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Monaco 1 Madeline Monaco Dr. Choplin FRE 351 17 mai 2014 La Manipulation subversive : Questionnant le pouvoir des femmes dans le théâtre français La représentation des femmes dans le théâtre français entre les 12 ème et 18 ème siècles introduit plusieurs idées : les femmes sont subjuguées par les hommes ; les femmes n’ont pas autant de droits que les hommes ; les femmes n’ont pas de pouvoir. Ces aspects prouvent que la société est souvent patriarcale, avec les traditions qui bénéficient aux hommes et les vœux injustes en ce qui concerne les femmes. Mais on peut dire que, malgré le fait que la société n’a pas donné les pouvoirs concrets aux femmes, elles avaient toujours une influence subversive à leurs subjugueurs. Elles ont formé leurs propres façons de manipulation en utilisant leur beauté et leur sexualité, les éléments qui rendent les hommes incapables à résister leur pouvoir. C’est à cause de cette manipulation inévitable à laquelle les hommes ne peuvent pas résister qu’ils sentaient le besoin de subjuguer les femmes. On peut vérifier cette conclusion en creusant dans trois histoires pendant cette grande période : Le Mystère d’Adam, Phèdre de Jean Racine et Le Mariage de Figaro de Pierre Beaumarchais. Le Mystère d’Adam Le Mystère d’Adam est une pièce écrite d’un auteur anonyme du 12 ème siècle. Cette idée de pouvoir subversif est évidente dans le rapport entre Adam et Eve. On voit que le Diable renforce la beauté et les bonnes qualités d’Eve quand il veut qu’elle prenne le fruit : « Tu es faiblette et tendre chose, tu es plus fraîche que la rose, tu es plus blanche que cristal ou que neige sur glace en val. Couple mal assorti, pour sûr tu es trop tendre, et lui trop dur ; et néanmoins tu es plus sage, et plein de sens est ton courage. Il fait bon s’en venir à toi… Par lui [le fruit], - qui est source de vie, de puissance, de seigneurie, - bien et mal, on sait tout de reste » (Le Mystère

Madeline Monaco - Disciplinary Thinking

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An example of disciplinary thinking for a French research paper

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    Madeline Monaco Dr. Choplin FRE 351 17 mai 2014

    La Manipulation subversive : Questionnant le pouvoir des femmes dans le thtre franais

    La reprsentation des femmes dans le thtre franais entre les 12me et 18me sicles

    introduit plusieurs ides : les femmes sont subjugues par les hommes ; les femmes nont pas

    autant de droits que les hommes ; les femmes nont pas de pouvoir. Ces aspects prouvent que la

    socit est souvent patriarcale, avec les traditions qui bnficient aux hommes et les vux

    injustes en ce qui concerne les femmes. Mais on peut dire que, malgr le fait que la socit na

    pas donn les pouvoirs concrets aux femmes, elles avaient toujours une influence subversive

    leurs subjugueurs. Elles ont form leurs propres faons de manipulation en utilisant leur beaut

    et leur sexualit, les lments qui rendent les hommes incapables rsister leur pouvoir. Cest

    cause de cette manipulation invitable laquelle les hommes ne peuvent pas rsister quils

    sentaient le besoin de subjuguer les femmes. On peut vrifier cette conclusion en creusant dans

    trois histoires pendant cette grande priode : Le Mystre dAdam, Phdre de Jean Racine et Le

    Mariage de Figaro de Pierre Beaumarchais.

