LOT 12 CHAUFFAGE VENTILATION PLOMBERIE oct … RPI... · : chauffage – ventilation – plomberie Les percements dans les cloisons légères. Les rebouchages et lissages nécessaires

Les ISLETTES Construction d’un pôle scolaire Phase : DCE 12 Octobre 2009 PAGE 1 / 70

LOT N° 12 : CHAUFFAGE – VENTILATION – PLOMBERIE

LOT 12 - CHAUFFAGE – VENTILATION - PLOMBERIE CHAPITRE 1 GENERALITES 1.1 OBJET DU PROJET Le présent document définit les conditions techniques d’exécution relatives au lot CHAUFFAGE – VENTILATION et PLOMBERIE 1.2 CONSTITUTION DU DOSSIER Le présent dossier est constitué des pièces suivantes :

� Le présent CCTP. Les plans guide et de principe : série CV établis par le BET. Le CCTP et les plans n’ont pas de caractère limitatif et l’Entrepreneur doit exécuter tous les travaux nécessaires, y compris les travaux de préparation à la parfaite finition des ouvrages de sa prestation, en application des règles de l’art et des diverses normes et règlements en vigueur. Autres documents à consulter :

• le Cahier des Clauses Administratives Particulières (C.C.A.P.) applicable aux marchés de travaux établis par le Maître d’ouvrage et (ou) les Maîtres d’œuvres. Si des contradictions apparaissent entre le C.C.A.P. et le C.C.T.P., le C.C.A.P. prévaut en tant que pièce contractuelle prioritaire,

• le Règlement de Consultation (R.C.), • l’ensemble des pièces administratives constituant le dossier de consultation, • les plans Architecte (seuls les plans Architecte sont contractuels).

1.3 CONSISTANCE DES TRAVAUX Les travaux et prestations décrits dans le présent descriptif comprennent : Chauffage : � La fourniture et pose d’un équipement de chauffe : Pompe à chaleur, pompes de circulation, sécurité,

expansion, tuyauteries… � L’alimentation électrique de l’équipement de chauffe depuis le point de livraison E.D.F., dans le local

technique : réseau en tranchée, alimentation des pompes a chaleur…. � La régulation primaire des installations. � La distribution principale. � La production d’Eau Chaude Sanitaire centralisée de type accumulation compris raccordement à

l’équipement de chauffe. � Les installations de chauffage statique (radiateurs). � Les distributions secondaires chauffage.



� La régulation des installations secondaires. � Le raccordement électrique des installations du présent lot compris armoires, tableaux ou coffrets. � Les accessoires et travaux annexes. � Les essais, réglages et réception des travaux. Ventilation : � La ventilation hygiénique en double flux.

� La ventilation simple flux des locaux sanitaires et bâtiments ancien. � Le raccordement électrique des installations du présent lot compris : armoires, tableaux ou coffrets. � Les accessoires et travaux annexes. � Les essais, réglages et réception des travaux. Plomberie : � L’alimentation générale Eau de Ville de l’opération depuis un nouveau branchement sur le réseau

public. � La distribution intérieure Eau Froide des points d’utilisation depuis l’arrivée générale. � La protection des réseaux E.F. passant dans les locaux techniques et zones susceptibles de créer de

la condensation (faux plafonds, gaines, coffres….). � La production d’eau chaude centralisée pour les appareils isolés par accumulateurs. � La distribution intérieure Eau Chaude Sanitaire des points d’utilisation depuis les points de production. � Le recyclage du réseau d’Eau Chaude Sanitaire par bouclage. � La protection thermique des réseaux d’Eau Chaude Sanitaire et bouclage passant dans locaux

techniques, faux plafonds, coffres, gaines techniques…. � Le traitement d’eau pour les besoins d’Eau Chaude Sanitaire. � Les appareils sanitaires et leurs accessoires. � Les réseaux d'évacuation EU/EV apparents et intérieurs jusqu'aux regards extérieurs & intérieurs. � Les ventilations primaires des chutes EU/EV hors toiture. � Le raccordement électrique des appareils du présent lot sur attente du lot - ELECTRICITE. � Les travaux annexes : repérage, étiquetage, peinture, protection anti-corrosion, fourreaux,

réservations. � Les essais, réglages des installations. � La désinfection des réseaux d'alimentation d'eau.



1.4 CONNAISSANCE DU PROJET - RESERVES - DOCUMENTS D'ETUDES L’Entrepreneur devra livrer au Maître d’ouvrage l’ensemble des installations en complet et parfait état de fonctionnement en conformité avec la réglementation et les prescriptions du présent document, et il devra toutes les fournitures et prestations nécessaires, quelles qu’elles soient. L'Entrepreneur devra prendre connaissance le l’ensemble des devis descriptif et des plans Architecte, ainsi que des plans d’implantation des lots techniques au dossier de consultation. Une omission sur un plan ou dans le présent devis descriptif ne saurait le soustraire à exécuter les ouvrages pour un bon fonctionnement. Sauf stipulation contraire, le fait de devoir la pose entraînera la fourniture et le raccordement si nécessaire du matériel demandé. Il lui appartiendra de signaler en temps utile, et obligatoirement avant la remise de son offre, les omissions, imprécisions ou contradictions qu'il aurait pu relever dans les documents fournis et de demander les éclaircissements nécessaires. Etudes techniques : Selon les spécifications du C.C.A.P., les études techniques et les plans d’exécution sont à la charge de l’entreprise. L’Entrepreneur aura à sa charge : les plans de détails de mise en œuvre et de montage sur chantier, ainsi que les plans de réservations, les plans d’exécutions et tous autres plans demandés par le maitre d’ouvrage :

• les plans feront apparaître tous les détails et points particuliers de l’exécution que le Maître d’œuvre jugera utile à la bonne marche du chantier,

• les plans de réservations seront à établir par le présent lot, et à mettre au point ensuite en accord avec l’Entrepreneur du lot gros œuvre et d’autres lots concernés le cas échéant.

Connaissance des lieux : L’Entrepreneur est réputé par le fait d’avoir remis son offre :

• s’être rendu sur les lieux où doivent être réalisés les travaux, notamment de réhabilitation, dépose…,

• avoir pris connaissance de la nature et de l’emplacement de ces lieux et des conditions particulières qui y sont attachées,

• avoir pris connaissance des possibilités d’accès, d’installation de chantier, de stockage de matériaux, des disponibilités en eau, en énergie électrique, etc..

• avoir pris tous renseignements concernant d’éventuelles servitudes ou obligations. En résumé, l’Entrepreneur est réputé avoir pris connaissance parfaite des lieux et de toutes les conditions pouvant, en quelque manière que ce soit, avoir une influence sur l’exécution et les délais, ainsi que sur la qualité et les prix des ouvrages à réaliser. Aucun Entrepreneur ne pourra donc arguer d’ignorance quelconque à ce sujet pour prétendre à des suppléments de prix, ou de prolongations de délais. 1.5 CONDITIONS DE REALISATION Origine des installations � Eau froide :

• En limite de propriété � Gaz naturel :



• Néant � Electricité :

• Dans le local tarif Jaune. Variantes : Après désignation de l'Entrepreneur, aucune proposition de variantes ne sera prise en considération. Seules les variantes proposées lors de la consultation pourront être retenues par le Maître d’œuvre après l'appel d'offres, à condition que l'entreprise fournisse avec sa proposition un détail de prix permettant d'apprécier les répercussions éventuelles que leur adoption entraînerait sur le montant du lot en cause et sur ceux des lots pour lesquels ces variantes conduiraient à des modifications. Ce détail devra être présenté sous une forme comparative montrant la différence entre le coût des variantes proposées et le coût des solutions prévues dans l'appel d'offres. Limites des prestations : La surveillance de l'exécution correcte des ouvrages et attentes réalisés par les autres corps d'état et qui lui seront nécessaires seront à sa charge de l’entreprise du présent lot. Les paragraphes suivants définissent pour chaque partie de l’installation, les travaux qui sont à la charge de l’entreprise et ceux qui sont hors lot. Toutefois, il est spécifié que l’objet du marché est la réalisation de l’ensemble des travaux nécessaires à la mise en état de fonctionnement correct et à la mise en conformité de l’installation complète. Dans le cadre de l’exécution de son marché, l’Entrepreneur devra :

• la fourniture, le transport et la mise en œuvre de tous les matériaux et produits, • tous les échafaudages, agrès, engins ou dispositifs de levage (ou de descente) nécessaires à la

réalisation des travaux, • les incidences consécutives aux travaux en supplémentaires, heures de nuits, etc.. nécessaires

pour respecter les délais d’exécution. La limite des prestations est donnée ci-dessous à titre indicatif. Il est précisé que cette énumération n’est pas limitative et que l’Entrepreneur prévoira à sa charge tout travail nécessaire à une parfaite exécution de l’ensemble des ouvrages décrits ci-après. 1.6 PRESTATIONS ET FOURNITURES EXCLUES DU PRESENT LOT

� La maçonnerie des différents locaux techniques : chaufferie, sous-station… � La fourniture et la pose d’une porte CF avec ferme porte et barre anti-panique, pour les locaux

techniques. � Les dalles en terrasse permettant la circulation du personnel d’entretien des installations techniques. � La réalisation et aménagement des gaines techniques.

� Les travaux d’étanchéité, en toiture ou terrasse autour des sorties d’évacuation (V.P.). � Les naissances de chutes E.P. en terrasse. � La réalisation des découpes dans les plafonds suspendus.



� L’exécution des socles et massifs en béton. � L’exécution des tranchées, chambres de tirage, caniveaux compris : la mise en place du sablon, des

fourreaux, du dispositif avertisseur, le remblaiement pour les tranchées extérieures. � Les caniveaux avec feuillures, cornières et couverture. � L’habillage des canalisations (faux plafond, gaines…). � Les trappes, de dimensions adaptées, donnant accès aux organes d’isolement et de réglages dans

les gaines techniques. � Les réservations > à 2 dm² ou ø 200 mm, situées dans les planchers, les murs de forte épaisseur, les

ouvrages en béton. 1.7 PRESTATIONS ET FOURNITURES ANNEXES INCLUSES DANS LE PRESENT LOT

� Le renforcement dans les cloisons légères pour la fixation des appareils. � La fourniture de l'eau et de l'électricité nécessaires aux essais des installations. � La mise à la terre des canalisations. � Les bouchages des gaines techniques et des trémies au droit des planchers pour assurer la protection

contre la propagation du feu et garantir les isolements phoniques. � Les conduits maçonnés de ventilation statique haute et basse des locaux techniques. � La fourniture et la pose des grilles d’amenée d’air neuf et de rejet d’air vicié lorsqu’elles concernent la

ventilation. � La découpe des composants du plafond suspendu pour la fixation des bouches. � Les trappes, les grilles de reprise d’air et la pose des bouches de soufflage. � L’alimentation électrique à proximité de l’armoire électrique des locaux techniques chauffage, des

installations intérieures, (câbles de puissance et de protection). � Le coffret électrique de coupure extérieur des locaux techniques. � La fourniture et l’application de la peinture de finition sur les canalisations et ouvrages apparents, � Les canalisations d’alimentation en eau, situées en amont du local technique chauffage, y compris la

vanne d’arrêt à l’intérieur du local. � Les canalisations d’évacuation situées à l’extérieur du local technique chauffage. � Les siphons de sol situés dans le local technique chauffage et climatisation. � La pose des crosses nécessaires au passage des câbles électriques, alimentant les matériels, situés

en terrasse. � Les dispositifs d’étanchéité autour des canalisations traversant les terrasses et les toitures. � Les réservations oubliées par l’installateur. � Les scellements pour la bonne mise en œuvre des matériels.



� Les percements dans les cloisons légères. � Les rebouchages et lissages nécessaires à la bonne présentation des installations. � La protection phonique éventuelle des équipements techniques. � La fourniture et la pose de toutes les pièces métalliques servant à la mise en œuvre des matériels. � La fourniture des grilles et des bouches. � La fourniture, la pose et le raccordement de l’armoire électrique de protection et de commande du

local technique chauffage et climatisation. � Les liaisons d’alimentation électrique et le raccordement de tous les matériels et organes électriques

situés en aval de cette armoire, y compris les commandes décentralisées. � L’alimentation électrique située à proximité de chaque groupe de ventilation (câbles de puissance et

de protection). � La fourniture et l’application de la peinture sur toutes les pièces métalliques mises en œuvre (1

couche de peinture anticorrosion et 1 couche de peinture de finition) sauf sur les pièces intérieures en acier galvanisé ou en acier inoxydable.

� La fourniture et l’application de la peinture sur les canalisations non apparentes et/ ou calorifugées. � La fourniture et l’application de peinture de couleur claire sur les réseaux, les canalisations et toutes

pièces métalliques extérieures mises en œuvre, y compris celles en acier galvanisé. � L’alimentation en eau de l’installation de chauffage y compris le traitement d’eau. � Les canalisations d’évacuation situées dans le local technique chauffage. � La fourniture des crosses nécessaires au passage des câbles électriques, alimentant les matériels,

situés en terrasse. 1.8 PIECES A FOURNIR PAR L 'ENTREPRISE A l’appel d’offres : � Tous les documents techniques demandés dans le Règlement de Consultation (R.C.). � La liste et les caractéristiques du matériel proposé si il est différent du matériel de celui mentionné à

titre indicatif au présent C.C.T.P. Avant l'exécution des ouvrages :

• les plans intéressant le lot "Gros Œuvre" (trémies, réservations aménagements des locaux techniques, contraintes diverses, attentes diverses etc.), dès que la demande lui en sera faite,

• tous les plans de détails, d’exécution ou d'atelier demandés par le bureau de contrôle ou Maître d’œuvre,

• l’ensemble du dossier technique : caractéristiques des matériels prévus, les P.V. des matériaux mis en œuvre à transmettre au bureau de contrôle et au Maître d’oeuvre pour accord,

• le contrôle des données concernant les pressions disponibles : Gaz, Eau Froide, etc.. Tous travaux engagés sans l’approbation du Maître d’ouvrage et du Maître d’œuvre seront refusés jusqu’à l’approbation de ceux-ci par ces derniers. Toute modification jugée nécessaire par le Maître d’ouvrage ou le



Maître d’œuvre sera effectuée par l’entreprise et à ses frais, y compris les conséquences du retard sur le planning des travaux. Les plans seront établis par l’entreprise sur la base des plans mis à jour par le Maître œuvre lors de la signature des marchés. Pendant l'exécution des ouvrages : L'Entrepreneur effectuera toutes les démarches nécessaires pour obtenir tous les renseignements utiles à l’exécution des travaux, auprès :

• des services concessionnaires des réseaux publics : eau de ville, gaz, assainissement, • du service technique du Maître d’ouvrage, • de l’exploitant des installations relevant du présent lot : traitement d’eau, système de filtration….

Pour que l'installation puisse être en fonctionnement à l'ouverture des locaux. En fin de travaux Obligatoirement avant la réception des ouvrages, l'Entrepreneur devra remettre le dossier des ouvrages exécutés (D.O.E.) qui comprendra : � Pièces écrites :

• les bases de l’étude, • l’ensemble des différents procès-verbaux, Avis Techniques et attestations de conformité

nécessaires, • le descriptif du matériel mis en œuvre, • les mesures diverses effectuées (débits, températures…), • les consignes détaillées de fonctionnement des installations permettant à toute personne chargée

de la maintenance d'intervenir sans erreur, ni omission, ainsi que les garanties sur les différents matériels mis en œuvre,

• une liste des pièces de rechange de première nécessité à approvisionner par le Maître d'ouvrage, ainsi que la nomenclature de tous les matériels mis en œuvre (marques et caractéristiques des appareils, notices de fonctionnement et d'entretien).

� Documents graphiques :

• les plans à l’échelle minimum 1/100éme du bâtiment, • les plans de détails (coupe, etc..) de l’installation, • les plans du réseau gaz enterré au 1/200ème.

Les documents seront remis en 3 exemplaires dont un reproductible sur support informatique (plan au format DWG ou DXF et pièces écrites sous format PDF). � Mise au courant de l’utilisateur : L’Entrepreneur devra fournir le personnel nécessaire pour assurer la mise au courant du personnel (ou entreprise) chargé par le Maître d’ouvrage de l’exploitation après les essais et réglages des installations. 1.9 MARQUES ET QUALITES DES MATERIELS Les références à des marques indiquées dans le présent devis descriptif n'ont pas pour but d'éliminer d'autres fabricants qui seraient équivalents. Elles ne sont précisés que pour désigner les types d'appareils ou de matériaux recherchés et n'ont pas de caractère impératif dans la mesure où les matériels ou matériaux proposés en remplacement par l'entreprise sont au moins techniquement équivalents. Seront considérés comme techniquement équivalent les matériels qui à la fois :



• seront de même technologie que les produits cités, • auront les performances qui seront en tous points au moins égales à celles des produits cités, • seront constitués de matériaux de même nature et de qualité au moins égale à celle des produits

cités, • auront des caractéristiques techniques (températures limites d’utilisation, pression de service

maximale, réaction au feu, etc..) qui seront toutes égales ou supérieures à celles des produits cités (et ceci même si les caractéristiques limites d’utilisations des produits cités dans le présent C.C.T.P. ne pourront jamais être atteintes compte tenu des conditions réelles de fonctionnement des matériels),

• pourront être équipés ultérieurement des mêmes options que celles des produits cités (même si ces options ne sont pas retenues au titre du présent C.C.T.P.),

• seront garantis pendant une durée au moins égale à celle des produits cités (pour les matériels bénéficiant d’une garantie supérieure à la garantie légale).

