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M.E.D.A.L. Les paradigmes. Module d’Enseignement à Distance pour l’Architecture Logicielle. Le modèle entités-associations-propriétés (1). Diapositive n° 1. Université de NANTES. Alain VAILLY. AVERTISSEMENT. - PowerPoint PPT Presentation
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M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
Module d’Enseignement à Distance Module d’Enseignement à Distance pour l’Architecture Logiciellepour l’Architecture Logicielle
Alain VAILLYDiapositive n° 1 Université de NANTES
Les paradigmes
Le modèle entités-associations-propriétés (1)
L’usage de ce document, sous quelque forme que ce soit (électronique, papier…), à titre personnel ou devant des étudiants, est autorisé et libre de droits, à la condition expresse qu’il soit conservé dans l’état (et notamment
qu’il comporte la page de garde et cet avertissement).Tout autre usage, notamment commercial, toute diffusion via un serveur
informatique, une liste de diffusion… est soumis à l’accord PRÉALABLE de son auteur.
Ce document constitue un TOUT. Toute coupe, toute modification non autorisée par son auteur sera assimilée à une atteinte aux droits de l’auteur
et poursuivie comme telle devant les tribunaux.
Alain VAILLYDiapositive n° 2 Université de NANTES
AVERTISSEMENT
Alain VAILLYDiapositive n° 3 Université de NANTES
Projet ENRC Projet ENRC DVD MIAGEDVD MIAGE
Projet soutenu par leConseil Régional des Pays de La Loire
dans le cadre des projets ENRC 2007-2008
Thématique : Passerelles vers et dans l’enseignement supérieurThématique : Passerelles vers et dans l’enseignement supérieur
MEDALMEDAL
Alain VAILLYDiapositive n° 4
Cours magistral
Contexte
Auto-évaluation
Exercices
Corrigés des
exercices
RéférencesEvaluation
IUP MIAGE - Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
Etudes de cas
comportements
Alain VAILLYDiapositive n° 5 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
Cours magistral
- le modèle E-A-P
- les modèles de traitement de Merise
informations
fonctions
- le modèle relationnel
- les réseaux de PETRI
PLAN1) Introduction
2) Notions de base
3) Utilisation et modélisation
4) Normalisation des modèles
6) Conclusion
5) Extensions
Alain VAILLYDiapositive n° 6 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
Cours magistral
1) Introduction
2) Notions de base
3) Utilisation et modélisation
4) Normalisation des modèles
6) Conclusion
5) Extensions
PLAN
Alain VAILLYDiapositive n° 7 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
Cours magistral
1) Introduction
2) Notions de base
3) Utilisation et modélisation
4) Normalisation des modèles
6) Conclusion
5) Extensions
PLAN
Alain VAILLYDiapositive n° 8 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
Cours magistral
PLAN
1) Introduction
2) Notions de base
3) Utilisation et modélisation
4) Normalisation des modèles
6) Conclusion
5) Extensions
Alain VAILLYDiapositive n° 9 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
Cours magistral
2) Notions de base
PLAN
1) Introduction
3) Utilisation et modélisation
4) Normalisation des modèles
6) Conclusion
5) Extensions
Alain VAILLYDiapositive n° 10 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
Cours magistral
3) Utilisation et modélisation
PLAN
1) Introduction
2) Notions de base
4) Normalisation des modèles
6) Conclusion
5) Extensions
Alain VAILLYDiapositive n° 11 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
Cours magistral
4) Normalisation des modèles
PLAN
1) Introduction
2) Notions de base
6) Conclusion
5) Extensions3) Utilisation et modélisation
Alain VAILLYDiapositive n° 12 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
Cours magistral
6) Conclusion PLAN
5) Extensions
1) Introduction
2) Notions de base
4) Normalisation des modèles
3) Utilisation et modélisation
Alain VAILLYDiapositive n° 13 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
Cours magistral1) Introduction
2) Notions de base
4) Normalisation des modèles
3) Utilisation et modélisation
6) Conclusion PLAN
5) Extensions
Alain VAILLYDiapositive n° 14 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
Cours magistral1) Introduction
2) Notions de base
4) Normalisation des modèles
3) Utilisation et modélisation
6) Conclusion PLAN
2.1) Informations et domaines2.2) Entités et occurrences2.3) Associations2.4) Collections et rôles2.5) Propriétés explicites et implicites2.6) Cardinalités
4.1) Normalisation des noms4.2) Normalisation des propriétés4.3) Normalisation des entités4.4) Normalisation des cardinalités4.5) Normalisation des associations
3.1) Recueil et structuration3.2) Interprétation3.3) Modélisation3.4) Description des modèles
5) Extensions
5.1) Expression des contraintes5.2) Héritage et agrégation5.3) Personnalisation des associations5.4) Association d’associations
Alain VAILLYDiapositive n° 15
1) Introduction
Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
• Modèle très utilisé en France, depuis près de 30 années, sous des noms divers
• Modèle positionné dans la dimension Information de l’espace dans lequel nous travaillons
• Modèle qui souffre d’une absence de normalisation, ce qui autorise des variantes
• Modèle qui permet une structuration des informations à conserver dans le « système » et qui préfigure la structure de la base de données.
