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631, ANNE. No 191. BUREAUX : RUE SAINT-ROME, 44. SAMEDI 1'a JUILLET 18li7.
ABONNEMENTSa:
70111AUSi$: Un an, 40 fr.; G mois, 21 le.; 3 mois, Il tr,Hx?'mGarsnneSS
Un an 50 fr.; 6 mois, 25 fr.; 3 mois, 14 ir.ti-0a9a[IpraeRlBl'
4NGER: Los frais supplémentaires de poste en sus.
Toulouse, 13 Juillet.
LOUESE DE PARIS.Setmain due rm dee
prrreist,ataa vasonra.o
P,r emure.
sol I'rt"
aU 11 t, ortie
RLVtt,a ci Aelir[Dr_
omptant et torr;Dis
nlr¢ I 1 eacredo, f (. t) d o
C ro l t f r^( ):. o p. tusU o
Gr'A'. comp. o D au.et and.. omp, axa
os
1 10xse v
ttei a
ov, 0110 te, F n r.'. ob noauv 291 f 66 payé
d. d tout payé.as as p p gne 3 .",xt. , p,
3n Lui .
I comp
e l J, o r-, 500 Ir, Lit. , Fin c.Nord 'Dot. ancien l.. pt J , x 410 fr. Lit, Fi
.^^ Maxicam.. ... ,omp
o
b^
1 > 0011 n, du bad;ot de la lnsuee4 1 des1; le lies,
On recost les abo snement°s et les annonces : TARIF DES ANNONCES:Annonces, la ligue ................... 0 fr.
A TOULOUSE, aux bureaux du Journal, rue Saint-Rome, 44.-A PARIS, chez MM. Havss, 3, rue Jean-Jacques. Réclames, la ligue ................... 0 le.Rousseau!; Loentrz-BUtama,°et camp., 8, place de la Bourse; Fanon-us, 22, rua de Trévise, Faits divers, la ligne ................. 1 fr.
sonie correspondants pour les annonces. Toa'.o, impr. Fh.'?1,nraoam, p. r, SrBame; ÿt
es railsvays et ],a progrès matériels del'Egyple riaient dus a l'Angleterre.
Autre dépsehe.Liverpool, 12 juillet.
New.jerk, 4 juillet.Un proletde ]ai -rois an congrès
misé
'icaindonne a ermviandants militai-
'clin pouvoir do destituer les [onctioaoai-ras civils.
L'exécution d I p r Maa malienait été déé dot j rs par J.-x.
L es ministres de P t d'Angleterrel t enté t r mettant si
B1 l'en""il
g bl g é que'es
tuesor -e g ntiraient que Maxumlicn
quitterait le Mexique,J tarez u t p ndu qua la bonheur
1 Monique d d t la mort de Meurt.Il la.
prime ses sym-pomme pour
"million.Autre :Aépéehe.
P 12 Il t1 au star,teoo A j dh- il, 1, L f. législatif a adopté
G I gè q M lobasle
N .'4 LLihf S 1 tI t t' I 7`
!L 1 t 1 a. d la gloo I.
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l 1*bar n a {Au
Dl. répon i à M. G Pa at ut àra t 1 4dton
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ao d l a
trgm
l tt icl0e
1.1 ua ao t. at ailpou le co ii..uG u a"
J, no b.
c es à l'étrangails;Roulier rép d aussi : fa M- Larra.
boe, sur I«. bom0aroemcnt le Vslparaiso1f Q t t 1, JC
DI m_h f JI IP'it fati nent st d t de touque
L r t d muuct e des aGu i
f0 1 uovb a. la
n. J.e7
1tue Do f t ont ed ptées,
..c3 J J janvim a ,o1 ét est souvent interrompu e4sut 55 rd...l t
i.l.. rappelé àlorarc,s, D.155 rd sit
eu
ao nI 1 t Ollivier parle, sur les réformes
185N ' s par la lettre unpénale du 10
d laJ :ocaobre,La discussiao continuera demilon-D.«13= ]. janv. a c D.
cau 1. Janv. .ontL'J?leudard annonce que le Sultan s'est
u Rat 3 .j -J mbarqué à Boulogoeoaillail cil 3.!° id.
e
Il o axprgmé le regret quitter la'Ils Dsg> France u il a repu DU ac nci l et nos a et
gosse 3 .1. id.. , , le bonheur golf a é ou se revau-'ilt' r J {° ia.. ont au mdreu deses
sb pene
aves alliés.o, a
a0li 'd, ... .
Leix J. I:i j;mv..a
v
Il bat nexact que le ministre français àIl Ilsa o.
rau JJ .
,non oct.
.Mexico, dl, Donu ait manifesté la cvnv-gIxragadreselpa p ]ueEpas
nus o jus ces àr socgne id... réa
e D.o0 les d'être rete en tage
sel Cortugaia 9 .I.. , . , échange aven la général Alm,vte' a00 0 ig lions Ouommes..
nolObt. de l'empnuat Ott. 1855. saa oa ip. amiqoe nrhiliCre de ['iris sla o
as u ro, C.. sseg.n. dee chemina de fer] sa sa
!BOURSE DE PARIS.DU 12 soinrne 1867.
A. comptantvoleurs dinar. Dentier runes. Hausse. Baissa.5 68 0ü 0 00 0 054 1/2 0/0 . 90 00 0 00 0 OU
A terme,5 0/p 4= c. 68 05 0 10 0 00--dur. cours 68
1,1
00(1 0 03Italien0/0 50 25 0 011 0 12Crédit mot. 56fi 00 0 00 1 25C. ,,, Espe. 246 23 0 00 2 i0Banque 3550 00 50 00 0 00
Cbemins de fer.Orléans - 0 00 0 00Lyon lib, 882 75 0 00 5 75Midi...... 000 00 5 75 0 00Autrih.
e i
Z.40v 20 0 00 2 30
Lombardes, 380 23 0 00 5 75Saragosse , 107 GO 0 00 0 00Nord 4'ranç, 1170 00 5 00 0 00
pesas.
Cansctidée.05.00 0/0 0 00 0 1/8
BOURSE DE TOULOUSE.u 12 tcmcrr 1867
De 10 â 11 heures du matin.A. c plant.
50 pour 100 .................
do00
bl. Midi ..............506 75-307 00Liquidatias au 45.
Mobilier
Esp ................. 247 50
Télégrupleie peiné..Madrid, I1 juillet.
tranquillité règne dans toutes lespravices.
Caire, Il juillet.Les provenances d so'Aden et sooui
Lese quarantaine, à se du cholérasprovenances s Indes n'y sont pas
soumises,
Londres, 12 juillet,Deus le banquet dis lord naira e Viee-
Roi a remercié l'Angleterre, il a dit que
Dette, 12 juillet.Le Dtoniteu.r Prussien dédora controu-
vée une prétendue dépéuhe do baron deVerrés, du 18 juin, reproduite pas laGazette de France et la Fracas de Vienne.
Londres, 12 juillet.Le Sultan est arrivé.
Des télégrammes d'Athènes da 11, et dele Caoée, "10 juiltlet, émentent le bailetind'Cmer-Pacha,. e ass
durent que ce dernier,
vaut v ulu pénéirer à Sphakia par lesdéfilés de Oullikrati, aurait été repoussé,eu ayant 500 tués ou blessés.
Munich, 12 juillet,La Gazette de Barrière annonce que le
Roi ira t Paris la semaine prochaine.
Autre dépêche.
Paris, 13juillet.en démet impéeial, endors du i0juillet,
fixe au a et 4 cwût les élections pour ]erenouvellement des Conseils généraux etd'arrondisscmant.
hier le Sénat a adopté la projet relatif
au régime commercial en Algérie,La discussion relative à la loi nue la
cour raine par corps a été renvoyée àma di prochain,
Borne, 42 juillet.Dans un Consiuteire qui a en heu ce ma-
tou, le Pipe prononcé rue allocutionrl'élection du nouveau
patrianohe
deCilici
Dors une autre allocution sur la mortde l'ernpeevr Dlaximilien, le Pape ordonnedes obsèques solonaelles deus la chapelleSixt
Le Pape a ensuite consacré Mgr Berna.don, archevéque de Sens, Mgr Collet,évéque d'O DU et Mgr Libichmvski, sari.flaire de l'évêque de Posev.
Copenhague, 12 juillet.Ev clôturant le Iligsrad, le Roi a pro.
ocré uu discours remerciant la Chambredu vote de la lai sac l'armée, et de son
coca ver la gouvememeut expriméduos l'Adresse.
Le Gouvernement , ajoute le Roi, s'ef-forcera, autant que possible, de consoliderles relations d'amitié aven les puissancesétrangères et à écarter les difficultés pré6ent,e.
Marché du 12 juillet,1,1 betterave, 62 00
1, affaire Berezowsli, attentat du 6 qui tend à rapprocher et qui rapprochera l'industrie privée pour tous les i-
juin, situ appelée lundi, 15 jmllcl, de- dans ii us de deux ans, octobre stenuements et toutes les fournitu eu l c estd'Oneutaux colin oiselle a su dominer et dirigeris dhvont la Coui'dasstses do la Seine .
Les débats du nouveau procès rela-te au crude de I al ashdo tfe plais, cam-meuceront, à Paix IL 22 juillet. On saitlire le nomme Sanlot, dit Casque de Fer,est poursuivirendue <aillent, ou com.plie de ]assassinat de M. de Lassa leeL de ses hm domesOques-
Le Journal d, Toaboooe rendra comptedo ces ceux pt oe'u,' qui doreront plu.scouts ]ours.
,l cette orcasino, il sera délivré desabonnements do quinzaine, du 16 au 31juillet.
Prit r Ville, 2 fr. Extérieur, 2 f. 50.
(illltOI04 ]Rie: LO Lcnfl L.
0 ase que S. Fin. le cardinal Ut h éque do fioedeeux S E I
d al dB
{
iar""'q"R e archevéque é éq s
etdes abbés mitrés doivent a sinter durantles trois leurs aux fêtesIft qmàvert a voir1 le s8 24 t ou Too(ouue àI de 1 t de sainte Ger-
U dit que-y
orsp élats unit ,ilsoi, -,le, à `b c
11ib Illlr Ilévéque de(je Genève, et
D Bodea, ciel ventc iir à I Métropole las deux premiers
1 d t tduo On repère aussi entendraMgr Peintie,, évéque de Nimes,
queMgr l'Aroheva doit aller présider,d d' a lie 1 fat d es prêtres du
LSlr1l iàloo, d , ie Cousu du Col xn ce.
et fête lf grand,I t t le I f ]
t Ii bl d o t 3 Miltf e 1 tara la Pastorale à Saintet nouvelleineut composée par1 acte du eavuyue si pop0lmre Cité desS [ Lesta directeur de notre Cou-orvotoire, M. M6 1 (lent tout le monde
t I gout robe t at distingués, qoela musryue, quoi' du' dilicieuer, appar-tient.
Nous éprauvoas an vif rt -r le roott d. M, l'abbé
Mglet
énon'aur,Ce vénérable ecelimestque a
on bé à une rapide maladie de pottr me, à l8ge de 73 ans. Il avait acquis lessympathies et ]'afl'ecttous de tons s espseoismeus, par soc aile dés oné, l'cnoel-lenc. dos c raotére, l'améité de ,sma mè eres, M. l'abbé Melon émit un boaprêtre, dans toute l'acception du mat-
Son corps, exposé depuis hier sa",oir dansléglise, a été ';allé par uu grand nuebrede fidèles.
Les bsèqucs de vif, le curé do Taurrani .lien aujourd'hui, à 10 heures du
matin, Les personnes qui n'auraient pasreçu de lettres de faire part, seul priées decoasidéi Do Je présent avis comme ea ta.uart lieu-
Les assises de la "'or'-Garonne, pour
le 3''leimestre, s'uuenirona à Toulouse le
Jeudi 5 août, sous la présidence de M. le
ailler Itegert, assisté de D1M, les ton.milices '8illeneuve et Pressai.
M. Dumarest, oapitaioa d'état major deI.. classe est nommé à unenplot de songrade à l'état-major générai du 6= corpsd'armé,,
M. Hiver, lieutenant au 77. die ligne,usa nommé officier d'ordo ira au d M. lelénceaI Je I[allsad, commandant des eu6-divjsions des Basses Pyrénées et des Lia.des.
