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2012

Excellence et Différence

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CULTiVER L’EXCELLEnCEGénéraliste, humaniste, ouverte au monde et à l’initiative d’artem-nancy, l’école des mines de nancy conjugue excellence et différence avec l’ambition d’anticiper les besoins de l’économie et les attentes de la société.

L’école des Mines de Nancy est classée par la presse et les milieux économiques dans le peloton de tête des meilleures Grandes écoles d’ingénieurs fran-çaises. Outre ses liens étroits avec le monde écono-mique, elle bénéficie de l’attractivité de deux réseaux d’excellence. D’un côté, elle s’affirme comme par-tenaire stratégique de l’Institut Mines-Télécom, le premier groupe de Grandes écoles d’ingénieurs et de managers en France. De l’autre, elle est un des fleu-rons de l’Université de Lorraine et de son collegium de 10 écoles d’ingénieurs.

Leadership« Au travers de son projet pédagogique qui vise la construction de l’Homme et la formation de l’esprit, l’École des Mines de Nancy prépare ses élèves aux plus hautes responsabilités, en cultivant chez eux le sens des responsabilités, la créativité et l’exigence

éthique en complément de leur efficacité scienti-fique et intellectuelle. Ils seront demain, » souligne Michel Jauzein, Directeur de l’école, « des leaders capables d’appréhender le monde et d’évoluer en acteurs agiles et efficients des entreprises et des organisations. »

Campus 3.0Cette ambition est aussi à l’origine de l’alliance Artem-Nancy qui, depuis plus de 10 ans, voit les futurs ingénieurs croiser les parcours des élèves de l’école Nationale Supérieure d’Art de Nancy et de l’ICN Business School. Une vraie différence ! Artem-Nancy a su imposer son concept interdisciplinaire et interculturel au point d’inspirer le lieu emblématique qui accueille aujourd’hui la nouvelle école des Mines : un campus 3.0 unique en France, ouvert sur la péda-gogie nomade et entièrement tourné vers l’innovation

collaborative grâce au rapprochement de la recherche et de l’entreprise au plus près de la formation.

Sciences de l’information, mathématiques, matériaux et procédés, énergie et mécanique, sciences de la terre... L’école des Mines de Nancy s’appuie sur 6 la-boratoires et 2 équipes de recherche dont les activités intéressent à la fois les PME-PMI et les grands noms de l’industrie. Forte de ce plateau de recherche qui a peu d’équivalent dans les Grandes écoles françaises, elle peut par ailleurs compter depuis 2011 sur les retombées du Grand Emprunt, que ce soit au titre des laboratoires (LABEX), des équipements (EQUIPEX), des initiatives d’excellence en formations innovantes (IDEFI) ou des plates-formes d’innovation.

Dès la rentrée prochaine, c’est au cœur du campus Artem que va s’écrire l’histoire de l’École des Mines de Nancy. Un scénario d’avant-garde qui offrira aux élèves ingénieurs et aux enseignants un nouveau cadre d’évolution.

Une recherche d’avenir

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OSER La DiFFEREnCE

évoluer dans le luxe après avoir fréquenté une école de prestige... Certains en rêvent, Artem le fait ! Le fruit de son imagination ? Le tout nouveau MSc Design et Management du Luxe, un programme qui offre la possibilité aux étudiants de mieux comprendre cet univers particulier, au travers notamment de deux séminaires de découverte organisés l’un à Paris en 1re année et l’autre à Moscou en 2e année. Toute aussi innovante, la création par les trois écoles d’une plate-forme de recherche spécifique et transversale, en vue d’ouvrir de nouvelles lignes de convergence entre art, science et management ! Pédagogie créative, recherche décloisonnée, ces atouts, l’école a choisi de les valoriser en prenant l’initiative pour la création d’un réseau international ouvert sur des expériences similaires. Au premier rang de ses partenaires naturels, Alvar Aalto en Finlande, université avec laquelle un accord est en cours, mais aussi Impe-rial College au Royaume-Uni, Stanford aux états-Unis ou Tongji en Chine.

L’innovation est tout autant un élément différen-ciant de l’école qu’un facteur d’excellence pour ses partenaires économiques et les élèves. Soucieuse d’accompagner les élèves ingénieurs sur les voies de l’innovation responsable et de l’entrepreneuriat, elle a créé en 2008 la chaire Ingénierie et Innovation qui abrite, depuis, une démarche originale dans le paysage des Grandes écoles. Originale et interactive comme l’illustre son slogan : apprendre ensemble à innover... Son objectif est double. D’un côté, il s’agit d’enrichir les savoirs théoriques des étudiants par l’observation des pratiques innovantes en entreprise. De l’autre, d’accompagner les acteurs économiques dans leur dynamique de changement et d’inno-vation. La chaire Ingénierie et Innovation a reçu le soutien de la Fondation de l’Industrie et de Mines de Nancy Alumni, l’Association des Anciens élèves de l’école. Elle est notamment à l’origine de la filière « Management de l’Innovation et du Changement » mise en place par l’école en 2010.

« On a besoin d’une pédagogie différenciée. Les élè- ves ingénieurs sortent de prépa. Et notre rôle d’ensei-gnants consiste à casser les représentations que ce modèle induit pour faire émerger leur vraie nature », lance Marie-Reine Boudarel, Directrice des études. « Ils doivent apprendre à ouvrir les yeux sur le monde. Et nous nous employons à les accompagner en mode alternatif pour permettre la découverte : protéger et lâcher, c’est ce que j’entends par compagnonnage cognitif... L’enseignant est tantôt devant pour trans-mettre des connaissances, tantôt derrière pour stimu-ler l’étudiant, tantôt à côté de lui parce que le chemin est tracé et que l’étudiant n’a plus qu’à tenir son cap. Le compagnonnage, c’est la tradition de l’ate-lier... On construit quelque chose ensemble. L’élève développe ses talents et les questions qu’il pose font évoluer la pédagogie du maître. »

Le futur campus se veut le symbole de l’esprit Artem-Nancy par ses innovations en matière d’économies d’énergie, ses challenges techniques et ses espaces de transversalité.

innovation,une démarche interactive

artem-nancymarque les esprits

Les leçons du compagnonnage cognitif

Fleuron de l’Université de Lorraine (UL), pôle universitaire de plus de 50 000 étudiants et partenaire stratégique de l’institut mines-Télécom qui rassemble de son côté 8 000 élèves ingénieurs, l’école des mines de nancy est l’acteur clé d’un vaste réseau d’alliances.

