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LES 21 RENDEZ-VOUS qu’il ne fallait pas rater LE BARTHOLOGUE LUDOVIC GIULY FOUS DE GOLF Les parcours préférés des Lyonnais DOSSIER SPECIAL HOMMAGES Chantal Sansavini Edouard Keguny Renée Richard N°141 - Mai 2014 Pierre Nallet, Laye Diop & Frédéric Frèrejean Le podium de notre sondage «TOP 20 du meilleur swing»

LYON PEOPLE MAI 2014

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LYON PEOPLE, Leader de la presse magazine lyonnaise

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LES 21 RENDEZ-VOUS qu’il ne fallait pas rater

LE BARTHOLOGUE

LUDOVIC GIULY

FOUS DE GOLFLes parcours préférés des Lyonnais

DOSSIER SPECIAL

HOMMAGES

Chantal Sansavini Edouard Keguny

Renée Richard

N°141 - Mai 2014

Pierre Nallet, Laye Diop & Frédéric FrèrejeanLe podium de notre sondage «TOP 20 du meilleur swing»

N°141 - Mai 2014

Lyonpeople.com n°141 - Mai 2014Sur une idée originale de Marc Engelhard et Nicolas Winckler

Couverture : Saby Maviel

Directeur de la publication Nicolas Winckler [email protected]édacteur en chef Marc Polisson [email protected] Benjamin Solly [email protected]ère éditoriale Françoise Petit [email protected] Maquettiste Valérie Barranco [email protected] Photographe webmaster Fabrice Schiff [email protected] collaboré à ce numéro Jean-Marc Requien, Yves Espaignet, Jean-Alain Fonlupt, Christian Mure, Pascal Auclair, Christophe Magnette, Léna Ailloud, Hugo Roussel et Laurette.Photographes Saby Maviel, Jean-Luc Mège, Val-fpg.com & Lionel Pinar Chef de Publicité Axelle Lamiche [email protected] 06 11 19 04 43Assistante commerciale Valérie Vacher [email protected] Agence Coyote Publiciz Bruce Mathieu [email protected] 06 15 55 20 52

Supplément gratuit du www.lyonpeople.com. Impression Chirat. Ne peut être vendu. Ne pas jeter sur la voie publique. La reproduction des textes, dessins et photographies publiés dans ce numéro sont la propriété exclusive de Lyonpeople, une marque de Jetpeople.com SARL au capital de 178 030 €. RCS Lyon 493 132 252. Elle se réserve tous droits de reproduction dans le monde entier. Dépôt légal à parution. ISSN : 1952-7772. Abonnement pour 1 an = 49€.

100 000 lecteurs tous les moisEtude Médiamétrie - 05/2005

Lyonpeople est certifié par l’OJDBP 6171 - 69469 Lyon Cedex 06Tél. : 04.72.82.97.78Fax : 04.72.43.92.05

Connaissant mon goût pour la flagornerie, chacun se doute bien que je m’apprêtais à cirer les pompes (c’est la mode aujourd’hui) de Gérard Collomb, réélu président du Grand Lyon bien que

minoritaire, et à me moquer de notre pauvre droite lyonnaise, décidé-ment la plus bête de France. Lorsque Marco, à l’instar d’autres grands mégalomanes qu’il persiste à admirer, m’indique qu’il vient de se mijoter une petite «guerre du Golf» entre quelques swingueurs in the Day. On constatera que les impétrants concourant pour le meilleur swing ont tous en commun d’avoir fait leur trou après un parcours sinon sans fautes, en tout cas réussi. Tous ont également la chance de pouvoir se mettre au ver t plusieurs fois par semaine le long des golfs clairs alors que le commun des mortels bosse lorsqu’il n’est pas au chômage. Parmi les golfeurs VIP plutôt nantis, quelques mauvais esprits ne manqueront sans doute pas de sourire de la présence de cer tains hommes de gauche s’il en en est. Comme quoi la vie politique laisse quelques loisirs. Enfin moi, ce que j’en dis !

Justin Calixte

Mise au vert

Édito Mai 2014

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Page 68

Le Barthologue de Ludovic Giuly

LOU Rugby

Cuisines Bernollin

Les Planches

Docks 40

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STYLE

Carnet Mondain110 ET AUSSI...

Les 21 soirées qu’il ne fallait pas manquer

72 VU !

Page 76

La vie lyonnaise

La vie économique

La vie politique

La vie gastronomique

Brèves de comptoir

Hommage à Edouard Keguny

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NEWS

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FOUS DE GOLF Les parcours préférés

des lyonnais ~ 31 à 61 ~

DOSSIER SPÉCIAL

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LA VIE LYONNAISE / Par Marc PolissonNEWS

NAJAT HABITUÉE DE GERLAND Un beau mensonge Promue ministre de tout et de rien, dont les sports (sic), Najat Vallaud-Belkacem s’est retrouvée le 2 avril aux côtés de Nicolas Sarkozy et Anne Hidalgo dans la tribune présidentielle du Parc des Princes pour assister au match PSG-Chelsea en quart de final de la Ligue des

Champions. Où elle a tranquillement assuré au micro de BFM TV qu’elle était une habituée du stade de Gerland. Ce qui nous a fait beaucoup rire, ainsi que Jean-Michel Aulas qui la connaît bien. Depuis 14 ans que nous assurons, pour le compte de l’Olympique lyonnais, les prises de vue des personnalités en tribunes VIP, nous ne l’avons croisée qu’une ou deux fois. Le plus amusant dans cette (petite) affaire n’est pas qu’elle ait menti (c’est son fonds de commerce républicain) mais que c’est que son mensonge a été gobé par tous nos confrères, lyonnais et parisiens… Du travail de pro !

Thierry Braillard (mis sous tutelle depuis le 9 avril) et NVB lors de la rencontre OL-PSG à Gerland, le 25 février 2012

LES ADIEUX DE RICHARD À CHANTAL SANSAVINIAprès avoir courageusement combattu pendant un an et demi contre la maladie qui rongeait son corps mais n’affectait pas son grand cœur, Chantal Plancoulaine-Sansavini a été arrachée à l’amour des siens le 8 avril 2014, à l’âge de 54 ans. Déléguée médicale spécialisée en gynécologie pour le laboratoire Theramex (Teva Santé), elle était la maman d’Arthur, 26 ans. Son époux Richard Sansavini, PDG d’Arrivetz, témoigne de la tendresse qu’il lui portait depuis plus de dix ans.

Nous nous sommes rencontrés le 15 décembre 2002 chez Evelyne Charpiot - une autre grande dame lyonnaise - au Cintra où nous fêtions l’anniversaire de mon ami Philippe Neyret. Nous

avons passé une nuit blanche (quasiment la seule de ma carrière) et nous ne nous sommes plus jamais quittés. Nous avons découvert son cancer du poumon en septembre 2012 et les chimio ont été nombreuses avec des effets plus ou moins bénéfiques au début mais qui se sont un peu émoussés malheureusement au fil des mois. J’ai rarement vu quelqu’un se battre comme elle s’est battue, elle était en permanence à nous préserver, nous laissant imaginer qu’elle allait guérir. Alors que maintenant je suis persuadé qu’elle savait l’issue fatale, son côté professionnel et son

courage faisaient qu’elle gérait sa maladie toute seule avec ses médecins.

C’est une femme que j’aime tellement fort et que j’ai profondément aimée et je souhaitais lui rendre la vie plus belle tous les jours, même malade, je n’arrêtais pas de faire.

Nous échafaudions des projets à plus ou moins long terme pour lui donner espoir ainsi qu’à moi-même, car je n’ai jamais voulu croire un seul instant qu’elle ne s’en sortirait pas. C’est d’ailleurs pour cela que nous nous sommes mariés le 30 novembre 2013 avec une surprise de taille, car j’ai réussi à faire venir son fils qui travaille dans les Emirats Arabes Unis pour cette célébration (alors qu’il lui avait dit qu’ils ne pourraient pas se voir avant août 2014). Le maire du 2eme qui est un ami et qui nous a mariés avait les larmes aux yeux tellement cette rencontre fut pour Chantal un vrai moment de pure joie. J’ai vécu un peu plus de 11 années d’un bonheur fou avec ma « doudou d’amour » et comme je l’ai dit lors de son enterrement j’ai eu une chance inouïe que d’autres ne connaîtront peut-être jamais ! Bien sûr je pourrais encore en parler pendant des heures mais voilà quelques mots pour lui rendre hommage. »

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«C’EST UNE FEMME

QUE J’AIME TELLEMENT FORT

et que j’ai profondément aimée

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LA VIE ÉCONOMIQUE / par Yves EspaignetNEWS www.lyon-actueco.com

NEWS/01

FRANÇOIS GAILLARD promeut avec succès le « désir de Lyon » Lyon est la deuxième destination après Paris pour le tourisme d’affaires et le nombre des touristes internationaux ne cesse d’augmenter. Les atouts de la ville de la gastronomie, la richesse de son patrimoine architecturale sont recherchés car toujours plus connus et reconnus. Ce positionnement est la priorité d’OnlyLYON Tourisme & Congrès, dont le bilan de ses dix dernières années avec à sa tête François Gaillard est d’avoir promu « l’envie de venir à Lyon. »

Q uand les chiffres sont bons et le restent, il devient difficile de ne pas s’interroger sur les raisons d’un succès. Lyon et sa métropole constituent une destination touristique de plus en plus recherchée et les retombées économiques mesurées

par OnlyLYON Tourisme & Congrès sont estimées à 1 milliard d’euros par an (1). François Gaillard explique l’attractivité touristique lyonnaise par une forte mobilisation des équipes de l’office mais surtout par la performance des structures d’accueil de grands événements comme notamment Eurexpo ou la Cité Internationale, la qualité de l’hôtellerie, sans oublier le cadre de vie. A d’autres de mettre l’accent sur une comparaison de la situation à son arrivée en 2004 à la direction de l’office. Le tourisme d’affaires a constitué le premier axe stratégique de son action. L’objectif de décrocher la deuxième place derrière Paris est atteint dès 2007. Il y a lieu de rappeler l’action de GL Events dans cette logique d’affirmation de la place

lyonnaise comme ville d’événements. « Le lancement de l’opération OnlyLYON et l’arrivée de la base d’easyJet à Lyon-Saint-Exupéry ont été déterminants à partir de 2008 » précise François Gaillard. Le deuxième axe d’action, le tourisme d’agrément, s’est régulièrement affirmé. Le choix de proposer des étapes courtes « city breaks » a favorisé la venue de touristes étrangers qui apprécient la gastronomie, la visite de la ville pour ses monuments et ses commerces : « il a fallu convaincre afin de proposer une offre locale permanente par des ouvertures l’été, par la volonté d’accueillir. Le chemin parcouru est énorme. » Les esprits évoluent et la mobilisation des énergies est réelle. Ainsi, des commerçants membres de Tendance Presqu’île développent un accueil spécifique de la clientèle étrangère. « Des vendeuses parlant plusieurs langues ont été recrutées. Certains ont recherché du personnel d’origine asiatique ou russe pour mieux recevoir dans leurs commerces » insiste Bruno Besançon, directeur de l’association. Et de préciser que ces enjeux commerciaux sont largement

perçus puisqu’une centaine de personnes ont participé à la rencontre organisée avec OnlyLYON au Sofitel au début du mois d’avril. Cette clientèle internationale s’élargit depuis un an aux touristes de la zone Asie-Pacifique. En effet, la liaison aérienne Lyon-Dubaï (95.000 passagers en 2013) permet la venue rapide de nombreux Japonais (+35%) et Australiens (+26%) passant par le « hub » international de la compagnie Emirates. Aussi François Gaillard demandera à ses équipes de mener des opérations de communication sur ces pays à fort potentiel dans les mois qui viennent. Il va également repenser pour la fin de l’année l’offre d’accueil de l’office (place Bellecour) qui reçoit plus de 500.000 personnes : « il est une formidable vitrine de Lyon ». Tenir son rang demande de savoir innover sans cesse. (1) Le tourisme regroupe 31.000 emplois directs et indirects dans la métropole. Le tourisme d’affaires représente 2 millions de journées/participants et génère 274 millions d’euros de recettes (chiffres 2013 source OnlyLYON Tourisme & Congrès).

NEWS/02

SORTIE DES PREMIÈRES « C ZEN » 100% électriques Les premières voitures électriques sont réalisées par la chaine d’assemblage de l’usine Courb, installée à Saint-Priest. Lyon retrouve sa dimension de ville pionnière de l’industrie automobile du début du XXème siècle. Cet événement a été salué de façon discrète mais significative par la participation du PDG de l’entreprise, Hervé Arnaud (photo), au récent Printemps de l’entreprise organisé par le Medef Lyon-Rhône sur le thème « y croire, oser, rebondir. » Il est vrai que le Président-fondateur de cette PME innovante, fort du label « Origine France garantie » car 84% des pièces de la « C Zen » (1) sont fabriquées dans l’Hexagone, n’a eu de cesse d’affirmer : « je n’imaginais pas produire nos voitures ailleurs qu’en France. » 400 modèles devraient être assemblées dès cette année. Le site de Saint-Priest emploie 25 personnes. Hervé Arnaud considère que les innovations technologiques seront rapides : « elles devraient favoriser la démocratisation de ce nouveau type de véhicule. »(1) La « C Zen » voiture 100% électrique est rechargeable à partir d’une prise 220V. Son prix est de 14.600 euros. Elle est commercialisée avec une offre « 360 degrés » incluant le financement, l’assurance, l’entretien et l’assistance.

TÉLEXDESIGN URBAIN ET EAU Du 15 au 17 mai, se tiendra au Selcius à la Confluence le « Lyon City Design Arena ». La thématique de cette édition est la place de l’eau dans l’évolution de la ville, tant son approche fonctionnelle, que ludique mais également dans sa gestion dite intelligente via des systèmes de capteurs numériques.

LE « CROWDFUNDING » NOUVEAUTÉ DU SALON DES ENTREPRENEURS Le traditionnel rendez-vous des entreprises se déroulera les 11 et 12 juin à Lyon. Plusieurs thèmes constitueront l’actualité de cette nouvelle édition. Parmi eux, il est à noter un panorama du développement rapide en France du « crowdfun-ding » ou financement participatif. Il permet aux entreprises attractives de lever des fonds pour mener leur développement (la démarche du lyonnais Courb pour lancer sa production).

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TÉLEXDESIGN URBAIN ET EAU Du 15 au 17 mai, se tiendra au Selcius à la Confluence le « Lyon City Design Arena ». La thématique de cette édition est la place de l’eau dans l’évolution de la ville, tant son approche fonctionnelle, que ludique mais également dans sa gestion dite intelligente via des systèmes de capteurs numériques.

LE « CROWDFUNDING » NOUVEAUTÉ DU SALON DES ENTREPRENEURS Le traditionnel rendez-vous des entreprises se déroulera les 11 et 12 juin à Lyon. Plusieurs thèmes constitueront l’actualité de cette nouvelle édition. Parmi eux, il est à noter un panorama du développement rapide en France du « crowdfun-ding » ou financement participatif. Il permet aux entreprises attractives de lever des fonds pour mener leur développement (la démarche du lyonnais Courb pour lancer sa production).

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LA VIE POLITIQUE / Par Benjamin SollyNEWS

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GRAND LYON Ton univers impitoyable !

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LE CASTING DE LA MÉTROPOLE1er vice-président : David Kimelfeld (Economie)2ème vice-président : Michèle Vuillien (Métropole)3ème vice-président : Jean-Paul Bret (Universités, recherche)4ème vice-président : Jean-Luc Da Passano (Infrastructures)5ème vice-président : Annie Guillemot (Enfance, famille, collège)6ème vice-président : Pierre Abadie (Voirie)7ème vice-président : Myriam Picot (Culture)8ème vice-président : Michel Le Faou (Urbanisme)9ème vice-président : Thierry Philip (Santé, environnement)10ème vice-président : Hélène Geoffroy (Energie)11ème vice-président : Alain Galliano (International)12ème vice-président : Martial Passi (Transports)13ème vice-président : Karine Dognin-Sauze (Métropole intelligente)14ème vice-président : Jean-Paul Colin (Eau et assainissement)15ème vice-président : Bruno Charles (Développement durable)16ème vice-président : Richard Brumm (Finances)17ème vice-président : Olivier Brachet (Logement)18ème vice-président : Claire Le Franc (Personnes âgées)19ème vice-président : Roland Crimier (Foncier, grands travaux)20ème vice-président : Guy Barral (Sports et loisirs)21ème vice-président : Sandrine Frih (Concertation)22ème vice-président : Gérard Claisse (Commande publique)23ème vice-président : Murielle Laurent (Logistique)24ème vice-président : Richard Llung (Urbanisme)25ème vice-président : Béatrice Vessiller (Rénovation thermique) Les 6 conseillers délégués : Corinne Cardona - Gilles Vesco - Max Vincent - Bernard Rivalta - Michel Rousseau - Eric Desbos

François-Noël Buffet (UMP) s’y voyait déjà. Le sénateur-maire d’Oullins aura finalement avalé son chapeau et quelques belles couleuvres centristes. Nonobstant une majorité de droite sur les communes du Grand Lyon (49 sur 58), les édiles locaux ont

porté à la présidence du Grand Lyon le socialiste Gérard Collomb, le 16 avril dernier.

« A deux ou trois voix près»Il y croyait dur comme fer. François-Noël Buffet, candidat malheureux à la présidence du Grand Lyon en 2001 et en 2008, pensait que la vague bleue des municipales de mars le porterait aux manettes de la future Métropole. Des rencontres avec les maires locaux, une conférence de presse et beaucoup de médias écumés pour rappeler aux maires leur responsabilité. Avec 190 000 suffrages acquis à la droite, contre 170 000 pour la gauche, l’assemblée communautaire aurait du basculer à droite. « Cela va se jouer à deux ou trois voix près », confiait le matin de la séance d’installation du Grand Lyon le candidat UMP à ses conseillers communautaires.

Christophe Boudot voit des frangins partoutAvant le vote des 162 conseillers communautaires, les candidats à la présidence se dévoilent. C’est le cas de Christophe Boudot (FN) qui a tenté du rompre l’habituel protocole par une prise de parole plus longue et vindicative. « Le 3e tour de vote sera plus fraternel que démocratique », fustige dans une lourde allusion maçonnique celui qui est également secrétaire départemental du FN du Rhône. Présidant la séance d’installation avant le vote des élus, le doyen Claude Vial n’a pas laissé à l’orateur le soin de dérouler sa diatribe complotiste. Le maire de Charly a tout bonnement coupé le micro de l’intervenant, lui coupant par la même occasion le sifflet.

Patatras !Le mouchoir de poche annoncé par Buffet s’est transformé

en autoroute pour Gérard Collomb. Avec 92 voix dès le 1er tour de vote pour le maire de Lyon, le plan du sénateur-maire d’Oullins est tombé à l’eau. Ne récoltant que 58 voix, François-Noël Buffet a été noyé par le tsunami Collomb. Avec 2 voix, Christophe Boudot a lui fait de la figuration. Une claque inattendue pour la droite et une victoire haut la main qui a surpris jusqu’au principal intéressé. « Je pensais sincèrement qu’il y aurait plusieurs tours de vote », confiait Gérard Collomb au sortir de l’exercice. Ebaubi par ce résultat, le sénateur-maire d’Oullins a pris la parole pour un propos acerbe, souhaitant « bon vent » à la métropole lyonnaise.

Mauvais camarades, les Synergies ?Un édile non encarté, de sensibilité de droite, doit-il suivre les logiques de parti ? A l’heure d’élire le nouveau président de la communauté urbaine, les maires des petites communes du Grand Lyon, réunis dans le groupe Synergies, ont du avoir l’impression de repasser leur bac philo. Mais il ne leur aura pas fallu quatre heures pour rendre leur devoir sur table. Elisant Collomb dès le 1er tour de vote, la gauche et les maires divers droite, appuyés par quelques UDI, ont privilégié « le projet » du sortant pour porter sur les fonts baptismaux la nouvelle métropole lyonnaise. A ceux qui les accusent d’avoir trahi a sincérité du scrutin, leur réponse ne se s’est pas faite attendre : « les trottoirs ne sont ni de droite, ni de gauche ! »

Bret clashe Collomb et Rivalta Ancien 1er vice-président du Grand Lyon, le maire de Villeurbanne a créé son propre groupe, « La Métropole Autrement », au sein du Grand Lyon. Objectif ? Peser sur les décisions pour éviter une gouvernance lyonno-centrée. « Demain ne pourra pas être comme hier », a tonné Jean-Paul Bret dans un discours en forme de règlement de compte à l’attention de Gérard Collomb. Déroulant son propos très offensif, l’élu communautaire s’est même autorisé une mise au point avec le président du Sytral. « Si M. Rivalta peut cesser de m’interrompre », a-t-il fermement recadré à l’attention

de son voisin dissipé. Vexé, ce dernier a quitté la salle du conseil.

Philippe Cochet reprend le pouvoirIl visait le Grand Lyon mais a finalement laissé François-Noël Buffet candidater. Un boulevard qui s’est transformé en voie de garage pour le sénateur-maire d’Oullins. Philippe Cochet a-t-il sciemment laissé son concurrent interne aller à l’abattoir ? On peut le penser au regard de la manœuvre qui a suivi l’échec de la droite au Grand Lyon. En effet, le député-maire de Caluire s’est arrogé a présidence du groupe « UMP DVD et apparentés » Un coup de maître quand on sait que ses deux vice-présidents s’appellent Dominique Nachury et… François-Noël Buffet !

Lyonpeople / Mai 2014 15

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LA VIE POLITIQUE / Par Benjamin LacroixNEWS

CATHERINE JULLIEN-BRÈCHES prend les rênes de MegèveCoup de tonnerre dans le village ! La maire sortante Sylviane Grosset-Janin a été battue par son ancienne colistière, Catherine Jullien-Brèches, qui a endossé l’écharpe de maire de Megève pour les six prochaines années.

Le temps d’une élection, Megève s’est transformé en Clochemerle. « Cette campagne a généré un climat détestable dans le village. Il est important de fédérer les esprits afin de rassembler. » Les premiers mots de la nouvelle maire Catherine

Jullien-Brèches, sur les ondes de Radio Mont-Blanc, sont symptomatiques. Les élections municipales ont divisé la station. Pour la nouvelle édile, il s’agit désormais de recoller les morceaux pour construire son mandat. Avec trois candidats sur la ligne de départ des municipales, l’exercice promettait d’être sportif. Catherine Jullien-Brèches et Denis Worms pour contrecarrer Sylviane Grosset-Janin. Le point commun des deux challengers : avoir travaillé avec la maire sortante avant de claquer la porte. En 2008, Jullien-Brèches était colistière de Grosset-Janin quand Denis Worms a été son adjoint à la voirie, à la circulation et aux services communaux jusqu’à sa démission en janvier 2010. Un départ justifié à l’époque pour des « convenances personnelles », confiait alors, dans un doux euphémisme, le démissionnaire. Ces relationnels délétères, faits d’inimitiés et de rancœurs, ont diffusé jusque

dans la campagne des municipales. Au soir du 1er tour, Sylviane Grosset-Janin (34,71%) était distancée de 58 voix par Catherine Jullien-Brèches (37,17%). Avec 28,12% des suffrages, les observateurs pensaient que le rôle de « faiseur de reine » incomberait à Denis Worms. Mais les listes de Worms et Jullien-Brèches n’ont jamais trouvé la variable d’ajustement pour fusionner.

