MARS - AVRIL 2002 - Quebec...responsables de la gestion des interventions lorsqu’un ... exploration des ressources et des risques naturels - Les ministères des Transports et de

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par Éric Doneys

Un site Internet pour suivrel’évolution des débits et niveauxdes principaux cours d’eau duQuébec

La Direction des opérations territoriales de la sécurité civile (DOTSC) du ministère de la Sécurité publique doit prendreles mesures nécessaires pour éviter qu’un événement porte atteinte à la sécurité des personnes et cause des dommagesaux biens. Dans certains cas, elle doit exercer les activités qui découlent de ces mesures pour amoindrir lesconséquences et permettre le retour à la vie normale. Ces actions visent aussi à aider les autorités municipales àmettre en place et à actualiser les plans de mesures d’urgence pour faire en sorte que les interventions sur les lieuxd’un sinistre s’organisent efficacement. En l’occurrence, la DOTSC doit répondre à plusieurs types de sinistres, peuimporte qu’ils soient anthropiques (causés par l’homme) ou naturels.

De tous les sinistres, les inondations sont certainement les catastrophes auxquelles la population est le plus souventconfrontée. Ceci est vrai dans plusieurs régions du Québec où les inondations sont récurrentes. Heureusement, avec lesannées, la DOTSC a acquis une bonne expérience dans le suivi des indicateurs en période de crues printanières, tels queles débits et niveaux des nombreux lacs et rivières du Québec. Pour arriver à remplir son mandat avec efficacité, il lui fallaittoutefois automatiser ses opérations. Désormais, des systèmes permettront de gérer une multitude de données et de créerdes tableaux, des graphiques et bientôt des cartes. Cette automatisation était d’autant plus nécessaire que le suivi descrues printanières s’étend maintenant à tout le territoire québécois.

Au cours de l’année 2000, les renseignements à ce sujet ont été regroupés dans le site Intranet du Ministère. Après avoirconnu un franc succès à l’interne, ces renseignements sont maintenant disponibles par l’intermédiaire de son site Internet,un moyen efficace pour joindre rapidement la clientèle visée et lui donner toute l’information utile.

Les données sur les débits et les niveaux d’eau proviennent de sources multiples : pour la plupart, du ministère del’Environnement, mais également d’Environnement Canada, d’Hydro-Québec et du National Weather Service (NWS). Cesdonnées renseignent, presque en temps réel, sur l’état d’un cours d’eau ou d’un lac. De cette façon, on peut suivre, à unestation hydrométrique donnée, l’évolution et la tendance du niveau de l’eau ou du débit, et déterminer si le niveau est enbaisse, s’il est stable ou en hausse. Pour bon nombre de rivières et de lacs, un repère du seuil d’inondation mineure (SIM)a été établi, ce qui permet d’évaluer la situation.

Comité de rédactionMarie-Josée Gallien (Rédactrice en chef),

Geneviève-Ilou Boucher, Luc Gravel, Pierre Lessard,Louis Rousseau, Chantal Seuthé

TraductionGarriss et Vachon inc.

Édition électroniqueProspection Inc.


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Voici un extrait du fichier texte récupéré par hyperterminal sur le CDTdu ministère de l’Environnement. Les données sont présentées surquatre lignes, par code et par station, pour chaque heure.

Les données sur les débits et niveaux recueillies par le ministère de l’Environnement sont accessibles en temps réel parhyperterminal (modem) au Centre des données télémétriques (CDT). Le CDT donne accès à la liste des stationshydrométriques du Québec ou d’un secteur en particulier. En tout, on compte une centaine de stations. D’autres indicateurssont recueillis quotidiennement : précipitation, vitesse du vent, humidité et température.

Au cours des deux dernières années, la DOTSC utilisait un système semi-automatique : plusieurs saisies étaient faites à lamain. L’automatisation a permis d’améliorer et, surtout, d’accélérer cette opération. Une application en Visual Basic permetmaintenant de récupérer les données des stations hydrométriques à partir de l’hyperterminal. Contenues dans un fichiertexte, elles sont codées et renseignent, entre autres, sur le débit et le niveau. Elles sont, par la suite, réorganisées etenregistrées dans une base de données Access. Certaines données complémentaires sont recueillies, à la fois dansInternet et par télécopieur, et saisies manuellement dans l’application. Celle-ci permet de créer des tableaux cumulatifs etdes graphiques. Il ne reste qu’à les sauvegarder en format PDF et à les afficher dans le site Internet du Ministère.

Par ailleurs, la DOTSC travaille actuellement à une application qui permettra de traiter les données d’Access et de créer unesérie de cartes. Pour donner un bref aperçu de cette application, différents codes de couleur seront associés automatiquementaux stations hydrométriques. Si le niveau ou le débit est stable ou à la baisse, on associera à la station la couleur verte. S’ily a hausse, ce sera le jaune. Si le niveau ou le débit est près du seuil d’inondation mineure (> 90 % du SIM), ce seral’orange. Le rouge désignera un SIM dépassé. Puisque le programme tiendra compte des données qui ont servi à faire ladernière carte, il permettra de comparer les dernières données aux précédentes et, par conséquent, d’utiliser les codes decouleur appropriés. Après avoir sauvegardé l’information en JPG, il restera à la rendre disponible dans Internet. Cetteapplication devrait permettre, dès cette année, de surveiller plus étroitement les crues printanières.


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La fréquence de mise à jour du site Internet du ministèrede la Sécurité publique varie selon la situation. Au débutdu suivi, les renseignements sont affichés deux fois parjour, soit vers 8 h et 13 h 30. Cependant, la fréquenceaugmente quand les débits et niveaux sont à la hausse etqu’ils approchent du seuil d’inondation mineure. Cettefréquence est augmentée à la demande des directeursrégionaux de la sécurité civile (au nombre de sept).

