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École de travail social de l’UQAM MAÎTRISE EN TRAVAIL SOCIAL COURS: TRS-8305-40 TITRE: Dynamiques de l’exclusion sociale PROFESSEUR: Henri Dorvil Dates des rencontres : Jeudi 11 janvier au jeudi 19 avril 2018 DESCRIPTEUR DU COURS TRS-8305 Ce séminaire vise à initier les étudiants aux différents enjeux soulevés par l'exclusion sociale et par les stratégies d'intervention possibles pour en contrer les effets. À cette fin, les objectifs spécifiques sont: se familiariser avec les principales notions rattachées aux grands courants théoriques qui ont permis de penser la «dynamique de l'exclusion sociale»; comprendre comment elle se conjugue dans le cadre des trajectoires individuelles et dans le contexte propre à la réalité de certaines collectivités ; approfondir ses connaissances par rapport à une problématique particulière, et sur une des formes de pratiques qui visent à améliorer le sort de personnes et/ou de communautés exclues. Tout en s'intéressant à la dimension historique, le cours est centré sur les principales théories explicatives de l'exclusion sociale afin d'en dégager les stratégies d'intervention possibles pour en contrer les effets. À travers l'examen de concepts clés, issus pour la plupart de la sociologie (ex.: affiliation, cohésion, insertion, lien social, norme), mais aussi de notions complexes qui traversent un ensemble de disciplines (ex.: altérité, domination, hybridité, identité, stéréotype), nous questionnons les processus de mise à la marge et leurs conséquences au sein de nos sociétés complexes. CONTENU Le terme Exclusion n’est pas tout à fait nouveau. En fait, c’est plus ou moins l’envers d’une série de concepts avec lesquels il entretient des rapports incestueux : inclusion, affiliation, insertion, intégration, cohésion, lien social, solidarité, communauté, norme. L’exclusion, c’est à la fois l’échec et le désespoir de la normalité des sociétés. L’exclusion s’avère une situation limite, un point de chute où se retrouve un certain nombre de personnes qui ont eu, à travers leur trajectoire, des problèmes par exemple avec les normes de scolarité, de l’emploi, de la famille, etc. Il existe divers types et plusieurs degrés d’exclusion. Un exclu peut être rejeté physiquement, géographiquement, matériellement ou symboliquement. Que l’on se souvienne d’une théorie de l’intégration sociale de Castel (2004). Sont intégrés les individus inscrits dans les réseaux producteurs de la richesse et de la reconnaissance sociale. Seraient exclus ceux qui ne participeraient pas à ces échanges réglés. Ainsi une personne classée malade mentale en réinsertion sociale ou un jeune de la rue n’a pas le même statut qu’un prisonnier en libération

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École de travail social de l’UQAM

MAÎTRISE EN TRAVAIL SOCIAL

COURS: TRS-8305-40

TITRE: Dynamiques de l’exclusion sociale

PROFESSEUR: Henri Dorvil

Dates des rencontres : Jeudi 11 janvier au jeudi 19 avril 2018

DESCRIPTEUR DU COURS TRS-8305

Ce séminaire vise à initier les étudiants aux différents enjeux soulevés par l'exclusion sociale et par les stratégies d'intervention possibles pour en contrer les effets. À cette fin, les objectifs spécifiques sont: se familiariser avec les principales notions rattachées aux grands courants théoriques qui ont permis de penser la «dynamique de l'exclusion sociale»; comprendre comment elle se conjugue dans le cadre des trajectoires individuelles et dans le contexte propre à la réalité de certaines collectivités ; approfondir ses connaissances par rapport à une problématique particulière, et sur une des formes de pratiques qui visent à améliorer le sort de personnes et/ou de communautés exclues. Tout en s'intéressant à la dimension historique, le cours est centré sur les principales théories explicatives de l'exclusion sociale afin d'en dégager les stratégies d'intervention possibles pour en contrer les effets. À travers l'examen de concepts clés, issus pour la plupart de la sociologie (ex.: affiliation, cohésion, insertion, lien social, norme), mais aussi de notions complexes qui traversent un ensemble de disciplines (ex.: altérité, domination, hybridité, identité, stéréotype), nous questionnons les processus de mise à la marge et leurs conséquences au sein de nos sociétés complexes.