Modèle EA, E/A, Modèle EA, E/A, E-A, E-A-PE-A, E-A-P
MeriseMerise
Alain VAILLYDiapositive n° 16
1) Introduction
Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
Pour limiter la dispersion de l’attention des étudiants, les exemples utilisés dans cette présentation se
rapportent tous au même contexte, celui d’un marchand de timbres de collection, ayant pour objectifs :
- la gestion de son stock,
- la gestion de sa clientèle,
- la création des catalogues de vente,
ContexteContexte- le suivi des ventes,
- la production de statistiques.
Alain VAILLYDiapositive n° 17
1) Introduction
Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
Chaque timbre à vendre est décrit par les informations suivantes :
Début struct TIMBRESTableau de [1..4] REFERENCEpays-émetteurannée-émissionétatprix de vente HTprix de vente TTCdescriptionTableau de [1..5] sujetscouleursvaleur faciale
Fin struct
Contexte (2)Contexte (2)
Timbre n° 957, catalogue YVERT et TELLIER, émis par la Finlande en 1986
Début struct REFERENCEnom-cataloguecatégorienuméro-timbre
Fin struct
Alain VAILLYDiapositive n° 18
1) Introduction
Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
Les informations possédées par notre marchand sur ses clients sont les suivantes :
Début struct CLIENTDébut struct PERSONNE
nomprénomadresse
Fin structdate-premier-achatdate-dernier-achatTableau de [1..5] intérêtsDébut struct REFBANCAIRES
numéro-cartedate-validation
Fin structFin struct
Contexte (3)Contexte (3)
Il a également des informations sur de
probables futurs clients :
Début struct PROSPECTDébut struct PERSONNE
nomprénomadresse
Fin structdate-contactlieu-contactTableau de [1..5] intérêts
Fin struct
Alain VAILLYDiapositive n° 19
1) Introduction
Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
Les catalogues de vente vont décrire les timbres à vendre et indiquer, pour chacun, leur prix de vente. Ces catalogues seront
automatiquement adressés aux clients. Les prospects qui en font la demande en recevront également un exemplaire.
Contexte (4)Contexte (4)
Catalogue de vente de la société danoise Postiljonen (une très importante société de négoce philatélique international).
Extrait du catalogue de vente de la société danoise Postiljonen.
Chaque « lot » du catalogue sera décrit de
la même façon :
Alain VAILLYDiapositive n° 20
1) Introduction
Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
Les catalogues de référence vont décrire tous les timbres ayant été émis, un jour, quelque part dans le monde. Il y en a quatre
« grands », un allemand, un américain, un anglais et un français. Tous sont de véritables encyclopédies.
Contexte (5)Contexte (5)
Catalogue de référence allemand. Volume consacré aux émissions de Guernesey, Jersey
et Man, édition 2002/2003
Les timbres ont un numéro (relatif à ce catalogue), une
description, souvent une reproduction et (le plus
souvent) deux prix. Ils sont publiés chaque année.
Alain VAILLYDiapositive n° 21
1) Introduction
Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
Les clients qui souhaitent acquérir un timbre contactent le marchand. Si le timbre est toujours
disponible, le marchand le met de côté pour son client et envoie une facture. A réception du règlement, le
timbre est adressé au client.
Contexte (6)Contexte (6)
Maison PHILDEX
FACTURE
Nantes, le 18 mai 2003
Frais de portTotal à payer
En votre aimable règlement.
Numéro du timbre dans le catalogue de vente
description du timbre dans le catalogue de vente
prix hors taxe
prix TTC
Alain VAILLYDiapositive n° 22
1) Introduction
Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
AVERTISSEMENT : Les informations contenues dans la « base de données » que nous évoquons ont été choisies sur des critères pédagogiques. La philatélie est passée au second plan. Nous
savons, par exemple, parfaitement que les catalogues de vente par correspondance sont beaucoup plus complexes que ceux que nous
avons décrit.
Notre objectif n’est pas de faire de nos étudiants informaticiens de futurs Théodore Champion, mais de les sensibiliser aux problèmes que l’on doit surmonter lorsque l’on conçoit une base de données.
La philatélie n’est, ici, qu’un moyen, aucunement un but.
Contexte (7)Contexte (7)
Théodore Champion, marchand parisien mondialement connu, a fourni au début du siècle les plus grands
collectionneurs. Sa maison existe encore aujourd’hui, plus de cinquante ans après sa mort.