Pour les conseillers en sécurité civile qui suivent l’évolutionde la situation dans les municipalités, ces renseignementssont de première importance. Ils le sont aussi pour lesmunicipalités elles-mêmes. En effet, ces dernières sontresponsables de la gestion des interventions lorsqu’unsinistre survient sur leur territoire. Plusieurs d’entre ellesutilisent ces renseignements pour mieux planifier leurintervention. Par ailleurs, de nombreux autres intervenantsy ont accès, notamment les membres des organisationsrégionales de sécurité civile (ORSC) et même la populationen général. Précisons qu’une bonne évaluation de la

Renseignements :

Eric DoneysDirection des opérations territoriales de la sécurité civileDirection générale de la sécurité civile et de la sécurité incendieMinistère de la sécurité publiqueTél. : (514) 864-2189Téléc. : (514) [email protected]

Le tableau présente les débits et les niveaux des principaux cours d’eaude la Montérégie. Il renseigne sur l’état des rivières Richelieu, Noire etYamaska, du lac Champlain et du fleuve Saint-Laurent (Sorel-Tracy). Lecode de chiffres utilisé par le ministère de l’Environnement (MENV)permet d’identifier ses stations hydrométriques. Pour chaque station, ontrouve les renseignements étalés sur plusieurs jours, ce qui permet desuivre la tendance. La source de l’information est indiquée au bas dechaque colonne. Ce type de fichier en format PDF est accessible parInternet.

La carte ci-dessus représente un exemple de ce que donnera la nouvelleapplication. Chaque station hydrométrique est localisée et associée àun code de couleurs. Selon la situation, les couleurs changent. Cescartes indiquent le débit et le niveau d’eau « actuels » et ceux qui ontservi à tracer la dernière carte.

situation demande de pouvoir considérer également diversautres indicateurs comme l’équivalent en eau sur le sol, letaux de ruissellement, la météo et le degré-jour de fonte.

L’apport de ces nouvelles applications est appréciable.Dans le contexte d’une surveillance du réseauhydrographique de tout le Québec, elles permettent de gérerune quantité importante de données et de créer rapidementdes tableaux, des graphiques et bientôt des cartes,d’augmenter la fréquence des mises à jour, tout en facilitantla manipulation et en limitant les erreurs de saisie. De plus,elles fournissent à la clientèle une information de qualitépar Internet.


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Réseau GEOIDE :Les projets de la phase II sont maintenant connus!

En février dernier, le Réseau GEOIDE annonçait les projets de recherche sélectionnés dans le cadre de la phase II. Cettedeuxième phase s’étendra du 1er avril 2002 au 31 mars 2005 et recevra des fonds totalisant 9 millions de dollars. L’avenir seprécise donc pour les quinze premières équipes de recherche retenues. De nouvelles équipes joignent le Réseau tandisque se poursuivent des collaborations entamées lors de la première phase.

Au total, cinq des quinze projets de la phase II sont chapeautés par des chercheurs québécois. Les membres des secteursuniversitaire, industriel et gouvernemental québécois représentent maintenant plus du quart des membres du Réseau.Ainsi, le ministère de la Sécurité publique, la Société de la faune et des parcs du Québec et la Régie régionale de la santéet des services sociaux de l’Estrie joignent, avec le ministère des Transports, les rangs des participants gouvernementauxaffiliés au Réseau, alors que le ministère des Ressources naturelles demeure un partenaire majeur. Dans le secteur privé,la collaboration se poursuit avec des entreprises québécoises telles que Lasermap ImagePlus, GEO3D et KHEOPS.

Comme c’était le cas dans la première phase, les nouveaux projets se distribuent en quatre grands axes d’application : lesressources naturelles, l’environnement et le milieu marin, les transports et le commerce, ainsi que la santé, le développementsocial et les services. Voici un aperçu, par axe d’application, de chacun des projets retenus :

Ressources naturelles

Imagerie spectroscopique - Ce projet facilitera la gestion des ressources minérales et des ressources renouvelables;archivage automatique de données lithologiques par télédétection hyperspectrale;exploration des ressources et des risques naturels - Les ministères des Transports et de la Sécurité publiquejumelleront leurs efforts pour mieux comprendre, grâce aux technologies géomatiques, les causes et lesconséquences des désastres naturels tels que les glissements de terrain en zone côtière.


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Environnement et milieu marin

Détermination du géoïde aux fins de positionnement géoréférencé et d’océanographie;élaboration d’un système dynamique de référence verticale - Ce système aura différentes applicationsenvironnementales;modélisation de la production des saumoneaux dans l’Atlantique - La Société de la faune et des parcs du Québecparticipera à ce projet dirigé par le chercheur J. Dodson, de l’Université Laval; on y utilisera les plus récentestechnologies géomatiques (télédétection et SIG) pour améliorer la modélisation des habitats du saumon, uneressource importante, mais fragile dans le domaine des pêcheries;analyse des risques liés à la circulation en zone côtière.