Cher matin, vers onze heures, lo ciels'cet subitement obscurci et des nuagesépais se saut accumulés au-dessus de noIre ville, BiasWo, uo orage, ou plut0t un,trombe a éclaté. Pendant une demi-heure,des toreram d'eau sont tombés, 81ésd'une grêle abondante at accompagnés docoups de tonnerre effrayants,
Les ruas sont davenaes des rivières quis'élevaient, sur quelques points,fusqu'auxtrottoirs. Un grand nimon, de caves ont"té io ondées, losi gne des corridors etdes n Basins, L'eau ressortait en gerbesit, la bouche des égouts, insuffisants pourl'écoulemevtda cetteéuorme masse. Lofin,la tempête s'est peu à peu calmée, maistout lo -tout de la joumée a été plu.
x.Sur la pleue dus Puits Clos, le terrain
a'est afl'aissé sous le mur d'une vieilleeamaison au pied duquel on pratiquait nue
van'oo pour établir un urinoir,La maison e dû ûme évaluée par les la.
cataires; des barrières ut été placéespour tenir les passants à distance,
ad, cinq cent mersde trois cent millions d'Octadentaux no de- armée de travailleurs par des et y p
'ait asécha e à ce double dan^o:- 1 mfiquas et légaux, sacs jamais le.damas
L'cxistenco pdu est constatée 55 1. fane et a ses abus.
dans un arrêt reodusl v a quelques fours 'tous ces,'.atail, donnés, dans ]acesqm -a. gage le plus pu, 'o:-,ès P
', avalar a. accent
' peine, par la Cour de taris; etddamoe un loorvehste de mauvaise foi à rst ngué et ferme ta. Ot itM tirsplus symp th q -p y 50 0o0 1r.
d"dommages a lam.
'jelse . pus q
Mç d 11thmSuezant au se- pbis gai à nous faire evtrevmr t résatta.+
d nmr 1 possibilité,; qu
ocrait faire écaoomiques probables, ceetsiss méma,injure à l'imagination vive cet ardente du
percementdo l'Isthme de Suez. Il l'a
d'unie p oput i éndiovale. fait avec bonheur en nous rappelant las: tinte ia1 w grata i de e hidi non'. attaché me ohh.-re a : Américaty
a laf
Compagnie 1, al dite Suez, comme estnre
et en noirs montrant dans quelleche ar'at de
l le
a drrec o généntleexacte
e tous las eenmeo commen-des travaux,, et à la -force I1 si
ai aisance. niaud'Europe m trouveront rapproohbLieu et µ chante qu'il a eu la Lente de de l'extrême Orient, les Due do,faire,
J d dernier, dons co,nvole, Isola, 1 autres d 1000, les aures de1 ué ds Lettres, devant un 2000 1 q I s permette
b r u t. A x audttoire,ce doubla dan- de a f sc le t D des puesus.
R qui me çaü Iea Ivgements à port .s 1 ont tanné un pan bref sur ce peint ;s
Ici v d 0f d L as p est wmplé- et quotquej aie essayé de le justrfiersa.t,t. t nj é NV puerons us pur l'Heure avancée qie personne ravoir1 u nten t a f - de posséder songé cependant à regarder - Gant était1 vénle tout 00t . , hrstnrquc, écono prend le charme de cette ruaserio scientt-m e et suentiligu0 .sur cet immense Ils- filon, - suit par un motif de suprême d5^
e atétl' i ti°ppcu r st 7 o f traisal i hr 00ire eié,lcquonoera..
Ap rde du c e l u i r goût, et 4 M Bat d' te or 1 dét 'Ij f
yC.tl rp ppfoché très heureusement , ciel
- 1 ait fait M, l'avocat général Os à g t u' t l p J E;car d Vallée, dans le procès q je viens e lève rien succès fram., et
I pp or, le ..eu de l'i rfut bl M de co plot que M. Rait a rsmporté dans nonceville.1 p d de P]col duel l ar,
té Ici t I d .1 Il r.°a pas voulu u p d t ,cèni 1.th7 R'0 eè t i coula Id t rpp h
daboe t fait assister aurai cils do le ne ad t t p 1 d -t q à d
oc vaut et réabeam procuauJ en Lby tt,, il rapporta, agi a .f desas quel Pharaone
,
oaval desüv6 à Lessepe l'écho ces opplaudissemems qu'ilce parue l'eaécvüon d'un'
u ilrebor la mer ilidttarrxnée ou Pat a vaitenaandn sis oreillon et qu
1 Ni[ à l li. g P' vnbuatnmgi il 11 c.last t saoul, l t d t. est entouré le uo d ut rnfal.aç l f
comblé d d h depuis pl mer; mata c'est Des que In témo Iàj d id lI
as' i ..as D1 c té I sympathie n'ob ère otu {'import té I l
1u' ! mét dé d n 1 - d protester contre les apprée-ati d 01.
dira la vérité tIcxpédidcn dl lt M ua dohjec lhtt , pour Icilocus ne furent "lut seul nées, Le niveau liées.cdes deux ancre 'état pas sur ie méuae gui, sous doute, l'ancien consul de Barplan, dosait-on; les terres doits lesquelles clone et du Caire, marnlcnant présidentil ]effort oreeser le mana] étagent . bleu do conseil d'adm t t 1 la Campa
es et sans uonsistavice, nec. - Capes. gris de !'Isthme de nue., ont admiré palduel les études reprirent avec nue eégu- tout et son nom vivra ;mais sous leu ap-
aaetté soientiHgcc en 1834, et vina m- placdissemevts que NI. Ritta conquis, ilinternationale déni fa de la d
n_est brou facile de retrouver les t nts
1
Loitaon à donner a canai, dix out aller da divers loi les ont -Lovés et dort lufort Sait , pointd'attache dans le Médr quelons donneur à ces témo g -
s f t[crrauée,à Suez, dans la mer Ronge; da
asleurs une nipui5cation que son 'l 'o
largeur qui variera da 00 à 100 mètres ; brou oblige d'accepter.de sa peofcodeue qv sana de 10 mètres, et Quand il nuuspveleitdo 1 Egypm commede ea longueur qui bat de 156 kdomè- de son champ d'adieu j mrvaber, quitous. unit a'e n éoher de son er au uaûe cao-
Deus ans après, la concession des ter. mage et a !'évsrgie eheva1eu lue déployéeaies fut obtmuc du vioe.roi d'Egyple; dans oa même pays, au milieu de la plus
la Compagnie fut formée au capital de effrayante contagion, par ce leurre Consul400 millions fournis en grande partie par de Caire dont M. Rita a épousé la smue?21,000 actionnaires français; et, en 1834, Et .'est-il pas possible que bien desmai0sl'installation des travaux commença à être lent Battu à ce souvenir ravivé iodirreto-eprésuntée par deux contes abritant dix ment par la récit de l'Ingénieur de l'Isthmebr
de emur; e fin, le premier coup de Suez 7 Si des peo[essrueu de toutes lesde pioche fut donné, Dix ans plus tard, la faculms bot chaleureusement applaudi -corytvunication, déjà établie mencornant et et j'en ai vu bon nombre - qui noua ditutilisée par plusieurs compagnies de taans- que ces membres de la grande famille uni-parts de marchandises et de dépêches, sera versitaire - le mot est consacré, et foudéfinitivement complétée, ne peut l'oublier quand les chefs de cette
Les. ablUèlea étaient cependant inuom- famille s'en souviennent si bien - n'a pbrobtro, IL aussi, combien la narration sim- plaudissaient pas avec d'autant plus depli t attachante, nous vu retraçant tous chaleur qu'ils étaient fiers de co succèsles détails, et tirant foutu son émotion des sil était remporté par un desentrailles même du miet, a Sté saisiss:mte leurre? NI. Bitt on est ai rapproché.dans la bouche tle M. ]tilt! Et, puisqu il ne peut r pousser cette
Recrutement des travailleurs,-{I n'en double interprétation ,qu'il mn lai-, uei Inifallait pas moine de 20,000 en,- ceeaeemt dire, en mrmioaot ces lignes, qri en ond'un canal d'eau douai de 40 kilonétres, a. applaudi aussi et entent ,franchement,allant s'alimenter au Nil, et suivant le nsréseeursl'horome d'totelligenceparlanlcanal maritime dans uni notable panic de bien d, ce qu'il connaît bien etexécute tousson perceurs. - Pendant Dette opération !cajous, et l'homme de emur qui, faisant
impormvte, urbanisation et emploi de preuve d'us courage beaucoup plus rare onde nomhreuurs caravanes de chamoaux- Franco que le courage militaire, a su s'ar1,600 bêtes - portant aux travailleurs le rocher aux joies de in famille, et aux do.-
indispensable do cioy litres ors d'une vie paisible et calme, pour DI,d'eau par jour.- Subsistances à assurer, Iea a0ro Dur, loin du sol natal,
Ilsfatigues
t la responsabilité d'eu rude fable, etvéteecnts àpr iceà exerce'force année Ut t
par palpar le simple
sceales d ..t d'un nahle devoir.
oral.- Travaux techniques de dragage , H, En',,à l'aide d'eaaesatenrs puionauts qn il foi. Prolwseur agn?gi à lu Facultélait m- or DU roc ifi,r n face de toutes de droit, rtnrgé du cours'que.PolitiIles difficultés renaissances. - Service vos- d'a ildira] à coostimer. - Besoins du
culte àe
satisfaire. - Récréations même à organi- Nous sommes heureux de constater leter pour te repos du curés et le salisfac- nouveau succès d'os des établissements
lm. - Et tout cala réalisé a les plus importantsdo lidi pour sa spé-lion deAmoramilieu d'un désert aride, loin de toute cialiié : les produite de je v icalloeieagglomération urbaine 1 N'est-ce as ut des Actionnaires des Moulins d'Albi v iso-rêve , uo coma des Mille et une
pNuits? ncet d'obtenir, à l'Exposition in[ernatio-
N n, et 'est tel que l'ofGrmatioo de fin- noir de Paris, la médaille d'or.génieur quia tout vu, mat coin pté, tout -hilfré, tout évalué, tout aligné, réfrène La Société las eieuces, belles ]cures
les écarta d'imagination.Ut
Arts de Monseabaneamordé les réoom-Si l'on a triomphé, c'est quo le vapeur penses nuisettes, aux auteurs de mémoi.
est devenue u instrument docile qui ras sur le rôle de la femme en agriDul.creuse, abaisse, divise les masses de terre, turc oequ'elle s'est mise au service de la com- 1. peix ee.arque, M. Doulan, couduc.pagme caca une force de dix mille ehe- leur des Poats-et-L'hauesée, à Toulouse et
môme temps qu'elle peut travail. M. Paul Bordes, à Fois.ter sousnIra eaux ; test que las entrepre- Mention honorable à Nl. D. N. Bordes
ont inventé tous les jours des en- pée, propriétaire à Bourdoyres, communede Smgnode (flaute-Garonne.)gins nouveaux dont la description sur Ies
L'appeéaiotton des grandes entreprises lèvres de M. Rata émit étfnoelante de clarté;humaines, au développement desquelles c'est que l'activité humain, sait main -toutlamoodenesauraitassistercomma,m- tenant user de moyens refusés autrefois
se heurt, généralement à vo double aux plus puissante rois de la terre; 'estécueil: ou le dénigrement systématique, que - remarquons an passant cette ece-ou le désir de pars des oavleoere dun mer- ° séération, pleinement approuvé, par note.veilleuz légendalor
col
adents immenses conférencier, des vraie principes écano-aus doute, ma' dent la avicole pratique i piques - dis qu'alla l'a pu, la Compagnie
peut et doit ".;I" compte. Ilmnvre gra n- k est eantouoée duos soc couvre spécialediosa du percement dm l'isthme de Suez, 1 et a l'ait appuI aux forges vives et libres de
'tPlusieurs artistes de la troupe dramati
que ont résilié leurs engagements, et tadirection e promis de leur t,.cvcr desremplaçants dans an bref délai,
E.jeune
premier rôle (femme) , un jeune premplier,o premi
inecumigac jeune, trois emois
e utlité co s i démebleet marié uie-manquant actuellement à jute,
rection abesoin de toutes ses forces vait-
]Dates, puisqu'on Iai peste L'iatentk,ai do
jouer bientôt jeux th(9 s 1 1+auxde Peine t f t C p i,tandis or'o"
B rb Bl et G - de Daiclc sclient les Variétés.
OBSERVATOIRE DE TOUTièbJO'unrruna, 148 asesoi"
Extrait des Obseru¢uans dfétéce ' s!tuedu 11 juillet 1867.
Theelnn.Wétre cent11 13 lit'
iur. i11x 2n 0,eauarss.
xt an cs..&rn,. '
0 c J'm,744 8z- beauh. du m.,O f te.Midi, Oa,741 12- id, - S `%
5 h. du s., 0e,745 0? un p. ef b e.
Le b L j u 'L-ent; le temps e t I d et h on d L ersm
à f t 1 d b L I. [ ' ! a i eda"ued'orage
lé o..nr i :none de la vee
d'hier; 2 18.Le dirai. or de C( s..reat,.:re'.
M de 1 1 1 r,
sin, l ;.;42
la a,e1o
nomhe e porion
l
liI ,
l 11u lC
il,s' t d {r -
ta p -I 1 bLs
w x d I bb e t t,0
tans s etment lat uc d
Parle p e àdifiar
trs,, opt on. Le c rot doit:ai considérable,--.
A peine installé sur son fion-Monsmgne+rr doumè t ev>lad
ra s et 'il rt s p t 1 à 4
àtons les au' do r 'gés'r vénéré prélat est ensuite m
.ch r t t é r uxro pr éd I d hallsanws ch ose., dont"il aemtét. téniame, de ses leéeeevpaemrs dan:éll di dternee etes loese retour.
Movscigneur alerminé en ique le 28 jrillet, fête dzs SeiotsCeler, il officierait pvntolicalemes t d:cathédrale et donnerait la bénédiction pa.