CONTENU

Le terme Exclusion n’est pas tout à fait nouveau. En fait, c’est plus ou moins l’envers d’une série

de concepts avec lesquels il entretient des rapports incestueux : inclusion, affiliation, insertion,

intégration, cohésion, lien social, solidarité, communauté, norme. L’exclusion, c’est à la fois

l’échec et le désespoir de la normalité des sociétés. L’exclusion s’avère une situation limite, un

point de chute où se retrouve un certain nombre de personnes qui ont eu, à travers leur trajectoire,

des problèmes par exemple avec les normes de scolarité, de l’emploi, de la famille, etc. Il existe

divers types et plusieurs degrés d’exclusion. Un exclu peut être rejeté physiquement,

géographiquement, matériellement ou symboliquement. Que l’on se souvienne d’une théorie de

l’intégration sociale de Castel (2004). Sont intégrés les individus inscrits dans les réseaux

producteurs de la richesse et de la reconnaissance sociale. Seraient exclus ceux qui ne

participeraient pas à ces échanges réglés. Ainsi une personne classée malade mentale en

réinsertion sociale ou un jeune de la rue n’a pas le même statut qu’un prisonnier en libération

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conditionnelle ou un réfugié politique dans les interstices de la stratification de l’exclusion, ne se

trouve pas dans les mêmes espaces de solidarités dont parle Durkheim, n’est pas dans le même

palier d’indignité. Il existe bel et bien donc des processus sociaux qui mènent à diverses strates de

l’exclusion. Mais est-il possible de réintégrer ces individus qui ont été retranchés de la vie

sociale ? C’est à cette tâche que s’attèle le travail social sur le plan clinique comme sur celui du

communautaire.

Selon Robert Castel (2004), la réintégration constitue un ensemble de procédures qui visent à

annuler cette sorte de déficit dont souffre un individu stigmatisé pour qu’il puisse se réinscrire

dans la vie sociale à parité avec ceux qui n’ont pas souffert de ce déficit. Un premier volet de ce

travail social via une compétence professionnelle consiste à remettre à niveau des individus

atypiques, anomiques i-e détachés de leur groupe d’appartenance et incapables à s’adapter à la

marche commune. Mais depuis le rétrécissement de l’État Providence qui avalisait cette manière

de faire, l’individu est de plus en plus atomisé avec le développement fulgurant des dynamiques

d’individualisation, perd le bénéfice des supports collectifs qui lui assurait un minimum

d’autonomie. Ces individus en général de condition modeste perdent plus souvent leur travail

dans le contexte de la mondialisation et deviennent de nouveaux pauvres. S’ils perdent leur place

dans la société qui jusqu’à présent leur était assurée, ce n’est guère à cause d’un déficit personnel

technique ou intrapsychique, c’est parce que la conjoncture sociale a changé. C’est là que revient

en force l’autre volet du travail social qui met l’accent sur l’empowerment individuel,

l’empowerment collectif, l’action communautaire, les luttes citoyennes qui interrogent les

nouvelles conditions de vie, les politiques d’emploi et de solidarité sociale, bref qui combattent

cette exclusion planifiée.

C’est dans ce contexte que les sciences humaines et sociales ont fait de l’exclusion un des thèmes

de combat. C’est avec cette problématique que nous tenterons de comprendre le sens et la portée

de l’actuelle dynamique de l’exclusion : qu’est-ce qui explique qu’au cœur de la société moderne

dans laquelle nous vivons perdurent des rapports sociaux qui produisent des exclusions

spécifiques autour des différences de classe sociale, de sexe, d’âge, d’ethnicité et d’appartenance

culturelle.

HORAIRE DU COURS

1. • Les éclairages sociologiques sur l’exclusion : Durkheim, Simmel, Weber, Becker,

Goffman, Castel, Douglas, Xiberras, Schnapper.

• Histoire et anthropologie culturelles de la difformité : Alain Corbin, Jean-Jacques

Courtine, Georges Vigarello

– L’exhibition de l’anormal

– Le crépuscule des monstres

– Horriblement humains

– Monstruosités, handicaps, différences

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2. • Le paradigme individualiste

– Marcelo Otero, Santé mentale, adaptation sociale et individualité contemporaine in

CRS.

+ Les règles de l’individualité contemporaine

– Robert Castel intégration et nouveaux processus d’individualisation in J. Poupart

– Michel Parazelli, Exclusion et inégalités : sans domicile fixe, travail précaire, réfugié.

Les limitations épistémologiques des représentations sociospatiales des pratiques urbaines

juvéniles in La rue attractive…

– Michel Tousignant, Les mécanismes de solidarité sociale et de résilience collective in

RFPM.

3. • Les chiffres de l’exclusion selon l’Institut de la statistique du Québec

• Les chiffres de l’exclusion selon la littérature scientifique

– l’exclusion des travailleurs à faible revenu

– l’exclusion des peuples autochtones des Premières Nations

– l’exclusion des personnes de couleur noire et des autres groupes de citoyens visibles

Le choix de textes pour le travail de mi-session

1. Erving Goffman, passeur contemporain entre le travail social et la sociologie ? par-delà les différend(ce) disciplinaires de Stéphanie Garneau et Dahlia Namian (2017) in Erving Goffman et le travail social, Presses de l’Université d’Ottawa.