Transports et commerce

Généralisation multiéchelle et représentations multiples (GEMURE) pour la production et la diffusion de donnéescartographiques (suite) - Ce projet, dirigé par le chercheur Y. Bédard, du Département des sciences géomatiquesde l’Université Laval, sera réalisé en partenariat avec le ministère des Ressources naturelles. On y explorera denouvelles solutions pour contrecarrer les problèmes liés à la généralisation cartographique automatique. En haussede popularité, la technologie permettant d’obtenir des cartes « sur mesure » répond à des besoins croissants pourla diffusion dans Internet;élaboration d’un système GPS-SIG intégré pour la collecte d’information spatiotemporelle - Grâce à ce système, ilsera possible de suivre l’évolution des déplacements en milieu urbain et de mieux comprendre les effets, notamment,de la participation massive des femmes à l’économie, de l’émergence de commerces ouverts sans interruption, del’essor des loisirs et de l’étalement urbain, autant de facteurs qui augmentent le nombre d’automobiles sur la route.Le projet, dirigé par le chercheur M. Lee-Gosselin, du Département d’aménagement de l’Université Laval, seraréalisé avec la participation du ministère des Transports, qui s’intéresse à l’incidence de ces facteurs sur la gestionde son réseau routier;modélisation à base de perception pour la géomatique des affaires;automatisation de traitements photogrammétriques et de fusion de données provenant d’imagerie satellitale (LIDARet IfSAR) de très haute résolution et de cartes pour la cartographie urbaine en 3D;fusion intelligente de données pour la navigation aérienne et la gestion des désastres;production de la prochaine génération de systèmes de navigation à base de capteurs mécaniques micro-électriques(MEMS) pour suivre les déplacements des véhicules et des individus.


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Santé, développement social et services

Biométrologie appliquée à l’évaluation des diagnostics, des procédures et des traitements médicaux - Il s’agit d’unprojet touchant des aspects complémentaires d’une recherche entamée au cours de la première phase;géomatique appliquée à l’étude des relations entre l’environnement physique, politique et social et les maladiescardiovasculaires, tel l’infarctus du myocarde - Ce nouveau projet, dirigé par le chercheur A. Vanasse, de l’Universitéde Sherbrooke, sera réalisé avec la participation de la Régie régionale de la santé et des services sociaux del’Estrie.

Avec le début de la phase II, l’esprit de collaboration se poursuit de plus belle entre les agences gouvernementales fédéraleset provinciales, les industries et les instituts de recherche. La culture de réseautage s’installe graduellement au sein de lacommunauté géomatique québécoise et canadienne, et les domaines d’application se diversifient.

Pour atteindre le nombre de projets fixé pour la phase II, le Réseau GEOIDE lancera un second appel de propositions aucours des prochaines semaines. Cet appel visera à recruter des équipes de recherche à qui l’on confiera la réalisation decinq nouveaux projets dans des domaines précis. Les détails seront diffusés dans le site Internet du Réseau GEOIDE. Uneinvitation sera envoyée aux universités canadiennes ainsi qu’aux abonnés au courrier électronique (LISTSERV). Les projetsretenus seront annoncés en octobre. Leur réalisation débutera en décembre 2002.

Renseignements :

Keith P. B. ThomsonRéseau GEOIDEUniversité LavalTél. : (418) [email protected]


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Vaste opération de relevés par GPS à la Société de transport de Lavalpar Christine Gauvreau

En juillet 2001, la Société de transport de Laval (STL) a faitle relevé exhaustif, sur son territoire, de l’emplacement des2 300 arrêts d’autobus. Inscrite à l’intérieur d’un projet pilotede suivi d’autobus par GPS, en cours depuis un peu plusd’un an, cette opération a permis, notamment, d’alimenterles outils d’information à la clientèle, de même que lesystème de comptage des passagers.

En matière d’outils d’information, la STL a entrepris, depuis1999, l’informatisation de son service à la clientèle enmettant en place, entre autres, l’environnement MADPREP(MAD pour groupe MADITUC de l’École polytechnique deMontréal et PREP pour préposés), utilisé par les préposésaux renseignements téléphoniques (1999); le site Internetde la STL (2000); le système téléphonique Chronobusdiffusant les heures de passage aux arrêts(2001); et leprogramme Garantie qualité STL, un engagement deremboursement du coût de passage à la clientèle qui sesent lésée (2001). Chacun de ces outils a un dénominateurcommun : la diffusion de renseignements aux arrêts. Deplus, la STL dispose de vingt véhicules équipés d’unsystème de comptage de passagers (GPS, lecteursoptiques infrarouges, ordinateurs de bord). Le découpagedes voyages effectués par ces véhicules se fait,actuellement, selon un algorithme basé sur la séquencedes arrêts.

Pour mettre au point le nouvel outil appelé« Relève-Arrêts » et traiter le relevé de l’été dernier, laSTL a mandaté la firme de géomatique SiGis. Cet outildevait répondre à une vaste gamme de besoins,notamment :

le recensement exhaustif de tous les arrêtsd’autobus de son réseau et leur emplacement avecune précision de positionnement de l’ordre d’unmètre ou moins (MTM Nad 83 zone 8);le recensement complet de tous les circuitsd’autobus;la mise sur pied d’une banque de donnéescontenant l’information relative à l’équipementprésent à chaque arrêt (abribus, banc, poubelle,poteau, etc.);la mise sur pied d’une banque de donnéescontenant tous les renseignements surl’environnement immédiat de chaque arrêt (zoned’attente, zone protégée, signalisation, bordure derue, etc.);la validation des renseignements codifiés dans lemodule Geo d’HASTUS (module de gestion desarrêts et abribus) (numéro de ligne, présenced’abribus);la validation des renseignements de base utiliséspar les systèmes MADPREP (MAD pour groupeMADITUC de l’École polytechnique de Montréalet PREP pour préposés) et MADWEB (MAD pourgroupe MADITUC de l’École polytechnique deMontréal et WEB pour outil de production de pageWeb) (séquence d’arrêt).


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De plus, l’utilitaire devait répondre adéquatement aux usages et objectifs suivants :valider complètement des renseignements in situ, par des procédés visant à confirmer des données saisies;permettre de corriger la position, d’ajouter ou d’éliminer des arrêts in situ;optimiser la vitesse d’exécution pour obtenir une performance comparable aux exercices du même genre effectuésdans les autres sociétés de transport;permettre la gestion des journées de travail des utilisateurs de l’application, en indiquant les itinéraires à suivre pourles relevés, tout en distinguant les arrêts déjà relevés de ceux qui devaient l’être;éliminer, le plus possible après le relevé, le traitement ultérieur des données;simplifier l’utilisation pour toute personne non initiée aux technologies GPS et à la géomatique.