épaleà lxquclleétoit attaoh o nue indul,yen -
pplé ece
Lanièrkrémome a été close par le chant de
Te Deum et la bénédiction épiscopale.- Les travaux de lxmoi,oou -là pro
prés terminée panuut, eabf doue lesCrées montagneuses du il lis muet. ulsaréenfil
des céréales a été aé néralamrnt Grosballe,excopté lesavoivee, vvahies de borane heure parla rouille. On s'accorda à et'connaltre que ai de treaihles et fréquents
raye enssevt ravagé' plusieurs pcrtrasdu département, où la écope a été à peuprés vulleo nsidéreblamnnt umoindric,10117 pourraitcét'o considéré comme une
xeeptronnelle pour l'abo0da0ca etnuée u.la qualité des grains. (Cmorier.)
D'ariU. 11 juillet.rtieaherc.'Ieo,,ssjondance pa
Le séance gne 1, Corps législati l' a tannahier a encore été très oea0'oee. M. Bouton,ait pu parler au milieu l'ou ça i et
d'un silence presque camp lels, mais ill. J.Favre, moine boucaux, a été très fréquent.dent imerrumpu et tune de ses dorateesparoles étaitette p ie ne vous dirai
e unejodle t
cote, car le Afondtcurnote reproduit pasus prétexte qu'elle n'a peint été entcnr
duo; jo sis bornerai à vous laine o se -ver que les coaditions d'acoustique delachambre des dépotés sont vraiment tuai àfait excoplionaelles ei difficiles à dOLeirpuis:pl'un orateur peut 0xciter la eolé,oou l'mdigoapon de ses collègues ,n da san a
moi que personne 'ed. L'est unproblème à la solution
duquntenel
l'aroaltectcdu palais devrait travailler sa e retard,ne fut-ce que pour tirer d'enobarraa lessténographes Vt
1.rédecteara du uumptu-
re du des éances,D1, E. Olli-vier o, annoncé dans alto
séance qu'il subie l'intention de prononcerun discours sur la politique inueria000quand viendra la discussion du budget dece département. M. E. Ollivier reprendraet développera sous doute à nous loua,so, ne partie des argumetits sur les-quels s'était appuyé lit. Latour du Moulin,deux le discours désormais célèbre qui, augland éronaement de tout le monde, est
Il cet de faies 6.Dequo leisilerc,
'loid'e
0frfp
uber col assez io4ompréheosible, car noire ministre d'Emt
n'avmt jamais été l'oblat doue attaqueaussi directe et aussi menaraute.
1.'Opinéos nationale dit que. se pré.le Chambrecupeil beaucoup à de nou-
velles masures ordonnées par lu président
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o:î
I qai
t l é
,é li 1 i l d. nsI. ltuv.i ue de
ri
ecl auneet
décret du aJ
CORPS LEGISLA9IF.(('ample rendu anal tigan.)
CR peaelü -rosiers.Ls
Fin de la aéancexdu 9 juillet.El.
.n La paroleesMaG de C LaMessieurs,'al ll qu fo iét !ri t a d.h ls,
l a 1 té d d ur qa d ,ndr i
ans lf aillaL, 'ulco
Cis, -:t , d pru n i"m 1 M
ir ion e, lo squillu futi -t d lib
esou durs,an
ore'
e j r. I miel que de dil ,a é,
I. n'est I effet, 11 è lao; s
l' la refuses
Succès auxtenons causes. Mais je sui de ceux quis'inclio a, devant eeuz qui tombent quandils tombent peur le droit.
C'est pour cela que je m incline d'aborddouant cette brave armée, qui fut moins6eureusn quo elles de crime. et de Chine,.(Il'mnrrpotden.)
-Fil, .âm été vaincue.rismrssr
acnnsrea. Ne vous ait..qi ez .Pas .an mot ,vous pourriez ne pas
aven la pensée de forcé' r, etvos isite:ruptias peuvent le troubler danst au Ilote Charle- sa discuss
tr. c01eanm ce cross le. Cette armée,
'closheureuse que celles de Crimée,
diaalie et de Chioo, rentra après ceutcombats sans avoir ét vaincue, et après-loirpays, résolu,
àl'honutie drapeau et <lu
pays,l'épie.
lesallumu
a qui sn videntntpar l'Rpés palmes de te S lui
Souverainliosorent
or
1 le meplais àt
l
,et l npublic hcmmage e4 à la saluer do mmres-peet.
je m'incline ensuite devant cette jeunevictime, espoir des gens de lion, idole del'Italie libérale, qui avait accepté la tâchede rétablir l'ordre et la liberté de eu pays;elle est mante pour es
oléeca vive, tagdis que
x gui l'ont immnt de la leur.(Mouvement.)
L'espéditiou--a-
iquau repu au tempsides cvB.nmonts bemooup d'anprets et
de ionlplicatioos. Je nu venez dégi ager qaeidéemère, sou principe tel quo je l'ai
compels1 eext ruer, moi eeuz qui rat ap-
prJe dois décliner les interprétations erro-nées, fausses, eu m'ultnehaut au bat mo-ral, patriotique quo le gouvernement, j'ensois cens adieu, et la taloché, j'en suissur, lui ont toujours donné.
èi je nomme la majorité, ce n'est pasque je parle en son nom ; je ne suis dansla majorité
qu'on
soldat modeste, et je mivendigoe que "bac... des opinions que
je partage avec elle.Je ae dissimule pas que l'opinion
traire :1 la mieme erop, ruate au talentde mes adversaires u.. forée que je e
's Lala.anr, sartest lorsque, aprèstri s lienrce d'atlonoiun, I. Chambre peutAire fatiguée. (Parloe t parlez!
1.'eapé titis. du Mezique -e présenteus deux aspects généraux : sla principe
qui t'a conseillée, les incidéals qui l'eutcompliquée.
Co principe, le plus géoéral gui n'ailleles sociétés modernes, m parait Aire lanécessite de développer le travail; maisle développement du travail esige l'ex-sio.
du marché, la soleil du com
r.r forait-o. des produits si la politi-on
dait les (marchés auciéns etnec?réaitdes marchés nouveaux?Tous les grands Rate modernes sont
condamnée L ose agricole, eom-aiale, industrioile, vt su développement
air la ,roduotien et des marebés; et, comme9 la longue la marché de l'intérieur nesaurait absorber toutes les quantités ettoutes "' qualités produites, il faut s'a-dresser à l'extérieur; de là la nécessitéd'être maritime.
Il faut accepter ces nécessités et se eé-gnee mx rts et aux dépenses que
demenael'exeffotenmm.
ses marenéa oin-tains.
Sans doute, cela ri axclo6 m la mode -tion, ni l'économie.
Une vois - Ni la justice.filais il y faut
a, ['éner ie> J'aienten-il.
ire
que ces ax-péditions étaient quelquefois bors de pro-portion avec le n robre et la masse des
térAts engagés. Non; la sécurité et ladignité nationales ne se ai visent pas; ellessit dons un seul négocia t molesté nom.me dans mille; le moyen de les défendretous, c'est de prouver qti o. non sa -rait molesternit lle part uo seul
importé.ment.]l' viens d'indiquer là la principe même
de l'expédition es Mexique.Nous avions en face de nous, milieu
de leins à je aéraispresque
ue à h eporiestes,
, grâce fa .P.O,,vu. Pays richepar ses mises et par sou sol, le Musique.'Tante l'Europe oommrie plus ou moins
aveule Mexique, Drue commerce prendrait
une extension considérable si le vol régu-ler et l'assassinat Ehro.ique û y étouffaientle untel et le travail.
L'Europe ne pouvait tolérer cet état de
avaitla OitOD.u I
pour ellI pl i,
'u café 'L' funuus
flppnllis nont des
dvsujetsci' Mte
edtautres.
,aulsii a donnétaon aomne avantL os lit, na dal os
,lot dueus les
bills oftl-nesure prise par
le violente ah
i
lesuruaax dosuite dun article
os,i et pli lonn fils'i:nstroeten publi.
le pollua de la Lojre
on de la oammissieuliane des bibliothèques
oelalt ...once qua;u01o1' cet parti hierné d'un ofhcle, d'état.fi so ends de là,
o d'un général français
i°, et plus tard à lail 1amers dépouilles
lr Maxirnilieu.il Lt rovale L'l,rafeth,la Non-voile.Orléans,Crue, a relu l'ordre
ai mailla pour la nou-ello sers chargée. Cette
rattache sis doute àamiral da'logethof, à la
mettra la olivette
le part de la Non.
Icy ainsi qu'on l'aIn sl:i viendra:i0 luda la sein'. Elfeor probablement.
nt Dovienoetués
i-
I¢ulenil dugminisllia dbfendn par M.
v' clé, diten, de M.r s son assignés.
o qua 2,0011 ournéeà Maririd dans la
journée
mplot contre la vie
ro si Detic nouvatle est
eu lieu, aa Grand-0ele1,'ce le barreau ,r ll. Julesun do sa
et qui liait dit tirelétat do maladie d,
l failli Il riper,z4: o_ ara d,', être d_oa cette fête
lu il dé, + nn41. u dévers-.r miuneab[e
gr:dis +ud+ p ipas da 1-lé.'Trois oe.ris pli,rnoanes ont pris partà
,lion L-a sentiuaents pu-Llsas.
à la gauche da M. Ber-ryer:1111.C.anluin s C,arnotSéu.lit'-
oire,aprèsid.l.InlesFavre,v a'ent' ' GiPè.arour-ue,s;
puis, :1 la suite, :11M. Joies Simon, Pelle-tau, Paon , t thmont, Mngoia, la sel, deGré vont, de lilsrmier, fiction lié..
¢, Vll =i t é1.é prononcé que deux disons ,Ton par M. Eoie1t r , l'outre par Il, Jules
aJao.,is peut-étra )1. Beeryrr n étémiens il Lé, .a déployé irae; façonplus s ns sauts, c admirables t alités
r,to qui loi sont hanuuelle maieuvgieiics son grand é¢e et la ahafeae de
:ntimrnts, ainsi que n émaioo,pcr st cn.one quelgne arrose ds plus
.,ont.Où M ]terrier, élorgi65aut
o le aun, a parlé do la fi.imé des la pressa, et ,nordé lis gre,;deJuu-nv.r virale dajour, toua les auditmu's
I niv t levés peue applaud choses , réprimé en 1814, mars i+vé L LI f C .: I I ment On pu 4 '"r 1O
0 t ! M 1 I lie enc lie anarchie l u1,rmettlê à elle
1 3 h é 1 . . f é e n' cl 1 6,v la civlhsmtooLp I t I s t'g slatü t l a. n i ,,,' répùnire de
.
t nt I
opté la moudie et la
I cural a coins a duel nnL detn
Après avoir remercié M. R yr. tlà profité de la mie t n Peu,,ait ross.,r u l j,1 .sse qj - 1 u St
I rappeler q sl alla ét. r 1 .spéranuI deIra pawdu, il follet, pour t'emplir cette os-pétaoiee eau élit' sr mon'aàt à la hvut¢srd 1- i', qui peuvent se résumer eusla
aimer partout et roulai la li-erté0 , es ép é sec b
n o x loi ess - 1 tL tétaen
lhn rquoiL onde otmnlaLl
fondes ri oies, lent
1 II 'I' sit féconds, ne, son[Il I lo une heureuse et uai
p(Opidi nationale). A. Fouray,
L N ici Idnglelerre cl l'Espohutt dooo en 1861, et fi "m; u x
péd t ou pour obteir la él r Uon des
I
assés ,IL ana garanti eautreretour,
Cette exlydtbou était commandée or]'intérêt géoéral du commerce euritpéanP p teilles rouvres peu eut @tle entravées elles peu eut entanémmtéahoeer, mais elles finissenttoujours partriompher, or la I s tin ,coups; ellen patps Ir
Deux ul dutcite
aié cette expé!trien dust le c d b il':ocidontd [a SIdd, L ppllait pal lis notables de Menco a Iaicl i-foc Max mil cn,
Au mois d'oetebre 1861, l'eacurd entreles tris puissances portait sur troisp.
1a Une réparation à obtenir pour les
gouvernements et des indemnités pourle lis
2-Dneesrg
garanti,, ntre le rebut bvon-tmd de pareilles violences;
N' Enfin, et c'est le plus important,Parle que c'est le pensée générale de l'ex-pédition : rêver- do l'exercice éveameld'une intervention légitime dans les évé-nements dont lea opérntio s militairespo raient é[re yang e.
,ir si aux yeux ans trois pU _eaeere,l'¢ pédition n'est pas c lie na Nue dansle oerole étroit dos opérations préoé-
hint.s ,,,
culait e Iwrner eorome a,t f les ouanes,à nomharderlis rata Icllee, Ou voulait se plseee à unY t 1 .e plus élavé. Oo sinemenai; I
é s té d'un r:teor vers l'ordre, don
si L ire I' o relire,
f Ilcs et L 1 Hases convenues luitles poissa II é. A peine 1. débatqq s topé G l lent de laSnledad. Du 10 an RI février, les pléni-potentietres des trois
P'
'ss nces signèrentaveu les représentants de Juarez les pré.liminaires d'un arrangement Ces prélimi-
ire4 niaient oootreires à la loure et ào esprit de laves instructions.
