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Ch.1 : l’offre et la demande globale macroéconomie Avant propos : - les problèmes de la macroéconomie : chômage de masse faible croissance (depuis 40 taux de croissance inferieur a 4%, et depuis 2008 en temps de crise inferieur a 1%) inflation (en 1980 taux d’inflation supérieur a 10% maintenant il n’y a plus d’inflation car politique d’inflation sont inefficace) déficits publics déséquilibres extérieurs (exemple= mouvement des capitaux) Au final, le principal sujet est celle de la performance du pays, qu’on voit a travers la croissance (pour certain cela peut être l’idh).Pour la croissance, on s’intéresse à la longue durée. - les courants de la macroéconomie la révolution keynésienne Crise de 29= dés agrémentation des rapports sociaux. Crise de confiance qui influence les choix des individus= effet collectif Réfutation de Walras : « quand chacun poursuis son objectif= équilibre ». Selon Keynes la poursuite de chacun a son intérêt= crise. Exemple grec avec sortie de l’euro. Keynes dit que l’effet de panique, dans le choix de chacun à vouloir satisfaire son propre intérêt eut avoir des conséquences graves. L’effet des comportement agrégés est diffèrent de la somme des comportements individuels. Le rôles des anticipations : le choix que je fais aujourd’hui dépend de ce que je crois qu’il sera. On investi en fonction de la demande de demain. L’ensemble de ces critique explique le sous emplois (Keynes critique l'analyse néoclassique en terme de marché à travers le concept d'équilibre de sous-emploi, c'est-à-dire que les entreprises

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Ch.1: loffre et la demande globale macroconomie

Avant propos:

les problmes de la macroconomie: chmage de masse faible croissance (depuis 40 taux de croissance inferieur a 4%, et depuis 2008 en temps de crise inferieur a 1%) inflation (en 1980 taux dinflation suprieur a 10% maintenant il ny a plus dinflation car politique dinflation sont inefficace) dficits publics dsquilibres extrieurs (exemple= mouvement des capitaux)

Au final, le principal sujet est celle de la performance du pays, quon voit a travers la croissance (pour certain cela peut tre lidh).Pour la croissance, on sintresse la longue dure. les courants de la macroconomie la rvolution keynsienne

Crise de 29= ds agrmentation des rapports sociaux. Crise de confiance qui influence les choix des individus= effet collectif

Rfutation de Walras: quand chacun poursuis son objectif= quilibre. Selon Keynes la poursuite de chacun a son intrt= crise. Exemple grec avec sortie de leuro. Keynes dit que leffet de panique, dans le choix de chacun vouloir satisfaire son propre intrt eut avoir des consquences graves.Leffet des comportement agrgs est diffrent de la somme des comportements individuels.Le rles des anticipations: le choix que je fais aujourdhui dpend de ce que je crois quil sera. On investi en fonction de la demande de demain. Lensemble de ces critique explique le sous emplois (Keynes critique l'analyse noclassique en terme de march travers le concept d'quilibre de sous-emploi, c'est--dire que les entreprises rpondent de manire suffisante la demande, sans que pour autant le niveau de la demande permette d'absorber la population active dans son ensemble.)Keynes cherche des variables pour viter ce sous emplois, exemple: offre de monnaie; dpenses publiques; variables de le psychologie et de la confiance.Ces variables sont endognes (consommation et investissement), linvestissement est fonction de la demande anticipe, des dpenses publiques, de lpargne.

le post keynsianisme: IS-LM ISIS= C(Y+T+ anticipations) + I (r+ environnement) + G Pour une anticipation de linflation donn, une augmentation de r=) baisse de linvestissement=) baisse de la demande=) baisse des revenusDans Is-lm il faut trouver le point qui donne le plein emploi.Linflation influe sur le prix anticip, si PE augmente=) r baisse=) hausse de linvestissement=) hausse de la demande.

Ce tableau dfinit un nouveau concept: la dpense totale projete= EP(C+I) +AP (G)

AP= dpenses autonome projet, qui dpend de r. toutes politiques de relances (par G, MS) aura des effets sur le revenu (Q), ces effets dpendent dune variables qui est le montant du multiplicateur.Laugmentation de loptimisme et de dpenses publiques=) IS va vers la droite.Baisse de loptimisme et de dpenses publique=) IS va vers la gauche.La pente IS est ngative car plus r est bas plus AP augmente donc plus le revenu augmente.La variation de la pente est fonction de llasticit AP/r: la sensibilit de lAP la variation de r, ces donc = variation de AP/ variation de r.

LM Md/p= L(Y, r) motif de prcaution, motif de spculation

LM reprsente toutes les combinaisons de Q et r ou le march de la monnaie est lquilibre cest dire ou Ms=MdAnalytiquement, plus le revenu est faible, plus Md est faible (Q faible=) D faible)LM est modifi quand:Si les prix sont fixes, Ms dplace LM. Exemple: si la BC met plus dargent dans le circuit, le taux dintrt descend. La pente reprsente leuro additionnel de revenu Q que permet un taux dinvestissement plus lev. Cest le produit de 2 lments:La sensibilit de a demande de monnaie a r et le nombre deuro de revenu supplmentaire que permet chaque euro de monnaie libr par laugmentation du taux dintrt.

Il y a des agents qui ont de capacit de financement et dautres de besoin de financement.=) la sensibilit de Md/Ar est nul, si la pente est vertical=) petite si elle est penche=) infinis si elle est horizontale

lquilibre

IS-Lm est un outils de base pour annexer la politique conomique (bien adapt aux anne 50-75) parce quil ny avait pas dinflation, la politique rcessive pendant ces annes tait inefficace.Politique de stop and go:Hausse de U=)?=) (TQ)=) hausse de Ms=) baise de UHausse de p=) baisse de Q =) baisse de Ms et baisse de G=) baisse de PSauf que 73= choc ptrolier donc politique de stop and go inefficace.

la crise de la macroconomieDans lancien modle ctait chmage ou inflation maintenant cest chmage et inflation donc on dit crer de nouvelles solutions.