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aCTiVESaLLianCES

Née le 1er janvier dernier de la fusion des 4 universités implantées à Nancy et Metz, l’UL s’impose comme la première région campus de France. Sur le plan aca-démique, ce grand établissement d’excellence couvre tous les champs de la connaissance et propose de multiples passerelles entre établissements et disci-plines. De quoi permettre aux étudiants d’adapter leur parcours au fur et à mesure de leur évolution personnelle. Versée dans l’innovation responsable, l’UL défend le principe d’une ingénierie pensée pour l’homme, valo-risée par l’usage et inscrite dans un environnement global, l’ingénierie écosystémique. C’est le sens de son projet transdisciplinaire, Noyau d’Innovation et de Technologie (NIT), qui se propose de renouveler les relations entre l’université, les entreprises et les terri-toires dans le but d’accélérer le passage des connais-sances aux applications.

Une référenceLabellisée « Campus d’Excellence », l’Université de Lorraine figure dans la liste des 12 sites nationaux reconnus par le Ministère de l’Enseignement Supé-rieur pour la qualité de leur formation et de leur recherche à l’échelle internationale. L’an dernier, le très convoité classement de Shangaï l’a placée dans les 300 premières au niveau mondial. Un début de reconnaissance qui sonne comme un encouragement quand on sait que seuls 3 établisse-ments français figurent dans le top 100.

L’Université de Lorraine, terre de savoirs et d’ingénierie Créé par décret le 1er mars dernier, l’Institut Mines-Télécom s’affirme comme le premier groupe de

Grandes Écoles d’ingénieurs et de managers en France. Fort de l’expérience et de la renommée des deux familles qui le composent, écoles des Mines et écoles des Télécommunications, l’Institut Mines-Télécom entend à la fois répondre aux exigences de compétitivité de notre économie et soutenir l’essor des territoires. Nul doute qu’il contribuera également, par son rayonnement, à redonner de l’attractivité aux études technologiques et scientifiques et à leurs débouchés vers l’industrie et les services. En devenant partenaire stratégique de l’Institut, l’école des Mines de Nancy bénéficie des synergies entre écoles et d’un évident effet réseau. Avec ses 8 000 élèves ingénieurs, l’Institut Mines-Télécom a en effet l’ambition d’être un acteur de référence en France et à l’international dans les domaines de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation.

institut mines-Télécom : esprit de famille et attractivité

C’est la Fondation de l’Industrie, créée en 1923 et présidée par Jean-Carlos Angulo, Directeur Général ad-joint, Co-Président de l’Activité Ciment de Lafarge, qui a notamment permis la mise en œuvre de la chaire Ingénierie et Innovation de l’école et son financement par des entreprises. Sur un plan plus général, la Fon-dation contribue à la réflexion stratégique de l’école. Elle lui apporte son soutien en matière de prospective et d’appui aux élèves ingénieurs. Enfin, elle contribue au renforcement de ses liens avec les entreprises et à son développement à l’international.

En plus de 90 ans d’existence, l’école des Mines de Nancy a formé plus de 15 000 élèves ingénieurs, dont plus de 4 000 sont encore en exercice. Un réservoir naturel pour Mines de Nancy Alumni, l’Association des Anciens élèves présidée par Jean-Yves Koch, Directeur exécutif de Capgemini.Mines de Nancy Alumni a vocation à développer la solidarité entre Ingénieurs Civils des Mines, à renforcer les relations avec l’école et à favoriser les contacts professionnels et personnels entre ses membres. Mais l’association entretient également des liens privilégiés avec la Fondation de l’Industrie qui soutient les projets et les investissements de l’école. À l’heure où celle-ci met la dernière main à sa campagne de levée de fonds, Jean-Yves Koch veut y voir une promesse de succès : « L’internationalisation des entreprises appelle l’internationalisation des équipes. Or, pour rayonner sur la scène mondiale, il faut mobiliser des moyens sup-plémentaires en impliquant les donateurs autour d’un projet percutant ! »

mines de nancy alumni : un tremplin pour l’avenir

Une fondation en appui de l’innovation

artem-nancy : nulle part ailleursEn fondant Artem-Nancy, avec l’ICN Business School et l’école Nationale Supérieure d’Art de Nancy, l’école des Mines s’offre de nouvelles perspectives. Cette alliance, soutenue par un réseau d’entreprises très actives (Artem-Entreprises), lui permet de conforter la formation de ses élèves ingénieurs en sciences humaines et sociales et en mana-gement, tout en les ouvrant de façon originale à la démarche de création artistique à travers la réalisation de projets interculturels et interdisciplinaires.

52 000 étudiants, dont

4 000 élèves ingénieurs

10 écoles d’ingénieurs,

3 700 enseignants et enseignants-chercheurs,

82 laboratoires de recherche.

L’Université de Lorraine en chiffres

Formation de pointe en Français Langue étrangère pendant l’été (French summer school), week-end d’intégration spécifique, semaine internationale ou- verte sur le partage des cultures... L’accueil des étu-diants étrangers a toujours mobilisé l’attention de l’école. Il est vrai qu’il constitue un argument souvent décisif pour attirer les talents venus d’ailleurs.Un principe essentiel : la volonté des Mines de Nancy de leur simplifier la vie en les accompagnant dans les actes de la vie quotidienne : recherche de logement, démarches administratives, culturelles...Mieux, l’école a prévu de libérer deux heures par mois dans les emplois du temps pour favoriser leur bonne intégration : des créneaux qui permettent aux étudiants internationaux de bénéficier de l’appui d’un tuteur, qu’ils aient besoin de soutien pédagogique ou que leur difficulté concerne la vie de tous les jours.

D’où viennent les étudiants internationaux ?Les étudiants internationaux sont plus d’une cen-taine à rejoindre l’école chaque année. Les uns sont recrutés en première année sur le Concours Commun Mines-Ponts. Les autres sont accueillis en 2e année, en tant qu’admis sur titres ou par le biais d’échanges académiques entre universités : ils sont dans ce cas originaires d’établissements avec lesquels l’école a noué des accords, de pays qui intéressent ses partenaires industriels et de régions du monde avec lesquelles la Lorraine entretient des liens de coopération. En 2011-2012, les étudiants internationaux en formation à l’école venaient d’une vingtaine de pays différents  : Allemagne, Brésil, Canada, Chine, Colombie, Inde, Japon, Malaisie, Maroc, Tunisie…

DépartsCôté départs, l’école propose à ses élèves ingénieurs 45 destinations et de nombreuses formules à l’inter-national : stage en entreprise, séjour académique, année de « césure » entre la 2e et la 3e année dans une entreprise implantée à l’étranger, double diplôme ou second diplôme (Master).

Grâce à ses accords avec 80 établissements d’enseignement supérieur dans le monde, l’école des mines de nancy rayonne sur les 5 continents. Elle accueille chaque année 20 % d’étudiants étrangers et ses élèves ingénieurs passent en moyenne 6 mois et demi à l’international.

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PaRTEnaRiaTSSanS FROnTièRE

Un accueil soigné

L’École accueille chaque année une centaine d’étudiants internationaux.