Par contre, la proposition des concurrents devra préciser exactement les marques et types des matériels prévus dans son offre. La réalisation des installations devra se faire avec les matériels prévus dans la proposition retenue. Les matériels et appareillages faisant l'objet d'un agrément ou d'un label de qualité devront en cas de remplacement avoir obtenu le même label (Label NF, agrément du CSTB, Norme ISO 9000 etc...). L’Entrepreneur étant responsable de la fourniture des matériaux et de leur mise en œuvre, il conserve le droit de refuser l’emploi de matériaux ou composants préconisés par le Maître d’œuvre, s’il juge ne pas pouvoir en prendre la responsabilité. Il devra alors justifier son refus par écrit avec toutes justifications à l’appui. Pour tout matériel disposant d’une plaque signalétique indiquant sa date de fabrication, cette dernière ne devra pas être antérieur de plus d’un an par rapport à sa date d’installation. Echantillons : L’Entrepreneur sera tenu de fournir, dans les délais fixés, tous les échantillons d’appareillage, de matériels, et de matériaux qui lui seront demandés par le Maître d’ouvrage. Le Maître d’œuvre sera seul juge de la conformité de ces échantillons avec les spécifications des pièces du dossier. Aucune commande de matériel ne pourra être passée par l’entreprise, sinon à ses risques et périls, tant que l’acceptation de l’échantillon correspondant n’aura pas été matérialisée par son accord écrit. Le Maître d’ouvrage et le Maître d’œuvre ne donneront leur accord sur les produits présentés qu’après avoir vérifié qu’ils méritent réellement le qualificatif de « techniquement équivalent ». Une fois les échantillons approuvés, l’Entrepreneur ne pourra en aucun cas utiliser des matériels d’autres marques en prétextant une rupture de stock ou un délai de livraison trop long, sans soumettre à nouveau les matériels de remplacement à l’approbation du Maître d’œuvre. 1.10 CONTROLES – ESSAIS L’entreprise doit, pendant toute la durée de son ch antier, procéder à l’auto contrôle de ses installations. Indépendamment des essais réalisés par l’entreprise pour la mise au point et le réglage de ses ouvrages, l’installateur devra prévoir les frais afférents à la réalisation par des organismes agréés des essais définis



dans les documents techniques n° 1 et n° 2 de COPRE C ainsi que la fourniture des P.V. qui y sont mentionnés. L’Entrepreneur mettra à la disposition du Maître d’œuvre ou de son représentant les appareils de mesure et le personnel nécessaire aux contrôles et essais des installations, aussi bien pendant l’exécution des travaux qu’à la réception. Avant cette dernière, l’installateur devra impérativement établir un rapport indiquant les différentes mesures concernant ses installations, à savoir : Essais d’étanchéité des installations : Les essais d’étanchéité ont pour but de constater l’achèvement des installations et leur étanchéité. Il sera procédé à un essai à froid à une pression égale à 2 fois la pression normale de service. Pour les conduites de chauffage, il sera procédé aux essais à la température normale de fonctionnement. Après refroidissement, on constatera si l’installation ne présente pas de fuite. Aucune adjonction de produit anti-fuite ne sera tolérée. Essais de dilatation des installations : Les conduites véhiculant des fluides à température variable feront l’objet d’essais aux températures extrêmes de fonctionnement. Ces essais devront montrer la libre dilatation des réseaux et une déformation des conduites se situant dans les limites acceptables. Essais de circulation : Cet essai a pour but de vérifier la bonne circulation et la bonne répartition de l’eau ou de l’air dans les différents organes des installations. Au cours de cet essai, le fonctionnement des organes de sécurité sera vérifié ainsi que celui de l’appareillage électrique et de régulation. Contrôle du niveau sonore : L’ensemble de l’installation ne devra présenter de nuisance d’aucune sorte sur le plan des niveaux sonores, l’Entrepreneur prendra à sa charge toute les dispositions nécessaires d’une part vis-à-vis des propagations de bruit et, d’autre part, de telle sorte à maintenir le niveau de bruit résiduel dans les locaux techniques à une valeur inférieure à 90 dBA. D’autres, l’installation ne devra pas engendrer dans les locaux de bruit supérieur à celui admis réglementairement ou prescrit ci-après. Essai de diffusion d’air : Cet essai a pour but de vérifier la bonne diffusion et la bonne répartition de l’air dans les locaux, les vitesses et températures résiduelles devront être telles qu’aucune gêne ne soit ressentie par les occupants. Essai de débit : Cet essai a pour but de vérifier les conformités des capacités des sources, réseaux et terminaux. Cet essai sera fait dans les conditions normales d’utilisation de l’installation. Essai de puissance : Cet essai a pour but de vérifier la possibilité de maintenir constantes les températures intérieures des locaux par le seul réglage central de la température du fluide chauffant ou refroidissant. En période de chauffe, cet essai sera effectué pendant la saison normale de chauffe après exécution des derniers réglages. Cet essai, pour être valable, ne pourra être effectué qu’à une période où la température extérieure minima constatée sera telle qu’elle est définie plus loin, comprise entre les limites suivantes :



• température extérieure de base diminuée de 3°C, • température extérieure de base augmentée de 5°C.

Il sera exécuté en chauffage continu toutes portes et fenêtres fermées, et sera poursuivi pendant une durée de 9 heures. Les locaux seront secs, clos, meublés et éventuellement occupés suivant leur destination normale. L’installation fonctionnera dans les conditions normales durant les 2 jours qui précédent l’essai, le réglage des PAC se faisant en fonction de la température extérieure. Dans le cas où les essais seront effectués avant l’occupation et l’aménagement normal des locaux, les températures intérieures garanties seront diminués de 1°C. Les températures intérieures seront assurées au milieu des pièces à 1,50 m du sol. La température extérieure à retenir pour l’essai sera la moyenne arithmétique des minima observés pendant la période de 24 heures avant la fin de l’essai sur des thermomètres enregistreurs placés au moins à 1 m des façades et à 2 m au-dessus du sol en des points différents exposés et protégés convenablement des influences perturbatrices. Durant les 2 jours précédant celle qui aura été désignée pour les essais de puissance, l’Entrepreneur vérifiera que l’installation fonctionne en régime normal pour obtenir, sans les dépasser, les températures intérieures fixées contractuellement. Au moment fixé pour le début des essais, la vanne de mélange ou selon le cas, les PAC, seront réglées pour la température maximum de marche. Cette allure sera maintenue pendant 9 heures consécutives au cours desquelles seront relevées les températures. Si la température extérieure minima constatée pendant les essais et telle qu’elle est définie ci-dessus est inférieure à la température extérieure de base, l’installation devra donner un ½ °C en moins par degré d’écart entre le minimum prévu et celui constaté. Par contre, si la température minimum extérieure constatée est supérieure à la température minimum extérieure de base, l’installation devra donner un ¼ de °C d’écart entre le minimum constatée et celui prévu. Les températures intérieures rectifiées devront être égales à 1°C près de plus et de moins, aux tempér atures suivant les locaux, ces dernières étant celles même éventuellement rectifiées, du fait de la non occupation et du non aménagement des locaux. En période de rafraîchissement, la température sera également mesurée au milieu des locaux à 1,50 m au-dessus du sol. Les températures garanties devront être obtenues. 1.11 ESSAIS - RECEPTION - PLOMBERIE L’entreprise doit, pendant toute la durée de son in tervention, procéder à l’auto contrôle de ses installations. Le titulaire du présent lot devra l'exécution des différents essais cités ci-après. Ils seront conformes aux stipulations du COPREC 1 de Novembre 1982 et à toutes les procédures réglementaires d’essais en vigueur au moment de la réception des travaux. Pour les divers essais décrits ci-après, l’Entrepreneur du présent lot, fournira, à ses frais, la main d’œuvre ainsi que les appareils dont il demeurera propriétaire. Les fluides seront fournis par le Maître de l’ouvrage. Essais d'étanchéité des canalisations d'évacuation :



Les essais de vidange et des chutes seront observés en service pour déceler les fuites éventuelles. Les essais dureront 30 minutes sous une charge de 3 m d'eau, toutes les ouvertures de circuit étant bouchonnées. Ces essais en service pourront être remplacé par des essais à la fumée ou à la pression d'air à la demande du Maître d’œuvre. L'essai à la fumée demande un remplissage convenable des tuyaux par la fumée, en conséquence n'obturer les orifices en communication avec l'air extérieur que lorsque la fumée s'en échappe par leur entière section. Pour cet essai, les siphons seront vidés d'eau et obstrués comme il est indiqué ci-dessus. Aucun joint ne devra laisser passer la fumée. L'essai à l'air sera effectué sous une pression d'air comprimé de 0,3 bars maintenue sans fuite pendant 15 minutes, l'essai est fait avant la pose des appareils. L'alimentation en air sous pression étant fermée, le manomètre ne doit accuser aucune baisse de pression. Essais de salubrité auront pour but de vérifier :

• que l'eau contenue dans un appareil fermé ne peut remonter dans la canalisation dans le cas où cette dernière serait en dépression,

• que la vidange d'un appareil ou celles de plusieurs pouvant se produire simultanément, dans les conditions de la norme, ne provoque pas l'entraînement de la garde d'eau du siphon d'un autre appareil.

Pour ce faire, la garde d'eau minimum requise au siphon sera de : 5 cm minimum. Essais relatifs aux bruits Ces essais seront effectués sur tous les appareils sanitaires et robinetterie sous une pression de 4,5 bars. Pendant le puisage ou l'évacuation de l'eau, aucun bruit tel que vibration, sifflement, coup de bélier, etc...ne devra être entendu. En cas de contestation d'appareils et robinetteries défectueux, l'entreprise devra le remplacement de ceux-ci par d'autres du même type répondant aux conditions stipulées. Essais d'étanchéité des canalisations sous pression : Les réseaux et leurs accessoires seront mis en charge à la pression maximale de service majorée de 50% et ceci avant la pose des appareils et avant la peinture et le calorifugeage. Les essais constitueront à vérifier l’absence de fuites, à froid puis à chaud, sur les réseaux et les appareils. Si la température extérieure implique des risques de gel, l’entrepreneur procédera ensuite à la vidange immédiate des circuits. Période d'observation : minimum 4 heures. Essais de circulation et de fonctionnement : La circulation devra être effective dans toutes les parties des installations. Il sera vérifié que les appareils ne subissent pas de détériorations, qu’ils ne se déplacent pas sur leurs supports et ne donnent pas lieu à un bruit anormal. Essais des dispositifs de sécurité : Pour autant que ces essais n’entraînent pas de détériorations, le dispositif de sécurité et l’alarme devront subir les simulations des conditions entraînant leur déclenchement. Essais des appareils mécaniques – électromagnétiques et électriques :



Les appareils de ce type subiront des essais de fonctionnement destinés à vérifier qualitativement leur fonctionnement. Ils porteront notamment sur :

• les pompes de recyclage E.C.S., • le surpresseur général E.F., • le traitement d’eau destiné à la production d’E.C.S., • les station des relevage des E.U. & E.P.

Contrôle du niveau sonore : Si le Maître de l’ouvrage l’estime nécessaire, le niveau sonore à l’intérieur du local pourra être mesuré. Dans le cas où il serait nécessaire de faire appel au concours d’un ingénieur acousticien, son intervention serait honorée intégralement par l’Entrepreneur du présent lot. Généralités : Ces essais ne constituent qu'un minimum de vérifications à réaliser par l'entreprise pour pouvoir demander la réception et ne prend pas en compte les demandes et urgences du bureau de contrôle. Les essais de contrôle relatifs à la qualité des matériaux et des essais des matériels se feront suivant les indications du D.T.U. 60.1, dernier indice. En tous cas, les essais seront effectués et rédigés, conformément au Document n°1 "Technique des essai s" et document n°2 "Etablissement des procès verbaux d 'essais" du COPREC. (publié dans le Moniteur du 17 Décembre 1982). A l'achèvement de la totalité des ouvrages prévus au marché, il sera procédé au recollement contradictoire du matériel pour vérifier que la fourniture est conforme aux spécifications et plans du programme, aux propositions remises par l'adjudicataire, aux propositions remises par l'adjudicataire, aux règlements et règles de l'art. La réception, subordonnée à la remise des documents indiqués au paragraphe "Avant la réception des ouvrages", sera notifiée par procès-verbal fixant la date de mise en service et de départ de la période de garantie. Cette réception s'effectuera suivant les modalités prévues par le C.C.A.P. de l’opération. 1.12 RECEPTION PAR LE MAITRE D’OUVRAGE A l’achèvement de la totalité des ouvrages prévus au marché, il sera procédé au récolement contradictoire du matériel pour vérifier que la fourniture est conforme aux spécifications du présent descriptif et des plans du programme, propositions remises par l’adjudicataire, règlements et règles de l’art. La réception, subordonnée à la remise des documents indiqués au § « Avant la réception des ouvrages », sera notifiée par PV fixant la date de mise en service et de départ de la période de garantie. Cette réception s’effectuera suivant les modalités prévues par le C.C.A.P. de l’opération. Si les conditions ci-dessus sont remplies, les installations seront réputées être conformes et de ce fait elles seront alors remises au Maître d’ouvrage. Exploitation – Entretien :



L’entreprise assurera la formation du personnel destiné à exploiter les installations. L’entreprise prévoira dans sa proposition, le coût représenté par la mise à disposition du personnel de formation pendant une durée égale 8 jours calendaires. 1.13 GARANTIE DE RESULTAT Les essais de fonctionnement continu et de température seront effectués au cours de l’année suivant la réception. L’entreprise devra informer le Maître d’œuvre de cette campagne de mesures, afin que celui-ci assiste et donne son accord sur les procédés de mesures utilisés. Il pourra ensuite s’assurer, par sondage, que les installations seront réceptionnables. Le contrôle des températures ambiantes ne pourra être valablement exécuté, que si : Les installations sont déclarées en ordre de fonctionnement :

• si la T° extérieure moyenne constatée en cours d’e ssais « chauffage » n’est pas supérieure de plus de 5°C ni inférieure de plus de 2°C à la tempé rature prévue au marché,

• si la température extérieure moyenne constatée en cours d’essais « été » n’est pas supérieure de plus de 2°C ni inférieure de plus de 5°C à la tempé rature maximale prévue au marché.

Les installations ont été mises en service depuis plus de 48 heures, (y compris le système de ventilation). Le système de ventilation mécanique est en fonctionnement normal. Il est vérifié (par sondage par exemple) que les locaux sont conformes aux hypothèses d’isolation thermique et d’étanchéité à l’air prises en compte dans l’étude. Les locaux à chauffer et à rafraîchir sont dans leurs conditions normales d’utilisation. L’essai durera au moins une semaine, période au cours de laquelle seront vérifiés les points suivants :

• le respect des températures contractuelles pendant les périodes dites d’occupation et d’inoccupation (T° mesurées au centre des locaux),

• la vérification de l’accomplissement des divers cycles des régulations et programmations, etc.. 1.14 RELATIONS AVEC LES DISTRIBUTEURS Il appartiendra à l’Entrepreneur d’effectuer en temps utile, toutes les démarches auprès des distributeurs concernées : � E.D.F. � Les services techniques du Maître d’ouvrage. L’Entrepreneur devra prendre auprès des distributeurs tous renseignements et toutes instructions nécessaires à l’exécution des ses travaux. Il devra faire son affaire des mises au point technique avec les services des distributeurs, et obtenir leur accord écrit sur les dispositions envisagées et les plans. Copies de toutes correspondances, accords et autres pièces d’échanges avec les distributeurs seront transmises au Maître d’ouvrage et Maître d’œuvre. 1.15 GARANTIE



La garantie biennale entrera immédiatement en vigueur dès que la « Réception » aura été prononcée. Elle définira « la responsabilité du bon fonctionnement des équipements ». Toutefois, pendant une période d’un an, l’installateur devra la « garantie de parfait achèvement ». L’entrepreneur conservera, pendant la première année de garantie, la charge de l’entretien de ses installations, sauf des conséquences de l’usure normale, de la mauvaise utilisation ou de la malveillance. Pendant la période de garantie, l’installateur prévoira le temps nécessaire pour expliquer le principe de fonctionnement, les principaux points à contrôler et à entretenir et les mesures d’urgences à prendre en cas d’anomalie ou de panne sur les installations. Il prévoira également les interventions éventuelles pour affiner les réglages. 1.16 PROTECTION DES OUVRAGES Chaque Entrepreneur devra assurer lui-même la protection des matériaux approvisionnés et des installations en place de son lot contre toutes dégradations ou vol pendant toute la durée du chantier, c'est-à-dire jusqu’à la réception des travaux.



CHAPITRE 2 REGLEMENTATION 2.1 GENERALITES Les installations seront réalisées conformément à la réglementation en vigueur, dans son édition la plus récente, à toutes les normes, DTU (cahier des charges et règles de calcul), avis techniques, essais, homologations, agréments des matériaux et des matériels formulés par des organismes officiels comme le Centre scientifique et Technique du Bâtiment (C.S.T.B.), le Service Technique des Assurances Constructions (S.T.A.C.), etc.. Ne seront pas considérés comme travaux supplémentaires, les modifications imposés par les organismes de contrôle et notamment en cas d’application des règlements de sécurité, normes, textes de lois et règles de l’art en vigueur un mois avant la remise de l’offre par l’entreprise. D’une manière générale, les indications données dans le présent devis ne portent que sur les points non précisés par les règlements, sur les bases à admettre pour les calculs et en aucun cas sur les règlements que l’Entrepreneur déclare, par le fait même qu’il soumissionne, parfaitement connaître. Les projets remis seront étudiés en toute connaissance de cause et seront au minimum conformes aux textes réglementaires références ci-après. Si une modification à une norme ou à un règlement intervenait après la date d’établissement de l’étude d’appel d’offres (un mois avant la date de cet appel d’offres), il appartiendrait à l’adjudicataire, sous sa seule responsabilité, d’en informer le Maître d’œuvre par écrit, éventuellement avec accusé de réception (ou sur le compte rendu de chantier) en indiquant les conséquences techniques et financières résultant de cette modification. Le Maître d’œuvre soumettra la proposition, avec éventuellement l’avis motivé du bureau de contrôle, au Maître d’ouvrage, qui prendra la décision nécessaire. Si cette décision était négative, l’installateur devra en demander la notification par écrit. 2.2 TEXTES APPLICABLES Toutes les normes, décrets, circulaires, arrêtés et règles en vigueur au jour de la remise de l’offre (liste non limitative) : � Décrets et arrêtés :

• Décret du 14.11.62 portant sur la réglementation en ce qui concerne des travailleurs dans les établissements qui mettent en œuvre des courants électriques.

• Circulaire du 9 Août 1978 modifiée en 1982/83/84 relatives à la modification du Règlement sanitaire départemental.

• Décret n°73-1048 du 15 novembre 1973 fixant la par tie réglementaire du code du travail. • Arrêté du 23 juin 1978 relatif aux installations fixes destinées au chauffage et à l'alimentation en

eau chaude sanitaire des bâtiments recevant du public. • Arrêté du 25 juin 1980 modifié par l'arrêté du 22/12/81 règlement de sécurité contre l'incendie dans

les établissements recevant du public, articles CH et GZ. • Code du travail, fascicule 1 mise à jour n° 66, ch apitre 22, section 1, sous-section 2, article R 232-1

à R 232-4. � Code de la Santé Publique. � Documents techniques unifiés et leurs additifs.