Conclusion:Crise de la pense keynsienne entraine le nouveau modle OG/DG. La nouveaut est quil est bas sur la variation des prix. 3 grands courants vont essayer de chercher ces solutions: courant montariste avec Milton Friedman la nouvelle conomie montariste avec Lucas les nouveaux keynsiens

Il y a plusieurs interprtations de loffre et de la demande globale (classique, keynsienne, keynsien extrme).Loffre globale est une fonction dquilibre pour chaque niveau de prix, on a la somme des offres de toutes les entreprises. La variable cl de ce modle est le march du travail. Lentreprise offre en fonction du cout du travail. La demande globale est le rapport entre le prix et lactivit pour lesquels le march des biens et des services et celui de la monnaie sont quilibrs. La variable cl est le prix. Lquilibre qui est au point dintersection.

A) la demande globaleConsensus sur sa forme, elle est dcroissante mais les conomistes ne sont pas daccord sur ce qui la fait bouger.B) loffre globalePas de consensus concernant sa forme. pour la nec On adhre la concurrence pure et parfaite, dans cet univers le march du travail est toujours lquilibre. Pour eux, la monnaie est neutre. La fonction doffre est verticale. La quantit offerte est indpendante du prix. pour les keynsien extrmesIl y a une trs forte sous utilisation des capacits de production, cest dire du travail et du capital. Dans cette situation au prix du march, les entrepreneurs offre nimporte quelle quantit en hausse demploi sans hausse de salaire et les couts. La fonction est horizontale, les prix sont indpendants de la quantit.

pour les keynsienQuand les prix augmentent il y a une augmentation de la quantit mais une baisse de la productivit du travail. La forme dpend de lhorizon temporel (court terme, long terme) et des conjonctures.A long terme: forme classiqueA court terme: forme keynsienneA trs court terme: forme keynsienne extrme

1re partie: le moyen et long terme, linflation et le chmage

Nous sommes dans un monde dconomie ferme (pas de taux de change et de mouvement de capitaux). Monde ou il existe des chocs exognes (endogne= question qui se pose lintrieur dun modle et dont la variable sexplique par linteraction entre ces variables que lon augmente ou baisse G est endogne. Exogne est une variable extrieur mon modle ex: ptrole).

Chapitre 1: autocorrection de lconomie par le mcanisme de la flexibilit des prix.

Introduction:Dans le modle IS-LM. On a identifi les dterminants de Q et N (emploi) prix fixe, cela comportait 2 limites:Laugmentation de G entraine: une hausse de linflation et des effets perturbateurs de mcanisme de march ex: baisse du prix =) hausse de la demande globale.Leffet de la variation de la demande globale sur les prix (en supposant que le niveau de prix sajuste pour maintenir le PIB rel constant) est un indice des prix quon appel un dflateur. Il reprsente la moyenne pondre des prix actuels par rapport une anne de base. P=100 P en T+1= 105 (+5%) (- en dlattant, on a le prix rel.

Hypothse de dpart, les prix sont parfaitement flexibles et nous avons dmontr que sous certaines conditions peu ralistes, si les prix sont totalement flexibles, cela rend la politique montaire budgtaire inutile. Ce mcanisme est celui de lautocorrection. La dmonstration sappuiera sur lhypothse quune baisse de prix entraine techniquement une hausse de la masse montaire.

I) prix flexible, offre rel de monnaie et courbe de demande globaleCette courbe rsume les effets de la baisse de p sur Q qui peuvent permettre de saisir les mcanismes de lautocorrection.

a) les effets dun changement de prix sur la courbe LMRappel: LM change de position des quil y a une variation de la masse montaire, prix fixe, nous tudions la variation de Q et la variation de r.LM change aussi de position si les prix varient puis elle dtermine les variations des encaisses rels cest dire loffre de monnaie; loffre rel de liquidit mme si Ms ne varie pas. Exemple dans cours page 6.Cest la variation de prix qui fait un effet de relance (niveau de Q si Ms = 40) -) dpend du niveaux des prix et de la courbe LM mais aussi de IS.Ap= dpenses autonome projetes quand r=O. IS1 Ap= 60 K=4. Selon le niveau de p, 3 points dquilibre.

b) caractristiques de la demande globaleEn abscisse Q; en ordonne P.La demande globale reprsente les relations dquilibre possible entre Q et P. IS LM, le point dquilibre (1,160); la demande globale a un 1er point dquilibre, on fait en fonction de IS LM. Le revenu rel varie si p est suprieur 1.La courbe reliant j, EO et H est la courbe DD reprsente toutes les combinaison possible de P et Q compatible avec Ms=40 Ap= 60 et K=4.

5 caractristiques de cette courbe: la DD reprsente tous les points dintersections entre une seule IS et les diffrents LM. Pour chaque niveau de prix possible. En tout points nous avons un quilibre du march de bien et service et de march de la masse montaire.

cela peut tre ngative car p plus bas =) hausse de Ms=) hausse des dpenses projetes. Cette hausse des dpenses projetes ncessite une hausse de la quantit pour maintenir lquilibre entre offre et demande. Plus IS est escarpe plus D.D lest.

Plus LM est escarpe plus DD est aplati car cela amplifie leffet de MSOP sur la production ainsi une baisse de p=) hausse de Ms/p qui dplace LM et accroit dautant plus la production et vend DD dautant plus que la sensibilit de la demande de monnaie r sera faible.

DD dcrit lquilibre gnral de lconomie, sa position est fonction de toute les valeurs (sauf p) qui peuvent faire varier IS et LM. Ainsi une variation de Ms ou de Abar dplace DD.

laugmentation de Ms ou de Ap dplace DD droite.La baisse de Ms ou de Abar dplace DD gauche

Exemple: graphique 6.2Si Ms passe de 40 80 Ms/p = 80On a une faible offre de monnaie Ms (ex: 20 milliards) va donc dplacer DD vers la gauche, cela donne le point J.Il faut noter que DD se dplace verticalement dans une proportion identique la variation de Ms. En loccurrence deux fois sur DD1, jai 2*40=80 et H renvoie bien 2*0,5 car en doublant la monnaie ou les prix on est en H ou en H et on aboutie au mmes encaisses rels et donc la mme LM cest dire mme r et mme Q. H et H entraine la mme LM car dans un cas variation de p et variation de r.