2. De la prudence épistémologique de Goffman : quelle posture épistémologique à une critique sociale réflexive de Stéphanie Garneau in Stéphanie Garneau et Dahlia Namian (2017) Erving Goffman et le travail social, Presses de l’Université d’Ottawa.

3. Administrer les pauvres : quand l’ordre institutionnel relie l’ordre de l’interaction et

l’ordre social de Vincent Dubois in Stéphanie Garneau et Dahlia Namian (2017) Erving Goffman et le travail social, Presses de l’Université d’Ottawa.

4. La « carrière morale » et la construction des problèmes sanitaires et sociaux de Marc

Loriol in Stéphanie Garneau et Dahlia Namian (2017) Erving Goffman et le travail social, Presses de l’Université d’Ottawa.

5. Réintégrer le travail à la suite d’un trouble de santé mentale : question du stigmate et

troubles dans l’interaction de Laurie Kirouac, Dahlia Namian et Henri Dorvil in Stéphanie Garneau et Dahlia Namian (2017) Erving Goffman et le travail social, Presses de l’Université d’Ottawa.

6. Le travail de référence. Une perspective goffmanienne sur l’humanisation des services

dans le secteur sanitaire et social de Baptiste Brossard in Stéphanie Garneau et Dahlia Namian (2017) Erving Goffman et le travail social, Presses de l’Université d’Ottawa.

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7. Le concept de façade chez Goffman : mise en scène du thérapeutique et présentation de

soi dans la relation d’intervention de Audrey-Anne Michaud et Romain Paumier in Stéphanie Garneau et Dahlia Namian (2017) Erving Goffman et le travail social, Presses de l’Université d’Ottawa.

8. Analyse de la vie quotidienne : l’apport des méthodes microanalytiques à la compréhension

de la réalité des aidantes familiales auprès des personnes âgées de Marjorie Silverman in Stéphanie Garneau et Dahlia Namian (2017) Erving Goffman et le travail social, Presses de l’Université d’Ottawa.

9. Ambiguïtés des cadres de l’expérience dans les interactions en face à face entre personnes

en situation de handicap et personnes « valides » : quelles implications pour les

chercheurs? De Francis Loser et Barbara Waldis in Stéphanie Garneau et Dahlia Namian (2017) Erving Goffman et le travail social, Presses de l’Université d’Ottawa.

10. Les cadres temporels de l’intervention sociale d’Urgence. Vers une métaphore musicale

de Édouard Gardella in Stéphanie Garneau et Dahlia Namian (2017) Erving Goffman et le travail social, Presses de l’Université d’Ottawa.

11. Repenser les pratiques en santé mentale : contributions du concept de carrière à une

approche inclusive des personnes utilisatrices de services de Katharine Larose-Hébert in Stéphanie Garneau et Dahlia Namian (2017) Erving Goffman et le travail social, Presses de l’Université d’Ottawa.

12. Handicap intellectuel et vie sexuelle : de l’importance des travaux d’Erving Goffman pour

la pratique soignante de Pierre Pariseau-Legault et Daves Holmes in Stéphanie Garneau et Dahlia Namian (2017) Erving Goffman et le travail social, Presses de l’Université d’Ottawa.

13. Les moments de l’intervention sociale et leurs acteurs de Magdalena Baczkowska in Stéphanie Garneau et Dahlia Namian (2017) Erving Goffman et le travail social, Presses de l’Université d’Ottawa.

ÉVALUATION

Je demande aux étudiantEs de faire vers la mi-session un exposé de 20 minutes parmi les textes

suggérés en classe. Les étudiantEs néophytes dans l’art de rédiger un compte rendu de lecture

auraient intérêt à consulter de Jocelyn Letourneau Le coffre à outil du chercheur débutant –

Guide d’initiation au travail intellectuel, Montréal Édition Boréal 1996, 266 pages. Le travail de

fin de session prendra la forme d’une analyse systématique d’un livre à partir de la grille

académique de lecture utilisée dans toutes les universités : Hypothèse(s), Cadre théorique,

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Méthodologie, Résultats et Critique. Une valeur égale (50 %) sera attribuée à l’un et l’autre des 2

travaux.

Le travail d’équipe de fin de session (maximum 2 étudiants) se fera à même l’un ou l’autre des

trois livres obligatoires du séminaire :

Otero, M, Dumais Michaud, A-A et R. Paumier (2017). L’institution éventrée-de la socialisation

à l’individuation, PUQ, Collection Problèmes sociaux et Interventions sociales.

Dorvil, H., Kirouac, L. et G. Dupuis, 2015. Stigmatisation-les troubles mentaux en milieu de

travail et dans les médias de masse, PUQ, hors collection.