� Les règles de calculs RT 2005. � Les normes NF � Normes UTE y compris leurs additifs dans leur édition la plus récente : NFC 15.100. � Normes X 08.100 pour les teintes conventionnelles. � Avis techniques du CSTB concernant les matériels et les utilisations. � Spécifications techniques des compagnies concessionnaires � Aux règlements définissant les établissements classés. � Aux spécifications des assurances. � Le C.C.T.G. applicable aux marchés de travaux de bâtiments passés au nom de l’état. Cette liste n’est pas limitative. 2.3 NIVEAU SONORE L’entreprise devra obligatoirement respecter les normes acoustiques. Ces dernières prévalent celles définies au présent C.C.T.P.



CHAPITRE 3 BASES DE CALCULS 3.1 ETUDES THERMIQUE ET TECHNIQUE L’installateur devra effectuer son étude thermique des installations de chauffage, ventilation et de plomberie de tous les locaux et en particulier : � La puissance de chauffage à installer dans chaque local. � Les apports thermiques dus, aux occupants, aux divers usages (machines, éclairage, etc..), ainsi qu’à

l’ensoleillement suivant la méthode A.I.C.V.F. � La section des canalisations hydrauliques. � Les caractéristiques des pompes de circulation des différents circuits. � Les organes de régulation, d’isolement, etc.. � La puissance de la ou les pompes à chaleur. La liste n’est pas limitative, l’entreprise devra tous les calculs demandés par le maitre d’œuvre, les BET et bureau de contrôle. 3.2 TEMPERATURES Température extérieure d’hiver : La température extérieure minimale de base à prendre en compte, pour la réalisation des installations de chauffage sera conforme aux règles EN 12831 soit : - 12°C. Température extérieure d’été : La température extérieure minimale de base à prendre en compte, pour la réalisation des installations de climatisation sera de : + 32°C. Température intérieure d’hiver : La température intérieure (température de l’air mesurée au centre d’un local et à 1,50 m au-dessus du sol) servant de base aux calculs sera de :

• Bureaux, classes : + 20°C • sanitaires : + 20°C • locaux de stockage, : + 20°C

Le bâtiment étant à occupation intermittente et pendant les périodes de chauffage, les installations devront permettre (en dehors des heures d’occupation) de réduire les températures intérieures à un niveau aussi bas que le permet la sécurité du bâtiment, le confort des occupants et les équipements mis en place. Température des circuits : La température des différents circuits de chauffage sera flottante et comprise entre les valeurs ci-dessous.

• primaire chaufferie : 45/30°C • secondaire : 45°C maxi / - 12°C ext.



Les températures intérieures ci-dessus correspondent à un régime de chauffage établi toutes portes intérieures fermées, fenêtres closes, pièces non occupées. 3.3 RESEAUX HYDRAULIQUES En ce qui concerne le calcul des canalisations, on utilisera les abaques et tableaux de coefficients de pertes de charges locales édités par le COSTIC (Manuel des Industries Thermiques). Vitesses maximales :

Ø tube 3/8 ½ ¾ 1 1 ¼ 1 ½ 2 2 ½ 3 3 ½ Canalisations dans les locaux et colonnes montantes

0,4 0,5 0,6 0,7 0,75 0,8 0,9 1,1 1,1 1,2

Canalisations en sous-sol et en caniveau 0,4 0,5 0,6 0,7 0,75 0,8 1 1,25 1,4 1,5

La vitesse sera < à 1,50 m/s. dans tous les cas. 3.4 RESEAUX AERAULIQUES Gaines : Les vitesses maximales à ne pas dépasser (en réseau basse vitesse) sont les suivantes : � En local technique et gaine technique :

• de V = 5 m/s pour Q = 5.000 m3/h. • à V = 10 m/s. pour Q = 40.000 m3/h.

� En distribution en étage (faux-plafond) :

• V = ou < à 3 m/s pour les conduits unitaires. • V = ou < à 5 m/s. pour les conduits principaux.

Prises d’ai – Rejet d’air :

• V = ou < 3 m/s (vitesse effective) • V = 3 m/s. si Q = ou < à 5.000 m3/h. • V = 5 m/s. si Q > à 5.000 m3/h.

Bouches de ventilation : Elles seront déterminées de manière à assurer une vitesse d’air dans la zone d’occupation comprise entre 0,10 et 0,20 m/s. et les niveaux sonores demandés. 3.5 PUISSANCE CHAUFFAGE L'étude thermique réalisée suivant les prescriptions et règles de calcul NF. EN 12831 (déperditions) a été établie d'après les paramètres suivants : Les débits d'introduction d'air neuf retenus pour l'étude correspondent aux débits préconisés par les règles EN 12831.

• Déperditions bâtiment Classe 4/5: 19 023 W • Déperditions bâtiment Classe 1/2/3: 27 510 W • Déperditions bâtiment Bibliothèque: 10 000 W



• Déperditions bâtiment Neuf: 51 200 W • Déperditions totales calculées suivant norme NF EN 12831 : 107 733 W • Besoin de puissance avec un foisonnement de 0.85 : 91 624 W

Les déperditions seront calculées suivants le projet de norme EN 12831. Dimensionnement des installations – CHAUFFAGE : La puissance des générateurs de chaleur et émetteurs sera déterminée en prenant en compte les déperditions globales (transmission et renouvellement d’air), les pertes en ligne, les pertes en locaux techniques majorés de 20%. 3.6 VENTILATION En cas d’absence d’occupation ou de précision, le débit de renouvellement des locaux sera basé sur les effectifs ci-dessous : Les débits minima seront de 18 m3/h par personne. Dans les locaux sanitaires il sera fait application de l’article 64.2 du règlement sanitaire départemental. 3.7 FLUIDES DISPONIBLES � Electricité : Triphasé 220 / 380 V – régime de neutre TT (à vérifier). � Eau de ville : Pression minimale supposée = 3 bars (à vérifier). 3.8 NIVEAUX SONORES Niveaux sonores extérieurs : Les installations du présent lot, génératrices de bruit à l’extérieur des bâtiments (prises d’air, tourelles d’extraction, groupes de production de froid, ventilateurs, etc…) seront sélectionnées de manière à respecter impérativement et à proximité des façades :

• jour : 50 dBA • nuit : 35 dBA

Niveaux sonores intérieurs : Le niveau de pression acoustique engendré dans les différents locaux de l’établissement par les installations sera conforme au règlement NRA en vigueur.



CHAPITRE 4 BASES DES CALCULS - PLOMBERIE 4.1 DEBITS DE BASE DES APPAREILS Les débits instantanés à prendre en considération seront ceux du DTU n° 60.11 - Règles de calcul des installations de plomberie sanitaire. Edition Octobre 1988. Références Normes AFNOR DTU P 40-201 à 204. Les hypothèses de simultanéité seront basées d'après le D.T.U. avec application d’un coefficient de 1,30. 4.2 DIAMETRES DES TUYAUTERIES Les diamètres seront calculés suivants les règles du DTU 60.11 : règles de calcul des installations de PLOMBERIE SANITAIRE. 4.3 VITESSES DE CIRCULATION MAXI POUR LES DEBITS DE POIN TE � Canalisations principales horizontales : 1,5 m/s. � Canalisations en colonne montante : 1 m/s. � Canalisations intérieures : 1 m/s. 4.4 PRESSION EF ET ECS � Pression minimale requise en amont de chaque robinetterie d’appareil sanitaire dans les hypothèses

de simultanéité : 2,5 bars. � Pression maximale requise en amont de chaque robinetterie d’appareil sanitaire dans les hypothèses

de simultanéité : 3 bars. Compte tenu de la pression disponible et la perte de charge des appareils installés (compteurs, disconnecteur, adoucisseur, mitigeur, accessoires, etc…) et des réseaux, le titulaire du présent lot prendra toutes les dispositions nécessaires pour obtenir les pressions demandées aux robinets le plus défavorisés. 4.5 TEMPERATURE EAU CHAUDE SANITAIRE � Température à la production et stockage : 65°C � Température maximale de distribution aux appareils sanitaires : 50°C et 30 °C en écoulement. 4.6 EVACUATIONS Les débits de base des appareils seront au minimum égaux à ceux fixés par la norme NF P 41.201 à 204. � Débits de base des appareils : suivant DTU � Coefficients de simultanéité : suivant norme � Coefficient de frottement : 0.16



� Réseau horizontal : plein au 5/10ème � Vitesse dans les réseaux horizontaux : vitesse d'écoulement entre 1 et 3 m/s � Pente minimale : 1,5 cm/m Les chutes et les descentes d'eaux vannes auront un diamètre de 100 mm intérieure minimum. Les eaux usées auront un diamètre de 32, 40 et 50 mm intérieur pour les raccordements individuels d’appareils sur les collecteurs horizontaux. 4.7 FLUIDES DISPONIBLES 1) - EAU : surpression pour obtenir à 3 bars minimum si nécessaire 2) - ELECTRICITE : Tri 380 + T - Régime de Neutre TT.



CHAPITRE 5 PRESCRIPTIONS TECHNIQUES - CHAUFFAGE 5.1 POMPE A CHALEUR Voir description chapitre 9. Forage Voir lot 12 bis SONDES GEOTHERMALES ( GEOTHERMIE / FORAGE) 5.2 VENTILATION HAUTE ET BASSE Ventilation haute : Le titulaire du présent lot doit également le conduit de ventilation haute du local technique compris adaptation en toiture, chevêtre, étanchéité à charge du présent lot. Pour une installation en toiture il sera prévu un chapeau de toiture. Ce conduit sera réalisé en inox simple paroi, marque METALOTERM type ME ou équivalent. Ventilation basse : Le titulaire du présent lot doit également le conduit de ventilation basse du local technique compris percement en façade, contre cadre, grille pare pluie à charge du présent lot.

Localisation : Local technique 5.3 VASE D’EXPANSION Vase à membrane standard 5 bars, marque PNEUMATEX ou équivalent. – Capacité de 8 à 700 litres. – Vessie interchangeable à partir de la capacité de 80 litres.

Localisation : Raccordement sur le retour général. 5.4 POMPE DE CIRCULATION Les pompes seront de type électronique à rotor noyé, marque GRUNDFOS ou équivalent série UPED. Les pompes jumelées devront permettre le fonctionnement sur un circulateur, bloc moteur et roue de l’autre circulateur enlevé. Les pompes d’un débit inférieur à 25 m3/h. et d’une HM inférieure à 8 mCE seront prévues être montées directement sur la tuyauterie, les pompes supérieures en caractéristiques seront à montage sur socle. Corps en fonte. – Roue en composite. – Siège de palier, rotor et chemise en acier inox. – Arbre et paliers en céramique. Pour éviter le bruit de cavitation et les dommages sur les paliers de la pompe, la pression d’entrée à l’aspiration devra être au minimum les suivantes :

• température du fluide : 75°C = 0,5 mCE • : 90°C = 2,8 mCE



• : 110°C = 11,0 mCE Indice de protection électrique : IP 42 – Classe d’isolation : F ou H. Régulation électronique intégrée de la pression proportionnelle.

Localisation : Installation sur le départ des différents circuits. : Pompe de charge pompe a chaleur. 5.5 RESEAUX HYDRAULIQUES Tuyauterie en acier noir : Les canalisations chauffage seront exécutées en tube acier noir, conformément aux normes :

• tubes en acier. Tubes soudés filetables, finis à chaud. Dimensions, conditions techniques de livraison (tarif 1) pour les ø extérieurs inférieurs ou égaux à 60,3 mm,

• tubes en acier. Tubes sans soudure à extrémités lisses laminés à chaud avec caractéristiques garanties à température ambiante et conditions particulières de livraison. Dimensions, conditions techniques de livraison (tarif 10) pour les ø extérieurs supérieurs ou égaux à 88,9 mm et inférieurs au égaux à 419 mm.

Il ne sera pas employé de tubes de diamètre intérieur < à 15 mm, sauf pour transmettre une pression.

Localisation : Ensemble des réseaux de distribution chauffage. Assemblage des canalisations : Aucun assemblage par raccord fileté ne sera accepté dans les volumes inaccessibles. Les assemblages vissés seront assurés par filetage en conformité avec la norme NF E 03-004. Tous les raccords-unions devront être pourvus de joints coniques. Les assemblages s’effectueront par soudures autogènes ou raccords malléable pour les ø < ou = au 50/60 et à l’arc pour les ø extérieurs > à 88,9 mm. Les soudures devront être débarrassées de toutes traces d’oxyde ou de métal fondu après exécution. Les assemblages par bride et contre-bride devront être réalisés avec des pièces en acier forgé de dimensions et pressions normalisées en conformité avec les normes suivantes :

• série PN 10 suivant norme NF E 29-222, • série PN 16 suivant norme NF E 29-223.

L’étanchéité sera assurée au moyen de joints Klingerit, résistants à l’action chimique du fluide, ainsi qu’à la température de service et de la pression d’épreuve. Tous les appareils, robinetteries et équipements accessoires seront assemblés par des raccords démontables.

Localisation : Ensemble des réseaux de distribution chauffage. Changements de direction : Tous les changements de direction seront réalisés au moyen de courbes à souder en tubes sans soudures, modèle 3 d conforme aux normes NF A 49-181 ou NF A 49-182. Les tuyauteries de ø extérieurs inférieurs ou égaux à 33,7 mm pourront être cintrées sur le chantier lorsque les circuits permettront un grand rayon de courbure.



Les coudes sur les réseaux vapeur seront conformes à la norme A 49-286.

Localisation : Ensemble des réseaux de distribution chauffage. Changements de section : Les changements brusques de section sont interdits. Tous les changements de section supérieure à 2 ø normalisés seront réalisés au moyen de réductions à souder en tube d’acier sans soudure suivant la norme NF A 49-184. Il ne sera pas admis de réductions façonnées sur le chantier quelque soit la pression de service. Les réductions sur les réseaux vapeur seront conformes à la NF A 49-284.

Localisation : Ensemble des réseaux de distribution chauffage. Obturation des tuyauteries : L’obturation des tuyauteries sera réalisée au moyen de fonds standards à souder conformes à la norme NF A 49-185.

Localisation : Ensemble des réseaux de distribution chauffage. Dilatation des tuyauteries : Deux systèmes de dilatation des tuyauteries pourront être utilisés :

• lyre de dilatation : l’Entrepreneur fournira les notes de calcul pour chaque type de lyre, • compensateurs de dilatation : ils seront en principe du type articulé à double charnière en acier

inoxydable dont la nuance sera fixée en accord avec le Maître d’œuvre compte tenu des caractéristiques. Le montage se fera conformément aux instructions du constructeur en particulier en ce qui concerne la pré-tension à froid.

L’emploi de compensateurs de type axial est subordonné à l’accord du Maître d’œuvre : dans le cas d’utilisation de ce type de matériel toutes précautions relatives au guidage seront prises (en particulier les guidages de par et d’autre du compensateur) ainsi que le contrôle chimique du fluide véhiculé.

Localisation : Ensemble des réseaux de distribution chauffage. Peinture : Toutes les canalisations en acier seront nettoyées à la brosse métallique, protégées par deux couches de peinture antirouille, résistant à la chaleur.

Localisation : Ensemble des réseaux de distribution chauffage. : Toutes partie de l’installation susceptible de s’oxyder. Branchements : Les branchements seront effectués de façon à éliminer les poches d’air et permettre la vidange complète du réseau, antenne par antenne.

Localisation : Ensemble des réseaux de distribution chauffage. Pente : Toutes les canalisations horizontales auront une pente continue vers les points de vidange ou purge d’air dont le nombre sera limité au strict minimum.

Localisation : Ensemble des réseaux de distribution chauffage.



Tuyauteries en tube cuivre : Les tuyauteries des appareils de mesure seront réalisées en tube cuivre non recuit avec raccords filetés suivant normes NFA 51-120 et NF A 68-201. Les assemblages seront réalisés par brasure avec des raccords du commerce et les parties démontables effectuées par raccords-union du commerce normalisés. Les contacts de cuivre avec les ciments et les plâtres acides seront évités par une protection bitumineuses ou des fourreaux en PVC.

Localisation : Pour les tuyauteries hors chauffage : purge, vidange… Poche d’impuretés : Au point bas de tous les circuits y compris les colonnes, il sera prévu une poche d’impureté. Dans le cas où le ø extérieur du réseau est inférieur ou égal à 60,3 mm, le diamètre de la poche d’impuretés ne sera pas inférieur au ø du réseau, dans le cas contraire, le ø extérieur de la poche d’impuretés sera de 60,3 mm. Chaque poche sera équipée d’une vanne à passage direct du même ø que la tuyauterie.

Localisation : Ensemble des réseaux de distribution chauffage. Dispositif de purge d’air : Tous les points hauts des circuits seront munis de bouteilles de purge d’air d’un ø extérieur au moins égal à 60,3 mm. Les bouteilles de purge seront équipées d’un robinet à soupape de ø 20 mm. Les tuyauteries de vidange seront installées jusqu’à l’écoulement le plus proche. Un entonnoir ou tout autre dispositif sera prévu de façon à contrôler l’écoulement du fluide. En outre, pour des pressions n’atteignant pas 10 bars et pour l’eau chaude, les bouteilles de purge seront munies d’un purgeur automatique à flotteur, avec vanne d’isolement. Les colonnes montantes seront équipées de purgeurs d’air automatiques isolés par un robinet à boisseau sphérique de ø 15 mm.

Localisation : En partie haute de distribution chauffage. Supportage et guidage des tuyauteries aériennes : Toutes les tuyauteries qui seront supportées par l’ossature de l’ouvrage seront fixées au moyen de suspentes simples ou doubles. Ces supports seront en acier et leurs dimensions seront fonction de l’espacement et de la charge supportés par ces derniers. L’espacement recommandé pour les supports est donné ci-dessous :

• ø ext. 40 et au-dessous : 1,80 m • de 40 à 60 mm : 2,50 m • de 60 à 110 mm : 4,00 m • de 110 à 210 mm : 4,50 m • de 210 et au-dessus : 6,00 m



Les canalisations seront éloignées les unes des autres avec un espacement suffisamment large pour garantir le démontage éventuel de la tuyauterie ou la réalisation du calorifuge. Ils seront espacés conformément aux normes en vigueur et devront éviter toute flèche naturelle des tuyauteries remplies d’eau. Les profilés regroupant plusieurs supports seront fixés avec chevilles en acier cémenté ou de préférence pour les nappes horizontales, par des tiges filetées traversant complètement la dalle avec contre-plaque encastrée en partie supérieure. Partout où cela sera rendu nécessaire pour des raisons d’amortissement sonore, des éléments « MUPRO » amortisseurs de bruit, devront être intercalés entre le profilé support et la tige de fixation ou de scellement. Tous les supports de tuyauteries composés de deux demi-colliers seront équipés de rosaces coniques également en acier cadmié. En aucun cas, les supports ne devront présenter de saillies dangereuses à la partie inférieure.