L’heure est à l’apaisementUn coup de théâtre qui s’avèrera finalement être un coup de maître de la nouvelle maire de Megève. Le mouchoir de poche du 1er tour a laissé place au plébiscite. Avec 1135 voix, Catherine Jullien-Brèches (44,91%) a devancé

de 227 bulletins Sylviane Grosset-Janin (35,93%), Denis Worms fermant la marche (19,15%). « C’est un grand regret. J’avais constitué une équipe très performante. J’espère que la communauté mégevane restera unie et que Megève continuera à progresser et à tenir son rang. » La réaction très digne de Sylviane Grosset-Janin préfigurait déjà une ambiance qui tend à l’apaisement. Dans son discours

d’installation, les premiers mots de Catherine Jullien-Brèches, qui compte désormais 20 élus, sont allés à la maire sortante. « Je remercie Sylviane Grosset-Janin d’avoir servi Megève et la collectivité pendant plus de 30 ans. Je salue son dévouement pour la chose publique, son courage et son engagement » a déclaré l’édile. Même son de cloche « constructif » du côté de l’attelage « Priorité Megève » composé par Denis Worms et Marie-Christine Ansanay. Les oiseaux

de mauvaise augure qui envoyaient déjà Sylviane Grosset-Janin à la retraite en sont pour leurs frais. L’ancienne maire compte bien continuer à faire vivre la démocratie mégevane autour de ses quatre élus municipaux. Les huit adjoints désignés, les dix commissions mises en places, la nouvelle équipe est toute entière tournée vers l’avenir du village.

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LES 8 ADJOINTS DE LA VILLE DE MEGÈVE (photo adjoints dans l’ordre de préséance de g. à d.)

1er adjoint CHRISTOPHE BOUGAULT-GROSSETDélégué aux sports, à l’environnement et aux sentiers et pistes

2eme adjoint EDITH ALLARDDéléguée au patrimoine, à la culture, au logement, au jumelage et aux forêts

3eme adjoint LAURENT SOCQUETDélégué à l’agriculture, sécurité, espaces publics et réseaux et aux bâtiments

4eme adjoint JOCELYNE CAULTDéléguée à la citoyenneté, à l’action sociale, et à la relation avec le personnel communal

5er adjoint PATRICK PHILIPPEDélégué à l’urbanisme et à la politique foncière

6eme adjoint FRÉDÉRIC GOUJATDélégué aux finances, au tourisme, à l’animation, au développement économique, à la communication et aux grands projets

7er adjoint NADIA ARNOD-PRINDéléguée à l’enfance, à la jeunesse et aux loisirs

8eme adjoint MARIKA BUCHETDéléguée aux affaires scolaires et à l’hébergement collectif

A noter que DAVID CERIOLLI est conseiller municipal délégué à l’accessibilité, aux actions auprès des seniors et aux relations avec l’ADMR

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Volkswagen Groupe DelormeLyon 9 65 rue du Souvenir69009 Lyon - Tél. 04 72 85 47 47Lyon 3 191/195 Avenue Félix Faure 69009 Lyon - Tél . 04 72 13 13 13

Villefranche 1050 rue Ampère Tél. 04 74 65 50 59Fontaines 18 av. des MarroniersTél. 04 78 23 55 69Vaux en Velin 1 rue Jean Marie MerleTél. 04 78 79 31 31

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LA VIE GASTRONOMIQUE / par Christian Mure - Guide Lyon GourmandNEWS

BELLES RIVES Moment de bonheur en bord de Saône

Le bonheur de la vie c’est de manger en terrasse au bord de la Saône avec l’élue de votre cœur ou avec vos amis les plus chers dans un restaurant comme les «Belles Rives» qui portent parfaitement bien leur nom devant les péniches qui passent. Tout en

se régalant d’une morue fraîche grillée à la fleur de thym «pêche Nord Atlantique», purée à l’huile d’olive préparée de main de maître par le chef Mouhydine (33 ans) après l’avoir dessalée pendant trois heures puis passée au grill et enfin au four à vapeur (cinq minutes). Un travail d’orfèvre... Jeux de boules, ponton de 24 mètres pour les bateaux de passage, salle de séminaire avec la photo de l’ancien Hôtel Restaurant Dulac et parking de 40 places sont les meilleurs atouts de cette précieuse adresse. Nos duettistes de choc Jean-Yves Carpentier et Patrick Mehu qui avaient déjà à leur actif les lancements couronnés de succès des «Assiette et Marée» et des «Jols» ont eu le coup de cœur pour ce «Belles Rives» en 2003 qui avait connu des fortunes diverses, vivotant ou allant de fermetures en fermetures. Ils ont tout cassé confiant la décoration à Alain Vavro pour en faire la plus belle affaire des bords de Saône attirant même une clientèle locale en hiver...Michèle Petre que nous avions connue à «L’Horloge»

pendant un septennat est ici depuis deux ans : elle est la plus adorable des directrices de salle veillant à tout et sur tous. Le chef Mouhydine a travaillé à Ascot en Angleterre, chez Laurent Malnuit à Courchevel et en Corse avant de devenir chef des «Belles Rives» il y a trois ans. C’est un spécialiste des cuisses de grenouilles persillées, de l’agneau confit de sept heures jus au romarin et haricots tarbais puis de la tête de veau roulée aux petits légumes. Tout est fait maison avec des produits frais comme le saucisson de canard pistaché au foie gras... Les filets de hareng «Origine Island» pommes de terre tièdes à l’huile et le saumon fumé par leurs soins «Origine Ecosse» pain grillé au raifort sont deux entrées magnifiques. Le pain perdu glace vanille vous fera fondre de plaisir au dessert. Qu’est-ce que vous voulez demander de plus à la vie confortablement installés sur les tables du ferronnier de Paul Bocuse qui les avait gentiment prévenus : «Personne n’a jamais réussi à gagner de l’argent dans un restaurant des bords de Saône»... Les deux élèves de Paul Bocuse qui avaient commencé leur aventure avec lui au «Maestro» à Tokyo en 1986 ont bien fait de tenter l’aventure et vivre leur coup de cœur jusqu’au bout pour nous offrir un moment intemporel et magique.

BELLES RIVES376, avenue des Tuileries - 01600 TREVOUXTél 04 74 00 22 07Menus à 17,50 euros (entrée + plat) ou (plat + dessert) et 20 euros (entrée + plat + dessert) à midi.Menus à 24,50 euros, 28 euros et 32 euros.Piano-bar samedi soir et dimanche midi avec des artistes

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Asperges me !

Floriane Duvey et Michele Petre, direcrice du restaurant

Accès direct au chemin de halage longeant la Sâone

Petit salon cosy attenant à la salle de restaurant

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Volkswagen Groupe DelormeLyon 9 65 rue du Souvenir69009 Lyon - Tél. 04 72 85 47 47Lyon 3 191/195 Avenue Félix Faure 69009 Lyon - Tél . 04 72 13 13 13

Villefranche 1050 rue Ampère Tél. 04 74 65 50 59Fontaines 18 av. des MarroniersTél. 04 78 23 55 69Vaux en Velin 1 rue Jean Marie MerleTél. 04 78 79 31 31

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Dans le cadre de la journée mondiale de l’hémophilie, le 17 avril, les Toques Blanches Lyonnaises en collaboration avec l’Association Française des Hémophiles (AFH) ont confectionné le plus gros palet d’or jamais réalisé. Les chocolats Michel Cuizel sont également partenaires du défi qui a été relevé par les célèbres chocolatiers lyonnais Sébastien Bouillet et Philippe Bernachon. Un évènement qui a pour objectif de sensibiliser un large public aux réalités d’une maladie peu connue et pour mobiliser également sur l’intégration de ses personnes. Le challenge a débuté à 10h en présence de nombreux chefs lyonnais, mais également de docteurs référents en hémophilie dont le professeur Négrier, responsable du service Hématologie-Biologique des Hospices Civiles de Lyon. A l’issue de l’homologation, un morceau du palet en chocolat a été distribué à tous les visiteurs présents.

« Quand je pars en vacances, je choisis toujours un endroit où je pourrais en faire. » Vito Morreale ne parle pas de pizzas ou de cuisine pour une fois, mais bien de golf. Étonnant ? Pas vraiment puisque notre homme,

originaire de Sicile, pratique ce sport depuis 1985 maintenant. Le chef a voulu essayer une fois comme ça… Un club dans la main, il ne l’a plus jamais lâché. Petit à petit, il est devenu un vrai golfeur avec un handicap de 12. Sport technique mais pas trop fatiguant, la bonne recette pour se détendre après les grosses journées de travail. « Même quand il y a de la neige, par -50 degrés, on va jouer. » rigole Vito. Par commodité, il donne rendez-vous à ses amis aux 18 trous de Salvagny, même s’il confie que le terrain de Villette reste son préféré. Au menu, du golf trois à quatre fois par semaine et des « jolis tournois» le week-end. Mais Vito Morreale pratique également le sport d’équipe. Dans ses deux restaurants de la rue du Plat et d’Ecully cette fois. Léna AilloudPour plus d’informations : http://www.vitomorreale.fr

BRÈVES DE COMPTOIR / par Marc PolissonNEWS

LA TOUR ROSE Le chef étoilé Laurent Rigal signe la nouvelle carte

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Les très convoitées terrasses de la Tour Rose sont ouvertes. Nouveauté cette année, le sémillant Alain Dinc, qui dirige ce noble et bel établissement, a fait appel au chef étoilé Laurent Rigal de l’Alexandrin et au caviste hors pair Georges Dos Santos,

pour réaliser sa nouvelle carte. En confiant les fourneaux à Laurent Rigal et son second Victor Isnardon, le restaurant de la Tour rose entend bien compter parmi les tables lyonnaises les plus gourmandes. Une assiette aussi téméraire que lumineuse résume à elle seule la démarche singulière du chef qui consiste à ravir le palais des convives avec la fraîcheur et le bon goût du terroir. Il s’agit d’un poisson

de lac, le filet de fera à la grenobloise sur fine piperade de légumes et rates en cassolette. Une merveille ! Pour ceux qui ne connaissent pas bien les délicieux accords mets vins, sachez qu’une carte maligne vous propose d’accompagner chaque plat de caractère à un vin soigneusement sélectionné par Georges Dos Santos, élu meilleur caviste de France en 2010. En entrée, laissez-vous séduire par cette création millésimée printemps 2014 : des cuisses de grenouilles en persillade sur brandade de morue crémeuse, un plat aussi agréable en bouche qu’original dans l’assiette. Et enfin en dessert, goûtez au charme de cet éclair déstructuré et rehaussé d’une envoutante mangue, une véritable tuerie ! On quitte cette adresse avec l’agréable

sensation d’un repas abouti et le sourire revigorant d’un accueil à la hauteur de l’événement. C’est l’évasion assurée et le bon goût retrouvé dans ce très bel établissement qui fait le charme du Vieux-Lyon. A noter, pour les habitués, que la septième soirée rose se déroulera le jeudi 22 mai. Serge Tonioni

A midi, le menu est à 25 euros et 35 euros pour le brunch du dimanche. Le soir, les menus s’échelonnent de 35 à 79 euros. Des planchas (charcuterie, foie gras et saumon) sont également servis au bar lounge

RESTAURANT LA TOUR ROSE22, rue du Bœuf - Lyon 5 - Tél. 04 78 92 69 10 www.latourrose.fr - Contact : [email protected]

NEWS/01

NEWS/02

NICOLAS LE BEC À SHANGHAI Les premières photos du resto Exclusif. Une dizaine de jours après de son ouverture annoncée, voici les images inédites du nouveau restaurant de Nicolas Le Bec à Shanghai. Un an et demi après avoir quitté Lyon, Nicolas Le Bec est soulagé. Son projet de complexe de restauration a réellement pris forme et la Villa Le Bec devait accueillir ses premiers clients aux alentours du 15 avril 2014. Avec en mise en bouche, le bistro 321 Le Bec (café et bar à vins), dont voici la façade. Le restaurant gastronomique est toujours en travaux pour le moment. On l’a suffisamment taquiné par le passé pour ne pas lui tirer cette fois-ci notre chapeau pour avoir su, comme le dirait le Vobs, « donner force et vigueur » à son projet. Plus de photos sur www.lyonpeople.com - Rubrique Gastronomie VILLA LE BEC Shanghai changning qu xinhua lu 321 hao, near dingxi lu

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JOURNÉE MONDIALE DE L’HÉMOPHILIE Halles de Lyon

NEWS/04 VITO MORREALE Un golfeur aux saveurs italiennes

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7, rue Servient 69003 Lyon angle Cours de la Liberté face Préfecture Tél. 04 37 42 09 05

Ouvert le lundi de 14h à 19h du mardi au vendredi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 19h le samedi sans interruption

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BRÈVES DE COMPTOIR / par Benjamin SollyNEWS

PETIT-DÉJEUNER DU BAR AMÉRICAIN Retour vers le futur à l’Institution

Véritable institution, les petits déjeuners du Bar Américain ont attiré dès le milieu des années 80 tout ce que Lyon compte de décideurs. Mise en place par Jean Vittet et Béatrice Denis, l’initiative fût immédiatement couronnée de succès.

« Chaque lundi, Monsieur Paul allait faire ses remises en banque à deux pas du Bar Américain, puis venait boire son petit noir. C’est comme ça que tout a commencé », se remémore Michel Godet. Le journaliste gastronomique a retrouvé ses habitudes d’antan à l’occasion d’un revival unique co-organisé par le directeur de l’Institution, Franck Delafon, et Béatrice Denis, ancienne directrice de l’établissement de 1985 à 1994. Lundi 14 avril, bien après l’heure du laitier, la fine équipe des petits déjeuners s’est retrouvée dans la joie et la bonne humeur. 20 ans après, il fallait voir les binettes joyeuses de Gérard Angel, Christian Têtedoie, Georges Pithioud, Eric Giraud, François Turcas, Anne-Marie Comparini, Béatrice Chevalier, Axel et Carole Dufour ou encore Michel Le Royer pour bien mesurer ce que fût cet incontournable de la vie lyonnaise. Pièce maîtresse du puzzle, Paul Bocuse était représenté par son premier maître d’hôtel François Pipala. « Quelques grandes figures ont participé à ces petits déjeuners, notamment Yves Mourousi et Marie-Laure Augry, Charles Aznavour ou encore Michel Serrault », confirme Michel Godet. Comme à la grande époque, l’ordre du jour était composé exclusivement de viennoiseries, d’oranges pressées, de tartines, de café noir et de bonne humeur ! « Nous n’étions pas à proprement parler un club business même s’il est arrivé que certaines rencontres débouchent sur ce type d’activités », glisse Gérard Angel. Et les peopleries dans tout ça ? « Il est arrivé que l’un de nos membres monte en selle, mais sans jamais cueillir la fleur », sourit l’allusif potineur. Un vrai moment d’amitié retrouvée qui s’inscrivait dans le cadre des festivités

organisées tout au long de l’année 2014 pour les 150 ans de l’établissement.

L’Institution - 24, rue de la République - Lyon Cordeliers - Tel 04 78 42 52 91

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Béatrice Denis entourée de Raymond Gaspart, son compagnon et Jean-Pierre Michaux, ancien agent de change à la Bourse de Lyon

Axel et Carole Dufour (Idées en Tête), François Pipala (Maison Bocuse) et Béatrice Denis et Franck Delafon (l’Institution)

Béatrice Chevalier, créatrice du Figaro Rhône-Alpes en 1984, François Turcas, président de la CGPME Rhône-Alpes et Anne-Marie Comparini, ancienne présidente du Conseil régional

Petit-déjeuner à l’Institution avec en guest-star Paul Bocuse à la fin des années 80

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La disparition dans des circonstances tragiques d’Edouard Keguny, lundi 31 mars 2014, a bouleversé ses nombreux amis. Nous avons décidé de laisser la parole aux femmes de sa vie et à ses collègues restaurateurs qui ont décidé de lui rendre hommage à travers une tribune libre (publiée page 26 et sur notre site internet) et à laquelle nous nous associons pleinement.

J ’ai eu le privilège de partager la vie d’un homme d’une rare grandeur d’âme. Elle est en moi pour toujours et nos filles lui ressemblent. Il nous voulait heureuses, nous tâcherons de l’être. Il ne voulait plus vivre, ni avec, ni sans nous. Cela depuis la perte de son père en 2009, qu’il n’a pas acceptée. Une dépression sévère et chronique, qu’il disait incurable, a perduré et s’est aggravée. Prévenant comme il l’était, il nous a préparées à son absence des mois durant et ne cachait pas son projet de mourir. Des rêves et désirs inassouvis refaisaient surface de temps en temps : un long voyage au Canada, la traversée en camping-car et moto des USA, pêcher des jours

durant sur des lacs du Colorado. Il recherchait prestement ces derniers temps un endroit isolé où se réfugier, seul, loin de tout tracas. Avant de partir, ses amis proches et sa famille ont reçu des messages d’adieu. Clairvoyants et sereins. Dans le dernier message qu’il m’a adressé, il m’expliquait être arrivé à la limite de ses forces, être fatigué de lutter contre les épreuves, être très malade et vouloir se reposer auprès de son père pour l’éternité. Il partait avec ses plus beaux souvenirs, des images qu’il emmène avec lui, comme « partir sur la route de Key West avec ma belle moto et toi bien accrochée derrière, rouler jusqu’au coucher du soleil avec les pélicans, faire un tour de bateau à Anguilla ou à Miami. »Il a confié que durant ces quatre dernières années, il n’avait été que « l’ombre de lui-même, chaque jour ayant été un calvaire. J’ai toujours gardé la Foi, c’est pourquoi j’espère que Dieu me recevra auprès de lui, sinon, je suis sûr que j’ai plein de potes en enfer… » Puis de conclure : « Pardonnez-moi, mais j’ai fait du mieux que je pouvais. Je vous aime et vous aimerai pour l’éternité. Je pars sans haine et en paix. Adieu ».Nous devions finir nos jours ensemble et vieillir main dans la main, nous balançant sur un rocking-chair, quelque part au fond de l’Arizona. Je sais qu’il y est déjà, juste parti trop tôt.Toujours précurseur, ce havre, il l’a sûrement trouvé. » Odile Fabre-Keguny

LES FEMMES DE SA VIE TÉMOIGNENT Odile Fabre-Keguny • Lauren Keguny

EDOUARD KEGUNY Le bel oiseau a tiré sa révérence

IL EST PARTIavec ses plus

BEAUX SOUVENIRS

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Au bar du Victoria Hall, l’année de l’ouverture en 2005

Edouard et Odile sur la plage des flamants à Saint Barth en 1991 «

NEWS HOMMAGE / par Marc Polisson

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Mon père ne souhaite qu’une seule chose, c’est que vous vous souveniez de lui comme de quelqu’un de bien, toujours le cœur sur la main. Un roi qui vous a, je le sais pour certains d’entre vous, tendu la main, jeté un clin

d’œil ou adressé un sourire. Souvenez-vous de mon père comme d’un roi. Un roi qui aimait vous offrir une coupe de champagne, un roi qui aimait les gens. Aujourd’hui, il aimerait que vous vous gardiez en mémoire ce qu’il a fait. Il aimerait que vous vous souveniez de lui hier, aujourd’hui et demain. Continuez de parler de mon père comme vous le connaissiez, en tant que membre de la famille ou en tant qu’ami. Trinquez à sa mémoire comme il l’aurait aimé. » (Applaudissements de l’assistance)« Ce n’est pas moi que vous applaudissez, c’est mon père ! » Lauren Keguny

MON PÈREétait

UN ROI !

Extrait du message d’adieu prononcé par sa fille Lauren lors de la messe de funérailles célébrée jeudi 5 avril 2014 en l’église arménienne Saint Jacques

Avec Lauren, place Vendôme, en 2004

A l’ouverture du Lemon Twist en 2012

A Saint Martin avec Jean-Pierre Crochepierre en 1992

Entourant Garbis Devar lors de son mariage à St Remy de Provence

A Saint-Tropez avec Nain Nain et Trompette au début des années 2000

Eté 2013. Papa poule avec ses jumelles Victoire et Méline

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Dans son bureau du Victoria Hall en 2005

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SALUT L’ARTISTE !

C’est toute une profession qui a appris, avec consternation la triste nouvelle du décès d’Edouard Keguny. L’artiste s’en est allé.

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Avec Hugo et Trompette

au Caffé Milano en 2001

Peut-être est-il parti pour exprimer son art dans un autre monde, privant ses amis, ses clients, et ses confrères de son éternel sourire… La dure loi du commerce et la cruauté de notre monde a eu raison de son enthousiasme communicatif.

Aujourd’hui, beaucoup se sentent coupables. « On ne savait pas à quel point il n’allait pas bien » s’est exclamé un confrère apprenant la tragique nouvelle. Pris par nos propres soucis quotidiens, peut-être aussi par égoïsme, nous n’avons pas vu son mal-être. Nous aurions pu lui tendre la main et sans doute n’avons-nous pas su être solidaires…Beaucoup d’entre nous se souviennent de la Trattoria, quai Romain Rolland, où il a étrenné ses galons de restaurateur… mais aussi de son accueil chaleureux à la porte du 11 Club. C’était le temps de l’insouciance et d’une jeunesse croquée à pleines dents. Pourtant, comme tous les artistes, le monde l’attire. Il décide, de partir en tournée, et ses scènes gastronomiques seront Saint-Barth, New York et Miami… La tournée d’Edouardo le lyonnais durera quelques 15 années !Et puis, un beau matin, ce fut le retour de l’enfant prodigue. Avec ses rêves américains, son come-back est triomphal. C’est son époque Caffé Milano. En quelques mois, l’endroit devient « the place to be ». Un vrai carton.Mais l’artiste en veut plus. Il s’invente un pari plus que risqué. Une folie. Et pourtant comme tous les grands show-men, il gagne encore une fois. Ce sont les moments flamboyants du Victoria Hall. Apres l’euphorie d’une première année exceptionnelle, c’est, comme souvent, le temps du succès qui s’envole et ce qui est à la mode qui se démode.Edouard doit passer la main. Lui qui ne vivait que pour son métier, a du mal à rebondir, et se trouver un challenge à la hauteur de son talent. Il a encore des rêves mais on ne lui donne pas sa chance. Après avoir été lâché, il a été lynché. Il ne le supporte pas. Aujourd’hui, il s’en est allé au paradis des gourmets… Nous pensons bien à lui, et c’est à sa famille, son épouse et ses filles que vont les pensées de toute une profession qui tient à saluer un artiste et un ami. Salut Edouard ! »Ses amis restaurateurs

« J e me souviens d’un homme généreux, attachant, souriant, toujours prêt à

rendre des services et un grand passionné de la restauration toujours proche de sa clientèle.