    Le Mystre dAdam

    Le Mystre dAdam est une pice crite dun auteur anonyme du 12me sicle. Cette ide

    de pouvoir subversif est vidente dans le rapport entre Adam et Eve. On voit que le Diable

    renforce la beaut et les bonnes qualits dEve quand il veut quelle prenne le fruit : Tu es

    faiblette et tendre chose, tu es plus frache que la rose, tu es plus blanche que cristal ou que neige

    sur glace en val. Couple mal assorti, pour sr tu es trop tendre, et lui trop dur ; et nanmoins tu es

    plus sage, et plein de sens est ton courage. Il fait bon sen venir toi Par lui [le fruit], - qui est

    source de vie, de puissance, de seigneurie, - bien et mal, on sait tout de reste (Le Mystre

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    dAdam 227-234, 249-251). Le Diable utilise les mots qui soulignent sa fminit comme

    tendre frache et il utilise aussi la comparaison avec une fleur. En faisant a, il amliore

    sa confiance pour quelle fasse ce quil veut, mais aussi parce quil sait que cest ce quelle

    voulait entendre. Dans une socit patriarcale comme celle-ci, on imagine quil serait rare quelle

    entende que son courage est plus sensible que celui dun homme. Le Diable continue ton

    beau corps, ta figure, conviendrait bien cette aventure, de voir lavenir sans mystre, et dtre

    toujours de la terre, du ciel et de lenfer la reine, de tout matresse souveraine Du ciel vous

    aurez la couronne, et lors, au Crateur pareils, vous saurez tout de ses conseils auquel Eve

    rpond Jai bien envie (Le Mystre dAdam 253-258, 264-272). Il plat la manque dEve

    parce quil sait quayant le pouvoir la rendra du bonheur. Quand il fait attention au beau

    corps dEve, sa figure et le couronne quelle porterait, le Diable souligne les sources de

    du pouvoir dune femme pour quelles sont dans sa tte, prtes utiliser en gouverner Adam de

    faire ce quelle veut. Eve doit trouver de lestime en elle-mme si elle veut russir dans une

    socit patriarcale :

    Eve is shown a self she can esteem, and encouraged to dwell on her weakness as an index

    of her individuality and even of her capacity. The writer has seized on the essence of a

    womans attitude to herself in a strongly patriarchal culture: whereas a mans social

    status depends on his ability to exercise his power and modify his world, a woman,

    dependent as she is, needs to be aware of how her appearance affects others and

    particularly other males. Only then can she know how best to use her influence on others

    so they will work her will for her The logical result, then, of courtly flattery is the

    arousal of the womans desire for dominance, and this, as the poet makes clear, is the

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    susceptible point in her psycheThe devil has found her weakness. So the woman falls

    for courtly words. (Morgan 113-114)

    Le Diable peut plaire elle en rendant ses faiblesses comme les forces pour la persuader de

    faire ce quil veut. Aprs quelle voit le potentiel de sa beaut, elle est prte faire ce quil veut

    pour subjuguer son mari comme il tait enseign faire elle. (Le Mystre dAdam 21)

    Aprs quEve rassure Adam quelle sait que le Diable est un traitre, il lui dit Je ne veux

    quun tel misrable te trouve jamais abordable (Le Mystre dAdam 291-292). Il veut la garder

    de lui-mme pour que ses ides ne pourraient pas tre manipules par les influences extrieures.

    Elle ne rpond pas sauf avec loffert dune pomme est de lui convaincre de le manger. Cest

    intressant quil ait confiance en elle et de ce fruit ce moment-l. Cest juste aprs quil pense

    quelle est le sien. Mais cause du fait quelle a fait plaisir son ego et ce moment-ci il pense

    quil a du contrle dans la situation, elle la convaincu. Elle peut le manipuler avec la promesse

    de pouvoir quelle lui donne, la gouvernance dont il a besoin dans le rapport, ce que Dieu a dit

    tait son droit comme mari (Le Mystre dAdam 21).

    Puis aprs la sduction, on voit un changement de lattitude dAdam aprs quil se ralise

    de sa faute. Il donne le blme Eve plus vite quil a mordu le fruit. Une femme au conseil

    menteur ma fait trahir mon crateur Quand ma femme ma pu trahir, que Dieu me donna pour

    moiti ? Elle ma si mal conseill ! Ah ! ve ! ve ! femme insense, de moi si funestement ne !

    Que na-t-elle brl, la cte qui ma fait commettre ma faute ! Par ton conseil tu fus fatale.