II) autocorrection, la dflation comme remde la dflation.Le raisonnement soit pr Keynsien soit de la NEC vise expliquer que si les prix taient flexibles il y aurait pas besoin de politique anticyclique (stop and go).La ligne de la dmonstration est simple, si nous respectons toutes les conditions de la concurrence pure et parfaite, Q ne peut pas tre = Q*.Q*=) nairu. Niveau de PIB qui permet le plein emploi des facteurs de production (K; W).

pression sur le niveau des prix quand Q est diffrent de Q*Figure 6.3.QQ est vertical, elle est passe 160, cest le chiffre qui correspond Q*une droite verticale est toujours indpendante de la variable qui est alors donne. QQ est donc indpendante de p.Quand Q est gauche de QQ, ex: 140, il y a des capacit de production inutilises, il faut donc baisser les prix pour trouver des dbouchs (comme en micro).Quand Q est droite de QQ, les entreprises produisent plus que leur capacits, ils doivent payer de heures supplmentaires, trouver plus de matire premire donc doivent augmenter les salaires les rendements sont moindre. Quand on est droite de Q*=) hausse des prix ( cause des machines moins performantes et des employer moins comptents). la baisse de loptimisme et le dplacement de DDRappel: le livre de Keynes montre le rle de la psychologie dans le comportement des individus. Le rle des croyances est important dans lconomie.Figure 6.3DD0; les entreprises et les consommateur pessimistes=) Ap baisse de 10. Comme DD dpend de Abar, Abar dplace DD0 en DD1.Le revenu passe de E0 F si les prix sont fixs 1. Si les prix sont flexibles et le PIB rel:Il y a un dplacement vers la gauche cest dire une baisse des prix jusqu ce que lconomie atteigne E1 ( Q*) et E1 les prix soient gal 0,67.P est plus bas et relve le niveau des encaisses relles (Ms/p) et dplace la courbe LM du 1er vers la droite dun montant correspondant exactement aux dplacements de IS vers la gauche, ce dernier tant li la rduction de Abar dun montant de 10.

Rsum:Chaque fois que le niveau initial des prix crot DD est gauche de QQ. Les prix baisse jusqu' lintersection (DD; QQ) dans notre ex E1.Le seul quilibre=(DD;QQ) qui implique que les prix naugmenteront pas ou ne baisseront pas; tout ce qui fait baisser DD= la baisse de la confiance ,la baisse de G, la baisse de de Ms, entraine et rduits le prix.Si les prix sont compltement flexibles nous passeront de E0 E1 et les politiques budgtaires sont inutiles.

III) flexibilit des prix et effets dviction de la politique budgtairesMme si la pente LM est suprieure 0, cela nimplique pas que les politiques budgtaires puissent augmenter Q.Sur DD1, si on augmente G (10) en E1 Ap= 60; on passe de DD1 DD0. 2 hypothses: si les prix sont fixes, on passe de E1 B. cest dire de 160 180 si les prix sont flexibles, chaque fois que DD passe droite de QQ, on aura une hausse des prix et si les prix sont flexibles on passe de B EOP ne cesse daugmenter lorsquon est sur la droite dquilibre QQ. Avec la flexibilit des prix, si on est Q*: cas de leffet multiplicateur Keynsien et leffet dviction est complet, la baisse de Ms/p de 60 40 entraine un dplacement droite de IS.Dplacement droite positif mais leffet de prix fait aller gauche. Au bilan, la contraction de Ms/p annule la hausse de G en situation de plain emploi et de flexibilit. La variation IS naura pas deffet rel mais seulement montaire sur le prix.

IV) Echec de la dflation dans les cas limits, retour la rgle gnrale Cest la rponse de certains conomistes lautocorrection. Dbut du raisonnement:La flexibilit des prix permettrait de demeur Q* chaque fois que la variation des encaisses relles dplaait Q de IS LM .Une politique montaire est efficace si nous avons un r*.R*= taux dintrt auquel IS croise Q* et qui doit tre suprieur ou inferieur au taux dintrt minimum. Exemple: si r minimum= 2,5% et r* =0% on un chec de la politique montaire toutes ces fois ou r* est inferieur r=) chec de la politique montaire.Pour atteindre Q*, il faut un niveau de Ap qui impliquerais un r* mais cest impossible car il faudrait un r ngatif. Il reste donc la politique budgtaire.Si lon est dj Q*, il ne faut pas essayer de relancer car cest leffet dviction par les prix exemple: on est 160 on ne peut pas aller 180 car cette relance va tre suivi par linflation.

Figure 6.4Q peut passer Q* chaque fois que la hausse des encaisses relles permet daugmenter Q. Si r*>r minr*=l ou IS croise Q*r min = taux dintrt minimum que la banque centrale peut offrir. r* variation 0,4 point de U. La droite a donc une pente nngative puisque la relation est inverse. Si QQ* baisse de 5 points -> le taux de chmage observ va hausser de 5* 0,4.Dans le Blanchard et Cohen, 2 sous priode:Delta U= - 0,17 peu demploi crs 81 99-> 0,4 donc lvation du contenu en emploi de la croissance. Cependant, il faut rajouter 2 facteurs mon quation: la variation de la population active: + 1,7% la productivit du travail: +1,3% pour maintenir un tx de chmage constant , il faut donc que lemploi hausse du mm rythme que le 2 variation (1,7+1,3=3) delta Q doit donc augmenter de 3% par an pour avoir un chmage constant. Une croissance suprieure de 1 point la croissance normale entrainera une baisse de U de 0,4. 0,4 pour 2 raisons: les firmes ajustent faiblement lemploi. 1pt de croissance -> 0,6 demploi. La hausse du taux demploi, CAD que mm quand il y a plus 0,6 demploi on aura pas une baisse quivalente du chmage.

c) 3 relations: Okun Philips et la demande globale.

