour éveiller la conscience citoyenne des jeunes élus. Cette année, la visite du Parlement euro-péen leur a permis de décou-vrir une autre institution ma-jeure pour mieux comprendre le fonctionnement de l’Assem-blée des peuples d’Europe.Un conférencier a présenté aux

conseillers généraux jeunes les missions de l’Union eu-ropéenne ainsi que l’organi-sation et le fonctionnement du Parlement. Ils ont égale-ment eu l’opportunité d’as-sister aux débats des députés dans l’hémicycle.Les jeunes élus, très concer-nés par les échanges simul-tanément traduits, ont plei-nement vécu l’Europe l’espace d’une journée qui restera gravée dans leur mémoire et, n’en doutons pas, contribue-ra à l’éveil de leur conscience citoyenne. La Parenthèse des aidants,

c’est une rencontre chaque mois pour accompagner les personnes âgées, leur famille et leurs proches, voisins ou amis. C’est un moment de ré-pit pour tous les aidants de malades et/ou dépendants.Chaque 2e mardi du mois de 14h30 à 16h30, au café Le Saint-Jean à Chaumont, des animatrices travaillant au-près des personnes âgées ain-si que d’autres partenaires ac-cueillent les aidants. À chaque Parenthèse, un thème est abor-dé. Chacun peut poser ses questions librement. Ensuite, le groupe partage quelques dou-ceurs dans un climat convi-vial, propice à libérer la parole,

permettant aux participants de rompre l’isolement, de par-tager leurs expériences, de s’in-former ou tout simplement de faire une pause.

PROCHAINS RENDEZ-VOUSMardi 9 décembre : un Noël à la ParenthèseMardi 13 janvier : séjours-va-cances répits Alzheimer

+ Entrée libre réservée aux aidantsnon professionnels uniquementPlus de renseignements au 03 25 30 26 48 ou [email protected]

Une initiative du conseil général de la Haute-Marne, de la MSA, de la CARSAT et de l’association France Alzheimer

Les conseillers généraux jeunes au cœur de la citoyenneté européenne

Moment de répit pour les aidants

Attendu de longue date par les habitants du sud haut-marnais, le centre aquatique Aqualangres a ouvert ses portes en juillet dernier. Désormais, au cœur de la citadelle de Langres, il est possible d’effectuer des longueurs de bassin dans un bâtiment neuf, accessible 7 jours sur 7 et adapté aux attentes de chacun : baignade, bébés nageurs, école de natation, aquagym, solarium, espaces bien-être et remise en forme.Soucieux de l’épanouissement des Haut-Marnais et conscients de la nécessité de développer les équipements de loisirs, le conseil général et le GIP* Haute-Marne ont participé financièrement à la réalisation de ce projet porté par le Grand Langres. Le total des subventions s’élève ainsi à plus de 2,8 M€.Encore un atout supplémentaire pour encourager la pratique sportive et développer l’attractivité de notre département !

TOUS À L’EAU !

LIGNE DIRECTE N° 114ACTUALITÉS4

Dans la perspective de la création de l’espace naturel de découvertes « Animal’Explora », des travaux de viabilisation et de terrassement sont en cours au parc aux daims à Châteauvillain depuis le mois de septembre. Le conseil général a souhaité que le site reste ouvert au public aux jours et horaires habituels mais pour des raisons évidentes de sécurité, l’accès au parc peut être limité à certains secteurs, voire interdit certains jours.

+ Avant de vous y rendre, rendez-vous sur www.haute-marne.fr pour vérifier que le parc aux daims n’est pas temporairement fermé. Sur le site, bien respecter les consignes de sécurité données par les entreprises.

TRAVAUX EN COURS AU PARC AUX DAIMS

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Le nouveau centre culturel « Les Fuseaux » a été inaugu-ré le 20 juin dernier.

Conçu par l’architecte Nico-las MICHELIN, ce bâtiment innovant s’inscrit parfaite-ment dans le développement urbain, économique et cultu-rel de la ville. Il est composé d’une salle de spectacle dont la capacité dépasse 3 000 places, d’une salle polyvalente de ré-pétition et d’une salle avec stu-dio d’enregistrement.Encourager les animations festives et créer un esprit de

cohésion nécessite des infras-tructures modernes. C’est pour-quoi le conseil général et le GIP* Haute-Marne ont ap-porté leur soutien fi nancier au projet de la municipalité bragarde, à hauteur d’1,5 M€.Le nouveau centre culturel a accueilli son premier spec-tacle le 19 septembre dernier. À l’affi che d’ici à la fi n de l’an-née : Grégoire, MeLL, Louis Bertignac, Les Papas Rigolos, Blanche Neige, Gérald de Pal-mas, Salut les Copains ! et Mu-riel Robin. À découvrir !

Aider les entreprises à mieux se positionner sur les rails du développement, c’est ce que propose le Pôle technologique à Nogent, projet cofi nancé par le conseil général et le GIP* Haute-Marne. Pour faire face à un marché de plus en plus

concurrentiel et à un contexte d’évolutions technologiques ra-pides, des rendez-vous bimes-triels appelés « les matinales technologiques » sont organi-sés en partenariat avec Haute-Marne Expansion et le cluster Nogentech, et avec le soutien du GIP* Haute-Marne.Autour d’un petit-déjeuner, les entreprises sont invitées à par-ticiper à des séances d’informa-tion sous forme de conférences et de tables rondes dont le thème change tous les 2 mois.

PROCHAINS RENDEZ-VOUSLa propriété industrielle : comment protéger vos in-novations ?

Mardi 18 novembre au Pôle technologique à NogentMardi 2 décembre à la CCI à Saint-Dizier

La robotiqueMardi 27 janvier 2015 au Pôle technologique à Nogent

Mardi 24 février à la CCI à Saint-Dizier

+ Entrée libre, sur préinscription préalable - Contact et inscription : Christophe Juppin : 06 33 72 23 11 [email protected]

Vous recherchez en Haute-Marne un hébergement dans une structure accueillant des personnes âgées ? Vous voulez connaître les modalités d’ad-mission en établissement, les différentes aides ?

Le Comité départemental des retraités et personnes âgées (CODERPA), en partenariat avec le conseil général, a édi-té un annuaire des établisse-ments d’hébergement pour les seniors présentant de manière

détaillée l’ensemble des struc-tures d’accueil du départe-ment. Vous saurez tout sur les principes généraux relatifs à l’admission, à la tarifi cation et aux différentes aides, quel que soit l’établissement. Vous trou-verez la structure qui pourra accueillir la personne âgée en fonction de son état de santé et de son niveau d’autonomie dans les actes de la vie quo-tidienne : en Ehpad (établis-sement hébergeant des per-sonnes âgées dépendantes), en Ehpa (établissement hé-bergeant des personnes âgées) ou en Marpa (Maison d’ac-cueil rurale pour personnes âgées). Quant aux tarifs, ils sont variables, consultables sur le site Internet du conseil général www.haute-marne.fr pour les Ehpad et directement auprès des établissements pour les Ehpa et la Marpa.

+ Rendez-vous sur www.haute-marne.fr rubrique les missions/solidarité/seniors

Nouvelle salle de spectacle à Saint-Dizier

Les matinales technologiques

Trouver un établissement pour personne âgée

LIGNE DIRECTE N° 114 5 ACTUALITÉS

* Groupement d’intérêt public

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Être accueillant familial constitue une profession à part entière. De quoi s’agit-il ? Un couple ou une personne seule

s’engage à accueillir à son domicile, contre rémunération, une personne âgée ou en situation de handicap.L’objectif est clair : permettre à nos aînés et aux adultes handicapés de rompre l’isolement et de trouver une alternative entre le main-tien à domicile et l’accueil en établissement. Hébergées dans un cadre familial sécurisant, les personnes accueillies disposent de leur propre chambre et sont accompagnées dans le respect de leur autonomie et de leurs besoins. En France, près de 14 000 adultes vivent en famille d’accueil : 7 400 sont handicapées et 6 500 ont plus de 60 ans.

��Un�peU�d’histoire

L’accueil familial est particulièrement déve-loppé en Haute-Marne où 244 personnes âgées ou handicapées sont prises en charge par un accueillant familial. L’histoire agricole et industrielle de notre département explique en grande partie l’ancrage de cet héritage vieux de plusieurs siècles. Car contrairement aux idées reçues, le travail n’est pas nouveau.

En effet, dès la Révolution, le placement en famille d’accueil de personnes âgées est recommandé en contrepartie d’une pension. Au début du 20e siècle, cette idée est reprise par la loi du 14 juillet 1905 qui prévoit le placement « familial », notamment pour les personnes âgées. Plus proche de nous, la loi du 10 juillet 1989 précise les modalités d’accueil et donne aux conseils généraux la compétence pour délivrer les agréments et en assurer le suivi. Aujourd’hui, c’est la loi de modernisation sociale du 17 janvier 2002 qui organise les conditions administratives et juridiques de l’accueil familial.

��Ça�voUs�intéresse�?