    Par ton conseil je suis, hlas ! (Le Mystre dAdam 321-322, 354-360, 374-375). Ctait dans le

    pouvoir dEve de lui convaincre de manger le fruit. Mais mme avec lavertissement de Dieu, il

    ne pourrait pas viter la persuasion de sa femme.

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    On voit que le pouvoir est par deux. On voit comment le Diable a emmen lmergence

    dassurance en Eve, sans laquelle on pourrait dire quEve naurait pas le pouvoir de tromper son

    mari. On voit aussi comment le pouvoir dAdam tait renforc par le fait quil pense quil

    gouverne sa femme. Quand il se ralise que sa femme avait plus de pouvoir que lui dans cette

    situation, il est devenu furieux et donne toute la faute sur Eve.

    Phdre

    Une pice du 17me sicle qui emmne ce mme pouvoir subversif des femmes est Phdre

    de Jean Racine. Pendant toute la pice, on se consente sur le personnage de Phdre, une femme

    incapable des penses de raison cause de son aveugle dun amour interdit. Mais ce quon

    pourrait facilement manquer, cest le pouvoir emmen par le personnage dAricie qui est une

    femme diffrent : une de force et de raison.

    J. Hoyt Rogers introduit lide dune transfre de dominance. Aprs son mort, le pouvoir

    que Thse avait eu sur son fils, Hippolyte, est transfr Aricie cause de son amour pour

    Hippolyte. Hippolytes love for Aricie constitutes less a rebellion against authority than a

    transferal of his submission from Thse to another master; his reply to the king in Act IV links

    the two relationships in just such a manner (Hoyt Rogers 69). Hoyt Rogers fait aussi une

    corrlation entre Thse et Aricie en disant que pour eux, lamour rassemble un jeu de conqut

    (Hoyt Rogers 70). Cest intressant parce quAricie a une caractristique commune avec le roi,

    lhomme avec le plus grand pouvoir du royaume. Les deux personnages jouent avec les curs,

    quelque chose qui a pour consquence la manipulation des personnages et souvent leurs misres ;

    on le voit quand Thse force la solitude sur Phdre qui conduit la flamme quelle dveloppe

    de son fils. On le voit aussi quand lamour interdit entre Aricie et Hippolyte devient une raison

    pour la mort dHippolyte. Cette communaut entre Thse et Aricie montre une qualit

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    masculine dAricie, qui peut tre aussi vu comme un aspect de son pouvoir. Le fait quelle

    aime la guerre du cur montre quelle est une femme trs diffrente que Phdre ; elle se battrait

    pour quoi elle croit, et elle ne serait pas arrte par la crainte.

    On voit ce manque de la crainte dans le langage dAricie aussi. Elle sait que son amour

    avec Hippolyte est interdit, mais elle le sent forte et elle ne le cache pas : Mes yeux, alors, mes

    yeux navaient pas vu son fils. Non que par les yeux seuls lchement enchante jaime en lui sa

    beaut, sa grce tant vante, prsents dont la nature a voulu lhonorer quil mprise lui-mme, et

    quil semble ignorer Jaime, je lavouerai, cet orgueil gnreux qui jamais na flchi sous le

    joug amoureux (Racine 436-444). Elle dcrit quelle tait seule chappe aux fureurs de la

    guerre (Phdre 422) et le fer qui moissonna tout ; et la terre humecte but regret le sang des

    neveux dErchte (Racine 425-426). Elle comprend les choses que les femmes de cette poque

    navaient jamais vues. Cest ici o on voit la diffrence dAricie aux autres femmes : elle

    comprend les aspects de la vie comme le colre et la mort auxquels les femmes ne soccupent

    pas. Elle parle comme un homme quand elle dcrit le beaut et la grce dHippolyte,

    donc on se ralise plus la comparaison entre elle et Thse et mme plus la dominance dont

    Hippolyte va chercher par elle.