Philips: linflation dpend de linflation anticipe et de lcart entre le taux de chmage et le taux de chmage actuel (pt= pet- X (U-U*))Pet= pet-1Je peut remplacer pet par pt-1Ce paramtre mesure limpact Aux USA alpha =1 pour lUE Un cart de 1% par rapport a son niveau structurel fait baisser p de 0,75%.Si U PT-1 cela veut dire que si le chmage est faible, on anticipe une hausse de linflation travers la suppose hausse des salaires.DG est une relation entre la production, le stock dencaisse rel, G et T, si on se focalise sur Ms/p la demande de bien et donc la production est proportionnel au stock dencaisse relle. Hausse de Ms/p entraine baisse r entraine hausse de DG + effet multiplicateur entraine hausse de Q.En terme co, si Ms est constante, cela implique quune hausse de p entraine baisse Ms/p qui entraine baisse de Q. baisse p -> hausse Ms/p ->Q.On va expliquer maintenant que si n rflechi la question de linflation, on va jouer sur les 3 relations.Le sujet daujourdhui, U variation y-> LT.Fn appartient I I-> variation PMT-> W/P -> OgToute chose tant gale par ailleurs,la variable importante. Quest ce qui fait que les entreprises franaises soit moins comptitives: W/P PMT (E) si on rsume les 3 relation Ms q et p, inflation donne une moindre croissance de ms baisse Q. la 1ere relation me dit que quand Q baisse le chmage augmente et quand le chmage hausse, linflation baisse. A court terme au a donc lenchainement: baisse Ms -> baisse Q-> hausse U-> baisse p.A moyen terme: U constant-> U moyen par rapport un Q moyen, dans ce cas la linflation est gal au taux de loffre de monnaie la taux de croissance normal de la production. Nous appelons cette variable le taux de croissance ajust de la masse montaire. Si Q hausse, les transactions hausse il faut donc que Ms suive.Exemple: hausse de Q de 3%-> Ms hausse de 3% si MS hausse de 10% p=7 %A moyen terme U=U*, cela explique que dans un raisonnement montariste, de la monnaie, moyen terme, la monnaie est neutre. (si plus doffre de monnaie que de croissance, alors inflation)loffre de monnaie ne peu pas avoir deffet sur N Q et U.

c) la dsinflationHypothse: nous sommes Q*, N* et p est trop lev diffrent de la cible. Ce qui dtermine la cible de linflation dans une conomie ouverte, cest que mon inflation nationale, compar linflation de mes partenaires commerciaux dtermine ma comptitivit. Exemple rapport de la France et de lAllemagne.Baisse Ms

1- brutalement, on accepte hausse du chmage sur 2, 3 ans ou progressivement mais sur 10 ans, lhypothse est que pour avoir une baisse de p U > U*. le montant total du chmage sup ncessaire ne dpend pas de la vitesse de la dsinflation. Par exemple baisser p avec un alpha=1 je peux le faire en un an dans ce cas la U doit tre > 10* U*. le point de chmage sup pour ma cible est de 10 en 2 ans, ce point est de 5.on appel le ratio de sacrifice, le nombre de point de chmage supplmentaire pour rduire linflation de 1 %. La vitesse de la dsinflation a t elle des consquences? si mon objectif est de rduire linflation en un an et que mon taux de chmage U* est de 6,5% cela veut dire selon le paramtre de la loi de coud et avec un tx de croissance de 3 % il faut que 16,5% -6,5% soit gal 0,4 facteur de delta Q -3%. 16,5-6,5=0,4 (delta Q- 3%) Delta Q= -10%/ 0,4-3= -22%.2- le sentier de croissance optimal de Ms.Hypothse, on veut passer de 14% 4% dinflation

T-1 1 2 3 4 5 6 7 8

PUQMs14 12 10 8 6 4 4 4 4 6,5 8,5 8,5 8,5 8,5 6,5 6,5 6,5 6,53 -2 3 3 3 3 3 8 3 317 10 13 11 9 7 12 7 7

Une fois la cible atteint un saut du taux de croissance du PIB est ncessaire, pour que le chmage revienne son taux naturel, il faut donc 2 point de chmage. Soit une croissance de 8 % -> 2/0,4=5 pts 3%+5%=8%. La 4 eme ligen est le taux de croissance de monnaie que doit imposer la Bc pour raliser la dsinflation. Delat Q doit tre = delta Y + linflation. Pour avancer la dsinflation, il faut une forte baisse de loffre de monnaie puis loffre de monnaie doit maintenir le taux de chmage stable, en T6 Ms doit permettre le retour du chmage 6,5 en T7 et T8 nous avons une situation dquilibre Q* U* p atteint donc sa cible.Il existe autant de trajectoire que dobjectifs temporaire mais le cout total du chmage est le mme. Le chmage doit tre suprieur son niveau naturel le nairu, dun montant suffisamment lev ou pdt suffisamment longtemps pour que lobjectif de dsinflation soit atteint. Cest ce model qui a t appliqu au USA entre 1980 81.Cette approche traductionnelle a t thoriquement remise en cause par 2 courants de pense.

d) les 2 approche portent sur le rle des anticipation et sur la faon dont un changement dans celle ci affecte le cot en chmage de la dsinflation. anticipation et crdibilit de la politique montaire, la critique de Lucas et Sargent. Lhypothse est quon ne peut pas prendre comme donne la formation des anticipations pour tudier les effet dun changement de politique montaire. p t= p t-1 alpha (U- U*) -> delta po Monet entraine comportement pas gal Pe. pour Lucas cest faux, les agents prennent en compte le changement conomique dans la dtermination du salaire si la BC dit quelle va faire baisser linflation, il est donc crdible quil y ait une baisse dinflation et inflation baissera sans quil y ait rcession.Pt=pte- alpha (U-U*). Si je sais aujourdhui que les prix baisse de 2% jaccepte de baisser mon salaire de 2 % ce qui maintient mon salaire rel. La cl de la russite cest la crdibilit de la BC. la rigidit nominal et les contrat Fisher et Taylor. Nouveaux Keynsien, il existe des rigidit nominale parce quil ny a pas de rajustement CT en cas de changement de politique conomique. Dans cette logique, une baisse trop rapide de la masse montaire mme crdible entraine une hausse du chmage car les salaires sont fix avant le changement de politique et reflte les anticipations antrieures. On peut donc planifier la politique montaire avec une politique salariale avec les contrats signs par secteur. Les contrats sont des engagements, il faut donc amorcer progressivement la rduction de loffre de monnaie de r et la baisse de p parce quau dbut les salaires nominaux ne bougeront pas. Sinon la rcession risque de louper sa cible.