Un faisceau d’opportunitésAu plan international, l’École des Mines de Nancy tire parti des nombreuses opportunités offertes par ses partenariats et ses réseaux.

Grâce à sa participation aux missions de recrutement du Groupe des Ecoles des Mines (GEM) à présent au sein de l’Institut Mines-Télécom, l’école accueille chaque année des étudiants en provenance de Chine, d’Inde, du Brésil et du Vietnam. Elle réalise des échanges avec une douzaine d’universités brésiliennes, au travers du programme Brafitec (Brasil France Ingénieurs Technologie) qui s’étend progressivement à toute l’Amérique latine. Elle a conclu des accords Erasmus avec une trentaine d’universités allemandes, suédoises, espagnoles, italiennes, roumaines, tchèques, polonaises, slovaques, grecques et autrichiennes entre autres.

L’école des mines de nancy forme des ingénieurs capables d’innover et de conduire le changement mais elle s’investit aussi au quotidien pour relever les défis du moment, égalité des chances, ouverture sociale, développement durable...

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CiTOYEnnEaTTEnTiOn

Cela fait 15 ans que l’école des Mines de Nancy a repris à son compte l’esprit de la « Main à la pâte », formule qui propose aux élèves des classes primaires d’appréhender les sciences par l’expérimentation.À l’école, cette initiative a donné naissance à un projet de première année, qui voit un binôme d’étudiants accompagner une classe à raison de 3 heures par semaine : à l’occasion des séances, qui se prolongent sur plusieurs mois, les élèves ingénieurs travaillent en collaboration avec les professeurs des écoles sur des thématiques et des concepts scientifiques de base.

au cœur de l’événementServie par une approche ludique, la « Main à la pâte » constitue un levier efficace pour promouvoir les sciences à l’école primaire et susciter des vocations. Elle permet également de favoriser le développe-ment personnel et l’ouverture d’esprit des futurs ingénieurs, au travers notamment de l’apprentissage de la pédagogie.Depuis son lancement, elle n’a d’ailleurs cessé de grandir au point de faire des émules dans le cadre de l’Université de Lorraine : depuis 2011, elle est au coeur de « Ramène ta science », un événement qui réunit pour une demi-journée de présentation des milliers d’élèves de primaire, de collège et de lycée et les centaines de chercheurs et étudiants, qui les ont accompagnés durant l’année.

Quand les élèves ingénieurs ramènent leur science…

La Cordée de la Réussite Artem-Nancy se situe dans le peloton de tête des cordées françaises. Un succès, qui vaudra à ses initiateurs de coorganiser les 28 et 29 novembre prochains à Nancy, sur le campus Artem, les premières Assises Nationales des Cordées de la Réussite.Trop de jeunes talents, pourtant prometteurs, se détournent des formations d’excellence, par mécon-naissance ou crainte de ne pas pouvoir financer leurs études. C’est ce constat qui a poussé l’école des Mines de Nancy à relever le défi de l’ouverture sociale. Privilé-giant le travail de terrain et la proximité, elle a d’abord constitué un réseau de solidarité réunissant des membres de l’école, d’associations étudiantes comme Humamines et le Défi Voile Artem, de professionnels comme Dessine-moi un rêve, Entrepreneuriat au féminin, Passeport Avenir, Artem-Entreprises. Et ce réseau s’est dans un premier temps mobilisé pour mettre en place un programme de sensibilisation à destination des collégiens et des lycéens. L’idée a ensuite fait son chemin.

Plus haut, plus loinEn 2010, l’école s’est associée, avec ses partenaires de l’ICN Business School et de l’Ecole Nationale Supérieure d’Art de Nancy, à l’opération des Cordées de la Réussite, label créé en 2008 pour promouvoir l’égalité des chances et la réussite des jeunes issus des quartiers « Politique de la Ville  ». Unique en France par sa transdisciplinarité, la cordée a vu progressivement gonfler ses effectifs : « Artem-Nancy, Ensemble vers la réussite » - c’est son nom - mobilise aujourd’hui 80 étudiants des 3 écoles et 70 professionnels et s’affirme comme l’une des 5 plus importantes cordées françaises. Une réussite qu’alimentent désormais des modules pédagogiques inscrits dans les cursus des 3 écoles.

La voile - elle aussi - en réussite Une soixantaine d’actions en faveur de l’égalité des chances ont été menées en 2011 dans le cadre de la Cordée de la Réussite. L’un des projets conduit par une équipe d’étudiants de l’alliance Artem-Nancy a ainsi permis d’initier 70 collégiens à la voile et aux phénomènes physiques sous-jacents. Il a remporté le 15 mars 2012 le 3e prix du Trophée Poséidon.

L’égalité des chancesen tête de cordée

Soutenue par le monde socio-économique, par la Fondation de l’industrie et par mines de nancy alumni, l’école mise plus que jamais sur l’esprit d’entreprendre et l’innovation pour relever les défis à venir.

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D’EnTREPRiSEESPRiT

élèves ingénieurs, élèves entrepreneurs L’innovation fait recette

Sensibilisation en première année, émergence de l’idée en deuxième, portage de projet en troisième : décliné tout au long du cursus, l’entrepreneuriat est devenu l’un des axes pédagogiques de l’École des Mines de Nancy.Lancées il y a deux ans en lien avec d’anciens élèves, créateurs d’entreprise, les actions de sensi-bilisation à l’entrepreneuriat ont pris une résonance toute particulière. « Notre objectif premier n’est pas de former des créa-teurs d’entreprises », rappelle Isabelle Le May, Direc-trice de l’Action vers les Entreprises et les Collectivités, « mais de réunir les conditions pour que nos élèves ingénieurs développent des compétences d’entre-preneur : confiance en soi, capacité à gérer un pro-jet, aptitude à convaincre... »

La chaire Ingénierie et Innovation, abritée par l’École des Mines de Nancy, a lancé une démarche originale dans le paysage des Grandes Écoles.

L’Entrepreneuriat par l’actionTout commence par les ateliers de l’innovation, un rendez-vous de rentrée au cours duquel les élèves de première année sont initiés à la conduite de projet et invités à en maîtriser les outils : méthodologie de synthèse, rédaction, technique de communication…Bénéficiant du travail en réseau que l’école des Mines a pu développer avec ses différents parte-naires*, cette dynamique se décline ensuite tout au long des parcours au travers d’actions co-orga-nisées avec les diplômés chefs d’entreprises et les associations des élèves ingénieurs (Mines Services - la Junior-Entreprise de l’école - le Forum Mines-Télécom Nancy, anciennement Forum Est-Horizon, ou le Bureau des élèves) : jeu d’entreprise, semaine recherche innovation, matinées entrepreneuriales, cycles de conférences, stages, organisation d’événe-ments, lancement du concours Entreprendre…

Des coulisses à la scèneDerniers exemples en date, l’école vient de mettre en place, en coopération avec le Pôle de l’Entrepre-neuriat étudiant de Lorraine (PEEL) « une action, un jour, un entrepreneur », séquence qui comme son nom l’indique permet aux élèves ingénieurs de pre-mière et deuxième année de partager 24 heures de la vie d’un chef d’entreprise. À cela s’ajoute un suivi personnalisé proposé cette fois aux porteurs d’idées de troisième année : l’occasion pour ces entrepre-neurs en puissance, hébergés dans le cadre d’une Business unit, de bénéficier d’un temps d’accom-pagnement et de maturation propice au lancement de leur activité.