Merise ayant subi, au fil du temps, des évolutions, nous présentons ici les notions essentielles de son noyau. Quelque soit la version de Merise utilisée, tout le monde connaît (comprend,
utilise) les entités, les associations.
Alain VAILLYDiapositive n° 23 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base
- informations et domaines,
- entités et occurrences,
- associations,
- collections et rôles,
- propriétés explicites et implicites,
Au delà de ces éléments de base, nous passons également en revue :
- cardinalités.
Merise 0Merise 0
Alain VAILLYDiapositive n° 24 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.1) Informations et domaines
Information n.f. Renseignement que nous obtenons sur quelqu’un ou quelque chose.
LAROUSSELAROUSSE
Une information a du senssens.
CHAMPION
Nom d’une personne
Nom d’un magasinQualificatif d’une personne
… ou d’un animal
Marchand Etudiant
Client
Alain VAILLYDiapositive n° 25 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.1) Informations et domaines
Une information peut être brute ou calculée. Une information brutebrute est une information que l’on ne peut que saisir à
l’extérieur. Une information calculéecalculée est une information que l’on obtient à partir d’autres informations (brutes ou calculées).
Prix hors taxe
brute
calculéePrix TTC
Il existe une fonction de calcul.
prix TTC = f (prix hors taxe,
taux TVA)
A A PRIORI, PRIORI, on garde.on garde.
A PRIORI, on A PRIORI, on garde pas.garde pas.
Alain VAILLYDiapositive n° 26 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.1) Informations et domaines
A chaque information correspond un ensemble de valeurs. Cet ensemble est appelé domainedomaine (de valeurs). Un domaine peut être
commun à plusieurs informations.
nom d’une personne
prénom d’une personne
nom d’un catalogue
Michel
Définir un domaine, c’est mieux cerner
l’information à décrire et notamment mettre en évidence les contrôles à
mettre en œuvre.
Alain VAILLYDiapositive n° 27 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.1) Informations et domaines
Les domaines peuvent être décrits en intentionintention ou en extensionextension.
année-émission
4 chiffres
≤ année du système≥ 1847 Aviation
Croix-rougePapillonsFootball
Usage courant
SUJETS
(loi structurelle)
(loi comportementale)
(énumération)
En intentionintention, on donne la loi respectée par toutes les valeurs.
En extensionextension, on donne toutes les valeurs possibles.
Alain VAILLYDiapositive n° 28 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.2) Entités et occurrences
Lorsque l’on a recensé les informations, il y a des regroupements qui apparaissent. Certaines informations sont, toutes, relatives au
même concept, au même objet-métier.
Entité n.f. Essence, ensemble des propriétés constitutives d’un être. Chose considérée comme un être doué
d’individualité.LAROUSSELAROUSSE
Une entité a du senssens.
Même choseMême chose
Une entité peut « vivre » indépendamment des autres.
Alain VAILLYDiapositive n° 29 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.2) Entités et occurrences
Une entité forme un tout et peut vivre « toute seule ».
Début struct CLIENTDébut struct PERSONNE
nom...date-dernier-achatTableau de [1..5] intérêtsDébut struct REFBANCAIRES
...date-validation
Fin structFin struct
Début struct TIMBRESTableau de [1..4] REFERENCE
...description-catalogueTableau de [1..5] sujets
...Fin struct
entité ?
OUI NON
Alain VAILLYDiapositive n° 30 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.2) Entités et occurrences
Les propriétés d’une entité n’ont de sens « que » pour elle.
sens ?
OUI NONDébut struct TIMBRES
Tableau de [1..4] REFERENCE
pays-émetteur
année-émission
état
prix de vente HT
prix de vente TTC
description
Tableau de [1..5] sujets
couleurs
valeur facialeFin struct
Alain VAILLYDiapositive n° 31 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.2) Entités et occurrences
Il y a plusieurs représentations graphiques possibles pour une entité (il y a plusieurs notations). La plus courante est la suivante :
Dans la partie haute du « rectangle », on placera le nom de l’entité. Dans la partie basse, les propriétés seront rangées, l’une en dessous
de l’autre. En première approximation, on peut voir ces entités comme des tiroirs dans lesquels on va ranger les propriétés.
TIMBRE
année-émissionpays-émetteur
état
CLIENTnom-client
prénom-client
CATALOGUEnom-catalogue
éditeur
Image fausse !Image fausse !
Alain VAILLYDiapositive n° 32 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.2) Entités et occurrences
TIMBRE
année-émissionpays-émetteur
état
CATALOGUEnom-catalogue
éditeurcatégorie
numéro-timbre
Les propriétés d’une entité n’ont de sens « que » pour elle.
C’est l’année d’émission du timbre.
C’est le pays émetteur du timbre.
C’est l’état du timbre.
