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édito numéro 9_01 [SOMMAIRE] Ajoutez du sel ! Le sel a des vertus étonnantes. Son usage est si courant que celles-ci nous échappent. Dans l’Évangile, Jésus charge ses disciples de vivre et porter son message. Il leur dit : « Vous êtes le sel de la terre 1 ». Autrement dit, leur vie devrait apporter à la société le bénéfice que le sel procure à tout ce qu’il touche. Quel goût votre vie a-t-elle ? Au travers de cette illustration, découvrez l’influence bénéfique et salutaire que le Christ peut avoir dans la vie de ceux qui lui font con- fiance aujourd’hui. ALAIN STAMP Le dossier du mois : Étonnant et mal connu : le sel Témoignage : Dieu, mon bonheur Pour aller plus loin L’offre du mois La citation 1 La Bible : Évangile selon Mathieu, chapitre 5 verset 13.

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[ S O M M A I R E ] Dieu, mon bonheur Pour aller plus loin L’offre du mois La citation Témoignage : Le dossier du mois : Quel goût votre vie a-t-elle ? Au travers de cette illustration, découvrez l’influence bénéfique et salutaire que le Christ peut avoir dans la vie de ceux qui lui font con- fiance aujourd’hui. n u m é r o 9 _ 0 1 ALAIN STAMP 1 La Bible : Évangile selon Mathieu, chapitre 5 verset 13.

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2. Mes coordonnées :

Nom/Prénom

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1. Je souhaite recevoir, gratuitement etsans engagement de ma part* :

� Un évangile, partie de la Bible

� Un exemplaire du magazine Croire et Servir, mensuel édité par Croire-Publications

� Une visite à domicile

� La première leçon d’un cours biblique par correspondance à commander directement à MSD – BP110 19203 USSEL cedex France

*offre limitée à une par foyer

que vous pouvez contacter, si vous voulez en savoir plus.

Cet imprimé vous a été distribué par

C O U P O N À R E N V O Y E RÀ L ’ A D R E S S E C I - C O N T R Eou à défaut à Association « Publier. » BP 10019 F-67320 DRULINGEN

[ S O M M A I R E ]

deux éléments chimiques : le sodium et le chlore. Réunis, ils forment ce composé redoutable, mais essentiel à la vie. Dégé-néré, le sel perd toutes ses propriétés et devient inutile.Comme le « mauvais sel », rien n’est plus repoussant que l’hypocrisie religieuse. Le christianisme sans une vie personnelle avec Jésus-Christ est plus que stérile : il est nuisible. Une caricature grotesque et monstrueuse de la vérité devenue men-songe.

Une lourde responsabilité

Jésus donne à ses disciples une grande responsabilité : Être le sel de la terre. Ne trouvez-vous pas cela un peu préten-tieux ? N’y a-t-il que les chrétiens pour faire le bien dans notre monde en souf-france ? Bien sûr que non !Comme le sel qui ne contient pas en lui-même la vie, de même, la vie ne se trouve pas dans les bonnes œuvres des chrétiens. La Vie, c’est Jésus-Christ. C’est Dieu qui la donne. Les chrétiens trouvent leur source dans leur relation personnelle avec

Jésus-Christ. Le Fils de Dieu lui-même développe, chez ceux qui lui appartien-nent, ses propres qualités : amour, dou-ceur, justice, sainteté, paix…

Imaginez

Si tous les gars du monde… décidaient de mettre en pratique l’Évangile comme Jésus-Christ les y invite en un seul prin-cipe : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ton énergie et de toute ta pensée, et ton prochain comme toi-même 1 »… alors tous les gars et les filles du monde se com-porteraient comme le Christ. Ils aimeraient comme le Christ, penseraient comme le Christ, auraient à cœur les intérêts et le bien des autres comme le Christ ! La vie aurait alors un goût inimitable ! Le sel a une autre vertu : il donne soif ! N’avez-vous pas soif d’une autre vie, d’une vie… éternelle ?