Localisation : Ensemble des réseaux de distribution chauffage. Points fixes : Ils seront dimensionnés pour supporter tous les efforts et en particulier ceux relatifs à l’épreuve hydraulique du réseau.

Localisation : Au droit des lyres de dilatation. Supports spéciaux : Des supports avec embase et appui réglables seront employés pour les tuyauteries supportées par le plancher, ainsi que pour les coudes à l’aspiration et au refoulement des pompes. Les tuyauteries verticales auront des supports ou des guides placés à une distance maximale de 4 m les uns des autres, sauf spécifications ou indications contraires.

Localisation : Ensemble des réseaux de distribution chauffage. Fourreaux : Tous les passages de tuyauteries à travers les murs ou planchers seront équipés de fourreaux rigides en plastique incombustible ou métalliques. Au cas où l’espace laissé libre entre la tuyauterie et le fourreau risquerait de produire un pont phonique entre deux locaux, il sera prévu un remplissage avec un matériau élastique incombustible. Les extrémités des fourreaux affleureront les murs ou plafond et devront dépasser le parement des planchers de 25 mm. En cas de traversées de parois réalisées de part et d’autre d’un joint de dilatation, le fourreau sera divisé en deux parties sur la longueur et aura un ø intérieur supérieur au-dessus des canalisations afin d’absorber les risques d’affaissement d’un corps de bâtiment, par rapport à l’autre.

Localisation : Ensemble des réseaux de distribution. 5.6 ROBINETTERIE & ACCESSOIRES Généralités : La robinetterie sera conforme aux Normes Françaises.



Chaque corps de robinetterie devra porter l’indication du PN, le nom du fabricant, et le sens du fluide. La robinetterie en acier et en fonte se différenciera l’une de l’autre par une peinture différente du corps. Le PN minimal admis sera le PN 10. Vanne d’isolement < au ø 50 : Vanne B.S. en laiton. – Modèle femelle-femelle ou male-femelle. – Passage intégral PN 25. – Tige inéjectable. – Etanchéité à la tige par joints toriques en NBR. – Poignée plate en acier. – Raccordement par raccords unions. Marque ASTORI ou équivalent type 304.

Localisation : Isolement des appareils susceptibles d’être démontés pour l’entretien ou le remplacement. : Isolement des colonnes montantes. : Isolement des antennes (partie de distribution alimentant plus de 3 appareils, émetteurs de chaleur…).

Vanne d’isolement > au ø 50 : Vanne papillon à oreilles de démontage. – Corps et papillon en fonte FGS. – Bague EPDM. – Poignée1 :4 de tour crantée. – Ecartement et platine ISO. – Hauteur de col permettant le calorifugeage. – Avis technique du CSTB. Raccordement sur brides PN 10 ou PN 16. Marque KSB ou équivalent type V 90.

Localisation : Idem ci-dessus. Vanne d’équilibrage < au ø 50 : Modèle taraudé avec 2 prises de pression. – Corps en Amétal. – Réglage précis du débit par poignée indiquant le nombre de tour et 1/10ème de tour. Mesure de la pression différentielle et du débit. – Isolement avec étanchéité par joint EPDM. – Raccord de vidange intégré. Marque TA CONTROL ou équivalent type STAD.

Localisation : Sur le retour des colonnes montantes et antennes. : Sur le retour des circuits principaux avant raccordement sur la bouteille

« casse-pression ». Vanne d’équilibrage > au ø 50 : Modèle à brides avec 2 prises de pression. – Corps en fonte. – Réglage précis du débit par poignée indiquant le nombre de tour et 1/10ème de tour. Mesure de la pression différentielle et du débit. – Isolement avec étanchéité par joint EPDM. – Raccordement sur brides PN 16. Marque TA CONTROL ou équivalent type STAF.

Localisation : Idem ci-dessus. Clapet de non retour < au ø 50 Modèle taraudé toutes positions. - Corps laiton. – Faible pertes de charges. – Raccordement par raccords-unions.

Localisation : Sur le retour des circuits principaux avant raccordement sur la bouteille « casse-pression ».



Clapet de non retour < au ø 50 : Modèle à disque. - Corps et disque en inox 316. – Montage toutes positions. Faible pertes de charges. – Raccordement sur brides.

Localisation : Idem ci-dessus Filtre < au ø 50 : Corps bronze. – Tamis inox, perforation de 0,3 mm. - Robinet de rinçage intégré. Raccordement par raccords-unions.

Localisation : Avant raccordement sur des appareils sensibles : échangeur à plaques… Filtre > au ø 50 : Corps fonte à brides PN 16. – Tamis inox, perforation de 1 mm du 50 au 80, 2 mm au-delà - Robinet de rinçage intégré. Raccordement sur brides PN 16.

Localisation : Idem ci-dessus. Soupape de sûreté : Soupape en fonte. – Sortie majorée. – Modèle à très grand débit calorifique. – Clapet et membrane en élastomère. – Levier de contrôle. – Tarages non modifiables. Raccordement par raccords-unions. Entonnoirs pour soupape 250 x 110 mm en tôle peinte. – Sortie à visser pour tube ø 50/60. Marque WATTS ou équivalent type 720 C.

Localisation : En sécurité de l’installation. Compensateur de dilatation : Modèle à souder. – Soufflet et tube de guidage en inox. – Course axiale 50 mm.

Localisation : Sur le réseau chauffage en cas d’impossibilité de créer des lyres. Manchon antivibratoire < ø 50 : Manchon taraudé. – Elastomère : EPDM. – Raccordement par raccords-unions.

Localisation : En amont et aval des appareils tournants susceptibles de transmettre des vibrations : pompes, compresseurs…

Manchon antivibratoire > ø 50 : Manchon à brides tournantes PN 16. – Elastomère : EPDM avec toile en fibres synthétiques. – Raccordement sur brides PN 16. Marque STENFLEX ou équivalent type 337 E.

Localisation : Idem ci-dessus. Purgeur d’air automatique à petit débit : Purgeur en laiton nickelé avec dispositif de sécurité pour points hauts. – Sans clapet.

Localisation : En partie haute des réseaux chauffage (colonnes, antennes…). Purgeur d’air automatique à grand débit :



Purgeur en fonte revêtu époxy. – Equipé d’un purgeur de contrôle. –Echappement femelle ø 12. – Raccordement ø 20/27 par raccord-union.

Localisation : En partie haute de la bouteille « casse pression » en chaufferie. : En partie haute des ballons tampons. Disconnecteur type BA : Type à visser de marque WATTS ou équivalent type 009. – Corps bronze. – type compact avec dispositif de raccordement de vidange pour montage horizontal rendant l’entonnoir inutile. – Norme NF P 43-010. – Raccordement par raccords-unions et isolement par 2 vannes ¼ de tour à boisseau sphérique + filtre avec robinet de rinçage.

Localisation : Protection du remplissage des installations de chauffage > à 70 kW. Disconnecteur type CA : Type à visser de marque WATTS ou équivalent type CA9C. – Corps bronze. – type compact avec dispositif de raccordement de vidange pour montage horizontal rendant l’entonnoir inutile. – Norme NF P 43-009. – Raccordement par raccords-unions et isolement par 2 vannes ¼ de tour B.S.

Localisation : Protection du remplissage des installations de chauffage < à 70 kW. Thermomètre : Marque WIKA ou équivalent type 470. – Boîtier inox ø 100 mm. – Plongeur radial ou axial de 63 mm avec doigt de gant en laiton ø 15/21. – Classe de précision 1%.

Localisation : Sur le départ et retour de chaque circuit chauffage. : Sur la boucle primaire : départ et retour. Manomètre : Modèle sec. – Boîtier ABS. – Raccord radial en laiton. – Classe de précision 1,6%. – Cadran ø 100 mm. Montage sur robinet porte-manomètre en laiton nickelé. – Modèle à boisseau sphérique M-F.

Localisation : Sur la bouteille « casse pression ». Kit de pression pour pompe : Ensemble préfabriqué comprenant : 1 manomètre 6 bars, 2 vannes d’isolement à B.S., 1 tube de liaison en tube cuivre 8/10. – Raccords d’adaptation sur les corps de pompe.

Localisation : Montage en différentiel des pompes de circulation. Séparateurs d’air : Séparateur cyclonique en acier noir. – 1 orifice haut taraudé ø 12/17 avec purgeur, 1 orifice bas taraudé ø 15/21 avec robinet de vidange. Raccordement au réseau par soudure.

Localisation : Sur le départ général primaire des PAC. Pot à boue :



Pot à boue en ligne ou d’équerre, en acier noir à souder : 1 orifice haut taraudé ø 12/17 avec purgeur d’air automatique, 1 orifice bas taraudé ø 33/42 avec vanne de vidange à B.S.

Localisation : Sur le retour général de l’installation. Pot d’injection : Pot d’injection en acier noir, monté en by-pass sur les circuits pour permettre l’injection des produits de traitement. – Entonnoir. – Capacité minimum 25 litres. – Raccordement en ø 20/27. – Robinets à B.S.

Localisation : Sur le remplissage E.F. de l’installation chauffage et remplissage glycol. 5.7 TRAVAUX AU VOISINAGE DE CANALISATIONS SOUTERRAINES Eau et gaz : L’entreprise du présent devra se conformer à la réglementation sur les travaux à proximité de canalisations d’eau enterrées. Elle devra faire les déclarations nécessaires auprès du distributeur local pour tous ouvrages en tenant compte de la réglementation du distributeur local. Lignes électriques aériennes et canalisations enterrées : L’entreprise du présent lot devra effectuer la déclaration avant d’entreprendre tout travail ou opération au voisinage de lignes électriques aériennes et de canalisations électriques souterraines ‘circulaire 70.21 du 21/12/1970 du Ministère du Développement Industriel et Scientifique, arrêté préfectoral type). 5.8 CALORIFUGEAGE L’isolation des canalisations de chauffage sera réalisée avec l’isolant élastomérique à structure cellulaire fermée NF M1, marque ARMSTRONG ou équivalent type Armaflex SH. L’isolant devra posséder un coefficient de conductivité thermique au moins égal à 0,035 W :m°C (à 10°C ). L’isolant devra être fabriqué sans chlorofluorocarbone (CFC). – L’isolant devra bénéficier d’un classement M1 en pose non collée. Les accessoires de mise en œuvre utilisés seront ceux préconisés par le fabricant afin de e pas altérer les caractéristiques de l’ensemble réalisé (réaction au feu, résistance thermique….). La mise en œuvre devra être réalisée conformément aux recommandations du fabricant. Protection du calorifuge : La protection du calorifuge situé en locaux techniques et non exposés au rayonnement U.V., devra être assurée par un revêtement PVC. – Classe M1 de marque ARMSTRONG ou équivalent type Okapak. Le revêtement PVC mis en œuvre devra opposer une résistance élevée aux chocs, aux tractions et aux déchirements et en conséquence posséder les caractéristiques suivantes :

• résistance à la traction : > 40 N/mm² • résistance à l’allongement : > 150 % • résistance aux chocs : > 550 kJ/m²

La protection du calorifuge des parties droites sera réalisée avec des feuilles auto-enroulantes d’une épaisseur minimum de 0,25 mm.



La protection du calorifuge des coudes sera assurée par des coudes PVC constitués de 2 parties assemblées et soudées sans discontinuité sur l’arête extérieure, pour les gros diamètres les coudes seront constitués de 2 parties assemblées, soudées et segmentées. L’isolation des vannes, brides et soupapes sera réalisée avec des capots PVC pré-isolés en laine minérale. Les capots mis en œuvre devront être parfaitement démontables afin de permettre d’éventuelles interventions (entretien, modifications etc…). – Epaisseur au moins égale à l’épaisseur du calorifuge courant de chaque côté de la robinetterie. Tuyauteries en locaux techniques :

• isolant épaisseur minimum : 34 mm • revêtement de protection : PVC

Tuyauteries en faux-plafond des locaux chauffés :

• isolant épaisseur minimum : 19 mm • revêtement de protection : sans objet

Tuyauteries des locaux non chauffés :

Tuyauteries dans les : vide sanitaire, galerie technique…

• isolant épaisseur minimum : 19 mm, • revêtement de protection : sans objet.

Localisation : Suivant utilisation ci-dessus. 5.9 RESEAU ENTERRE Tuyauteries isolées préfabriquées. De marque Micro flex ou équivalent et bénéficiant d’un Avis Technique favorable du CSTB et de la garantie décennale.

Localisation : ensemble du projet 5.10 PRODUCTION D’EAU CHAUDE SANITAIRE Voir lot plomberie 5.11 RADIATEURS Les radiateurs à eau chaude seront alimentés par une distribution à 2 tuyaux. L’intervalle entre le sol fini et le bas des radiateurs, et l’intervalle entre les radiateurs et les murs, seront conformes aux indications du constructeur et devront permettre un nettoyage aisé. En principe, chaque corps de chauffe sera monté sur consoles scellées dans la maçonnerie. Les plinthes pourront être montés sur pied. Les radiateurs devant les parois vitrées, seront posés sur platines scellées dans le sol (l’ensemble devra alors avoir un agrément garde-corps). Dans la mesure du possible, les raccordements seront opposés haut et bas et le radiateur se purgera automatiquement sur la colonne montante (prévoir les pentes en conséquence). Si cette purge n’est pas réalisée, il sera installé un purgeur à clé. Equipement radiateur : L’équipement des corps de chauffe sera de marque COMAP ou équivalent et comprendra :



• un robinet droit ou d’équerre, en laiton nickelé et thermostatisable / ou un robinet thermostatique, • un coude ou té de réglage en laiton nickelé, • un purgeur d’air, • un robinet de vidange pour les radiateurs situés en point bas de distribution.

Les robinets thermostatiques seront de marque TA type TR370 ou équivalent et conforme à la norme européenne EN 215. Un soin particulier sera accordé au montage de ces robinets, et en particulier :

• les influences parasites seront minimisées, • le bulbe sensible devra être ventilé correctement par de l’air non réchauffé par les radiateurs ou les

tuyauteries, • les robinets à bulbe incorporé seront montés, soit en bas et sur la tuyauterie de retour du corps de

chauffe, soit en haut sur la tuyauterie aller mais à une distance minimum de 10 cm du raccordement de radiateur,

• le sens de circulation de l’eau devra toujours tendre à soulever le clapet, Dans le cas où le robinet à bulbe incorporé pose des problèmes de montage ou d’accessibilité, on utilisera des robinets à bulbe et affichage à distance. L’équilibre hydraulique de l’installation sera effectué avec tous les robinets thermostatiques bloqués à leur position de « levée nominale ». Le calcul des pertes de charges sera fait en conséquence. Prévoir la mise en place de chapeaux permettant le blocage du robinet en position de « levée nominale ». Radiateurs : Radiateur de marque Finimetal ou équivalent, type Reggane 3000.– Peinture anti-corrosion par électrophorèse couleur : RAL 9016 brillant. – Pression de service : 6 bars. Radiateurs admis à la marque NF Corps de chauffe conformément à la norme NF EN 442. Les radiateurs seront équipés de 4 orifices de raccordement ø 15/21. Dans certains cas et suivant les plans d’implantation les radiateurs seront verticaux.

Localisation : Voir plans DCE. 5.12 SCELLEMENTS Chaque Entrepreneur exécutera ses propres scellements dans toute nature de matériau. Si le Maître d’œuvre d’exécution estime les scellements mal exécutés, dans le béton armé en particulier, il en chargera, sans autre formalité le lot GROS OEUVRE aux frais de l’entreprise concerné. Dans le cas de certains revêtements spéciaux, le scellement devra être en retrait pour permettre le raccord effectué par l’entreprise spécialiste.

Localisation : Généralités. 5.13 RECEPTION DES SUPPORTS Chaque Entrepreneur devra procéder à la réception des supports sur lesquels il doit intervenir, quels qu’ils soient. En tout état de cause, le fait d’entreprendre le travail le rendra seul responsable des reprises nécessaires en cas d’insuffisance du résultat.

Localisation : Généralités.



5.14 FIXATION DES EQUIPEMENTS EN FAUX PLAFONDS Les fixations des luminaires et de tous les appareils électriques prévus en faux plafonds sont à la charge du présent lot. La fixation de câbles ou autres équipements sur les suspentes des faux plafonds est prohibée. Les luminaires incorporé aux faux plafonds devront être sécurisés (risque de chute) par câble acier ou chaîne fixé en sous face de dalle béton.

Localisation : Généralités. 5.15 INCORPORATIONS, ENCASTREMENTS DANS LA PIERRE Aucun travail nécessitant des encastrements dans la pierre, en particulier dans les parties nobles devant rester apparentes, ne pourra être exécuté sans l’accord préalable de l’Architecte.

Localisation : Généralités.



CHAPITRE 6 PRESCRIPTIONS TECHNIQUES - ELECTRICITE 6.1 CONCEPTION DE L’INSTALLATION ELECTRIQUE Toutes les mesures seront prises pour que les installations soient conformes aux règlements, règles et normes en vigueur et à la norme NF C 15-100 et à leurs mises à jour. D’une manière générale, l’adjudicataire du présent lot se mettra en rapport avec le lot ELECTRICITE afin de mettre au point avec lui les marques et types de matériels à prévoir, de manière à standardiser les équipements électriques et à conserver une homogénéité dans les caractéristiques électriques et mécaniques. Par ailleurs, l’installateur devra s’assurer de la section et de la nature des canalisations électriques amenées par l’électricien et devra vérifier si ses protections en tête d’armoire sont compatibles avec celles prévues en amont par l’électricien, afin d’assurer une bonne sélectivité en cas de défaut. L’appareillage électrique sera calibré par excès, par rapport aux caractéristiques de fonctionnement. Dans tous les cas, les organes sous tension devront être hors de portée de l’opérateur. Les appareils constitutifs seront conçus pour fonctionner en atmosphère poussiéreuse et humide. 6.2 ARMOIRE ELECTRIQUE Enveloppe : L’appareillage de commande, de protection, de sécurité, de contrôle et de régulation, etc… sera installé dans des armoires (ou coffrets pour les petits équipements) dont la description suit. L’enveloppe sera en tôle 20/10ème avec fermeture à clé, type RONIS, avec 3 clés et joint d’étanchéité néoprène. La même clé sera utilisée pour toutes les armoires. Peinture intérieure et extérieure. A l’intérieur, l’appareillage sera convenablement et clairement repéré et sera réparti sur des fers profilés, protégés et peints. L’armoire sera séparée physiquement en deux zones :

• force motrice, • télécommande.