C’est le nom du catalogue.
C’est l’éditeur du catalogue.
Ce n’est pas la catégorie du catalogue.
C’est le numéro du timbre, pas celui du catalogue.
Alain VAILLYDiapositive n° 33 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.2) Entités et occurrences
TIMBRE
année-émissionpays-émetteur
état
Une entité, c’est un modèle, un type (on parle, de temps en temps, de type d’entité ou d’entité-typeentité-type). Ce modèle, ce type,
sert autant de fois que nécessaire.
L’entité TIMBRES correspond à un ensemble de timbres.
Tous les timbres décrits dans le système d’information (dans la base de
données) ont la même forme, constituée -dans cet exemple- de trois
attributs :
important !important !
année-émission pays-émetteur état
Alain VAILLYDiapositive n° 34 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.2) Entités et occurrences
TIMBRE
année-émissionpays-émetteur
état
Ceci explique que l’on représente de temps en temps ces entités sous forme tabulaire, un peu comme des relations que
l’on décrit par leurs tables.
Il y a, hélas, souvent confusion entre un timbre (ie. une ligne du tableau) et le timbre-type (ie. l’entête du tableau)
année-émission pays-émetteur état
1990 Finlande **
1990 Finlande **
1992 Finlande *
1993 Finlande o
1993 Finlande **
Alain VAILLYDiapositive n° 35 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.2) Entités et occurrences
On appelle occurrenceoccurrence une ligne du tableau. Une occurrence de l’entité CATALOGUE correspond à un catalogue précis.
Occurrence = instance, exemplaire.
nom-catalogue éditeur année-parution
Michel Schwaneberger Verlag GmbH 1995
Scott Scott Publishing Co. 1995
Stanley Stanley Gibbons Limited 1997
Yvert Editions Yvert et Tellier 2003
CATALOGUEnom-catalogue
éditeurannée-parution
Alain VAILLYDiapositive n° 36 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.2) Entités et occurrences
Ces occurrences, dans les schémas de données Merise, sont sous-entendues :
Il peut y avoir, cachés, empilés, cinq catalogues, mille clients et cent mille timbres dans ce schéma !
CATALOGUEnom-catalogue
éditeurannée-parution
TIMBRE
année-émissionpays-émetteur
état
CLIENTnom-client
prénom-client
Alain VAILLYDiapositive n° 37 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.2) Entités et occurrences
Une entité, c’est un ensemble d’occurrences.
Un ensemble (au sens mathématique du terme), donc pas de doublons !
année-émission pays-émetteur état
1990 Finlande **
1990 Finlande **
1992 Finlande *
1993 Finlande o
1993 Finlande **
Toutes les lignes sont différentes...
…ce qui veut dire que, dans ce magasin, il n’y a qu’un qu’un seulseul exemplaire de chaque
timbre à vendre !!
Alain VAILLYDiapositive n° 38 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.2) Entités et occurrences
Si cette unicité ne convient pas et si l’on veut rester dans le cadre fixé, il faut à tout prix trouver un moyen de rendre
unique des doublons.
année-émission pays-émetteur état
Ce sont les mêmes !
Ce timbre, appelé Lady Mc Leod, est un des fleurons de la philatélie mondiale. - Trinitad -
1847
1847 Trinitad **
1847 Trinitad **
Alain VAILLYDiapositive n° 39 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.2) Entités et occurrences
Si cette unicité ne convient pas et si l’on veut rester dans le cadre fixé, il faut à tout prix trouver un moyen de rendre
unique des doublons.
Ce ne sont plus les mêmes !
Ce timbre, appelé Lady Mc Leod, est un des fleurons de la philatélie mondiale. - Trinitad -
1847
année-émission pays-émetteur état
1847 Trinitad **
1847 Trinitad **
n° 1
n° 2
numéro
1
2
Alain VAILLYDiapositive n° 40 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.2) Entités et occurrences
En ajoutant un numéro d’ordre, on a rendu uniques les copies.
Le numéro d’ordre que l’on a ajouté va jouer un rôle d’identification des doublons. C’est cette propriété qui les distingue les uns des
autres ; c’est elle qui les identifie. Plus généralement, ce numéro va identifier toutes les occurrences (ie. pas seulement les doublons).
année-émission pays-émetteur état
1847 Trinitad **
1847 Trinitad **
Il n’y a pas de doublons
Il n’y a pas non plus de
doublons
année-émission pays-émetteur état
1847 Trinitad **
1847 Trinitad **
numéro
1
2
1847 Trinitad **2
Alain VAILLYDiapositive n° 41 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.2) Entités et occurrences Ce numéro d’ordre peut être
absolu ou relatif :
L’élément n° 3 (A2, B2, C2) est le
troisième de la table.