En effet, qo allaient faire les trois se-mées alliées au Mezique? Elles y avaientété envoyées par,, que le chef du gou-
m,envir
née compétiteurs,
investid'ace antoritéloeale caduque, étaitimpuissant à nous donner dans le pré-sent les satisfactions promises, et bienplus impuissant encore à nous assurer des9-1t pour l'avenir.
Fy dansosant
situation, les plénipoten-tiaires qui venaient chercher des répara-tiuos en apportaient presque à Juarea enarborant ao. drapeau.
lis consentaient à signer de nouveauxtraités sur la base d'une simple paroledonnée. Si la parole de Juarea suffisait, anl'avait déjà av c a sigmwre; il n'étaitpas nécessaiva, ai l'on eu voulait ne au-plicata, d'aller la hercher au Mexique,aval trois Battes al dix railla hommes dedébarqueoreat.
Eu signant les préliminaires, les piévi-pote,tiaires avaient donc ceoo.nu leurs
instructions; ils furent désavoués parcurs gouvernements. Mais pou de,jours
après, snr des prétextes que je ne veuxpas rappeler, pour des alita quo je ne
vux pas exhume r, l'AngletarreetY'Espa
gn eereuneèrenLCe l'ut un
'.1rmalheur pour la causa
du comroerce c péen, de l'ordre EL dela civilisation de l'Amérique centrale, car,si l',logleterre et l'Espagnuee ne s'étaientpas retirées, nul doute q le succès eûtété assuré à l'entreprise. Ce fut un grandmalheur pour Bous, mais la France dutrester; son honneur lui défendait de par-tir. Les événements montrèrent une foisde plus ce que rapportent les défait.
nces.[,'Angleterre sit darsa o mers e.
prestige incontestéde
ev
saleur
valeur maritime.Elle fut attaquée a. Cansda et e. Irlandemémo.
Pour 17'spag,e, es qui loi restait a,prestige dans ces pays s'est éva...i. Ellera a eu la preuve dans les événeme ts
dont Saint 'Semiogue et le Chili ont été lethéfltre et dans la porspaitive de la portale la raine des Antilles. (Plusieurs vox :
C'est vrai !)J'arriva maintenant à la désignation as
l'archiduc Maximilien par les nomhles cesbilants de Mexico,
et
aux donner eesqui dé4ermioèrent la France
àdonner son
concours à cette combinaisons. L 1 oscra-Ille M. Thiers nous disait (et il ev faisaitl'écho 8une opinion trop répandue ici et. dehors) que l'idée principale de l'ezpé-
dieu, avait été d'établir une monarchie auMexique, afin qu'elle devint vue barrièreà l'expansion des Etats-Unis et nu frein àleur ambition.
N"est là une erreur complète et regretta-ble, Complète, car elle est démentie parles documents; regrettable, car elle ubeaucoup conteihub àfaiee loboair l'expé-dition. (C'est vrai! rosi v ii) No., laFranco .'était pas allée au Mexique pourélever une bornére à loapanmon desEtuto Unil. C'est à la Francas que les ELots.Cuis duivmt leur mdépen lance et leurexistence. La ?rance actuelle n'est pas
'0v00Libérale que s ailée. LUmpe-'eur n'a pas été Phlte de deux républiquespour ignorer que quand la forme répobli.ce a
est conforme u génie des peuples,elle n'ezclm ni l'ordre, ni le liberté, ni lagrandeur. (Très hienl très bien !)
Nous voulions fonder au Mexique ungouvernemmrt normal, civilisb,e4 lui don.
entrée dans la carrière ouverte à tausIcspeuples civilisés.
Si des préventions injustes ne s'étaientpas si l'opinion publique n'a-vait pas été égarée, si le Gouvernement etla m jorité n'avinent pas été ébreniéedans tour conviction par la contagion desdoutes exprimés, l'entreprise eût réussi,parce qu'elle étaitjusle, sérrause, viande.
Est-ce la première grande péditünquo la France ait tentée ou-delà des mers?
En 1778, elle fit une guerre autrementpérilleuse contre l'Angleterlre, qui était laplu formidable nation de 'univers.N.
père ont fait réussir cette entre.prise, dont le but était le même. Nos ma-
liftaient, molestés par l'Angleterre,nsuRait nitre pavillon en s'arrogeant
le droit de visite. Leuie XVI uses crut
bas le droit [I désertrP les uors de sa 1 (Très bien t 1. b bien I
sv1En k i I¢ droit ta pro-couronne., d deeleec la ire à 1 'Anguagie- I t I.p I} I I
4 L'Ipri41'eoSagelm nt de ne pas rap- Ptt f4 hl t 1.)p i e armée avant qu'elle cet ove m I pré- - e iraI li aa mi'sa cl, r x aT 9CII.NP. Dan ! la
rappel a tordre quant an trosm..Nous av o I lis 1'N:l gne duos nos on
range; nn se but t q ns, et au bout séance.l e t p l e I-t. 14 é m ranrten + s H pp.lez aussi mes
l le osesldunt.b I é 1 M. 1100 t q I I saisiosa I codes,lac 0't uoel t s pi uni ! 1 n N yen pas de x poids .6 d-
qae, Lloglete lie fut obligée de vair sl ni w: ioest Ne ls'eblstes
g e 1 p, _x à Versailles. pas à vous eo Il elle r cul pal à l'ordre.Je ne uni, al lainais que nous soyons ac- Sr vous nav tee ci 'il d'abord, ev au
dessous de la vuirue de nos pèrs, et que rait rien en à vous répondre. - La parolela France de 4867 ait moins de LouraSr, est à . Jnlea Pavie, et je demande à lavoirie d $ 1 . foi dan, sa mis LI
t61ed'éclater l'orateur aven calme et
q le la Prunier de 1778, ITrbs hien I u s!lo11.t és l' ) m ] s AVnL. Messmués, en prenant
1 é: limé, tessie ts, si J'expédition la parole parce que personnn ne la récla-
ais été appuyée par l'opiomn, elleaurai4 .,e le cou,nne mo ns mes forer, persou-réussi, Mxiheueeu slit lot, clin n'a pas cté ailes que le sentiment de mon devoOr.
mnprise, flue me panait pas possible que, dans tell,! p - 1 lissenes as a Lacons tu. msr. Nous nen sont- discussion, tout
LI -Il,IL ORN 'vous I",xes P. eoopunsables. ( 'Très lac. l liés pas librement f. t
bien I) d'entendre lie de 11, .... allie M l.. nn.+nlen on rtseiceno.. Si I sauner n'é. de Cassagoac qui, avec une é te qu
tait pas reprise un Jour ou l'autre par dis l'honore, s défendu, bran q,i ail n t
loveos due la Pro d ee s l peut ooc- l'expédraoo du Mcxlquu. 11 on a recherché
tlàlire aulo0ri hi tle s r tnuéohea greva le princela et le but, et, ras, so préocou-
puur la civ'hsauon eb le comme e. (Très per des événements, il lui a stibié qu''ellebien! tues bien 1) Jo ne er is pas que la devait ree'nsir, après l'échec quiche
Providence pe malheureux pays a subi, l'absolution du pays .t do la Cham
à rester sous le joug du gôJVernement Lu- lire.
filme qti il subit. Tels nie, I tràs bien!) Il Al'F3â impossible de partager celte
Voilà, eo dérép dans s apeine
p e op``nion 'silice lesaéras On Lut ai n oralne cale le n`si pet beeoln, d'en o".
are aex lilial du Mewque.On pourra en rap- sons devant a Chai 5pp
plier les petits cillés, ou n parvien irapas à en faire oublier les gra -dl ; on pourraencenser Juartz et ses te rail, il La sor-c soust re lamais lion de ettn
boboue aut^
es la France(lui puisse ternir O. (Teàsrhumualchstu Pe
td sd. So .r , (Pris bien! trèsalppl d culs.)
vr oarolela or , auelgri und and t-ll levp pour le discussionété lo de budget? (A demain! - Nou!
)v. Il est impossaible que
le Gouvernement Le réponde
P.(HU-
s.ics] as revue. Je demande la parole.NLE enas,Danr smmsman. La parole est
à M. Jules Favre. (et damai, l - lie- 1parie' !)
,es mort,. Si sons voulez consule, msieur le Président?ta rla Chambr on
Poix .ombreuses. - Parlez! parlez I-eue.na, C'est faire violence à
la Chambre Iasmevo ecuuemart. J'ai donné la
pareil à M. Joies Favre, o demande demettre à demain. Cette demande o été
formulée, je dois consulter la Chambre;elle décidera.
(La Cbmnbre cosultéo décide que ladiseusaio. Continue(
le. Le vroscolar scoxmmne. La parole està M. Jules Favre. (Mouvements divers )^j .il
milieu du brait.C'est scandaleux de faire commencer unorateur à six heures moins le quart. (Interruptions.)
M. Gainier-?agio et M. Gavini écho.-gent des paroles qui es perdent dues lebruit.
Monsieur Car-'er-Pagès, je nlentends pas vos paroles,
mais je vous demande de respecter les dé-'sioos de la Chambre. Elle a été consul-
e réclamer.tée, vous n'avez pas le droit detilLa. J'ai le droit de protes-
ter. (Vies réclematioos.)N. LE Paàsrnrnr sensemas. Je regretle-
aie d'être obligé de voua demander le siIonceplus énergiquement.
's. On s'est socs, daz-lu .
prssionssblessantes à côté de moi,
rn¢smenr salissions. Je n'ai pasvu qua vous ayez été blessé.
ej. c,EAnun-rxoèe. Je suis toujours très-éré,mais quand uu de mes voisins ou-
blia le respect... (Interruptio. a.)Lit
rat-ciP
ontrezpas allez demodération.
ne-aération.
Après le vote par lequel lasi -Chambre a décidé la continamim de lediscussion, M. Cacolet-Pagés a peououcées paroles :. C'est lutons n et de do..er la parole à nu orateur, à six heures. .
Ja lui ai répondu qua ce qu'il y devait dendalcux, 'était do trouer a
décision de la Chambre. (Vive, approbationsur plusieurs noms),
N. celrstas-rosés. Je demande la pa-
r on: msdsmanr senaemnn. Vous aresle parole pour un fait personnel.
. Le Cbambre sait queM. ojme-Penaaj'en
mueoos
et été plein de siens dpour vosrosportcmllègus et pour les décisions a.passem-blée (Bruits divers.)
Or il est certaine ment permis, quand laChambre prend una telle décision dansun tel moment, de manifester uu méco.-Lentement ... (Bruyante interruption,)
ennuis os umnrsnonr. Oi, matspas dans cette forure-W !lu. IL
s iodai nr s.-mon. Iltient àpersonne de témoigsor du mécon-
tentement l'are ne decisi de laChambre est
interve
rvenue(Très.bie
ien 1 très-bien 1)
ao. Je l'ai fait sans au-cune initial de blesser personne ; maislorsque mes saisies élevent la voix, ratoulu m'imposer sileuce dans des termes
peu unvenables.... (Nouvelleiii..)
rxvlnl. Quels smst cea termes?Nmua. Si vous aviez
gardé le silem;ad'aboed, vol voisins sou'rarent pas été tentés de voue l'imposer.
si Je demaad à dire à M. Car-int l'oses de vouloir bien ajouter qselso l
raet ces termes peu couveuse a qua pect' emploucar malgré tout le rispem
que jpour
rl'l'aga et pour la position de
l'honorable M. Garnier-Pagès, je puisaccepter qu'il vie... nous reprocher deavait interpellé dans des termes umon-leet.
co sans dire quels sont ces termes.N. cuit
couvrePAe a. Voici a lexies.....
(Le bruit couvrella voix de Iarateu o
il. LI,
cousin scnna con. 1: incidentest a]...
M. Garnier-Pagés continue à parler aumilieu du bruit.
iVoix nombreuss, - A l'ordre 1 à Tas-tire
co PR,IL
"T aCns.lo êt 10 figé parmonsieur G-el Pagés, d titra obligé parvoles insielauce de vous rapllalar à l'ordre.
donner, c'est quelle n'avait pas la dor tde dire ce 'la. disaient 1. journal, d spays vo Oins, et je la sache pas île élu,observation e pl t l' t par h s
arroua del éesm I I arrivait d 1 p i las des rn-
ion p I f oaverneme itl ,f c
vl g tpas soLb
un
g
ment à volia. q 'I l pu r ne rut e
t socs le aile
dalla d plumante, def l lie marcher contre
la république mosieaila r1"s armés tantbinées, de la détrmrr nt d blobüe ton monnarchia so . es débris.
C'est là ce quo nens disions Lorsque,
paon la puai fats, lue question L t partels
d'vaut nié M1 Il oiu j s t à dè
1 1 a l y ci les négocia-.gosi `t t t I. I.éttléiséis LOI t
I f t é M I u villa de orcou,
beq i ma de so en' ge et de saci I'se ortne.
