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Il serait dommageable pour la planète de jeter ce journal ailleurs que dans un container prévu pour la collecte des papiers en vue de leur recyclage…!
Numéro 5
Janvier 2009
P.R.N.T .
PERENNITE
Les OGM ne sont ils
que des aliments?
2
L’équipe du journal étudiant PRNT
Ça y est, une
bonne année
qui commence avec la parution du
nouveau numéro
de Perennite!
En espérant toujours satisfaire votre
curiosité nous vous adressons
nos meilleurs voeux.
La rédaction.
3
Edito 2
Sommaire 3
Les conférences 4
Le dossier du numéro 6
Le professionnel 8
Information du MASTER 1 0
Détente 1 1
A venir / Agenda 1 2
DANS CE NUMERO : O G M , c o n c e p t o u a l i m e n t s ?
Publié par le MASTER PRNT
Université de la Méditerranée—Faculté de pharmacie
27 Bd Jean MOULIN
13385 MARSEILLE
sommaire
D U N U M E R O
Êtes-vous pour ou contre les OGM?
C’est un sujet qui fait débat depuis
plusieurs années. Mais à vrai dire, la
question n’est pas aussi simple, et
n’entraîne pas nécessairement une
réponse catégorique. En effet, la
culture scientifique de la plupart des
gens, mais aussi le débat animé par
les politiques et les médias, font que
le sujet des OGM est bien souvent
cantonné à la question alimentaire, et
aux cultures végétales… Pourtant cela
ne représente qu’une petite part de la
question des OGM « la partie visible
de l’Iceberg... ». Dans ce numéro,
nous vous proposons d’élargir l’infor-
mation sur le sujet des OGM, en espé-
rant que cela permettra d’ouvrir le
débat sur « la partie immergée de l’I-
ceberg...», bien plus conséquente!
Dans les autres pages de ce numéro,
vous retrouverez les habituelles confé-
rences organisées par la Société Fran-
çaise de l’Énergie Nucléaire (SFEN)
PACA- CORSE, et le Comité
d’Information Régional
sur les Risques et les
Nuisances (CIRREN)
qui se sont déroulées à
la Faculté de Pharma-
cie de Marseille. Nous
vous rappelons que
vous pouvez également
consulter la rubrique
manifestations sur le
site mwww.master-prnt.com
Nous adressons nos félicitations à la
gagnante du concours (dont vous
pourrez trouver les résultats en p 12
de ce numéro), et nous vous encoura-
geons à participer au nouveau jeu mis
en place. Bonne participation !
pérennité
P.R.N.T .
4
Dans le cadre des conférences or-ganisées mensuellement, le 16 oc-tobre dernier, M. Samama, Direc-teur Scientifique au plateau de Sa-cley à Saint-Aubin (Essonne), est venu à la faculté de Pharmacie de la Timone pour nous présenter le potentiel du synchrotron SOLEIL. C’est un programme scientifique représentant 400 millions d’euros pendant 7 ans (pour sa création), puis 47 millions d’euros chaque an-née (à partir de 2009). Le site de Sacley n’a pas été choisi par ha-sard. En effet, le synchrotron est un appareil très technique qui néces-site un socle très stable avec moins de 3 micromètres de vibration. SO-LEIL est un accélérateur d’électrons qui produit une source de lumière très puissante, permettant d’explo-rer la matière inerte et vivante. C'est une technologie qui peut pro-duire une lumière d’une brillance 10 000 fois plus intense que la lumière
du soleil, dans une gamme spec-trale allant de l’infrarouge IR aux rayons X (de l’electron volt l’eV au kilo électron volt keV). L’électron volt correspond à l’accélération d’un électron soumis à certaines condi-tions. L’utilisation de SOLEIL en recherche appliquée est très di-verse, et porte aussi bien sur les domaines de la pharmaceutique ou du médical, que sur l’environne-ment, le nucléaire, la pétrochimie, les nanotechnologies et biens d’au-tres domaines. 2 000 scientifiques internationaux sont attendus pour réaliser leurs études chaque année. Voici le principe du synchrotron SO-LEIL: des électrons circulent dans un anneau de 354 mètres de cir-conférence, avec une énergie de 2,75 GeV (Giga électron volt) pen-dant plusieurs heures. Le rayonne-ment synchrotron est produit par le passage de ces électrons dans des aimants de courbure qui les dirigent
vers une ligne de lumière, véritable laboratoire d’analyse de l’échantil-lon traité. 26 lignes de lumières sont prévues à terme. Le synchro-tron de 3ème génération permet de visualiser la structure tridimension-nelle des macromolécules, jus-qu’au nanomètre (10-9 mètres). Les perspectives à venir grâce à cette technologie portent sur l’analyse des gênes, l’étude des cancers ou encore, l’analyse de la structure de la matière… C’est une merveille de technologie qui permet d’aller cher-cher des images au plus profond de la matière.