    Malgr les restrictions que Thse a places sur la vie dAricie en essayant darrter la

    ligne de sa famille, Aricie a maintenu son indpendance en refusant dtre esclave de ses vux.

    Elle utilise les restrictions son avantage en prenant la dominance de son fils aprs quil est

    suppos dtre mort.

    Le Mariage de Figaro

    Dans Le Mariage de Figaro de Pierre Beaumarchais du 19me sicle, on voit un

    dveloppement du pouvoir des femmes en regardant Suzanne, un personnage jeune qui est

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    attendu dutiliser sa fminit de donner les faveurs au Comte. Mais cause de sa force et son

    intelligence, on voit quelle peut manipuler les circonstances plus que les autres femmes quon

    avait vues.

    Marceline est un personnage plus vieux que Suzanne. Elle dit la citation suivante qui

    change lattitude des hommes sur les femmes : Mon sexe est ardent, mais timide : un certain

    charme a beau nous attirer vers le plaisir, la femme la plus aventure sent en elle une voix qui lui

    dit : Sois belle, si tu peux, sage si tu veux ; mais sois considre, il le faut. Or, puisqu'il faut tre

    au moins considre, que toute femme en sent l'importance, effrayons d'abord la Suzanne sur la

    divulgation des offres qu'on lui fait (Beaumarchais 226-232). Pour la premire fois, quelquun

    dit que les femmes peuvent dcider comment elles voulaient sembler aux autres, en particulier

    aux hommes. Les femmes, mme si elles sont vus comme plus aventures comme Marceline,

    peuvent exprimer leurs dsirs dans la vie. Marceline mentionne que mme si les avances taient

    dj faites Suzanne, les femmes doivent sentir limportance de leurs propres ides. Et puis le

    grand choque, cest que les hommes sont en accord ; Bartholo rpond avec Elle a raison.

    Parbleu ! (Beaumarchais 239). On verra le fait que Suzanne pense pour elle-mme et ne faiblit

    pas aux avances du Comte, nimporte la tentation. On verra aussi le fait que quelques hommes

    seront en plus accord avec ce droit des femmes.

    Figaro dcrit Suzanne comme une charmante fille , toujours riante, verdissante, plein

    de gaiet, desprit, damour et de dlices ! (Beaumarchais 105-106). Ds le dbut, on voit son

    obsession avec elle de sa beaut mais aussi son caractre. Mais le pouvoir de son caractre est

    plus prouv quand Suzanne gagne le pouvoir sur Figaro en jouant avec lui. Elle sait comment les

    hommes marchent ; ils deviennent jaloux donc elle joue avec les motions en faisant semblant

    quelle donne lui-mme au Comte pendant quil espionne. Elle le fait pour vrifier la confiance

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    et lamour de Figaro (Andrews 225). Mme avec la rvlation de ses vraies intentions, on voit un

    changement de pouvoir dans la pice ; avant, lintrigue tait plutt gouverne par les hommes et

    maintenant cest les femmes avec la plupart de pouvoir. It is in that context that Susanna

    becomes the winning subject of a comedy, singing her tender ironic serenade in a natural

    setting under thechestnut tress in Beaumarchais : it is thus that she conquers the theatre,

    donimates Figaro, and wins in the name of the women in this power contest against men

    (Andrews 226). Ctait cause de sa beaut que le Comte voulait avoir Suzanne pour lui-mme,

    mais cest son intelligence que lui a rendue la gagnante de la pice.

    Dans Le Mariage de Figaro, mme si ses premiers pouvoirs sont raliss cause de sa

    beaut, Suzanne preuve quelle mrite plus de pouvoir dans ses actions intelligentes. Elle

    gouverne lintrigue de la pice mme si Figaro ne le voit pas jusqu'au cinquime acte. Mais ce

    qui est plus rvolutionnaire de Figaro que les autres pices, cest que pour la premire fois, un

    homme se ralise le pouvoir mritant dune femme.