Marcelin, L-H., Cela, C. et H. Dorvil (2017). Les Jeunes Haïtiens dans les Amériques/Haitian

Youth in Americas, PUQ, Collection Problèmes sociaux et Interventions Sociales.

CRITÈRES D’ÉVALUATION

Cohérence, clarté, Originalité, exhaustivité, esprit critique et de synthèse. Application méthodique

et intelligente de la grille académique de lecture.

Politique 16 sur le harcèlement sexuel

Le harcèlement sexuel se définit comme étant un comportement à connotation sexuelle unilatéral

et non désiré ayant pour effet de compromettre le droit à des conditions de travail et d’études

justes et raisonnables ou le droit à la dignité.

La Politique 16 identifie les comportements suivants comme du harcèlement sexuel :

1. Manifestations persistantes ou abusives d’un intérêt sexuel non désirées.

2. Remarques, commentaires, allusions, plaisanteries ou insultes persistants à caractère sexuel

portant atteinte à un environnement propice au travail ou à l’étude.

3. Avances verbales ou propositions insistantes à caractère sexuel non désirées.

4. Avances physiques, attouchements, frôlements, pincements, baisers non désirés.

5. Promesses de récompense ou menaces de représailles, implicites ou explicites, représailles

liées à l’acceptation ou au refus d’une demande d’ordre sexuel.

6. Actes de voyeurisme ou d’exhibitionnisme.

7. Manifestations de violence physique à caractère sexuel ou imposition d’une intimité sexuelle

non voulue.

8. Toute autre manifestation à caractère sexuel offensante ou non désirée.

Pour plus d’information :

http://www.instances.uqam.ca/ReglementsPolitiquesDocuments/Documents/Politique_no_16.pdf

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Pour rencontrer une personne ou faire un signalement :

Bureau d’intervention et de prévention en matière de harcèlement :

514-987-3000, poste 0886

http://www.harcelement.uqam.ca

Étudiants ayant une déficience de type visuelle, auditive, motrice, trouble d’apprentissage,

trouble du déficit de l’attention, trouble envahissant du développement et trouble de santé

mentale

Les étudiants qui ont une lettre d’Attestation des mesures d’accommodements académiques

obtenue auprès d’un conseiller de l’Accueil et soutien aux étudiants en situation de handicap

(ASESH) doivent rencontrer leur professeur au début de la session afin que des mesures

d’accommodement en classe ou lors des évaluations puissent être mises en place. Ceux qui ont

une déficience mais qui n’ont pas cette lettre doivent contacter l’ASESH au 514-987-3148 ou se

présenter au local J-M870 le plus tôt possible.

VEUILLEZ PRENDRE NOTE QUE LES TRAVAUX NE SERONT PLUS DISPONIBLES

AU SECRÉTARIAT DE L’ÉCOLE DE TRAVAIL SOCIAL. SI VOUS VOULEZ

RÉCUPÉRER VOS TRAVAUX, VOUS DEVEZ JOINDRE UNE ENVELOPPE TIMBRÉE

À VOS TRAVAUX.

PLAGIAT

Règlement no 18 sur les infractions de nature académique

Tout acte de plagiat, fraude, copiage, tricherie ou falsification de document commis par

une étudiante, un étudiant, de même que toute participation à ces actes ou tentative de

les commettre, à l’occasion d’un examen ou d’un travail faisant l’objet d’une évaluation

ou dans toute autre circonstance, constituent une infraction au sens de ce règlement

La liste non limitative des infractions est définie comme suit :

la substitution de personnes ;

l’utilisation totale ou partielle du texte d’autrui en le faisant passer pour sien ou sans indication de référence ;

la transmission d’un travail pour fins d’évaluation alors qu’il constitue essentiellement un travail qui a déjà été transmis pour fins d’évaluation académique à l’Université ou dans une autre institution d’enseignement, sauf avec l’accord préalable de l’enseignante, l’enseignant ;

l’obtention par vol, manœuvre ou corruption de questions ou de réponses d’examen ou de tout autre document ou matériel non autorisés, ou encore d’une évaluation non méritée ;

la possession ou l’utilisation, avant ou pendant un examen, de tout document non

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autorisé ;

l’utilisation pendant un examen de la copie d’examen d’une autre personne ;

l’obtention de toute aide non autorisée, qu’elle soit collective ou individuelle ;

la falsification d’un document, notamment d’un document transmis par l’Université ou d’un document de l’Université transmis ou non à une tierce personne, quelles que soient les circonstances ;

la falsification de données de recherche dans un travail, notamment une thèse, un mémoire, un mémoire-création, un rapport de stage ou un rapport de recherche.

Les sanctions reliées à ces infractions sont précisées à l’article 3 du Règlement no 18

Pour plus d’information sur les infractions académiques et comment les prévenir :

www.integrite.uqam.ca

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