e) 79 choc ptrolier, chmage de 5,8%, taux de croissance de 2,5 taux dinflation craint 13,3%. Le prsident de la FED Bolker, annonce en aout 1979 quil souhaite entamer une politique de dsinflation rapide. Politique lance en octobre 1979. Changement majeur dans la conception de politique co, on quitte la politique de stop and go. A la suite, politique de restriction mise en place; taux dintrt passe de 10,4 17% en juillet 80, sous pression politique, les taux dintrt sont baiss 9% et donc linflation na pas fortement dcru. la stratgie recommence en 81 cette fois ci engagement de ne pas baisser les taux dintrt mme en cas de rcession. Mais seconde rcession, pas de baisse dintrt cpdt, le chmage passe de 5,8 9,7 e 1982. Pour avoir une baisse de 9,5 point dinflation il aura fallu + 4,9 % de chmage, ces chiffres valident la courbe de Philips, la situation la Lucas, na pas t possible.

2me partie

par rapport aux disfonctionnements, 2 logiques diffrentes: celle de la NEC, avec lauto ajustement complt avec lefficiences des march complt par linefficacit de ltat. Ce terme de disfonctionnement est normatif. Cette inefficacit sexplique par: la non bienveillance de ltat. Il peut ralentir la machine conomique pour son intrt, il nest pas toujours omniscient, ne connat pas Q*pas forcement omnipotent. Donc cofinance dans les mcanismes du march. Les disfonctionnements viennent tous de ltat. Pour les Keynsiens, Les disfonctionnement sont inhrent au systme de march. Pas dauto rgulation. Cela donne un rle ltat, sur les politique budgtaire et montaire. Les cycles ne sont pas des disfonctionnement, il a toujours des priodes dexpansion puis un pic , priodes de rcessions. Le cycle sexplique avec plusieurs donnes: le profit, W/P la variation de linvestissement , de lpargneBaisse de Q -> hausse de U= on enlve les moins productifs et rduction des salaires des meilleurs qui restent. Les entreprises vont restaurer leur taux de marge , leur profitabilit hausse, alors le cycle peut redmarrer. Quand on est tout en haut du pic Q>Q* -> baisse de U ->baisse du profit et hausse de la concurrence entre les entreprises les prix ne peuvent augmenter. Le cycle des affaire nest pas un disfonctionnement.

A cot de ces cycles, il y a des crises plus grave ou les relations entre toute les variables ne fonctionnent plus. Ce sont des crises systmiques. Les 2 variables sur lesquelles on va travailler sont U et PMT.

Chapitre 6: le chmage de masse

I) le march du travailIl est prsent dans le Blanchard et Cohen.Sur le march du travail, flux important dente sortie. Mme quand le chmage est stable. Il y a une croissance du chmage dans les pays dvelopp depuis 74 elle est plus important dans les pays dvelopp a forte intervention sociale. Cpdt les pays libraux ont des rsultat contrasts, le chmage est nettement plus lev en GB que aux USA. El chmage est un problme de croissance et de productivit. Ce qui dtermine U cest donc la fois quelque chose qui est fonction de delta y et fonction de z (institutions publiques et privs) plus ou moins protectionnistes des individus (assurance maladie chmage).La croissance du chmage a connu 2 priodes depuis 1974, avant le choc ptrolier, il y avait trs peu de chmage, ctait un chmage dadaptation. De 74 85 monte trs rapide du chmage, depuis 1985 le chmage sest plus ou moins stabilis et devient plus cyclique, il est fonction de delta Y, on sait que cette hausse sexplique par la dformation en faveur des salaires, les profits ont baisser donc manque dinvestissement, donc hausse du chmage. Quand le taux de chmage est lev, cela hausse le rique de perte demplois, diminue les chance de trouver un travail, pression sur la baisse des salaires rels.

II) la dtermination du salaire et des prix

des lors quon regarde la dtermination du salaire, cela dpend de la qualification des salaris. Ngociation collective par branche, le montant du salaire dpendra de la qualification. Les ngociation individuelles, entre un employeur et un travailleur. 3me type, un salaire fix par lemployeur, souvent pour les emploie sans qualification dans les petites entreprises. A moyen terme, la ngociation est diffrente selon le chmage et la croissance, le pouvoir de ngociation est fonction de la difficult tre remplacer et de la facilit trouver un autre emploi, selon donc le cout de la formation la nouvelle tache.W= pe alpha(U,z)->0-10Les entreprises sintresse au salaire quelle payent en fonction des prix des biens vendus. Si le taux dinflation hausse alors le salaire nominal augmente et si le chmage hausse, le salaire va baisser. Aujourdhui, la hausse des salaires des salaires des ouvrier chinois ne suit pas la productivit. En France le salaire hausse grce aux syndicats en fonction de la productivit mais ils augmentent moins vite que la productivit.

III) le chmage structurel on est obliger dabandonner une autre partie de la CCP, le profit des entreprise, le taux de marge ne se fait pas en CCP. Abandonner cette hypothse, nous devons donc comprendre comment se forme le prix, comment la dtermination des prix se fait pour un niveau de salaire. Cst un univers structur par des oligopoles et des monopoles. P sont fonction des cout et ceci sont dtermin par la fonction de production. Et cette fonction de production est de cob douglas. Y = F(K;L) Univers ou il ny a pas de modification de K pas dinnovation. Pour faire varier la production lentreprise utilise N. autre simplification; un travailleur produit une unit donc Y= F(N). le cout marginal de production est donc gal W. si je suis en CPP, p=Cm=W. en terme microconomique cela veut dire que lentrepreneur produit jusqu' ce que sa dernire unit produite lui rapporte 0.La non situation de CPP, on peut fixer p > Cm -> (1+PI)W. cette quation signifie que le profit est bien la marge du par rapport au cout.