A1
A1
1
2
A23
B1
B1
B2
C1
C1
C2
A1
A3
4
5
A46
B1
B1
B2
C1
C1
C2
A1
A1
1
2
A21
B1
B1
B2
C1
C1
C2
A1
A3
3
1
A41
B1
B1
B2
C1
C1
C2
L’élément n° 3 (A2, B2, C2) est le premier de la table dans cette
série.Identifiant absolu Identifiant relatif à
(A2, B2, C2)
Choix de modélisationChoix de modélisation
Alain VAILLYDiapositive n° 42 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.2) Entités et occurrences
De façon plus générale, dans un ensemble de propriétés constitutif d’une entité, il y a souvent une ou plusieurs
propriétés qui peuvent jouer ce rôle.
1 identifiant, composé de 2 propriétés.
2 identifiants possibles, tous deux mono-propriétés.
CATALOGUEnom-catalogue
éditeurannée-parution
nom-catalogueéditeur
année-parution
CLIENTnom-client
prénom-clientadresse
Alain VAILLYDiapositive n° 43 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.2) Entités et occurrences
Une fois choisi, l’identifiant sera mis en évidence sur les schémas grâce au soulignement :
CATALOGUEnom-catalogue
éditeurannée-parution
CLIENTnom-client
prénom-clientadresse
Les identifiants relatifs seront, quant à eux, soulignés par des pointillés.
Alain VAILLYDiapositive n° 44 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.2) Entités et occurrences
Une entité comprend donc des propriétés identifiantes (elles sont soulignées) et des propriétés descriptives. La garantie de
non-existence de doublons porte uniquement sur les premières.
On peut créer des clones ; dès l’instant où ils ont un identifiant distinct, on peut les enregistrer.
Timbre provisoire émis en 1909 en Iran, pour
l ’affranchissement des paquets-poste, à partir de deux étiquettes
de recommandation.
n° 2Ac n° 2Ad
Alain VAILLYDiapositive n° 45 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.3) Associations
Une fois rangées le maximum de propriétés dans les différentes entités, il en reste un certain nombre d’autres qui,
manifestement, n’ont pas de sens pour une entité unique.
Ce sont le numéro du timbre dans le catalogue de référence et la catégorie dans laquelle ce catalogue a rangé ce timbre.
Début struct TIMBRESTableau de [1..4] REFERENCEpays-émetteurannée-émission...
Fin struct
Début struct REFERENCEnom-cataloguecatégorienuméro-timbre
Fin structdans l’entité CATALOGUE
pas dans l’entité CATALOGUE, ni dans TIMBRE
Alain VAILLYDiapositive n° 46 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.3) Associations
Ce numéro de timbre a donc du sens pour le couple (TIMBRE, CATALOGUE).
Un timbre a plusieurs numéros.
Un catalogue comprend plusieurs
numéros.
x xx
xx x
xxx
xx
xxx
xx
Un même numéro de timbre peut correspondre à plusieurs
timbres (un par catalogue)
Un même numéro de timbre correspond à plusieurs catalogues
CATALOGUE
TIMBRE
NUMERO-TIMBRE
Alain VAILLYDiapositive n° 47 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.3) Associations
Ce concept de couple est représenté dans le modèle E-A-P sous forme d’associationassociation.
Une association A entre deux entités E1 et E2 est un ensemble de couples (x, y), x occurrence de E1, y
occurrence de E2, décrits par des informations, des propriétés, qui n’ont de sens que pour ces couples.
La représentation graphique habituelle de ces associations est la suivante :
Association = sous-ensemble d’un produit cartésienAssociation = sous-ensemble d’un produit cartésien
E1 E2A
Alain VAILLYDiapositive n° 48 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.3) Associations
EST-REFERENCE-DANS
CATALOGUEnom-catalogue
éditeurannée-parution
CLIENTnom-client
prénom-clientadresse
TIMBREnuméro-ordre
année-émissionpays-émetteur
état numéro-timbrecatégorie
EST-ACHETE-PAR
date-achat
TIMBRE x CATALOGUE TIMBRE x CLIENT
TIMBRE CATALOGUE CLIENT
NB : ce schéma est inachevé.NB : ce schéma est inachevé.
Alain VAILLYDiapositive n° 49 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.3) Associations
EST-REFERENCE-DANS
CATALOGUEnom-catalogue
éditeurannée-parution
TIMBREnuméro-ordre
année-émissionpays-émetteur
état numéro-timbrecatégorie
EST-REFERENCE-PAR : TIMBRE x CATALOGUE
La différence entre une association et un produit cartésien réside dans l’ordre. Dans une association, il est implicite ; il est induit
par le sens. Dans un produit cartésien, l’ordre est explicite.