Guy Bardel

M on Poto si souriant et serviable... T’es en peace et va-t’en régaler

les anges. Nicolas Marec

L es souvenirs et l’insouciance de notre jeunesse remontent. Ton sourire,

ton accueil resteront gravés dans ma mémoire.

Eliz Moulin

M erci Édouard de m’avoir fait aimer ce métier si difficile. Merci Édouard

d’être un des plus grands pro de la place de lyon. Merci Édouard, pour ton sourire qui restera à jamais dans nos mémoires.

Damien Moutard

M erci Edouard pour les magnifiques souvenirs que tu laisses derrière toi

et ton sens de l’hospitalité jamais égalé. Laurence Salfati

A ncien chef de rang au Lemon twist, j’ai eu beaucoup de peine en apprenant

la nouvelle et je suis très bouleversé. Édouard était un modèle. Je ne l’oublierai jamais!

Clément Chauvet

T u nous laisses d’énormes souvenirs, d’éclats de rires, de moments FOUS.

Vérane Vaché

J e suis debout au bord de la plage. Un voilier passe dans la brise du matin

et part vers l’océan. Ce court poème invite à accueillir la mort comme un voyage vers une terre inconnue, un nouveau continent.

Thierry Granger

T on sourire, ton amitié, ta simplicité, ta générosité depuis 15 ans nous ont

suivis et accompagnés dans notre vie. Tu as décidé de nous quitter, nous respectons ton choix.

Bruno & Virginie Delhaye de Barjac

J e garderai à jamais sa bonne humeur, le souvenir d’avoir fait le baptême de

sa fille dans mon resto et d’avoir écouté ses conseils avant de venir m’installer à Miami. Adieu l’ami.

Bruno Galli

H é l’Ami, où vas-tu ? Que fais-tu ? Ton envol nous laisse pantois... Si telle

était ta décision, nous la respectons malgré tout. Tu nous manques mais le chant si mélodieux des oiseaux nous réconfortera.

Virginie Vial

I l nous laisse avec le souvenir de son éternel sourire, mais aussi avec

l’amertume de ceux qui n’ont pas été là pour lui ces derniers temps.

Emmanuel Hamelin

NEWS HOMMAGE / par Marc Polisson

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MAISON DU CHAMARIER Le projet secret d’Edouard Keguny Nous vous dévoilons pour la première fois le projet qui a fait vibrer Edouard Keguny après la chute de la maison Victoria Hall, dont il a dû rendre les clés pendant l’hiver 2010. Chronique d’un lâchage.

En ce 28 juillet 2011, date de la fermeture pour congés annuels de Lyon People, Edouard nous a convoqués pour une visite secrète et insolite. Notre homme qui a l’art de la mise en scène nous a presque fait signer une clause de confidentialité. Et

pour cause, il va nous dévoiler, en exclusivité, le cadre de son futur projet hôtelier. Rendez-vous est pris sur le parvis de la primatiale Saint Jean, où il nous attend, cartable en main et sourire mystérieux accroché à ses lèvres rieuses. Intrigués, nous remontons la rue Saint Jean sur une centaine de mètres et stoppons devant la plus belle demeure du quartier, la maison du Chamarier. Maison dans laquelle il projetait de

créer un hôtel de charme avec SPA et un resto italien au feu de bois, baptisé « La Cour des Arts ». C’est la Ville de Lyon, propriétaire des murs, qui lui a directement proposé le deal. Depuis mars 2010, Edouard n’a pas ménagé ses efforts, mobilisant architectes, juristes, urbanistes. La municipalité qui ne sait que faire de cette belle maison classée à l’inventaire

des monuments historiques est enthousiaste à l’idée qu’il puisse revitaliser le quartier en le tirant par le haut comme il avait su le faire avec le Caffé Milano en 1999 (puis avec le Victoria Hall en 2005) dans un 7ème arrondissement en déshérence et auquel personne ne croyait*.

Mais les frimas de l’automne 2011 vont refroidir l’enthousiasme d’Edouard. La mairie centrale est en effet aux abonnés absents. Le mutisme est tel que son conseil Anne Orsay est contrainte d’envoyer un courrier en recommandé à Gérard Collomb en personne. En date du 26 septembre 2011, l’avocate rappelle au maire de Lyon « qu’à la demande des services municipaux, Monsieur Keguny a élaboré depuis de longs mois et désormais finalisé un concept pour la mise au point

duquel il a déployé une intense activité et engagé des avances financières conséquentes. (…) et qu’il souhaiterait connaître le calendrier de sa mise en œuvre ». La réponse ne parviendra que de longs mois plus tard, laconique : « Il faut attendre ». Ce qui va plomber le moral d’Edouard, déjà très affecté par la disparition de son père. « Ça lui a mis un coup ! » confirme son épouse Odile. Contraint de jeter l’éponge, Edouard se reporte alors sur le Lemon Twist, mais le cœur n’y est plus. Alors pourquoi la municipalité a-t-elle fait marche arrière ? Pour le savoir, nous avons interrogé Alexandrine Pesson. « J’étais favorable à ce projet qui aurait redonné vie à cette maison mais l’Hôtel de Ville a lâché prise ! C’est bien dommage ! » assure l’ancien maire du 5ème qui nous renvoie directement à Gérard Collomb. Le service presse du maire de Lyon nous affirme que « La Ville avait rencontré Edouard Keguny et lui avait expliqué qu’il y a aurait un appel à projet et qu’il pourrait y répondre comme tout le monde. » Quatre ans plus tard, le dit appel n’a toujours pas été lancé. Pour quelles raisons ? Mystère et boule de gomme.*Exception faite de Pierre Chambon et Thierry Lahon (à KGB)

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18 MOIS d’efforts

ANÉANTIS

La Maison du Chamarier est l’un des rares bâtiments du XVe siècle conservé dans

le Vieux Lyon et témoigne de la transition entre le style gothique flamboyant

et la Renaissance (source vieux-lyon.org)

La cour où Édouard voulait installer la terrasse de son restaurant

Derrière la façade, un intérieur en piteux état…

NEWS HOMMAGE / par Marc Polisson

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A P E R I T I V O • d u • m e r c r e d i • s o i r

T e r r a s s e • o m b r a g é e

S e r v i c e • v o i t u r i e r

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GOLFRédaction : Pascal Auclair

DOSSIER SPÉCIAL

DIS-MOI OÙ TU GOLFES...

40 LE PLUS BEAU SWING DE LYON

LES 10 PLUS BEAUX TROUS DE RHÔNE-ALPES

LES MEILLEURES TABLES SUR GREENS

TROPHÉE OVALGREEN 2014

GOLF ACADEMY

GOLF DE LA SORELLE

LES 11 RENDEZ-VOUS PEOPLE DE LA SAISON

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Lyonpeople / Mai 201432

EN•COUVERTURE DOSSIER GOLF

Les clichés ont la dent dure. Longtemps considéré comme un sport «de riches, de vieux et de snobs», le golf a fini par tordre le cou à certaines idées reçues. Engagée depuis trois décennies dans un processus de «démocratisation», la discipline fait

chaque année de nouveaux adeptes. Ils sont désormais près de 44 000 licenciés sur la seule Ligue Rhône-Alpes à venir taquiner régulièrement la petite balle blanche. Une aubaine pour les 70 clubs de la région, la plupart ayant tiré le diable par la queue à la fin des années 80, lorsque les parcours poussaient comme des champignons sans la moindre étude de marché préalable. Dépourvue de toute logique économique, cette ruée vers l’or vert aura au moins généré une prise de conscience collective auprès des acteurs d’un marché émergent, soucieux de ne pas perdre leur investissement, à défaut de le rentabiliser à court terme. Dans ce contexte, la plupart des clubs se sont engagés dans une stratégie de croissance autour de deux grands axes: formation et communication. Le golf, sport presque confidentiel - ils n’étaient que 38 000 licenciés en 1980 dans toute la France - est alors devenu une activité tendance, notamment auprès des milieux économiques. Quelques grands patrons se sont alors essayés à l’art du

swing, avec plus ou moins de succès - et plus ou moins persévérance aussi - dans les rares practices de la région lyonnaise.

Le Clou des pionniers

«Le Clou a été le club le plus créateur de golfeurs entre 1985 et 1992, affirme sa directrice, Maria Monnet. Il est vrai qu’à l’époque, il n’y avait que nous, le GCL

et le Verger dans la région lyonnaise. Nous avons ainsi vu débuter de jeunes loups qui n’avaient pas encore la même notoriété». Parmi ses novices ambitieux, Olivier Ginon (GL Events), Jean-Claude Samsoe (Cegid), les frères Pédrini (régie immobilière), Jean-Claude Condamin (Sogelym-Steiner), Roger Caille (Jet Services), Patrick Celma (Urssaf du Rhône), Pierre Nallet (AnaHome Immobilier), l’architecte Albert Constantin... Le club de Villars-les-Dombes est aussi le terrain de jeu favori des experts du bistouri (professeurs Lévigne, Ravault, Michel, Ducerf...), du BTP et de nombreux acteurs du monde de la gastronomie locale. C’est ainsi que se croisent sur les fairways Françoise Bernachon, Christophe Marguin, Daniel Leron, Paul Offroy, Bernard Constantin, Claude Rolle, Christophe Muller, Alain Merle, Vincent Leroux, Jean-Paul Lacombe... Certains sont toujours des habitués des lieux. «Aujourd’hui, nous avons beaucoup de Lyonnais des Brotteaux, du sixième et de la Croix-Rousse. Certains ont de gros moyens mais ils préfèrent le Clou à d’autres clubs plus huppés car ils apprécient ici le coté sympa, convivial, bon enfant, sans le moindre snobisme», précise Maria Monnet.

DIS-MOI OÙ TU JOUES... Les parcours préférés des peoplePromoteurs, industriels, chirurgiens, avocats... Les figures de la vie lyonnaise ont pris l’habitude de croiser le fer sur les fairways. Du GC Lyon à Salvagny, du Clou à Mionnay, enquête sur les traces de nos chers people.

André-Claude Canova traboule sur tous les golfs dont il est l’invité

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Le Golf Club de Lyon, d’Oullins à Villette-d’Anthon

La propriétaire du Clou fait sans doute référence au GC Lyon. Pourtant, le plus huppé des clubs de la région a beaucoup évolué depuis sa création, en 1919, par Madame Edmond Gillet, sur les communes de Saint-Genis et Oullins. A l’époque, le terrain de Montlouis est le point de convergence d’une certaine bourgeoisie lyonnaise. Un microcosme au sein duquel brillent Lili de Querezieux, Xavier de Boccard, Ferdinand Guérin, Augustin Isaac, Henri Alibaux (champion de France amateur 1950)... et qui réunit les familles Streichenberger, Visseaux, Bouvier, Damour, Anselin, Gontard, Mital... Au début des années 60, le GCL recense moins de 230 membres lorsque les terrains de Montlouis sont frappés d’expropriation, victimes du projet - éphémère - de contournement autoroutier de l’A7. Visionnaire, le président Georges Roque décide

de déménager le club à Villette-d’Anthon, aux confins du Rhône, de l’Isère et de l’Ain. «Ce transfert a constitué une étape majeure dans le développement du club, au même titre que la création du parcours des Sangliers, en 1991, par Jacques Gontard», souligne Christian Martin, président de la SA depuis 8 ans - il a succédé à Jacques Spicq - mais membre du GCL depuis 1956. Aujourd’hui, le club regroupe 850 cotisants actionnaires, dont le président de la Fédération française de golf en personne, Jean-Lou Charon. «On a une liste d’attente d’une quarantaine de noms. Les nouveaux membres, parrainés, sont pris au compte-goutte. C’est à ce prix que nos adhérents peuvent jouer quand ils veulent, comme ils veulent, sans starter», insiste Christian Martin.

Concentré de people

Parmi ces privilégiés, beaucoup d’«anciens» de la maison comme Eric Bénédic, Yves Anselin, Jacques Dalloz, Roger Desautel, Jean-François Perrier, André Persillon, Jean Vilar... «Mais le club connaît depuis dix ans une révolution interne avec l’arrivée d’une nouvelle génération, des quadras, des chefs d’entreprises, des professions libérales, des industriels de l’Est lyonnais... Ce brassage a dynamisé et modifié l’image du club», se réjouit le directeur du GCL, Frédéric Barba. Sur les greens des Sangliers, vous risquez ainsi de putter avec un promoteur en vue (Jean-Claude Condamin, Pierre Nallet...), des concessionnaires auto (Xavier Gauduel, Frédéric Bouillé..), un avocat élu (Richard Brumm) ou des non élus (Richard Bret, Nicolas Bourachot, Alain Arno Julien...), des régisseurs (Patrice Rosier, Jacques et Patrice Pédrini), un dentiste (Franck Sayac), un notaire (Jacques-Louis Alcaix, Raymond Marmey...), des communicants (Carole Dufour, Francis Truchot, Louis-Eric Beckensteiner, Jacques Chalvin), un architecte (Albert Constantin), un nutritionniste (Georges Devesa), des restaurateurs en activité (Guillaume Mouchel, Jean-Paul Lacombe) ou à la retraite (Vincent Carteron), un éditeur (Hervé Bal). Au tee de départ des Brocards, d’autres figures de la vie lyonnaise vous attendent, à l’instar d’Olivier Ginon, Norbert Dentressangle, Pierre Roset, Olivier Balas, Jean-Pierre Dini, Rémi Brochier, Stéphane Cerdan, Benoît Licour, Vincent Carteron, Yves

Revol, Georges Périllat, Pascal Blache, Erick Rostagnat, Christian Roure, Philippe Magert, Bernard Trux, Pierre Doucet...

900 fidèles au Gouverneur

Un inventaire à la Prévert que l’on ne risque pas de réciter au Beaujolais, à Chassieu ou au Gouverneur. Fondé en 1989 par maître Raymond Marmey, le club de Lucenay a vu partir au fil des ans la plupart de ses membres influents depuis son acquisition en 1996 par la famille Eyraud. Plus à l’Est, les «people» lyonnais semblent rebutés par l’environnement du terrain chasseland, en bout de piste de l’aéroport de Bron. Le chanteur-guitariste et ancien compagnon de route de Jean-Jacques Goldman, Michael Jones, vient toutefois assumer ses origines galloises sur ce parcours qui ne manque pas d’intérêt. Quant au Gouverneur, immense resort golfique implanté sur l’ancien domaine du gouverneur de la Dombes, il séduit de plus en plus de pratiquants (900 membres) avec ses 45 trous parcours et ses infrastructures confortables, sans rouler les mécaniques. Parmi ses habitués, quelques figures du monde économique comme Charles et Philippe Frantz (groupe Reel), fidèles élèves de Lamberto Capoccia, Jean-Luc Wagner (Gifetal), Bruno Laval (BMW 6e Avenue), Dominique Juge (Leansey Management), Gilles Cerere (Fnaim), Laurent Prost Bouc (Optique Chagrot), Christelle Champion (CohéSens), le banquier Alain Parra d’Andert, l’ancien DG d’Apicil, Jean-Yves Guyon (Enaxion), l’organisateur d’Ovalgreen, Jean-Claude Pietrocola (MSP), ...

Lyon Verger dans l’expectative

GCL. Christian Martin, président et Frédéric Barba, directeur

Le practice du GouverneurPh

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EN•COUVERTURE DOSSIER GOLF Le golf de Lyon-Verger, dessiné comme son nom l’indique

sur une exploitation fruitière de Saint-Symphorien-d’Ozon, au sud de l’agglomération, n’apparaît pas plus bling-bling. Sous l’impulsion de son président-fondateur, Jacques de Préneuf, le club a davantage construit sa réputation sur la qualité de sa formation (Hubert Sauzet, Pierre Malartre) et sur ses performances sportives que sur ses soirées paillettes. Revendu en 2008, il dispose aujourd’hui de 27 trous et son actuel propriétaire, l’investisseur corse Ange Rossi, souhaite implanter un complexe hôtelier de 25 000 mètres carrés (215 chambres) pour accueillir les Championnats du monde de bridge 2017. L’ancien entrepôt à pommes a été rasé, tout comme le club-house, mais le chantier est aujourd’hui au point mort, laissant les

600 membres dans l’expectative, dont les fidèles de la première heure comme Jean-Pierre Vibert, Jean-Luc Mallinjoud, Michel Boucharlat, Thierry Gonon ou Joël Creusy.

Salvagny rayonne à l’Ouest

Des états d’âmes que ne connaissent pas (ou plus) les actionnaires de Salvagny. Longtemps considéré comme le «club des nouveaux riches», le club tourellois a vu ses effectifs évoluer - et s’étoffer - depuis sa création, en 1989, par le promoteur Michel Gonnet. Proche du dépôt de bilan à l’été 1994, le golf chic de l’Ouest lyonnais

affiche aujourd’hui une santé resplendissante, tant sur le plan sportif que financier. La preuve ? Le club vient de rénover entièrement son club-house. Un investissement lourd autofinancé, tout comme la future extension du bâtiment, l’arrosage automatique, l’agrandissement du practice, la réfection des bunkers... De quoi combler les 700 membres et les 150 jeunes d’une école de golf parmi les plus performantes de France. «On n’est pas en

recherche de nouveaux membres. Pour l’instant, on se contente de remplacer ceux qui partent», confie le président de la SA du golf de Salvagny, Philippe Bollard, dentiste soucieux de rajeunir une moyenne d’âge flirtant avec la soixantaine. Quitte à consentir jusqu’à 50% de réduction sur les cotisations annuelles pour les jeunes actifs de moins de 40 ans. Un profil en voie de disparition... Si les bolides du cador de la chirurgie esthétique, Franck Trepsat, ont déserté le parking tourellois pour lécher le bitume helvétique, d’autres pontes de la médecine opèrent encore sur les greens locaux, à l’instar de l’urologue Arnaud Cherasse, du chirurgien vasculaire Laurent Varenne, de l’endocrinologue François Robert ou du pédiatre Patrick Carlioz. Le week-end, André Gontard, ancien président de la Ligue Rhône-Alpes, prouve a son fils, Guillaume, qu’il reste un expert du petit jeu, croisant au détour d’un trou quelques figures de la vie économique lyonnaise, du transporteur Henri Alloin à l’expert-comptable Jacques Ricol, en passant par le promoteur Jean-Pierre Gagneux (Sixième Sens), Jean-Claude Carquillat (Fiducial), Yves Matton (Régie Partenaire), Maxime Visseaux (HSBC), Gilles Copin (EM Lyon) ou Denis de Bénazé (Idrac). La famille Pitance est aussi très présente à Salvagny, tout comme Denis Trouxe (Office de Tourisme de Lyon), les frères Morreale (Nicolo et Franco), Frédéric Frerejean (Axa), le notaire Alain Gidon, Nicolas Maublanc (Autoplan), Jean-Yves Krief (Vitacuire), l’ancien président de l’AS Hervé Genand ou l’intendant de l’OL, Guy Genet. Golf Club de Salvagny. Philippe Bollard , président et François Tirard, directeur

Corrençon en Vercors. Un petit chalet loti à deux pas du golf où Gérard Collomb va taper quelques balles à train de sénateur en compagnie de son beau-père Alain. Gégé et Caroline initiant Clémence en juillet 2007

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EN•COUVERTURE DOSSIER GOLF

TARIFS

GOLF CLUB DE LYON (actionnaires)

GOLF DE SALVAGNY

GOLF DU GOUVERNEUR

GARDEN GOLF MIONNAY

BLUE GREEN LYON CHASSIEU

GOLF DU VERGER

GOLF DU BEAUJOLAIS

GOLF DE MIRIBEL-JONAGE

GOLF DU CLOU

INDIVIDUEL TEMPS PLEIN

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GREEN-FEE SEMAINE

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GREEN-FEE WEEK-END

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CARTE AFFAIRES (pour 2 droits de jeu)

5400 HT (droit d’entrée de 3 000 €)

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3670 HT

1950 HT

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4018 HT

3357 HT

NON

2700 HT

Mionnay parie sur Golflower

A Mionnay aussi, la «crise du golf» a fait des dégâts, jusqu’au dépôt de bilan en 1993. Racheté d’abord par un petit groupe d’actionnaires historiques (Gérard Fugier, André Gabert...), le club a été repris en 2008 par Thierry Rota (Tekka), l’ancien industriel André Zamora (Seignol) et le restaurateur Armand Méchali (La Table des Dombes). Ce trio improbable a investi près de 6 millions d’euros pour créer le plus grand centre d’entraînement de France, Golflower, géré depuis l’an dernier par Nouveau Golf de France. Rebaptisé « Garden Golf de Mionnay », le club dombiste voit Michel Noir et

son épouse Danièle partager souvent une partie avec le chirurgien plasticien et ancien président du club, Bernard Dessapt. Autres habitués des lieux, l’ex-patron de la PJ lyonnais, Michel Neyret, Laye Diop (Hilton), plutôt adroit avec un driver (malgré quelques entorses au dress-code golfique) et Serge Gradante (CKleen) croisent sur les fairways l’architecte Jacques Vouillloux, Jean-Paul Carillon (Acmis International), Marc Balay (Sogelym Dixence), Lawrence Defay (SEC), Bernard Mottet (Cedeo Finance), Fabien Guitelmacher (Christin), Franck Avazery (F.A. Consulting), Xane Xunebane (Troopy), Bruno Périnel (Idrac), Bruno Lebuhotel, le restaurateur Jean-Louis Manoa...

Autant de personnalités aux profils hétéroclites dont le seul parcours commun mène à un drapeau planté au milieu d’un bout de gazon.

Le Golflower Training Center de Mionnay

Le Golf de Salvagny affiche une santé éclatante à l’image de son gazon verdoyantMichel Neyret golfe sur les parcours du département de l’Ain

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EN•COUVERTURE DOSSIER GOLF

Grand sondage en ligne

LE PLUS BEAU SWING DE LYON Pour eux, le golf est une passion. Incontournables sur le circuit golfique du Grand Lyon, ils rivalisent d’adresse aussi bien sur le plan relationnel que sportif. Nous vous avons laissé le privilège, chers lecteurs et internautes de Lyon People, de désigner l’assureur Frédéric Frèrejean comme le meilleur d’entre eux.

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RICHARD BRUMM / 21 votes

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ANDRÉ-CLAUDE CANOVA / 22 votesSTÉPHANE CERDAN / 24 votes

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ALBERT CONSTANTIN / 18 votes

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FRÉDÉRIC DIETSCH / 26 votes

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RICHARD BRET / 60 votes JACQUES CHALVIN / 51 votes VITO MORREALE / 43 votes

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XAVIER GAUDUEL / 85 votes

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LAYE DIOP/ 114 votes

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FREDERIC FREREJEAN/ 643 votes

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PIERRE NALLET/ 218 votes

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HERVÉ BAL / 41 votes RICHARD GUGLIELMI / 31 votesPHILIPPE LIUCCI / 37 votes MATHIEU PÉDRINI / 36 votes

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BENOIT LICOUR / 29 votes MEHMET MERIC / 27 votesBERNARD RIVALTA / 28 votes NICOLAS TROMPILLE / 28 votes

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EN•COUVERTURE DOSSIER GOLF

FRÉDÉRIC FREREJEAN Le géant vert Consacré «plus beau swing de Lyon» par les internautes sur lyonpeople.com, l’agent Axa (index 2) assure sur les greens comme dans sa vie professionnelle. Un plébiscite qu’il aura l’occasion d’arroser lors de la deuxième Frerejean-Maublanc Classic, en juin, à Salvagny.