La technologie retenueLes avantages et les inconvénients associés aux diverses technologies disponibles ayant été analysés, il a été convenud’utiliser un ordinateur portable, équipé de MapInfo et du logiciel « Geographic Tracker », de Blue Marble Geographics.L’ordinateur a été relié à un capteur GPS Leica GS 50, d’une précision de l’ordre de 40 cm, après correction en temps réel,par signaux RTF.

Les capacités d’analyseL’une des principales caractéristiques de l’application est sa capacité à interroger l’environnement cartographique et àanalyser le contexte.

Ainsi, pour chaque paire de coordonnées saisies :une application analyse toutes les intersections contenues à l’intérieur du rayon de recherche;un algorithme de rabattement sur le réseau analyse toutes les possibilités et retourne la plus probable en fonctiondes distances calculées;une distance par rapport à l’intersection la plus proche est calculée sur le réseau routier;une description de l’arrêt est affichée (voie principale/intersection, distance réseau) et le tronçon est mis en surbrillanceaux fins de validation.

Cette capacité d’analyse a diminué grandement le temps à investir dans le traitement ultérieur des données. Elle amême permis une validation, sur le terrain, des rabattements effectués sur le réseau routier. La validation a d’ailleurs permisde forcer des rabattements vers d’autres segments routiers. Cette analyse supervisée a garanti l’exactitude de l’informationenregistrée dans les bases de données et la cohérence cartographique en cas d’imprécision du signal GPS ou du fondroutier.


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Performance de l’outilUne équipe de deux étudiants se déplaçant à bord d’un véhicule motorisé a relevé les 2 312 arrêts en 26 jours ouvrables,soit une moyenne de 90 arrêts par jour. Dans les meilleures conditions, un temps de quatre minutes était nécessaire poursaisir les coordonnées GPS, valider l’analyse spatiale, relever plus d’une quinzaine d’éléments d’information, prendre unephoto numérique des installations et se déplacer jusqu’au prochain arrêt. Combinés à l’ergonomie de la boîte de dialogue,l’encadrement et les moteurs d’automatisation et de navigation de l’application ont grandement contribué à la vitesse del’activité.

De plus, l’analyse spatiale et le processus de validation interactive ont permis d’éliminer les erreurs dans une proportion deprès de 8 p. 100. Ces erreurs sont attribuables à l’imprécision de la cartographie ou à la problématique de l’emplacement del’arrêt d’autobus. Tout laisse supposer que, dans des conditions plus difficiles, ce pourcentage aurait pu être beaucoup plusélevé.

En cinq semaines, la STL a augmenté significativement laprécision de l’emplacement de ses arrêts, ainsi quel’exactitude de l’information contenue dans ses bases dedonnées. L’utilisation d’ordinateurs portables associés àdes logiciels dans leur version intégrale a permis d’allerchercher toute la puissance nécessaire à la saisie, àl’analyse et à la validation interactive in situ desrenseignements relevés. Cet exercice a donc permis à laSTL de disposer d’une information à haute valeur ajoutée,et ce, à peu de frais, en peu de temps.

Renseignements recueillis pour chacun des arrêtsRenseignements :

Christine GauvreauConseillère en planificationSociété de transport de LavalTél. : (450) [email protected]


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Un collaborateur hors pair

Associé depuis longtemps au volet communication du PGGQ, M. Louis Rousseau, du ministère des Transports, doit mettre

fin à sa collaboration en tant que membre du comité des communications du PGGQ et participant actif au sein du comité de

rédaction du bulletin GÉOinfo. Sa connaissance des systèmes d’information en transport en fait un conseiller de plus en

plus sollicité dans son milieu.

Louis Rousseau a agi à titre de rédacteur en chef du bulletin GÉOinfo de 1998 à 2000. Sous sa direction, GÉOinfo a pris le

virage Internet. L’adaptation au format Web a permis au bulletin de se tailler une place de choix parmi les publications

Internet thématiques du gouvernement du Québec.

Par-dessus tout, M. Rousseau a été l’initiateur de la base de données de sites Web francophones en géomatique, le

répertoire SIGnet considéré maintenant comme une référence dans le domaine. Sa maîtrise du Web a permis de développer

cet outil informatique.

L’équipe de rédaction de GÉOinfo tient à remercier sincèrement M. Rousseau, pour sa précieuse collaboration. Sa

persévérance, son sens de l’initiative et l’excellence de son travail, au cours de ces nombreuses années passées au sein du

comité des communications et du comité de rédaction du bulletin, ont été vivement appréciés. La minutie de son travail et

la constance avec laquelle il a accompli ses activités font de M. Rousseau un collaborateur hors pair.

L’équipe de rédaction du GÉOinfo


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par Jean Boisclair et Manon Carignan

Les parcs nordiques construits sur du solide!Partenariat, connaissance géographique et consultation

Le réseau des parcs québécois :vous connaissez?Le réseau des parcs du Québec compte actuellement 22sites aménagés afin de protéger le milieu naturel et de lemettre en valeur à des fins éducatives et récréatives. Cesparcs sont accessibles depuis 1979 dans plusieurs régionsdu Québec.

Le gouvernement du Québec a réservé des territoires au-delà du 50e parallèle en vue d’y créer des parcs dans lesrégions naturelles du Nord. Ces territoires nordiquescouvrent une superficie d’environ 60 000 km2. La beauté etl’intégrité, de même que les caractéristiques culturelles ethistoriques de ces milieux soustraits à l’exploitationforestière, minière ou énergétique viendront éventuellementenrichir le réseau de parcs accessibles aux Québécois etQuébécoises ainsi qu’aux visiteurs étrangers.