Les dimensions de l’enveloppe seront telles qu’elles permettront une réserve minimum de 25 % de câbles et d’appareillage pour des extensions éventuelles. L’alimentation des différents matériels et appareils sera répartie sur plusieurs circuits, de manière à assurer un équilibre de charge sur les phases. Tous les récepteurs à résistance pure, de plus de 3 kW, seront couplés en triphasé. Un schéma de câblage sera placé, à l’intérieur de chaque armoire, sous pochette plastique. Chaque porte sera reliée à l’armoire par une tresse cuivre souple pour assurer une continuité électrique entre les pièces métalliques.



Jeu de barres : Tenue au court-circuit correspondant à la puissance globale des transformateurs auxquels il est rattaché. Le jeu de barres sera en cuivre (ou alu) et repéré conventionnellement par deux couches de peinture glycéro. Il sera de section uniforme sur toute sa longueur, et calculé en fonction du courant nominal majoré de 25%. Il devra résister aux efforts électro-dynamiques dus au courant de court-circuit. Il sera compartimenté pour l’isoler du reste de l’armoire. Protection générale : Elle sera assurée par un disjoncteur, associé à des coupe-circuits HPC si nécessaire avec contact de déclenchement. La commande du disjoncteur devra pouvoir s’effectuer manuellement depuis l’extérieur de l’armoire, et devra pouvoir être cadenassée. Protection des départs : Chaque départ sera protégé par un discontacteur assurant la protection de tous les conducteurs actifs, y compris le neutre. A chaque discontacteur, seront associés (si nécessaire et suivant les normes) des coupe-circuits HPC avec contact de déclenchement et de signalisation. Ces coupe-circuits seront à prévoir sur chaque conducteur actif, y compris le neutre. Chaque appareillage sera calibré en fonction de la puissance demandée du départ considéré, avec un calibre minimum de 20 A. En aucun cas, un circuit désigné « Force » ne devra passer par les contacts des relais de télécommande. Sélectivité des déclenchements : La sélectivité des déclenchements entre les différents organes de protection sera soigneusement étudiée, et ce, du disjoncteur général Haute-Tension, en passant par le général Basse Tension installé par l’électricien pour aller aux protections des tableaux. Ceci est à mettre au point en accord avec le lot ELECTRICITE. Liaisons équipotentielles et mises à la terre générale : Toutes les prises de terre devront être reliées à la terre générale de l’installation électrique. Toutes les masses susceptibles, selon les textes, d’être mises accidentellement sous tension, seront réunies entre elles par des liaisons équipotentielles et reliées à la terre générale. Toutes les liaisons intérieures seront établies en fil ou câble isolés, sauf pour les chemins de câbles où ils pourront être câble ou fil nus. Les sections des conducteurs seront établies selon directives de la norme UTE C 15-100. Chaque appareil alimenté sous une tension alternative > à 24 Volts sera obligatoirement relié par câble de terre séparé, à une borne dans l’armoire «électrique, au même titre qu’un conducteur actif. En fin de câblage du bornier, tous les câbles de terre seront bouclés et ramenés sur une borne générale.



Commandes et télécommandes : Chaque appareil sera commandé depuis un endroit permettant de voir l’appareil commandé. Chaque commande sera assurée selon le cas :

• par bouton-poussoir à contacts maintenus, pour éviter les coupures intempestives sur micro-coupure,

• par commutateur à 3 positions (A – M Auto – Marche Manuelle) pour la commande d’appareils asservis à une régulation automatique.

Signalisation : Sur chaque armoire, seront disposés les voyants de mise sous tension (couleur : verte), les voyants d’alarme (couleur : rouge) et de signalisation (ex. grande vitesse, petite vitesse, secours 1, secours 2, etc..) demandés ou nécessaires à la surveillance des installations. Tous les arrêts des moteurs par disjonction seront signalés par voyant rouge (relais magnéto-thermique et fusibles). Seront également prévus sur chaque armoire, les organes de manœuvre tels que : manettes, boutons-poussoirs, leviers, boutons de commutateur, etc… ainsi que les cadrans des appareils de mesures, de contrôle, d’enregistrement ou de régulation. Le repérage de tout l’appareillage de façade et intérieur, sera particulièrement soigné (étiquettes en Resopal gravé) :

• blanc sur fond noir pour les fonctionnements normaux, • blanc sur fond rouge pour les défauts et alarmes.

Il sera prévu, pour chaque armoire, un système « d’essai lampes » et un voyant au néon de mise sous tension de l’armoire. Câblage intérieur : La filerie intérieure sera réalisée en fil câblé de la série SV souple, section minimale 1,5 mm², placée sous goulotte en plastique et raccordée sur plaque à bornes Entrelec, à la base du tableau pour possibilité de télécommande à distance. Le câblage fin sera réalisé par l’avant des armoires. Les fils seront groupés dans des gouttières, avec coefficient de remplissage ne dépassant pas 75 %. A l’arrière des armoires, seront installés les câbles « force ». L’extrémité des fils, munies de cosse sertie, sera repérée par bande Streling ou équivalent suivant le schéma. Le repérage du matériel et des bornes sera effectué par étiquettes Resopal gravé ou équivalent. Chaque borner sera limitée à 2 conducteurs. Les câbles des circuits « force » seront repérés suivant les couleurs conventionnelles en vigueur. La section minimale des circuits « force » sera de 2,5 mm² cuivre. Les circuits « commande » et « signalisation » seront exécutés avec couleurs différentes, section minimale 1,5 mm² cuivre.



Dans une armoire, les circuits « puissance » seront séparés des circuits de télécommande, régulation, signalisation et surveillance. Plaques à bornes et supports seront suffisamment dimensionnés pour permettre une adjonction ou une extension. Sur supports séparés, on devra trouver, soit des disconctacteurs, soit des relais auxiliaires de ceux-ci. Toutes les bornes équipotentelles, reliées directement entre elles seront repérées par un même numéro. 6.3 LIAISONS ELECTRIQUES Le raccordement aux appareils se fera soit : � Directement depuis un chemin de câble qui sera différents des autres installations électriques. � Par câble posé sous fourreau d’acier jusqu’à la boite de raccordement. � Par câble posé sous fourreau d’acier jusqu’à proximité de l’appareil à raccorder avec jonction par

gaine métallique souple type MSB jusqu’à la boîte de raccordement. Dans certains cas, il pourra être prévu du câble souple U 1000 5 C 12 N. Les circuits seront réalisés : � En câble de la série U 1000 RO2V posé, soit :

• sur des chemins de câbles en tôle galvanisée à chaud, du type Cabofil, à partir de 2 câbles en parallèle,

• sur colliers chromatés pour les câbles supérieures à 6 mm², espacement des points de fixation : 4,40 m maximum.

• Sous fourreau acier ou sur chemin de câble fermé d’un couvercle pour tous les tronçons situés jusqu’à 2 mètres au-dessus du sol (protection mécanique).

� En fil ou câble de la série U 500 V posé, soit :

• sous conduits IRO-APE, apparents sur colliers chromatés, • sous conduits MRB.

Les canalisations électriques ne devront pas être placées au-dessous de conduites de gaz d’hydrocarbures et des canalisations pouvant donner lieu à des condensats. Une canalisation électrique sera au moins à 3 cm d’une canalisation non électrique. Pour ce qui concerne les passages dans les parois (murs, cloisons, planchers, toitures, terrasses, etc..), l’Entrepreneur se conformera aux spécifications de mise en œuvre des tuyauteries. 6.4 INSTALLATION DES MOTEURS Les moteurs montés à l’extérieur seront en plus protégés contre les intempéries par un capotage. Pour les moteurs d’un poids supérieur à 100 kgs, il sera prévu un point d’ancrage, ou mieux, un rail avec crochet coulissant, afin de faciliter les opérations de démontage et montage des ces moteurs. Prévoir les dégagements nécessaires pour effectuer ces opérations.



6.5 PROTECTION DES MOTEURS TRIPHASES Chaque moteur sera commandé et protégé par un discontacteur associé à des coupe-circuits HPC et contact de déclenchement (si nécessaire). Les coupe-circuits seront placés en amont du discontacteur. Le calibre de chaque discontacteur sera supérieur de 30 % au moins à l’intensité de régime du circuit à protéger. Les relais de protection seront du type magnéto-thermique compensé, de calibre approprié, et seront conçus pour éviter le fonctionnement du moteur en biphasé. Les relais assureront la protection de tous les conducteurs actifs. Pour chacun des moteurs, l’Entrepreneur indiquera le mode de démarrage (démarrage direct, démarrage sur résistance statorique ou rotorique, etc…). Le démarrage direct ne sera admis que pour les puissances inférieures à 5 kW. L’intensité de démarrage de chaque moteur d’une puissance supérieure à 5 kW sera inférieure à 3 In. Les démarreurs seront placés hors des armoires et à proximité de celles-ci. Ils seront convenablement protégés et ventilés. 6.6 COUPURE ELECTRIQUE EXTERIEURE Ces coupures seront à prévoir sur les câbles circuit force et circuit lumière des locaux techniques. Les coupures générales extérieures seront conçues de telle façon qu’elles entraînement la mise hors tension complète du local technique considéré (équipements et conducteur intérieurs au local technique). Elles seront installées à l’extérieur du local, auprès des accès principaux. Les parcours des canalisations d’alimentation des locaux techniques, en amont des appareils de coupure, ne doit emprunter que des circulations ou des locaux communs, et ne devront pas traverser aucun autre local technique. Il doit en être de même pour le câblage du circuit de commande à distance et du circuit de signalisation. Ces parcours seront réalisés par des dispositifs suivants : � Pour le circuit « éclairage » : un interrupteur à coupure omnipolaire, placé dans un coffret étanche. � Pour le circuit « force » : un interrupteur à coupure omnipolaire, placé dans un coffret étanche.



CHAPITRE 7 PRESCRIPTIONS TECHNIQUES - VENTILATI ON 7.1 CIRCUIT AERAULIQUE Gaines rectangulaires : Gaines en tôle d’acier galvanisée. L’épaisseur des gaines sera fonction des dimensions de celles-ci et de la pression statique intérieure. Dans tous les cas, les épaisseurs ne seront jamais inférieures aux valeurs suivantes et devront posséder une parfaite rigidité.

Plus grand coté de la gaine Epaisseur en mm L < 700 mm 700 < L < 1200 mm 1200 < L < 2000 mm L > 2000 mm

8/10

10/10 12/10 15/10

Les gaines de dimensions importantes pourront être raidies si des considérations esthétiques ne s’y opposent pas, par un façonnage en pointe de diamant. Les gaines seront fabriquées par découpe et pliage. - Assemblage des bords par agrafage Pittsburg ou équivalent formant un pli serré et rigide dans l’angle du conduit. Les coudes et pièces de transformation seront établis de la même manière. Assemblage des tronçons par brides ou coulisseaux. L’isolation externe thermique des gaines tôles sera réalisée par un matelas de laine de verre d’épaisseur 50mm revêtu en extérieur d’une feuille aluminium renforcé d’une grille de verre. L’isolant aura un classement au feu M0 ou M1 en fonction des locaux traversés.

Localisation : Dans les faux plafond des circulations. Gaines circulaires – Conduits plats – Ovales : L’épaisseur des gaines sera fonction du diamètre et de la pression statique intérieure. Dans tous les cas, les épaisseurs ne seront jamais inférieures aux valeurs suivantes :

Diamètres Epaisseur en mm d < 150 mm 150 < d < 350 mm 350 < d < 750 mm 750 < d < 1200 mm 1200 < d < 2000 mm d > 2000 mm

5/10 6/10 8/10 10/10 12/10 15/10

Fabrication en tôle d’acier galvanisé à agrafage en hélice par machine Spiro ou équivalent.



Pièces de transformation préfabriquées. Assemblage par emboîtement. L’isolation externe thermique des gaines tôles sera réalisée par un matelas de laine de verre d’épaisseur 50mm revêtu en extérieur d’une feuille aluminium renforcé d’une grille de verre. L’isolant aura un classement au feu M0 ou M1 en fonction des locaux traversés.

Localisation : Dans les faux plafond des circulations. Gaines souples de raccordement : Les bouches seront raccordées au réseau principal par de la gaine semi rigide circulaire en aluminium microperforé, isolé phoniquement par 25 mm de laine de verre revêtu à l’extérieur d’aluminium semi-rigide, la gaine aura un classement au feu M0/M0

Localisation : Manchette de liaison entre le réseau et une bouche de soufflage ou d’extraction.

Organes d’équilibrage : � Stations d’équilibrage elles seront composées :

• d’un clapet réglable aux ailettes soigneusement profilées pour obtenir un niveau sonore aussi faible que possible,

• d’une grille d’égalisation des débits en amont du clapet, • de deux prises de mesure (amont et aval) permettant une mesure et un équilibrage précis et rapide

du débit. Le réglage se fera par clé amovible. L’installateur fournira pour l’ensemble des stations d’équilibrage, un kit de mesure spécial.

Localisation : A l’origine des antennes d’étages. � Clapets d’équilibrage :

• registre en acier galvanisé à lamelles à sens de rotation opposé, • réglage par clé blocable, avec indication de position, • raccordement par brides.

Localisation : Sur les antennes secondaires. 7.2 PROTECTION COUPE-FEU Au passage des parois coupe feu le présent lot devra la fourniture et pose, pour les conduits rectangulaires ou circulaires, d’un clapet coupe feu de redressement. Le clapet sera de marque ALDES ou techniquement équivalent. Les clapets seront testé sous 500 Pa – Coupe feu 2 heures et certifié NF. Mécanisme avec déclencheur thermique. 7.3 SILENCIEUX Silencieux rectangulaires :



Le caisson sera exécuté en tôle d’acier galvanisé avec brides de raccordement. Les éléments coulissants seront constitués d’un cadre profilé en acier galvanisé et de l’élément même d’amortissement. Les surfaces exposées au passage du flux d’air devront résister parfaitement à l’usure par abrasion, jusqu’à une vitesse de 20 m/s. Les éléments absorbants devront être classés M1 et résister convenablement au tassement et à l’humidité.

Localisation : En sortie et entrée des locaux techniques ventilation. : En amont et aval des extracteurs ou caisson de soufflage. Silencieux cylindriques : Matériaux identiques aux silencieux rectangulaires ; les éléments absorbants seront sur la face intérieure, et éventuellement sur un noyau concentrique.

Localisation : Idem ci-dessus. Barrières acoustiques antiphonie : Réalisées en acier galvanisé. Elles seront constituées d’un caisson chicané étudié en fonction des résultats à obtenir, et revêtu intérieurement de fibre de verre de mêmes caractéristiques que celle des silencieux.

Localisation : Sans objet. 7.4 BOUCHES EXTRACTION VMC Bouches et diffuseurs de petits débits : Pour les débits < à 300 m3/h ; sous une dépression de 100 Pa. Il sera utilisé des bouches métalliques réglables, marque VIM type KTSI (soufflage) KSOE (extraction) ou techniquement équivalent. Réalisation en tôle d’acier recouvert de peinture époxy blanche. Les bouches seront composées d’un cône de soufflage ou d’aspiration et d’un obturateur central mobile pour le réglage du débit. Obturateur monté en position concentrique.

Localisation : Voir plan DCE. Diffuseurs plafonniers circulaires ou carrés � A cônes fixes et distribution horizontale : Ils seront équipés d’un noyau amovible composé de 3 cônes ou pyramides assurant une diffusion horizontale. Delta T mini utilisable : 10°C. � A cônes réglables : Identiques aux précédents, mais à cônes réglables en profondeur permettant de passer d’une diffusion horizontale à une diffusion verticale. Delta T mini utilisable : 10°C � A fort taux d’induction interne :



Ils seront équipés d’un noyau amovible composé

Localisation : Voir plan DCE. 7.5 EXTRACTEUR DE V.M.C. Débits compris entre 200 et 1.500 m3/h. : Caisson réalisé en tôle galvanisée avec isolation acoustique en laine de verre de 25 mm, (classement au feu M0). – Marque VIM type JBEB ou techniquement équivalent. Caisson d’extraction 400°C – ½ heure – Catégorie 4 Courbe débit / pression type « courbe plate ». – Ventilateur double ouïe à action avec moteur incorporé à accouplement direct. – Protection thermique incorporé. – Sonde PTO. Piquages de raccordement avec joints type Véloduct. Moteur mono. – 2 vitesses - Classe F – IP 56 conformes aux normes C.E.I. Interrupteur de proximité cadenassable. – Dépressostat de contrôle de fonctionnement. Débits compris entre 500 et 6.000 m3/h. : Caisson monobloc en tôle galvanisée entièrement démontable. - Marque VIM type HUDT ou techniquement équivalent. Caisson d’extraction 400°C – 2 heures. Courbe débit / pression type « courbe plate ». – Ventilateur double ouïe à action avec moteur incorporé à accouplement par transmission poulie / courroie. – Protection thermique incorporé. – Sonde PTO. Piquages de raccordement avec joints type Véloduct. Moteur mono – 2 vitesses - Classe F – IP 55 conformes aux normes C.E.I. Interrupteur de proximité cadenassable. – Dépressostat de contrôle de fonctionnement. 7.6 GRILLES AIR NEUF ET REJET Les grilles extérieure auront les ailettes avec un profil pare pluie de faible hauteur. La face arrière sera équipée d’un grillage anti moustique en acier galvanisé. Elle sera en aluminium peint à la teinte RAL au choix de l’architecte. 7.7 GRILLES SOUFFLAGE OU REPRISE Les grilles de soufflage ou de reprise murales ou plafonnières auront les ailettes doubles déflexions. Elles seront fixées par clips avec un registre sur chaque grille. Les grilles seront dimensionnées pour avoir un très faible niveau sonore aux bouches de soufflages et de reprises. Lors des essais et la réception si les niveaux sonores ne sont pas acceptables l’entreprise devra prévoir tous les travaux nécessaires pour obtenir les niveaux indiqué dans le cahiers de prescriptions de l’éducation nationale. Les couleurs des grilles seront aux choix de l’architecte.



5.16 CENTRALE DE TRAITEMENT DOUBLE FLUX AVEC RECUPERATION La centrale sera de marque GEA HAPPEL ou équivalent, modèle COM4 ou techniquement supérieure.