Les mauvais esprits vous diront qu’il est plus facile de driver à plus de 280 mètres lorsqu’on dépasse d’une tête ses petits camarades de jeu. Certes, lorsqu’il vous salue, Frédéric Frerejean culmine à près de deux mètres, dépasse le quintal,

vous broie les mains avec des «paluches» larges comme un gant de base-ball et chausse du 49 fillette. Mais le grand vainqueur de notre sondage n’a pas que son physique avantageux pour fracasser les parcours de la région. «Il faut se donner la peine de réussir», sourit l’agent Axa, qui avoue consacrer l’essentiel de ses week-ends à son «passe-temps» favori, entre la compétition dominicale, l’entraînement du samedi avec l’équipe 1 du Golf de Salvagny, les seaux de practice, le soir, en semaine, avec le pro Dominique Péné et les séances de travail dans le studio vidéo de SwingLab, à Champagne-au-Mont-d’Or. A 44 ans, l’assureur lyonnais estime arriver à maturité (du moins sur le plan golfique), lui qui a été initié aux subtilités du swing, il y a vingt ans, par son ex beau-père, André Gontard, alors président de la Ligue Rhône-Alpes de Golf. «Il m’a dit que si je voulais épouser sa fille, Brune, je devais me mettre au golf !». Banco... En un an, sous la houlette de

ce mentor de choix, Frédéric Frerejean affiche un handicap de 15. «Mon beau-père m’a appris que pour progresser, il fallait d’abord soigner son petit jeu». Un conseil qu’il s’est évertué à mettre en pratique pour baisser progressivement son index, désormais stabilisé autour de 2 grâce à un putting de feu. «Maintenant, il faut que j’améliore mon jeu de fer sur les attaques de green», estime-t-il, conscient qu’il devra être au top, fin juin, à Châteauroux, pour mener l’équipe Mid-Am de Salvagny (plus de 35 ans), dont il est capitaine, en première division.

Un commando de chocSa team est composé de Maxime Visseaux, Guillaume Gontard, Nicolas Meynaud, Philippe Bollard, Aymeric et Renaud Laurent, à l’origine de ses plus belles émotions golfiques, il y a deux ans, lors de la montée en D2. Scène de liesse collective qui tranche avec la mésaventure survenue quelques années plus tôt, au golf du Coudray, en région parisienne. «J’ai tenté un coup impossible contre une clôture. Le club a heurté le barbelé, s’est cassé en deux avant de se planter dans mon pouce. Résultat, quelques points de suture pour un épisode aussi douloureux que ridicule...». Dans la région, notre géant

vert apprécie notamment le parcours de la Bresse, dans l’Ain, ainsi que celui de Seignosse, au Pays Basque, alors que le 17 d’Albon - un long par 5 - figure en pole position de ses trous favoris en Rhône-Alpes. Des terrains qu’il aime fouler à l’aube, lorsque la nature s’éveille sur des fairways encore luisants de rosée. «Prendre un départ entre 7 et 8 heures, le matin, permet aussi de concilier sa passion avec la vie de famille», concède l’assureur du cours Lafayette, soufflant au passage que le golf est un excellent moyen de soigner son relationnel en s’amusant. « Il n’y a pas mieux pour développer son activité commerciale et de traiter des affaires. D’ailleurs, beaucoup de mes clients jouent au golf et j’encourage les autres à s’y mettre !», lance l’agent Axa. Ce dernier envisage de pousser le zèle jusqu’à créer des produits d’assurance dédiés aux golfeurs, notamment pour couvrir le vol ou la casse de matériel. Une offre originale que cet amateur de gros modules - président-fondateur du Cigares Club de Lyon - aura l’occasion de promouvoir le 15 juin prochain, date de la deuxième Frerejean-Maublanc Classic, compétition organisée à Salvagny avec son ami Nicolas Maublanc (Autoplan). Un événement idoine pour arroser son nouveau statut de «plus beau swing de Lyon»...

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EN•COUVERTURE DOSSIER GOLF

Région Rhône-Alpes LES 10 PLUS BEAUX TROUS Quel est le trou le plus technique ? Le plus esthétique ? Le plus excitant ? Qui mieux que ceux qui travaillent quotidiennement dans les golfs rhônalpins pouvaient établir un palmarès crédible des dix plus beaux trous de la région. Lyon People a ainsi sollicité tous les membres de la PGA Rhône-Alpes pour réaliser ce sondage inédit et riche d’enseignements. Grand vainqueur de ce référendum, le trou numéro 2 du golf d’Evian est plébiscité devant le 15 du Breuil (Gouverneur) et le 6 des Sangliers, à Villette-d’Anthon. 1

Trou numéro 2 d’EvianUn amour de trou, romantique à sou-hait, apprécié des pros comme des amateurs. Dans le cadre enjôleur de l’Evian Golf Championship, face aux eaux bleutées du lac Léman, un par 3 de 151 mètres avec un départ surélevé plongeant sur un green bombé aux pentes redoutables. Ici, le choix du club est crucial pour pitcher sur le green et éviter de dévaler dans l’un des profonds bun-kers.

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2Trou numéro 15 du Breuil (Gouverneur)Un trou en forme de presqu’île, à la fois sublime et oppressant. Un sacré challenge apprécié des gros frappeurs qui peuvent espérer tou-cher le green en 2 mais redouté des joueurs moyens. En effet, après un solide drive, le fairway se rétrécit dangereusement à la retombée du second coup. Le moindre slice, le moindre hook et... plouf !

3Trou numéro 6 des Sangliers (GCL)Un redoutable par 4 pour gros bras. Le tee de départ, surélevé, exige puissance et précision avec la forêt sur la droite et un obstacle d’eau naturel sur toute la partie gauche du fairway. Un drive de plus de 200 mètres est nécessaire pour espérer attaquer le green - large mais peu profond - avec un long fer au dessus de l’eau. Sinon, mieux vaut assurer le bogey avec un coup de recentrage...

Trou numéro 17 de ChamonixUn régal pour les yeux que ce par 5 relativement court, en léger dog-leg à droite, avec un tee de départ face au massif du Mont-Blanc. Un bon drive sur la partie gauche du fairway permet d’attaquer le drapeau en 2 (attention au practice hors-limite à droite), même s’il est compliqué de tenir la balle sur ce petit green en forme de dôme défendu par un bunker et un accueillant bosquet d’arbres à gauche.

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Trou 18 de la BresseUne arrivée en apothéose sur l’un des plus beaux parcours de la région. En léger dog-leg à droite, ce confortable par 5 au large fairway bordé d’arbres remonte majestueusement jusqu’à un green difficile à lire et bien défendu par deux vastes bun-kers.Spectacle garanti devant la terrasse du club-house !

Trou numéro 14 du Breuil (Gouverneur)La hantise de tous les golfeurs, même expérimentés. Un par 4 dont le fairway, en demi-arc de cercle, ne laisse aucune marge d’erreur. A droite, l’obstacle d’eau. A gauche, des buttes de rough. Au centre, un fairway riquiqui à la retombée du drive. Slice et hook interdits ! Même le second coup s’avère anxiogène avec une approche au dessus de l’étang. Faire le par relève de l’exploit...

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Trou numéro 16 de BosseyPas besoin de bunkers pour pourrir la vie d’un golfeur ! La preuve avec ce trou signature d’un parcours adulé par les frontaliers et dessiné par le célèbre architecte américain Robert Trent Jones Jr. Baptisé «Les Milans», ce très long par 3 (195 mètres des boules jaunes) fait bien des misères avec ses bosquets et son green tour-menté à souhait, à attaquer impérativement au bois.Heureusement, la vue sur l’agglomération genevoise est très belle...

Trou numéro 5 des Sangliers (GCL)La forêt sur la gauche, un étang sur la droite du fairway. A la fois technique et magnifique, un très long par 5 (515 mètres des boules noires) où l’eau est omniprésente. Un drive solide - attention au slice ! - est exigé pour avoir une bonne ouverture sur le deuxième coup. Le drapeau, accroché au sommet d’un monticule, est com-pliqué à attaquer. Bref, un petit bogey n’a rien de déshonorant sur ce trou sans concession...

9 Trou numéro 16 d’Evian Une pièce redoutable du «puzzle» haut-savoyard. Entièrement remo-delé avant l’accession de l’Evian Championship au statut de Majeur, ce ravissant par 3 de 142 mètres de défend désormais bigrement avec un green en forme de haricot, collé contre une butte, la présence d’un obstacle d’eau à l’avant et deux larges bunkers à l’arrière. N’en jetez plus !

Trou numéro 3 de MéribelTee de départ sous la piste de l’altiport pour ce toboggan golfique vertigineux. Un trou de plus de 550 mètres - l’un des plus longs de la région - dont le fairway serpente à travers les sapins jusqu’à un immense green entouré de bunkers. Un trou à birdies pour les plus puissants, à pleu-rer pour les plus maladroits.

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Parmi les temps forts de la saison, le Green Velvet en septembre

EN•COUVERTURE DOSSIER GOLF

L’un des plus anciens parcours des Alpes est aussi devenu, au fil des ans, le plus fréquenté par les golfeurs lyonnais. Un club aussi encombré que l’autoroute du Soleil durant la première quinzaine d’août...

Point de ralliement favori d’une certaine élite lyonnaise durant toute la saison hivernale, Megève constitue aussi une destination privilégiée pour de nombreux people du golf régional. Norbert Dentressangle, qui s’est fait construire un pharaonique chalet derrière le green du 16, Xavier et Arnaud Gauduel, Guy et Hélène Moreau, Frédéric Gastaldo, Guillaume Fatton, Pierre-Yves

et Aki Béné, Loulou Porteret et bien d’autres prennent ainsi de l’altitude, dès le début de l’été, sur ce terrain de moyenne montagne ondulant sur les hauteurs de la station. Le sénateur-maire de Lyon, Gérard Collomb, a lui aussi foulé les fairways de la clinquante station haut-savoyarde, même s’il préfère désormais le contexte

MEGÈVE MONT D’ARBOIS L’autre terrain de jeu des lyonnais

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moins bling-bling (et donc plus politiquement correct) de Corrençon en Vercors. Tel n’est pas le cas de son adjoint aux finances publiques, l’avocat Richard Brumm, qui s’est depuis trouvé d’autres partenaires de jeu. Tous ces saisonniers du golf mégevan apprécient le caractère ludique et le cadre bucolique d’un parcours désiré par le baron Edmond de Rothschild, dessiné par le pro anglais Henry Cotton et inauguré au milieu des années 60. Tracé à plus de 1 300 mètres d’altitude sur un plateau à faible dénivelé, il se révèle assez peu exigeant sur le plan physique, beaucoup plus sur le plan technique. «On a rarement les pieds à plat sur le second coup. Il faut donc jouer avec les devers pour espérer toucher des greens délicats à lire car tourmentés, même si les pentes sont toujours orientées vers la vallée», explique Jean-Luc Biset, l’un des pros du club avec Pierre Gagnaire. Les deux enseignants, qui cohabitent tant bien que mal avec l’European Golf Coaching Academy de Fabrice Tarnaud, sont soumis aux cadences infernales durant toute la saison estivale. Sur les tapis du practice, les perfectionnistes lyonnais du swing y côtoient d’autres stakhanovistes de la petite balle blanche en provenance de Paris, d’Italie, de Grande-Bretagne ou de Russie. «Nous avons environ 200 cotisants à l’année. Mais ce n’est pas significatif de l’activité intense qui règne au club durant la saison estivale, notamment durant les trois premières semaines d’août. Certains, qui ne jouent que durant l’été à Megève, préfèrent prendre leur licence au club. Parmi ces golfeurs de circonstance, beaucoup de chefs d’entreprise, avocats, professions libérales... qui possèdent un appartement ou un chalet. Mais on accueille aussi de plus en plus de joueurs du cru, et notamment des jeunes, qui contribuent à la vitalité et à l’animation du club », souligne Patrice Rosier. Ce dernier, président de la SA et de l’AS du golf de Salvagny, dans les années 90, a vendu sa régie lyonnaise pour transférer ses activités professionnelles et sa résidence principale dans les Alpes. A portée de drive de son douillet chalet mégevan, le président de l’association sportive du Mont d’Arbois ne rate ainsi pas une remise de prix, à l’aise en Monsieur Loyal dans son blaser frappé du blason du club. «De début juin à fin octobre, nous organisons plus d’une trentaine de compétitions dotées par de prestigieux sponsors comme Montblanc, Best of the Alps, Colmar, Napapijri, groupe Rothschild,

Sogimalp, John Taylor, Bushnell...». Parmi les temps forts de la saison, la BMW Winter Golf Cup, le prestigieux Pro-Am Baronne Maurice de Rothschild, rendez-vous sportivo-mondain sur invitation (13 et 14 juillet) et le Green Velvet, en fin de saison, bénéficiant de la présence des meilleurs pros français. Autre savoureux événement en septembre, le

Trophée Clarke rassemble autour de Michel Rostang les grands noms de la cuisine et de l’hôtellerie. Quant aux plus givrés, ils ne ratent pas la BMW Winter Golf et la Vacheron Constantin Snow Golf Cup, dix jours en février à swinguer sur les fairways enneigés du Mont d’Arbois. Autre saison, autres plaisirs....

Chantale Jeannelle et Patrice Rosier Le club-house du Mont d’Arbois

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Parcours gourmand TABLES SUR GREENS

Après l’effort, le réconfort... Une journée de golf pleinement réussie ne s’envisage pas sans une halte prolongée au restaurant du club-house. C’est du moins l’avis unanime de toutes les fines

gueules des greens rhônalpins. Les grandes gueules aussi ! «Le golf est d’abord un moment de convivialité, d’amitié, que je n’envisage pas sans un cigare et un bon déjeuner, de préférence à la fin de partie plutôt qu’avant ou pendant ! On constate chaque année les ravages que provoque l’alcool et une nourriture trop riche sur les swings lors de notre compétition Toques & Green (1)...», note en préambule Pierre Nallet (AnaHome Immobilier), en connaissance de cause. Au hit-parade des restaurants de clubs, deux destinations font l’unanimité auprès des épicuriens: Villette-d’Anthon et Condeissiat. «Gilbert Reboul, au Golf Club de Lyon, propose un rapport qualité/prix sans équivalent dans la région», assure Pierre Nallet. Le promoteur lyonnais vante aussi la halte gastronomique de l’ami Christophe Marguin, aux

Echets. «Certes, ce n’est pas sur un golf mais c’est sur la route des golfs... et beaucoup de golfeurs y font une halte prolongée avant d’aller brûler quelques calories sur

les fairways !». Christophe Marguin, justement, qui a frappé ses premières balles sur le practice du Clou, joue

désormais de manière occasionnelle «chez les riches» de Villette-d’Anthon. Lui aussi ne tarit pas d’éloges sur le savoir-faire de Gilbert Reboul, Toque Blanche Lyonnaise

comme lui, qui a débuté il y a 30 ans au GCL et fait toujours le bonheur des membres après deux parenthèses au Gouverneur et à Chassieu. «De la vraie cuisine concoctée par un vrai cuisinier», résume le chef des Echets, également fan du poulet à la crème et des grenouilles du golf de la Bresse. «Des plats de tradition toujours appréciés après un parcours», préparés en Dombes par le chef Jean-Baptiste Marguin (aucun lien de parenté). Son foie gras cuit maison est aussi à déguster sous la charpente en bois du club-house ou, dès les beaux jours, sur l’immense terrasse dominant les greens du 9 et du 18. Editeur du Guide Golfs des Alpes et de celui des Toques Blanches Lyonnaises, Hervé Bal est

doublement compétent pour s’exprimer sur ce sujet éminemment délectable.

En matière de cuisine, le pire côtoie souvent le meilleur dans les club-houses de la région. Bons princes, nous avons passé sous silence les gargotes et autres tord-boyaux pour faire l’apologie des meilleures tables golfiques de Rhône-Alpes avec la complicité de quelques gastronomes avertis. Savoureux.

Gilbert Reboul, chef du GCL Phot

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Le club-house de Salvagny

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EN•COUVERTURE DOSSIER GOLF Il apprécie plus particulièrement «le lièvre à la Royale

et les rognons à la moutarde» de Gilbert Reboul. Pour la bonne bouche, le publiciste cite aussi la cote de bœuf du restaurant le Blanchot, à Méribel, dont il apprécie la terrasse ensoleillée avec une vue imprenable sur le trou numéro 2 lors du traditionnel Drive des Gourmets, en juillet, et la noix de ris de veau de Julien Gatillon, au 1920, le restaurant du Chalet du Mont-d’Arbois, à Megève, repère gastronomique très prisé lors de la Winter Golf Cup, en février. Vincent Besson, le directeur associé de Golf O Max, guide recensant plus de 400 golfs partenaires en France et en Europe, ne reste pas insensible au

restaurant du golf d’Aix-les-Bains et ses «mardis à thèmes» articulés autour d’un quadriptique tête de veau/morue à la lyonnaise/rognons de veau aux madères/boudin noir aux deux pommes. «Le plat du jour est toujours excellent et j’adore la terrasse du club-house, particulièrement agréable en plein été, ombragée et bénéficiant d’une vue très sympa sur le green du 10», précise l’éditeur grenoblois. Autre fin connaisseur du milieu golfique régional, Roland Botella, le rédacteur en chef du magazine Golf Rhône-Alpes, sort des sentiers battus en évoquant le restaurant de la Sorelle, à Villette-sur-Ain. «Je n’ai que des échos positifs de sa cuisine gastronomique à la bonne franquette», à l’instar des écrevisses à la crème ou du suprême de volaille fermier morilles et vin jaune. Le chef, Thierry Volatier, est aussi réputé pour ses grenouilles fraîches persillées et leur gratin dauphinois... Organisateur des sept étapes et de la finale régionale du Trophée Banque Rhône-Alpes, Eric Vernusse a de multiples occasions de tester, de juin à septembre, les tables golfiques. Tout comme Roland Botella, le directeur de la communication de la Banque Rhône-Alpes vante la paëlla de David Marchive, le boss du restaurant de Salvagny. «Sa carte correspond à l’ambiance du club, sans fioritures mais de qualité, avec des formules du jour». Des mets servis dans un club-house flambant neuf avec une sympathique table d’hôtes de 12 couverts et un salon de

20 couverts, en attendant une extension en fin d’année intégrant une vaste salle de séminaires dotée d’une terrasse privative. Philippe Bernachon, qui s’est initié au swing sur le practice du Clou, a passé le relais à sa fille, Julia, inscrite à l’école du Garden Golf de Mionnay. Le maître chocolatier lyonnais profite de ses déplacements dans la Dombes pour se délecter des petits plats d’Armand Méchali, ancien chef de la Table des Dombes, dont le menu gastronomique à 37 €, avec foie gras de canard maison, ravioles de truffe, duo et homard et Saint-Jacques, éventail de magret de canard à la Thaï... fait

saliver golfeurs, non golfeurs et même le commentateur sportif Nelson Monfort, gentleman des greens et fin gourmet, qui s’est régalé lors de sa dernière visite à Mionnay. «De nombreuses entreprises viennent de l’extérieur y déjeuner en semaine. C’est un signe», note Carole Dufour, créatrice et organisatrice de Toques & Green, dont Gilbert Reboul (GCL) demeure toutefois la référence absolue en la matière.

Le restaurant le Blanchot, à MéribelLe Chalet du Mont d’Arbois

Le club-house du Golf de la Bresse

La terrasse du club d’Aix-les-Bains

La terrasse du Golf Club de Lyon

Christophe Marguin aux Echets

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Rendez-vous people LES COMPETITIONS A NE PAS MANQUER EN 2014

Plusieurs dizaines de compétitions sont organisées chaque année sur les greens de la région lyonnaise. Lyon People a sélectionné les plus prestigieuses d’entre elles. A vos agendas !

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L’Ovalgreen est devenu en dix ans le plus gros évènement

golfique de la région

Toques and Green (GCL)Mardi 8 juillet

Sur une idée originale de Carole Dufour, un buffet tous les trois trous concocté par les Toques Blanches Lyonnaises (Marguin, Viannay, Berthod, Viola, Steph’) et cinq vins mys-tères à découvrir au gré du parcours. Dur, dur, le golf ver-sion Pierre Nallet et Nicolas Gagneux...

Ovalgreen (Gouverneur)Jeudi 19 et vendredi 20 juin

Aux manettes, Jean-Claude Pie-trocola et Gaëlle Viegas (Media Sport Promotion). Un rendez-vous musclé avec la présence

d’une quarantaine d’internationaux du XV de France associés aux dirigeants et VIP rhônalpins. Du (très) lourd avec en point d’orgue le dîner de gala où il est de coutume de fêter l’anniversaire de Gérard Collomb.

Pro-Am Sogelym Dixence (GCL)Vendredi 26 septembre

L’un des rendez-vous les plus fermés de la saison. L’un des plus prestigieux aussi

avec la participation des grands patrons golfeurs rhônalpins. En guest-star, plusieurs pros du circuit sponsorisés par le groupe de Jean-Claude Condamin.

Vacheron Constantin Luxury Trophy (GCL) Samedi 21 & dimanche 22 juinDeux tours, deux formules de jeu par équipes (scramble et greeensome) sur deux parcours (Sangliers et Brocards) et une soirée blanche pour célébrer une dotation... brillante !

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Trophée Korloff Gauduel (Salvagny)Samedi

13 & dimanche 14 septembreLe rendez-vous du sport et du cœur. Trois jours de compétition, des soi-rées bien arrosées et une partie de la recette reversée à des associations caritatives dont MBM, présidée par Elie Cunat. Sympa.

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Audi Delorme Golf Cup (GCL)Samedi 27 & dimanche 28 septembreUn rendez-vous bien carrossé de fin de saison. Avant les premiers frimas, deux journées de golf concluent

par un somptueux dîner de gala. Il faut bien faire des concessions...

6 Pro-Am international de Lyon (Gouverneur, La Bresse) Vendredi 3 & samedi 4 octobre

Evincée du GCL et de Salvagny, l’épreuve par équipes lancée par Christophe Cantegrel s’invite cette année sur deux des plus beaux parcours de la région.En prime, une soirée bressane au club-house du Gouverneur.

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Trophée Smart (La Bresse)Mercredi 18 et jeudi 19 juinL’événement co-organisé par Maurice Bettant et Philippe Liucci conserve ses

inconditionnels avec deux compétitions en simple et par équipes. Remise des prix réservée aux noctambules...

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Trophée Banque Rhône-Alpes (Salvagny) Mardi 23 septembreLes 750 participants s’affrontent sur sept étapes régionales afin de se qualifier pour la grande finale sur les greens de Salvagny avec Eric Vernusse en chef d’orchestre. Si vous

voulez faire sauter la banque...