Pour plus d’informations, un site Internet est disponible à l’adresse suivante www.synchrotron-soleil.fr. Le synchrotron Soleil est également ouvert au public, il se visite à Sa-clay.
Ci-contre à droite, M. SAMAMA.
« Quand la lumière rencontre la matière ! »
C o n f é r e n c e s S F E N p a c a - c o r s e / C I R R E N
5
« »
Les conférences organisées
par la Société Française de
l’Énergie Nucléaire (SFEN)
PACA Corse, et le Comité
d’Information Régional sur
les Risques et les Nuisances
(CIRREN) qui se déroulent
à la Faculté de Pharmacie
de Marseille sont également
consultables dans la rubri-
que manifestations sur le
site www.master-prnt.com
« Évolution des recommandations de la CIPR »
Nous avons accueilli, le jeudi 18
décembre à la Faculté de Pharma-
cie Mr Lecomte, expert senior à
l’Institut de radioprotection et de
sûreté nucléaire (IRSN), et chargé de mission radioprotection-
réglementation auprès du directeur
de la stratégie, du développement
et des relations extérieures de cet
institut. Il occupe également cer-
tains mandats internationaux ou
nationaux, dont celui de secrétaire
du Comité 4 (application des re-
commandations) de la Commission
Internationale de Protection contre
les Rayonnements (CIPR). Mr. Le-
comte à commencé par démontrer
l’importance des organismes inter-
nationaux dans la constitution des
législations en matière de radiopro-
tection. Suite à la découverte de la
radioactivité, les médecins ont rapi-
dement utilisé les radioéléments.
Ce sont eux qui ont établi les pre-
mières règles en 1928, au sein de
la CIPR. Les applications militaires, industrielles ou énergétiques qui
ont suivi, ont permis d’élargir l’en-
semble de ces règles de radiopro-
tection, parallèlement au dévelop-
pement des institutions internatio-
nales telles que l’ONU ou l’UNS-
CEAR (Comité scientifique des Ef-
fets des Radiations Atomiques).
Cette dernière réalise un « état de
la science » des rayonnements et
de leurs effets tous les 10 ans envi-
ron. A partir de ces informations, la
CIPR explique comment bâtir un
système de protection et émet des
recommandations. Sur cette base,
l’Agence Internationale de l’Énergie
Atomique (AIEA) s’associe avec
différentes agences de l’ONU (OMS,
OIT, FAO…) pour établir des nor-
mes de base (obligation politique…)
« quasi-réglementaires ». Ensuite, on retrouve l’Union européenne,
qui, sur la base du traité Euratom,
publie des directives à transposer
dans le droit national de chaque
état (obligation juridique). Ces rè-
gles suivent un cycle de 10 à 15
ans, qui devrait aboutir à une nou-
velle directive Européenne aux
alentours de 2015. Ces nouveautés
sont issues non seulement des
avancées scientifiques (retour d’ex-
périence d’Hiroshima, progrès de la
science, de la métrologie…), mais
aussi d’une nouvelle approche de la
CIPR en matière de gestion du ris-
que.
6
Le vivant est constitué par une ou plusieurs cellules, à l’intérieur des-quelles on trouve de l’ADN (molécule
d’Acide Désoxyribo Nucléique). L’ADN est organisé en plusieurs portions appelées gènes. Chaque gène contient une information indispensa-
ble à la synthèse d’une protéine. Cette protéine à une fonction spécifi-que qui contribue à la bonne marche
de l’organisme. Par analogie, l’ADN serait une encyclopédie de 30 000 pages, le gène serait une page de recette qui indique comment faire un
-duplication
-transfert à l’objet étudié
Cette démarche nous permet soit de corriger un défaut génétique, soit de manipuler l'ADN, afin de
comprendre des mécanismes de régulation génique ou des méca-nismes de résistance aux médicaments »
JP: « Ha bon? Mais concrètement, où peut on trouver les OGM? »
Journal Pérennité: « Pouvez-vous vous présenter et nous décrire votre travail en quelques mots? ».