Baptisée « Apprendre ensemble à innover », cette ini-tiative poursuit un double objectif : enrichir les savoirs théoriques des étudiants par l’observation des pra-tiques innovantes en entreprise et accompagner les acteurs économiques dans leur dynamique de chan-gement et d’innovation.

La chaire en bref• Créée en 2008 avec le soutien de la Fondation

de l’Industrie et de Mines de Nancy Alumni.• 5 partenaires fondateurs : Total, La Poste, Veolia

Environnement, Areva et le Grand Nancy.• 20 projets, 60 étudiants impliqués, + de 90 h

d’enseignement spécifique par an...• À l’origine de la filière Management de l’Innovation

et du Changement mise en place en 2010.• À l’initiative de : - la collection « Innovation en actions » déclinée en 2 ouvrages depuis juin 2012, - 2 colloques : Efficacité des processus

d’innovation (Décembre 2009) et Innovation et incertitude (Décembre 2011).

En savoir + : www.ingenierie-et-innovation.com

Isabelle Le May - Directrice de l’Action vers les Entreprises et les Collectivités

Antoine Dubedout Responsable de la chaire Ingénierie et Innovation

aux Mines de Nancy, accompagnement professionnel rime avec développement personnel. Projets, stages, tutorat, intervention de professionnels, ateliers cV et lettre de motivation, entretiens indivi-duels avec des professionnels, conférences sur des thématiques concrètes (négociation de salaire...), l’ensemble de ces actions ont un même but. réparties tout au long du cursus, elle permettent aux élèves ingénieurs de valoriser leurs expériences et de mener à bien le projet professionnel qui leur correspond le mieux.

Professionnalisation : un leitmotiv tout au long du cursus

(*) Maison de l’Entrepreneuriat de l’Université de Lorraine, Club Entrepreneuriat au Féminin créé à l’initiative de la CGPME pour promouvoir la contribution des femmes au développement économique et social, pépinière d’entreprises Promotech...

L’école porte en elle une forte dimension managériale et humaniste.Héritier de cet état d’esprit, artem-nancy offre aux élèves ingénieurs la possibilité de se confronter à d’autres sensibilités et de poser un regard éclairé sur le monde.

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aRTEm-nanCYCRéaTiVE PéDaGOGiE

Double effet diplômantun double diplôme école des Mines de Nancy / ICN Business school à coloration finance-audit est proposé aux élèves ingénieurs suivant les parcours Ingénierie des systèmes de production et Ingénierie mathématique. Et ce, moyennant une prolongation d’étude d’un an.

Plus d’une quarantaine d’entreprises convaincues par le concept, ont tenu à soutenir cette dynamique pédagogique, scientifique et institutionnelle. Ras-semblées au sein d’« artem-Entreprises  », elles participent activement à la réussite d’artem-Nancy par la mise en œuvre de différentes actions de développement et de promotion : propositions de sujets de stage, d’ateliers, prestations pédago-giques, réflexion sur les métiers d’interface, apport de projets concrets, sensibilisation auprès des ré-seaux locaux, régionaux et nationaux, soutien aux initiatives des étudiants...

Un concept innovant plébiscité par les entreprises

Ecouter la différence

la complexité du monde appelle de la créativité. En permettant à l’élève ingénieur de croiser son regard avec celui du futur cadre commercial et celui de l’artiste ou du designer, artem-Nancy fait de cette nécessité une vraie opportunité.

L’audace pour moteurOrganisés chaque vendredi de deuxième année, les ateliers artem s’articulent autour de deux temps forts : un enseignement pluridisciplinaire et la conduite d’un projet, en groupe de 4 à 6 élèves, centré sur une problématique complexe. Tout en conservant leurs spécificités, les trois écoles partenaires, l’école Nationale supérieure d’art de Nancy, l’école des Mines de Nancy, l’ICN Business school, proposent ainsi à leurs élèves d’être les acteurs d’une pédagogie audacieuse qui les plonge au cœur d’enjeux et de logiques a priori éloignés de leur domaine d’excellence initial.

Quelque 400 futurs ingénieurs, créateurs et managers participent tous les vendredis aux 24 ateliers artem proposés pour l’année 2012-2013. autant de laboratoires d’idées, où la transversalité s’appuie sur des projets concrets proposés par des industriels, des collectivités ou des laboratoires de recherche et où les étudiants apprennent à travailler ensemble en écoutant leurs différences.

avant-goût des vendredis artem ateliers proposés par l’école des Mines : • conception, innovation, production

de l’idée au prototype, du prototype au marché.

• cindyniques ou sciences du danger problématique des risques, enjeux sociétaux, méthodes et applications.

• identités de l’espace rapports entre un lieu et les activités qui s’y déroulent.

• environnement et développement durable former des acteurs du développement durable.

• e-business les technologies d’internet dans les grands processus de l’entreprise.

• ingénierie territoriale et innovation sociale la gestion de projets dans le cadre de l’aménagement du territoire.

Exemples d’ateliers proposés par l’école Nationale Supérieure d’art de Nancy et l’IcN business School : • augmentations

démarches de projet et numérique, de la conception à la fabrication.

• coédition l’art et la publication électronique à l’heure des tablettes numériques.

• chaire « Innovation Entrepreneuriale » le design et les nouvelles technologies au service de l’innovation entrepreneuriale.

• cFa préparation des étudiants aux examens profes-sionnels en Finance (CFa principalement).

3 000 heures d’enseignement par anChaque année, les ateliers artem offrent plus de 3 000 heures d’enseignement qui sont prises en charge collectivement et co-pilotées par les écoles. À cela s’ajoutent les interventions de 400 confé-renciers et près de 80 projets en équipes pluridis-ciplinaires.

5 000 C’est le nombre total d’étudiants qui ont goûté aux ateliers artem depuis leur création, il y a plus de 10 ans.

Du souffle dans les voilesChaque année, le défi Voile artem, association composée d’étudiants des 3 écoles, participe à la Course Croisière EdHEC, célèbre régate sur la côte atlantique, et porte très haut les couleurs de l’alliance artem-Nancy.