Pour obtenir un agrément, le futur accueillant familial doit s’adresser à l’un des deux Services coordonateurs de l’accueil à domicile (SCAD). Rattachés aux EHPAD d’Arc-en-Barrois et de Doulaincourt, ils instruisent les demandes. Au cours de cette période, des professionnels font des visites au domicile des postulants et réalisent des entretiens pour établir le dossier

En Haute-Marne, le conseil général encourage l’accueil familial pour mener à bien sa mission de solidarité intergénérationnelle. Le point sur un métier pas comme les autres.

Accueillant familial : plus qu’un métier, un engagement

Ligne Directe n° 114solidarité6

+ Plus d’informations : • SCAD de Doulaincourt

Ehpad Pougny Tél. 03 25 94 68 73

• SCAD d’Arc-en-Barrois Ehpad Saint-Martin Tél. 03 25 02 14 68

En France, près de 14 000 adultes vivent en famille d’accueil : 7 400 sont handicapées et 6 500 ont plus de 60 ans.

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Ligne Directe n° 114 7 solidarité

d’agrément. Si, au terme de la procédure, les conditions de logement, de sécurité et de protection de la santé sont réunies, la com-mission d’agrément donne un avis favorable et le Président du conseil général délivre l’agrément. L’accompagnement humain peut alors commencer. L’accueillant familial est agréé pour 5 ans, et peut recevoir jusqu’à 3 personnes. Un contrat écrit est conclu avec chaque personne accueillie. Véritables média-teurs, les SCAD restent mobilisés pour assurer le suivi social et médico-social.

���Une�proFessionnaLisation�aCCrUe

Devenir accueillant familial nécessite d’abord des qualités humaines, mais aussi des com-pétences professionnelles. Le conseil général, par l’intermédiaire des SCAD, a la charge de mettre en place les formations initiale et continue obligatoires, auxquelles participe l’accueillant familial. Les thèmes abordés sont variés : gestes et postures, alimentation et personnes âgées, vie affective, etc. Depuis peu, des groupes de parole sont proposés aux accueillants afi n d’échanger sur leurs pratiques. Ces formations, complémentaires de l’expérience, participent de la profession-nalisation du métier.

Louis NECTOUX ■

■ Comment devient-on accueillante familiale ?

Ma mère exerce ce métier depuis 16 ans maintenant. Donc je connaissais déjà un peu le travail ! Mais malgré tout, ça reste un projet familial, c’est-à-dire que l’on a demandé aux enfants s’ils étaient d’accord pour nous suivre dans cette aventure. Et ils ont tout de suite accepté l’idée d’accueillir à la maison des personnes âgées en situation de handicap.

■ Avez-vous un agrément de couple ?Non, c’est moi qui ai l’agrément et mon mari travaille à côté. Mais c’est un métier dans lequel l’implication du conjoint est indispensable. Aujourd’hui, nous avons deux personnes à la maison et nous avons demandé une extension de notre agrément pour pouvoir accueillir une 3e personne. Marc est avec nous depuis 2 ans, Marie depuis 1 an.

■ Quelles sont les qualités nécessaires à l’exercice du métier ?

La tolérance, l’écoute et la patience. L’important est d’être disponible et de toujours prendre le temps de s’occuper des personnes accueillies.

■ Y a-t-il une journée type ?Elles se ressemblent toutes un peu ! Le matin, ils se lèvent, prennent leur petit-déjeuner eux-mêmes, font leur toilette, puis donnent un coup de main dans la maison. Marie trie le linge ou va acheter le pain pendant que Marc veille à ce que les animaux du jardin ne manquent de rien. Le midi, ils se mettent à table et chacun débarrasse son assiette.L’après-midi, c’est le temps des activités et là, tout dépend des envies. Le lundi, nous faisons par exemple un atelier à Chaumont tandis que le vendredi, nous allons à l’équitation.Les activités dépendent vraiment de chaque personne. L’important est de trou-ver un équilibre entre ce qui les intéresse et ce qu’on peut faire. Certains aiment les activités manuelles, d’autres moins ! À l’atelier, on prépare déjà Noël !D’une manière générale, notre objectif est de les rendre autonomes même si nous res-tons là pour les accompagner au quotidien.

■ Quels sont vos moments préférés ?Les activités car on en apprend tous les jours ! Le meilleur moment c’est lorsqu’on lance un nouveau projet et que ça leur plait !

■ Qu’est-ce que cela vous apporte ?Beaucoup de gratitude ! Surtout quand on les voit sourire, quand les familles nous disent : « vous l’avez fait revivre ! ». C’est un plaisir de les voir épanouis et de les entendre dire qu’ils ne veulent pas aller ailleurs !Comme ils vivent avec nous, c’est bien aussi pour les enfants car ça fait tomber les barrières. Les personnes en situation de handicap apportent beaucoup et cette différence nous enrichit. Marie a travail-lé pendant 25 ans et elle a toujours des choses à raconter. Marc, lui, a toujours envie de faire quelque chose : lecture, musique, dessin, etc. Il a même joué de l’accordéon la semaine passée à la maison de retraite de Doulaincourt !On s’attache forcément ! On essaie de gar-der une distance mais c’est notre famille ! On les emmène en vacances, etc.

■ Devenir accueillant familial, c’est un engagement ?

Oui c’est un engagement mais c’est aussi un métier. Il faut que ce travail soit encore mieux reconnu par la société. L’important est de fixer des règles, d’avoir de bonnes capacités d’adaptation et de communication.

Rencontre avec Sophie, accueillante familiale à Nogent

En Haute-Marne, plusieurs personnes ont fait le choix de ce métier.

u Activités manuelles proposées par l’accueillante familiale

Les prénoms ont été changés.

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��D’importants�moyens�mis�en�placeMoyens financiers, humains, matériels, tout est mis en place pour assurer le bon état des chaussées suivant les niveaux de hiérarchi-sation du réseau routier (prioritaire, secon-daire, auxiliaire).Pendant cette période de viabilité hivernale, 42 engins sont utilisés, 63 outils de raclage (étraves, lames et chasse-neige) sont confiés à des agriculteurs pour le réseau auxiliaire notamment. Pas moins de 220 agents sont d’astreinte selon des cycles précis entre le 15 novembre et le 15 mars afin d’assurer un service 24 heures sur 24. Une dizaine de personnes surveillent en per-manence le réseau et ce sont jusqu’à 52 per-sonnes qui interviennent sur le terrain, dans des conditions climatiques parfois difficiles.

���la�sécurité�tout�en�veillant��au�respect�De�l’environnement

Grâce aux investissements en matériels neufs, les nouveaux camions de déneigement/salage permettent de réduire l’emploi de sel sec et de privilégier l’utilisation de la saumure (mélange d’eau et de sel composé à 77%

d’eau), moins nocive pour l’environnement. Côté sécurité, l’utilisation combinée de sel sec additionné de saumure (aussi appelée bouillie de sel) lors du traitement de certains phénomènes météo routiers apporte un im-pact bénéfique sur les temps de retour aux conditions de circulation normale.

���Des�services�aux�usagers��sans�cesse�améliorés

En hiver, avant de prendre la route, vous pouvez bien sûr vous informer sur la météo du jour mais aussi sur les conditions de circulation en temps réel sur www.haute-marne.fr. D’un simple clic, vous visualisez la carte avec les codes couleurs qui vous indiquent les conditions de circulation sur la zone qui vous intéresse. Et si vous êtes en situation de mobilité, grâce au QR code, vous accédez à tout moment à la dernière mise à jour de la carte. Pensez-y !

AMD ■

À partir du 15 novembre, les équipes du conseil général sont "sur le pont", sur les routes pour que les Haut-Marnais puissent circuler au mieux sur les 3 950 km que comptent le département.

Les routes sous haute surveillance

- contrôler l’état général du véhicule (éclairage, chauffage, niveau de liquide lave-glace) ;

- équiper le véhicule de pneus neige ;

- avant de prendre la route, si le véhicule est recouvert de neige, le dégager entièrement ;

- prévoir de partir plus tôt : les temps de trajet sont plus longs en hiver ;

- adapter sa conduite en réduisant sa vitesse : en présence de brouillard, si la visibilité est inférieure à 50 m, la vitesse est limitée à 50 km/h ;

- faire preuve d’une plus grande vigilance sur les routes ombragées, les sous-bois, les ponts, endroits propices à la formation du verglas ;

- respecter les distances de sécurité ;

- éviter les manœuvres brutales (accélération, freinage) ;

- garder dans son coffre des gants, une lampe de poche, une couverture, au moins un gilet de haute visibilité…

Attention, il est interdit de doubler un engin de déneigement.

En hivEr, lE 1Er actEur dE la sécurité, c’Est vous !

u Flashez le code pour rester informé où que vous soyez

Une dizaine de personnes surveillent en permanence le réseau et ce sont jusqu’à 52 personnes qui interviennent sur le terrain…

Ligne Directe n° 114routes8

u Des codes couleurs pour connaître les conditions de circulation

C1 NormalesRestez prudents !

C2 DélicatesSoyez vigilants !

Préparez votre déplacement !

C4 ImpossiblesNe partez pas !

C1 NormalesRestez prudents !

C2 DélicatesSoyez vigilants !

Préparez votre déplacement !

C4 ImpossiblesNe partez pas !

C1 NormalesRestez prudents !

C2 DélicatesSoyez vigilants !

Préparez votre déplacement !

C4 ImpossiblesNe partez pas !