L - b Et de la trahison.Q l était à cette ép -
n t La.que ilI 1 du [ -
nst I L I..aitt 1, s
s. rgnemcnts. il répmia t à elui d ilire nm. qui éwit entré dnosnles Plails.
rsd !pl- que I'Angeceereque le viet rrapa^ au étaient ms
cilsn devait rassurer Is Cha nlbre contrales pie parleer.
.Lon,achv,v;re dont tevo
ministre nous dmam-lait de parlnous n'Indais de.s prenv t j t t q
pas. No I . .R ses le temps 4 chargé d f
dd us F lat s d
de les lui espl q r b s aient L pie I ser6iaol t l I l 6 de l dire, de la
ration, eo e6 t 1 s tteadu G le s litL l d L q 'adressait alois à
st urr Is tristes ei u l6 r (Haneût prononcé t p i
résultats de école t p u. t P lé I "L: -.tea^ d C nt continuait,
sèment parce rte le me I l .nc,luP dit 1.vue complé4 t app
Gra.ier de Cassagnac que j! a
duos lopinio q J' é t p. 4802a partagée et q I cque l'opposilieu
quérait le gouvelemeut, an d & -ild'abord, au nom de l'intérêt 1 1 y ¢
suite, de ne pas donner uni extenai.. tu
»sa
te à l'expédition du Mezique.0e, ce qui aujourd'hui ne peut élis oen-
teatd par personne, c'est que, si la Cham-
bre avait été éelalréa, elle n'a rait pasdonné son adhésion aux projets qui ontprévalu.
L'honorable M. Grenier de Cassagoacdisait tout à l'heure qû une grande nation
avait pas seulement à défendre ses brou'fières, quelle devait encore développer letravail intérieur, et paner aux eztrémitéadu globe les preuves da a prospérité.Pour cela, il est mdispeusable que partout
ù elle est représentée, elle puisse, grave à
se puissance, protéger ses nationaux et senmerci. Ce n'est P. moi qui contste-
maincette généreuse doctrine, je prieraitoutefois mon collègue d'admettre ce tom-pérament que la protection qii ii sollicimne peut faire oublier les
m[éret,
du pays,at que s'il y a une trop grande dispropor-tion entra la répactitim légitime et uneentrepris, qui peut aboutir à des difficul-tés inextricables, il est préférable de ré-parer au moyen de sacrifices demandés àlu nanan, les mel}teurs des citoyens, quede se jeter dans des hasards que condamnela raison.
Ce n'est pas sur ce terrain que je plu'aerei ma Je ue ailette pas le
justesve
se dis ubaervations ae l'honorableM. Grainer ale Cassagoac; mais, et je Ilifaisais voir ia disproportion qui sépare lebot t, j poursuivent du résultat gton a
atteinnt,
je pourrais demander si st laprocédé d'un gauvernemeot sagequiLonsm¢.ce de responsabi hié,
,i
d'allea
rjeter
haletégouffre d'une expé.%lition loin-
tenne 7 à 800 millions, 90 au 40,000 hom-mes, et si celle dam nous parlons ne doitpas étre solennelleme.t condamnée partout homme raisonnable et par toutcitoyenqui aimera. pays.
Anon ira Je demandem. Lela parole.
muas vsvaa. Mea observations auronte autre portée; et, si la fatigue qua
l'éprouve ma mec duos l'impossibilité deles développer, essoieeai de vous tuai-
1T-Illeur véritablmoe souhs.o
out à l'heure, n norable et émi-nent collègue, M. Thiers, e faisant de
,l'ezpéditioII au Mexique un récit saisis'solherchait la cause acs fauts commises dans
le défaut de teutrilr.J'ajoute, et cette remarque peut se jus-
tifier nau-seulement par des considéra-tions, mais aussi par des cotations, que cedéfaut de comtale o est pas le seul, l'estpas le principal reproche que nous ayons
ns hommes qui siègent sur lesà adresser an.,bancs du Gouvernement, et surtout à la
rtail,peUs Ch umnre aoéiér consultée à lue
épo-loi las
que où l'expédition était déjà engagée etu il était diffloile, sinon impossible, de
s'arrêter. Ce qu'on reproche au Ganseras.rat, lest de rusait pas dit la 'cité,
d'avoir surpris le c senteur et de laChambre (Bruit), en i.aiqumt un ban as.tee que celui qui était dans sa pensée.(Béclamatiooa sur un grand nombre debancs.-Très hies 1 sur quelques autres.)
La contradiction est Bagrante, et vousna l'avez pas oUhhée. Lorsque, pour lapremiers foie, les mimai os sous out en-troteens de l'expédition du Mexique, ils
ont à la main la convention de Londres5e1861, Il t'agissait da vomi, au scooursde nos nationaux offensésiétait pourobtenir des réparations analogues à cellesque d'autres gouvernements a lent de-mandées et obtenues qui u sscauscinglaient vers les rivages du Mexique.
Quel était alors le langage de lopposifio ? Elle ne imteslait ni le droit, ni ledevoir du Gouvermanient a, collier desactes rilpréhensibles u seulement, elle étaitinquiéta, elle disait : Vous parlez de chA-tise des méteils, rien de mieux; mais .'a-
us pas un autre dessein? nvous pas la seceète pensée de profiter desdiaseusious de la république amérienioa?N'avez-vous pas, par des indices Han dou-leux, témoigné votre ète préférencepour la république du Sud, t ,métait ee
s pour affaibli, celle du Nord que vouspasmontrer le drapeau Se la Franco sur
le territoire d'une république espagnole YN'avez-vous pas m autre projeta, dont lebruit est venu jusqû à n s lie Ires, parles journaux étrangers, et son par lapressr française, que vous tenez conflit .née I(Bevyante interrupton.)
La meilleure preuve que jan puisse
celori si Ion eût livréet ° s offimersg 1 cret à
1 ma,mrév il
t l l' MI I t adressée àI A g t. I 4.
ip d tt aob ng yui
a du end t t s LOuy m u .. -
s le décoo,
sis nous rccunnarssonsaussigauela vérité
nd svallairesetEtranigrerglapur ccluis tua
psrlsib à la Chambre.Les négociations existaient ; 11111 sont
vjourd'hni paleesrs. Oo sait quelle en a
étb l'angine , on sait que c'est dEspagnequest venue cette conception fatale nuiIl à la France son sang et ses trésors.
(Bruit.) La Rounrenement e eu In malheu-ee Idée de piéter l'oreille aux inteigoas
du cahiaet de Madrid, des émigrés me..cades, de cette race toujours prose à otite-fer l'étranger , toujours pelle à demanderdu rancart à ceux qui peuvent servir sona billoésuln.Il rte de dlpé publiées
f889,gouvernemen osais.- que,e
misoraitfaisait
nà862, le
6ioo ira répmsle queyp40ritj'ai rappelée,-des 1869, des otde
M
tallons
étaient ouvertes entre le e die de adridet in cabinet impérial. Co dernier faisaitdes objectï ces, mais qui n'btaien4 pas de
naira à décousger l'Espagne.Il ne
m'apparientpas da vous rappeler
tous les détails de cette détcstabla il.por-tanoo et comment le cabinet de Madrid atrompé la Gouvernement frac,lais. Ce quo
je veux dire, l'est qu'en 1862, 2050 avantl'époque où le Chambra calculait le lan-gage yui j"ai rappelé-1m ministère espa-gnol continuait les néFamanons av lecabinet impérial. Il existe entre ces deux
lents une ,correspondance activeoù la netlas ncadidatse la outille cet traitéé, 05
indiqués, ail l'archiduc est discutédans sa valeur personnelle et cher qa
xVoua voyez le cas quoi faut aUacherauu
Os e ns es néaugss et ministérielles. -
1 s. a Lié Les bg.IitLi..s pour obtenirde us o asseutitno,t Tic vous n...il.pas donné sans cela.
Le 18 avril 1810, la ministre d'Etat deBfadria écrivait à Ts,ahassadeurd'lispagnaà Paris qu ïl avait eu sec 11, Barrot uneoonfére,ee ;que l'ambassadeur de Francolai usait 1, un extrait d'une délectes a-
d"" ministre des affaires étrangères ed'où il résultait que la France et l'Angle
disposée à combiner leursterre étaientefforts afin d'établir à Mezico nn geuverumment qui Ait reconnu par toute la natmuet mit un larme à la situaWOO douloureunade cette malheureuse république. (Très-bien ! très-bies 1)
I-a pensée est louable nens douta aupoint de vue moral, mais en est-il demême au point Il, sua politique? Si vousvoulez qua la France cherche à avoir voi-sin de taus les désordres qui peuvent exis-
ans le monde, il faut multiplier lester dotale péditi..a de Mexique, il faut accepter lanécessité dos emprunts. (Bruit.) Vouloirfaire do la morale à coups de canon duos
rprise "n-le micas enLie, , L'est une Ont'sensée et que tout homme politique doitépousser. ( A la gauche de l'orateur ;
(Très-bila I très-bion 1)n. Je demandenr scxnxionLe Ic
qu'il n'y atitspoint nue telle vivacité d'op-probtiuns. (Exclamations à gaucho d-
1
résdai.) Cela pou orraitlerprovoquer desdésapprobations et trub ainsi l'orateur
lui -muremas exvaa. Maintenant écoutes ce
gis'corivait M. Barrot1"
Il octobre 1891 rLa co vention de Londres n étau pas
en était aux peélimi-cruelsl f â convention ne devait avoir pour
base que 1, redressement des griefs de nosafion0ux, mais les diplomates avaient
leurs desseins cachés, et c'est oc qû ezpli-que par'aitement la lettre de M. Itarrotrquand 1 dit avoir répondu au miniatraespagnol que la conventiou ne pouvait
air pour but cutevsille que lu redresses
ont des griefs d nos nationaux.le but ostensible, maist Voilh quoi
étaite
le but réserve c'était le rmversemrm[ dela république du Mexigue et l'établisse-
ent d'un trier au profit d'un princeétranger.
Et il ne ,roulotta un long temps avantque M. le ministre e, fût eh[,, de lor connaître en
parlitie,
et oo troirementàesce déclarations de la séance du 11 mars1862.
L'opposition, et détail son droit, n'anéglige auoano occasion pour faire amen.ire au 0ouveruement ce quelle coasidérait comme son devoir de lui dire, et l'ez-péditoo do Mexique se présentait dans deseond(tions telles yo il était impossible de sepas en concevoir une légitime épouvante.
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dequi s'appellent des nations uns le
,illent IongoI c.Ore . I le co-
urs 10100e11, leur,.cent
té loues
di y porter atteint e, voler un
p u:bIPde l'oeateirr.) i,e npproba4ion à la
Eh loirs,ou
yen a été fuitplo
dés le p priuaroispeéa été Dont nuit avec une dérable -vérau,e. !aillais !a mité ne 11n a étéil n'.,lu Ale
a Pas été publié sur la gué
ou nomie
dito officier génbrel; et,quand-aux nous en plaignions dans crue au-einm, il nous était répoildu, aile unexa-gération du dédain quen suppose 'au, vent
Os q uestion (Bit) Al'Ltatru., que. le minis-tre d lui - mémo n'avait pas d'autresd t qu'il v avent an té desiP t rems un eçé
h ce deF d 1 t d la aoreeP !ragent, au - q etf da
estiend t
qui é' t ufhre- tout le
M. le m5tre d E[at.1 A quo répon:ious à notre taur que
tutus ne r0yionspas que la parole le
q ratsi,I
ur Il;s l..tplue euote
paradise I oMsl
tics) ( Y. e ieltereap.
N, Ls encre s erse .a: MossieurJu-les Faire, lo pu tut.err exprimerâ cuti u,bun des Postes ur la véromtè
m nstre.u0snpeut'e trloiin député, n, d'un
uéual ° ,lait pas être m e andoutera Si.
Je p parlé lew téé
sD avait t'1
P j h.. r
quelu t .l r
31le taro noms que 1
parole. téz ce. (Nosorée mterruptron.)I Pas étbe
M. le ' re d'lolat nous a dit souvent
iaispan lit des , s d'Etat qu'on de
arc a 1 des règles ord ,air . C'est tans doute mal r taon depeur- qui a aumrisé cnuo eépal,se. Je
ceOo à rrleoeher à ,]la pièces officiellesque je 551 lues. Quant à et lee queM. le
ministpreas
ne les a pas eues, c'est cequa es inc puis faire,
nC oui I ec do tout bulletin siqué par
1 'Il, h é lus{ un fait grave, carSi IranE, aux peuvent û tev1e uei
bravas gé
de démit sur la situation géuéynlesdu pursil est évident qu'ils n 'oui P. se luiredli,1-mes.
Cent cette situation que nous aintérêt à co noues et que nous novonsjam connue. Si jn oi lais f,ir nailaride, n quivco0tiendrait
d'utitrales
nements, je pourrais mettre suossaiygeux
les bulleüns de quinzaiun dudées,Srur:tés ; mu;
peupartant le y oossm des sno-
tien np
Sensst
Par' 'meus ;lala satisfaa-
vagMluordémelt
tlpas Notre ctoriearméusee s'a. -dason o ait
seurs voix.