Le luxe, un atout maître

Profitant de l’environnement pédagogique, écono- mique et culturel de l’alliance artem-Nancy, le tout nouveau Msc design et Management du luxe aborde le monde du luxe avec une vision pluridisci-plinaire. Il permet aux étudiants souhaitant évoluer dans ce domaine d’acquérir les outils nécessaires pour l’appréhender au mieux. au-delà des apports théoriques,  deux séminaires de découverte  per-mettront aux étudiants de s’immerger dans cet uni-vers, à Paris en 1re année et à Moscou en 2e année. Il est accessible après Bac + 3 (entrée en 1re année) ou après un Bac + 4 (entrée en 2e année).

Construit au cœur d’un quartier historique de Nancy, le futur campus se veut le symbole de l’esprit artem-Nancy par ses innovations en matière d’économies d’énergie, ses challenges techniques et ses espaces de trans-versalité. ses 85 000 m2 de bâtiment abriteront les 3 écoles de l’alliance, l’école Nationale supérieure d’art de Nancy, l’école des Mines de Nancy, l’ICN Business school, ainsi que l’Institut Jean lamour, l’un des 10 plus grands laboratoires européens dans le domaine des matériaux : en tout 5 000 personnes, dont 3 500 étudiants et 1 500 enseignants, chercheurs et personnels administratifs et techniques.

Transparence, convergence et créativitéÀ la fois projet pédagogique, scientifique et urbain, ce campus de 10 hectares fait la part belle aux espaces mutualisés : pôle d’enseignement propice au croi-sement des disciplines, lieux de rencontre et de brassage, maison des étudiants, médiathèque, Galerie reliant les différents espaces... Porté par le geste architectural de l’architecte urbaniste Nicolas Michelin, il résume à lui seul toute l’ambition de l’alliance : ouverture économique, sociale et culturelle, ouverture aux autres et ouverture au monde.

200 millions d’euros sont consacrés à la construction des 3 Grandes écoles et de l’Institut Jean lamour, ce qui fait d’artem-Nancy le plus grand chantier universitaire français ouvert à ce jour en dehors de Paris. un investissement financé par l’état (Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Ministère de l’Economie, des Finances et du Commerce extérieur, Ministère de la Culture et de la Communication) les collectivités territoriales et l’Europe, avec une maîtrise d’ouvrage déléguée à la Communauté urbaine du Grand Nancy.

au-delà de sa dimension pluriculturelle conjuguant sciences, arts et management, artem-nancy marque la reconstruction de l’école des mines au cœur d’un campus d’excellence de 85 000 m2.

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CamPUSDU FUTUR

Un grand chantier universitaire et urbain

lancé en janvier 2010, le chantier du campus artem vient de livrer ses pre-mières constructions : pour la nouvelle école des Mines de Nancy et la Mai-son des langues et des Cultures, 2012 sonne l’heure de la première rentrée. suivront l’aménagement d’une plaine de loisir et la construction de l’Institut Jean lamour (actuellement en cours), de l’Ecole Nationale supérieure d’art et de l’ICN Business school, à l’horizon 2015.

L’heure de la première rentrée a sonné

En savoir plus www.artem-nancy.fr

L’école des mines de nancy compte environ 800 élèves ingénieurs. En complément du cursus généraliste « ingénieur Civil des mines » qui concerne les 3/4 d’entre eux, elle forme également de futurs ingénieurs de spécialité, dont le parcours répond aux besoins du monde industriel, en matière de gestion de production et de conception de produits nouveaux.

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D’inGEniEURSFORmaTiOn

admission sur concours 1re année : élèves de classes préparatoires scien-tifiques sur concours « Mines-Ponts » commun à 10 Grandes écoles.

admission sur titres & examens•  1re année : après un CPP - La prépa des INP. •  1re ou 2e année : avec une licence L3

ou un Master M1 scientifique procédure commune à 14 Grandes écoles (examens écrits et oraux).

•  en 2e année : étudiants étrangers ayant un niveau équivalent M1 (examens écrits et entretiens) et Techni-ciens Supérieurs expérimentés en formation continue (examen par contrôle continu au cours d’un cycle préparatoire « Fontanet » et entretiens).

Une trentaine d’ingénieurs de spécialité formés à l’animation d’équipe, à la gestion de production et au génie des matériaux, rejoignent tous les ans les grands groupes industriels. Leurs secteurs d’activité : en tête en 2011, les industries aéronautique, ferroviaire, automobile, l’énergie, la métallurgie et l’industrie cosmétique… Cette formation dispensée à Nancy est ouverte à des étudiants allemands grâce à un accord de double diplôme avec la Hochschule de Mannheim.

insertion professionnelleRémunération annuelle brute, dont primes et avantages, constatée à l’embauche pour les jeunes diplômés.France : 38 500 € - étranger : 50 800 €

Formation Fi-mGP(2): spécialistes matériaux et production

Formation iCm(1) : leaders des entreprises et organisationsLes talents des élèves ingénieurs sont multiples et leurs intentions d’évolution, notamment professionnelles, parfois très différentes. C’est la raison pour laquelle l’école des Mines de Nancy laisse à l’étudiant le soin de se construire un cursus sur mesure, en particulier en deuxième et troisième année. Développant une pédagogie par l’action qui favorise très tôt l’autonomie, la prise de risque et l’exercice de la responsabilité, elle l’invite par ailleurs, tout au long de ses études, à aiguiser sa créativité et sa capacité d’adaptation : sciences et conscience. Si l’école forme des ingénieurs capables d’innover et de conduire le changement, elle les prépare aussi à devenir des managers responsables et humanistes. Pour servir cette double ambition, elle dispense une formation à forte valeur ajoutée qui s’appuie sur une solide culture scientifique et réserve une place de choix aux enseignements d’ouverture : sciences humaines, économiques et de gestion, humanités, langues et cultures étrangères... et à la mise en pratique au travers des projets et stages.

insertion professionnelle Le socle pluridisciplinaire permet aux jeunes ingénieurs de travailler dans différents secteurs. Ceux qui ont recruté en masse en 2011 : l’énergie (21 %) et les sociétés de conseils et bureau d’études (20 %). À noter, une embellie pour l’industrie (21 %) et une hausse sensible dans l’industrie aéronautique, ferroviaire, automobile et navale (12,5 %).

Rémunération annuelle brute, dont primes et avantages, constatée à l’embauche pour les jeunes diplômés. France : 40 500 € - IDF : 40 800 € - Province : 37 700 € - étranger : 56 300 €.

Lieu du premier emploi : 60 % en région parisienne - 24 % en province - 16 % à l’international.

Des études après le diplôme 16 % des Ingénieurs Civils des Mines diplômés prolongent leurs études en Doctorat ou en Mastère Spécialisé...En 3e année, les étudiants de la formation Ingénieur Civil des Mines ont la possibilité de s’inscrire en 2e année de Master et de prolonger ensuite en Doctorat. Diplômés, ils ont aussi accès à des formations professionnalisantes,labellisées Mastère Spécialisé.