Pr. Yves Barra: « C’est très sim-ple. Nous sommes à la fa-culté de Pharmacie de Mar-seille, et nous étudions l’ADN et les protéines à des fins de recherche. »
Dr. V. Bourgarel Rey: « Oui. C’est un laboratoire dans le-quel on effectue des opéra-tions de biochimie molécu-laire, pour connaître l’expres-sion des gènes via l’étude des protéines et des ARN1 (Acide Ribo Nucléique). Pour cela, nous employons des OGM, en plus de notre maté-riel de laboratoire »
JP: « Comment fait-on cela? »
V. Bourgarel Rey: « Il faut res-pecter trois étapes différentes:
-synthèse ou isolement du gène souhaité
Y. Barra: « Tout ce qui est vivant peut être génétiquement modifié plus ou moins rapidement, et avec, ou sans intervention de l’homme. En effet, le soleil peut modifier l’ADN en un instant, mais le colza est né de la fusion
de l’ADN du choux avec celui du navet, il y a plusieurs centaines de milliers d’an-nées. L’humain sait modifier l’ADN rapidement avec les techniques du génie généti-que, mais cela à pris plus de temps avec les croisements des végétaux par exem-ple. »
JP: « Vous voulez donc dire qu’il existe des OGM natu-rels, et que les OGM ne sont pas forcément que des plan-tes? »
Y. Barra: « C’est exact. Les OGM sont une appellation générale, qui indique une modification du patri-moine génétique d’une cellule, animale ou végétale. Il faut abor-der le sujet avec discernement et sans faire d’amalgame. »
gâteau. Ce gâteau serait la protéine et manger ce gâteau nous sert à vi-vre. Sans protéine, ou avec une mau-
vaise recette, la bonne marche de l’organisme est compromise. Depuis l’origine de l’homme, l’encyclopédie a été, et sera encore modifiée naturel-
lement ou artificiellement: ce que l’on appelle les OGM.
B I E N V E N U E A U L A B O R A T O I R E D E G E N I E G E N E T I Q U E
Ci-dessus: flacons d’insuline produite
grâce à des OGM. Cette technique per-
met d’obtenir des grandes quantités et
d’éviter les problèmes d’incompatibilité.
V O U S A V E Z D I T O G M ?
« Un OGM est un organisme
vivant au sein duquel le ma-
tériel génétique (l’ADN) a été
modifié ».
7
-scientifique et sanitaire
-éthique et philosophique
-commercial et économique
Le débat ne peut se construire
efficacement que si l’on confronte
les arguments dans un même
référentiel, tout en conservant
une vision globale. Par exemple,
un bienfait économique pour une
industrie agroalimentaire ne peut
en aucun cas se substituer à un
désagrément sani-
taire avéré. »
JP: « Après ré-flexion, comment peut on être contre l’approche scientifi-que? »
Y. Barra: « Il appa-raît difficile de se
JP: « Pouvez-vous nous préciser cela? »
Y. Barra: « Il y a ce que l’on ap-pelle la technique OGM, qui nous permet de comprendre le fonctionnement du vivant. En-suite, on trouve l’utilisation d’OGM, indirecte pour produire des médicaments (par exemple l’insuline); ou directe avec les thérapies géniques (dont on a entendu parler récemment grâce au téléthon NDLR). Vient enfin l’utilisation commerciale des OGM, comme par exemple le maïs transgénique de MONSAN-TO...
JP: « Le sujet des OGM est polé-mique. Quelle nouvelle approche nous conseilleriez-vous pour éclaircir nos lecteurs ? »
Y. Barra: « Je pense qu’il faut
considérer ce sujet selon trois
référentiels:
prononcer contre l’approche scientifique qui bénéficie déjà à de nombreux patients, et qui en sauvera davantage de-main. Néanmoins, il convient de laisser le choix à ceux qui refu-sent les OGM alimentaires pour des raisons éthiques (religieuses, politiques... NDLR). De plus, il ne faut pas sortir la problématique OGM de son contexte, car elle n’est pas la même dans un pays affamé, ou dans un pays indus-trialisé qui cherche plus à amélio-rer son confort de vie. »
1 ARN: image du gène qui fait le
lien entre l’endroit où se trouve
l’ADN et le lieu où la protéine est
synthétisée (on recopie la recette
à partir du livre).
Entretien réalisé le 10/12/2008
avec le Pr. Yves Barra et Mme
Véronique Bourgarel Rey. Nous
leurs adressons tous nos remer-ciements pour leur accueil cha-
leureux.
Autres sources:
OGM Fantasmes et réalités, le
point de vue d’un généticien. Par
JC Bregliano, Pr des Universités.