C1 NormalesRestez prudents !

C2 DélicatesSoyez vigilants !

Préparez votre déplacement !

C4 ImpossiblesNe partez pas !

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Le projet de création du Parc national franchit une nouvelle étape.

LE 11E PARC NATIONAL DES FORÊTS DE CHAMPAGNE ET BOURGOGNE

L’or vert de la Haute-Marne

Ligne Directe n° 114 9 PARC NATIONAL

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La première étape est franchie : le 30 septembre dernier, lors de son assem-blée générale, le GIP préfi gurateur du

futur Parc national a validé, à près de 80% de ses membres, le dossier de prise en considéra-tion. De quoi s’agit-il ? Du premier "document cadre" partagé par l’ensemble des acteurs qui servira de base à la signature d’un arrêté par le Premier ministre courant 2015 pour engager la création du futur Parc national, attendu en 2017 par les acteurs locaux. Depuis le 10 octobre, sur ce dossier de prise en considéra-

tion, plus de 240 organismes sont consultés sur ces premiers éléments constitutifs. Les communes, les conseils généraux de Côte-d’Or et de Haute-Marne (le 21 novembre prochain lors d’une séance ouverte au public), tout comme les conseils régionaux de Bourgogne et de Champagne-Ardenne, mais aussi les représentants de toutes les activités existantes sur le territoire comme la fi lière forestière, la chasse, l’agriculture, les associations de pro-tection de l’environnement, doivent répondre à 3 questions :

Depuis le 10 octobre et jusqu’à début décembre, la consultation officielle sur le projet de dossier de prise en considération du futur Parc a débuté : de quoi s’agit-il ?

LE 11E PARC NATIONAL DES FORÊTS DE CHAMPAGNE ET BOURGOGNE

L’or vert de la Haute-Marne

Ligne Directe n° 114PARC NATIONAL10

Page 11: Ligne Directe 114

- Le projet qui vous est présenté décrit-il notre territoire ?

- Le projet vous semble-t-il satisfaisant pour répondre aux objectifs de la procédure de prise en considération (objectifs décrits dans le dossier de consultation) ?

- Validez-vous cette base de travail pour pour-suivre la construction collective du futur parc national ?

��Un�Parc�national,�c’est�qUoi�?

Un Parc national, c’est d’abord un territoire riche de sa culture et de ses patrimoines na-turels. Dans un Parc national, on distingue diverses zones : - une aire d’adhésion : espace de coopé-

ration, sans contraintes règlementaires nouvelles, où les acteurs privés et publics coopèrent pour valoriser le territoire et optimiser les retombées économiques et notamment touristiques ;

- un cœur du Parc : espace(s) d’excellence patrimoniale et environnementale. Notre responsabilité collective est de construire un équilibre conciliant les activités écono-miques (forêt, agriculture, chasse, etc.) et la préservation des patrimoines naturel et

culturel. Autrement dit, la règlementation doit permettre un développement écono-mique durable pour notre territoire ;

- une réserve intégrale : sur une surface de 3 100 hectares en forêt domaniale d’Arc-Châteauvillain, ce lieu sera consacré à l’étude de la naturalité et du développe-ment scientifique. Unique en France, ce sera également un outil de notoriété pour les communes environnantes.

Un Parc national, c’est surtout le projet d’une communauté de femmes et d’hommes qui vivent et travaillent sur un territoire d’excellence. Concrètement, tous les acteurs concernés rédigent ensemble la charte du Parc national.

u Réunion de concertation avec les forestiers en mai dernier

u Bay-sur-Aube

Un Parc national, c’est surtout le projet d’une communauté de femmes et d’hommes qui vivent et travaillent sur un territoire d’excellence.

Ligne Directe n° 114 11 PARC NATIONAL

Aire d’adhésion Réserve intégrale

Cœur

Page 12: Ligne Directe 114

��Un�Parc�national,�PoUr�qUoi�Faire�?

Créer un Parc national, c’est reconnaître l’exceptionnelle biodiversité d’un territoire, ce qui permet de lui donner un coup de pro-jecteur à l’échelle nationale et internationale. C’est avoir l’ambition de redynamiser, grâce à l’économie touristique notamment, un territoire rural remarquablement préservé. Créer un Parc national, c’est anticiper la vie du futur territoire pour que développement touristique, activités forestière et agricole riment avec respect des grands équilibres naturels. L’objectif : vivre ensemble une ruralité moderne !

���Un�Parc�national�PoUr�DistinGUer�la�ForÊt�FeUillUe�De�Plaine�De�HaUte-Marne�et�De�cÔte-D’or,�site�UniqUe�en�France

La France compte aujourd’hui 10 parcs natio-naux, le plus récent étant celui des Calanques près de Marseille. Le prochain magnifi era les grandes régions forestières du nord-est de la France. Boisé majoritairement de hêtre, il constitue un espace de référence et de vie.La permanence de la couverture forestière et son ancienneté (plus de 3 siècles d’existence) expliquent les liens particuliers noués par les habitants avec cet espace exceptionnel. La forêt appartient à l’identité de la Haute-Marne : la chasse, la sylviculture, l’affouage ou la promenade sont autant d’habitudes de vie qui perdureront. La forêt, c’est aussi l’éco-nomie locale : 400 emplois sur la zone dont le nombre a vocation à s’accroître pour une fi lière bois dynamique et innovante.

Ligne Directe n° 114PARC NATIONAL12

La forêt appartient à l’identité de la Haute-Marne : la chasse, la sylviculture, l’affouage ou la promenade sont autant d’habitudes de vie qui perdureront.

u Sabot de Vénus : une orchidée sauvage

u Châteauvillain, petite cité de caractère, se situe dans le périmètre d’étude du Parc national

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L’eau aura également toute sa place dans le projet de Parc national. Assis sur un grand socle rocheux fi ssuré (Karst), l’eau est omni-présente dans le territoire. Des milieux natu-rels remarquables se nichent sur les pentes des vallées comme dans les marais tufeux.

���Un�Parc�national�qUi�noUs�resseMBle

Pour créer un Parc national, l’État fi xe le cahier des charges : un projet ambitieux pour un territoire remarquable, qui concilie préservation des patrimoines et développe-ment harmonieux.Loin d’être « imposé » par Paris comme on l’entend dire souvent, le futur Parc national doit refl éter notre identité et permettre, pour la première fois de notre histoire, de la faire mieux connaître à l’ensemble du pays et bien au-delà. Avec le Parc national, la ruralité prend toute sa place dans le 21e siècle. La preuve que la voix de chacun sera enten-due : tous les habitants des communes du Parc national, soit 25 000 habitants, pour-ront s’exprimer lors de l’enquête publique qui sera organisée en 2016 avant la création du Parc na tional. Prendre son destin en main, c’est savoir saisir cette formidable opportunité pour en faire un levier de développement local.

François CHAULNES ■

Ligne Directe n° 114 13 PARC NATIONAL

les�FaUsses�iDÉes�sUr�le�Parc�national�Des�ForÊts�De�cHaMPaGne�et�BoUrGoGne�On ne pourra plus chasser ! �FaUX-La chasse aura toute sa place dans notre Parc national. Activité de loisirs, elle est indispensable pour maintenir le lien entre les habitants, maîtriser le développement des populations de grands ongulés (cervidés, sangliers, etc.) et assurer des retombées écono-miques locales. Avec le Parc national, l’ambition est de promouvoir une chasse exemplaire alliant tradition et modernité et de donner toute leur place aux chasseurs locaux !

On ne pourra plus cultiver ce que l’on veut ! �FaUX-

Le Parc national n’aura aucune incidence sur les grandes cultures. L’enjeu n’est pas là. La préservation de nos paysages et de la biodiversité porte prioritairement sur les prairies qui se nichent au fond des vallées. Ce sont des zones d’accueil extra-ordinaire pour les populations de cigogne noire, par exemple.

L’agriculture est un des moteurs de l’économie locale. Elle s’inscrit aussi dans l’identité locale depuis les moines cisterciens. C’est uniquement sur la base du volontariat, que les agricul-teurs seront accompagnés pour expé-rimenter des modes de culture encore plus éco-responsables. Le conseil géné-ral de la Haute-Marne s’est déjà mobi-lisé aux côtés du futur Parc national pour implanter des bandes enherbées en lisière forestières ou sur les marges des parcelles de culture. Objectif : favoriser le retour d’insectes capables de lutter naturellement contre ceux qui ravagent les cultures.

Je ne pourrai plus entretenir ma maison dans mon village ! �FaUX-

L’État s’est engagé à ce qu’aucune règlementation supplémentaire liée

au Parc national ne vienne s’ajouter à celle existante aujourd’hui pour les villages. L’architecture des villages haut-mar-nais est un élément de fi erté, une image de marque. Le Parc national sera une opportunité pour relancer la vie dans les villages, la reconquête des centres bourgs et le retour des commerces de proximité.