Association = sous-ensemble d’un produit cartésienAssociation = sous-ensemble d’un produit cartésien
TIMBRE x CATALOGUE ≠ CATALOGUE x TIMBRE
sens (de lecture)
Alain VAILLYDiapositive n° 50 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.3) Associations
La notion d’association a fait l’objet de nombreuses extensions :
- associations sans propriétés,
Nous ne présentons ici que les trois premières, la dernière étant introduite dans la partie Extensions.
- associations n-aires, appliquées aux n-uplets, de cardinal > 2,
- associations en boucle,
- associations d’associations.
Alain VAILLYDiapositive n° 51 Université de NANTES
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2) Notions de base2.3) Associations
Il n’y a aucune obligation de placer une propriété dans une association. La présence de cette information dépend
uniquement de la situation à décrire.
La mise en évidence de la seconde est plus difficile (voir la partie Utilisation et modélisation).
CLIENTnom-client
prénom-clientadresse
TIMBREnuméro-ordre
année-émissionpays-émetteur
état
EST-ACHETE-PAR
date-achat
EST-ACHETE-PAR
Association sans propriétéAssociation sans propriété
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2) Notions de base2.3) Associations
Dans un produit cartésien, il n’y a pas d’obligation à ce que les ensembles impliqués soient différents. Dans le modèle E-A-P, il est parfaitement possible d’avoir une association
entre occurrences de la même entité.
On parle alors d’association en boucle.
Association en boucleAssociation en boucle
CLIENTnuméro-client
nom-clientprénom-client
adresse
EST-PARRAINE-PAR
Cette structuration est difficile à comprendre ; elle nécessite un soin particulier dans la rédaction de la
documentation associée.
numéro-client numéro-client
parrain filleul
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2) Notions de base2.3) Associations
Les associations que nous avons décrites jusqu’à présent sont ce qu’on appelle en mathématiques des relations binaires. Il s’agit de couples. La notion d’association peut être aisément généralisée à
des n-uplets, impliquant un nombre quelconque d’entités.
Association n-aireAssociation n-aire
Un timbre donné est acheté à une date donnée
par un client donné.
TIMBRE x CLIENT x DATE
DATEJourMois
Année
CLIENTnom-client
prénom-clientadresse
TIMBREnuméro-ordre
année-émissionpays-émetteur
état
EST-ACHETE-PAR
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2) Notions de base2.3) Associations
Association n-aireAssociation n-aire
Un timbre donné est acheté par un client donné (l’acheteur) à un client donné (le vendeur).
TIMBRE x CLIENT x CLIENT
TIMBREnuméro-ordre
année-émissionpays-émetteur
état
EST-ACHETE-PARCLIENTnom-client
prénom-clientadresse
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2) Notions de base2.4) Collections et rôles
La collectioncollection d’une association est formée de toutes les entités impliquées dans celle-ci.
{TIMBRE, CLIENT, CLIENT}
TIMBREnuméro-ordre
année-émissionpays-émetteur
état
EST-ACHETE-PARCLIENTnom-client
prénom-clientadresse
Collection de EST-ACHETE-PAR
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2) Notions de base2.4) Collections et rôles
{TIMBRE, CLIENT, DATE}Collection de EST-ACHETE-PAR
DATEJourMois
Année
CLIENTnom-client
prénom-clientadresse
TIMBREnuméro-ordre
année-émissionpays-émetteur
état
EST-ACHETE-PAR
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2) Notions de base2.4) Collections et rôles
acheteur
vendeur
Quand une entité est impliquée plusieurs fois dans une association, il est d’usage
de préciser le rôlerôle joué par celle-ci dans chaque cas.
TIMBREnuméro-ordre
année-émissionpays-émetteur
état
EST-ACHETE-PARCLIENTnom-client
prénom-clientadresse
CLIENTnuméro-client
nom-clientprénom-client
adresse
EST-PARRAINE-PAR
filleul
parrain
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2) Notions de base2.5) Propriétés explicites et implicites
Dans une association, il y a des propriétés. Certaines sont visibles (explicites), d’autres le sont moins.
EST-ACHETE-PAR peut, comme une entité, être décrite par un tableau. Celui-ci comprend quatre colonnes :
CLIENTnom-client
prénom-clientadresse
TIMBREnuméro-ordre
année-émissionpays-émetteur
état
EST-ACHETE-PAR
date-achat
numéro-ordre nom-client prénom-client date-achat
expliciteimplicites
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2) Notions de base2.5) Propriétés explicites et implicites
Les propriétés implicites jouent le rôle d’identifiant. Elles permettent de garantir l’unicité des occurrences de l’association.
Il n’y a pas d’occurrence de EST-ACHETE-PAR ayant la même valeur de couple
(numéro-ordre, (nom-client, prénom-client))
numéro-ordre nom-client prénom-client date-achat
identifiant
C’est un bien un couple !