France Inter « Service Public »
01/12/2008.
Le point sur les
OGM en France
L’Europe autorise la mise sur le marché communautaire. Les autorisations sont délivrées pour la mise en culture,ou pour l’importation.
Seul le maïs MON 810 est autorisé à la culture (c’est l’Espagne qui en produit le plus). D’autres produits sont importés et servent de nourriture pour les animaux ou pour l’homme directement.
Chaque pays peut utiliser une clause de sauvegarde. C’est ce que la France fait pour la mise en culture du maïs.
Près de 115 millions d’hectares sont cultivés dans le monde en 2007.
« Refuser les OGM
en bloc est un non
sens ».
8
« B ienvenue au concours préventique 2008 des meilleurs mé-moires de gestion des risques. C'est un événe-ment qui récompense les mémoires les plus intéressants dans le domaine des cyndiniques. Il est parrainé par le ministère de l'éco-logie, le ministère de l'intérieur, celui du travail, et le centre interservi-ces de santé et de médecine du tra-vail en entreprise. Depuis les années 1970, et avec la création du minis-tère de l'environ-nement en France, la problématique des risques et des dangers s'est considérablement d é v e l o p p é e . L e concours préventique 2008 fait le lien entre les formations dont fait partie le Master PRNT (dont la deuxième an-née se réalise en ap-prentissage dans une entreprise), et le milieu
du travail, particulière-ment concerné par ces problématiques de ris-ques professionnels, technologiques ou natu-rels. Ce concours ré-compense les compé-
tences acquises par le candidat à travers sa formation et le parcours qu'il a réalisé dans le monde professionnel. Les critères de sélection des mémoires s'établis-sent sur la qualité ré-dactionnelle, l'originalité du sujet, le travail per-sonnel et l’apport prati-que. Ce concours dé-
montre que l’enseigne-ment supérieur français a su s’adapter a cette problématique qui nous concerne tous et qui est de plus en plus d’actua-lité. Les sujets des mé-
moires retenus présentaient un intérêt tout parti-culier quant à leur originalité, et leur innovation. Toutefois, les aptitudes à la r é d a c t i o n ( l ’ e x p r e s s i o n écrite) et la com-m u n i c a t i o n ( l ’ e x p r e s s i o n orale) des candi-dats n’étaient pas pour autant né-gligées. Chacun a
dû faire ses preuves pour convaincre le jury, jugeant qu’un bon can-didat devait savoir s’ex-primer et transférer ses acquis aux autres: car ce sont des aptitudes essentielles dans le monde du travail, sur-tout dans un domaine aussi sensible qu’est la sécurité.
L E C O N C O U R S P R E V E N T I Q U E 2 0 0 8
Représenté par Soisic RIOU (promotion 2008), le master PRNT s'est vu reconnaître au travers de la récompense obte-nue par cette dernière. Les qualités de son mé-moire d’apprentissage « Évaluation du risque chimique au poste de
travail et rédaction des fiches individuelles d’ex-position », lui ont per-mis d’obtenir le troi-sième prix décerné lors de cette occasion. Ce diplôme par alternance, contient des enseigne-ments scientifiques et techniques. Ces apports
sont enrichis par divers travaux sur l’organisa-tion, le management, l’expression et la com-munication.
Source : préventique & sécurité n°100 juillet août 2008
MERCI !
L’équipe du journal tient à remercier parti-
culièrement Soisic RIOU, ainsi que toute l’équipe du master
PRNT.
LE PROFESSIONNEL DU MOIS
« Formation,
connaissance,
compétences».
risques et du management des moyens de prévention, de
P r é s e n t a t i o n d u M A S T E R P R N T
9
P.R.N.T .
Votre entreprise sou-
haite participer au
développement du
MASTER PRNT…
Vous pouvez verser
votre taxe d’appren-
tissage au CFA
EPURE Méditerra-
née en l’affectant au
MASTER PRNT.
Objectif: former des spécialistes de l’évaluation, de la
gestion et de la maîtrise des risques et nuisances
technologiques pour la préservation de la santé de
l’homme et de son environnement
(ces cadres seront à mêmes d’apporter et de
communiquer leurs compétences et savoir-faire dans le
domaine de l’inventaire des dangers, de l’analyse des
risques et du management des moyens de prévention, de
protection et d’intervention).