Trophée de l’Idrac (Salvagny)Vendredi 6 juin

Cher à Denis de Bénazé, le tournoi collectionne les bonnes notes depuis près de trente ans. Organisé par deux élèves de l’école de commerce de Vaise, il associe milieux estudiantins et écono-miques. Idéal pour décrocher un stage...

Trophée Maublanc/Axa Frerejean (Salvagny) Dimanche 15 juin

Une affaire qui roule... Spécialiste du service automobile, Nico-las Maublanc (Autoplan) s’est acoquiné au golfeur qui assure, Frédéric Frerejean (Axa) pour créer une compétition riche en sur-prises. Tristes sirs s’abstenir...

Mais aussi le Trophée des Audacieuses (qui monte en puissance), le trophée Marguin, le trophée du Docteur Clown… que vous retrouvez en photos sur www.lyonpeople.com - rubrique Les Fêtes.

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Mais pour cette 11e édition, Jean-Claude Pietrocola et Gaëlle Viegas de l’agence organisatrice Media Sport Promotion, nous réservent bien entendu quelques nouveautés :

un Village délocalisé pour plus d’échanges et de convivialité, un programme revisité, un panel de parrains « transgénérationnels » : Lilian Camberabero, Jean-Michel Aguirre, Yann Delaigue, Sylvain Marconnet, Yannick Jauzion et Imanol Harinordoquy entourés d’une cinquantaine de rugbymen et toujours plus d’animations…Les partenaires fidèles ont bien entendu répondu présent:

Air France, Eiffage Construction Centre-Est, Casino Le Lyon Vert - Groupe Partouche, Gl events, AG2R La Mondiale, le Grand Parc de Miribel Jonage, Answer Compagnie,… Et quelques nouveaux rejoignent déjà les bancs : Setreal, les salons de coiffure Moreno, BNP Paribas, le Domaine Ferraton Père & Fils… Après avoir passé la journée sur les greens, Pierre Viret de « Réceptions de Lyon » vous attendra sous le chapiteau pour le dîner, puis Sylvain Larose prendra la relève aux platines ! Et cette année encore, les dons récoltés à l’occasion du Circuit OVALGREEN, qui se clôturera à Lyon, après avoir fait escale à Saint Etienne, Nantes et Strasbourg, seront reversés à l’Association Le Petit Monde. Ses projets à venir : extension de la Maison du Petit Monde sur le Groupement Hospitalier Est – Hôpital Femme-Mère-Enfant, financer d’autres IRM en jeu à installer dans différents hôpitaux de France (Paris, Nice,

Marseille, Villefranche-sur-Saône, Genève,…), création du projet « Répit » en régions… Le rendez-vous est donc pris !Les équipes de Media Sport Promotion vous attendent le vendredi 20 juin 2014 à partir de 9h00 au Gouverneur - Meeting & Resort Hôtel et Golf du Gouverneur, le paradis nature à 30 km au Nord de Lyon !

Inscription auprès de Gaëlle [email protected]

Plus d’info sur www.ovalgreen.fr

« CROUCH TOUCH PAUSE, ENGAGE »… Le rendez-vous Rugby - Golf de l’année est annoncé !Et les ingrédients qui font la réussite du Trophée OVALGREEN restent les mêmes : des anciens joueurs de XV de France, des entrepreneurs de la région, quelques personnalités, de la convivialité sur les greens, une soirée festive sans égal et une œuvre caritative !

Gérald Martinez et Sylvain Marconnet, au centre, entourés des fils de Jacques Fouroux, Jean-Baptiste et David

La remise du chèque à l’Association Le Petit Monde

Les Partenaires Officiels de l’OVALGREEN 69 2013

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A seulement « un swing de Lyon », le chantier avance rapidement sur le site de l’académie de golf « nouvelle génération ». Dans un cadre de verdure préservé, le parcours de 9 trous s’inscrit dans un environnement naturel boisé. Les

acquis du paysage existant, tel un « Augusta » à petite échelle, vont servir à renforcer les qualités techniques du tracé du parcours de golf, et des challenges de golf créés sur plus de 8 hectares. L’esprit d’ouverture se décline dans chaque composante des lieux, favorisant une accessibilité aisée pour tout un chacun, en premier lieu par un clubhouse confortable, sans comptoir rébarbatif, où l’échange entre les passionnés sur un sujet partagé par tous les intéressés, se déroulera dans une atmosphère décontractée et conviviale. « Vous êtes les bienvenus, et dès vos premiers pas chez nous, vous serez accueillis par un animateur, pour vous guider, pour répondre à vos demandes et attentes. Notre crédo est simple : être constamment à votre écoute » insiste Guy Trocellier, PDG de « Golf Académie & Performance » : « Nous sommes attachés au principe d’ouvrir la pratique du golf au grand public, aux personnes curieuses ou déjà initiées mais désireuses de revenir jouer. Cela n’existait pas dans le Grand-

Lyon, alors il fallait le créer… » Il révèle sa passion sportive et son esprit d’entrepreneur. Associé dans l’entreprise dès la première heure, Michel Niedbala, architecte spécialiste internationalement reconnu dans la conception de parcours compétitifs, tant sur le plan

sportif que sur celui de la performance économique s’est inspiré de ce qui se fait de mieux aux USA. Il développe un concept innovant d’enseignement

et d’ouverture au golf ; cette nouvelle idée propose dès le début une approche individuelle à tout un chacun : le haut niveau pour le plus grand nombre. La société Golf Académie & Performance est née, elle n’aura de cesse de franchir tous les « bunkers » pour atteindre ses objectifs, en respectant le « par »

imposé. « Nous avons su convaincre, car l’ambition de notre démarche est « le golf vient à vous » poursuit Guy Trocellier. Au cours d’un entretien téléphonique récent, Monsieur Jean-Lou Charon, Président de la fédération Française de Golf confie porter une attention toute particulière au projet d’académie Academiagolf. Tout d’abord, ce dossier à été initié alors qu’il était président de la ligue Rhône-Alpes de Golf et il a soutenu ce projet avec une forte conviction.La formule d’enseignement proposée mérite toute notre attention mais il insiste sur le fait que cette nouvelle infrastructure golfique sera à seulement 13 minutes de la gare de Saint Paul par Tram-train, ce qui représente un avantage certain pour toucher le plus grand nombre et contribuer de ce fait à la promotion

du golf à Lyon, à seulement quatre années de la Ryder Cup. Ce concept d’Académie est porté par une équipe de coaching dynamique et performante. Les innovations portent sur une approche globale du golfeur, comprenant

ACADEMIAGOLF « Apprendre le golf »Dans l’écrin boisé du Vallon du « Ruisseau de Charbonnières » à Tassin, l’ACADEMIAGOLF recevra les premiers joueurs au début du mois d’octobre. Jouant clairement l’atout de la proximité, ce nouveau centre de performance souhaite bouleverser les codes et usages.

Guy Trocellier, PDG de « Golf Académie & Performance » et l’architecte Michel Niedbala, concepteurs du projet

Le parcours de 9 trous propose un éventail large de conditions

de jeu, variant les coups d’approche. Son tracé veut apporter du plaisir

à jouer et à s’entrainer.

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la relaxation, la sophrologie, le fitness adapté au golf, l’ostéopathie, délivré par des professionnels. L’innovation se trouve également dans les équipements d’avant-garde qui concernent l’apprentissage, les mesures et les analyses, regroupé en un seul lieu, comme le précise Michel Niedbala, afin d’insuffler : « la mémoire du geste indispensable à toute progression ».Le projet s’inscrit dans une démarche éco-responsable, en ayant supprimé l’arrosage, les pesticides, les fertilisants chimiques,, en effectuant plus d’une centaine de plantations et en recréant un biotope dans un environnement naturel qui remplace les zones anciennement cultivées.

Une pédagogie innovante

de la performance ACADEMIAGOLF a pour ambition de « faire de vous un meilleur joueur de golf ». Golfeur ou nouveau golfeur, chacun bénéficiera du concept novateur car alliant le physique au mental « pour asseoir une technique solide et tournée vers le progrès. » Ainsi se comprend la démarche pédagogique basée sur un accompagnement permanent. Ce « coaching » personnalisé, défini par une équipe de spécialistes soucieuse de transmettre son savoir golfique : un préparateur physique et mental, véritable entraîneur sportif, un professionnel enseignant du golf diplômé, s’appuyant sur une technologie interactive pour créer un « livret» de progression propre à chaque joueurs et un « Master clubfitting » en charge de proposer des clubs sur mesure, adaptés à la morphologie et au style de jeu. L’ambition de la performance se retrouve également dans les équipements d’ACADEMIAGOLF.

Le club-house est doté d’un studio INDOOR équipé d’un système d’analyses et de caméras « haute vitesse », pour pratiquer sur un golf virtuel. La polyvalence de la salle permet une préparation « fitness-golf » et des séances de relaxation. L’académie développe des supports informatiques et des applications utilisables sur I-Phone, I-Pad, I-Pod, Ordinateur) pour améliorer son jeu par un autocontrôle, un auto-coaching.

Yves Espaignet

Renseignements : www.academiagolf.fr

ACADEMIAGOLF 119 bis, route de Saint-Bel à Tassin-la-Demi-Lune

Le practice à étage éclairé, doté de tapis de dernières générations souples, permet de travailler son « swing ». Des greens cibles réalistes sont placés à des distances stratégiques. Un studio de perfectionnement de haut niveau complète l’offre sur le practice.

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E ntre nous, on l’appelle le golf des amis. » Patron de quatre concessions Toyota-Lexus entre Genève et Sallanches, Jean-Marie Degenève se trompe rarement quand

sonne l’heure du tee time. Habitué des fairways européen, le golfeur amateur assure avoir retrouvé « sérénité et plaisir du jeu » à la Sorelle. « Nous sommes fiers de pouvoir renouer avec ces notions de simplicité et de convivialité, tout en respectant l’étiquette du golf », confirme Philippe Venditelli. Homme d’affaire accompli, cet ancien dirigeant d’une société de transport est « tombé amoureux » du site de la Dombes qu’il acquiert en mars dernier. Une transmission en douceur, « familiale », actée avec l’ancien propriétaire des lieux, Jean-Pierre Humbert, également maire de la commune de Villette-sur-Ain. Ce coin de paradis est une merveille de golf à l’écossaise. Sa déclivité naturelle, ses vallonnements et quelques greens pentus raviront les vrais amateurs de golf. Le parcours de 18 trous, un par 72 de 5,7 km, nécessite une poigne robuste dans un gant de velours. Des approches au trébuchet, un putting souple et solide, la Sorelle est un terrain de jeu idéal pour les amateurs comme pour les golfeurs confirmés. Bichonné par la main verte Gilles Genillon et son équipe de jardiniers, le parcours est une balade à part entière. Elle commence au trou n°1, face à l’imposant Château de Richemont, qui vous toise de toute sa

splendeur. A proximité du 13, les vestiges d’une vieille fontaine gauloise rappellent le passé druidique du lieu, quand le Brunetemps voit serpenter son bucolique filet d’eau entre les trous 10 et 11. Pas un bruit, aucun fil électrique à l’horizon. Magique.Pour dompter ce parcours atypique, les apprentis golfeurs passeront par le practice. Ils pourront également s’appuyer sur l’expertise d’Eric Chadouet. Âgé de 35 ans, cet ancien professionnel devenu professeur de golf à la Sorelle confie son plaisir d’intégrer cette belle aventure humaine. « Cela me plait beaucoup d’être au commencement de ce projet avec Philippe Venditelli », confirme Eric. Cette dimension « à taille humaine » est fondamentale pour le nouveau responsable technique et sportif du site. « Il était fondamental de conserver les 16 salariés du site tout en recrutant les meilleurs dans leurs domaines respectifs », explique-t-il. Côté cuisine, le chef Thierry Volatier fait référence dans le milieu golfique depuis près de 20 ans. Blanchi sous la toque chez Georges Blanc, l’homme est indissociable des cuisines de la Sorelle. Le maître décline son savoir-faire autour d’une offre gastronomique de terroir à base de produits frais de qualité. Avec ses 90 couverts, ses 3 salles et sa double terrasse baignée de soleil, le restaurant en cours de rénovation va également se doter d’un confortable espace lounge. A la manœuvre, Aurélie Blatrix Fioc, bien connue dans le monde de la restauration lyonnais et ravie d’accompagner le nouveau propriétaire dans son projet. Patrimoine du golf de la Sorelle, l’imposante bâtisse du XVe qui abrite le club-house, le restaurant et la

boutique concoure à cette sensation d’émerveillement. Avec près de 700 m2 aménageables à l’étage de cet ancien relais de chasse, la salle de séminaire existante (35 personnes) va être réhabilitée autour d’un projet d’une dizaine de chambres d’hôtes porté par Valérie, l’épouse de Philippe. « Si nous sommes très heureux de cet investissement, nous restons dans une logique ‘business’ en visant un équilibre financier rapide et en visant également la clientèle d’entreprise », confirme son mari. Pour ce faire, l’heureux propriétaire a mis les bouchées doubles : création d’une nouvelle charte graphique, création d’un chemin de ronde sur l’ensemble du parcours pour la circulation des voiturettes, renouvellement des outils de tonte, reprise des bunkers… « Nos piliers sont la satisfaction du client, le plaisir et la motivation de nos salariés autour d’une approche économique rigoureuse. » Un cahier des charges respecté à la lettre et quelques belles compétitions à venir, notamment le tournoi Inter Régions Messieurs qui se déroulera du 8 au 11 mai prochain et attirera 200 golfeurs. Autant de marqueurs du renouveau de la Sorelle, même si Philippe Venditelli avoue une légère crainte. « Mon vrai souci, c’est que je n’ai même plus le temps de prendre un club pour jouer. » Que le patron se rassure, les golfeurs de la Sorelle le prennent pour lui.

GOLF DE LA SORELLE01320 Villette-sur-Ain Informations au 04 74 35 47 27 ou sur www.golf-lasorelle.com

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GOLF DE LA SORELLE Un coin de paradis aux portes de LyonA seulement 35 minutes du parc de la Tête d’Or, le Golf de la Sorelle est un écrin de verdure unique sis à Villette sur Ain. Un parcours sportif de 18 trous où activité golfique se conjugue avec art de vivre, entre convivialité et plaisir du jeu.

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LES « CINQ LEADERS » du Golf de la Sorelle

I ls s’appellent Aurélie Blatrix Fioc, Gilles Genillon, Thierry Volatier, Eric Chaudouet et Philippe Marcel. « Ce

sont cinq leaders qui encadrent les 11 autres membres de l’équipe de la Sorelle », confesse humblement Philippe Venditelli. A l’accueil,

Philippe Marcel joue les hôtes sans se départir de sa bonne humeur communicative. Ce super intendant bichonne les golfeurs comme Gilles Genillon bichonne le parcours. Jardinier en chef du golf depuis son ouver ture en 1991, l’homme se souvient la friche qu’était la Sorelle. « Nous avons travaillé d’arrache-pied pour faire de cet endroit ce qu’il est devenu aujourd’hui. » Chez cet homme discret, tout passe par le regard. Notamment lorsqu’il le pose sur les bouleaux, ti l leuls, chênes, frênes, cyprès de Leyland qu’il a vu grandir. Entouré de son équipe de jardiniers, Gilles Genillon s’est impliqué dans le projet de Philippe Venditelli avec le perfectionnisme et la discrétion qui le caractérisent. Formé chez Georges Blanc, le chef Thierry Volatier joue, lui, sa partition gastronomique au golf de la Sorelle depuis le milieu des années 90. L’avis des golfeurs est unanime. La Sorelle est clairement la meilleure table « golfique » de la région. Ses spécialités ? « Grenouilles et volailles de Bresse à la crème, voyons. » Mais pas seulement ! Lors de notre passage, le chef proposait en plat du jour une brochette de lotte au chorizo et ses petits

légumes. Il par tage chaque vendredi après-midi un 18 trous avec les golfeurs de la Sorelle, devenus pour la plupart ses amis. C’est dans cette belle ambiance familiale qu’Eric Chaudouet a rejoint l’aventure. Cet ancien professionnel (2003-2012) transmet aujourd’hui sa passion de la petite balle blanche aux apprentis golfeurs. Invité à jouer l’Open de France (2003) avant sa professionnalisation, le jeune amateur avait alors réussi l’exploit de finir en tête la 1ere journée de compétition. Une première ! Un pedigree long comme le bras que le professeur n’hésite pas à allonger pour il lustrer d’un drive chaloupé ou d’une approche précise ses leçons de golf. Petite dernière, Aurélie Blatrix Fioc arrive auréolée de quelques jolis succès lyonnais. A n’en pas douter, la nouvelle responsable commerciale de la Sorelle va réveiller la belle endormie autour d’une of fre cousue main pour les particuliers et les entreprises. « Nous démarrons une très belle aventure humaine et professionnelle », se réjouit Philippe Venditelli. De ce côté-là, l’homme se trompe rarement.

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Au fil de l’eau, le trou N°10Philippe Venditelli

Le Relais de chasse du XVe siècle abrite le Club House, la boutique et le restaurant du Golf de la SorelleLe trou N°1 fait face au Château de Richemont

Dans une ambiance chic et cosy, le restaurant du Golf de la Sorelle à fait peau neuve

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LE BARTH’ OLOGUEde Ludovic GiulyChaque mois, un illustre représentant du monde sportif s’allonge sur le divan de l’infirmier Barth, ancien interné des hôpitaux de Lyon qui délaisse caméras et micros pour enfiler blouse blanche et stéthoscope. Après avoir joué 18 ans au plus haut niveau, participé à plus de 540 matchs et marqué 110 buts, Ludovic Giuly a raccroché ses crampons de footballeur professionnel en mai 2013. Le capitaine de Chasselay-Monts d’Or Azergues Foot, son premier club, se prête au jeu ce mois-ci sur le divan d’Iceo. Photographe : Saby Maviel

Qu’est-ce que tu fais quand tu ne fais rien?Je me pose dans le canap’ et je regarde pas mal la télé mais plutôt des séries genre « Spartacus ».

C’est facile de vivre avec toi ?Plutôt, enfin je crois, je ne suis pas trop casse-couilles.

Quel est ton tout premier souvenir du stade de Gerland ?Tout simplement mon premier match en pro. J’étais remplaçant, je devais avoir à peine 17 ans et je me souviens de ne pas être rentré, c’était face à Bastia. Quand j’étais jeune, aller voir les matchs ne m’intéressait pas. Ce que je voulais, c’était jouer.

Si tu croises Raymond Domenech demain, que se passe-t-il ?Il ne se passe rien, rien, je ne sais même pas si je le saluerai.

Pourquoi avoir investi à Lyon dans un centre de Waterbike ?Pour être sincère, c’est plus pour ma sœur et ma fiancée. A partir du moment où le projet est beau et me plaît, je fonce ! J’y crois très fort, il y a un très bon business plan, je n’investis pas à l’aveuglette, il faut que ça marche.

Revenir vivre dans la région était pour toi une évidence ?Au départ pas du tout, en fait, je ne me posais même pas la question et puis c’est vrai qu’avec le temps, c’est devenu une évidence de revenir aux sources.

Actuellement, tu joues à MDA Chasselay avec Sidney Govou, lequel des deux vieux est le plus en forme ?Sidney est bien plus professionnel que moi, il s’entraîne énormément. Personnellement, je déteste les entraînements, mon truc ce sont les matchs. Sidney c’est différent, il a besoin de se faire mal, c’est dans son tempérament.

Quel est ton pire défaut ?Putain, je râle toujours ! Sur le terrain, dans la vie, tout le temps ! Et le pire c’est que j’ai l’impression que ça empire avec l’âge.

Quand tu étais petit, à qui voulais-tu ressembler ?Ça va te paraître bizarre mais j’étais fan d’un basketteur, Mickael Jordan. J’avais un énorme poster de lui dans ma chambre. Quand il dunkait, j’avais

l’impression qu’il volait, ça m’impressionnait.

Quelle est la différence entre un joueur de foot de haut niveau aujourd’hui et il y a 5 ans ?(Il réfléchit) C’est compliqué de répondre, les gamins d’aujourd’hui veulent tout, tout de suite, ils ne comprennent pas le sens du mot travail. Pourtant cette génération est beaucoup plus douée que les autres.

Quelles sont les ambitions de MDA Chasselay, ton papa a l’air très investi ?On fait tout pour réussir. Je t’ai parlé de mon investissement dans le centre de Waterbike, c’est pareil pour MDA Chasselay. L’idée c’est d’être au top sinon ça ne sert à rien de faire les choses.

Sans le foot, où serais-tu ?Avant ma carrière, je faisais des ménages avec mon oncle, j’aurais peut-être monté une boîte de nettoyage.

Qui va gagner la Champion’s League ?Difficile à dire mais je vois le Real en finale, mais contre qui…. Chelsea ? Avec Mourinho, tout est possible, il a l’art de préparer ses équipes.

Ton pire souvenir de footballeur, c’est quoi ?La finale perdue avec Monaco contre Porto en 2004, affreux ! En plus il y a eu double sanction car je me blesse au bout de 20 minutes.

Tu pleures souvent ?Plus ! En tous cas de moins en moins. Je m’endurcis sans doute mais c’est dommage, pleurer un bout coup, ça fait du bien.

Quelle est la partie de ton corps que tu détestes ?Je ne me suis jamais posé cette question, je m’en fous complètement.

Et celle que tu préfères ?C’est exactement la même réponse que plus haut.

Si on te trahit, comment réagis-tu ?Oulà, j’ai été beaucoup trahi dans ma vie. Au départ, je sanctionne, après avec le temps j’arrive à pardonner mais qu’une seule fois !

Maintenant on change, c’est toi qui me poses une question…N’as-tu pas envie de voir plus grand qu’OL TV ?