Avec le Parc national, ce sera « la mise sous cloche » et nous deviendrons une « réserve d’indiens » ! �FaUX-L’objectif est totalement inverse : c’est développer l’activité, le tourisme et attirer de nouveaux habitants

En choisissant notre territoire pour devenir le 11e Parc national fran-çais, l’État lui reconnaît un inté-rêt national et international. Il lui offre aussi une vitrine très attractive pour le développement touristique, synonyme d’activités et d’emplois. Une belle complémentarité avec des projets comme Animal’Explora !

u Monastère de l’incarnation à Saint-Loup-sur-Aujon

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Des femmes et des hommes enracinés en Haute-Marne confectionnent des produits exceptionnels qui peuvent

constituer l’intégralité d’un repas de fêtes. Par-fois méconnus, ils valent largement le détour.

��Les�escargots�de�Meures

Pour une entrée originale et issue du terroir, direction Meures et la Ferme aux escargots où Valérie Rabbé élève 120 000 bêtes à corne par an. Sa règle d’or est l’authenticité en élevant traditionnellement et naturellement ses animaux. Dans leur parc, de mai à sep-tembre, ils s’épanouissent en toute quiétude à proximité des points d’arrosage, à l’abri sous leurs mangeoires. Au-delà des coquilles et des brochettes, l’hélicicultrice reste aussi vigilante à diversifier sa gamme en utilisant des recettes inspirées de la gastronomie traditionnelle des régions françaises. Un conseil de recette : la cassolette d’escargots au Langres.

���Le�sauMon�de�châteauviLLain�et��Les�LéguMes�de�Prez-sous-La-Fauche

À la pisciculture « La belle Fontaine », il est possible de pêcher, d’acheter des truites et fêtes obligent de se fournir en saumon. Élevé dans les eaux limpides, vives et fraîches de la source de l’exploitation piscicole située entre Châteauvillain et Marmesse, ce poisson pré-paré par Cyrille Jeanson ravit les amateurs par sa chair délicate. Les possibilités de le cuisiner sont multiples : en papillote, en gratin

avec des Saint-Jacques, en tourte avec des poireaux, en crumble…Et pour agrémenter le poisson ou la viande, direction le Jardin du Poirier, à Prez-sous-Lafauche pour trouver des légumes « origi-naux » : panais, topinambours, courges et courgettes en tous genres, potiron Bleu de Hongrie, musquée de Provence, sucrine du Berry…, José et Alexandra Molard produisent et vendent exclusivement des produits de sai-son et sont certifiés « agriculture bio ». Une idée de recette : le clafoutis de Romanesco.

��Le�FroMage�de�chèvre�de�riaucourt

À la « Chèvrerie d’Artémis », à Riaucourt, Estelle Foulon élève, avec l’aide de son mari, une cinquantaine d’Alpines et quelques Saa-nens. Elle transforme le lait soit, en moyenne 35 litres par jour. Le couple propose une gamme de produits assez diversifiée qui va de la faisselle au chèvre sec. Cette gamme peut s’agrémenter à la demande, de fromages de chèvre aromatisés (sésame, pavot, noix, poivre, piment d’Espelette ou échalote). Et pour changer, en dessert : pourquoi pas une tarte au citron et chèvre frais ?

O.MenschOr ■

« Locavore » ou « le manger local », phénomène de mode ou pas, les fêtes de fin d’année sont l’occasion  de découvrir des produits de haute qualité signés Haute-Marne. 

Des repas de fêtes 100% haut-marnais

Ligne Directe n° 114AGRICULTURE14

u La traite des chèvres est toujours un moment important dans la vie d’une éleveuse.

Une aide départementale de 40 000 € a été réservée sur 2013 et 2014 pour la réalisation d’une étude sur les circuits courts menée par la chambre d’agriculture et l’Association pour le développement de la diversification en milieu agricole et rural (ADMA). Cela a permis  la mise en place d’une plateforme internet « Appro 52 » qui facilite l’organisation d’un réseau de distribution de produits fermiers  à destination des professionnels de la restauration collective  et des particuliers.De plus, l’aide à la diversification des filières agricoles  du Département finance  les investissements matériels nécessaires pour tester les créneaux innovants (techniques de récolte, productions agricoles à forte valeur ajoutée, points de vente de produits locaux, etc.) En quelque sorte, le conseil général assure « le risque d’expérimenter pour innover ». En 2014, 30 000 € ont été affectés à cette opération.

Le conseiL généraL aide Les fiLières courtes

u Durant les périodes des fêtes, Cyrille Jeanson s’occupe également de la reproduction des poissons.

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Le déménagement rue du vieux Moulin à Chaumont est terminé depuis octobre. Chacun a pris possession des lieux.

Objectif atteint. Le regroupement sur un même site du centre d’incendie et de secours de Chaumont, de l’État major du SDIS (service départemental d’incendie et de secours), du centre de traitement des appels qui regroupe le 18 des pompiers et le 15 du Samu et des services techniques permet de développer la mutualisation et la formation notamment, au cœur de ce projet. Le conseil d’adminis-tration du SDIS et son Président, de concert avec M. le Préfet, ont engagé depuis plusieurs années le rapprochement stratégique de ces structures pour mieux coopérer, davantage travailler ensemble et offrir à l’ensemble des Haut-Marnais un service optimisé.

���MutuaLisation�:�que�des�avantages�

Rappelons en effet que le rapprochement du 15 et du 18 permet de gagner en efficacité : l’appel arrivant sur une même plate-forme, l’information est transmise au Samu et aux sapeurs-pompiers et le problème géré en conséquence par l’un ou par les autres en fonction du besoin. Un plus certain pour organiser les secours au mieux. Mutualisation aussi au niveau des bâtiments sur ce nouveau site de 37 000 m2. En effet, les sapeurs-pompiers de Chaumont sont installés dans des locaux flambant neufs dont certaines parties sont partagées. Tout comme la salle de sport et le gymnase, le centre d’hébergement de 24 chambres est mutualisé entre le centre de secours et l’école.

Une mutualisation entre le SDIS et le Centre technique départemental (CTD) du conseil général, pour l’entretien des engins, est éga-lement en cours, en un lieu unique : le CTD.

���se�Mettre�en�situation��Pour�Mieux�se�ForMer

Le centre de formation, qui n’existait pas aupa-ravant, propose pour l’ensemble du départe-ment, voire au-delà, de la formation initiale professionnelle ou volontaire alors que celle-ci était auparavant dispensée en dehors de la Haute-Marne, faute de place. L’école permet-tra aussi aux sapeurs-pompiers professionnels et volontaires de se former à l’avancement et aux différentes spécialités (sauvetage, risques chimiques, etc.). Dotée d’un équipement à la pointe, l’école comprend une tour d’exercice de 5 niveaux pour 24 m de hauteur ; un plateau « gaz » pour apprendre à gérer une fuite de gaz ; une toiture pédagogique avec panneaux solaires, fenêtre de toit, chien assis et diffé-rents types de tuiles ; une maison à feu gérée depuis le poste de pilotage pour déclencher, contrôler ou éteindre un feu dans une voiture, une cuisine, une chambre, une citerne de gaz, etc. Un tronçon de route a même été imaginé et une aire pour la désincarcération des véhi-cules installée. Tout a été pensé pour que les conditions d’entraînement se rapprochent le plus possible de la réalité du terrain. Rendez-vous aux portes ouvertes samedi 15 novembre entre 15h et 18h pour découvrir ce bel espace qu’est la Cité des sapeurs-pom-piers de la Haute-Marne !

AMD ■

La Cité des sapeurs-pompiers est opérationnelle

Ligne Directe n° 114 15 séCURITé CIvILE

Après 28 mois de travaux cofinancés par le conseil général, la Cité des sapeurs-pompiers de la Haute-Marne  est sortie de terre en septembre dernier. Arrêt sur image avant l’inauguration prévue le 15 novembre prochain.

u Les appels provenant du 18 et du 15 arrivent tous ici, au centre de traitement des appels

u La Cité des sapeurs-pompiers de la Haute-Marne est implantée sur 37 000 m2

u Centre d’incendie et de secours de Chaumont

u La tour d’exercice haute de 24 mètres

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Ligne Directe n° 114médiathèque départementale16

Service du conseil général de la Haute-Marne, la Médiathèque départementale a pour mission la diffusion de la lecture

publique dans les communes. L’objectif : per-mettre à tous les Haut-Marnais l’accès à la lecture et à la documentation sous toutes ses formes. Pour faciliter encore plus le dévelop-pement de la culture, la Médiathèque innove et propose de nouveaux services. Accéder à la presse française depuis sa bibliothèque ou encore réserver un document depuis son domicile devient possible.Et d’autres ressources numériques devraient être proposées aux adhérents des bibliothèques haut-marnaises courant 2015 : VOD (films à la demande), applications pour le jeune public, productions musicales locales, etc.

��Consultation�de�la�presse�en�ligne�

La Médiathèque départementale propose l’ac-cès gratuit via « LeKiosk », à plus de 500 titres de la presse française et internationale au format numérique, couvrant des domaines très variés : actualité, culture, presse féminine, loisirs, sport…Dès le jour de leur sortie, vous pouvez retrou-ver tous vos magazines préférés dans les bibliothèques qui disposent de postes publics connectés à Internet, membres du réseau de la Médiathèque départementale.

AMD ■

+ Pour connaître la bibliothèque la plus proche de chez vous, rendez-vous sur www.haute-marne.fr/mdhm, rubrique le réseau.