⇒ Centrale de transfert thermique gérée par microprocesseur ⇒ Certifiée EUROVENT ⇒ Certification environnementale ISO 14001

Carrosserie

⇒ double peau laquée, isolation par laine de roche 90kg/m3 ⇒ Portes d’accès latérales avec charnières, poignées avec verrouillage par clef

Filtration ⇒ sur l’air neuf et l’air repris, type F7 – 85% opacimétrique ⇒ Etanchéité des filtres par montage excentrique à compression ⇒ Equipement pour installation extérieure.

Ventilateurs

⇒ Ventilateurs à très faible niveau sonore ⇒ Montés sur glissières avec manchettes souples et plots antivibratiles

Echangeur

⇒ De type rotatif à vitesse variable, avec secteur de purge et nettoyage garantissant la non transmission de polluant vers l’air neuf ⇒ Rendement 77 à 84% avec sondes de température intégrées

Régulation

⇒ Armoire électrique avec régulation intégrée et écran de commande ⇒ Visualisation permanente des paramètres de fonctionnement (débits,températures, …) ⇒ Débits d’air programmable exactement, contrôlé par Pitot annulaire ⇒ Ajustement automatique des débits d’air aux pertes de charges du réseau ⇒ Maintien des débits constants en fonction de l’encrassement des filtres ⇒ Mode de régulation de température ERS, assurant la gestion du FREE COOLING ⇒ Horloge hebdomadaire de programmation incorporée avec permutation

été/hiver ⇒ Récupération automatique du rafraîchissement des locaux climatisés ⇒ Plusieurs débits d’air programmables, débit variable, pression constante (VAV) ⇒ Exploitation de la fraîcheur nocturne pour la mise en température des bâtiments ⇒ 49 alarmes de contrôle : encrassement des filtres, défaut, surchauffe, … ⇒ Report d’alarme et asservissement externe possible ⇒ Système de régulation avec compensation automatique ⇒ Possibilité de communication vers un système de gestion centralisé

Spécification selon EN 1886

⇒ Résistance mécanique : Classe 2A ⇒ Fuite d’air de l’enveloppe : Classe A ⇒ Fuite de dérivation de filtre, (k%) : F8 ⇒ Transmittance thermique, (U) : T3 ⇒ Facteur de ponts thermiques, (Kb) : T3



L’entreprise devra prévoir tous les supports nécessaires pour l’installation dans le local technique, châssis pour la répartition de charge, la mise en place de la centrale sera réalisée par l’entreprise, elle devra prévoir tous les systèmes de transports nécessaires, (grue, chariots….). Raccordement hydraulique de la centrale et isolement par un jeu de vannes à B.S. avec robinet de vidange. Purgeur d’air par purgeur automatique. Les centrales seront équipées d’une armoire électrique intégrée pour : la protection, la régulation et le contrôle. Raccordement électrique, protection et commande depuis l’armoire de protection du présent lot, raccordée sur l’attente mise à disposition par le titulaire du lot – ELECTRICITE.



CHAPITRE 8 PRESCRIPTIONS TECHNIQUES - PLOMBERIE 8.1 GENERALITES DISTRIBUTIONS L’entreprise présentera à l’approbation du Maître de l’ouvrage et du Maître d’œuvre, les plans, coupes et élévations nécessaires à l’exécution des travaux notamment, parcours des canalisations avec indications des vannes, clapets de retenus… Les percements et les bouchements destinés au présent lot devront être exécutés par ce dernier, avec respect des degrés coupe-feu des parois concernées. Chaque fois que cela existera, ils devront porter les estampilles de qualité. Dans le cas où aucun label n'est défini, il pourra être demandé et exigé des essais, fiches techniques et rapports des laboratoires agréés. En outre, toutes les fournitures devront être conformes aux normes françaises en vigueur ou à défaut être soumises à l'agrément du Maître d’œuvre qui donnera son accord par écrit. Les tuyauteries devront toujours être facilement démontables et elles devront à cet effet être disposées en laissant des espacements suffisants pour permettre un démontage sans causer de dégradations aux parois, planchers, plafonds, etc..

Localisation : Ensemble de l’opération. Passage des canalisations : L'ensemble des réseaux s'effectuera obligatoirement en mode apparent dans les locaux sauf spécifications contraires. Les tuyauteries emprunteront : les parcours, les gaines, trous, trémies prévus sur les plans d’implantation D.C.E. En aucun cas, il ne sera fait sans réservations préalables, de percements, de scellements ou de saignées dans un élément porteur (poteau, poutre ou nervure de plancher) sans l'accord et réservations demandées au lot : G.O.

Localisation : Ensemble des réseaux. Fourreaux : Toutes les canalisations traversant les murs, cloisons ou planchers seront protégées par des fourreaux métalliques en acier galvanisé ou PVC, continus et non fendus, de diamètre approprié, dépassant légèrement la face des murs de 3 cm et dépassant de 1 cm au moins les parements des planchers finis. L'espace entre le tuyau et le fourreau sera au minimum de 3 mm et sera bourré à l'aide de matériaux résilients, du type GAINOJAC de qualité M1 ou équivalent. Fourreaux ajustés au diamètre des canalisations enfilés dans la tuyauterie avant son raccordement.

Localisation : Ensemble des réseaux. Pente des canalisations sous pression en élévation et enterrés : En élévation, les tuyauteries sous pression seront posées avec une pente de 3 mm/m. Les canalisations enterrées auront une pente minimale de 10 mm/m.



Toutes les canalisations seront posées avec une légère pente régulière afin de permettre la purge en un ou plusieurs points. Tous ces points bas devront comporter un robinet de vidange.

Localisation : Réseaux de plomberie. Pente des canalisations d'évacuation : Les canalisations d'évacuation seront posées avec une pente minimale de 1,5 cm/m et de telle sorte que les vitesses d'écoulement permettent l'auto curage. En extrémité de pente dépourvue d'issue normale, à tout point bas, en cas de contre pente ou de courbe de changement de plan formant siphon, sera établie obligatoirement une dérivation de purge aboutissant à un robinet purgeur.

Localisation : Réseaux d’évacuation apparent et en dallage. 8.2 TUBE PVC PRESSION D’ALIMENTATION EN EAU Les réseaux principaux Eau Froide et Eau Chaude Sanitaire seront réalisés en tuyauterie PVC de chez GIRPI ou équivalent type PVC Pression classé M1, PN 10 à 25 (suivant diamètres). Les tubes et raccords seront conformes aux normes : NF T 54.003 – 016 – 029 – 040. L’assemblage se fera à joint collé, par colle GIRFIX. Les espacements des supports seront au maximum de : � 0,70 m pour les tubes ø < DN 25. � 1,00 m pour les tubes ø > DN 25. Toutes les dispositions seront prises, notamment au niveau des supports, pour assurer la libre dilatation des tuyauteries. Pour les longueurs importantes, seront installés des compensateurs de dilatation (compensateurs mécaniques ou flexibles).

Localisation : Réseau intérieur Eau Froide 8.3 DISTRIBUTION CUIVRE Il sera fait emploi de tubes en cuivre, de qualité alimentaire, écroui pour les canalisations apparentes et recuit pour les canalisations encastrées (dans les planchers ou dans les parois), dont l’épaisseur ne sera en aucun cas inférieure à 1 mm. Les tuyauteries intérieures apparentes seront en cuivre rouge écroui des diamètres et épaisseurs conformes à la norme NF A 51-120. Assemblage : Les coudes et piquages avec des raccords du commerce. Les contacts de cuivre avec les ciments et les plâtres acides seront évités par une protection par bandes bitumineuses ou des fourreaux en PVC.



Assemblage par brasure capillaire fort, on utilisera exclusivement les métaux d'apport et les flux recommandés par les fabricants spécialisés. La soudure à l’étain est proscrite. Aucune jonction ne devra se faire dans les parties encastrées. Les emboîtures ne seront autorisées que pour l’assemblage de deux tuyauteries de même diamètre. Au-delà, il sera fait usage de réductions à souder. Aux raccordements cuivre/acier galvanisé, il sera mis en place des raccords « neutres ».

Localisation : L’ensemble des réseaux de distribution & antennes E.F. apparent d’un ø < au 60 int.

: L’ensemble des réseaux de distribution Eau Chaude Sanitaire et Bouclage. 8.4 TUBE ACIER GALVANISE Ne peuvent être utilisés que les tubes de l'une des catégories suivantes : � Tubes filetés "tube gaz" tarifs 3. � Tube sans soudure tarif 10. Ils seront galvanisés extérieurement et intérieurement. Les manchons seront galvanisés à chaud extérieurement. Ils devront comporter un marquage lisible et indélébile. Les raccords éventuels seront en fonte malléable. Ceux destinés aux alimentations en eau seront galvanisés à chaud intérieurement et extérieurement. Ne peuvent être utilisés que les tubes acier galvanisés portant une marque de fabrique indiquant leur conformité aux normes NFE 49.115 et NFE 49.112. Toutes les précautions doivent être prises pour que la galvanisation ne soit pas détériorée à la mise en œuvre. Les canalisations seront montées sur colliers à double serrage, galvanisés. Ecartement suivant norme NF P 41.203. Aux raccordements cuivre/acier galvanisé, il sera mis en place des raccords « neutres ».

Localisation : Réseaux E.F. apparent ø > au 60 int. autre que ceux réalisés en PVC pression.

8.5 CANALISATIONS EN FONTE Les tuyaux en fonte ne peuvent être utilisés que dans les qualités série salubre conformes aux normes. � Tuyau de type : SMU par garniture d'étanchéité en élastomère en forme de manchon recouvert d'un

collier en feuillard d'acier inoxydable avec fixation par boulons et écrous. Il sera fait emploi de canalisations en fonte revêtue intérieurement et extérieurement. Les raccords d’assemblage seront de même nature que les canalisations. Toutes les opérations d'usinage sont interdites, sauf en coupes des tubes et des fûts des culottes à fût allongé. Des tampons klermetic SMU seront prévus aux branchements des collecteurs PVC évacuant les appareils.



Les changements de direction seront faits par des branchements à 45° et des coudes à grand rayon. Les canalisations seront fixées au moyen de colliers à scellement démontables, galvanisés, à l'écartement suivant les normes du matériau. En règle générale, il sera prévu au minimum un collier à chaque collet.

Localisation : Chutes et réseaux exposés au choc. 8.6 CANALISATIONS D ’EVACUATION EN PVC Les canalisations en chlorure de polyvinyle rigide ne peuvent être utilisées que dans les qualités dites "PVC écoulement". Elles auront une épaisseur minimale de 3 mm jusqu’au DN 100 et 3,2 pour les ø < jusqu’au DN 160. Ils seront, de marque ALPHACAN type Lucopact ou équivalent, conformes aux normes NFT 54.xxx avec agrément du C.S.T.B., norme NF E et ATEC de marque et de qualité M1, sauf dans le cas des évacuations d'eaux usées acides. Les tuyaux seront posés sur collier en fer galvanisé à doubles boulons, à raison d’un collier au moins sous chaque collet. Fourreautage par feutre bitume au droit des murs, sorties de bâtiment, dalles…. Leur assemblage sera réalisé conformément à l’ATEC, les D.T.U. et documentation technique du fabricant. Le thermoformage des tubes est strictement prohibé. Afin de guider la dilatation, les joints de dilatation et des points fixes seront réalisés suivant les prescriptions de montage éditées par les constructeurs de PVC. Le raccordement avec les pièces métalliques des appareils d'utilisation sera exécuté au moyen de collets battus ou de joints américains. L'espacement des colliers sera de 1m au maximum horizontalement et 2,70m verticalement. Traversée de plancher : Toute canalisation d’évacuation en PVC dont le ø nominal est inférieur ou égal à 125 mm et traversant prenant naissance ou aboutissant dans un local à risque courant, moyen ou important devra respecter les mises en œuvre des textes généraux contre l’incendie dans les E.R.P. Ventilation de chutes : Les ventilations primaires de chutes ou collecteurs généraux se feront en PVC compact M1, soit :

• par prolongation hors terrasse sur un conduit avec platine en plomb fourni et posé par présent lot • par prolongation en toiture par simple emboîtement sur des tuiles à douilles ou chatières fournies

et posées par le présent lot. 8.7 ROBINETTERIES Vanne d’isolement < au ø 50 : Les vannes seront à passage intégral PN 25. – Tige inéjectable. – Etanchéité de l’axe par presse étoupe PTFE. – avec robinet de vidange monté. Vanne de marque ASTORI ou équivalent.



Localisation : Isolement des appareils susceptibles de dépose pour entretien ou remplacement.

: Isolement des antennes principales et secondaires. : Isolement des locaux sanitaires.

Vanne d’isolement > au ø 50 : Au-delà du ø 50 les vannes d’isolement seront du type à papillon. – Corps en fonte. – Bague EPDM. – Poignée ¼ de tour crantée. Raccordement sur brides PN 10 ou PN 16. Ecartement et platine ISO. – Hauteur de col permettant le calorifugeage. Avis technique du CSTB. - Vanne de marque KSB ou équivalent. Les vannes laissées en attente seront équipés de bouchons (ou brides pleines pour les vannes de diamètre > à 50 mm).

Localisation : Isolement des appareils susceptibles de dépose pour entretien ou remplacement.

: Isolement des antennes principales et secondaires. Robinet d’équilibrage : Modèle taraudé avec 2 prises de pression. – Corps en amétal. Réglage précis du débit par poignée avec indication du nombre de tour. Mesure de la pression différentielle et du débit par les 2 prises. Isolement avec étanchéité par joint EPDM. – Vidange par dispositif spécial. Marque TA CONTROL ou équivalent.

Localisation : Equilibrage des antennes et boucles de recyclage d’E.C.S. Robinetterie de vidange : Les points bas de distribution seront vidangeables à l’aide de robinet ¼ de tour à boisseau. – Fabrication en laiton. Douille annelée pour raccordement d’un tuyau souple et équipé d’un bouchon et chaînette.

Localisation : En point bas des réseaux. Clapet anti-retour : Modèle taraudé à battant, toutes positions pour les ø < au 60 int. – Corps en laiton, à faibles pertes de charge. Modèle à disque guidé pour les ø > au 60. – Corps fonte FGS PN 40. – Obturateur en bronze ou fonte suivant ø. – Montage toutes positions.

Localisation : En protection des réseaux et appareils : surpresseur, traitement d’eau… Filtre à tamis < au ø 50 : Les filtres seront en fonte. – Tamis en inox, perforation 0,5 mm jusqu’au ø 20/27, 0,8 mm au-delà. – Pression maxi 16 bars à 20°C. – Température maximum 250°C à 4 bars.

Localisation : Protection de l’échangeur.



: En amont des pompes de bouclage E.C.S. Filtre à tamis > au ø 50 : Les filtres seront en fonte. – Tamis en inox, perforation 1 mm du ø 50/60 au ø 80, 2 mm au-delà. – Pression maxi 10 bars à 20°C. – Température maximum 110°C à 4 bars. – Raccordement sur brides PN 16.

Localisation : Protection des échangeurs E.C.S. : En amont des pompes de bouclage E.C.S.

8.8 ACCESSOIRES Disconnecteur : Du type BA compact avec dispositif de raccordement de vidange. Conforme à la norme NF P 43-010. – Marque WATTS ou équivalent. A raccords filetés jusqu'au diamètre 50 x 60 et à brides au-delà. La pression d'épreuve hydraulique sera 1,5 fois la pression de service.

Localisation : Sur l’alimentation EF générale. Disconnecteur CA : Disconnecteur de type CA pour les risques limités. – Conforme à la norme NF P 43-009. – Marque WATTS ou équivalent. Entonnoir pour vidange.

Localisation : Sur l’alimentation des chauffe eaux. Compensateurs de dilatation : Dans le cas ou la dilatation d’un réseau ne pourra se faire par la configuration du réseau et la confection de lyre il sera utilisé des compensateurs du commerce. Ils seront à accouplement à soufflet, en caoutchouc néoprène. Ils devront être particulièrement robustes et avoir une étanchéité garantie à une pression égale à 1,5 fois la pression de service.

Localisation : Réseaux de plomberie. Antibéliers : Ils seront du type pneumatique à membrane. Capacité et ø en fonction du type et du nombre d'appareils à protéger. Anti-bélier tout inox 304. – Pression maxi : 10 bars. – Pré gonflé à 3 bars. Isolation par robinet à boisseau sphérique en laiton matricé et joint d'étanchéité en téflon.

Localisation : En fin des rampantes principales d’E.F. et E.C.S. : En tête des colonnes montantes.

Purgeurs d'air automatique : Purgeur d’air automatique en laiton avec clapet d’isolement. – Etanchéité par tige à siège conique + joint torique.



Purgeurs automatiques, diamètre minimum 12/17.

Localisation : En points hauts de distribution. : En tête des colonnes montantes. Dégazage : Purge et dégazage suivant DTU N° 60.1, article 3.4, par séparateur en acier galvanisé. Le séparateur sera équipé de :

• d’un purgeur d’air automatique, • d’une prise pour raccordement du recyclage d’E.C.S.

Isolement par vanne à boisseau sphérique.

Localisation : En tête des colonnes montantes. : En sortie des ballons d’E.C.S et préparateur d’ECS centralisé. Joints - Raccords démontables – Soudures : Aucun joint ou soudure ne devra être placé dans les traversées à l'exception des joints de pipe de raccordements des cuvettes de WC. Les joints de raccords des chutes verticales des EV avec les canalisations enterrées devront être situées au nu du dallage (collet du tuyau non apparent). Quel que soit le type de joint, des raccords démontables (raccords union, brides, longue vis) devront être posés partout où un démontage facile sera nécessaire et en particulier au droit de chaque robinet d'arrêt. Tous les joints et raccords devront rester facilement accessibles. Dans le cas d'une traversée de plancher, de mur ou de cloison, les joints seront à l'extérieur du fourreau.

Localisation : Ensemble des réseaux plomberie. Bouchons de dégorgement et tampons hermétiques : Ceux-ci seront placés aux extrémités des collecteurs, aux changements de direction, pied de chutes et descentes ainsi que tous les 15 m au minimum sur les collecteurs horizontaux.

Localisation : Réseaux d’évacuation plomberie. Limiteur de débit : Ils seront du type raccord, à monter sur les canalisations en amont des robinetteries, à capsule élastique déformable, débits limités à :

• 12 l/mn pour les éviers et douches, • 6 l/mn pour les lavabos.

Thermomètre : Thermomètre à verre grossissant. – Hauteur 200 mm. – Boîtier alu en forme de V. – Plongeur démontable en laiton ø 15/21. – Modèle coudé à 135°, droit ou d’équerre. – Classe de précision 1%. Ils seront impérativement montés dans des doigts de gant. Les thermomètres installés sur des tuyauteries < à 50 mm, ils seront montés sur une capacité en ligne de diamètre intérieur 50 mm.