PEOPLE SPORT

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ICEOrestaurant paquebot

147, avenue Jean Jaurès Lyon 7 - 04 72 73 00 00

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LOU - BOURG EN BRESSE Quand les louveteaux dévorent les poulets de BresseDans le cadre de la 26ème journée de championnat de Pro D2, le LOU rencontrait samedi 5 avril ses voisins de Bourg en Bresse, venus en terre lyonnaise bien décidés à créer l’exploit de cette journée. Dans les tribunes, environ 7500 supporters étaient venus participer à cette fête du rugby régionale avec ce second derby en moins de quinze jours. A noter la présence de Jean-Jack Queyranne au côté de Yann Roubert le président du LOU, ainsi que Karim Ghezal, dernière recrue lyonnaise venant du Racing Métro 92. La première mi-temps a été l’occasion d’une démonstration pour nos joueurs. En effet, les Lyonnais infligent à leur invité du jour un sanglant 28-3 à la pause, conclu par 4 essais. La seconde période tourna encore nettement à l’avantage du LOU qui, non content d’avoir déjà le bonus offensif en poche décida de passer au concours du plus bel essai. Le gagnant fut Enrico Januarie le demi de mêlée qui se transforma pour l’occasion en avant, allant percuter les gros d’en face pour conclure un magnifique essai tout en force. Score final: 64-3. Texte : Julien Sanglier - Photos : Saby Maviel

Yann Roubert, président du LOU Rugby entouré de Jacques Sauvageon et Bernard Modat (Renault Trucks)

Isabelle Bernard, Philippe Casanova (Nissan) et Virginie Plaza, directrice de Nissan Bernard

Jean-Jack Queyranne, président du conseil Régional, Marie-Odile Fondeur, directrice du SIRHA, Yann Roubert, président du LOU Rugby et Alain Giordano, adjoint aux espaces verts

Hervé Ruel (Easyteam), Florence Mayet (SFR) et Edouard Perret (Citroën)

Léonard, Mathieu Renaud (LOU Rugby), Jean-Baptiste Maisonneuve (Autocars Maisonneuve) et Hugo

Valérie Fetaud, Franck Isaac-Sibille (LOU Rugby), Laurence Masson (Eurexpo) et Sophie Lemoine

Franck Isaac-Sibille (LOU Rugby), Alain Giordano, adjoint aux espaces verts et Denis de Bénazé (IDRAC)

Jean Burdy (Pernod), Jérémy Castex, pilier (LOU Rugby), Patricia Croze et Marco Macaluso (Pernod)

Eric Giraud (Chez Antonin) et Jean-Marie Nauleau

Isabelle Bernard (Nissan) et Thierry Bouchet (Champagne de Venoge)

Jean-Claude Pietrocolla (Media Sport Promotion) et Guy Mathiolon, PDG de SERFIM

Christophe Etienne (OL Voyage) et Mathieu Renaud (LOU Rugby)

PEOPLE SPORT

B A R • L O U N G E Apéro & Afterwork dès 18h

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Gare des Brotteaux -13, place Jules Ferry - Lyon 6

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INAUGURATION DE LA TERRASSEMARDI 27 MAI

À PARTIR DE 19H00À PARTIR DE 19H00

COCKTAIL DÎNATOIRE

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GASTRO STYLE

Brouillade d’œufs à l’huile de truffes et son canard confit, écume de noisette et siphon foie gras

Tarte fine aux St-Jacques et Chorizo « Interdit » chocolat lacté passion, caramel et whisky

Plateau de choix pour rendez-vous ultra-VIP. Autour du maître Fabrice Bonnot, épaulé par son chef de rang Raoul Dari-Sabi, le showroom d’Arnaud Bernollin s’est encanaillé le temps d’un déjeuner en mode show-biz ! Accompagnée par son impresario Jean-Michel Stazzu, la chanteuse Elodie Frégé venait promouvoir la 18e édition du Printemps de Pérouges aux côtés de sa créatrice et directrice Marie Rigaud. Frédéric Edelstein et son amie Sophie, unis à la ville comme sur la piste aux étoiles, ont quitté temporairement le chapiteau du cirque Pinder pour participer aux festivités. A défaut de fauves, les artistes sont venus avec Banjo, une canaille canine de race Volpino blanc âgée de 2 ans. Dans cette efferves-cence pailletée, le chef Bonnot a régalé les invités autour d’un triptyque de saveurs maîtrisé à la perfection. De l’avis unanime des convives, cette performance sans sunlights ni rappel aurait au moins mérité une standing ovation !

Cuisines Bernollin - 198, allée Viadorée - Anse - Tél. 04 74 67 04 08Cuisines Bernollin - 5, place Puvis de Chavannes - Lyon 6 - Tél. 04 78 93 00 61

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Allure d’héroïne hitchcockienne, la blondeur en moins, Elodie Frégé se déguste comme un plat sophistiqué. Entre le feu et la glace, la sublime rousse avoue son coup de cœur pour Lyon avant de démarrer le déjeuner Bernollin. « C’est une ville dans laquelle j’ai beaucoup mangé, bu et dansé », sourit-elle avec un éclat primesautier irrésistible. Des souvenirs plein la tête, quelques sets magni-fiques au Transbordeur et la découverte de la gastronomie locale. Une préférence ? « Les quenelles », répond sans hésitation celle qui avoue s’être mise à la cuisine tout récemment. Mais l’attachement à la région de cette spécialiste de la bolognaise maison -« mes origines italiennes ressurgissent »- ne s’arrête pas au patrimoine culinaire. L’artiste a travaillé avec l’un de ses fers de lance, le caladois Benjamin Biolay pour son album « Le jeu des 7 erreurs ». « Si l’occasion se représente, je collabore avec lui demain », glisse-t-elle. En attendant de retrouver les studios, Elodie Frégé est en tournée avec son 4e album «Amuse-bouches», empreint d’une esthétique érotico-chic qui mêle avec grâce pop, folk, jazz et samba. Elle se produira le 15 mai au Centre Innovance de Villieu-Loyes-Mollon (01) dans le cadre du 18e festival du Printemps de Pérouges.

LES CUISINES BERNOLLIN invitent Fabrice Bonnot

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Brouillade d’œufs à l’huile de truffes et son canard confit, écume de noisette et siphon foie gras pour débuter. Tarte fine aux St-Jacques et Chorizo pour suivre. « Interdit » chocolat lacté passion, caramel et whisky pour terminer. Le déjeuner Bernollin concocté par Fabrice Bonnot est un précis du savoir-faire du chef. Roannais de naissance, l’homme s’est aguerri chez le triple étoilé Michel Troisgros. Après un passage aux côtés de Guy Savoy et dix années chez « Goumard Prunier », temple de la cuisine marine parisienne, le chef ouvre son concept lyonnais « Cuisines & Dépendances » avec Cédric Le Gouill en 2004. Plusieurs enseignes voient alors le jour : « L’Acte I », restaurant de la rue Ferrandière devenu « L’Entr’Acte », « L’Acte II » situé rue de la Charité et son extension baptisée « L’Appart 68 », espace privatif réservé aux particuliers et aux professionnels pour tous types d’évènements. Un cuisinier de talent doublé d’un entrepreneur hors-pair et d’un homme au grand cœur. En effet, Fabrice Bonnot est également à l’origine du Soupe’R’Bol, une soupe solidaire dont les bénéfices sont reversés chaque année au foyer Notre-Dame des Sans-Abri. Selon les premières indiscré-tions, l’édition 2015 du Soup’R’Bol pourrait se dérouler place Bellecour.

L’Acte II et L’Appart 6868, rue de la Charité - Lyon 2e - 04 78 37 45 02

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« L’art de la cuisine et l’art du cirque sont très proches. » Dresseur de fauves, Frédéric Edelstein sait de quoi il parle. Depuis près de huit ans avec sa compagne Sophie, le couple brûle la piste du cirque Pinder. Une belle aventure qui s’inscrit dans la grande histoire lyonnaise de la famille Edelstein. Lorsque son père Gilbert rachète Pinder en 1983, il est restaurateur, propriétaire de « La Cruche » rue Auguste Comte. La suite appartient à la légende circassienne. Toujours novateur dans ses spectacles, Pinder présente cette année un show inédit pour ses 160 ans. Une mise en scène signée Sophie Edelstein, la sœur de Frédéric. Le dompteur propose notamment un numéro de dressage inédit avec douze lions blancs. Unique au monde. Les chapiteaux déployés quai Perrache, les Lyonnais ont pu découvrir le show du 11 avril au 4 mai dernier. En point d’orgue, une soirée spéciale pour coupler cet anniversaire avec celui des 10 ans de Cuisines & Dépendances autour d’un buffet gastronomique préparé par Fabrice Bonnot ! Lyonnaise jusqu’au bout des ongles, la famille Edelstein a décidément un incroyable talent.

L’Entr’Acte - 46, rue Ferrandière - Lyon 2e - 04 78 37 44 84

Fabrice Bonnot et Arnaud Bernollin

Jean-Michel Stazzu, Elodie Frégé, Fabrice Bonnot, Marie Rigaud,

Arnaud Bernollin, Frédéric Edelstein et sa compagne Sophie

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GASTRO / par Nadine FageolSTYLE

S ans autre manière, Yann Tanneau s’empare du sac en kraft avec avidité. Il en pose le contenu sur la planche à découper : de la miche de cinq kg aux jolies boules blondes, du pain sous toutes formes. « Pas assez cuit. Trop gros. Ah,

ça c’est bon… », seul, le pain aux fruits secs destiné au foie gras trouve grâce aux yeux du chef qui en appelle à la rescousse Julien le pâtissier… Après la mutation du décor dans la veine design outdoor tout de monochrome blanc, l’on comprend que se confirme une nouvelle ère pour la plus hype des guinguettes lyonnaises rachetée voici quatre ans par Artur Reversade. Déjà la saison passée on a senti le vent tourner avec l’arrivée au management des lieux de Magalie Sapin Gaillard, aussi dynamique que truculente. À l’observation, on ne peut s’empêcher de penser que la relève de la grande Béatrice Denis est assurée. Adroite, aimable dans le joyeux, Magalie qui a l’œil à tout, veille prioritairement sur le client.

Cette saison, des travaux encore avec la transformation du cabanon mais l’information d’importance reste l’arrivée d’un chef « new look », un certain Yann Tanneau qui, du haut de ses 38 ans, devrait dépareiller dans le paysage lyonnais de la chefaillerie asservie… Tatouages et franc parler, l’homme d’origine aristocrate est, disons déjantée de la particule renvoyée aux calendes grecques pour un nom sans fioriture. Enfant, il a pris goût à la cuisine en trainant dans les jupes de grand-mère qui, pour sauver le domaine en Sologne, avait transformé le pavillon de chasse en maison d’hôtes. Plus tard, une « belle rencontre » décide de sa vie. Au matin d’une nuit de fiesta, pointant un museau

SUR LES PLANCHESDu beau, du bon et du meilleur. Artur le proprio, Magalie nouvelle directrice dans l’esprit Béatrice Denis et l’étonnant chef Yann Tanneau entendent mettre le feu aux Planches au nom d’une certaine qualité. Affaire de parquet à suivre…

UN CHEFet une cuisine

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affamé dans une boulangerie et intrigué par le col bleu, blanc, rouge de Meilleur Ouvrier de France, il ouvre dialogue avec le boulanger qui, contre toute attente, le prend en main. Lui donne rendez-vous à 14h avant de l’expédier au lit. Et, le voilà apprenti pour deux ans. Manifestement toujours en quête de repère quant à l’autorité, il va se frotter à l’armée, pour se retrouver plus jeune soldat en poste au Rwanda puis en Yougoslavie… Au retour, il gagne l’Auberge Grand Maison en Bretagne qui derrière les trois étoiles cache un « élevage à la dur ». Suivra entre autre Senderens à Paris… Dès lors, inutile de préciser un caractère épris de liberté cependant dominé par des valeurs telles que l’ordre, le respect et l’engagement dans le travail. Dans la foulée, il lâche, « je ne suis pas décorateur mais cuisinier », à une certaine esthétique culinaire ambiante, il préfère le respect du produit. Sa cuisine indéniablement léchée, testée dans le contexte d’un restaurant alpin, valide la notion de goût et de respect du produit. Mais on était à cent lieux d’imaginer que la viande estampillée Olivier Metzger fasse son entrée sur la carte des Planches !!! A brûle pourpoint, il demande si nous connaîtrions un producteur local, capable de fournir quatre à cinq kilogrammes de tomates bien goûteuses par jour ! Et l’on tombe définitivement des nues quant on apprend qu’il possède sa propre marque d’huile d’olive grecque.

Indéniablement, on perçoit qu’il va se passer quelque chose aux Planches qui, à l’écoute des membres de l’équipe, entendent ajouter la qualité au caractère prédominant de festif. « C’est un service que tu rends aux gens ; dans l’absolu tout est possible dans la mesure où je considère mon métier comme métier de passion » affirme Yann Tanneau. Sans nul doute, une question de savoir-faire pour lui comme pour Artur Reversade qui, après avoir repéré le chef au caractère bien trempé, vient de passer un mois à orchestrer sa partition aux Planches. Ski études en France, écoles aux États-Unis, en Espagne, université délaissée en Chine, Artur Reversade est enfant de la globalisation, qui à 22 ans, en retient l’essentiel, et à vive allure, « du process à la cuisine, tout doit être abouti. Les Planches doivent rester dans le haut de gamme tout en étant abordables d’autant que nous sommes en période de crise. Les gens, sont habitués désormais à voyager, ils connaissent ce qui se fait dans le monde… ». Discours lucide du jeune homme qui prenant l’exemple des Planches dans le cadre de sa formation en gestion s’entend dire par les banques que le projet est viable. Ceci expliquant cela, Artur est fils de Luc, entrepreneur du bordelais qui a fait ses classes auprès des deux Jean, Lacombe et Caro au sein de l’école bocusienne ! Si à 19 ans, le gamin avoue avoir donné dans l’arrogance, maintenant il se gave de formations, dernièrement dans la sécurité. Un plus du groupe Reversade, chaque personnel

entrant est invité à suivre une formation… Concernant les Planches, l’objectif est ni plus ni moins que d’en faire un lieu fréquentable à longueur d’année, d’ultra festif l’été dans le qualitatif l’été, à 50 couverts choyés l’hiver en raison de la cuisine bistronomique du chef Yann Tanneau. « Pourquoi n’irait-on pas aux Planches comme on va en bord de Marne été comme hiver ? » Sachant que le fil conducteur de la carte sera le produit de saison sur la base d’une carte courte afin de gérer la qualité par la rotation des plats. À raison, d’une entrée, deux plats, un dessert… au bout d’un mois une carte entièrement renouvelée sans oublier les propositions du jour. À l’évidence, il va falloir être sur les Planches pour en suivre l’épaisseur…

LES PLANCHES16, quai Général De Gaulle69250 Albigny-sur-SaôneTél. 04 78 91 30 88. Mardi soirée VIP, vendredi soirée d’jeunes itou itouPlus d’info sur www.lesplancheslyon.com

UNE NOUVELLE SAISON PLEINE DE SURPRISES

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FÊTES STYLE

Chaque jeudi, «L’Effet Mer» se lance à l’abordage

P as question de laisser les Dockers en cale sèche ! Pour sa saison estivale, le Docks 40 largue les amarres chaque jeudi soir autour des soirées « Effet Mer » Le vaisseau amiral de la Confluence a fermé les écoutilles et levé la grand

voile pour accueillir les pirates de la nuit lyonnaise. Le plan de navigation ? Un Afterwork waterproof suivi d’une soirée Clubbing, calibrée pour les loups de mer. Autour d’un bar à cocktail et d’une nouvelle offre de restauration asiatique, le voyage débute et se déguste sans modération sur les terrasses du Docks 40. On se croirait presque en mode farniente sur le pont du Queen Mary, à siroter un excellent rosé au son des notes suaves du saxophone. Une mer d’huile avant les flots démontés de la soirée Clubbing ! Dans l’univers marin du Docks 40, bienvenue pour

un voyage digne de 20 000 lieues sous les mers. A la barre, des DJ’s et chanteuses comme autant de capitaines Nemo, qui vous emmèneront voguer aux quatre coins de la nuit. Afterwork et/ou Clubbing, bienvenue dans « l’Effet Mer. »

Parmi les nouveautés du capitaine, un bar à sushis

Les cales du Docks 40 débordent de trésors ! La nouvelle saison estivale sera l’occasion pour tous les Docksiders de faire le plein de cadeaux et de goodies, mais pas seulement. « L’Effet Mer », c’est aussi la mise en place inédite d’un bar à sushis à retrouver tous les jeudis. Préparés par le chef Antoine, c’est l’amuse-bouche parfait pour faire le plein d’énergie avant de prendre la mer. Pour les moussaillons les plus affamés, le Docks sert non-stop jusqu’à 4 heures du matin. Frais, marin et terriblement

« L’EFFET MER » DÉBARQUE AU DOCKS 40Coups de tabac, vents contraires et turbulences agitent l’établissement des bords de Saône. Un grain ? Non, une tempête ! A la barre des jeudis du Docks 40, le capitaine Julien Mathon et ses flibustiers ont ramené de leur voyage sur les 7 mers un concept unique. Bienvenue dans « L’Effet Mer. »

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tendance ! Quelques belles surprises vont également émailler les jeudis des Docks, avec notamment de belles soirées thématiques, des expos, une American Party qui devrait faire date et un évènement haut de gamme en partenariat avec la boutique GANT.

Le Docks 40, fleuron de la flotte festive lyonnaise

Sis sur les bords de Saône, le Docks 40 est devenu en quelques années le gros porteur de la nuit lyonnaise. Dans le quartier hyper-branché de la Confluence, l’établissement n’en finit pas de réinventer l’offre

Afterwork et Clubbing de la capitale des Gaules. Le projet « Effet Mer » colle parfaitement à l’univers du lieu. Au fil de l’eau, sous l’immense transbordeur qui toise la terrasse, le balai des péniches est un spectacle à la mesure de « l’Effet Mer. » On s’imagine volontiers flâner près du bar à cocktails, une assiette de sushis à la main, à refaire le monde bercé par le clapotis des vagues. A l’intérieur du navire, l’ambiance clubbing prend le dessus. Dans l’univers indus-chic du Docks 40, qui rappelle les paquebots les plus huppés du début du XXe, les marins d’eau douce se muent en terribles loups de mer ! De la croisière s’amuse aux sombres héros de la mer, le Docks 40 est décidément unique.

« L’EFFET MER » présente ses flibustiers

A la tête de l’agence de communication My Lit t le Monkey, Julien Mathon n’en est pas son coup d’essai en terme

d’évènementiel festif. « Le Docks 40, c’est un lieu que je connais d’abord en tant que client, où je me sens bien », glisse-t - i l. L’homme promet d’ailleurs que ses « ‘effets mers’ n’ont rien d’éphémère. » Un projet por té avec Alice Samani, qui gère la communication du Docks 40 depuis deux ans via sa société Bob & Co. « Pour cette thématique, le Docks 40 s’est imposé rapidement et la direction a joué le jeu à fond », confirme Julien Mathon. Sécurité, service, accueil, l’établissement des bords de Saône joue la car te du haut de gamme autour de projets créatifs. C’est le cas des soirées « Ef fet Mer », à retrouver à partir du 15 mai et tous les jeudis de la saison estivale. Pour mener son embarcation à bon port, Julien a pu compter sur un réseau d’expertise hors-normes. Outre Alice qui gèrera avec son professionnalisme contagieux le « faire-savoir », Vladimir da Silva Dias (Thomas Broquet Conseil) élargira les Afterworks des soirées « Ef fet Mer » au B to B. « Parce que le festif n’est jamais très éloigné du business », sourit Julien en connaisseur. Côté Clubbing, c’est Adrien Besançon (In Buzz We Trust) qui tiendra le gouvernail. L’équipe de « flibustiers » pourra également s’appuyer sur l’exper tise d’Anne Prost (Anne Prost Organisation). Cette incontournable de la vie lyonnaise qui viendra chapeauter la fougue de cette belle jeunesse festive et entreprenante. « Notre objectif, c’est de faire des jeudis du Docks 40 une soirée incontournable de la nuit lyonnaise », af firme Julien. Cap au Docks !

«L’EFFET MER» AU DOCKS 40 CHAQUE JEUDI À PARTIR DU 15 MAI

40 Quai Rambaud - 69002 LyonTél. 04 78 40 40 40

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Événements21qu’il ne fallait pas manquerPhotos : Fabrice Schiff & Lionel Pinar

+ de photos sur lyonpeople.com

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MAISON GUYOT Inauguration de la Cave Saint-Antoine La célèbre maison de vins lyonnaise créée en 1919 a reçu plus de 200 invités, clients, chefs d’entreprise, journalistes, commerçants et voisins du quartier pour inaugurer la Cave Guyot du quai Saint Antoine, reprise en janvier cette année (ex Savour Club). Patrick et Nicolas Tayol-Guyot ont dévoilé leur cave, d’une surface de plus de 300m2 et la sélection de plus de 1 500 vins, champagnes, spiritueux et cadeaux autour du vin. La scénographie est belle et soignée, les cavistes sommeliers chaleureux et accueillants présentent les crus par région mais aussi une belle sélection de Vins « Découverte » et « entre amis », de 4€ à 15€. Le clou du spectacle se trouve au fond de la cave, un espace Grands Vins exceptionnel (Romanée Conti, Yquem, Mouton Rotschild, Latour…) et le nouveau « Salon du Château », un espace raffiné pour des groupes de dégustation jusqu’à 25 personnes (Séminaires, entre amis…). Guyot, également producteur et propriétaire de vignobles en Vallée du Rhône (Saint Joseph, Condrieu et bien d’autres…) possède désormais 6 caves (Vaise, Champagne au Mont d’Or, Taluyers, Bourg en Bresse, Genève et Saint Antoine) et nous sommes ravis de pouvoir enfin en profiter en presqu’ile.32, quai Saint Antoine - Lyon 2

OL - JUVENTUS DE TURINRégion Rhône-Alpes Dans le cadre de la rencontre d’Europa League opposant l’Olympique Lyonnais à la Juventus de Turin, Jean-Jack Queyranne, président de la Région Rhône-Alpes a souhaité réunir à Gerland plusieurs acteurs du monde économique, impliqués dans ce projet de liaison ferroviaire Lyon Turin.

PENNONS DE LYON Intronisation de 5 consuls

Jeudi 10 avril, le consul général de suisse François Mayor a reçu les Dignitaires Pennons en sa résidence de Caluire à l’occasion de la prestation de serment des nouveaux Diplomates nommés récemment

à Lyon. Il a ainsi parrainé 4 consuls généraux, tandis que le Connétable Christian Gelpi adoubait Jean-Jacques Rinck, consul des Philippines. La Compagnie des Pennons de Lyon est l’institution historique de Lyon légalisée en l’an 1320.

Mr Hilmi TUREMEN Consul général TurquieMme Maria MENDES Consul Gen PORTUGALMme Chafika EL HABTI Consul Général MAROCMr Clayton STANGER Consul des USA

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Stade de Gerland

LES TRIBUNES VIP d’OL - PSG C’était l’affiche de cette 33e journée du championnat de L1, dimanche 13 avril 2014. A Gerland, l’OL s’est offert le PSG (1-0) au terme d’un match spectaculaire. Après une entame tonitruante et plusieurs occasions franches de Bafé Gomis, c’est Jordan Ferri qui a ouvert le score d’une superbe frappe aux 20 mètres (31’, 1-0). Bien en place, les Lyonnais ont surtout agi en contre face à un PSG contenu et peu inspiré, à l’image de son attaquant Edinson Cavani.