� ADAPTÉ D’UN TEXTE DE GILLES GEORGEL

[LE DOSSIER DU MOIS_ÉTONNANT ET MAL CONNU : LE SEL_SUITE]

Ajoutez du sel !Le sel a des vertus étonnantes. Son usage est si courant que celles-ci nous échappent. Dans l’Évangile, Jésus charge ses disciples de vivre et porter son message. Il leur dit : « Vous êtes le sel de la terre 1 ». Autrement dit, leur vie devrait apporter à la société le bénéfice que le sel procure à tout ce qu’il touche.

Quel goût votre vie a-t-elle ? Au travers de cette illustration, découvrez l’influence bénéfique et salutaire que le Christ peut avoir dans la vie de ceux qui lui font con-fiance aujourd’hui.

� ALAIN STAMP

Le dossier du mois :

Étonnant et mal connu : le sel

Témoignage :Dieu, mon bonheur

Pour aller plus loinL’offre du mois

La citation

« Non, le silence de Dieu ne signifie pas son consen-tement, mais liberté laissée aux hommes. Qu’ils aient enfin le cou-rage de s’en prendre à eux-mêmes ! »

Sylvie Germain, Télérama,n° 2907, p. 52.

Le message essentielest édité par

Association « Publier. »BP 10019/F-67320 DRULINGEN

[email protected]

Directeur de publication : Alain StampImpression : www.blfeurope.com

ISSN 1288-2526

© « Publier. » 2006 _ Reproduction interditeNe pas jeter sur la voie publique

RÉAGISSEZ… POSEZ VOS

QUESTIONS… ÉCRIVEZ À

[email protected] !

1 La Bible : Évangile selon Luc, chapitre 10 verset 27.

1 La Bible : Évangile selon Mathieu, chapitre 5 verset 13.

[Visitez www.unpoissondansle.net !]

Page 2: ME_09-01

tre société se dégrade ! Avec quoi les chrétiens d’aujourd’hui, dis-ciples de Jésus-Christ, peuvent-ils « l’assaisonner » ? Comment redonner à notre génération le goût pour la vie, le beau, le bon, le vrai ? Par l’Évangile vécu et prêché ! L’Évangile, ses promes-ses, l’espoir qu’il apporte, sont aussi nécessaires à notre cœur et à notre esprit que le sel et l’eau à notre corps.

L’assaisonnement des alimentsLe sel possède un pouvoir de pénétration exceptionnel. Une seule pincée suffit à transformer le goût d’un aliment. De fade, il devient savoureux. Pour libérer sa saveur, le sel a cependant dû disparaître, se dissoudre. De la même façon, il suffit parfois de peu de chose pour changer l’atmosphère, une personne sou-riante ou déplaisante, par exem-ple. Jésus l’affirme : le monde a besoin de personnes différentes. Des gens qui ne se contentent pas de suivre le mouvement général, mais qui puisent leurs convic-tions et leur raison d’être ailleurs. La véritable saveur de leur vie ne

vient pas d’eux-mêmes, mais de la découverte de Jésus-Christ. Le connaître change tout !

La conservation des viandesNous trouvons aujourd’hui natu-rel de disposer de réfrigérateurs et de congélateurs. Heureux mais récent progrès ! Sous de nom-breux climats tropicaux, il n’en est pas encore ainsi. Les autoch-tones recourent au sel pour pré-server la viande de la décomposi-tion et de la putréfaction. Là où le sel agit, la pourriture s’arrête.Tout est pourri ! disent certains. Où va-t-on ? se demandent d’autres. Qu’est-ce qui pourra arrêter le mal sur terre ?L’Évangile affirme : là où Dieu n’est plus écouté, le vice et la corruption triomphent. Seule la présence de « sel » peut arrêter la décadence, c’est-à-dire la voix et l’action de personnes qui ont choisi d’autres valeurs et dont la conscience est alignée sur Dieu.