Avec l’évolution des technologies de l’information, de nouvelles pratiques sont apparues. La Médiathèque départementale s’est adaptée, a même anticipé afin de répondre aux attentes du public.

Faciliter l’accès à la lecture, à la musique, au cinéma aussi

Le site internet de la Médiathèque permet au public de consulter en ligne le catalogue de son offre documentaire de plus de 280 000 références. Désormais, si vous êtes inscrit dans l’une des bibliothèques du réseau, vous pouvez réserver jusqu’à 5 documents (livres, CD, DVD…) simultanément. Plus besoin de vous déplacer pour réserver votre livre ou autre support, en quelques clics sur www.haute-marne.fr/mdhm, votre demande est enregistrée et traitée dans la journée. La Médiathèque départementale l’achemine dans votre bibliothèque dans les meilleurs délais (en fonction de leur disponibilité et de leur localisation dans le réseau au moment de votre demande). Vous êtes averti dès qu’il est disponible et vous disposez de 30 jours pour venir le récupérer.Bien pratique !

RéseRvation de documents en ligne

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archives�départementales,��Rue du Lycée agricole à Chaumont/Choignes Entrée libre Rens. : 03 25 03 33 54 Château�du�grand�Jardin��à�Joinville Tarifs habituels, sans supplément pour ces représentations Réservations obligatoires au 03 25 94 17 54

Atelier marionnette proposé en amont ou à l’issue de la représentation « Quand j’étais petit, j’étais soldat », dans la limite des places disponibles (réservation obligatoire)Les 15 et 16 novembre

Ligne Directe n° 114 17 Culture

����de�noMBreuX�doCuMents��datant�de�la�grande�guerre

Aux Archives départementales, service du conseil général, l’exposition « Signes de la Grande Guerre » initialement prévue jusqu’au 31 juillet, est prolongée jusqu’à la mi-novembre.Entre propagande, communication de masse, témoignages de poilus et correspondance intime, « Signes de la Grande Guerre »1 aborde les rôles de l’image et du signe pendant la Première Guerre mondiale à travers nombre de documents : affiches, cartes postales, lettres, presse, photographies, journaux de tranchées, décorations et documents issus de la Grande Collecte menée en novembre 2013.Et après le succès rencontré en 2013 avec plus de 130 particuliers qui ont confié aux Archives leurs documents familiaux, qui ont été numérisés et seront prochainement mis en ligne, l’opération est renouvelée vendredi 14 et samedi 15 novembre prochain. Toutes les personnes qui le souhaitent peuvent présen-ter leur souvenirs familiaux liés à la Grande Guerre (correspondance, carnets, dessins, photographies, objets…).Les documents ainsi numérisés ou collectés rejoindront les très nombreuses ressources des Archives départementales sur la Grande Guerre déjà conservés dans les fonds. Afin de mieux les faire connaître auprès du grand public, le conseil général propose une publi-cation à paraître courant novembre. Recen-sant toutes ces ressources, elle développe les ensembles documentaires les plus marquants.

���des�Histoires�de�Vie��en�teMps�de�guerre

Au château du Grand Jardin, des spectacles racontent des histoires de vies en temps de guerre : des histoires vraies, vécues à des époques différentes, sur des territoires diffé-rents, selon des esthétiques différentes : la marionnette et le cirque.

Après le concert lecture « Le violoncelle de guerre, Maurice Maréchal et le Poilu », donné le 7 novembre dernier, qui retraçait l’histoire vraie de Maurice qui, pour surmonter l’horreur et l’ennui, demanda à deux compagnons de régiment de lui fabriquer un violoncelle ; place à la marionnette et à la vidéo avec Théâtre Mü qui présente « Quand j’étais petit, j’étais soldat » samedi 15 et dimanche 16 novembre à 16h. Il y a longtemps, pas si longtemps, dans un pays lointain pas si lointain, H. était enfant-soldat. Il avait 13 ans. Dans ce spectacle (accessible aux enfants à partir de 8 ans), par le biais de la marionnette, il s’agit d’aborder un des thèmes les plus difficiles à évoquer, celui de la barbarie humaine et de son irra-tionalité la plus extrême lorsqu’elle se mêle au monde de l’enfance.

AMD ■

+ Plus d’informations sur : www.haute-marne.fr

Dans le cadre du centenaire de la Première Guerre mondiale, le conseil général propose une exposition, une publication et des spectacles pour se souvenir du passé et se questionner sur l’impact de la guerre sur les populations.

Pour se rappeler et s’interroger aussi

1. L’exposition « Signes de la Grande Guerre » a été initiée par Les Silos, Maison du livre et de l’affiche, en partenariat avec les Archives départementales, dans le cadre du dernier Festival Chaumont Design Graphique et à l’occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale.

tania’s PaRadiseCirque, contorsionCompagnie Attention FragileDimanche 23 novembre à 16h�au château du Grand Jardin

Tania est de Tel Aviv, contorsionniste. Dans une yourte kirghize, elle se tord dans tous les sens en vous regardant droit dans les yeux...

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Jusqu’à la fin du mois, les Haut-Marnais peuvent découvrir ou continuer de profiter des conteurs, musiciens et autres artistes

du festival « Les Diseurs d’Histoires ». Le récit, plus qu’un divertissement, est une invitation à voyager. Quel que soit le spectacle, il s’agit toujours d’un moment nouveau, festif et joyeux, qui crée des liens entre les habitants.

��Un�évènement�local

Dès sa première édition, le festival s’est voulu ouvert au plus grand nombre. C’est désormais une tradition à laquelle chacun est particuliè-rement attaché. Parce que la culture doit être accessible à tous, les organisateurs s’appuient sur des partenaires locaux : Médiathèque départementale, associations, bibliothèques, etc. C’est le meilleur moyen de susciter un appétit de culture et d’établir un dialogue entre tous les publics.

��célébrer�Une�histoire

Ce festival est d’abord la rencontre avec un vécu, un imaginaire, une culture ou encore une identité. Inséparable d’une relation à la langue et à la mémoire, le conte trouve sa richesse dans la diversité des talents et des répertoires. Tour à tour flamboyants, géné-reux et surprenants, les artistes Ladji Diallo, Claudine Bourcelot, Sylvie Spilmann, Cahina Bari, Gérard Portier et Gérard Baraton, tous très en verve, ont su conquérir les spectateurs Haut-Marnais, petits et grands.

���rencontre(s)�:��raviver�les�mémoires

D’autres spectacles sont prévus d’ici à la fin du mois. Nul doute que la présence de nou-veaux artistes contribuera à enrichir encore davantage le festival. Parmi eux, la rencontre avec Aurélie Loiseau, à la Résidence artistique intergénérationnelle, devrait être particuliè-rement appréciée. En effet, tout au long de l’année, la Fédération départementale des foyers ruraux coordonne un projet de sauvegarde et de valorisation des mémoires haut-marnaises. Aurélie Loiseau, conteuse associée au projet, est présente une fois par mois en Haute-Marne pour rencon-trer les habitants et collecter des souvenirs.Un spectacle inspiré des récits des personnes rencontrées est en cours d’écriture. Morceaux choisis au centre culturel de Longeau, le 21 novembre prochain à 18h30.

Louis Nectoux ■

+ Plus d’informations :

Les Foyers ruraux – Tél. 03 25 32 52 80 www.foyersruraux.com

La 24e édition du festival « Les Diseurs d’Histoires » a lieu en ce moment, jusqu’au 29 novembre. Pour cette édition 2014 riche de 50 spectacles, les foyers ruraux et leurs partenaires accueillent des artistes de tous les horizons pour redonner vie à l’art du conte.

Histoires en campagne

Ce festival est d’abord la rencontre avec un vécu, un imaginaire, une culture ou encore une identité. Inséparable d’une relation à la langue et à la mémoire, le conte trouve sa richesse dans la diversité des talents et des répertoires.

Ligne Directe n° 114 culture18

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��aU�cœUr�des�mots

Le prétexte est alors « de rompre la solitude par des moments de lecture partagée » mais depuis quatorze ans, tout comme le mot évolue dans l’histoire de celui-ci, les buts de l’association ont également évolués. Et de la lecture à domi-cile - pierre angulaire du mouvement - aux contributions multiples, c’est tout un panel d’interventions, sorte de vitrine mouvante, qui est proposé aux Haut-Marnais. Plusieurs lecteurs bénévoles, cent cinquante membres répartis dans le département, la confiance de nombreux partenaires, beaucoup d’heures, beaucoup de temps, de multiples rencontres pour que de luxuriantes guirlandes de mots soient attachées aux manifestations.Auprès des enfants hospitalisés, auprès des résidents de maisons de retraite, auprès des locataires de la maison d’arrêt, cet instant privilégié dédié à la lecture est le prétexte à l’échange, à la conversation. Car la lecture à haute voix débride la parole de ceux qui ne la prennent pas de manière spontanée. De plus en plus sollicitée, Au Cœur des Mots participe aussi bien aux salons du livre de Chaumont, qu’aux rencontres philosophiques de Langres, et à toutes animations pour peu qu’on les sollicite. Dès que les écrits peuvent être partagés, les liseurs sont au cœur de l’action.