-C'éttait
vrai !es ravi,. : Elle est accueillis par-tout
nvIreo
faveur. Le prier, qui est pari0 flot, malgré nos rainés.
ta ti mnsetSlquoique d toi lu, montré rit doigt1'er, e nu il 1
devea
nécessairement tober, 1. iomeist
iute, Mest en'o l'objetdeade
au ire
Mprdo
.apportent
est reçu comme us
tin
Mou
essdoute
in
nee régénération;
peut rester sur je racéesde l'entreprise, et ces articles rooevuientà cette tribune e t,t raéf,quee dosparoles
eteammées
éas de de -IL le ministre d'F-,et et de vos O plaudissemcuts.
Il est bon do rappeler les paroles quepeesevgait alors M. le ministre, no. paspour se donner le plaisir de vaines réuri-
tiens (Bruit), nous élevons nos limesau'dnssos de pareils sentiments, étant icisans ombilics personnelle (Alouvemnstsdivers. - Vive approbation sur quelquesbancs), mas pour enrouer de saisir nettevérité que ao s ne pouvons atteindre.
L'archiduc était encore à Miramar, bénitant, nos P. par défaillance de -or, illie prouvé nobfement,roue pu'. qu'à côtédes eécitations qui lue apportaient les élugréa, il ev'vu it aussi des re seig.e entayuiélentx. L'histoire dira un J u
-'et ses hésitations ont étévaincues,Io
mois que répandait M. le ministre lorsque M. Thiers monte ait les embarras de metgenre qui attend:,icnt le prince au Mexi
ue ,nduie, l'une persistait à l'y en ? lieu
la 'vi l'homil,ationoyrrtomhera1_ p'" torr Et plus tard: v Afaxt
nn I e dans an,' mais:nometuederooias à voir as so cepteo latour. me.
coiu n éoénéréEnfinle l`3,i'18h01 ,L le ministre
virait ,les perspectives de prospérité asouacriptenrs de l'emprunt mexicain,
us
l;h bien, je demande à tous les hommesimpartiaux, lorsque nous sommes salon-la Imr- 1,
nverln ûoint laien ,lors aa101lu tu
s les,rets des affaires publiques ot q"il
ra pas cette rs , orsque le Cou-. t d 1 6 ha que d,,n'a
e.p Pp
g hques, loraq 1 ,,ai a..,, -,
1 ,i_e,l'é demaudar us v te de .agence,auraient pourrait-0. le lui refuser ?
Js1de',uC le droit'lp lt fi,
unaulluL ai, M I
I esdf,b
1 , Il .S ..t11 I I I C S 1 i h s
I u { L I l I dit nosxé é - t I II 1 , I ans.
nu d I
I
Il,Ip f t , il était ri prdu désqu on
tquitté.[t r dan d. lutte, piedP 'l' r pour I téét d l
11a1a 1',aneon l tl tb éts
Pan, dis w buLf
t.t n s 'ol lots
(B ait. - Ap-prSau ilquelques lO w.)SI,
i, a lis d s t .,.plaisantesque ra entait 1 11 il a vans avaitmollira Is 4' 1
dIfaultés de
t t t. 1 leu 1 d I L I
Il ilI lt L f'c t 1
vadavou dô,c,p.,an deIéu!d's
quse (?L 4iI,Pale d,mon l I ly
t ntre u e
sept et use grande asbomblée. (fsloeropammy
Eh urée, S, es esl am,i, J'ai le droit de1 que e t pas s r eurent le défaut
qui O fait le désastre. (Bruyant's' mtereup.tiens.)
.s su@smr11 smsx5msu : MonsieurJules Faire, j s d fe de nouveaude s rit p ,t 1. pris
lp t
(r I leO bien !)u somois t,adune mspen'la ot meut. (Bruits divars,j t'alla
vtctiot que la Lhambro a (le trom-tpée et j'as le droit de le dire. (Intereup-
il Lneé, eucaus : S'il -va en erreur),e ytanos eu rreur volontaire.
' salée : Je veOJ,ais dire quel-mas mots sur les derniers 6, mmoems de
cette le meutable ali'uire ou il semblqmates les lames aient été accu,nuiées,
ue
C'est en 18116 que 5fasimilieu s'asseoirsor le tréne ils Mmxiqum. Il a scellé de sonsang a téméraire entreprise I il cet auj d h peur tous non, victime sacre(I
Dés 18(,1
t
Ile
aine tuteur;silo
I barre était connusavancée
siles ln
eusdli00raeis
pré seuzploflcsielscons liensue .
coa , la [rédesor us dos,caillou,étuo déplorables p t
r
y qua l eéos ad
cne pouvaitué, idu 1 ,s sepiemhre 1865 lu
peu .
t' n était lunée comme radcal. ut p rdue. Le gouve t f ança t a ,lorfsartpas les pmem t fit per le maréchalIlazame pour le compte de l'armée mexi-a e. U,S 1815...aiP
usreurs voix : 1866.° Ln : p é tde, t de sec
non au conseil i Eut C L 19611 quel
` Il 'Il, ai
ent Passés l- fit d t u p`,les,
do jePoil , I%tAI
ie de `p Poold
devantet Si rues feroes ou, perm,tteut deparler, je me-ut amas vos yeux des dots
1 DIpéi
oogere ooo,tdo l t I
. L
ar d , Mas,-.0e coin perdu dès le motsusIneud
1r Mexque de p
eit
êtreéclore inméc,eu rprésence de l'auitude des Etats.Cols.
Ce quo je rereproche au gauvern ont,e t d'avoir, a ,c cite emiviction,`co
n1é la lutte en 1861 daa dos puées t Oi,S q ..III tl
dente, d'alos nlielié lenlpeesne Maxi-Gen de quitter le Mexique. (Vives déoega-fion )
..as avouemes
edaos
le' somment quo .anstons osant.
er let lettres ssuglentes don[ leIoxique a été le théâtre. (Droit.) Lorsque,dans l'ivresse dos parois, jas hommes edonnent réciproquement la mort, ls oui,vont être mus condamnés es .om de lamême hu
Ml10 illustra collègue' M- Thiers, vousle disait tact à l'heure, il semble qu'if yait cne prooidenee, sno loi de ,aprèseillesterri bles qui fasse dispara1tee dans le sang10ux qui ont veraé le sang. (Nouvelle in-
Au monts de ces cataslrophas, oe qu'ilfaut conserver, c'est la sagesse et 10x058.froid. l e gouvernement fceoe in a com.plélemant lanqué de l'use et da l'autre ,quand il a fait enmudre dans une l'ouilleofficielle des paroies qui peuvent avoir usnu
Ointe rutest,ssement de l'autre côté del'Atlantique. (Exclamations. - Tués bienà la gauche de l'ordre.,.)
général dn: Il s
l'Europe,exprimé le sentiment
,van : Dora, q,anl il semble re-vendquer, au nom de je ne sais quel priealpe à jamais ...damné, le droit divin quiprotège les teéues et yuint,frappe diofamieceux qui las renverse j,, réponde qule sort d'un enfant de
ela Flanc, qui st
mort ubscurémeut sue la ,erre étrangérepour accomplir nus devoir rat plus dignede symparh,o que celai du prnue qui-
eurt en dél'enda.L su couronne. (dlurmas et cris à l'ordre.)
M. JalesFsvreeae I0me,te pan seuleoeent ,antre lesentiment do le Chambra, mais contre lesentis,rnt du pays et tenure celui de l'Eu-repe entière ( Vois ombreases : Oui!nul !) Sil cootin ue a exprimer da telles
ls, jo serai obligé de le replacer àÏ 'il Il-,ordre.
M. o. e,u,serux : Nous mettons un FoinCois au dessus d'un archiduc blasi n, ,la
:l'as de di,lencaius, . , , a i e .I ,sm. Il,
mllusioT sles,anc.: Ce que je01,10 à relever dans les paroles que j'aimoudee es, c'est sua disiioctian que lemond entier oe saurait admettre. ('Prèshie. ! très bien !)
n : C'est parce greje repoussemême mute d,stinotioo, qua j'ai proé les paroles qui -I ouleve les .,Il
es de .o Chambre. (uitemuresne irais pas que les nécessités de la
euliolgne punesauV ax plmyse ni josdfioe luamodoucliges dans oeu.e de,.
é t I p' 1 sac leL1 S[ ! t tiitsur laf le nospr........ s, avec salle armée,I dova,t titre protégé par elle. Oui, j oiéprouvé une douleur profonde que le mal-
t- I 0-"or' S
M.. tpas
été ramenét q L I t l u, la p, ante't oz sen ét Il l.au s.mg qna
1, .. t q l . a sor ell'. (Viet mues nxclal apn - A l'ordre ! a l'or-
dre' - Applouduvemems sur q:elgms
1. d àIlS r
ie d 11 I '1 J ! I.p t .t uu ,n, fui l t l' p vtut 111111e, (01101100,-T s bw,.Lini
s
F)P de
CI 1- p t l I ( oL-o 1,0111011 1 . e t:p tt. 1 I1 blé
jai 11 d pilai unied nnu" M, 1 ire
d'àvérité,
lt ut I V 9 l l 1sé té q 1. é ép I
li.e1
f Ij .111 j
-sa,tc rétabli. ({ivre ré.
tll .l.11
d Il'
t1
1-}
tE1t 't
,au-Ilt t
o
, lr atone peut riee la aiel-n ir q ou l pl s il, serait-il os3a é, (
%let agitation.)
. leN 5sO.
La parolestà At le t dht t
e 4 o Fiat, le'rune deuande pa, a la Chamb,o ,E` réponde
nédiutement aux d'us discours qaeentendus. J'espère quelle vo
1io tO ,p ftd eple dede-to
]ilséance de demain (Oai on, !)Id"il je
.
il, Pull I Pore cette sémoesa ne contre 1il v
Protestersta t I I l t f blugdla
Jtenu,ules
liésleu 1 o^ '.
'
O
t file sllédatibns qu'il vient de mette oO.-rit.l.honorablc Al. Jules Faire veut faire
retomber sur la France la responsabilité.,Rx Non! non! sur 1. Gou-vnni 'sent
111
Pluoleors membres. -Vous avez dit :Sur la Franco! (Agitilles,)
M. le rirf:,,nnxl 'cllYxmnn. Je demandequ'en observe le silence, vu la gravité dudabat.
t5 sus-t r, n'Lrer. J: honorable Ml. Ju-les Faire ,ont rejeter sur le Gouvernementde le Fiance.
Les mémos membres. - Il a dit sur larince...
c "sssursnair tas o olarient
v...d' LaélrereapoonsebrLité
do l'assa qui l s u)lexique, Je .e pois, nlessicui,, quepro-ëester, a- la pl li oc' guenon,
4 e allée, t
hblble.
Si I F prou M m,heu a succombé,il a succombé d l f son, nue Iàcdetrahison plu! oui ! - Très bleu ! trèsh f Et l .y
"I été 1"
sommeil
a 0o I L " 1 han',j m d longs jour. t et écoulés,jsg!I
époo d b" ptd t
L clos, t J assassiné urq il -tut fait trahir. (Bravos et applao.di""""t'.'
Voilà la moralité de l'acte qoe vos.; vou-lez rejeter sur le Gouvernement fran-
baCe que le Cou ont fran ia a faitlorsgss, ou 1818, l'FmpeecO, Vapoleon anvoyé au SI'x loue un de sas aides de
épi ce q"il a fait ce o`bar,
été, oommela de l'a Voguer érairement
à Dette (,dame, de conseiller à l'empereu.orne Napol r,,, rester au Musique.ppfer à
N p io ' t p 1 supplier àt I l il. -m l l'en de
tt 1. b d 1 ,Mexique, et e a.Ihall devaient partir du après lui! Maisqui
deuonc, lorsque l'empesr aouilien a
oins rester au milieu ,les msielaina
,luiI If étaient dévoués, qui donc, après cettefin cruelle aurait courage de éiede avoir pas
sm,l
cesoouseils,
s, obéià
es priéres !cLorsque nous avons été sur le point de
quitter le Afaxlgoe, .eue aven fait tousa efforts pour ramener avec le drapeau
f'an'ais l'emper,or Sluni,nilien; mis ilne l'a pas voulu. Nul s'en a une plus pro-(osde douleur que sous, je puis vous l'af-firmer dans touai la sincérité de mon 9moet de m iefence (Vivo sensation é;mais, qu'à. vienne élever cm,tee oreproche, injustes, ,,,a, qu'os ne laisseP. las
p sabrhts la où elles sontodteurement cnsbentrécs, c'est cc quejo nepuis
P.tolérer us instant. ('très-bien?
très-bien ! - Nouveaux bravos !)Que- ali
tenir l'beoorablel SI aJnles Pâvice? Qaoi 110Gouvemément de l'Empereur a rétablil'éohataud politique? Mais s'est ce pas leGouvernement de l'Empereur, a1 con."""' qui a euyà e notre Iégrslation la
ne de.art t eu dm d,ére politi P
,. es u. Vous ovevouquelu
la réta.blit
!