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2) Notions de base2.5) Propriétés explicites et implicites
Nous pouvons donc dire qu’une association, comme une entité, a un identifiant, constitué des identifiants des entités
appartenant à sa collection.
CLIENTnom-client
prénom-clientadresse
TIMBREnuméro-ordre
année-émissionpays-émetteur
état
EST-ACHETE-PAR
date-achat
Toutes les occurrences sont identifiées.
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2) Notions de base2.5) Propriétés explicites et implicites
Avec ce schéma, un étudiant ne peut pas redoubler ou, plus exactement, il peut le faire sans que cela soit mémorisé !
DIPLOMEETUDIANT EST-INSCRIT-EN
date
Pas possible ! (l’identification joue sur l’identifiant, pas sur les
autres propriétés)
Coo..l, ça !Coo..l, ça !
numéro-étudiant nom-diplôme date-inscription
17 DEUG MIAGE 2002/2003
17 DEUG MIAGE 2003/2004
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2) Notions de base2.6) Cardinalités
Le schéma doit être complété par des informations quantitatives. Ces quantités correspondent aux nombres d’occurrences d’entités impliquées dans une association.
DIPLOMEETUDIANT EST-INSCRIT-EN
date**
Il y a trois quantités à indiquer, une minimale, une maximale et une moyenne, de chaque « coté » de l’association. La troisième
(la moyenne) n’est pas toujours mentionnée.
**
(mini, max, moy)(mini, max, moy) (mini, max, moy)(mini, max, moy)
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2) Notions de base2.6) Cardinalités
Une cardinalité, c’est le nombre d’occurrences de E2 auxquelles est liée une occurrence « lambda » de E1.
Combien ?Combien ?
**
****
**
**
****
**
****
**
**** **
Occurrence « lambda », représentative de
l’ensemble
Association entre E1 et E2
Ensemble des occurrences de E1
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2) Notions de base2.6) Cardinalités
Les cardinalités mini et maxi ne peuvent prendre que 3 valeurs :
00 Une occurrence de E1 peut ne pas être reliée, dans A, à une occurrence de E2.
11 Une occurrence de E1 doit être reliée, dans A, à une occurrence de E2.
nn Une occurrence de E1 peut être reliée, dans A, à plusieurs occurrences de E2.
mini
maxi
mini ≤ maximini ≤ maxi
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2) Notions de base2.6) Cardinalités Le nombre de liens est calculé au
moment de la définition de la base ; la période de référence est la durée
de conservation des données.
Un timbre peut ne jamais être acheté.
Un timbre est obligatoirement acheté…
dès sa création !
(0, -, -)(0, -, -)
(1, -, -)(1, -, -)
TIMBREnuméro-ordre
année-émissionpays-émetteur
état
EST-ACHETE-PAR
date-achat
TIMBREnuméro-ordre
année-émissionpays-émetteur
état
EST-ACHETE-PAR
date-achat
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2) Notions de base2.6) Cardinalités
Un client pourra acheter plusieurs
timbres.
Un client n’achètera jamais qu’un seul timbre !
(-, n, -)(-, n, -)
(-, 1, -)(-, 1, -)
CLIENTnom-client
prénom-clientadresse
EST-ACHETE-PAR
date-achat
CLIENTnom-client
prénom-clientadresse
EST-ACHETE-PAR
date-achat
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2) Notions de base2.6) Cardinalités
Un timbre peut ne jamais être acheté. S’il l’est, il ne le sera que
par un seul client. En moyenne, sur les 5 dernières années, 80 % des
timbres sont achetés.
Ces valeurs doivent donc être soigneusement calculées.
(0, 1, 0.8)(0, 1, 0.8)
TIMBREnuméro-ordre
année-émissionpays-émetteur
état
EST-ACHETE-PAR
date-achat
sur la base des archives
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2) Notions de base2.6) Cardinalités
Tout client a au moins un jour acheté un timbre. Il peut (c’est souhaitable) en acheter plusieurs. En moyenne, sur les 5 dernières
années, un client achète 20 timbres.
sur la base des archives
(1, n, 20)(1, n, 20)
CLIENTnom-client
prénom-clientadresse
EST-ACHETE-PAR
date-achat
Alain VAILLYDiapositive n° 69 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.6) Cardinalités
Ce dénombrement est un peu plus délicat dans le cas d’associations n-aires. Le
principe est toutefois le même.
(0, n, -)(0, n, -)
Un client peut ne pas faire d’offre d’achat (à quelque date que ce soit) ; il peut en faire plusieurs :
- soit à la même date, pour des timbres différents ;
- soit pour le même timbre, à des dates différentes.
DATEJourMois
Année
CLIENTnom-client
prénom-clientadresse
TIMBREnuméro-ordre
année-émissionpays-émetteur
état
FAIT-UNE-OFFRE-POUR
Alain VAILLYDiapositive n° 70 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.6) Cardinalités
Ce dénombrement est un peu plus délicat dans le cas d’associations n-aires. Le
principe est toutefois le même.