��boUqUets�de�mots

« Le rapport à la lecture est un morceau de rêve » dit Monique que les jeunes malades de l’hô-pital (entre trois et quatorze ans) attendent

avec impatience une fois par semaine. Cette dernière, dès 14 heures, appelle le service afin de connaître le nombre d’enfants qui seront à l’écoute. Ensuite, elle passe aux Silos ; conseils, choix des ouvrages emprun-tés et merveilleux moment de convivialité, autant pour celui qui apporte la parole que pour celui qui la reçoit.Entre les bouquets de lectures ou les bouquets philo, entre le panier de rouleaux aux cita-tions diverses et le concours d’écriture avec les mots de la presse, avec les mots de la francophonie, mots surprises, mots valises, accroche-mots, etc., c’est le vocable dans tous ses états que cette association met en bouche. Libre, évolutive, en empathie avec un audi-toire curieux, toujours plus important, elle rebondit sans cesse, fonction de l’actualité et des demandes qu’on lui adresse. Car, ainsi que le souligne la Présidente « le mot engendre le désir du mot ». C’est dès lors, un partage d’émotions, des cadeaux réciproques, des lectures individuelles ou de groupes. Toutes ces actions créent du lien social. Et dans certaines structures, elles sont reçues comme la respiration de l’extérieur, « le souffle du dehors » qui prend ses aises pour un instant, en distribuant rêve, amitié, dignité. Bravo !

Gil MeLISoN-LePAGe ■

+ Contact : Association au Cœur des Mots 20 Grand’Rue - 52000 Luzy-sur-Marne

C’est à la lecture d’un fait divers malheureusement trop fréquent - le suicide d’un monsieur âgé - qu’en 1999 Anne Duvoy se met à la recherche d’une association haut-marnaise proposant d’endiguer la solitude. À l’époque, elle ne trouve pas. Mais l’idée est en chemin et, au printemps suivant, sous l’impulsion de cette jeune institutrice, une association voit le jour.

Quand la parole se fait lien

Ligne Directe n° 114 19 une équipe à l’honneur

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��Un�évènement�d’envergUre

42 000 festivaliers. 200 exposants. 2 000 pho-tos sur 15 sites… Les chiffres du festival photo parlent d’eux-mêmes. Organisé par l’Afpan « l’Or vert », il est le rendez-vous incontour-nable des passionnés, amateurs et profes-sionnels de la photo et de la nature. Lieu de découvertes et de rencontres, il promet encore bien des surprises. Pendant quatre jours, de grands photographes exposeront leur travail et des spécialistes du monde animalier et de la nature proposeront conférences et débats accessibles à tous. Souvent copié, mais jamais égalé, ce festival n’a pas d’équivalent. « Les

photographes qui exposent sont toujours présents. Cette année, nous en recevons environ 80. Ils seront tous là pour discuter et échanger avec le public. » Pour Régis Lafarge, le président de l’association organisatrice, « c’est un moment unique ». Fenêtre ouverte sur le monde et son devenir, ce festival éco-citoyen montre ses beautés mais aussi sa fragilité. "La biodiversité passée, présente et future", est l’un des thèmes mis en avant cette année. Des invités d’ex-ception seront présents comme Steve Winter, photographe du National Geographic qui est

le parrain de cette nouvelle édition. Plus de 40 heures de conférences et plus de 70 forums sont programmés. Outre les animaux du présent qui seront notamment évoqués lors d’une rétrospective sur les espèces menacées ou en voie de disparition, les visiteurs auront deux belles surprises. Ils pourront se projeter des milliers d’années plus tard et replonger dans le passé : « Il s’agit d’une exposition inso-lite. Du jamais vu en festival ». Le président n’en dira pas plus.

��PoUr�toUte�la�famille

Un espace sera une nouvelle fois dédié aux scolaires. Un aménagement unique réalisé rien que pour les enfants avec des expositions à leur hauteur et plus de 130 animations. L’an passé, il était 4 400 à en profiter. Tous ces moments forts et surprenants ne seraient possibles sans l’aide des 600 bénévoles. « Nous avons consolidé de forts partenariats. 98% d’entre eux sont à nos côtés depuis la première heure, à commencer par le conseil général ». Régis Lafarge est également fier de pouvoir compter sur un esprit de solidarité collective. L’esprit festival se ressent dans toute la commune. Le public ne se lasse pas de ce rendez-vous automnal. La plupart revient chaque année avec plaisir. Un pass découverte à tarif réduit sera une nouvelle fois disponible le dimanche après-midi. Ainsi, chacun aura accès à ce festival unique en Europe.

B. AlexAnder ■

+ Plus de renseignements sur www.festiphoto-montier.org

Le festival international de la photo animalière et de nature de Montier-en-Der se déroulera du 20 au 23 novembre. Pour sa 18e édition, il réunira les plus grands photographes et spécialistes animaliers et de nature au monde.

Un festival unique en Europe

- 41 160 festivaliers- 80 expositions photos- 180 exposants- 2,6 km de panneaux - Plus de 140 000 connexions

sur le site internet en novembre

- Collaboration d’une cinquantaine d’associations, de structures, d’entreprises et commerces locaux…

- 18 parrains prestigieux depuis le 1er festival

- 2,8 M€ de retombées économiques

Le festivaL 2013 en queLques chiffres

En plus de son soutien financier au festival, le Département remet aussi depuis de nombreuses années, le « Prix du conseil général » à un photographe qui s’est distingué lors du concours international du festival.

Ligne Directe n° 114Évènement20

u Organisé sur quatre jours, le festival a la particularité de recevoir l’ensemble des photographes qui exposent

u L’an passé, près de 42 000 visiteurs ont fait le déplacement

u Un espace est entièrement dédié aux scolaires avec plus de 130 animations

+ Conférence d’Yves COPPENS « La figuration de l’Homme fossile » Samedi 22 novembre à 16h aux Fuseaux de Saint-Dizier

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EXPOSITIONS 1814-1914-2014, métamorphoses d’un territoire métallurgique, 200 ans d’histoire industrielle

Jusqu’au 23 novembre, Parc Métallurgique, Dommartin-le-Franc, Rens. : 03 25 04 07 07, www.metallurgicpark.com

L’art de la copie. Un projet d’art thérapie autour des tableaux du musée

Jusqu’au 29 novembre, Musée de Saint-Dizier, Rens. : 03 25 07 31 50

Il y a 100 ans, la Grande Guerre, objets inédits

Jusqu’au 24 novembre, Musée de Saint-Dizier, Rens. : 03 25 07 31 50

FLO(N)rilège photographique 2014

Du 13 au 30 novembre, Centre culturel et sportif Robert Henry, Nogent, Rens. : 03 25 31 71 24

EXPOSITIONS

LIGNE DIRECTE N° 114 21 LOISIRS

AGEN

DA Culture créoles, objets inédits

Du 24 novembre au 19 décembre, (5 décembre, 18h, un conte créole sera lu dans les salles du musée), Musée de Saint-Dizier, Rens. : 03 25 07 31 50

Au fil de mon Imagination, Elyane Buttighoffer

Jusqu’au 3 décembre, Musée municipal, Bourbonne-les-Bains

Mammés dans la fournaise, gravures

Jusqu’au 8 décembre, Musée d’Art et d’Histoire de Langres, Rens. : 03 25 86 86 86, ww.musees-langres.fr

Culture geekDu 22 novembre au samedi 31 janvier, Les Silos, Chaumont, Rens. : 03 25 03 86 86

CONCERTS Chloé Lacasse, chanson

15 n ovembre, 20h30, Théâtre, Langres, Rens. : 03 25 87 15 91

Emanuel Depoix15 novembre, 19h, Neuilly-sur-Suize, soirée cabaret

Pierre et le Loup, ciné-concert

18 novembre, 10h, La Forgerie, Wassy, Rens. : 03 25 07 31 26

Les Monts du Reuil, les mercredis du conservatoire, musique baroque

19 novembre, 19h, Auditorium du Conservatoire, site de Saint-Dizier, Rens. : 03 25 96 05 00

De la couleur au château du Grand JardinJusqu’au 30 novembre, le château du Grand Jardin à Joinville propose deux expositions originales pour un site patrimonial classé Monument historique.

Installations plastiques au château du Grand JardinÀ découvrir dans les jardins et le château

Comme une toile de peinture ou la matière brute d’un sculp-teur, Elsa Tomkowiak a installé des surfaces planes de couleurs, cherchant à souligner des points de vue sur le site et à restructu-rer l’espace par ce jeu chroma-

tique. L’artiste propage la cou-leur au-delà des limites du lieu d’exposition, de l’architecture, du paysage lui permettant ainsi de jouer avec les tons des feuillages qui marquent les saisons.

Exposition Architecture [arʃitɛktyr] - HetaoneAutour du graffiti

PROLONGATION

Au printemps, Sylvain Chaix, artiste urbain, était invité à dialo-guer avec les décors des façades du château du Grand Jardin. Au prétexte d’une nouvelle lecture du site et des thèmes qui le tra-versent, Hetaone (pseudonyme de l’artiste) nous invite à un véri-table voyage dans le temps et dans l’univers du street art. Les graffs tapissent les murs de l’ex-position. Comme à chaque étape de son tour du monde, Hetaone laissera une trace de son passage

pour continuer de bousculer les frontières culturelles.