Les projets de parcs font appel à un bagage important deconnaissances et requièrent la participation active des gensdu milieu. Les compétences multidisciplinaires desemployés de la Société de la faune et des parcs (FAPAQ)sont mises à profit. Biologistes, botanistes, géographes,géomorphologues et ingénieurs forestiers documentent lescaractéristiques biophysiques et présentent l’état desconnaissances sur les territoires ciblés.

La cartographie des parcs nordiquesIl y a maintenant plus d’un an, la Société de la faune et desparcs (FAPAQ) s’associait au ministère des Ressourcesnaturelles (MRN) pour la production de l’assisecartographique de 9 des 11 parcs de conservation endéveloppement au Nunavik. L’objectif était d’obtenir uneréférence numérique fiable qui permettrait à la FAPAQ deprofiter de tous les avantages de la géomatique poureffectuer l’intégration et l’analyse de nombreuxrenseignements.

La base de référence des parcs nordiques est construite àpartir d’une nouvelle cartographie topographique numériqueà l’échelle du 1/100 000. La méthode retenue est celle dela photogrammétrie satellitaire. Cette méthode estprésentement utilisée au MRN dans la cartographie àl’échelle 1/100 000 de la zone comprise entre le 51e et le53e parallèle nord (voir le GÉOinfo de janvier-février).

Un projet en partenariatDans le cadre de l’entente entre le MRN et la FAPAQ, leMRN prend en charge l’acquisition des données images(53 couples d’images-satellite SPOT permettent de couvrirles territoires à cartographier), le relevé des points decontrôle photogrammétriques (75 points de contrôledisponibles) et le suivi des contrats de production avec lesentreprises de service en géomatique.

Le MRN met ainsi l’expertise de ses ressources humaines


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Un processus basé sur la consultationLa naissance d’un parc n’est possible que si les populationstouchées adhèrent au projet. Aussi, dès le début duprocessus de planification, un groupe de travail est forméde représentants de la FAPAQ, mais aussi en majorité demembres des communautés locales et de diverses instancesrégionales. Ce processus garantit la participation descommunautés à la mise en valeur et à la gestion des futursparcs, maximisant ainsi les retombées économiques localeset régionales. Par ailleurs, ce groupe de travail peut exprimerles attentes des représentants de la communautérelativement au projet de parc à développer, cerner lesproblèmes à résoudre et appliquer les solutions retenues. Ilrenseigne aussi régulièrement la population locale sur l’étatd’avancement des travaux.

Les communautés participent à la mise en valeur et à lagestion des futurs parcs, maximisant ainsi les retombéeséconomiques locales et régionales.

au service de la FAPAQ qui, pour sa part, finance la partiematérielle et technique du projet.

L’intégration de multiples connaissancesDes recherches bibliographiques, des analyses dephotographies aériennes, d’images-satellite et de cartestopographiques, ainsi que des campagnes sur le terrainfournissent des renseignements détaillés sur les paysageset leur évolution, la faune, la flore et la fragilité des milieux,somme toute, sur la géographie des sites de conservationà protéger et à mettre en valeur. Les connaissancestraditionnelles des gens qui fréquentent depuis fortlongtemps les territoires à protéger viennent compléter lamasse de renseignements à analyser. Ces connaissancesvisent entre autres l’utilisation du territoire, la culture, lesplantes utilitaires, les sites de pêche et de chasse, les axesde déplacement, les repères, les noms géographiques delieux, l’histoire régionale, les sites archéologiques, etc.

Pour permettre la mise en place des parcs de conservation, la FAPAQ abesoin de renseignements détaillés sur les paysages et leur évolution,la faune, la flore et la fragilité des milieux, somme toute, sur la géographiedes sites de conservation à protéger et à mettre en valeur. Ces imagesillustrent bien la beauté et la richesse du site du Cap Wolstenholme.


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Un produit géomatiqueTous les renseignements recueillis doivent être intégrés,analysés et synthétisés afin de faire ressortir les secteursles plus fragiles, à fort potentiel de conservation, ou encoreles plus spectaculaires, à fort potentiel de mise en valeur.Les données de référence permettent d’asseoirl’information obtenue d’autres sources et de générer desproduits dérivés utiles à la compréhension et à la descriptiond’un territoire. L’intégration des données et leur analysepermettront de préciser les limites du futur parc, d’établirun plan de zonage qui délimitera les secteurs et leurpotentiel et de déterminer les grandes orientations degestion qui guideront les futurs gestionnaires de cette aireprotégée.

Les travaux de cartographie topographique pour ledéveloppement de parcs de conservation vont bon train etseront complétés d’ici la fin de l’année 2003.

Cette carte montre l’état d’avancement de la cartographie numérique àl’échelle 1/100 000. La cartographie du projet de parc du Lac Guillaume-Delisle et Lac à l’Eau Claire est complétée depuis octobre 2001(en vert). En jaune, les trois contrats de production en cours pour couvrirles projets du Cap Wolstenholme, des Monts de Puvirnituq et deBaie-aux-Feuilles. En bleu, les cinq territoires à compléter. Notez queles territoires en gris ont été cartographiés à partir de la conversionnumérique des données existantes à l’échelle 1/50 000.Renseignements :

Jean BoisclairDirection des parcs québécoisSociété de la faune et des parcsTél. : (418) 521-3935, poste [email protected]

Manon CarignanDirection générale de l’information géographiqueMinistère des Ressources naturellesTél. : (418) 627-6284, poste [email protected]


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Événements d’intérêtÉvénements d’intérêtIntegrating GIS & CAMA ConferenceOrganisation : URISA and the International Associationof Assessing Officers (IAAO)Date : Du 7 au 10 avril 2002Lieu : Nugget Hotel, Reno (Nevada), É.-U.Courriel : [email protected] Internet : http://www.urisa.org/02CAMA/callforpres.htm