Localisation : ensemble du projet.



Manomètre : Manomètre à bain de glycérine – ø du cadran 63 mm. – Boîtier inox – Plongeur radial ou axial en inox. - ø de raccordement 8/13. – Classe de précision 1,6%. – Echelle 0 à 6 bars. Ils seront impérativement montés sur un porte –manomètre en laiton nickelé avec robinet à boisseau sphérique. Les thermomètres installés sur des tuyauteries < à 50 mm, ils seront montés sur une capacité en ligne de diamètre intérieur 50 mm.

Localisation : Ensemble du projet. 8.9 CALORIFUGE PLOMBERIE Les tuyauteries calorifugées devront toujours être posées en réservant un espace libre suffisant pour permettre la mise en place du calorifugeage et suffisamment écartées pour permettre leur calorifugeage individuel. Le calorifuge dans les locaux non à l'abri du gel, galerie technique, faux plafonds et gaines, sera constitué par des coquilles en mousse d'élastomère marque ARMAFLEX ou équivalent - qualité M1. Il devra présenter toutes les garanties d'incombustibilité et être traité pour être ininflammable (PV du CSTB à fournir). Les épaisseurs minimales de calorifuge des réseaux E.F. seront de 19 mm pour la protection antigel et de 13 mm pour la protection anti-condensation. La protection thermique des réseaux d’Eau Chaude Sanitaire, bouclage…sera assurée par des manchons d’une épaisseur minimum 32 mm. Les tuyauteries en acier noir seront revêtues de 2 couches de peinture anti-rouille à base de chromate de zinc. Les coudes seront calorifugés par cintrage des manchons, par segments juxtaposés, ou par découpes en angle droit en fonction de leur rayon de courbure. Les dérivations seront calorifugées par découpe en forme de « V ». La pose sera conforme aux prescriptions du fabricant et à l’Avis Technique du CSTB.

Localisation : Ensemble des réseaux plomberie exposés au gel et en faux-plafond. 8.10 REPERAGE Les organes essentiels de l'installation (matériel, robinetterie, circuits) tant en locaux techniques que dans l'ensemble de l'installation sont identifiés par des étiquettes de repérage. Les circuits seront fléchés aux teintes conventionnelles. Etiquettes de repérage réalisées en dilophane gravées : � Robinetterie : plaque diamètre minimum 40 mm, fixation par chaînette inoxydable. � Matériel : plaque hauteur 40 mm, fixation par rivetage ou vissage Bagues de repérage suivant teintes de la norme NF X 08.100.



Dans les armoires électriques la filerie sera soigneusement numérotée. Appareillage électrique repéré par étiquettes gravées. Indication du calibrage de chaque protection. 8.11 SUPPORTS DE FIXATION DES CANALISATIONS Les supports de fixation devront être démontables. Ils doivent être disposés suivant : la nature du tube ou tuyau et conformément à la norme. Tous les dispositifs servant à la fixation des tuyauteries (colliers, profilés, tiges filetées, manchons….) seront de marque MUPRO ou équivalent, et seront obligatoirement galvanisés ou zingués. Les colliers installés sur les réseaux de distribution seront en deux demi corps à vis équipés d’une garniture insonorisante en caoutchouc. Les colliers installés sur les réseaux d’évacuation seront en deux demi corps à vis et deux écrous soudés. Espacement maximum entre supports suivants diamètres nominaux se feront selon la norme NF P 41-201. � Tuyauteries Acier :

• diamètres < à 20 mm : 1,50 m • diamètres 20 < au ø 40 mm : 2,00 m • diamètres > au 40 mm : 3,00 m

� Tuyauteries Cuivre :

• diamètres < à 20 mm : 1,00 m • diamètres 20 < au ø 40 mm : 1,50 m • diamètres > au 40 mm : 2,00 m

� Tuyau EU :

• diamètres < à 63 mm : horizontalement 0,50 m • diamètres 75 < au ø 125 mm : horizontalement 0,80 m • diamètres > au 140 mm : horizontalement 1,00 m • tous ø en position verticale : < 2,70 m

Localisation : Ensemble des réseaux plomberie intérieurs. 8.12 DILATATION Les effets de la dilatation des canalisations seront absorbés par le tracé même des canalisations ou, à défaut, par des ouvrages spéciaux : lyres, manchons spéciaux... Pour la réalisation des points fixes et des points de guidage, il sera impérativement fait usage de supports en profilés galvanisés du commerce (cornière, fer U, T, etc..) dimensionnés en fonction des efforts exercés par la tuyauterie sur le support. Tuyau PVC : La dilation des tuyaux en PVC étant importante celle-ci sera absorbée par des raccords à joint de dilatation « simple » en néoprène incorporé. Pour les tuyaux d’allure verticale (chutes) il sera prévu un raccord à joint de dilatation simple à chaque niveau. Ces raccords seront bloqués dans l’épaisseur du plancher.



Pour les canalisations d’allure horizontale, il sera prévu des raccords à joint de dilatation incorporé type « H ». Toute longueur droite de réseau comprise entre deux points fixes devra comporter un assemblage coulissant. La distance entre deux points fixes ne sera jamais > à 8 mètres.

Localisation : Ensemble des réseaux plomberie. 8.13 PEINTURE Toutes les parties métalliques en métaux ferreux non galvanisés ou oxydables de l'installation recevront avant réception, une couche de peinture antirouille, soit chez le constructeur, soit sur le chantier avant pose. Avant la mise en peinture, les surfaces à imprimer seront soigneusement nettoyées ; le cas échéant, les soufflures seront grattées, les traces de rouille brossées à la brosse métallique, les surfaces ainsi mises à nu seront reprises en impression partielle en accord avec le Maître d’œuvre.

Localisation : Ensemble des parties oxydables de l’installation. 8.14 APPAREILS SANITAIRES Les appareils sanitaires devront répondre aux normes NF et NF EN pour ceux en céramique ou en métal. Les appareils sanitaires en matériaux de synthèse doivent faire l’objet d’un Avis Technique. En ce qui concerne la résistance à l’abrasion de l’émail, les appareils sanitaires devront être choisis en fonction de leur domaine d’utilisation, à savoir : � Privatif léger – groupe d’usure : 1 – 2 – 3 � Privatif intense ou collectif léger – groupe d’usure : 2 – 3 � Collectif intense – groupe d’usure : 3. Les appareils sanitaires devront être posés dans les conditions définies au D.T.U. 60.1 article 3.23. Pour les lavabos, éviers, baignoires et autres posés au droit d’une paroi verticale revêtue de carrelage, le joint d’étanchéité entre l’appareil et la paroi sera réalisé par le présent lot avec un produit souple adapté à cet usage.

Localisation : Suivant plans Architecte, plans B.E.T. & programme du Maître d’ouvrage. 8.15 ROBINETTERIE SANITAIRE Toutes les robinetteries devront être titulaires de la marque « NF – Robinetterie sanitaire ». Les robinets à flotteur pour réservoir de chasse de cuvette de WC seront conformes à la norme NF P 43-003. Les mélangeurs devront répondre à la norme NF EN 200, et les mitigeurs à la norme NF D 18-202. Les réducteurs de pression devront impérativement respecter la norme NF P 43-006. Robinet temporisé :



Robinet temporisé de marque DELABIE ou équivalent à bouton poussoir. – Corps en laiton massif chromé, brise-jet. Temporisation et débit ajustable : 15 secondes et 6 l/min. Robinet de puisage : Calibre 20/27 en laiton brossé, à soupape et raccords filetés, et à raccord au nez équipé d’un ensemble de protection du type HA. Il sera implanté à plus de 0,80 m au-dessus du niveau du sol et équipés de dispositifs antisiphonages d’extrémités inviolables à pression atmosphérique et d’un clapet anti-retour contrôlable sur l’arrivée. 8.16 TRAITEMENT D’EAU (OPTION) L’eau froide nécessaire à la production d’Eau Chaude centralisée traitée et adoucie. Ensemble de traitement complet comprenant :

• un adoucisseur d’eau à échangeur type 7000 de chez PERMO ou équivalent. • un compteur émetteur d’impulsions, • une vanne de remitigeage proportionnel, • une charge de sel de 200 kgs.

Cet ensemble sera complété par un traitement filmogène comprenant :

• un compteur émetteur d’impulsions. • un groupe de dosage type P 20. • un bidon de 20 litres de Permofilm 105.

L’entrepreneur devra : � Son raccordement au réseau Eau Froide compris : vannes d’isolement, filtre, by pass, manchette

témoin... � Son raccordement électrique à l’armoire de protection et de commande du local technique

Localisation : local technique



CHAPITRE 9 DESCRIPTION DES OUVRAGES - CHAUFFAGE NOTA : les plans, les quantités, emplacement ou autres indications fournis lors de l’appel d’offres sont à titre indicatif. L’entreprise adjudicataire réalisera tous les plans d’exécution et détails à sa charge et reste responsable de ses ouvrages. PHASAGE Le présent lot devra intégrer dans son offre tous les travaux préparatoires pour permettre de chauffer les salles de classes des bâtiments existant depuis la chaufferie fioul existantes provisoirement. Lorsque le local chaufferie les bâtiments existant seront raccordées sur la nouvelle chaufferie. 9.1 INSTALLATION DE CHANTIER Installation de chantier, l’entreprise devra prévoir l’alimentation de chantier avec un robinet de puisage Ø 20/27 avec compteur et une évacuation Ø 100 prévu sur la zone de chantier et conformément au demande du coordinateur SPS. 9.2 LOCAL TECHNIQUE PRODUCTION GÉOTHERMALE

9.2.1 Local L’installation de la pompe à chaleur se fera dans le local technique prévu pour accueillir la machine. L’installateur devra s’assurer que l’encombrement de tout le matériel prévu est compatible avec les dimensions du local réservé. 9.2.2 Collecteurs des sondes géothermales Réalisation des collecteurs des sondes géothermales à installer dans le local. Ces collecteurs seront réalisés en tube acier inoxydable ou PEHD Ø 65 mm et comprendront tous les accessoires nécessaires au bon fonctionnement et au contrôle :

• Des robinets d’isolement DN25 • Des thermomètres • Des purgeurs • Des prises pour les sondes de régulation • Manomètre différentiel avec vanne d’isolement • Vannes d’isolement DN 30

9.2.3 Pompe de soutirage La circulation du réseau de soutirage géothermique et circulation sur l’évaporateur de la PAC sera assurée par une pompe simple ;

Marque : GRUNDFOS Type : UPS (D) série 200 50-60/2 F Débit : 16,20m3/h



Hauteur manométrique : 4,20mCE Température de fonctionnement : -10°C à + 120°C Version eau glycolée. Puissance maxi moteur : 370 W

9.2.4 Expansion L’expansion du réseau géothermique sera assurée par un vase sous pression d’azote.

Capacité : 18 litres Pression : 4 bars Soupape de sécurité tarée à 4 bars, DN 20

9.2.5 Pompe à chaleur

Blue Box modèle Sigma 2002 type 7.2 ou équivalent Fonctionnement sur captages enterrés verticaux :

Chauffage (*) : P chaud : 94,1 kW Débit condenseur : 16,20 m3/h Perte de charge condenseur : 50.5 kPa Débit évaporateur : 13,41 m3/h Perte de charge évaporateur : 35.4 kPa Régime eau chaude : 45/40°C Compresseur : Type : scroll Quantité : 2 Nbx Circuits frigorifiques : 1 P absorbée (*) : 22.9 kW Etage de Puissance : 0-50-100 % Réfrigérant : Type : R407C Charge : 1x7,7 kg Huile : Charge : 2x4 l Marque : Maneurop Type : 160 SZ Evaporateur : Type : plaques Contenu eau 1x7.4 l Pression maxi de service côté eau 30 bar Condenseur : Type : plaques Contenu eau 1x6,3 Pression maxi de service côté eau 30 bar Dimensions et poids Longueur : 1 334m Profondeur : 0,797m



Hauteur : 0,962m Poids de transport 470kg Caractéristiques électriques : Puissance maximum absorbée (**) 30,2kW Intensité maximum au démarrage 179A Intensité maximum absorbée (***) 58A Alimentation électrique : 3/N/PE 400 V ~/50 Hz Alimentation auxiliaires : 230 V ~/50 Hz (*) Température eau entrée/sortie condenseur 40-45°C ; température eau entrée/sortie évaporateur 10-15°C (**) Puissance que doit fournir le réseau électrique pour le fonctionnement de l’unité. (***) Intensité à laquelle se déclenchent les protections internes de l’unité. C’est l’intensité maxi absorbée par l’unité. Cette valeur n’est jamais dépassée et elle doit être utilisée pour le dimensionnement de la ligne et des protections correspondantes (se référer au schéma électrique fourni avec les unités).

Vannes d’isolement A boisseau sphérique à fermeture ¼ de tour montées entre brides. Manchons antivibratiles Manchons antivibratiles de type Kléber ou équivalant au diamètre de sortie de la pompe à chaleur (Ø 2�).

9.2.6 Pompe de charge Il sera prévu une pompe de charge :

Marque : GRUNDFOS Type : MAGNA D 32-120 Débit : 13,42m²/h Hauteur manométrique : 5 mCE Température de fonctionnement : +2°C à + 95°C Version eau glycolée. Label énergie : A

9.2.7 Ballon tampon Il sera prévu un ballon tampon :

Capacité : 1200 litres Marque : Charot (ou équivalent) Type : TAMPAC Vertical en acier sans revêtement intérieur Pression de service : 4 bar maxi Orifices de circulation et vidange Peinture de protection extérieure Jaquette calorifuge PVC souple Ep. 50 mm

9.2.8 Pompe réseau



Pompe réseau à définir en fonction des caractéristiques des circuits de distribution. :

9.2.9 Vase expansion Vase d’expansion à définir en fonction des caractéristiques des circuits de distribution. :

9.2.10 Alimentation en Eau Froide Raccordement eau froide suivant schéma de principe. Le dispositif de remplissage de l’installation sera composé des éléments suivants :

- robinets d’arrêt, type à bille - conduite d’alimentation en tube cuivre - clapets anti-retour - filtre à tamis - disconnecteur hydraulique SOCLA DN 20

Le raccordement se fera sur la conduite en attente prévue au lot Plomberie. Le calorifuge de la conduite sera en Styrofoam 19 mm d’épaisseur. Alimentation reprise sur le réseau d’eau adoucie de l’E.C.S au niveau de la vanne laissée en attente par le lot – PLOMBERIE SANITAIRE. Nota : la nature de l’eau d’alimentation devra être conforme aux valeurs de référence préconisées par le constructeur de la pompe à chaleur. Ventilation haute et basse : Le présent devra la création de la ventilation haute, la sortie de toiture, les reprises d’étanchéité…. La ventilation basse sera réalisée en façade du bâtiment par une grille avec contre cadre comprenant : percement, pose du contre cadre et de la grille pare pluie aux couleurs aux choix de l’architecte. Expansion : L'expansion de l'eau de l'installation de chauffage est assurée au moyen d’un vase sous pression d'azote avec membrane, marque PNEUMATEX ou techniquement équivalent. Raccordement du vase sur la bouteille « casse-pression » avec manomètre.





DISTRIBUTION SECONDAIRE Raccordements hydrauliques en chaufferie : Création de circuits de chauffage :

• un circuit à T° régulé pour l’alimentation des rad iateurs Bâtiment neuf • un circuit à T° régulé pour l’alimentation des rad iateurs Bâtiment existant 1-2-3 • un circuit à T° régulé pour l’alimentation des rad iateurs Bâtiment existant 4-5 • un circuit à T° régulé pour l’alimentation des rad iateurs zone bibliothèque (nouveau musée). • un circuit à T° régulé pour l’alimentation des rad iateurs zone bâtiment mairie (cantine). • un circuit à T° constante pour l’alimentation de l a CTA double flux

Chaque circuit sera raccordé sur un collecteur raccordé sur la bouteille casse pression compris vannes d’isolement, clapet de non retour et vanne d’équilibrage. Fourniture et pose de pompes doubles sur chaque circuit. Les tuyauteries dans la chaufferie seront neuves, en totalité et installées de façon à satisfaire aux clauses techniques et avoir un aspect d'ensemble correspondant aux règles de l'Art. Il sera prévu un thermomètre sur le départ et retour de chaque circuit. Les pompes seront isolables par jeu de vannes et équipées d’un kit de contrôle manométrique. Le retour de chaque circuit sera équipé d’une vanne d’équilibrage de marque TA CONTROL ou équivalent type STA-F. L'ensemble des réseaux hydrauliques dans le local sera calorifugé. Peinture antirouille des tuyauteries avant calorifugeage et de toutes les pièces métalliques (supports, accessoires...). Toutes les canalisations seront constituées par des tubes en acier soudés par rapprochement, tarif 1 pour les diamètres inférieurs à 50/60 et en tube acier étiré sans soudure tarif 10 pour les diamètres supérieurs à 50/60. Tous les appareils, robinetteries et accessoires seront prévus avec des raccords démontables. Les canalisations seront posées avec un espacement suffisant pour permettre le démontage et la pose de calorifuge. Repérage des éléments de l’installation : pompes, vannes d’isolement, vannes de régulation… Raccordements hydrauliques Les réseaux de chauffage extérieures seront réalisées en tube PE prés isole de marque MICROFEX type DUO ou équivalent Régulation automatique : Mise en place d’une régulation automatique en fonction des conditions extérieures. Cet ensemble devra assurer :

• la régulation de la T° de départ par action sur la vanne motorisée installée sur chaque circuit régulé



• La gestion des circuits à température constante. • la régulation de la température de retour PAC

Les régulateurs seront installés dans l’armoire électrique du local et communiquant :

• pilotage et commande de la cascade des PAC et des appoints. • permutation automatique du fonctionnement des pompes jumelées, • régulation de la T° des différents circuits… • alarmes techniques des différents éléments de l’installation.