(Pives réclamations.)
rs rénovesn ' Oubliez.vous
Aune quels prédécesseurs qui motvoté la toi sur la proposi'iou du gouverne-ment de l'Empereur, et qui est iLe, appe-lés à détcrmmer d'une maaille irréseca-bl I l' t de la peine de mort enblatime
poluq ,e ?Ah ! si volis voulez confondre l'a553s5i-
nat avec les crimes pallt!qucs, et si, rap-peL rit vos souvenirs d'une autre enceinte,vous faites allusion à je ne suis quelsuist odieux testé sur les marches de 1'0'pèra,je "appelle pas cela un crime politi-que, jc l'opens de son vrai sono - nu 55-
'nas, (Bravo I bravo I) et je dis q"i1dIvmt lire puni d'une peine proportionnéea PO. al.planiill et à l'infamie du came. (:ip-secLbssements prolongés sur us grand
5,Lo de no.os.)
Jla f ha b d tt à d ain je suitede la dixussmn- (Oui ! oui !)
timo s. Je demande la paroe.r.r
(bu. Leit)
eotsronvs scnsemen. Je consitela Chambre sur le renvoi à demain.
N eocssPréai
rstnsrae,. Mais, monsieur leâent...
La aulm de la discussion est renvoyée àd'main.
La séance est levée à sept heures.
Le Chef d J. d ,tors,,,tare auirLYBN.
CORPS LEGISSATIF,
(G pt I Ivt que )9 da Idi flot
L A' rte t 1c' sh 1,s:r
.ès vï
[ do fil ,éaucc 1lotest lu pa, 1j' lIed',lun des
rtouas.
.L foie
t ', M, lloun a"r le Ps"es-' 1,I5. 1
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1tpt pr
bdté ph 1 I é np 1. Df J.r f"' i i é s
P, ou0o t:on qO I I 0 Cambre a4,é fr im-là-, ne-il dev d l l d -
été t il p ée4 i r ils 1 ent traduite doue lu
d r de a tq- p t:Slya n I y Iolomsier s\ I -, d t n nds vent tenir
ou pou[ mujooen tff oeo Ip
I ,lamais!'erreur volontaire. , (Tocs lofas I)N
- la parole est
s
à sl ) st rI
,
bal.v A de la sé,sce
voulais pas 110 m discours,pmoisécloreair Menoent une question de l'ait en ré-ponde t à nette allégation do MI. le mLIO d'Etat : e que c'était le Gouvernementd { E p reur quo ava t rayé de notre lé-g l ' p e do mort en met bru po-IIqu J 4 sà just ber celte,nferrup.t q j i adressa aussnlt à M l m.iste : . Vois a,,, voulu la rétablir,sNos, oe n'est pas le Gouvernement de l'Em-
mt ère po ugo liaqileI
or il l a trouvée abole
pu le décret du 21 février'I181,8.l Sxule-teat le Gouvernement de l'Empereur ne
Ia pas rétablie, je lui rends cane justice ;lais s'il ue l'a pas rait, il a essayé de le
foire. Sa tentative n'a échoué que douantla résistasoe du Corps législatif, ce quiprouve une [oie de plus la nécessité danotre couuGle. (Mouvemxots divers.)
Quand ai parle de la prive de mort eum t p dLique, on fou allusion à l'ar-t 187 1 d pénal, qui punit de mm t
)
G
v rt pour bat de changer laferme
ix diversesCst là do la discussion,Il ne s'agit plus du procès.verbal.
"s m easn onn. ilonstio Proflet z dégagé fol e opinion;
d , dn e pas foire du discouesvous rsà 1 . asi- I procns verbal.
J roc da à la(h b 1 Iu lq. .tes. ('tout.)M I t d ut t 00i l' est Im-néme, qui, aa ,m du oen9d d'I.mt, a
,s, le Corps législatif d'un pmjnt de loisyont pour but de rétablie l'article 87, queI exposé des monts déclatait mds,p'sable,La com,ms,roo lu Corps législatif a e-poussé ,afro m appomo.ce ind s-petsable. Le G overnoment n'a fait que
reniera cette opinion enu',nsistaot pas.(No,vellas isl ceopb0ns.)
Plusieurs voix. Vous ne parlez pas sur1 lof,arc,a. Ir
l. on. Pelletas
a 1d'on I p r le sur lepr ès ve rbal,Son but était du dégager son opio,ou. SonOpinion, je le répète, est dégagée complé-tomnuy il u', a donc pus liru d'ouchedans,le plus longs développement. ('l'rés-bien! très.bien!)
c M. aomicn, ministre d'plat. oui,11
FaX
p,Bbw,r Oui, rl cet v,oi querv
ldébris deja fosdatmn de lEmpue' leu consodlms de'E,n e -pme 5l s tint vivement ont pcupésde la question du rémb87 lu end pur 5litsimple des arLiolos 86 et 87 do code pénal,qui out été en vigueur pendant de
longuesl
sla Coasospules se sont élevés au i. dela commission du Corps législatif. Ces ooeo.pales Dot été portés aussi fiant qu'il étaitpossible, et n'est d'os baux qu'est partiel'adoption de la modification do l'article 87du code péo.d et de la suppros.ion do la
e de mort euPmn roc complot. Jepoudrais eu appeler,
aau
b beoo
soin, au acteur
sauvé.
der de AI. de Ipd loi ut Iiére rapporteur
c prdut daloi,
, etl'aflir,
que t'ointpar ,.ar rl'ule augurai
décision
on quo parti-cle Sir ue cote pé 1 té odi o dons le
bien?que j'as ind"qué. (Ires.biain ! très-sens
procés-verbal est adopté.
il. ou 'Il',""," suri5,1055. Le Corps lé-gislatif vi,.I;t ciiaorc d'btre éprouvé par inperte don de ses membres. M. de Veize a
u000Donné hier à ec lCogue ctdoulou-re
aladie. (MI00VOtnent de pénible.Surprise. )
Je sui
limants sdass lacmhande Oui
,!0051)ees
rendant à .afro honorable 00110100 lelusfatribut de l estime de tous et les mcgeeos dechacun. ( Vif assentiment sur tous lesbancs )
Je vais tirer an sort la députation dedouze me bras q i d ,ater à sesobsèques. Le cerc me aura heu vendrediprochain, à ouzo heures précises.
Il est procédé au tirogs a sort de ladéputation, qui -o ainsi xnposf1M. Gm r de Cas gc,Chadsmt, Alil-1on, le v coomte Rcllle,le oicemte Lon"ui-
s,Portte, le comte 05 elles de LaJVa-leu', de Roebeniore, le marquis do Eay debl Tour Mauboaee, Coulaux, le comte deChambruu, Bn!l'ut,
mocT.
oOR. dépose uu rappel sur unprojet de
imici
d'mtérét louait relntil à onp éuè"om Ot par 1 dép t nt de laIl t Vi e sut d s 00000rdi éden p ne loi ,mmrieure.
10000T n,: 1868.
L'ordreudoojour appelle la aile de ladiscossion des projets de lois por,antfixa-tian des budgets ordinaire et extraordi-
ire de, dépenses et des recettes de l' axer-a1e, 81,8.
LL EExc. MIL Raubcr, ministre d'Etalt des
finances; Vuirry, mifisleo, prési.
dans le conseil l'Emt; Baroehe, m sistrede la jL diva et des tulles ; do Foreade la
q t tre da 1Igna t 1
dE uravacs pub!i Je au111 " ei,,,Rigault ie Genou,il mn , que I punant étimranegèret
E des colomrs YAI?? ide Panes ,uvioe-é.,rnnvmt une i nd , ,li on , e
prénident du Conseil d'Etatr le général Al 1 e1 eaemplairdésir d'au chtttimeat prompt
f Il,Dlm pé A-4 iI dit U i UébtE
-B. lie de té 1
Jp 1141,,g1
fit eue
I t O
P b. 1 BIl,etraré, conseil1 i " ÿ.n. au bava
Lr ev lnn_ r L , pa olé estàut 1 te dE t,
o d Etat etc', 1, .cas. Y! a m lg a I de 6-ment plein dame eu t d d 1- e q er 1 tr p se d Mes lue alIeé les es-pé lé'osetbrsées,oo!grélespero-an,
,S
1 J t.t 1 ont retenu h,erà cette iriil em'J"ma do Blex,gne a été lusse erI f d u t ie t tAussi plue p a lpa l laq
sten de aavurr S'il dt t plus Ilc tt m .ai-r Il
Lion douloureuse eu dehors de nos bébat1,
par on renouent mutuel de résigseti0apatriotique. Nen le gouvernement, malgrése d l t esmaer I ensemble dea t d u ea pl'acer dans le oernlemd q 1 L4' 'radé par sestours, h b r la moralité des faits, sedemander a, ,.Ire eontrole a axiale, enfinexaminer toutes les couséqucnees tous lesenseiignemonte qde peut contenir i'espédi-ti 1 xique.
L han roble MI. Thierd, dans é tsemé parfais de t a t d; np fié -
litière que l',.Lrn t u pouramque et suivi la f ndation d un empire,que Dette entreprise était dénuée de toutesch de ic, s, qu'alla aura t dû virer Lé, le cotitréle ait sér - t
existe 1 il a olé l'emistrnce de c élet puisé dans cette abarbce prétendue desnrvaillasve législative dos coosbléOttionsque j'aurai à apprécier à man tour.
L'honorable 61. Jules Faire, dans unlangage plus véhément, o retenus poursui ompte que le contrôle avait existé,que let pouvoirs publics avaiem été con-sultés; mais il a soatenu que le gouverneu t it a qué a cette é !té
.
ait l que votre dhéqau
ét Iprise, qua aleo 00.eauct...t avaitété vicié.
Les questions qua j ai à n aime sont donccelles-ct : Quelle est la vérifié des faits,
dans 1 s 1(t l' s daosle bl V t f
tt 1 té
art lié plèt. ?l.a tàohe dugo va ,eut a t elle, été rempli, 0000 une101 Eb upulcuso 4 Eulo, quiislles ontla I lés deemeres de ces trtes éve-neme0Is P
E.ue première qursLiOO se pose : Qua11ea été longine d., la guerre, e otif,oo but? Quelsmy été pi est
Comment l'interventiona
t II I u?A-t.elle été loyal t p q E,etenten-d t 1 I. rt 4 t tas?
S in lh bl Sl lh IE.pa-gu , ni lr t r00 la oGdence des aerteee pensées du g rno-meut Irritais,
Sinon l'honorah!, M. Jules Faire, auntraire, l'Espagne aurait été l'artisan
do piégé tendu à la bonne fur du goaver-roest impérial, ,t c'est do Madrd qae,
dès 1808, serait porno Vidée de le vombi'sou destinée à faire monter Mlaximilien
sur le tréne du Mexique.Ces deux assertions sont également er-
. La motif de l'expédition ae trouvedeus 110 violences exercées d'une manièrecommue cintre nos nationaux. Le but, c'é-tait 1a réparation de nas griefs. Le moyeu,franchement avoué dés la première heure,était de pénétrer au ,reur même de l'em-pire, d'aller jusqu'à Mexico.
A tété de ce bat, de cette pensée, ils'est placé une éventualité dont jo déter-mine rliie oacsetvre, ai qui avait 'téloyalement pesée et précisée entre los di-verses parties conmaotantes.
Ces faits sont ils vrais? Permettez.moi,par quelques cimtions précises, d'établirla vérité des faits; ça c'est là qu'est lepoint initial du débats
Nous ngé, dès 1860 à ondée.aurions
mpirea
? C'est la fi. de1860 que Juarozr-norait à Mex,c0, aprèseo emplie de Mira . Quelle a éléoutre ait tadu à son égards? L Franceanvcyé au Mexique u m,sistrepnmpo-tantiaire quia reconnu Juarez, qui est ou-tré en relations avec lui.
Les trois premiers Dis de 1861, dejanvier à mars, le, réglant relations
icales. Vu traité, réglantleses iode-moi.
tés dues à nus nationaux, fat mémo signéautre le ministre des lisantes du Masqueet M. Oubli, de Saligsy,
Gomment Datte situation palme a t elleéte t bl s L t b t sri est-elle ve-nu de1 France.?L ns
Le 28 avril 1861 , Ire toisire à
Mexico écrit,. ministre des alLnireséw, -gi:res qae, dans l'd ot d'asoecbie 00, pour
nu dire, de décmnposition socialetr
oà seouve le Mexique, il est difficile de pré-mr la g F d lis éeéne-,ents. Il paraitné eue que nous ayonsur les cotes u e force matériolie eufb'
.nul, pour pourvoir, queei qu'ilorrive, à lapromenas de nos intérêts.
Lo 29 juin, M. Calmai de Soligny écritmea
Les réquisitions, les exproats forcésles cosftscati,us, les osactieos de toutesorte sont à l'ordre dn il,,; les étrangersne sort -protée ai daos leurs p., a....ni d;ms leurs peopriétés. Le h0000eno-meut de l'Fmprraur sansdontela nécessité et l'urgence de mo mr,oir dusiustesotions et des noyons propres à faireespeclr les intérêts et de nos
Les événements su poursuivent. Le 27juillet, uouvello dépêche. Notre ministre
vertu q"une loi du 17 juillet sripesa pour doux ans le payement des in-demnités aux étrangers et augmente de100 0/0 las droits sur las co ,rats régis-traux. 11 joute qu'il v a eu mas mise
mont-de.piété de Mexico, sur des alleurs qui p avaient été déposées pour notre
pt etq 1 votent saclulfredee 86,000p, t 11 it eneora que la t en l' t l' t E f l 1, oses d ac-
ornem to d e
le g en1 N 1. Stre de fa eorrre j on,ial `
,il au gq d w.
gt p in
p ,tiou d, tantJ re 4 1 a s .