Sel sans… saveur

Le sel est une combinaison re-marquable et peu commune de

À 20 ans, je ne croyais pas en Dieu. Ma vie ne me plaisait pas. Je ne voyais aucune solution pour la rendre plus agréable. Je n’avais pas envie de dépendre de ma famille ni de vivre comme elle. La façon dont vivaient mes amis ne m’apportait pas non plus

de joie. Je voulais être libre, mais quand j’avais ma liberté cela ne m’appor-tait pas non plus de bonheur.

Un jour, j’ai rencontré une fille différente. Elle était toujours gentille avec moi. Je n’avais rien fait pour cela. Je n’étais pas très agréable à cette époque ! Elle se moquait de savoir si j’étais à la mode, si j’avais vu le dernier film branché. Je me sentais seule et je n’avais rien de très intéressant à dire. Personne ne semblait s’intéresser à moi. C’était un peu logique.

Cette fille – ma voisine de palier – était prête, elle, à m’accorder du temps quand j’avais besoin d’amitié.

Très vite j’ai su qu’elle était chrétienne et qu’elle accordait beaucoup d’importance à la Bible. Pour moi c’était clair : Dieu n’existait pas. Elle ne cherchait pourtant pas à me per-suader.

J’ai fini par rencontrer ses amis chrétiens. Ils étaient très différents des autres étudiants. Plus ça allait, plus je voulais ce qu’ils avaient : la joie de vivre, le bonheur sans condition. Mais pour cela il me fallait croire en Dieu, et j’étais persuadée qu’il n’existait pas !

Un jour, seule dans ma chambre, j’ai pris une décision : ou je continuais ma vie sans Dieu et je restais comme j’étais, ou je décidais que Dieu existe… et je verrais bien. Je voulais moi aussi ma part de joie. Ce soir-là, j’ai dit à Dieu : « Si tu existes, je veux bien croire en toi, apprendre à te connaître et savoir ce que tu attends de moi ».

Depuis ce jour-là, je n’ai plus jamais douté de son existence. J’ai soudain eu très envie de lire la Bible. Petit à petit j’ai découvert ce que Dieu attendait de moi. Avant, j’aurais vu ça comme une privation de mes libertés, tout à coup je découvrais que cela me rendait heureuse. Non seulement croire en Dieu m’a apporté la joie, mais devenir sa servante ou, si vous préférez, obéir à ce qu’il demande, me donne le sen-timent d’être privilégiée. Je m’estime très gâtée et si je regarde maintenant ces années de ma vie avec Dieu comme guide, je ne vois qu’une montée vers le bonheur.

Il y a eu des moments très difficiles, mais Dieu a toujours été avec moi. Chaque fois ma vie s’est enrichie.

Peu de gens s’intéressent à vous si vous ne leur apportez pas quelque chose : votre compa-gnie, votre argent ou un coup de main… Dieu s’intéresse à vous alors que vous n’avez rien à lui apporter. Il vous aime pour vous-même ! Il a en plus le projet de vous rendre heureux. Seul Dieu sait ce qui peut vous rendre profondément heureux.

� CÉCILE MERMET, MÈRE AU FOYER.

Dieu, mon bonheur

( s u i t e e n p a g e 4 )

� l’o

ffre

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ém

oign

age

Croireet Servir

Découvrez cet ex-

cellent mensuel

chrétien. Il abor-

de avec perti-

nence des thèmes

actuels comme la

santé, la chance,

les convictions, le

bonheur… Abon-

damment illustré,

avec de nombreuses

rubriques et des té-

moignages ! Peut-être

même aurez-vous envie

de vous abonner !

Édité par Croire-Publications.

� le

dos

sier

le selLe sel est une combinaison remarquable et peu commune de deux éléments chimiques : le sodium et le chlore. Réunis, ils forment ce composé redoutable, mais essentiel à la vie. Dégénéré, le sel perd

toutes ses propriétés et devient inutile…

La réhydratation du corpsLorsque la chaleur est intense et l’humidité élevée, le corps perd d’importantes quantités d’eau et de sel par sudation. Autrefois, les mi-neurs, qui travaillaient à des tempé-ratures élevées, prenaient une ration quotidienne de pastilles de sel. Sans sel ni eau, le corps s’affaiblit puis meurt.Pas besoin d’être expert pour consta-ter à quel point l’état général de no-

le selÉtonnantet mal connu :