La spécialité Ingénierie de la Conception accueille chaque année une trentaine d’élèves qui se destinent aux fonctions d’ingénieur de conception et d’ingénieur chef de projet. En tête des recrutements en 2011 : l’industrie (56 % dont 44 % dans l’automobile), l’énergie (14 %), le médical et le design (12 %). Cette formation dispensée à Saint-Dié-des-Vosges est ouverte à la voie de l’apprentissage et bénéficie également d’un accord de double diplôme avec la Hochschule de Mannheim.

insertion professionnelleRémunération annuelle brute, dont primes et avantages, constatée à l’embauche pour les jeunes diplômés.France : 35 500 € - étranger : 44 600 €

(1) Ingénieur Civil des Mines. (2) Formation d’Ingénieur spécialité Matériaux et Gestion de Production. (3) Formation d’Ingénieur spécialité Ingénierie de la Conception. Source : enquête réalisée au cours du premier trimestre 2012 auprès de la promotion 2011.

Formation Fi-iC(3): concepteurs de produits nouveaux

• en 1re année : titulaires de BTS, DUT ou licence professionnelle, élèves des classes préparatoires PT ou TSI, classes spéciales ATS, après un CPP - La prépa des INP.

• en 2e année : aux étudiants ayant un niveau Master M1 ou un titre ou niveau jugé équivalent dans une filière à caractère professionnel, en par-ticulier les candidats issus des formations ayant le Label des Instituts Universitaires Professionna-lisés (Label IUP) ou délivrées par le Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM).

admission sur dossier et entretien

Fi-mGP Fi-iC

Pour plus de renseignements, retrouvez toutes les informations sur le devenir des diplômés : www.mines.inpl-nancy.fr > insertions et carrières

L’école propose plusieurs Mastères Spécialisés (MS) labellisés par la Conférence des Grandes écoles. Ces for-mations d’un an à orientation professionnelle s’adressent aux jeunes ingénieurs diplômés, à des titulaires d’un diplôme équivalent et à des cadres en exercice. Tous les Mastères Spécialisés pilotés par l’école des Mines de Nancy donnent également lieu à la délivrance d’un « Diplôme d’Ingénierie Spécialisée » de l’Université de Lorraine :

Mastère Spécialisé « Ingénierie, Production et Infra-structures en Systèmes Ouverts (IPISO) » en partenariat entre les écoles des Mines de Paris, Nancy et St-étienne copiloté par le groupe France Telecom> lieu de formation : Mines ParisTech.

Mastère Spécialisé en « Gestion, Traitement et Valo-risation des Déchets » (ENGEES, ENSG, ENSMN)*> lieu de formation : Strasbourg.

Mastère Spécialisé « Mines et carrières - Reconver-sion et développement durable - Management éco-nomique, social et environnemental (CESTEMIN) »> lieu de formation : Nancy.

(*) ENGEES : École Nationale du Génie de l’Eau et de l’Environnement de Strasbourg, ENSG : École Nationale Supérieure de Géologie, ENSMN : École Nationale Supérieure des Mines de Nancy.

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inGEniERiE DE FORmaTiOn

L’école des Mines de Nancy contribue à la réalisation et à l’évolution de l’offre de Masters en Lorraine dans les mentions suivantes :

• Design Global• Génie Civil - Constructions et Ouvrages Durables• Géosciences : Planètes, Ressources,

Environnement• Informatique • Ingénierie du Développement Durable• Mathématiques• Mécanique, Énergie, Procédés et Produits• Sciences Physiques et Matériaux.

Les formations d’ingénieurs dispensées à l’école des Mines de Nancy s’ouvrent en 2e année aux titulaires d’un Bac + 2 justifiant de 3 années d’expérience professionnelle. Elles sont également accessibles aux candidats engagés dans un processus de Validation des Acquis de l’Expérience (VAE).Par ailleurs, l’école conçoit et met en œuvre, sur le territoire national et à l’international, des formations quali-fiantes et sur mesure à destination des cadres. Au travers d’Artem-Nancy, elle s’adresse par exemple aux managers, appelés à faire face à une nouvelle donne pro-fessionnelle : équipes pluriculturelles et internationales, complexification croissante des produits et raccourcissement des cycles de création, de production et de commercialisation. La chaire Ingénierie et Innovation propose des modules de gestion de projets, management de l’innovation et conduite du changement adaptés aux besoins des cadres.

De nombreux doctorants sont formés dans les labo-ratoires lorrains sous la direction des enseignants- chercheurs de l’école ou de leurs collègues cher-cheurs. L’école contribue par ailleurs à la formation dans les écoles doctorales de Lorraine.

écOLE dOcTOraLE IaEM LOrraINEInformatique, Automatique, électronique et Mathématiques

écOLE dOcTOraLE EMMaénergie, Mécanique, Matériaux

écOLE dOcTOraLE rP2E Sciences et Ingénierie des Ressources, Procédés, Produits, Environnement

écOLE dOcTOraLE SESaMESSynthèses, Expériences, Simulations, Applications : de la Molécule aux Edifices Supramoléculaires

écOLE dOcTOraLE bioSEBiologie, Santé, Environnement

masters… et doctorats

Des mastères Spécialisés

Des formules sur mesure pour les salariés et les entreprises

Seule ou avec ses partenaires régionaux, nationaux et internationaux, l’école contribue activement au développement de la formation tout au long de la vie. Une ingénierie pédagogique qui débouche sur des mastères Spécialisés et des formations qualifiantes inter ou intra-entreprises.

Servie par son environnement universitaire*, l’école des mines de nancy dispose d’un plateau de recherche qui a peu d’équivalent parmi les Grandes écoles françaises. Elle est par ailleurs directement concernée par les investissements d’avenir financés dans le cadre du Grand Emprunt.

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RECHERCHE DE POinTE

L’école des Mines de Nancy abrite 6 laboratoires, 2 équipes de recherche, la plupart reconnus par le CNRS, l’INRIA et l’INERIS et 2 Centres de Ressources Technologiques (CRT) dont les activités intéressent les PME-PMI et les grands noms de l’industrie  : CRITT Metall 2T (Matériaux métalliques), CIRTES (Centre eu-ropéen de prototypage et d’outillage rapide). Elle entre-tient des liens privilégiés avec l’Institut Carnot énergie et Environnement en Lorraine (ICéEL) qui concentre des moyens scientifiques, techniques et humains excep-tionnels pour le développement des éco-technologies et de l’éco-innovation. Elle peut enfin compter sur les ressources en automatique, informatique et mathéma-tiques de la Fédération Charles Hermite.