Raccordement des différents éléments : sondes, vanne 3 voies, PAC, régulateurs, pompes… Armoire de commande électrique chaufferie : L'équipement électrique des installations de chauffage du local est regroupé dans une armoire spécifique. Toute l’installation électrique chauffage du local sera reprise à partir du coffret extérieur. Le présent lot devra intégrer dans la nouvelle armoire les protections et les commandes de l’ensemble des appareils. Les installations réalisées devront être conformes aux normes et règlements UTE en vigueur. Dans l’armoire sera placé les protections, ensemble de régulation, interrupteurs, disconnecteurs, coupe-circuits. L'Entrepreneur du présent lot assurera tous les raccordements électriques de ses appareils. Tous les organes de l'installation seront correctement repérés par des étiquettes en plastique gravées genre dilophane à l'exclusion de tout autre procédé (étiquetage type Dymo). L'entrepreneur devra fournir un schéma électrique mis à jour de l’armoire existante : 1 exemplaire au Maître de l'ouvrage et 1 sous pochette dans l'armoire. Prévoir un contact sec pour reprise de l’alarme technique des installations du local + une alarme visuelle placée à l’extérieur du local au dessus de la porte. Toutes les liaisons électriques extérieures à l'armoire seront réalisées en câble de la série U 1000 R 02 V. Les liaisons électriques de l'armoire avec l'appareillage extérieur passeront toutes par une réglette de bornes générales avec étiquettes de repérage. Le câblage intérieur de l'armoire sera réalisé: soit en nappe plane avec du câble rigide de la série H 07 V, soit au moyen de câble souple de la série H 07 U placé dans les goulottes en matériaux combustibles à couvercle, les extrémités des conducteurs étant soigneusement étiquetées. 9.3 INSTALLATIONS INTERIEURES – RADIATEURS OPTION Ce chapitre concerne particulièrement tous les locaux. Supression des ventilos convecteurs et mise en place de radiateurs dans tous les locaux. Mise en place de corps de chauffe (type vertical ou horizontale aux choix de l’architecte) avec équipement thermostatisé inviolable et anti vandale de marque TA type TRV370 ou techniquement équivalent Les radiateurs de la zone restauration et office seront prévu avec équipement thermostatisé inviolable et anti vandale de marque DANFOSS type RA-PLUS ou techniquement équivalent



Raccordement chauffage des radiateurs sur le circuit préparé en chaufferie. Les tuyauteries principales emprunteront les gaines techniques et les plénums de faux plafond des différents niveaux. Distribution en tube acier noir compris peinture et protection thermique par coquille isolante pour l’ensemble des réseaux non apparents (faux plafonds, gaines techniques, locaux techniques…). Isolement des antennes principales et secondaires par vannes à boisseau sphérique compris vanne d’équilibrage type TA CONTROL. 9.4 INSTALLATIONS INTERIEURES – VENTILO CONVECTEURS + RADIATEURS EAU CHAUDE Ce chapitre concerne particulièrement toutes les salles de classes et zone restauration, bureau et local accueil, bâtiment salle de classe 1-2-3 et le bâtiment salle de classe 4-5 dans ces locaux mise en place de ventilo convecteur plafonnier de marque GEA HAPPEL ou équivalant. Mise en place de corps de chauffe (type vertical ou horizontale aux choix de l’architecte) avec équipement thermostatisé inviolable et anti vandale de marque TA type TRV370 ou techniquement équivalent Les radiateurs office, vestiaires, rangement et sanitaires seront prévu avec équipement thermostatisé inviolable et anti vandale de marque DANFOSS type RA-PLUS ou techniquement équivalent Raccordement chauffage des radiateurs sur le circuit préparé en chaufferie. Les tuyauteries principales emprunteront les gaines techniques et les plénums de faux plafond des différents niveaux. Distribution en tube acier noir compris peinture et protection thermique par coquille isolante pour l’ensemble des réseaux non apparents (faux plafonds, gaines techniques, locaux techniques…). Isolement des antennes principales et secondaires par vannes à boisseau sphérique compris vanne d’équilibrage type TA CONTROL. 9.5 INSTALLATIONS INTERIEURES – DOUBLE FLUX . Les centrales assureront les besoins de renouvellement d’air hygiénique des locaux. Il sera installé une centrale de traitement d’air avec récupérateur à roue pour la zone maternelle et la zone primaire. Elle sera installée en exterieure comprenant tous les travaux nécessaires pour son installation, la mise en œuvre de matériel de manutention pour son installation, toutes les pièces nécessaires plots antivibratiles… Réseau de soufflage et de reprise en gaines tôle spiralée galvanisée isolée dans les faux plafond, section : circulaires, ovoïdes ou rectangulaires suivant les espaces disponibles dans le plénum des faux plafond. Isolation de toutes les gaines de soufflage et de reprise en faux plafond et zones non chauffées. Bouche de soufflage et de reprise type plafonnière. – Protection coupe feu aux traversées des parois de recoupement et locaux à risques. L’ensemble des réseaux double flux seront soigneusement calorifugé. – Les réseaux extérieurs seront réalisés en conduit double peau. Raccordement chauffage de la centrale sur le circuit à T° constante préparé en chaufferie.



Les tuyauteries principales emprunteront les gaines techniques et les plénums de faux plafond des différents niveaux. L’ensemble de la distribution se exécuté en tube acier noir compris peinture et protection thermique par coquille isolante. Isolement des antennes principales et secondaires par vannes à boisseau sphérique + vanne d’équilibrage. Régulation de la centrale en fonction de la T° ambi ante. – Programmation et contrôle des températures de soufflage, d’ambiance et reprise, fonctionnement des ventilateurs, encrassement des filtres par le régulateur Régulation, commandes et protection de la centrale DF à partir d’un coffret spécifique à charge du présent lot. - Raccordement des appareils du présent lot depuis de ce coffret électrique. Raccordement du coffret sur l’attente mise à disposition par le lot – ELECTRICITE. Mise en place de silencieux de très hautes efficacités à la sortie de la centrale pour le soufflage et l’aspiration. 9.6 INSTALLATIONS INTERIEURES – EXTRACTION SIMPLE FLUX Les locaux : sanitaires et bâtiments existant….seront ventilés mécaniquement. – Prise d’air en façade par grilles autoréglables et extraction en plafond des locaux. Il sera mis en place pour l’ensemble de l’opération plusieurs extracteurs. Les réseaux seront réalisés en gaines : circulaires, ovoïdes ou rectangulaires suivants les possibilités de passage. Cette fonction sera obtenue par :

• la mise en place sur les installations de ventilateur avec moteur à 1 vitesse, • un dimensionnement adapté aux débits, • la mise en place d’un régulateur différentiel avec sondes : une sonde extérieure, une autre sonde

dans l’aspiration des extracteurs. Pour le local sanitaire il sera prévu des extracteurs muraux fonctionnant sur horloge. La salle de restauration non concernée par la système de ventilation double flux sera ventilé en simple flux, l’entreprise prévoir la fourniture, pose et raccordement des éléments suivant :

⇒ Extracteur en toiture, ⇒ Percement, reprise d’étanchéité, ⇒ Gaine d’extraction, silencieux, ⇒ Bouches de reprise, ⇒ Grilles d’entrée d’air.

Sur toutes les zones concerné par le système de ventilation simple flux, il sera prévu la fourniture et pose de grilles d’entrée d’air autoréglable à fixé dans les murs Raccordement des appareils du présent sur attentes mises à disposition par le lot – ELECTRICITE.



CHAPITRE 10 DESCRIPTION DES OUVRAGES - PLOMBERI E NOTA : les plans, les quantités, emplacement ou autres indications fournis lors de l’appel d’offres sont à titre indicatif. L’entreprise adjudicataire réalisera tous les plans d’exécution et détails à sa charge et reste responsable de ses ouvrages. 10.1 EAU FROIDE Alimentation : L'alimentation en eau froide sera assurée au moyen d’une tuyauterie neuve depuis le piquage sur le réseau public mis à disposition par le concessionnaire du réseau et situé en limite de propriété. Les compteurs seront fournis et posé par le présent lot et seront installés dans un regard à charge du présent lot compris toutes sujétions de pose, en accord avec le Service de distribution de la Ville ou concessionnaire. Dans la zone office il sera installé un décompteur sur l’eau froide. Fourniture et pose de la tuyauterie par le présent lot dans une tranchée exécutée par le présent lot VRD – (Tuyau de polyéthylène série alimentaire - Pénétration dans le bâtiment dans le local technique. A charge du présent lot) Mise en place d'une vanne d'arrêt générale avec vidange après comptage + un disconnecteur général. Le compteur sera fourni et posé par la Société concessionnaire. Sur le compteur général mise en place par le présent lot d’une tête à impulsion pour reprise du comptage EF par un compteur déporté. Distribution intérieure : Passage des réseaux principaux dans les (faux plafonds des locaux, les gaines techniques, les locaux techniques…) compris protection anti-condensation et anti-gel suivant le cas. - Protection en coquille de mousse d’élastomère. L’entreprise pourra prévoir la distribution en PER avec l’accord de l’architecte. Parcours et distribution suivant le choix de l’entreprise et la validation par l’architecte. Seul l’entreprise restes responsable de ses réalisations, et devra les réalisés conformément au DTU et règles de l’art. Alimentation des installations sanitaire compris isolement, clapet, soupape, bouteille de dégazage. Pour les distributions apparentes en antenne, les réseaux seront exécutés en tube PVC pression pour les diamètres> au 50/60 et en tube cuivre pour les diamètres inférieurs. En bout de chaque antenne principale et/ou colonne montante mise en place d’un dispositif anti bélier. Chaque local sanitaire, antenne et colonne montante il sera mis en place des vannes d'isolement à boisseau sphérique avec robinet de vidange. Fourreaux aux traversées de voiles, cloisons ou planchers. Points bas munis de robinets de vidange.



Fourniture et pose, en chaufferie, à disposition du lot– CHAUFFAGE VENTILATION d’une vanne en attente pour remplissage de l’installation de chauffage. – Tuyauterie émanant du traitement d’eau. Traitement de l’’eau froide (E.C.S.) : L’arrivée en chaufferie sera équipée d’un traitement pour l’alimentation de : l’installation de remplissage chauffage et de la production d’E.C.S. centralisée avec disconnecteur isolable. Raccordement du traitement compris : by-pass, vannes d’isolement, clapet, manchette témoin… Alimentation de l’installation de chauffage en attente compris :

• une vanne d’isolement, • un manomètre de contrôle.

Le présent lot devra l’alimentation du système de production d’E.C.S. comprenant :

• une vanne d’isolement, • un manomètre de contrôle, • un clapet de retenu, • une soupape de sécurité tarée à 7 bars.

Raccordement électrique, protection et commande de l’appareil de traitement d’eau depuis l’armoire électrique de la chaufferie en coordination avec le lot CHAUFFAGE – VENTILATION. 10.2 PRODUCTION D'EAU CHAUDE Principe : Compte tenu de l’éparpillement des points d’utilisation d’E.C.S. la solution retenue est une production décentralisée par préparateurs instantanés. L'alimentation en eau froide sera assurée au moyen d’un raccordement en aval du comptage existant. Chauffe eau à cuve émail. - Elément chauffant monté sur stéatite. – Indice de protection IP 25. – Temps de chauffe conforme à la norme NFC 73.221. Puissance 1.200 watts pour une capacité de 10 litres. Dans chaque local sanitaire et salle de classes Dans le local Office le chauffe eau aura une capacité de 150 litres. Equipement : Chaque chauffe eau sera équipée des accessoires suivants :

• un groupe de sécurité NF ou clapet de classe A, • une vanne d’isolement sur le départ ECS avec robinet de vidange.

Raccordement électrique de chaque chauffe eau sur une attente mise à disposition par le lot ELECTRICITE. – Fourniture et pose par le présent lot d’un interrupteur de coupure de proximité. 10.3 EAU CHAUDE L’ensemble des appareils sera alimenté en eau chaude à 65°C depuis les différents points de production du § précédent.



Chaque appareil sanitaire alimenté en ECS comprendra un mini-mitigeur de marque DELABIE ou techniquement équivalent pour assurer une distribution à 45°C et 37°C pour les douches si présente dan s le projet. Distribution intérieure : A partir du préparateur central suivant la zone, création d’un réseau d’Eau Chaude pour l’alimentation de l’ensemble des appareils. Réalisation des réseaux : principaux, antennes, colonnes montantes…en tube cuivre écroui compris support et accessoires. Réseaux Eau froide, eau chaude et bouclage en tranchée à charge du présent lot. Parcours et distribution suivant le choix de l’entreprise et validation par l’architecte. Chaque local sanitaire sera équipé de vannes d'isolement à boisseau sphérique avec robinet de vidange. Fourreaux aux traversées de voiles, cloisons ou planchers. Points bas munis de robinets de vidange. L’ensemble du réseau de distribution centralisée sera soigneusement calorifugé, par coquille de mousse pour les réseaux en (faux plafond, gaines techniques, locaux techniques…). 10.4 EAUX USEES ET EAUX VANNES ET EAUX PLUVIALES L'ensemble des évacuations intérieures horizontales et verticales des appareils sera réalisé par le présent lot jusqu'au regard extérieur mis à disposition par le lot VRD. Les raccordements apparents et le réseau en dallage seront exécutés, par le présent lot, en tuyau PVC - série assainissement. Toutes les canalisations principales apparentes (ventilation primaire) seront exécutés en fonte de bâtiment marque PONT à MOUSSON ou équivalent type SMU. Raccordement des appareils sanitaires aux collecteurs seront en tube PVC - diamètre 32, 40 et 50 mm intérieur. Les cuvettes de WC seront raccordées par des pipes spéciales avec joint à lèvres néoprène. Des tés de dégorgement seront prévus au minimum au départ de chaque évacuation horizontale, ainsi qu'à tout endroit jugé nécessaire par l'entreprise pour la visite des canalisations. Les tés à 90° sont à proscrire (angle < 75°). Les chutes verticales seront réalisées en tuyau PVC série Assainissement. – Prolongement des chutes en ventilation primaire hors toit compris lanterne ou chapeau. Les chutes exposées aux chocs et la chute verticale reprenant les eaux de la chaufferie seront exécutées en fonte. 10.7 APPAREILS SANITAIRES Les appareils sanitaires seront de marque PORCHER ou VILLEROY & BOCH ou équivalent et la robinetterie de marque DELABIE ou équivalent.



RAPPEL : Chaque appareil sera muni de robinet d'arrêt à raccord sphéro-conique pour pouvoir être isolé.

Localisation : Suivant plans Architecte & programme du Maître d’ouvrage. VIDOIR ( dans local ménage ) vidoir mural type Service 44x33 avec grille inox porte seau, fixation sur attaches fonte, robinetterie murale mélangeuse à disques, vidage par bonde à grille et siphon à culot laiton. CUVETTES BÉBÉ Cuvettes à fond creux, sans abattant, type PORCHER ou VILLEROY & BOCH (7.645/03), fixation au sol. Alimentation par ensemble de chasse comprenant :

- Raccord d'arrivée - Robinet d'arrêt - Robinet Marque DELABIE type Kit TEMPOFLUX APPARENT pour cuvette WC enfantine. Réf. 761002, hauteur poussoir 1m30 - Raccord de départ. - Collier de fixation. - Tube de chasse coudé. - Nez de jonction Ý 55 intérieur.

CUVETTES ADULTES Cuvettes type PORCHER ou VILLEROY & BOCH TARGA ARCHITECTURA avec réservoir attenant et abattant double blanc et tous les accessoires de pose. CUVETTES ADULTES handicapé Cuvettes type PORCHER ou VILLEROY & BOCH TARGA ARCHITECTURA rehaussé avec réservoir attenant et abattant double blanc et tous les accessoires de pose. LAVABO COLLECTIF : Auge Lavabo collectif type Auge : comprenant vasques, pieds, avec robinet temporisé de marque DELABIE type temposoft, bondes à grilles… LAVABO angle Lavabo collectif type Auge : comprenant vasques, pieds, avec robinet temporisé de marque DELABIE type temposoft, bondes à grilles… EVIER Timbre 2 cuves et un égouttoir, 1,40 X 0,60 et 100 x 0,60 inox Robinetterie mélangeuse. Bec orientable avec aérateur entraxe 110 mm. Bondes avec clapets caoutchouc, siphon polypropylène. Meuble sous évier 2 portes 1 rayonnage.



URINOIR Urinoir applique de face , robinet temporisé alimentation apparente, tube et douille d’alimentation, bonde à grille inox, siphon inox, vis de fixation… ALIMENTATIONS DIVERSES L'entrepreneur du présent lot devra l'alimentation de divers équipements prévus à d'autres lots, ou apparaissant en option, ou de postes de service, à savoir: SANITAIRES BIBLIOTHEQUE Le présent lot prévoira pour les sanitaires du local cantines, mise en place d’un sanibroyeur raccordé sur les réseaux existants, le présent lot prévoira le raccordement électrique et hydraulique.

ALIMENTATION EAU FROIDE - Alimentation local technique - Alimentation préparateur E.C.S. - Alimentation et robinet ML - alimentation dans le local ménage du préau un robinet pour le remplissage d’un arrosoir. Cette liste n’est pas limitative et devra être complété suivant les besoins du projet et du maître d’ouvrage.

ALIMENTATION EAU FROIDE EAU CHAUDE - Alimentation évier cuisine - Alimentation lave-mains - Point d'eau éventuel



CHAPITRE 11 OPTION

11.2 TRAITEMENT D’EAU (OPTION) L’eau froide nécessaire à la production d’Eau Chaude centralisée traitée et adoucie. Ensemble de traitement complet comprenant :

• un adoucisseur d’eau à échangeur type 7000 de chez PERMO ou équivalent. • un compteur émetteur d’impulsions, • une vanne de remitigeage proportionnel, • une charge de sel de 200 kgs.

Cet ensemble sera complété par un traitement filmogène comprenant :

• un compteur émetteur d’impulsions. • un groupe de dosage type P 20. • un bidon de 20 litres de Permofilm 105.

L’entrepreneur devra : � Son raccordement au réseau Eau Froide compris : vannes d’isolement, filtre, by pass, manchette

témoin... � Son raccordement électrique à l’armoire de protection et de commande du local technique

Localisation : local technique 11.2 CONTRAT ENTRETIEN CHAUFFERIE Le présent lot devra chiffrer le cout d’un contrat d’entretien pour une période de 5 ans comprenant :

• L’intervention dans un délai de 24 h maximum en cas de panne. • 1 visite annuelle, • Toutes les interventions éventuelles (main d’œuvre et déplacement) • Le remplacement gratuit des pièces susceptibles d’être changées (pièces, main d’œuvre et

déplacements) Et à chaque visite

• Le contrôle visuel et auditif de l’ensemble ( bruit, panneaux détachés, calorifuge, trace de fuite d’eau, fixations, et support).

• Vérification du bon fonctionnement (contrôle des températures) • Contrôle des alimentations électriques. • Vérification du bon fonctionnement des sécurités. • Mesure du pH et du taux de glycol du circuit hydraulique. • Nettoyage des filtres et contrôle des circulateurs. • Contrôle de l’étanchéité des circuits frigorifiques • Délivrance d’un certificat d’étanchéité.