Diplôme de niveau Bac + 5
Il est ouvert aux étudiants en
formation continue âgés de
moins de 26 ans le premier
octobre de l’année d’inscription
en 2ème année
(entrée en première année ou
entrée directe en seconde année
possible pour les étudiants déjà
titulaires d’un MASTER)
POSSIBILITE DE FORMATION
CONTINUE
P r é s e n t a t i o n d u M A S T E R P R N T
POUR PLUS D’INFORMATIONS VISITEZ LE SITE
www.master-prnt.com
MASTER PRNT-Faculté de pharmacie
27 Bd Jean MOULIN
13385 MARSEILLE Cedex 5
Direction des études 04 91 83 55 33
10
La santé de la Méditerranée
Organisé par: Le Master Prévention des Risques et Nuisances Technologiques (PRNT), de la Faculté de Pharmacie de Marseille. Les associations Comité d’Information Régional sur les Risques et les Nuisances (CIRREN), délégations PACA, 13 et 05. L’Association Méditerranéenne d’Études sur les Missions Publiques de la Protection Civile (AMEMP). Coprésidé par les Professeurs: André Rambaud: Laboratoire d’Hydrologie—UFR des Sciences Pharmaceutiques et Biologiques—Université Montpellier I. Nardo Vicente: Laboratoire de Biologie Marine—Faculté des Sciences et Techniques, campus de St Jérôme—Université Paul Cézanne—Aix-Marseille III.
Colloque international
Faculté de Pharmacie de
Marseille
Déroulement :
• Jeudi: conférence grand public
• Vendredi: conférences plénières
• Samedi: visite de l’institut d’océanographie Paul Ricard
Les 5, 6 et 7
juin 2009
11
TROUVER LES 7 ERREURS (réponses dernière page). Trouvez les réponses et gagnez !!!
Remplissez la grille de mots à partir des définitions :
1 : Association régionale (un nom d’arbre) qui informe sur la prévention du risque industriel et la protection de l’en-
vironnement.
2 : Ensemble des « règles… » à appliquer (et qui termine
par …tion).
3 : Dispositions techniques et organisationnelles qui
tendent à prévenir des accidents, et à en limiter les effets
dans le nucléaire… pour une industrie plus sûre !
4 : V….. Réglementaire !
5 : Partie intègre de l’H. S. E.
6 : Comité qui organise chaque mois des conférences à la faculté de pharmacie avec la SFEN…
7 : Ensembles des règles, des procédures et des moyens de prévention et de surveillance, visant à empêcher ou à
réduire les effets nocifs des rayonnements ionisants produits sur les personnes.
8 : Domaine dans lequel l’adage est « on écrit ce que l’on fait, et on fait ce que l’on à écrit ».
9 : Référentiel international de normes.
10 : Un des deux autres intitulés de l’H. S. E.
Pour répondre :
www.master-prnt.com
la vie étudiante/le journal
ou directement
Avant le 27 mars 09
Réponses et résultat du tirage au sort au prochain numéro !!!
Elle remporte deux places pour le prochain spectacle du Théâtre GYPTIS
12
D a n s l e p r o c h a i n n u m é r o . . .D a n s l e p r o c h a i n n u m é r o . . .D a n s l e p r o c h a i n n u m é r o . . .D a n s l e p r o c h a i n n u m é r o . . .
R é p o n s e s d u c o n c o u r s j o u r n a l n ° 4
Indiquez le pays
concerné par
chaque accident
industriel:
1) Bhopal
2) Three Mile Island
3) Minas Gerais
4) Prestige
5) Tchernobyl
Inde
USA
Bresil
France
Ukraine
A voir/A lire/A écouter
• Clic Info Commission Lo-cale d’Information de Cadarache n°25
• Participez au forum indus-trie le 29 janvier 09, dans le hall de la Faculté de Pharmacie de la Ti-mone à Marseille.
A BIENTÔT !!!
s o m m a i r e
A venir/Agenda
Il serait dommageable pour la planète de jeter ce journal ailleurs que dans un container prévu pour la collecte des papiers en vue de leur recyclage…!
Une Idée ? Une sug-gestion ? N’hésitez
pas !!!
Contactez l’équipe du journal à l’adresse
jour-nal.perennite@live.
fr
Les conféren-ces organi-sées à la fa-culté de
Pharmacie Et
Le forum in-dustrie orga-nisé le 28
janvier 2009
Retrouvez l’a-venture du 4L Trophy, et l’expérience de l’équipage présenté par le Master qui nous fera part de ses sensa-
tions...
La rédaction : Clément Boussard
Damien De Geeter
Cyril Gron
Salomé Machizaud
Sébastien Meunier
Journal PERRENITE