Photos : Fabrice Schiff

Jean-Paul Charbit (Solvimo Ecully) et Delphine Breffeilh (OL Merchandising)

L’horloger Jean-Louis Maier et Maitre Yves Bismuth

Alice de Malliard (Grand Stade) et son époux Hervé (MGA Technologies)

Jacques Matagrin (OL) et Jean-Yves Secheresse, adjoint à la sécurité

Jérôme Martin (Art Martin) et son fils Hugo

Sébastien Leguillou (Moreteau) et Christian Coulot (Renault Lyon Ouest)

Thomas Belleteste (OL) et Jean Burdy (Groupe Pernod)

Mathias Barsumian (Nagabbo) et Aurianne Santini (PVA)

Gérard Collomb, sénateur maire de Lyon et son fils Alexandre

Nathalie d’Ambrosio (OL), Nasser Al-Khelaifi, président du PSG et Jean-François Carenco, préfet du Rhône

Adel Achache, 1er adjoint du 3ème, Yann Cucherat, adjoint aux sports et Karim Matarfi, adjoint aux sports du 8ème

Fleury Di Nallo, Nicolas Kazoglou, Edmond Vidal et Sabine Kazoglou (Université Catholique de Lyon)

Stéphanie Perret (OL), Guy Sidos, sa fille Leatitia (Vicat), Olivier Bernardeau (OL) et Isabelle Bernard (OL Féminin)

Isabelle Bernard (OL Féminin), Jean-Jack Queyranne, président du Conseil Régional et Jean-Pierre Michaux (OL)

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Cité Internationale

Samba sur la terrasse du HILTON LYON L’hôtel 4 étoiles de la Cité Internationale, autour de son directeur Ignacio Rodriguez, lançait sa saison estivale, jeudi 17 avril. L’ouverture de la terrasse du Hilton, évènement incontournable des people lyonnais, a réuni près de 300 invités. Une soirée placée sous le signe du Brésil, avec danseuses samba, cachaça à gogo autour de cocktails cariocas réinventés par Vranken-Pommery et Pernod Ricard, partenaires de l’évènement. Le warm-up parfait avant la Coupe du Monde au Brésil, dont les matches seront retransmis sur l’écran géant qui sera spécialement aménagé sur la terrasse. L’évènement n’a pas non plus manqué de cœur. En effet, le collectif d’artistes lyonnais Birdy Kids a réalisé en live une immense toile dont les bénéfices de la vente iront à l’association du Prado, en faveur des enfants en danger et de l’insertion professionnelle. Photos : Fabrice Schiff

Marie Lextrait (Answer Compagnie), Nathalie Defay (Banque Postale) et Maitre Laure Blanchet

Nicolas Degache (Birdy Kids) et Pierre-Yves Gas (Agence Proxi’com)

Ignacio Rodriguez, Manager général Hilton Lyon, Jean-Grégoire d’Amman (Hilton Lyon) et son épouse Nathalie

Pascal Blache, maire du 6ème et son épouse Christel

Frédéric Olivier, Véronique Hutin (Options) et Yves Rioton (Séminaires Business)

Laurence Marduel (Pfizer) et Ignacio Rodriguez, Manager général Hilton Lyon

Maitre Dominique Fugas (Foch Avocats), Florence et Xavier Graz (Deloitte)

Vincent Picard (Madrange) et Fabrice Hoolbecq (Noaho Immobilier)

Elsa Guezet, Hélène Fernoux et Marily, Ssab (Jurilex)

Guillaume Mathieu, son frère Gautier et Stéphane Peclier (Birdy Kids)Ana Salgado (Sagarmatha), Laure Bourdy (Pierre de Lune) et Natalia Valdes

Jacques Chalvin (Double Mixte) et Pascal Laporte (Ricard)

Jean-Grégoire d’Amman (Hilton Lyon), Sylvie et Victor Vitelli, consul des Etats-UnisL’équipe du Hilton

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06PEOPLE•EVENTS

Bagnols

Inauguration du CHÂTEAU DE BAGNOLS Après plusieurs mois de travaux conduits par l’architecte Albert Constantin, le château de Bagnols a dévoilé son nouveau visage devant plusieurs centaines d’invités triés sur le volet. Ils sont au nombre de 33. Les propriétaires qui se sont succédé à Bagnols n’ont pas tous laissé une marque tangible de leur passage. Ce ne sera pas le cas pour Jean-Claude Lavorel. Posté à l’entrée pour accueillir ses hôtes, il peut savourer les félicitations qui pleuvent. La verrière qui coiffe désormais la cour entièrement repavée a fait l’unanimité tout comme son pavage. C’est là que se tenait le cocktail inaugural de réouverture en présence de nombreuses personnalités. Dans son discours, le fondateur de LVL Médical explique sereinement son projet : faire de Bagnols l’un des plus beaux-châteaux hôtels de France. « C’est une gageure, mais j’ai confiance en mon équipe pour réussir ce pari fou » qui passe aussi par « la réappropriation des lieux par les Lyonnais ». Qu’on sait gourmands. Et c’est là que le chef réunionnais Jean-Alexandre Ouaratta, passé chez Bocuse et Alleno, a fait étalage de son talent en régalant les invités. Dernière phase de la métamorphose de Bagnols, l’ouverture de 5 nouvelles chambres dans le cuvage et du SPA, prévue fin juin. Texte : Marc Polisson - Photos : Saby Maviel

L’horloger Jean Louis Maier et Jean-Claude Lavorel

Marco (Lyon People), Abdelhamid Meniaï, président du Club d’Affaire des pays du golfe et Alain Guilhot, architecte lumière

Gérard Payen (Payen & Payen), Didier Lamblin (Bledina) et Carine Potin-Gorbattoff, assistante de Jean-Claude Lavorel

Emmanuel Imberton, président de la CCI de Lyon, le chef Christophe Marguin, Bernard Buffard (La Sphère des Possibles) et Yves Rioton (Séminaires Business)

Fernand Galula (Immogal) et Hélène Boget (Keops)

Céline Targe (Miroiterie Targe), Sandrine Vivier, Benjamin Lavorel et Amandine Avrillon (Consultance Patrimoine)

Christine Joye (cabinet comptable) et Delphine Lavorel

Pascal Blache, maire du 6ème, son épouse Christelle et le docteur Jean-Louis Monigard

Marco (Lyon People), Philippe Montanay (Maniac Media) et Maurice Fusier (France Info)

Philippe Montanay, Jean-Claude Lavorel, Emilie Pajevic et Jean-Alexandre Ouaratta

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Emmanuel Imberton, président de la CCI de Lyon, le chef Christophe Marguin, Bernard Buffard (La Sphère des Possibles) et Yves Rioton (Séminaires Business)

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07PEOPLE•EVENTS

BARCLAYS BANK inaugure son centre Premier

1, cours Franklin Roosevelt - Lyon 6

L’institution britannique présente à Lyon depuis 1920 a décidé de faire de la capitale des Gaules sa rampe de lancement pour son nouveau concept d’agence haut de gamme qui propose tous les services d’une banque premium équipée de salons de réception et d’une salle de conférence. Un concept conçu pour le cœur de métier de Barclays : la gestion de patrimoine. Un regain de présence à Lyon dans le but de devenir la banque de référence de la clientèle « Premier » en France. La soirée d’inauguration du centre lyonnais était placée sous les signes des arts avec les œuvres du digital artiste Yves Jegard et le chœur Britten dont les performances vocales ont été récompensées à plusieurs reprises, notamment par le Prix Liliane Bettancourt.

Photos : Fabrice Schiff

Christophe Lemonnier (Barclays Bank), Guy Malher, ancien président de la CCI, son épouse Myriam

Evelyne Lafond (Comtext), l’artiste Yves Jegard et Floriane Rigaud (Chœur Britten)

Discours de Jeremy Takle (Barclays Bank) et de Pierre Persico (à gauche) (Barclays Bank)

Jacques de Chilly (Aderly) et Nicolas Farrer (Ekno)

Brigitte Chatenoud et Geneviève Paire (Biennale de Lyon)

Frédéric Algoud (Barclays Bank) et Joan Persico

Jérôme Grilleres (Barclays Bank) et Pascal Leborgne (DCS)

Yann Feminier (Medef Lyon Rhône), Jean-Marc Atlan (Ekno) et Julien Sautot (Barclays Bank)

Marco (Lyon People), Michele et Jacques Domas (Editions HJD)

Gaëlle Villard et Loïc Jacquet et Hélène Vincent (Barclays Bank)

Œuvre : Yves Jegard

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Laure Coutin (Barclays Bank), Albert Dray (Café du Pond) et Delphine Dumaine (Barclays Bank)

Florence Verney-Carron, consul des Seychelles, l’architecte Jean-Yves Arrivetz et son épouse Fabienne (Opteam)

Dominique Nachury, député du Rhône et Gilles Collomb, PDG de Chimicolor

Dominique Daquin (ASUL Volley Ball) et Alain Parra d’Andert (Barclays Bank)

Marie (Jours de Printemps) et Jeremy Takle (Barclays Bank)

Béatrice Chapuis et Katia Lerouge (Chœurs de Lyon & Choeur Britten)

Cécile Michel, Jacques et Catherine Billon Nicole Corti, directrice artistique du Chœur Britten

Valérie Sauteret (Barclays Bank), Carole Giroud, Carole Tricot et Audrey Eglin (Dufresne Corrigan Scarlett)

Jean de Bernardo (Cartier Joailliers), son épouse Françoise et Alain Parra d’Andert (Barclays Bank)

Maitre Cécile Conan, Christophe Fillatre (Publicis) et Valérie Sauteret (Barclays Bank)

Gilles Collomb, PDG de Chimicolor, Marco (Lyon People) et Sedat Kartal, président de la Chambre de Commerce Franco-TurqueLa Team de la Barclays Bank

Centre Premier Barclays, 1 cours Franklin Roosevelt

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08PEOPLE•EVENTS

RAPHAELE DESIGN STORE 23Une inauguration VIP pour le 50e anniversaire

Cours de la Liberté - Lyon 3

Le spécialiste lyonnais de l’ameublement haut de gamme, collections ou sur-mesure, a soufflé ses 50 bougies le 24 avril dernier. Un anniversaire couplé à l’inauguration de son nouveau showroom, sis 23 cours de la Liberté. Baptisé « Raphaele Design Store 23 », cette 3e boutique du fabricant lyonnais est une petite merveille contemporaine. Des canapés, sièges, meubles, lampes et objets de décoration qui vont réveiller vos intérieurs ! A l’invitation de la responsable Sandrine Chausson et de son équipe commerciale, les invités ont pu découvrir en avant-première ce nouvel espace « comme à la maison. » Une soirée VIP en présence du designer Hartmut Bretz, dont les créations inclassables et avant-gardistes sont distribuées en exclusivité chez Raphaele depuis 2011. Photos : val-fpg.com

Raphaele Design Store 23 - 23, cours de la Liberté - Lyon 3e

Raphaele - 8/27 cours de la Liberté - Lyon 3e

Jacques et Marie-Claude Collange et Franck Luel

Pierre-Yves Gas (Proxicom), Axelle (Lyon People) et Philippe Longueville (Les Echos)

Wilfried Vernhes (Soluicar) et Cynthia Bakirdjian (La Cascad’Or), Eric Claes et Chrystele Sismond (Groupama)

Béatrice et Hervé Chuitel (SARL Hervé Chuitel) et Pierre Collange (Pharmacie Bron Genas)

Le designer Hartmut Bretz et Sandrine Chausson, responsable de la boutique Raphaele

L’équipe Raphaele Elisabeth Guillet, Julien Renaud et Zahia Ider (Raphaele) Discours et remerciements de Sandrine Chausson, responsable de la boutique Raphaele et du designer Hartmut Bretz

Le docteur Armelle Chichery et Aurélie Collange

Manuela Scerra (Immo de France) et Stéphane Posa (Securitas) Mélissa Dahan et Jonathan Guetta (Mobilia) Stephane (Intersport Craponne)

et Stéphanie Gagnaire (Brice Robert)

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09PEOPLE•EVENTS

LE GALA MBM au grand cœur

Abbaye de Collonges

Le traditionnel Gala MBM s’est déroulé à l’abbaye de Collonges, le 7 avril dernier. Objectif ? Récolter des fonds au profit des associations Geist 21 et Léon Bérard, destinés aux enfants malades porteurs de trisomie 21, de cancer et de leucémie. A l’initiative d’Elie Cunat, la grande vente aux enchères a réuni le tout Lyon pour une soirée unique de partage et de solidarité. Le cœur des centaines d’invités à battu a l’unisson de celui de l’enfance malade pour un vrai moment d’émotion et de générosité. Le bénéfice dégagé par l’adjudication s’élève à 51 800 euros. En un seul mot : bravo.

Photos : Fabrice Schiff

Michel Lopez, Docteur Perrine Marec-Bérard (IHOP), Elie Cunat et Thierry Monneri (MBM)

Eric Lacourt (ACB), acquéreur du Bocuse d’Or, son épouse (à droite) et Margaux

Le Sculpteur Sophie Monin et Pierre Nallet (AnaHome Immobilier)

Maitre Jean-Claude Anaf et Maitre Jean Martinon

Eric Vernusse (Banque Rhône-Alpes) et son épouse Catherine

Laetitia Pepino (Pack Events) et Flora Breton Vincent Girerd (Vulcain) et son épouse Anne-Sophie Pascal Auclair (FMI) et son épouse Caroline Aline Germain (Citroën)

et Patrice Benoît (Benoît Ciné distribution)

Les invités de Philippe Bernachon Les invités de Lyon People

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Christophe Marguin, acquéreur de l’œuvre de Jaké

Nathalie Henrotte-Bois (Lagardère), Françoise et Joseph Viola (Daniel & Denise), Colette Sibilia

Maitre Jean Martinon, Nicolas Gagneux (6ème Sens Immobilier) et Elie Cunat

Marie-Odile Mattei (France 3 Lyon), Christelle Bardet et Françoise Petit, adjointe au maire du 5ème

Arnaud Bernollin (Cuisines Bernollin), Sébastien Leguillou (Moreteau) et Gilles Demange (Orosa)

Emilien Jeannot (Sport Domicile), Jean-Baptiste Aguettant (Light Air) et son épouse Elodie Arnaud Labedan et Audrey Cunat (BMW Gauduel)

Isabelle Courvoisier (Compass Group), Jean-Pierre Rinaudo (Vulcain) et Anne-Marie Baezner (GL Events)

Gilles Taraquois (Pal Zileri), Valérie Kern (Warwick Reine Astrid) et Jean Sourbes, directeur Warwick Reine Astrid

Fred (Abbaye de Collonges), Géraldine Carret (Elleixir) et Charles Orboin (Abbaye de Collonges)

Pascal Blache, maire du 6ème, son épouse Christel (PBL Finances) et Anne Delaigle (Anne Delaigle)

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10PEOPLE•EVENTS

Musée des Tissus

L’OPÉRA DE LYON s’expose au Musée des Tissus Pour fêter les 150 ans du musée des Tissus et les 20 ans de la rénovation de l’Opéra par Jean Nouvel, les deux institutions culturelles phares de la ville organisent l’exposition « Costumes de légende. » Du 15 avril au 21 septembre 2014, 130 costumes exceptionnels issus des productions les plus emblématiques de l’Opéra de Lyon s’exposent au musée des Tissus. Des pièces de Haute Couture magnifiées par une scénographie conçue et réalisée conjointement par les équipes du musée et de l’Opéra autour de six thématiques, des costumes de scène aux coulisses. La Salle des Tapis a même été transformée en théâtre à l’italienne pour présenter les créations des trois versions de La Flûte Enchantée. Une exposition rare et magnifique, inaugurée le 14 avril dernier par 900 convives à l’invitation du directeur du musée des Tissus Maximilien Durand, du directeur de l’Opéra Serge Dorny et du président de la CCI de Lyon Emmanuel Imberton. Photos : val-fpg.com« Costumes de Légendes, 20 ans de création à l’Opéra de Lyon » - Du 15 avril au 21 septembre 2014 - musée des Tissus et musée des Arts décoratifs - 34, rue de la charité - Lyon 2e - www.mtmad.frOuvert tous les jours sauf lundis et jours fériés de 10h à 17h30 - Chaque dimanche à 15h, visite commentée de l’exposition - Visites commentées sur réservation : 04 78 38 42 02 ou [email protected].

Sylvie Barrault, responsable maquillage/coiffure à l’Opéra de Lyon, Maximilien Durand, Jean-Michel Daly, Serge Dorny et Marie-Claire Noyerie, responsable administration et gestion au Musée des Tissus

Serge Dorny, directeur de l’Opéra de Lyon entouré de Geneviève et Pierre-Henri Watine Discours d’Emmanuel Imberton, président de la CCI

Virginie Decia et Nicolas Scala (Sienne Design), Pascale Mathilon (Serfim), Olivier Fischer (Sienne Design) et Julie Perin Fischer (Artiste plasticienne – Alternatif Art.com)

Jean Canetos (CCI), Emmanuel Imberton, Maximilien Durand, Thibaut Vancraenenbroeck, Jean-Michel Daly, François Royer, Serge Dorny et Alain Fauveau

François Royer, conseiller d’arrondissement du 2e, Emmanuel Imberton, président de la CCI et Alain Fauveau, directeur général de la CCI

Marie Guyon, conseillère du 4e arrondissement, Maximilien Durand, directeur du musée des Tissus et Guillemette Tracol

Aurélie Szlachta (Guide conférencier) et le ténor Arnaud Le Dû

Jean-Michel Daly (Responsable Atelier Opéra) et Thibaut Vancraenenbroeck (créateur des costumes pour « Les flûtes enchantées »)

Agnès Savart (Artcurial Lyon) et Bérangère Magnin (musée des Tissus)

Albéric de Lavernée (Vice-président à l’intégration sociale, département du Rhône) et Joël Madile, directeur de la Communauté Urbaine de Lyon (délégation parisienne)

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Jean Canetos (CCI), Emmanuel Imberton, Maximilien Durand, Thibaut Vancraenenbroeck, Jean-Michel Daly, François Royer, Serge Dorny et Alain Fauveau

Le Verdi

Le Verdi Est 394, route de Genas - 69500 Bron

Tél. 04 78 26 90 00

Le Verdi Brotteaux 13, boulevard des Brotteaux - 69006 Lyon Tél. 04 72 74 29 53

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Ces cinq lettres retracent l’histoire familiale, aux saveurs italiennes, de Victor et Dimitri. Les deux frères tiennent désormais chacun la pelle de leur pizzeria respective,

l’une à Bron, l’autre aux Brotteaux.

A partir du 1er mai aux Brotteaux, service glaces & limonade tous les après-midi

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11PEOPLE•EVENTS

Double Mixte

3e PRINTEMPS DES ENTREPRENEURS Le bouquet final de Bernard Fontanel Dernier temps fort de Bernard Fontanel à la barre du Medef Lyon-Rhône, la 3e édition du Printemps des Entrepreneurs sur le thème « Ensemble.... [oser] [partager] [rebondir] » a réuni 2 000 personnes au Double Mixte, mardi 8 avril 2014. « Ce qui a été bâti perdurera car les chefs d’entreprise ont besoin de se retrouver, de partager des idées et des expériences, de construire ensemble. » Bernard Fontanel le sait. Le Printemps des Entrepreneurs est devenu un incontournable du paysage économique de la métropole lyonnaise. Sa recette ? Offrir aux chefs d’entreprise des rencontres surprenantes et enrichissantes autour de petits-déjeuners débats, de workshops, d’ateliers, d’intervenants aux profils variés et aux parcours étonnants… Un plateau relevé, composé entre autres « guests » de Michel Barnier, Dominique Loiseau, Raymond Soubie, Charles Rozoy, Ludovic Bourgeon, Armel Le Cléac’h, Philippe Rambaud, Pierre Gattaz, Lucien Deveaux, Bruno Rousset, Thierry de la Tour d’Artaise et Michel Godet. Texte : Benjamin Solly - Photos : Fabrice Schiff

Cédric Diogon (MEDEF Lyon-Rhône) et Christophe Bouyer (ISS)

Franck Morize (CGPME), Emmanuel Imberton, président de la CCI et Alain Fauveau (CCI Lyon)

Blandine Peillon (Jours de Printemps), Ronan de Dieuleveult et Alla Poedie (An Conseils)

Thierry de la Tour d’Artaise (SEB), l’horloger Jean Louis Maier et Dominique Leval (Caisse d’Epargne) devant le bar à START-UP sponsorisé par APICIL

Hubert Jaricot (HLJ consultants), Laurent Fiard (Visiativ) et Frédéric Giraud (Malls)

Benoit Soury (La Vie Claire) et Yann Féminier (Medef Lyon-Rhône)

Cyril Courjaret (Lyonnaise des eaux), Guillaume Normand (GDF Suez) et Martin Guespereau (Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse)

Les jeunes Lions de demain en partenariat avec la Banque Populaire Loire et Lyonnais

Jean-Paul Mauduy, président de la CRCI, Lucien Deveaux, PDG de Deveaux Textiles, Bernard Fontanel président du MEDEF Lyon-Rhône, Pierre Gattaz, président national du MEDEF, Raymond Soubie, Président des sociétés de conseil ALIXIO et TADDEO et Thierry de la Tour d’Artaise, PDG du groupe SEB

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Jacques Lauvin (Lafarge) et Isabelle Huguet (Biennale de Lyon)

Virginie Lacroix (Idrac) et Romain Boucaud-Maitre (Chocolats Voisin)

Michèle Hingrez, le général Christian Peraldi et Isabelle Gonon (Byblos)

Michel Barnier, Commissaire européen et Michel Godet, Professeur CNAM et Membre de l’Académie technologique

Jean-Jack Queyranne, président du Conseil régional et Gérard Collomb, sénateur-maire de Lyon

Jean-Philippe Coubard (Felix Faure Automobiles) et Benjamin Renou (Leaseplan)

Laurent Gesse (Axial Agencement) Sylvie Madamour (Vendredi 4), Sylvain Barbier (Evotion) et Florent Verdier (Emirates)

Bernard Fontanel et Jean-Louis Joly, directeur général du MEDEF Lyon Rhône

Emmanuel Imberton (CCI) Bernard Fontanel (MEDEF Lyon-Rhône) et Philippe Guerand (SIER)

Remise des Trophées de la compétitivité en partenariat avec la Caisse d’Epargne Rhône-Alpes introduit par Stéphanie Paix

Nicolas Rossignol (Animateur), Cédric Denoyel (CAPSA,) Nicolas Beytout (L’Opinion), Dominique Loiseau (Groupe Bernard Loiseau), Philippe Rambaud (60 000 Rebonds), Hervé Arnaud (Courb), Alain Prost (Maison Lejaby), Charles Rozoy, champion paralympique du 100m papillon

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12PEOPLE•EVENTS

Avenue de Saxe - Lyon 6

MASERATI MONTE LE SON chez Tedd Connexion Chez le spécialiste lyonnais de l’équipement high-tech, ce ne sont pas les moteurs mais bien les enceintes qui vrombissent ! En effet, Tedd Connexion a ouvert son « paddock » de l’avenue Maréchal de Saxe à la griffe italienne Maserati. Le constructeur automobile transalpin s’est posé sur une série d’enceintes haut-de-gamme du concepteur anglais Bowers & Wilkins. Conçues pour refléter l’opulence distinguée d’un intérieur Maserati, elles sont recouvertes de cuir noir et d’un placage en loupe d’érable véritable, arborant le fameux trident Maserati sur les supports intégrés. Distributeur exclusif de l’enceinte « 805 Maserati Edition » à Lyon, le directeur de Tedd Connexion, Thierry Mestrallet, a réservé la primeur du bijou à près de 70 VIP, le 4 avril dernier. Une soirée organisée en collaboration avec le patron de la concession Maserati de Limonest, Arnaud Gauduel, et son directeur marketing Stéphane Albrègue. Photos : Lionel Pinar