+ Site ouvert uniquement le week-end de 14h à 18h jusqu'au 30 novembrePlus d’informations au 03 25 94 17 54 ou sur www.haute-marne.fr

Les Monts du Reuil

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Bamako Quintet, afro-groove-trad

21 novembre, 20h30, l’Épicerie, Langres, Rens. : 06 42 87 91 42

Ensemble de clarinettes de Joinville, musique traditionnel, jazz, musique de film

21 novembre, 20h30, Musée de Saint-Dizier, Rens. : 03 25 07 31 50

Un Sognu, chants corses22 novembre, 20h30, Théâtre, Langres, Rens. : 03 25 87 18 73

Flow my tears, Bruno Le Levreur

28 novembre, 20h30, Salon de l’Hôtel de Ville de Chaumont

L’Ensemble Vocalys chante Noël, chant choral

7 décembre, 17h, Église Saint-Martin, Langres, Rens. : 06 07 59 60 77

Pédro Kouyaté10 décembre, 18h, Médiathèque Romain Rolland, Saint-Dizier, Rens. : 03 25 56 56 66

Frank Michael14 décembre, 16h, Cosec, Montier-en-Der, Rens. : 03 25 04 69 17

AGEN

DA

LIGNE DIRECTE N° 114LOISIRS22

Bamako Quintet

Diego Imbert, Carte Blanche à Arts Vivants 52

3 décembre, 19h, Auditorium du conservatoire à rayonnement intercommunal, Saint-Dizier, Rens. : 03 25 96 05 00

Istebna, jazz manouche5 décembre, 20h30, Velles

Grazyna Pawlikowski et le Groupe Est-Ouest, musique polonaise et de l’Europe de l’Est

7 décembre, 16h, Pôle socioculturel, Montier-en-Der, Rens. : 03 25 04 25 14

Gérald De Palmas5 décembre, 20h30, Les Fuseaux, Saint-Dizier, Rens. : 03 25 07 31 26

Schubertuade, orchestre de Chambre

7 décembre, 11h et 15h30, Le Théâtre, Saint-Dizier

Concert de Noël du Conservatoire de musique

14 décembre, Basilique Saint Jean-Baptiste, Chaumont

Concert de Noël, chant choral

21 décembre, 16h, Cathédrale, Langres, Rens. : 03 27 87 34 68

CONFÉRENCES La Grande Guerre, par M. Petrazoller, Directeur des Archives Départementales des Vosges et M. Michelot, Professeur d’Histoire à Chaumont

15 novembre, 15h, Salles des fêtes, Arc-en-Barrois

Le relief de Sainte Parenté de la Cathédrale de Langres, par Arnaud Vaillant, régisseur des collections des Musées de Langres

20 novembre, 18h, Musée d’Art et d’Histoire, Langres, Rens. : 03 25 86 86 86

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CONCERT

CONFÉRENCE

Concert du Nouvel An avec les plus grandes Valses de Vienne, interprétées par l’Orchestre Natio-nal de Lorraine sous la direction cette année de Jean-François Verdier.À l’image du Concert de Nouvel An à Vienne, valses viennoises, polkas mais aussi extraits de ballets et d’opérettes trouvent tout naturellement leur place dans ce programme servi par les plus grands spécialistes du genre. Aux côtés de l’in-contournable dynastie Strauss, on retrouve les noms prestigieux de Verdi et Tchaïkovski ainsi que ceux de Franz von Suppé et Gueorgui Sviri-dov dont la musique, pour avoir bénéficié dans une moindre mesure des faveurs de la postérité, ne manque pas d’intérêt. Un programme déton-nant pour une soirée exceptionnelle, à l’image de la tonitruante polka de Johann Strauss, dont les éclairs de génie pourraient bien vous valoir un véritable coup de foudre.

Samedi 10 janvier 2015 – Entrée à 19h30, début du concert à 19h45/20 h au cinéma Vox à ChaumontDurée : 75’Tarif : 35 €/personneBuffet cocktail à l’entracte avec le Chef d’orchestre et les virtuoses (inclus dans le tarif)Réservations : Centre Leclerc de Chaumont, agence JHM Chaumont centre ville, Place Cantarel à Andelot ou Écomarché à Rimaucourt et Bologne

+ Renseignements au : 06 87 54 56 68 ou 06 86 34 97 54. Organisé l’association 52 à La Une.

Attendues par les amateurs d’Art et d’Histoire, les conférences du Mardi ont démarré la saison 2014-2015 en octobre. Les Archives départemen-tales, service du conseil général, et le musée d’Art et d’Histoire de la Ville de Chaumont ont concocté cette année encore, un programme riche en découvertes.

Au programme• Le vrai du faux – Les chartes carolingiennes conservées en Haute-MarnePar Sébastien Barret, chargé de recherche à l’Ins-titut de recherche sur l’histoire des textesMardi 25 novembre au conseil général, salle Pierre-Niederberger

• À la rencontre de l’Art contemporain aux Musées de ChaumontPar Armelle Blary, plasticienneMardi 16 décembre au Musée d’Art et d’Histoire

• Signes de la collaboration de la RésistancePar Michel Wlassikoff, historien du graphismeMardi 13 janvier au conseil général, salle Pierre-Niederberger

Un mardi par mois à Chaumont à 20h30 Entrée libre Durée : 1h15 environ

+ Renseignements : conseil général, service des Archives départementales au 03 25 03 33 54Musée d’Art et d’Histoire de Chaumont au 03 25 03 01 99Retrouvez tout le programme sur www.haute-marne.fr

Les Valses de Vienne à Chaumont

Les Conférences du mardi : nouvelle saison

Les colporteurs d’estampes au XVIIIe siècle, par Corinne Le Bitouzé, conservatrice au département des Estampes et de la Photographie à la Bibliothèque Nationale de France

4 décembre, 18h, Maison des Lumières Denis Diderot, Langres, Rens. : 03 25 86 86 86

Jules-Claude Ziegler, par Stephan Guégan, historien, critique d’art et conservateur au département des peintures du Musée d’Orsay

18 décembre, 18h, Musée d’Art et d’Histoire, Langres, Rens. : 03 25 86 86 86

THÉÂTRE Pique-nique en campagne, sur le thème de la mémoire de la Grande Guerre et des tranchées

14 novembre, 20h30, Théâtre, Langres, Rens. : 03 25 87 55 19

L’Odysée2 décembre, 20h30, Le Théâtre, Saint-Dizier, Rens. : 03 25 07 31 26

SPECTACLES Emanuel Depoix

15 novembre, 19h, Neuilly-sur-Suize, soirée cabaret

La famille Semianyki, clown15 novembre, 20h30, Centre culturel et sportif Robert Henry, Nogent, Rens. : 03 25 31 71 24

Déjà trop vieux pour mourir jeune, Hervé Akrich

28 novembre, 20h30, Nouveau Relax, Chaumont, Rens. : 03 25 01 68 80

LIGNE DIRECTE N° 114 23 LOISIRS

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Cirque national de Cuba « Fiesta Havana »

4 décembre, 18h et 20h45, Salle Jean-Favre, Langres, Rens. : 03 81 44 29 78

Salut les copains !12 décembre, 20h30, Les Fuseaux, Saint-Dizier, Rens. : 03 25 07 31 26

Père Noël Vert, après-midi de solidarité pour les enfants et leur famille

17 décembre, 14h, Théâtre, Langres, Rens. : 06 85 94 72 74

Soirée solidarité, théâtre et musique par les élèves du Lycée Diderot

17 décembre, 20h30, Théâtre, Langres, Rens. : 03 25 87 09 95

Blanche Neige, comédie, danses et chansons

29 novembre, 15h30, Les Fuseaux, Saint-Dizier, Rens. : 03 25 07 31 26

Concert Tôt, spectacle musical de 6 mois à 5 ans

2 décembre, 18h30, Salle Jean-Favre, Langres, Rens. : 03 25 87 60 34

La légende de Saint-Nicolas, de 4 à 10 ans, Heure du conte

3 décembre, 14h30, Médiathèque Romain Rolland, Saint-Dizier, Rens. : 03 25 56 56 66

Les lutins du Père Noël, conte musical (percussions diverses, flûtes…), de 2 à 10 ans

13 décembre, 10h30, Médiathèque Romain Rolland, Saint-Dizier, Rens. : 03 25 56 56 66

SPORTBoxe anglaise Gala

28 novembre, 20h, nouveau gymnase, Chaumont

Échecs Interclubs Champagne-Ardenne 1 ronde 3 : Chaumont 1- Chaumont 2

14 décembre, 14h, 24 avenue du Gal Leclerc, Chaumont

Handisport Handi Valid Ball

22 novembre, 9h30-17h, gymnases Gagarine et nouveau Gymnase, Chaumont

Volley-ball Volley-ball

LA, 20h, salle Jean Masson, Chaumont- Chaumont-Paris, 13 novembre- Chaumont-Sète, 29 novembre - Chaumont-Tourcoing, 9 décembre - Chaumont-Cannes, 20 décembre