GIS 2002 : « A Passion for Exploration »The Global Conference and Exibition on GeospatialTechnology, Tools and SolutionsOrganisation : ASPRS / ACSG / GITA / GIAC / URISADate : Du 8 au 11 avril 2002Lieu : Metro Toronto Convention Center (MTCCC),Toronto (Ontario), CanadaTél. : (303) 544-0594Courriel : [email protected] Internet : http://www.geoplace.com/gt/

29th International Symposium on Remote Sensing ofEnvironmentOrganisation : International Photogrammetry andRemote Sensing Society (ISPRS)Date : Du 8 au 12 avril 2002Lieu : Buenos Aires, ArgentineTél. : +54-11-5128-0637/42, poste 21Courriel : [email protected] Internet : http://www.symposia.org

Le Géo-événement 200214es rencontres européennes de la géomatiqueOrganisation : OrtechDate : Du 9 au 11 avril 2002Lieu : Palais des Congrès Porte Maillot, Paris, FranceCourriel : [email protected] Internet : http://www.geo-evenement.com/

« La géomatique et les infrastructures »Organisation : Association de géomatique municipaledu Québec (AGMQ)Date : 10 avril 2002Lieu : Hôtel Delta, Sherbrooke (Québec), CanadaTél. : (514) 282-3819Courriel : [email protected] Internet : http://www.agmq-quebec.com/colloque/

2002 APA National ConferenceOrganisation : American Planning AssociationDate : Du 13 au 17 avril 2002Lieu : Chicago (Illinois), É.-U.Tél. : (312) 431-9100Courriel : [email protected] Internet : http://www.planning.org/conference/2002/index.htm

MidAmerica GIS Symposium 2002Date : Du 14 au 18 avril 2002Lieu : Hyatt Regency Crown Center, Kansas City (Kansas), É.-U.Tél. : (913) 385-0292, poste 8557Courriel : [email protected] Internet : http://magicweb.kgs.ukans.edu/magic/magic_ie.html

2002 ASPRS-ACSM Annual Conference and FIGCongressOrganisation : American Society for Photogrammetryand Remote Sensing (ASPRS) et Fédérationinternationale des géomètresDate : Du 19 au 26 avril 2002Lieu : Washington (DC), É.-U.Tél. : (301) 493-0290, poste 106Courriel : [email protected] Internet : http://www.asprs.org/asprs/meetings/

pmeeting.html http://www.fig2002.org


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Événements d’intérêtÉvénements d’intérêt

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Future Intelligent Earth Observing SatellitesOrganisation : ISPRS, DLR, ESA, NASA, CSA, USGSDate : Du 25 au 27 avril 2002Lieu : Washington (D.C.), É.-U.Tél. : (703) 993-3615Courriel : [email protected] Internet : http://www.fieos.gmu.edu

SPACE DAY... Adventure to Mars!Date : Le 2 mai 2002Pour connaître les diverses activités organisées, àl’occasion de cette journée, au sujet de la planète Mars,voir le site officiel http://www.spaceday.com

GISDECO Conference 2002Governance and the Use of GIS in Developing CountriesOrganisation : The GISDECO International Committeeand ITC (International Institute for Geo-InformationScience and Earth Observation)Date : Du 15 au 18 mai 2002Lieu : Enschede, Pays-BasCourriel : [email protected] Internet : http://www.geog.uu.nl/gisdeco/gd02menu.html

Seventh International Conference - Remote Sensingfor Marine and Coastal EnvironmentsOrganisation : Veridian Marine ConferenceDate : Du 20 au 22 mai 2002Lieu : Hyatt Regency, Miami (Floride), É.-U.Tél. : (734) 994-1200, poste 3234Courriel : [email protected] Internet : http://www.erim-int.com/CONF/marine/MARINE.html

Fifth International Airborne Remote SensingConferenceOrganisation : Veridian International ConferencesDate : Du 22 au 24 mai 2002Lieu : Hyatt Regency, Miami (Floride), É.-U.Tél. : (734) 994-1200, poste 3234Courriel : [email protected] Internet : http://www.erim-int.com/CONF

5th_airborne/5thairborne.html

Faites de GEOIDE votre réseau en géomatiqueLa 4e Conférence annuelle du réseau GEOIDEOrganisation : Le réseau GEOIDEDate : Les 22, 23 et 24 mai 2002Lieu : Novotel Toronto Centre, Toronto (Ontario),CanadaRenseignements : Nathalie MichaudTél. : (418) 656-7758Site Internet : http://www.geoide.ulaval.ca/accueil.html

à compter de février

AGU 2002 SPRING MEETINGOrganisation : American Geophysical Union (AGU),European Union of Geoscience (EUG)Date : Du 28 au 31 mai 2002Lieu : Washington (DC), É.-U.Tél. : (202) 462-6900Courriel : [email protected] Internet : http://www.agu.org/meetings/sm02top.html

ISU 14th World CongressOrganisation : International Stereoscopic UnionDate : Du 28 mai au 2 juin 2003Lieu : Besançon, FranceTél. : +1 (604) 254-6778Courriel : [email protected] Internet : http://www.stereoscopy.com/isu/


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Événements d’intérêtÉvénements d’intérêtCongrès annuel 2002 de l’OAGQOrganisation : Ordre des arpenteurs-géomètres duQuébecDate : Du 30 mai au 2 juin 2002Lieu : Hôtel des Gouverneurs, Saint-Jean-sur-Richelieu(Québec), CanadaTél. : (418) 656-0730Courriel : [email protected] Internet : http://www.oagq.qc.ca

GeoSpatial World 2002The Intergraph GeoSpatial Users Community (IGUC)International Training and Management ConferenceOrganisation : Intergraph CorporationDate : Du 10 au 12 juin 2002Lieu : Renaissance Waverly Hotel, Atlanta (Géorgie), É.-U.Site Internet : http://www.intergraph.com/geospatialworld