� pour aller plus loin� Évangile selon Matthieu, chapitre 5 versets 1 à 13� Première épître de Pierre, chapitre 2 versets 11 à 25

Lisez les passages bibl iques suivants :

Suivez gratu

itement

un cours bib

lique

par

correspondan

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La première

leçon d’un

cours bibliq

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directement

à :

MSD – BP 110

– 19203 Uss

el

Cedex France

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tre société se dégrade ! Avec quoi les chrétiens d’aujourd’hui, dis-ciples de Jésus-Christ, peuvent-ils « l’assaisonner » ? Comment redonner à notre génération le goût pour la vie, le beau, le bon, le vrai ? Par l’Évangile vécu et prêché ! L’Évangile, ses promes-ses, l’espoir qu’il apporte, sont aussi nécessaires à notre cœur et à notre esprit que le sel et l’eau à notre corps.

L’assaisonnement des alimentsLe sel possède un pouvoir de pénétration exceptionnel. Une seule pincée suffit à transformer le goût d’un aliment. De fade, il devient savoureux. Pour libérer sa saveur, le sel a cependant dû disparaître, se dissoudre. De la même façon, il suffit parfois de peu de chose pour changer l’atmosphère, une personne sou-riante ou déplaisante, par exem-ple. Jésus l’affirme : le monde a besoin de personnes différentes. Des gens qui ne se contentent pas de suivre le mouvement général, mais qui puisent leurs convic-tions et leur raison d’être ailleurs. La véritable saveur de leur vie ne

vient pas d’eux-mêmes, mais de la découverte de Jésus-Christ. Le connaître change tout !

La conservation des viandesNous trouvons aujourd’hui natu-rel de disposer de réfrigérateurs et de congélateurs. Heureux mais récent progrès ! Sous de nom-breux climats tropicaux, il n’en est pas encore ainsi. Les autoch-tones recourent au sel pour pré-server la viande de la décomposi-tion et de la putréfaction. Là où le sel agit, la pourriture s’arrête.Tout est pourri ! disent certains. Où va-t-on ? se demandent d’autres. Qu’est-ce qui pourra arrêter le mal sur terre ?L’Évangile affirme : là où Dieu n’est plus écouté, le vice et la corruption triomphent. Seule la présence de « sel » peut arrêter la décadence, c’est-à-dire la voix et l’action de personnes qui ont choisi d’autres valeurs et dont la conscience est alignée sur Dieu.

Sel sans… saveur

Le sel est une combinaison re-marquable et peu commune de

À 20 ans, je ne croyais pas en Dieu. Ma vie ne me plaisait pas. Je ne voyais aucune solution pour la rendre plus agréable. Je n’avais pas envie de dépendre de ma famille ni de vivre comme elle. La façon dont vivaient mes amis ne m’apportait pas non plus

de joie. Je voulais être libre, mais quand j’avais ma liberté cela ne m’appor-tait pas non plus de bonheur.

Un jour, j’ai rencontré une fille différente. Elle était toujours gentille avec moi. Je n’avais rien fait pour cela. Je n’étais pas très agréable à cette époque ! Elle se moquait de savoir si j’étais à la mode, si j’avais vu le dernier film branché. Je me sentais seule et je n’avais rien de très intéressant à dire. Personne ne semblait s’intéresser à moi. C’était un peu logique.

Cette fille – ma voisine de palier – était prête, elle, à m’accorder du temps quand j’avais besoin d’amitié.

Très vite j’ai su qu’elle était chrétienne et qu’elle accordait beaucoup d’importance à la Bible. Pour moi c’était clair : Dieu n’existait pas. Elle ne cherchait pourtant pas à me per-suader.

J’ai fini par rencontrer ses amis chrétiens. Ils étaient très différents des autres étudiants. Plus ça allait, plus je voulais ce qu’ils avaient : la joie de vivre, le bonheur sans condition. Mais pour cela il me fallait croire en Dieu, et j’étais persuadée qu’il n’existait pas !