Coupe d’Europe : Chaumont-Fonte Bastardo Azores

18 novembre, 20h, nouveau gymnase, Chaumont

AGEN

DA

LIGNE DIRECTE N° 114LOISIRS24

Muriel Robin – Robin revient, Humours d’Hivers

18 décembre, 20h30, Les Fuseaux, Saint-Dizier, Rens. : 03 25 07 31 26

SPECTACLESJEUNE PUBLIC La sorcière sans nom, conte interactif sur tablette

12 novembre, 14h30, Médiathèque du Val de Blaise, Wassy, Rens. : 03 25 04 08 70

O fil des mots : Bonnet de lutin, conte, de 18 mois à 5 ans

19 novembre, 16h, Maison de Quartier, Langres, Rens. : 03 25 87 60 34

Anniversaire, croqu’albums, de 2 à 6 ans

19 novembre, 16h30, Les Silos, Chaumont, Rens. : 03 25 03 86 86

Bonnet de lutin, conte20 novembre, 10h30, de 18 mois à 3 ans, Médiathèque du Val de Blaise, Wassy, Rens. : 03 25 04 08 70

Blanche-Neige

Cirque national de Cuba « Fiesta Havana »

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Tir à l’arc Tir à l’arc en salle 18 mètres

22 novembre, 15h et 23 novembre, 9h, gymnase Gagarine, Chaumont

Tournoi des 4 Ballons Tournoi des 4 Ballons

Du 22 au 27 décembre (sauf les 24 et 25)18h30 du 22 au 26 décembre et 13h30 le 27 décembre, nouveau gymnase, Chaumont

DIVERS Les hommes sont-ils des femmes comme les autres ?, soirée philo

13 novembre, 20h, Maison des Lumières Denis Diderot, Langres, Rens. : 03 25 87 63 00

Irlande, ombres et lumière, film de Luc Giard

14 novembre, 14h30, Cinéma New Vox, Langres, Rens. : 03 25 88 55 17

La 1ère Guerre Mondiale à travers les livres, café lecture

15 novembre, 10h30, Médiathèque du Val de Blaise, Wassy, Rens. : 03 25 04 08 70

Salon du livre15 et 16 novembre, Salle des fêtes, Arc-en-Barrois

Evasion dans les îles, café lecture

20 décembre, 10h30, Médiathèque du Val de Blaise, Wassy, Rens. : 03 25 04 08 70

19e Salon des Antiquités et de la Brocante

15 novembre, 14h-18h et 16 novembre, 9h-18h, salle des fêtes, Châteauvillain (2 €), Rens. : 03 25 32 98 63

Salon du mariage16 novembre, 10h-18h, Chaumont, Rens. : 03 25 03 19 94

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EXPOSITIONMarianne, égérie des créateurs

Après « les Voitures de l’Élysée », Marianne s’invite au Mémorial Charles de Gaulle.Depuis 1792, Marianne demeure la fi gure symbolique de notre République et de notre patrimoine. Muse moderne, elle a inspiré et continue d’inspirer aujourd’hui de nombreux créateurs issus du monde des Arts. L’exposition inédite et originale, « Marianne, égérie des créateurs », entend montrer que Marianne est plus qu’une simple allégorie de la République. Elle est aussi une muse à la fois traditionnelle et moderne : sept robes hautes en couleurs tricolores et toutes différentes les unes des autres portant la signature de créateurs de renom de la couture française comme Lefranc-Ferrant ou Repetto sont exposées et accompagnées de leur croquis et d’une série de 26 gouaches inédites de Choubrac et Minon, créateurs de costumes, affi chistes du début du XXe siècle.Prêtés par le Sénat et par Pierre Bonte, grand spécialiste de Marianne, 16 bustes mettent à l’honneur une des repré sentations les plus courantes de la République.Le visiteur découvre à la fois une Marianne traditionnelle, dotée de nombreux attributs civiques, et une Marianne plus médiatique, à travers le buste de Brigitte Bardot réalisé par Alain Aslan en 1969.La magie opère tout au long de l’exposition. Tout se passe comme si les robes et les différents bustes de Marianne, devenue femme à part entière, incarnent à eux seuls idées et symboles. Vous serez transporté

dans l’imaginaire de ces artistes pour lesquels Marianne, icône, déesse, ou femme ordinaire demeure une source d’inspiration exceptionnelle.

Au Mémorial Charles de Gaulle jusqu’au 30 décembre 2014

+ Plus d’informations au 03 25 30 90 80 ou sur : www.memorial-charlesdegaulle.fr

Marianne par Jacques Faisant

THÉÂTREThéâtr’O Pays

Pour cette saison de Théâtre’O Bistrot, le Pays de Chaumont innove et vous propose de découvrir son projet : Théâtr’O Pays. Les spectacles sont proposés dans les mairies, les salles des fêtes mais aussi dans des lieux insolites comme les lavoirs de nos villages.

Découvrez Tonto, une histoire où chacun peut s’y reconnaître, on passe du rire à la tendresse, de la tristesse à la surprise.- 21 novembre, 20h30, salle des fêtes de Leffonds (Tonto une dernière fois) - 22 novembre, 20h30, mairie de Doulaincourt (Tonto noir et Tonto blanc)

+ Plus d’informations au 03 25 31 67 37

Marianne par Katherine Pradeau

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AGEN

DAFESTIVALFestival Eclectik Rock

Du 12 au 16 novembre, Saint-Dizier vous accueille pour la 9e édition du Festival Eclectik Rock, rendez-vous incontournable des musiques actuelles. Au programme, diversité et éclectisme, des rythmes rock, folk, pop… vont résonner dans toute la ville pour les grands et les petits !

À ne pas manquer : ËKO, entre reggae et soul12 novembre, 18h, Médiathèque Romain Rolland

Peace and Lobe, spectacle, expo-sitions, animations, conférence.Histoire de la musique, sensibi-lisation des jeunes aux risques auditifs causés par l’écoute et/ou la pratique intensive et à fort volume des musiques amplifiées13 novembre, Les Fuseaux

Parcours musical dans la ville, dans 4 établissements de la ville 14 novembre, à partir de 20h

Louis Bertignac (1ère partie) / MeLL 15 novembre, 20h30, Les Fuseaux

Les Papas Rigolos, concert rock jeune public 16 novembre, 16h30, Les Fuseaux

Encore plus fort, expositionJusqu’au 16 novembre, Les Fuseaux

+ Plus de renseignements au : 03 25 07 31 26

ou sur www.ville-saintdizier.fr

Le festival permettra de lancer un tremplin musical destiné à sélectionner 2 groupes qui bénéficieront pendant un an et demi d’un accompagnement pour le développement de leur projet au niveau technique, artistique et promotionnel. Ils pourront également profiter de la mise à disposition des studios de répétition et d’enregistrement des Fuseaux.

ACCOMPAGNEMENT DES GROUPES

Fête des 50 ans de la construction de l’Église Notre-Dame du Rosaire au cœur du Cavalier

16 novembre, au Cavalier, Chaumont

Les Silos ont 20 ans, week-end festif autour de la « culture geek »

22 et 23 novembre, Les Silos, Chaumont, Rens. : 03 25 03 86 86

Marianne Oswald, une flamme, un cri, cinéma

23 novembre, 17h, Théâtre, Langres, Rens. : 06 64 16 37 35

Festival Courts en Champagne, compétition officielle du Festival de courts-métrages 28 novembre, 19h-23h, Théâtre, Langres, Rens. : 03 25 84 35 70

Lecture à voix haute, pour adultes sur le thème de la science-fiction

29 novembre, 15h, sur inscription, Les Silos, Chaumont, Rens. 03 25 03 86 86

Fête de la Saint-HubertDu 28 au 30 novembre, Place Moreau, Arc-en-Barrois, Rens. : 03 25 02 51 33

Foire de la Sainte-Catherine 30 novembre, journée, Langres, 03 25 87 77 77

Démonstrations de serious games, de lunettes à réalité virtuelle et d’impression 3D

3 décembre, 14h30-17h, Les Silos, Chaumont, Rens. : 03 25 03 86 86

Le Pays Basque des Pyrénées Atlantiques à Bilbao

5 décembre, 14h30, Cinéma New Vox, Langres, Rens. : 03 25 88 55 17

Parade Saint-Nicolas6 décembre, 14h, centre ville, Chaumont

Marché de Noël - Wassy, halle, 50 exposants

d’artisanat d’art, de produits du terroir, animations6 et 7 décembre, Rens. : 06 38 57 38 08

- Nogent, place Charles de Gaulle, produits du terroir, objets décoratifs, artisanat d’art, animations, feux d’artifice, Rens. à la mairie : 03 25 31 86 35

- Montier-en-Der, Place de l’Hôtel de Ville, 19 décembre, Rens. : 03 25 04 22 62

Retrouvez votre âme d’enfant, festivités de Noël

Du 6 au 31 décembre, Chaumont

Petite philosophie du jeu vidéo, soirée philo

11 décembre, 20h, Bibliothèque Marcel-Arland, Langres, Rens. : 03 25 87 63 00

Salon du jeu14 décembre, 10h-18h, marché couvert, Chaumont

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Exposition du 18 septembre au 30 décembre 2014

Mémorial Charles de GaulleColombey-les-Deux-Égliseswww.memorial-charlesdegaulle.fr

Marianne, égérie des créateurs

Exposition Marianne Ligne Directe L210mm x H297mm.indd 1 17/10/2014 14:25

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