Third international symposium on Remote sensing inurban areasDate : Du 11 au 13 juin 2002Lieu : Istanbul, TurquieCourriel : [email protected] Internet : http://www.ins.itu.edu.tr/rsurban3/

GeoAlberta 2002Organisation : URISA Alberta, City of Edmonton’sGBIS, Alberta Geomatics Group (AGG), GITA AlbertaDate : Du 12 au 14 juin 2002Lieu : Shaw Conference Centre, Edmonton (Alberta),CanadaCourriel : [email protected] Internet : http://www.urisab.org/geoalta.htm

100 ans de la géomatique en Suisse- La géomatique pour notre avenirCongrès géomatique dans le cadre desJournées de la géomatique 2002Date : Le 14 juin 2002Lieu : Fribourg, SuisseSite Internet : http://www.vermessungschweiz.ch/100ans.html

IGARSS 2002 and the 24th Canadian Remote SensingSymposiumInternational Geoscience and Remote SensingSymposiumOrganisation : IEEE Geoscience and Remote SensingSocietyDate : Du 24 au 28 juin 2002Lieu : Westin Harbour Castle Hotel, Toronto (Ontario),CanadaCourriel : [email protected] Internet : http://www.igarss02.ca/

Laser-Scan User Group ConferenceOrganisation : Laser-ScanDate : Du 1er au 3 juillet 2002Lieu : Robinson College Executive Centre, Bedfordshire,AngleterreCourriel : [email protected] Internet : http://www.laser-scan.com/usrgrp/uk_conf.htm

ESRI Education User Conference 2002Date : Du 5 au 7 juillet 2002Lieu : San Diego Convention Center, San Diego(Californie), É.-U.Courriel : [email protected] Internet : http://www.esri.com/industries/k-12/gisedcon02.html

22nd Annual ESRI International User ConferenceDate : Du 8 au 12 juillet 2002Lieu : San Diego Convention Center, San Diego(Californie), É.-U.Courriel : [email protected] Internet : http://www.esri.com/events/uc


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Événements d’intérêtÉvénements d’intérêtSymposium international conjoint sur la théorie, letraitement et les applications des donnéesgéospatialesSymposium de la Commission IV de la SIPT,Symposium SDH (traitement des données spatiales) etla 95e Conférence annuelle de l’ACSG sur la géomatiqueOrganisation : Commission IV de la SPIT, Commissionde l’UGI, Association canadienne des sciencesgéomatiquesDate : Du 8 au 12 juillet 2002Lieu : Centre des congrès, Ottawa (Ontario), CanadaRenseignements : Tom HerbertTél. : (613) 224-9851Téléc. : (613) 224-9577Courriel : [email protected] Internet : http://www.geomatics2002.org

« Pattern Recognition for Mankind and theEnvironment »16th International Conference on Pattern RecognitionOrganisation : International Association for PatternRecognition et Canadian Image Processing and PatternRecognition SocietyDate : Du 11 au 15 août 2002Lieu : Palais des Congrès, Québec (Québec), CanadaTél. : (418) 656-2979Site Internet : http://icpr2002.gel.ulaval.ca

« Integrated System for Spatial Data Production,Custodian and Decision Support »ISPRS Technical Commission II SymposiumOrganisation : ISPRS (International Society forPhotogrammetry and Remote Sensing)Date : Du 20 au 23 août 2002Lieu : Xi’an, P.R. ChinaCourriel : [email protected] Internet : http://www.isprs2.nsdi.gov.cn/Xian1_index.htm

17e Congrès international d’informatiqueOrganisation : International Federal for InformationProcessing (IFIP), Canadian Information ProcessingSociety (CIPS), Fédération informatique du Québec(FIQ)Date : Du 25 au 30 août 2002Lieu : Palais des congrès, Montréal (Québec), CanadaTél. : (514) 840-1240Courriel : [email protected] Internet : http://www.cips.ca/info2002/content_main_en.html

CARIS 2002, Revolutionizing GeomaticsOrganisation : CarisDate : Du 3 au 6 septembre 2002Lieu : Norfolk Waterside Marriott Hotel, Norfolk (Virgnie), É.-U.Courriel : [email protected] Internet : http://www.caris.com/caris2002/

The Open Source GIS - GRASS Users ConferenceOrganisation : Department of Civil and EnvironmentalEngineering, University of TrentoDate : Du 11 au 13 septembre 2002Lieu : Université de Trente, Trente, ItalieCourriel : [email protected] Internet : http://www.ing.unitn.it/~grass

Colloque AGMQ de l’automne 2002Organisation : Association de géomatique municipaledu Québec (AGMQ)Date : Octobre 2002 (dates à préciser)Lieu : (Lieu à préciser)Tél. : (514) 282-3819Courriel : [email protected] Internet : http://www.agmq-quebec.com


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Événements d’intérêtÉvénements d’intérêtION GPS 2002Organisation : The Institute of NavigationDate : Du 24 au 27 septembre 2002Lieu : The Oregon Convention Centre, Portland(Oregon), É.-U.Courriel : [email protected] Internet : http://www.ion.org/meetings/gps2002_exhibitor.html

World Space Congress - 2002: The New Face of SpaceOrganisation : The American Institute of Aeronauticsand Astronautics (AIAA), the National Academy ofSciences (NAS)Date : Du 10 au 19 octobre 2002Lieu : George R. Brown Convention Center, Houston(Texas), É.-U.Courriel : [email protected] Internet : http://www.aiaa.org/wsc2002/