Le taux de chmage structurel dans le model Ws Ps.Disfonctionnement par rapport a une norme, on tait plutt dans une question de cycle: priode de croissance et de rcession. Cest une rupture: on ne peut pas redescendre un certain taux de chmage par exemple.Les modles thorique rendent plus ou moins bien compte de se qui se passe. le modle dquilibre gnral: permet de penser mme si il ne rend pas compte de la ralit si cest mieux avec plus ou moins de concurrence.Les variable quon doit avoir en tte: la comptitivit dune nation: elle est li la capacit dimporter exporter, li a trois variable macro: W/P: on sait que si un pays a plus dinflation cest un dsavantage, on est dans une situation de contrle de linflation La productivit marginale du travail (PMT): en court terme, que la PMT si on tait dans un propos plus structurel: on prendrais en compte la PMK. Le taux de change ( on verra au S4)

Dtermination du salaire et des prix:Hypothse des 4 cadre tait celui dun march concurrentiel, si on regarde les entreprises: plusieurs fonctionnement concurrentiel. Htrognit des entreprises, trs souvent les petites entreprises sont dans un univers plus concurrentiel que les grandes. 2 types: Price maker: monopole, oligopole. Price taker: comme dans lhypothse walrasien, aucun pouvoir sur le prix.On est maintenant dans lide que les grandes entreprises sont faiseuse de prix, march du travail syndicalis avec des rgles des lois (salaire minimum). Cela change le modle.On accepte que le march nest pas en CPP et les firmes peuvent faire un prix suprieur leur Pm.

III) Le taux de chmage structurel

Etudiant les consquences de la dtermination des prix et salaire sur le chmage. Supposons que W soit fonction de P et on de Pe linflation anticipe. Selon notre nouvelle hypothse, la dtermination dex prix des salaires caractrisent un chmage dquilibre.

a) la relation WS

W= P f (U;Z) W/P= f (U;Z) U(-) Z(+) Relation ngative entre le salaire rel et U quand le taux de chmage hausse W/P baisse.Cette relation est appel wage setting relation. Reprsente la un graphique. Le taux de chmage structurel dtermine le salaire. b) le relation PSIndication de la dtermination des prix dans ce modle.Si je divise les demande de mon quation par W on peut donc garder cette logique; P/W= 1+ pi; le salaire rel induit par la dtermination des prix , est obtenue e inversant les 2 membres: W/P= 1/ (1+pi): cest la relation Price setting.Elle signifie que les dcisions prises par les firmes quand leur prix dterminent le salaire rel quelle paye. En consquence, une hausse de pi le profit implique une hausse de P pour un salaire nominal donn cela entrainera une baisse du salaire rel.

Explication: une heure de travail= 1 unit W=10, R=20%P=10+ (20%)= 12La question est combien dunit de bien les salaris peuvent ils achet avec une heure de travail. 10/12=0,83 ->hausse de RPrenons comme hypothse que les entreprises peuvent hausser leur taux de profit. Situation ou elle maximise son profit. La hausse du profit, imaginons que ce ne soit plus 20% mais 30%-> R= 0?73. Dans cette relation on a bien vu, en dterminant leur profit, les entreprises dtermine le salaire rel. Cette relation PS est une droite horizontale car le salaire rel induit par la dtermination des prix est constant est = 1/ (1+pi).

c) salaire rel, emploi et chmage dquilibre

permet dintgrer de lquilibre sur le march du travail, CAD le salaire ngoci soit gal au salaire induit par les prix, cest donc linteraction entre WS et PS qui dtermine le chmage structurel. F(U*;Z)= 1/(1+pi) cette quation permet de voir la taux de chmage dquilibre est tel que la salaire rel dtermin par la ngociation doit tre gal au salaire dtermin par le chmage. Le chmage structurel dpend donc de 2 variables: le profit zf (pi;z). Lquilibre dpend donc de plusieurs paramtres; 2 exemples: modification de z( institution de protection): hausse alloc (hausse de Z)Consquence= hausse du salaire; la fonction WS va donc passer WS vers le haut. U* passera donc de U* U*, le nairu peut donc hausser. variation de z qui prend la forme dune loi anti-trust. On veut viter les monopoles.-> baisse du taux de profit-> hausse de W/P on passe de PS vers PS et donc de U* U*.

Si on hausse le concurrence: hausse du salaire rel: diminution du chmage.

d) du chmage la production agrge un niveau demploi dquilibre, U* est tjrs le chmage structurel et L est la population active. U=U/L = (L-N)/L= 1(1-U)On peut donc obtenir N en fonction de L et u N=L (1-u)Si le taux de chmage structurel et le niveau demploi dquilibre sont quivalent. Alors:N*=L (1-U*).Exemple:Si la population active est de 10 000 000 et le taux de chmage de 5% de niveau demploi dquilibre est de 95 000000 de plus on associe au niveau demploi dquilibre un niveau de production dquilibre. Le niveau de production dquilibre doit satisfaire lquation suivante.Y*= f (1-(Y*/L); z)= 1/ (1+pi) Niveau de production tel que, Au taux de chmage associ le salaire rel choisi alors la ngociation soit gal au salaire rel induit par la dtermination des prix.

CCL:On a suppos que p=pe, suppos un quilibre WS PS sur le march du travail mais il ny a pas de raison a court terme que cet quilibre existe et donc la politique montaire et budgtaire peuvent tre efficace pour faire baisser la taux de chmage, cpdt, a moyen long terme, le chmage revient son niveau dquilibre car les anticipation ne peuvent pas est tout le temps fausse. Lintrt de cette prsentation est dexpliquer le chmage non seulement pas le salaire rel mais aussi par le taux de profit.

Annexe:Le rapport entre WS PS et No et Ns (cadrant sud ouest). Graphique annexe.