1 p ( t It anglais avs t dlpooé"
.
0esr
le n , s4 e aspe oa, avait été exil,51
Il,
L Irais g d.s p .s lo tt,d ol n ter, 111.10
31 robre, alla c t .
S. AL l'Cnpe 1 Fa a M.
la rmn d'fi,pag, c 51. la rcme,i, lalirunde.Bre[agne 1111 1o, su lro,,ltplane par la oo d te arhdrairo v.taire dos 0 atmntés
duMes,q,e, d la
réaesmri d'exigerusa p'ateeton pl 'ce pou leurs mf EL. -p tIu
obliga"ous contractées, I t I f :-
sente convention peur combiner une ae-L,on
Fstil ad,nissltle quo trois puissancesécloiréOs se soumt 4 du s p r simulaide, grief, eju, 1' .
t p té?tu ,S nJ ai pas dit cela.
,: u istas. Je ne prétends pa'
q 'uait ::Od1110é
qie les Imis gauve,nl('
s
p rte d, It n C q o ;o
irrite, ces. qu } ls,..e 1, .s:[ és à Mrti énie , q ont
d(.lor,ai.é leur coutoision. Quart O"moycos et au flot, y a-til ea doute? Eaa-miL'arrtucleel,ede
la convention plf te queles trois pninousecs s'engagent à arrémrles dispositions sIen 5air's pour agir Lxm-tee le Muxigne et roO'lyer dos raroes ,terre et de mer suffisantes .r ccupeeles forteresars et 1 p " t milil s duIf± tical ; que les c0mnrauddits des f ss
albées seront en outre autorisés à . é -t.les autres epéra1ens qna serment 1or les lieux nécessaires pour atteindra
le but de Pentreloise, etpou éc t 1. i- 4sn.s
A: 'là d la t I
de'e dans lt locriooi. La Fl
née d, fat contractantes lot toIls
de rester sur le i tt I La l t rides for..ao envoyé ï d I L'ffoun,issmr 00 tore 7 OINT I dtropes de tore, 1 F raille ,,O
01111 r.1'.ing eleeme, i:d'la à sa. 1110 m t ,
701) m et 700 ,-patel.t,.is dollarde 1 pédil n'était p s lor
lu[ il11 be, M. Thonve ef lu-0t tas t Wons a Al. l'amirl JiC¢
del G esti de pouvo mili-te r -a et diplomatiques ; il esanon lit 1 hy-potbés0 0ù lo Cnuveroement de .Inerte. serefsserait à Irai er et ae retirerait darsl' n-férieur du pays. ll disait que onn e La.-
ts, dans ce eus, ooas borner à 1'0e s-
pancu des côtes, et rester sad'action sno la gouveeOoumnt naSes ioléré:s et les conditions climatéri-
ques s'y oppesaient.Le ministre ajoutait que c'était oo vue
de tE év t lité",un
p de trou-pes d d .b q vos t été organisé,etq a[silI r11 i juqu'à 111.oapour protéger nos ..Liond,ix,
Ces und ont-elles 0° eopiquées à I'Angl'tnrre ? Ont-elles 60° corl-
de l'Espagne? En même tempsqu'elles étaiera transmises à l'amiral Ju,'es de la Gravière. olles étaient adres-
sée, M. le général de Floiant à I,e.-ders, à M. Barrot à Madrid; elles devwaient donc, sinon une loi om u e, du
e apprécia onti simultanée du ca-enc4ére, des casses et du but de l'expédi-
tlon.F,. dehors de cette situation, est il vrai
qui il y edt d'autres évacloslités 4Oui, dès 1858 , des e0'ores avalant été
faits par les émigrés mesicaire plut obtu-teu" qdul h d ll 1 ,oepiàt letrône Mhsique. Ces unbati ils furent
uveléas avec plus d'urdnur encore on1859 ; e11ra uo eso"aL'Ii ent auprés doprince euc,me adhésion.
Ce fait était connu des puissances cou
traelnums. Elles s'es p'éocetpèrent.
Elles déclaràre. Il d ne dabord qu'ellesne pou ,,vtséc d
auotSI'siquu aucune18 oa-croquétc; !a con ention du 61
stil 1 I t f e xEmt L i 1 F, l t d i t salli vec n film 1
tsua, u
obtenir la réparation de grial's do01 ilsavaient eu eus'mémos à se plaindre.
Il était stipulé sorite qu'oucn mem-bre des familles régnsl dos unis puis-lo1oeseng000es dans l'entreprise ne pourrait
prélon ant } d a Mcxiqua, et
que, c far némrnt à t d'on publie, Ilsrait fait an'00e tentative pour impo-
,,rdeforce us ce pays.L'art 21e déclarait hormcile tu nt.
. bues-s¢ax : Là est toute 1a ques-tion.
5r, Isrsmna : S'il s'était agi simple-ment d'un co[Oit à moin n'Tnéu antre deuxgouvernements devantamener , après 1uvictoire, un traité entre le vainqueur et le
mettra en question l'exil.10010 mi0edu gouveeneme.ut, est ce qu'il
rait entré dans la pensée des parties wn-uartantes da mettre dans la eooveotion laclause dont ja viens de d...er connais-sance à I. Chambre ?
Il gavait au Mexique m. pOuvernemcat,Juarez e. était le 0h11 ; Si ou "Huait paseu le pensée que certains évéoamoms
ient se produire, on n'ose it pus sti-polé dans de pareils cormes, On auraitni Prévu un chhangement de gouverne.
L, nia
laveur da la liberté delalena'for.On aurait surtout cola gardé le
silence.11ais as savait que la nation émit lassa
dualcorillonnan
t q Il, t ad, ou
Pour q 11 d I r cuquénri o d t i sécu ilé.
On st pu a ,.onc qu t t l be té loi seraitlaissée pour le 01 x du gm'n,.rleinuntqui 1Im co viendrait de se donner,
Cela Bat-il vrai ? Commet M. Tbouvene(
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
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pat? A cette époque , le décretro4àGOfon00011ait.C0 drs-
ouué parle oheP de l'Etat.ou dn l'Empirs vouséti
iart'Ors quelCI, S out 00 1erveotio0
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I I li U l i I { , tle a,C, il
1 f Il n Il PI 1 78(
aI f. lt I I.I CStfons dennces
u I ,uI I ooo.ILle M. Jules l'aura les a mppe-ILu ,
or Or
11 vous e dit: Le coatrdle a evisté, mais
tel q lpll sait le drffioile ae
ln f rt a nom art Gonas C 0,t I rilé l Et la vé-
46 ],r AlP
1 1Iui It té contestée. Il e
9 p 121 tt satmn - r sust b s ll . tet si prématu.
main oav _, (M100 L.)Jo l'ai d but et"' d't,rmrné. Une
é t- t ézait c Nul n aitou,
N[S t p t p d 0.
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la oandidoture de M Il'I oFiers
ne I cvrens pas auoopn.e. Nous .,a-a
ut5Wdn?35,°33G
e au profit dan arcbidIr1
L'houorablo M. Dillauh rénolzdait néa,.
ont.!airs ifvimula'til le perte, les{. S I ni, 11, p de
Tiau, t
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éB i 11 eIh1110 ill. WI, 1 a r a fut pue tue de témé-r t. ,Tarit placer net é t leu,
couve. iiuinnavec les faits p:toute etofhe,els.
L 140 s 1 8 f . M T I 7 11d tquepp Li
Si,
n -ledit, esun 1 d t I q
1 1011 1 t es Il ,,aut t_ dh t dol t)r p 1 q l llt t bl b 1 p' d p N t'il II dl
0P,
r ira etdl It t r rII'tl I
tir pé 5 L ll pusvu par lat rannon, p I : lrnct'ona,
S ns v oler I. ilu rien,Il vie, cet d l dép d I -t i q d tpopilutile
I f II I L I 6haires dos pro p rit é
r t ils vo t d rt mmlleur, il Gala t de eus sym-path est de n ousede, de rgi', appui
L'honorable M. Rdlaolt j ut t q 1
fuis se réspmmout mu1
grume 1,o andce par noI I o etté,la e, aie posepour s Mramame de sc loupa 1,u
bop gouverne rient. Ce "a I illgmantreapose sou OOWoou, "i S
1 td f dlann,
11, lu P` `oohdemo, 0,11111 l'én c e p q 0,i p .se donner, un ban Gon
hrat
r psa
,p d 4 1 t t l i 1 ç 3 p
Conseils Il o p Q tII
(slo farren, I a, p t ,tet,que.,t on. (T os lieu .) Tel t rt le laogodede AI, lliuanll.
L'honorable M. Thlcrs a dit : pcnrquaialler è Monice P A "fil 4u,sl,ion ^i. 1311
Iaclt avait répondu da,,licetiuo tripot.-raph'qle et 1, iér;ille wandait aussi bleutique
De, upoee urr la lilora[ c'étaitoupos ée 0,o jaunç ô'etai
moto,, l'ennemde
i da Il lot ire l'ivlet de an rire de ana u-était adu :Hexiqugulomait A1. Rll lault, gdil loi.lait leipper dé f, yfarceu
d tb1 lo ,I
û t i- ],rtdn la h t àt las riants qu'il osait non.
a 1F l
disaitM 700egoe mou
4 pue vont e A1ez c0,.t-i1 nu doute peisrble I N'ass rl pas
é d t q d l ro.d d éj I littoral t 1
e d bt iltaur,t t h .s l dIs lances
T é I t b )l'e ( t .vldeatv A j'ai
otabl.i
tout àla lote le .a ,s de la c0, rveunu a, laoette46 dos oxpllcatiaos dn Gouvorno-
eny sri franchise, et ai le droit de r -p e Tee III, t qui uot
t p etées t l acné da ]'Il onora-ble r, n sire qui tepr6scntait ,.Lors le
(loIl
mont.ve (louve le approbation.)L'epesdant que, s Passant-il u I s bords
te 4011, u 1 I .f la cou .ntu n étuite
-
etl exécuta 1 I '1 y Let les Arolo étaient e d. sl ICI , emors jours de 1 Y art r un don tesur la oomlu t t, v Nrart il 0s
a qu'on 1 I lé d tp0 sible sur M N, G 1 ple 'nouai des maladies p'Inbonnes qui
pouvaient compromettre I existosce de nos n0, soeoe socuc: Rue de Proveneo, 68. tMets
E 7.r d rnx 1 L ? t e 0,..J e I Mlire du A L N tro D m.d 4 t s 46;
1 R 1 s tRt d R 1 oti4n0, *e es1, s 7 or bas, 00C R d ÿl.oeeaaelro.D Rue du ose , zE- Rua saint-OonoeéF. Rue du Tem1 eU: Rmanvard Genne'n, 79li f I 1 F 41I, 1 f 0,t [, rat des, Y' G
P, ê' tu a1
J R e St Oun é 59 , et I ne ces Pont-Neul(Ii:lI1 ee).DANS I.LS D..IlARTP,SIENTS
L les Ay t' ; Couesyondeolu de5 lé lutin,
entrer dans las terres rla m ,cher sa',as il il o de Ce 600 Le mulots , l
le rostériel qui lui purmsurunt de mcher 0. avant 0 déclare oui oooree forera
i1 ét qu'il e aura lorsoh,taclce
ote
{ t pe.dnluln,t l d !llé 0e nlse a, tt. ra 3dlexiw. Cette lettre est ofhwclle, elle d é nipobpee.
Par quel, t 11Jjidées setmr cl 1!o., moi Oé s Len .nuitt q' tle f 3 Il é'.venmt rl 3 00 1 I éi d 1.mtrS l d 1 11 4 inutile l e I h.Ily t(d tir q tdans lé, r t o trouva Moi11 il hpd tb ,l, -il, Il écarciffité.
La sésuoe continue.
SOCILII IN NI I LEP / dd¢ lpp t du C -lI l t pdl a8Lµ1 SOa.el. une dcPr eesee, G`-1
Ci°Frarivalise d'Exportation
d'Importation50010 IL 10D0V1m
du capiéad social de 60 MILLll'S de r,mvsr
0sv sis sen ris 0, 20,000 ne 10, NOMSCONSEIL D.ADMINISTRATtON
(Yl1 Ib 01, f : neuf 3 I' cl. 17 dieIt l),,M A. A-nT Imimpier
1 lI LA tLI b 11, lIII d t S,D I é.'d d 1 5 5.,mil
Inné , ! an pr élident du rIi- ll t i i.itadla Irai rae, .
h' ( t i Il l u 4.là Il
cnns par la peemibreass%ml,ale,
SOUSCRIPTfOti PLR[.IQI EUntssbbotI ?il qua" ante ,élis Gelions
d '00 f u ,s
(1 t 1 d 20 000aüwns
P pinter ve nm. lao francs eu sons.en an[.
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