Intergeo 2002 Conference and Trade Fair forGeodesy, Photogrammetry and CartographyOrganisation : Associations allemandes d’arpentage(DVW), de photogrammétrie et télédétection (DGPF)etde cartographie (DGFK)Date : Du 16 au 18 octobre 2002Lieu : Frankfurt am Main, AllemagneTél. : 49 (30) 86 42 45 39Site Internet : http://www.intergeo.de

URISA 2002 Annual ConferenceOrganisation : Urban and Regional Information SystemsAssociationDate : Du 26 au 30 octobre 2002Lieu : Hyatt Regency Chicago on the Riverwalk, Chicago(Illinois), É.-U.Site Internet : http://www.urisa.org/annual.htm

Géomatique 2002 : Partout, pour tousOrganisation : Association canadienne des sciencesgéomatiques - section Montréal (ACSG)Date : Les 30 et 31 octobre 2002Lieu : Palais des congrès de MontréalTél. : (514) 522-5715Courriel : [email protected] Internet : http://www.geomatique2002.com

(disponible fin janvier 2002)

The 15th William T. Pecora Memorial Remote SensingSymposium/Land Satellite Information IV Conferenceand the ISPRS Commission I SymposiumOrganisation : American Society for Photogrammetry &Remote SensingDate : Du 8 au 15 novembre 2002Lieu : Denver (Colorado), É.-U.Courriel : [email protected] Internet : http://www.asprs.org/Pecora-ISPRS-2002/index.html

« Opportunités d’innovation pour le Canada dans lesecteur spatial » ASTRO 2002 – 12e Conférence de l’IASC surl’astronautiqueOrganisation : Institut aéronautique et spatial duCanada (IASC)Date : Du 12 au 14 novembre 2002Lieu : Hôtel Crowne Plaza, Ottawa (Ontario), CanadaCourriel : [email protected]

AGU 2002 FALL MEETINGOrganisation : American Geophysical Union (AGU)Date : Du 6 au 10 décembre 2002Lieu : Washington (D.C.), É.-U.Tél. : (202) 462-6900Courriel : [email protected] Internet : http://www.agu.org/meetings


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2003The 99th AAG Annual MeetingOrganisation : American Association of Geographers(AAG)Date : Du 4 au 8 mars 2003Lieu : Nouvelle-Orléans (Louisianne), É.-U.Tél. : (202) 234-1450Courriel : [email protected] Internet : http://www.aag.org

2003 GITA Annual Conference XXVIOrganisation : Geospatial Information and TechnologyAssociation (GITA)Date : Du 2 au 5 mars 2003Lieu : San Antonio Convention Center, San Antonio(Texas), É.-U.Tél. : (303) 337-0513Courriel : [email protected] internet : http://www.gita.org/events/futconf.html

2003 ASPRS Annual ConferenceOrganisation : American Society for Photogrammetryand Remote Sensing (ASPRS)Date : Du 3 au 9 mai 2003Lieu : Anchorage (Alaska), États-UnisTél. : (301) 493-0290, poste 106Courriel : [email protected]

FIG Working Week and XXVI General AssemblyOrganisation : Fédération internationale des géomètresDate : Du 19 au 23 mai 2003Lieu : Eilat, IsraëlCourriel : [email protected] Internet : http://www.kenes.com/surveyors/6

ISU 14th World CongressOrganisation : International Stereoscopic UnionDate : Du 28 mai au 2 juin 2003Lieu : Besançon, FranceTél. : +1 (604) 254-6778Courriel : [email protected] Internet : http://www.stereoscopy.com/isu-2003/index.html

21st ICA International Cartographic CongressOrganisation : International Cartographic Association(ICA)Date : Du 10 au 16 août 2003Lieu : Durban, Afrique du SudTél. : 31 30 2531373Courriel : [email protected] Internet : http://www.icc2003.gov.za

XIIe Congrès forestier mondialOrganisation : Food and Agriculture Organization of theUnited Nations (FAO)Date : Du 21 au 28 septembre 2003Lieu : Centre des congrès, Québec (Québec), CanadaTél. : (418) 694-2424Téléc. : (418) 694-9922Courriel : [email protected] Internet : http://www.cfm2003.org/

URISA 2003 Annual ConferenceOrganisation : Urban and Regional Information SystemsAssociationDate : Du 11 au 15 octobre 2003Lieu : Atlanta (Georgia), É.-U.Site Internet : http://www.urisa.org/annual.htm

2004The 100th AAG Annual MeetingOrganisation : American Association of Geographers(AAG)Date : Du 16 au 20 mars 2004Lieu : Philadelphie (Pennsylvanie), É.-U.Tél. : (202) 234-1450Courriel : [email protected] Internet : http://www.aag.org


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2004 GITA Annual Conference XXVIIOrganisation : Geospatial Information and Technology Association (GITA)Date : Du 25 au 27 avril 2004Lieu : Washington State Convention & Trade Center, Seattle (Washington), É.-U.Tél. : (303) 337-0513Courriel : [email protected] Internet : http://www.gita.org/events/futconf.html

FIG Working Week and XXVII General AssemblyOrganisation : Fédération internationale des géomètresDate : Mai 2004Lieu : Athènes, GrèceSite Internet : http://www.ddl.org/figtree/events/events2004.htm

2004 AGU SPRING MEETINGOrganisation : American Geophysical Union (AGU)Date : Du 17 au 21 mai 2004Lieu : Palais des congrès, Montréal (Québec), CanadaTél. : (202) 462-6900Courriel : [email protected] internet : http://www.agu.org/meetings

Geo-Imagery : Bridging ContinentsOrganisation : International Society for Photogrammetry and Remote SensingDate : Du 12 au 23 juillet 2004Lieu : Istanbul, TurquieCourriel : [email protected] Internet : http://www.isprs2004-istanbul.com/

Documents

MARS - AVRIL 2002 - Quebec...responsables de la gestion des interventions lorsqu’un ... exploration des ressources et des risques naturels - Les ministères des Transports et de