Un jour, seule dans ma chambre, j’ai pris une décision : ou je continuais ma vie sans Dieu et je restais comme j’étais, ou je décidais que Dieu existe… et je verrais bien. Je voulais moi aussi ma part de joie. Ce soir-là, j’ai dit à Dieu : « Si tu existes, je veux bien croire en toi, apprendre à te connaître et savoir ce que tu attends de moi ».

Depuis ce jour-là, je n’ai plus jamais douté de son existence. J’ai soudain eu très envie de lire la Bible. Petit à petit j’ai découvert ce que Dieu attendait de moi. Avant, j’aurais vu ça comme une privation de mes libertés, tout à coup je découvrais que cela me rendait heureuse. Non seulement croire en Dieu m’a apporté la joie, mais devenir sa servante ou, si vous préférez, obéir à ce qu’il demande, me donne le sen-timent d’être privilégiée. Je m’estime très gâtée et si je regarde maintenant ces années de ma vie avec Dieu comme guide, je ne vois qu’une montée vers le bonheur.

Il y a eu des moments très difficiles, mais Dieu a toujours été avec moi. Chaque fois ma vie s’est enrichie.

Peu de gens s’intéressent à vous si vous ne leur apportez pas quelque chose : votre compa-gnie, votre argent ou un coup de main… Dieu s’intéresse à vous alors que vous n’avez rien à lui apporter. Il vous aime pour vous-même ! Il a en plus le projet de vous rendre heureux. Seul Dieu sait ce qui peut vous rendre profondément heureux.

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le selLe sel est une combinaison remarquable et peu commune de deux éléments chimiques : le sodium et le chlore. Réunis, ils forment ce composé redoutable, mais essentiel à la vie. Dégénéré, le sel perd

toutes ses propriétés et devient inutile…

La réhydratation du corpsLorsque la chaleur est intense et l’humidité élevée, le corps perd d’importantes quantités d’eau et de sel par sudation. Autrefois, les mi-neurs, qui travaillaient à des tempé-ratures élevées, prenaient une ration quotidienne de pastilles de sel. Sans sel ni eau, le corps s’affaiblit puis meurt.Pas besoin d’être expert pour consta-ter à quel point l’état général de no-

le selÉtonnantet mal connu :

� pour aller plus loin� Évangile selon Matthieu, chapitre 5 versets 1 à 13� Première épître de Pierre, chapitre 2 versets 11 à 25

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Jésus donne à ses disciples une grande responsabilité : Être le sel de la terre. Ne trouvez-vous pas cela un peu préten-tieux ? N’y a-t-il que les chrétiens pour faire le bien dans notre monde en souf-france ? Bien sûr que non !Comme le sel qui ne contient pas en lui-même la vie, de même, la vie ne se trouve pas dans les bonnes œuvres des chrétiens. La Vie, c’est Jésus-Christ. C’est Dieu qui la donne. Les chrétiens trouvent leur source dans leur relation personnelle avec

Jésus-Christ. Le Fils de Dieu lui-même développe, chez ceux qui lui appartien-nent, ses propres qualités : amour, dou-ceur, justice, sainteté, paix…

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� ADAPTÉ D’UN TEXTE DE GILLES GEORGEL

[LE DOSSIER DU MOIS_ÉTONNANT ET MAL CONNU : LE SEL_SUITE]

Ajoutez du sel !Le sel a des vertus étonnantes. Son usage est si courant que celles-ci nous échappent. Dans l’Évangile, Jésus charge ses disciples de vivre et porter son message. Il leur dit : « Vous êtes le sel de la terre 1 ». Autrement dit, leur vie devrait apporter à la société le bénéfice que le sel procure à tout ce qu’il touche.

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« Non, le silence de Dieu ne signifie pas son consen-tement, mais liberté laissée aux hommes. Qu’ils aient enfin le cou-rage de s’en prendre à eux-mêmes ! »

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1 La Bible : Évangile selon Luc, chapitre 10 verset 27.

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