Depuis 2011, l’école bénéficie des retombées du Grand Emprunt, que ce soit au titre des laboratoires (LABEX) ou des équipements (EQUIPEX) d’excellence.L’un de ses laboratoires associés, l’Institut Jean Lamour, fait ainsi partie avec le CRT et le Pôle de compétitivité Materalia des acteurs clés de l’IRT Mé-tallurgie, Matériaux et Procédés, futur grand centre de recherche mondiale, public-privé, qui mobilisera jusqu’à 300 chercheurs. Deux laboratoires, le LAEGO et le G2R, sont de leur côté au cœur de « Ressources 21 ». Son objectif : contribuer à localiser et à exploiter des gisements de métaux stratégiques jusque-là négligés, soit parce que situés en zones profondes, soit parce que réduits à l’état de traces.

Autre lauréat des LABEX, DAMAS - Design des Alliages Métalliques pour l’Allègement des Struc-tures - associe les compétences de l’Institut Jean Lamour et du Laboratoire d’Etude des Microstruc-tures et de Mécanique des Matériaux (LEM3). Il a pour finalité de concevoir des matériaux nouveaux aux performances améliorées et de répondre ainsi aux défis écologiques comme l’allègement des véhi-cules, l’économie de matières premières et le pro-longement de la durée de vie des pièces détachées.

idées neuves et investissements d’avant-gardeLe Grand Emprunt contribue également à financer un investissement d’avenir auquel est associé le LAEGO. NANOIMAGESX, tel est son nom, prévoit la construction et l’exploitation d’une ligne de nanoto-mographie au synchrotron SOLEIL. Il permettra de développer des projets de recherche sur les maté-riaux avancés et les sciences biomédicales.

L’école des Mines de Nancy participe enfin aux Initia-tives d’excellence en formations innovantes (IDEFI) :- INNOVENT-E, Institut français de formations ouvertes et à distance qui a vocation à soutenir le développement et la création de PME-PMI inno-vantes à l’export ; - UTOP, Université de Technologie Ouverte Pluripar-tenaire et à distance pour les ingénieurs et techni-ciens supérieurs ;

- IIFR, Institut Innovant de Formation par la Recherche qui veut toucher le plus large public grâce à de nou-velles méthodes d’apprentissage : apprendre en jouant, apprendre en faisant, apprendre en questionnant...(*) À l’Université de Lorraine, les Pôles scientifiques fédèrent 82 laboratoires et contribuent directement à la définition et à la struc-turation de la politique de recherche. On en dénombre 10 : A2F (agronomie, agroalimentaire et forêt), BMS (biologie, médecine, santé), CLCS (connaissance, langage, communication, sociétés), CPM (chimie et physique moléculaire), EMPP (énergie, mécanique, procédés, produits), OTELo (observatoire terre et environnement lorraine), IAEM (informatique, automatique, électronique, mathéma-tiques), M4 (matières, matériaux, métallurgie, mécanique), SJPEG (sciences juridiques politiques économiques et de gestion), TELL (temps, espaces, lettres langues).

inORi : à fond la formePortée notamment par le cIrTES et l’Institut Supérieur d’Ingénierie de la conception de Saint-dié-des-Vosges, qui abrite la forma-tion Ingénieur de spécialité Ingénierie de la conception, la plate-forme d’innovation INOrI vient d’être sélectionnée par le Ministère du redressement productif et labellisée par les pôles de compétitivité lorrains Materalia et Fibres. Sa spécificité : le développement rapide de produit grâce à l’utilisation d’outils et d’ou-tillages intelligents lors des procédés de mise en forme des matériaux. de quoi permettre aux industriels de sécuriser et d’activer le lancement en fabrication de nouveaux produits.

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ViViER SCiEnTiFiQUE

Le projet scientifique du Laboratoire Lorrain de Re-cherche en Informatique et ses Applications (LORIA) s’articule autour de cinq grandes thématiques : traite-ment des langues et des connaissances, fiabilité et sé-curité des systèmes informatiques, image et géométrie, perception, action, cognition, informatique et sciences du vivant. Reconnu à l’échelle internationale dans le domaine des Sciences et Technologies de l’Information et de la Communication, il dispose de liens privilégiés avec de nombreux laboratoires français et étrangers, en Europe notamment, mais aussi aux USA, au Japon, en Chine et en Afrique du Nord.

S’appuyer sur des laboratoires de renom, au cœur des problématiques qui se posent au monde et à la société, c’est pour une école d’ingénieurs la certitude de pouvoir proposer des enseignements en prise avec les dernières connaissances scientifiques.

Sciences de l’information

matériaux et Procédés

L’Institut élie Cartan de Nancy regroupe l’ensemble de la communauté mathématique universitaire de Nancy. Un réservoir d’excellence dont les compétences alimentent la pédagogie de l’école. L’Institut élie Cartan a vu ses effectifs en recherche augmenter de près de 50 % en 10 ans. Avec ses 80 chercheurs et enseignants-cher-cheurs, il se situe aujourd’hui parmi les plus importants laboratoires de mathématiques implantés en France.

mathématiques

Sol, Roche et Eau. À partir de ces trois thématiques, le LAboratoire Environnement Géomécaniques et Ouvrages (LAEGO) a l’ambition de développer des connaissances scientifiques nouvelles en matière de stockage (déchets en surface et en profondeur, CO2...) d’ouvrages miniers, de génie civil, de ressources en eau, de fondations ou de carrières... Partenaire de l’INERIS*, il s’intéresse à l’utilisation et à l’aménage-ment par l’homme du sol et du sous-sol, avec une forte implication dans le domaine de la sûreté des ouvrages  : il se positionne ainsi clairement comme un spécialiste du risque pour l’environnement. L’école des Mines entretient également des relations suivies avec le G2R, Géologie et Gestion des Ressources Minérales et énergétiques, qui a pour caractéristique de réaliser des recherches sur la formation des matières premières (uranium, pétrole, gaz) et sur les conditions de leur utilisa-tion (stockage, développement durable, environnement). (*) Institut National de l’EnviRonnement industriel et des rISques.

Sciences de la Terre

FéDéRaTiOn C. HERmiTE iCEEL, inSTiTUT CaRnOT

Né du regroupement de 5 laboratoires nancéiens, dont 3 de l’Ecole des Mines, l’Institut Jean Lamour (IJL) s’affirme comme l’un des 10 plus grands centres européens versés dans le domaine des matériaux. Il compte parmi les rares sites de France où la métallurgie est encore enseignée et pratiquée à un haut niveau... Même prééminence en ingénierie des surfaces et en nanomatériaux innovants. Enfin, et ce n’est pas le moindre de ses atouts, l’Institut est passé maître dans l’art de la simulation numérique de la fusion thermonucléaire : un rayonnement qui lui vaut de participer très concrètement au dévelop-pement d’ITER, projet international qui va absorber sur 30 ans quelque 10 milliards d’euros avec l’ambi-tion d’apprivoiser la puissance du soleil. D’ici trois ans, ses 150 chercheurs et enseignants-chercheurs embarqueront dans un bâtiment high-tech voisin de l’école des Mines, sur le campus Artem.