U=L-N -> hausse de N -> baisse de U -> W/P hausseEt elle ressemble une courbe doffre, e effet, WS est une courbe doffre de travail. Et elle ressemble une courbe de demande plate. Elle est plate et non dcroissante au vu de lhypothse des rdmt constant formul au dbut du chapitre. Cpdt si les rendements du travail sont dcroissants, PS sera donc dcroissant comme je lai marqu droite. Parce que la hausse de N -> cout marginal-> hausse de P (pour conserver le profit).Si les salaires restent inchangs, les salaires rels induit par les prix serait une relation dcroissante de lemploi. Mon quilibre est bien au point A, il y a une diffrence entre les 2modles: loffre de travail donne le nombre de travailleur prt travailler pour un salaire donn et dans WS le salaire est le rsultat dune ngociation CAD dun rapport de force. Donc ngociation salaire defficience sont prsent dans WS et pas dan loffre de travail.Le niveau demploi choisi par les firmes pour un salaire donn, avec une hypothse de CPP entraine que les prix et salaires sont fix au contraire dans PS , on est pas en ccp et les firmes choisissent leur prix.

IV) les causes du chmage en Europe

1) constatsle chmage de lentre deus guerre est un chmage pr keynsien dans le sens ou la politique conomique men nintgre pas les enseignements de Keynes et les chiffres nous montre une envole du taux dintrt puisque loffre de monnaie doit tre passive avant Keynes.Chmage 1980: question, jusquen 1980 le chmage US > U europen.Vers 80-82 chmage U> chmage US. ( plus 4 pts en moy). Depuis 80 fort taux de chmage et faible inflation. Aller plus loin demande de faire des comparaisons entre pays.

2) les rigiditssans les rapports de lOCDE, on y trouvera lide que le chmage structurel en Europe est li aux rigidit du travail.Dire cela cest dire quil y a trop de rglementation. Le salaire est donc pas = la Pmt.Ce qui joue le plus actuellement quand on parle en Pmt cest quon a travail traditionnellement le salaire plus les charges. La plus grande diffrence entre les pays comparable et la question des charges (fonction de z) Z dtermine le cout de licenciements, des allocation chmage qui peuvent tre dsincitatrice trouver du travail, un salaire minimum pour les travailleurs non qualifis peu rentable si letat noffre pas des exonrations fiscales et donc un dsquilibre structurel. Pour rpondre la question de savoir si effectivement la rigidit qui est lorigine du chmage structurel nous allons utiliser le modle WS PS.

Sur les rigidits, si z hausse, rduit donc les cous du chmage, hausse la capacit de ngociation, le salaire rel hausse pour un niveau donn de chmage, WS passe vers la haut droite.Si de la mme faon, les grandes entreprises sont protges, PME mal dfendu dtermine que PS va aller vers le bas. On passe donc de A C. taux de chmage structurel va hausser. Cela crer le ait que e mal franais est li au corporatistes, dun cots les syndicats des salaris et celui des patrons. Et que ces rentes dterminent la hausse du chmage structurel.Solution: drglementation; hausse concurrence-> hausse de loffre. 3) limite au raisonnement

les rigidits actuelle son inferieur ce quelles taient il y a 30 ans ou mme 15 ans. En effet, ltat intervient moins dans le systme politique. LES SYNDICATS SONT TRES nettement affaibli dans la ngociation. 1ere limite: libralisation des deux cots: syndicats et patrons. Cout des licenciements ont baiss.

2eme: les institutions ne sont plus adaptes, en effet certaines on t fait aprs guerre puis 5eme rpublique avec un modle de fort croissance. Globalisation beaucoup plus faible.

Le taux de dispersion de lemploi entre les secteurs:Si les volution du chmage sont les mme dans tout les secteurs. Avec la dispersion est faible. La question du travail non qualifi dans lUE. La Pmt du travail non qualifi ne permet pas de vivre. Face ce constat, 2 stratgies: la stratgies des USA ou le salaire rel des non qualifis a t baisser de 13 %. La stratgie continentale, maintenir ce salaire rel mais au prix de la monte du chmage.

Comment grer ce puzzle de constat: question de qualification, des incitations et de la Pmt.

4) hystrse

modle de lhystrse: hypothse: dans les annes 70 on a eu une srie de choc doffre, 2 chocs ptrolier, paralllement un choc salarial: hausse de W/P> PMT-> variation de la VA (W(+) pi (-)) ainsi on a eu une stagnation voir une baisse de la PMT.Constat: stagflation.

Dans les annes 80: dsinflation comptitive-> chmage de masse structurel suprieur. Aux USA, on a eu un choc montariste + des dficits publics; POSSIBLE PAR LE DOLLARD MONNAIE INTERNATIONALE. En Europe, choc montaire + austrit budgtaire.Lhypothse de lhystrse est: le taux de chmage dpend de son histoire passe, cela veut dire que Q* est fonction de U effectif au niveau historique moyen terme. Un fort chmage de longue dure va rduire a pression la baisse des prix, et linflation ne diminue plus. Ex: dans lUE le taux des chmeur nayant pas travailler depuis 1 an est de 30% aux USA 9%. 2 pbs: le cout humain du chmage de long dure: baisse de comptence, hausse de la mfiance des employeur, trouble psychologique. Problme macroconomique: les chmeur de long terme augmente U* car ils sont en dehors du processus de fixation des salaires ntant plus crdible comme conurent face aux insiders. Les chomeur de longue dure ne sont plus crdible face aux insiders. les chmeur de court terme ne craint pas en ngociant sont salaire la concurrence des chmeur de long terme.Fort chmage de longue dure -> baisse des prix.

On ne dit pas que cest rationnel: on me licencie, si on pas dallocation chmage, donc on doit travailler tout de suite donc on prend tout (mm macdo). 2 possibilits: chmage effectif: SS assurance chmage facteur humain(+)

conomique: k humain: PMT psycho: allocation efficace des ressources; principe de justice (on peut avoir intrt ne pas oublier cela)(-)->

Le raisonnement macro qui est que les chmeurs de long terme ne sont plus crdible comme concurrents, Chiffres sur le cout du travail unitaire en Europe avec base 100 (1999)volution du salaire allemand: baisse jusquen 2007 et monte jusqu' 105.Evolution du salaire espagnol: croissance jusquen 2007 138. Evolution du salaire franais: monte en 2007 128

Les chmeurs de court terme ne crent pas la concurrence des chmeurs de long terme. Malgr un chmage de masse en Espagne, mais hausse du salaire rel. Si on est dans le raisonnement offre globale, cest en Allemagne quon aurait du avoir une hausse du salaire rel. Lconomie rel ne fonctionnent pas selon ce rsonnement.