Albert Dray (Le café du Pond), Franck Genthon (Maserati Gauduel) et Nico (Lyon People)

Monsieur Picard (AXA Lyon tech), Madame Picard (Forma learning), leur fille Capucine et Madame Mestrallet (Tedd Connexion)

Brandao (ASSE), Henri Leullieux (B&W) et Johan Mollo (ASSE)

Thierry Mestrallet (Tedd connexion), Jean-Pascal Migenot, Jessy Moulin et Brandao (ASSE)

Pascal Blache, maire du 6ème et son épouse Chrystelle, Thierry Mestrallet (Tedd connexion) et Arnaud Gauduel (Gauduel)

Richard Thavel, Marc Pigeroulet (Arioste immobilier) et Arnaud Gauduel (Maserati Gauduel)

Guy Veyrier du Muraud (Toray) et Lionel Nuney (B&W)

Jacques Bouchet et Sophie Juge (avocat)

Xavier Fize (Tedd connexion) et Christophe Lietot (HSBC)

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13PEOPLE•EVENTS

CRÉDIT MUTUEL MARÉCHAL LYAUTEY Toujours plus « hype » pour ses sociétaires

Confluence

A l’occasion de son assemblée générale mercredi 9 avril, la caisse du Crédit Mutuel de Lyon Maréchal Lyautey recevait ses sociétaires à Confluence, sur la pointe de la presqu’île lyonnaise. C’est au très « hype » Sucre que l’établissement bancaire a présenté comptes et bilan après constitution du bureau et lecture du rapport moral. A la manœuvre, Jacques Leval, président du Conseil d’Administration, Simone Glaçon, présidente du Conseil de Surveillance, le directeur Philippe Maisonneuve et leurs équipes ainsi que Gérard Cormorèche, président du Crédit Mutuel Sud-Est. Un aréopage qui illustre la volonté du Crédit Mutuel d’être toujours plus proche de ses clients. Après avoir épuisé l’ordre du jour, hôtes et invités ont partagé un cocktail dinatoire soutenu par une ambiance musicale avec le groupe « la compagnie de la sirène ». Texte : Benjamin Solly - Photos : Fabrice Schiff

Gérard Minard, Jacques Magat, Alain Motteroz, Jean-Pierre Bessard et Philippe Vorburger, vice-président du Crédit Mutuel Maréchal Liautey

Bruno Mazzega et son épouse Huguette

Jacques Leval, président du Conseil d’administration du Crédit Mutuel Maréchal Lyautey

Stéphanie Morghese (Crédit Mutuel) et Maud Gomez (Bureau Véritas) Jean Moubitang et son épouse Madeleine Hadrien Neumayer et Sidonie Boero

Simone Glaçon, présidente du conseil de surveillance

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Marco Asti (Tartufo), son épouse Valérie (Acteurs de l’économie) et leur fille Marie

Jean-Pierre Bessard, son épouse Nicole et Gérard Cormorèche, président du Crédit Mutuel Sud-Est

Bruno Miotti, Geneviève Marguin (Koguis) et Philippe Maisonneuve, directeur du Crédit Mutuel Maréchal Lyautey

Sylvie Eychenne (Mairie de Caluire), Laurent Eychenne et son épouse Laurence (Auchan Caluire)

Bernard Cœur, son épouse Gabrielle et Bruno Tronel (Agence Tronel)

Pierre Crouzoulon et Jacques Leval, président du Conseil d’administration Crédit Mutuel Maréchal Lyautey

Serge Bouvier, Laurent Bianzani (Ermont) et l’écrivain André Blanc

Charles Combaro (Lagrange), Joanne Peint et Joseph Turzo

Pascal, son épouse Dominique et Luc Noailly (Manpower)

Yves Petit (Y2Pconsulting), son épouse Marie-Frédérique et Hervé Charreat (Crédit Mutuel)

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14PEOPLE•EVENTS

SETREAL passe la surmultipliée

Feyzin

Contractant général, Setreal accompagne les entrepreneurs en recherche d’implantation depuis 1997. Elaboration des plans, études de faisabilité, dépôt de permis de construire, suivi de chantier et réception des travaux, le bureau d’études techniques livre clés en main ! Repris en 2013 par Marcel Prolange et Jean-Luc Remilly, cet acteur incontournable du B to B a fêté au champagne la rénovation de ses bureaux de Feyzin le 27 mars dernier. Réaménagement du site, modification de la charte graphique, refonte des outils internet, Setreal se donne décidemment les moyens pour conforter sa place d’acteur majeur du marché de la construction de locaux professionnels. Photos : val-fpg.com

L’équipe de Setreal : Yvan Fatrara, Magena Moulin, Allain Allais, Jean-Luc Remilly et Marcel Prolange

Jean-François Chetail et Nicolas Balaÿ (DVV Logistic)

Corinne Fée (Sonepar) et Annie Presle (Media Sport Promotion)

Dominique Pinet (Ateliers Guedj) et Laurent Pietrocola (Media Sport Promotion)

Stéphane Duchet (Sofrelex) et Nicolas Forel (Président de Lyon Basket Féminin)

Jean-François Villejoubert (EGBA) et Gaëlle Delsaut (Setreal)

Anthony Taboury (Anthony Automobile), Stéphane Andlauer (Actua Circuit de Lyon) et Jean-Luc Remilly (Setreal)

Philippe Richard (Hyundai Motor France), Armen Nerguisian, Pascal Demirdjian (Audi Delorme) et Stéphane Andlauer (Actua Circuit de Lyon)

Eric Magnat, Yannick Mortier & Denis Crassava (Cabinet Magnat) et Gilbert Maniscalco (Magnat Patrimoine)

Jean-François Chetail, Xavier Tolly (Astrid), Jean-Luc Remilly et Marcel Prolange (Setreal)

Lionel Vericel (Carrefour Market) et Philippe Raphin (Valfimmo)

Le traiteur Florent Garrat en pleine préparation

Sébastien Bernard (OptimHome), Jean-Luc Remilly (Setreal) et Christian Morel (La Voûte chez Léa)

Gérard Turetta (CMD Lyon), Christian Demigneux (Actua) et Stéphane Duchet (Sofrelex)

Jean-Philippe Barral (Groupe Bernard), Marcel Prolange (Setreal) et Philippe Calandrini (Groupe Bernard)

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15PEOPLE•EVENTS

TERRASSES DU POND Une inauguration en mode Flower Power

Place Maréchal Lyautey

Non, Albert n’a pas (encore) transformé la place Maréchal Lyautey en gigantesque champ de ganja. Mais c’est sur le thème très baba cool du « Flower Power » que le Prince a fêté l’ouverture des Terrasses du Pond, le 12 avril dernier. Une ambiance sixties qui a dû rappeler quelques souvenirs à certains ! Les centaines d’invités sont-elles pour autant arrivées « sans un bagage les pieds nus », comme le chantait l’ami Delpech dans White is White. Nenni ! Hippie d’un soir certes, mais pour rendre visite au Prince, nous conseillons plutôt le hippie-chic ! Les convives, qui savent flatter leur souverain, ont respecté à la lettre le dress-code, faisant pour quelques-uns preuve d’un zèle particulier dans le choix de la tenue. Pattes d’eph’, loutches XXL, imprimés souvent douteux mais tellement raccords avec le thème, perruques à gogo et cols pelle à tarte, Albert reste le roi de la nuit lyonnaise. Peace mon Prince ! Photos : Lionel Pinar Charlotte et Alexandra Le bar « Lillet »

Jean Louis Maier, Karine Fontaine et Bernard Aulagne

Michel (Foncia), Lionel (Concordia) et Laurent (Slci)L’équipe « printanière » du Café du Pond

Véronique et Gisèle Nathalie et Charlotte Fanny (Poppet) et Audrey (Perles d’au)

Aïcha, Enzo et Mel Béryl et Annie « L’Espagne » et Anne la « coquine »

Chris (Boutique Chris) et Julie Thomas, Nico et Franck Nicolas et ValérieLouise-Marie et Pauline

Caroline Catoire et Albert Dray

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16PEOPLE•EVENTS

COUPE DU MONDE FEI Les finales de Jumping et de Dressage à Eurexpo

Eurexpo

Equita’Lyon et GL Events placent chaque année la barre plus haut. Le niveau est désormais mondial avec les finales de la World Cup FEI en saut et en dressage. Les meilleurs cavaliers mondiaux étaient présents et le monde de la planète équestre avait les yeux rivés sur Eurexpo ! Défilés de stars et performances permanentes pour cet événement très haut de gamme. Texte : Julien Smati - Photos : PSV Jean Morel & Eric Knoll

Sylvie Robert et Mathieu Viannay Yann Cucherat, adjoint aux sports, Michel et Jaques Robert

Marcus Ehning

Le tour d’honneur Charlotte Dujardin

Podium Longines FEI World Cup Final III

La Finale de la Coupe du Monde Longines/FEI™ a consacré Daniel Deusser

Les officiels lors de la remise des prix

Lorenzo a assuré le spectacle durant le dîner de galaLes cavaliers du CSO

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17PEOPLE•EVENTS

LE NOVOTEL CONFLUENCE lance ses soirées Jazz

Lyon Confluence

En partenariat avec le Hot Club de Lyon et Jazz Radio, l’hôtel 4* des rives de Saône a lancé ses soirées Jazz le 24 avril dernier. A l’invitation du directeur du Novotel Lyon Confluence Thierry Roussel, près de 300 invités ont inauguré ce grand rendez-vous musical et gourmand, à retrouver un jeudi par mois. Au programme : concerts, plancha, cônes à déguster, cocktails, vin au verre… Le tout servi dans l’atmosphère unique du Novotel Café. Avec sa vue panoramique sur Fourvière, la terrasse de l’établissement prend des allures de rooftop new-yorkais vibrant au son des jazz band. Comme un air de Cotton Club au cœur de Lyon. Jubilatoire ! A consommer sans modération les jeudis 22 mai, 19 juin, 17 juillet, 18 septembre et 16 octobre. Photos : Fabrice Schiff

Novotel Lyon Confluence3, rue Paul Montrochet – Lyon 2e - 04 37 23 64 00

Thierry Roussel, directeur du Novotel Confluence et le groupe de jazz de la soirée

Patrick Thery, Solène Legal (Groupe Accor) et Thierry Roussel, directeur du Novotel Confluence

Karim Addadi, guitariste de la soirée, Thierry Roussel, directeur du Novotel Confluence et Gérard Vidon (Hot Club de Lyon)

Marie-Anne Tracol (Novotel Confluence), Nobutaka Nishi et Jessica Boillot (Toshiba)

Clara Tovillon, Jérôme Faccioli et Elodie Saillant (GL Events) Stéphanie Prot (Réseau espace Santé cancer Rhône-Alpes) et Bruce Saez (HEF)

Rémi Reibel (Rhône-Alpes Passions Média) et sa mère Mireille

Christelle Léon (EY) et Nathalie Finot (Réel)

Arnaud Hartemann (ESCE), Carole Lochon (Crédit Coopératif) et son époux Louis (Seiitra)

Brigitte Bonnet, Gérard Vidon et Danielle Perrodin (Hot Club de Lyon)

Sonia Casagrande, Mathieu Mouton et Simone Bischoff (Institut Paul Bocuse)

Anne-Laure Liochon, Julien Liochon (Sécuritas) et Andréa Schiau

249, rue Marcel Mérieux69007 Lyon - 04 78 69 46 26

[email protected]

“La terrasse fait son show” soirée d’ouverture le 22 Mai

R E S T A U R A N T

P I A N O - B A R

T E R R A S S E S

L I E U D ’ É V È N E M E N T S

126, allée du ColombierPont de Saint-Bernard

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18PEOPLE•EVENTS

COMPTOIR DE LA BOURSE Soirée des Ambassadeurs

Rue de la Bourse

« Un grand merci », voilà le message que souhaitait adresser l’équipe du Comptoir de la Bourse à sa fidèle clientèle. Elle a donc régalé d’une belle soirée tous ceux et celles qui promeuvent le bar au quotidien, ses ambassadeurs. Dans une mélodie d’ambiance assurée par le violon de Milena de Barguin, pas moins de 150 personnes ont profité des animations et sont repartis avec en mains, des cadeaux offerts par les partenaires présents. La prochaine grosse soirée est prévue à la réouverture du bar lounge en septembre prochain, après être passé par un relooking total durant l’été 2014 ! Photos : Fabrice Schiff Comptoir de la bourse33, rue de la Bourse - Lyon 2 - 04 72 41 71 52

Dominique Palumbo (BMW Gauduel), Natacha Delpon (Korloff) et Jean-Luc Marcombe (Salengro Automobiles)

Freddie Glans (Baccarat), Gisèle Glalice (Amazonie) et Roger Dreyfus (Soierie Canova)

Aurélie Sanchez (Le phare de la baleine), Catherine Briot (La boutique Rom) et Myriam Magnenet (Le phare de la baleine)

Fabien Chalard et Stéphane Bidois (Comptoir de la Bourse) Stéphane Bidois, Cisco et l’équipe du Comptoir de la Bourse Gilbert Aiassa et Laurent Kobacci (WIT)

Hamida Yahiaoui (6ème Institut) et Sonia Laranjeira (Les Voiles du grand large)

Milena de Barquin (Violin Girl)

Abdel Jebari (Twiggy Vintage Store), Fidji et Jérôme Brune (Les Carnets d’Edouard)

Laurence Devaux, Christine Joly et Marie Barbosa (Le Bal masqué)

Les architectes Raymond Morel et Mireia Real (RM Design)

Hervé Kasbarian (Volvo) et son épouse Aline

Alain Frechet (Moët & Chandon) et Stéphane Bidois, directeur du Comptoir de la Bourse

Christelle Bardet et Sandrine (Café Brésilien)

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19PEOPLE•EVENTS

LE NRJ MUSIC TOUR accoste à Confluence

Confluence

En partenariat avec le Rugby Music Live et NRJ, le pôle de Commerces et de Loisirs de Confluence a accueilli en grande pompe les artistes du NRJ Music Tour samedi 5 avril. Un évènement so unexpected pour une après-midi exceptionnelle avec des stars de renommée internationale ! Autour de la britannique Lily Allen, la station a consacré une émission spéciale « NRJ Music Tour » de 12h à 17h sur son antenne lyonnaise. Le studio de NRJ délocalisé au cœur du vaisseau-amiral de Confluence, la douzaine d’artistes a joué le jeu de la promo et de la proximité avec les Lyonnais avec bienveillance et générosité. Un tour de chauffe dans la bonne humeur avant le grand show du soir au Palais des Sports de Gerland. Photos : val-fpg.com

Cris Cab et l’animateur Lionel Lefebvre (NRJ)

The Shin Sekaï et l’animateur Lionel Lefebvre (NRJ)

Maude

DJ Assad

Cris Cab

Lily AllenCorneille et Lionel Lefebvre (NRJ) La Fouine et la Team BS (Sindy et Sultan)Keen-V et Jérémy Desprets, directeur de Confluence

Kyo : Fabien, Florian, Benoît et Nicolas Thierry Franc (AZIUM), Jérémy Desprets, directeur de Confluence et Alexis Gabreau (Responsable marketing & communication Confluence)

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20PEOPLE•EVENTS

2ème édition TROPHÉES DES SERVICES À LA PERSONNE

Confluence

Plus de 350 personnes étaient présentes le 15 avril dernier à l’UGC Confluence pour la remise des Trophées des Services à la Personne. Organisée par le Sapra (association des services à personne en Rhône-Alpes) avec l’appui de nombreuses entreprises partenaires, cette soirée a permis de mettre en lumière des métiers souvent méconnus et dont nous avons tous besoin ! 300 candidats, provenant de 20 entreprises du secteur, ont été sélectionnés pour les épreuves écrites et seulement 48 ont passés les épreuves pratiques. Dix concurrents ont donc été distingués dans trois catégories : « Assistante de vie », « Intendante de maison » et « Petite Enfance ». L’événement sous le parrainage de Bernard de la Villardière et de la capitaine de l’OL Féminin Camille Abily a été un moment festif et inattendu qui encourage les salariés de ces métiers de liens. Ils seront encore plus nombreux pour l’édition 2015 ! Photos : val-fpg.com

Valérie Escot (BP2L), François Nicolas d’Alincourt, Blandine Peillon, Isabelle Durand (Jours de printemps), Frédéric Neymon (Président du SAPRA), Catherine Marchand et Christophe Gindre (BP2L)

L’équipe de DomiFacile

L’équipe de Jours de Printemps

Nathalie d’Ambrosio (OL), Laurent Arnaud (OL), Camille Abily (OL), Blandine Peillon (Jours de printemps), Sylvain Bourgeois (MEDEF) et Frédérique Plasson Almaraz (ALP Prévoyance)

Anne-Cécile Winckler (Une affaire de Com’) et Isabelle Durand (Jours de Printemps)L’équipe d’Age et perspectives Frédéric Neymon (SAPRA) et Guillemette

Fayet (Directrice de Maintenir)

Les lauréats Olivier Pêpe (OMEGA Service) L’équipe de Madeleine Services

Véronique Cesar Deniaud (IF2M) et Frédérique Plasson Almaraz (ALP Prévoyance)

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21PEOPLE•EVENTS

Lancement en fanfare des mercredis du PLAZA LOUNGEAVEC SCHWEPPES

Massieux

Haie d’honneur des plus belles sportives du moment pour accueillir les milliers de noctambules qui n’auraient en aucun cas raté le lancement de la saison du Plaza. Un rituel qui se reproduira tous les mercredis et mobilisera durant 4 mois les équipes de Pépine et Mika bien décidés à conserver leur domination sur l’apéro du jour des (grands) enfants. Autour de la villa Schweppes et du bar Mumm, ambiance et affluence des grands soirs.Photos : Fabrice Schiff

Florence, David, Baptiste, Damien et Virginie (Schweppes)

Christophe Marguin et Mika Roxanne et Xenia

Hakima et Laetitia Aurélien, Bouly, Nicolas et John Margaux et Aimeline

Clémence et EmilieLauriane, Mélanie et PaulineNakache et ElodiePépine et Marco

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Mike, Alain Dinc (La Tour Rose), 6ko (Comptoir de la Bourse), Michel Neyret et Marco (Lyon People)

Marion, Cynthia, Anaïs et Léa

Rudy, Gersende et Philippe Bernachon Arnaud, Nico (Lyon People) et Christophe Marguin

Valérie, Chris et Pascale Julie, Thomas, Vincent (AperiKlub) et Stanley

Noémie et Morgane Claire, Lucie et Gwenaëlle

Stéphane, Alain Vigneron (Ricard) et Fabien Chalard (Comptoir de la Bourse) Cathy, Christophe et Gamel

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CARNETMONDAIN

Reportage complet sur www.lyonpeople.com – Rubrique Gastronomie

Mariage 24/05/2014 - Elodie Humeau et Erick Roux de Bézieux

Disparitions Dans nos intentions de prière, Monsieur Jean-Claude Mazalon et Monsieur Henri Brevet.

CHANTAL PLANCOULAINE-SANSAVINIL’église Saint Maurice du Chater à Francheville le Bas sous-dimensionnée pour accueillir la famille et les amis de Chantal, venus l’accompagner dans son dernier voyage. Richard Sansavini rend hommage à sa «doudou d’amour » en page 10 de ce magazine. Toute l’équipe de Lyon People se joint à sa peine.

Challenge de la famille Marguin Save the date ! Organisé au profit des enfants du Centre Léon Bérard, le concours de golf de la famille Marguin se tiendra cette année sur les greens du Golf Club de Lyon à Villette d’Anthon. L’an dernier, il avait permis

de récolter 30 000 euros. Programme copieux avec la compétition, le déjeuner au club house puis la remise des prix suivie du dîner au restaurant des Echets, au cours duquel se déroule la traditionnelle tombola du challenge. Mercredi 4 juin 2014Renseignements : 04 78 91 80 04

Promotion de Pâques de la Légion d’Honneur CommandeurLaurent Burelle, président de Plastic Omnium

OfficierThierry Philip, président de l’Institut CurieGilbert Chabroux, ancien maire de VilleurbanneKamel Kabtane, recteur de la grande mosquée de Lyon

ChevalierPhilip Alloncle, préfet délégué pour l’égalité des chancesCaroline Courtiade, présidente de la Chambre des Notaires du RhôneMarie-Paule Dours, directrice de greffe du conseil de prud’hommes de LyonChantal Grolleau, directrice des agences Lyon Ouest de la Société GénéraleAlexandrine Pesson, ancien maire du 5ème

Anne-Sophie Panseri, présidente de la société MaviflexEtienne Quencez, président du Tribunal Administratif de LyonJean-Baptiste Richardier, co-fondateur d’Handicap InternationalClaude Simonnot, co-fondateur d’Handicap International

CEUX DE VERDUN Gala du Centenaire La société chansonnière la Clé des Chants et l’association mémorielle « Ceux de Verdun » leurs descendants et leurs amis honoreront les combattants de la Grande Guerre. C’est à travers un spectacle de chansons que l’hommage sera rendu aux Poilus.Dimanche 18 mai 2014 à 14h30 au Centre Culturel 234, cours Emile Zola 69100 VilleurbanneMétro A - arrêt Flachet Contact réservation : 06.09.68.31.90 et 06.15.20.48.56

Laurent Bouvier, président des Toques Blanches Lyonnaises

Le chef Fabrice Bonnot et la journaliste Odile Mattei

Georges PithioudJean-François Mesplède, le chef Mathieu Viannay et Françoise Bernachon

L’adieu de Lyon à la « Mère Richard »Les funérailles de Renée Richard ont été célébrées en l’église Saint-Bonaventure, vendredi 4 avril 2014. Figure de la gastronomie lyonnaise et des Halles Paul Bocuse, la « Mère Richard » s’est éteinte dans sa 84ème année. « Un être humain qui s’éteint, ce n’est pas un mortel qui finit, c’est un immortel qui commence. » Ces mots empruntés à l’écrivain québecois Doris Dussier, plus connu sous le pseudonyme de « Père Gédéon », font écho à la trajectoire de la Mère Richard. Prononcé par le directeur de l’Institut Paul Bocuse Hervé Fleury, ce propos liminaire à la cérémonie prend une toute autre saveur. Il illustre l’immortalité gastronomique qu’a contribué à façonner Monsieur Paul en donnant à Renée Richard sa patente lyonnaise de « Mère » et qui se vérifie aujourd’hui sur toutes les plus grandes tables du monde. A l’instant d’entamer les réjouissances fromagères, existe-t-il pire faute de goût que de ne pas proposer des Saint-Marcellin de la Mère Richard ? Son savoir-faire unanimement reconnu a été célébré dans l’émotion palpable de ceux qui l’ont accompagnée pour son dernier voyage.

Par Benjamin Solly - Photographe : Fabrice Schiff

Fabienne Lacombe et son père Georges Duboeuf

Raymonde Bocuse et Vincent Leroux

Le chef Fabrice Bonnot et la journaliste Odile Mattei

Georges Pithioud