    On a commenc dans le 12me sicle en voyant les femmes qui ont utilis leur beaut pour

    prendre le pouvoir et manipuler les circonstances. On a boug vers le 17me sicle o on a vu une

    reprsentation des femmes qui a commenc mentionner que les femmes avaient les expriences

    et les raisons pour lesquelles elles ont le droit de pouvoir. Mais la fin de cette priode, dans le

    18me sicle, on voit pour la premire fois une dclaration par une femme mais soutenu par un

    homme qui dit que lintelligence dune femme peut la guider vers le bon chemin de pouvoir.

    Mme avec un personnage comme Suzanne, qui a trouv son premier pouvoir cause de sa

    beaut, on voit qu la fin, une belle femme nest rien sans son esprit et sa capacit davoir une

    voix quelle peut utiliser pour ajouter aux circonstances auparavant rserves pour les hommes.

    Ces personnages Eve, Aricie et Suzanne peuvent contribuer reprsenter le dveloppent dun

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    pouvoir subversif des hommes ; mme si les hommes ont tenu le pouvoir sur les femmes dans la

    socit en gnral, rien ne se passerait dans ces pices sans le travail des femmes et la

    manipulation des femmes aux hommes qui nexisteraient pas sans leur subjugation initiale.

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    Les uvres cites

    Andrews, Richard. "From Beaumarchais to Da Ponte: A New View of the Sexual Politics of

    'Figaro'" Music & Letters 82.2 (2001): 214-33.JSTOR. Web. 04 May 2014.

    Cette source examine le rle des femmes dans lhistorie de Figaro par la pice de

    Beaumarchais et aussi lopra. Il mentionne un peu les vues de Beaumarchais quon peut

    tenir cause de ses choix dans la pice, mais aussi les ides gnrales sur les femmes

    dans cette poque. Andrews parle de la lutte de pouvoir entre la femme et lhomme et les

    prjugs de chaque sexe.

    Beaumarchais, Pierre. La Folle Journe Ou Le Mariage De Figaro. Manchecourt: GF

    Flammarion, 1999. Print.

    Cette source est la pice complte de Beaumarchais. Les citations viennent de ce texte et

    les lignes correspondent en numros. Le personnage de Suzanne avait un pouvoir un peu

    diffrent que les autres personnages dont jai parl, donc ce texte est devenu essentiel.

    Hoyt Rogers, J. "The Symmetry of "Phdre" and the Role of Aricie." The French Review.

    Special Issue 45.4 (1972): 65-74. JSTOR. Web. 12 May 2014.

    Ma grande ide pour cette rdaction est devenue de cette source, qui mentionne lide

    dun transfre de dominance entre Thse et Aricie sur Hippolyte. Mme si je suis alle

    plus loin que cette seule ide, cette source est devenue trs influente sur ma rdaction

    finale.

    Morgan, Wendy. ""Who Was Then the Gentleman?": Social, Historical, and Linguistic Codes in

    the "Mystre D'Adam"" Studies in Philology 79.2 (1982): 101-21. JSTOR. Web. 16 May

    2014.

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    Cette source ma montr la base de mon argument pour Eve, que ctait le Diable qui

    donne du pouvoir Eve pour quelle soit plus forte et quelle suivit ses vux en

    convainquant Adam de manger le fruit. Mme en anglais, cette source avait des bonnes

    ides sur lide de pouvoir et le rapport entre les sexes.

    Racine, Jean. Phdre. Print.

    Cette source est la pice complte de Racine. Les citations viennent de ce texte et les

    lignes correspondent en numros. Ce texte est aussi venu avec une prface que jai

    utilise pour creuser aux personnages et aux grands thmes par rapport lcrivain.

    Studer, Paul, ed. "Le Mystre D'Adam." Le Mystre D'Adam. Manchester: U, 1928. 1-63. CAB

    Abstracts Archive. Web. 11 May 2014.

    Cette source est la pice complte. Les citations viennent de ce texte et les lignes

    correspondent en numros. Elle tait spare en deux sections : la dfense et la sduction,

    et jai utilis cette sparation davant et daprs pour guider mon argument.