Politique allemande mercantiliste, construit sa puissance sur le commerce international.La hausse des chmeurs de long terme dtermine le passage de WS WS et donc de Q* Q*. Si on a 15% de chmeurs dont 10 de long terme et 5 de CT, la determination du salaire se fait comme si il y avait 5 % de chmeurs. On pourrait mme imginer une pression la hausse des prix. Avec le chiffre francais (128) devrait y avoir de linflation. BCE pas suffisante; la hausse des salire et compenser par les prix qui ne hausse pas, avec la delocalisation. Le prix des biens dpend des salires chinois (par exemple). On ne peut pas expliquer la faible expliquer sans faire appel la dlocalisation. Conscquences:La dsinfltion peut tre plus couteuse que prvue. Parce que quand on a fait le ratio de sacrifice, plus couteux. Si cette tehese est juste toute politique crdible doit renverser lhystresie donc rintegrer les chmeurs de longue dure. faon amricaine, pas le choix europenne, on va les former croissancede faon paradoxale, les pays qui on un U* lev ont une grande marge de manuvre. On devrai le rapprocher de U dquilibre.

Chapitre 7: Progrs technique chmage ingalits

Introduction:

A LT, cest le PT qui permet la croissance et lamlioration du bien tre: hausse de PMT et PMK. Dtermine hausse de Y qui entraine la hausse des revenus, qui hausse e bien tre. Cpdt depuis le 19eme, trs souvent des polmiques sur le chmage technologique. Hausse de la productivit > hausse de loffre hausse du chmageDepuis 1900 la production a t multiplipar 6 et lemploi par 5 du la croissance de la population active. Le chmage na jamais t aussi faible en France que dans les annes 60 alors que cest la priode ou nous avons connu le plus de gains de productivit.2 dimensions du progrs technique, la production de plus de bien avec le mme nombre de travailleurs.La production de nouveau bien et la disparition dancien. Quand il y a progrs technique, on produit plus avec le mm nombre, encore plus avec bcp de salaris et le mm montant avec moins de travailleurs. A LT.A LT on sait que ce sont les gains de productivits qui dterminent la croissance.A CT; Y est fonction de (K; An) ltat des technologies, pour un m donn An hausse et on peut esprer LT que Y augmentera. Mais si les individus sont pessimistes sur cette relation: hausse de A-> baisse de A.

I) productivit production et chmage de court terme.

A CT on soccupe des biens de travail. Etat des techniques est donn.Y=AN Y/N=A->N= Y/A

la croissance Y sera elle suffisante pour maintenir lemploi?

1) PT, offre et demande globale

a- Og: hausse de Y -> baisse de U-> hausse de W-> hausse de p (O-variation de p)b- Dg: hausse de p-> baisse de Ms/p -> baisse de r-> baisse de D-> baisse de Y (p->y)c- hausse du PT: A->A-> cela rduit le nombre de travailleurs ncessaire pour faire une unit. Implique une baisse de cout pour les entreprises, cette baisse de cout entraine une baisse de prix. AS passe ASd- variation de AD dpend de ce progrs technique.1rement la dcouverte technologique dtermine une dtermination de la demande.AD passe AD

Mais si on a juste une amlioration des techniques existantes; si par ailleurs, on a une hausse de la concurrence. On rorganise, un peu de licenciement, faible variation de la demande. Pessimiste. Hausse de lpargne et baisse de la consommation et donc AD va donc voluer au contraire vers le gauche.Y-> Y -> U hausse de Y. -> hausse de U= hausse de productivit-> baisse de LSI hausse de la productivit de 2% il faut que hausse Y de 2 % pour que N soit constant.Question: est on capable de dterminer la nature causale de la relation?

Hausse de Y->hausse de la productivit ou hausse de la productivit -> hausse de Y.Difficile dire car cette relation va dans les deux sens. La relation Y productivit: la raison se trouve dans la loi dOkun. Quand on est en rcession les entreprises garde plus de travailleur que ncessaire. En croissance on hausse la quantit de travail et aprs on embauche.La thorie ne nous aide pas car innovations sont exognes.

II) productivit et chmage structurel

A CT il y a des cycles mais long terme lco retourne vers niveau structurel, corant avec U* le NAIRU.

1) WS-PSa- avant (1+pi) w A=1Maintenant (1+pi) W/A -> productivit hausse-> baisse des couts-> baisse de p (Wcts)b- W avant: W e p F (U;Z)W W:Ae Pe

Le salaire dpend aussi du niveau de la productivit anticip

2) U*Il est fix par WS et PS, avec des anticipations correctes -> P -> A

a- quand W/P= 1/1+pW/p= A/1+r

Plus a est lev plus les entreprises fixe des prix bas pour un W donn et donc plus W/p sera lev.Le salaire rel obtenu lors de la ngociation est fonction de A et de U.Plus A EST LEV PLUS W/P est lev. Plus u est lev plus W/P sera bas.A sera gal 1,05 A. W/P hausse donc de 5% et ma courbe va donc de dplacer vers le haut.Par Alleur la relation de WS dit que pour un taux de chmage donn le salaire rel est dtermine par lquation de fixation des salaires qui ont augment de 5%. Et ainsi le nouvel quilibre sera en B. Si cest le cas, la salaire est rest contant. Car la hausse de la productivit de 5% a entrainer une baisse des prix de 5%.Dans cette situation on peut ne pas avoir de hausse de chmage. Avec ce modle; deux rsultats. Si ma dmonstration est juste, Q* Et U* nest donc fonction de la variation de la productivit.On ne connat pas vraiment U* aujourdhui ( car cela dpend de lconomie international et on tudie en co ferme) on verra cela donc au prochain semestre.

Conclusion. Analysez maintenait les effet dune politique macroconomique.On doit intgrer le cadre dune mondialisation des changes, des flux.Y=C+I+G+NX (solde de la balance commerciale). On doit bien comprendre que les investissement peut tre franaise ou trangs et tout les lments de cette quation. Toutes les variables doivent tre penses comme internationaliser.