(0, n, -)(0, n, -)
Un timbre peut n’être jamais l’objet d’offres ; il peut faire l’objet de plusieurs :
- soit à la même date, par des clients différents ;
- soit par le même client, à des dates différentes.
DATEJourMois
Année
CLIENTnom-client
prénom-clientadresse
TIMBREnuméro-ordre
année-émissionpays-émetteur
état
FAIT-UNE-OFFRE-POUR
Alain VAILLYDiapositive n° 71 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.6) Cardinalités
Ces cardinalités correspondent à la loi que doivent respecter toutes les occurrences. Elles sont associées à un contrôle, mis en
œuvre lors de toute mise à jour.
nouvelle occurrence
a : respecte la loi
b : viole la loiaa bb
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2) Notions de base2.6) Cardinalités
Les cardinalités « façonnent » les associations. Globalement, une association binaire (ie. ayant une collection composée de deux
entités) peut être vue comme une relation. Selon les cardinalités, il est possible de préciser davantage.
fonction totale
(voir diapos suivantes)
Certaines cardinalités, d’un autre côté, permettent de simplifier des associations n-aires (avec n > 2) (voir la partie
Normalisation).
(1, 1, -)(1, 1, -) (0, n, -)(0, n, -)
NB : pour passer cette partie Approfondissement, cliquer sur la loupe.
Alain VAILLYDiapositive n° 73 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.6) Cardinalités
injection partielle(0, 1, -)(0, 1, -) (0, 1, -)(0, 1, -)
bijection partielle(0, 1, -)(0, 1, -) (1, 1, -)(1, 1, -)
fonction partielle(0, 1, -)(0, 1, -) (0, n, -)(0, n, -)
surjection partielle(0, 1, -)(0, 1, -) (1, n, -)(1, n, -)
NB : pour passer cette partie Approfondissement, cliquer sur la loupe.
Alain VAILLYDiapositive n° 74 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.6) Cardinalités
injection totale(1, 1, -)(1, 1, -) (0, 1, -)(0, 1, -)
bijection totale(1, 1, -)(1, 1, -) (1, 1, -)(1, 1, -)
fonction totale(1, 1, -)(1, 1, -) (0, n, -)(0, n, -)
surjection totale(1, 1, -)(1, 1, -) (1, n, -)(1, n, -)
En principe, cette combinaison ne doit pas se rencontrer.
NB : pour passer cette partie Approfondissement, cliquer sur la loupe.
Alain VAILLYDiapositive n° 75 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.6) Cardinalités
Si chaque élément de l’image impliqué dans la fonction n’a qu’un seul antécédent, alors il s’agit d’une injection.
RappelsRappels
Si chaque élément de l’image impliqué dans la fonction a un antécédent, alors il s’agit d’une surjection.
xx x
xx
x
x
xx x
xxx
x
NB : pour passer cette partie Approfondissement, cliquer sur la loupe.
Alain VAILLYDiapositive n° 76 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.6) Cardinalités
Certains auteurs notent de façon différente les associations de type fonction totale :
(1, 1, -)(1, 1, -) (0, n, -)(0, n, -)
(1, 1, -)(1, 1, -) (0, n, -)(0, n, -)
CIFCIF
Une telle « abstraction », outre le fait qu’elle est redondante, appauvrit le modèle. Le sens (la sémantique) de l’association
est, en effet, souvent absent du schéma.
Notation de ce cours
Notation alternative
NB : pour passer cette partie Approfondissement, cliquer sur la loupe.
Alain VAILLYDiapositive n° 77 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
2) Notions de base2.6) Cardinalités
Si un élément de l’ensemble de gauche est lié à plus d’un élément de l’ensemble de droite, alors il s’agit d’une relation.
bijection = injection + surjection
xx x
xx
x
x
NB : pour passer cette partie Approfondissement, cliquer sur la loupe.
RappelsRappels
Alain VAILLYDiapositive n° 78 Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
A suivre :
- description,
- contraintes,
- personnalisation,
- héritage et agrégation,
- recueil et structuration,
- interprétation,
- ...
entracte
Alain VAILLYDiapositive n° 79
Bibliographie (sommaire)
Université de NANTES
M.E.D.A.L.M.E.D.A.L.
Pour compléter la formation ...
la référence :-)
• P. ANDRE, A. VAILLY, « Conception des systèmes d’information ;Panorama des méthodes et des techniques », Editions Ellipses, janvier 2001,ISBN 2-7298-0479-X
• D. NANCI, B. ESPINASSE, « Ingéniérie des systèmes d’information : Merise ; deuxième génération », 4e édition, Editions Vuilbert, 2001, ISBN 2-7117-8674-9