Le Laboratoire d’énergétique et de Mécanique Théorique et Appliquée (LEMTA) concentre ses recherches sur les thématiques en lien avec la mécanique et l’énergé-tique, l’utilisation rationnelle de l’énergie, la maîtrise des écoulements, le comportement thermomécanique des matériaux, la biomécanique... Sollicité par les plus grands groupes nationaux (EDF, Valéo, Renault, Dassault...), il développe également une forte activité à l’international : contrats européens, accueil de professeurs et cher-cheurs étrangers, accords de coopération inter-univer-sitaire (Suède, Angleterre, Canada, Chine...). Située à Saint-Dié-des-Vosges, où elle travaille en relation avec le Centre Européen de Prototypage et d’Outillage Rapide (CIRTES), l’équipe de Recherche en Mécanique et Plas-turgie (ERMEP) fait elle aussi partie des partenaires de l’école des Mines en lien avec le LEMTA. Son domaine de recherche : la Modélisation du comportement des outils et des outillages de mise en forme.

L’Institut carnot énergie et Environnement en Lorraine (IcéEL) associe les compétences de 14 labora-toires de recherche, 11 centres de ressources technologiques / centres techniques industriels / centres de transfert et des Pôles de compétitivité Materalia, Fibres Naturelles Grand Est, Hydreos...

Energie et mécanique

innovation et Organisation Sciences de Gestion

Sciences économiques

L’équipe de Recherche sur les Processus Innovatifs (ERPI) a fait de l’étude des organisations sa spécialité, que ce soit dans la sphère publique (management de la qualité, management stratégique, management territorial, émergence de la « gouvernance »...) ou dans les entreprises (morphologie des réseaux, coordination coopérative...).

Le Bureau d’économie Théorique et Appliquée (BETA) est une unité de recherche commune à l’Université de Strasbourg, à l’Université de Lorraine et au CNRS. Il couvre un large éventail d’activités, qui concerne à la fois les aspects fondamentaux et les applications de la recherche en économie et en gestion.

Le Centre Européen de Recherche en Economie Financière et Gestion des Entreprises (CEREFIGE) est le Laboratoire de Recherche en Science de Gestion et en Finance de l’Université de Lorraine. Ses axes de recherche : Finance, Contrôle, Comptabilité ; Stratégie, Organisation, Ressources Humaines, Marketing ; Insti-tutions et Dynamique des Organisations.

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à l’école des mines de nancy, les activités associatives, même si elles ne sont pas évaluées, font partie de la formation au même titre que les projets et les stages. Et chacune d’entre elles contribue concrètement à l’évolution personnelle de l’élève ingénieur et au rayonnement de l’école.

FiGURES LiBRES

Rock, orchestre symphonique, cinéma, photo, sport, cirque, théâtre… À l’école, les activités associatives font partie de la vie. On y trouve pas moins de 60 clubs et associations d’étudiants. Et ils ne donnent pas tous dans le festif.

actions au long cours...Humamines, l’association à vocation humanitaire et sociale des Mines de Nancy, décline la solidarité à tous les temps et à tous les modes. Au programme : action humanitaire, collectes de sang, soutien sco-laire auprès d’élèves en difficulté ou visites d’enfants malades à l’hôpital... Vert’Mines se propose quant à elle de sensibiliser les étudiants au développement durable, au cœur de son projet, l’alimentation, le tri des déchets et les économies d’énergie.

Et événements incontournablesSi certains clubs s’inscrivent dans le quotidien, d’autres s’emploient à cultiver le terrain événe-mentiel. C’est le cas de l’association Forum Mines- Télécom Nancy qui organise chaque année le plus grand salon de rencontres ingénieurs-entreprises de l’Est de la France : une manifestation dont la 28e édition a attiré 80 exposants et plus de 2 500 étudiants, en novembre dernier. Nettement plus débridées, mais toutes aussi sérieuses dans leur préparation, les participations au 4L Trophy et aux 24 h de Stan : d’un côté, un raid aventure de 6 000 km qui permet aux équipages en lice d’ache-miner des fournitures aux enfants les plus démunis du Maroc ; de l’autre, une course d’équipe de 24 h qui voit une vingtaine d’écoles et d’universités se livrer à une lutte tout aussi fraternelle qu’effrénée à bord de leurs gigantesques chars anthropomobiles.http://eleves.mines.inpl-nancy.fr

il y a de la vie après l’école

Aux Mines de Nancy, on n’oublie pas qu’un étudiant épanoui devient un adulte éclairé et que les années qu’il passe à l’école sont celles durant lesquelles il devra se construire ses meilleurs souvenirs d’étudiant.Aussi a-t-on pris soin de ménager de larges plages horaires dans les emplois du temps, en veillant à ce que les élèves ingénieurs s’investissent dans la vie associative : une respiration salutaire que l’école consi-dère comme un véritable temps de formation.

Le meilleur des études

Si tous les étudiants ne sont pas sportifs, rares sont ceux qui n’ont jamais profité des remarquables installations du SIUAP : terrains de sport, murs d’escalade, salles de musculation, piscine...

10 000 pratiquantsBien plus que du sport, le slogan du Service Inter- Universitaire des Activités Physiques (SIUAP) n’a rien d’usurpé. Il renvoie à une approche de la pratique physique, vécue comme un vecteur d’équilibre, de santé et d’intégration sociale. Dans son catalogue, une cinquantaine d’activités qui s’adressent chaque année à plus de 10 000 pratiquants, étudiants et personnels  : des disciplines aquatiques à la danse de salon, en passant par la connaissance de soi et la gestion du stress...http://www.siuap.u-nancy.fr

Le sport en tête

nancy ?Elle a tout d’une grande !au-delà de la majesté de la Place Stanislas, Nancy est une ville multiple, vivante et épanouie. Une ville servie par un incontestable art de vivre, où il fait bon se laisser surprendre ! Ville sportive, ville d’histoire, de patrimoine et de culture, ville de l’art Nouveau et du bien vivre, 5e ville uni-versitaire de France, avec ses 40 000 étudiants, Nancy est le cœur de la communauté urbaine - et humaine - du Grand Nancy, territoire de 20 communes qui compte 270 000 habitants. Ville européenne, située à une centaine de kilomètres de l’allemagne, de la belgique et du Luxembourg, à 1h30 du coeur de Paris par TGV, Nancy a fina-lement tout d’une grande. Tout sans les inconvé-nients. ce qui vaut à la plus italienne des villes de l’Est d’être régulièrement classée en tête des agglomérations où il fait bon vivre et étudier.

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REPèRESCréation de l’Institut Métallurgiqueet Minier rebaptisé un an plus tard école Supérieure des Mines et de la Métallurgie.

L’école innove en développant le concept d’ingénieur généraliste et humaniste ouvert au monde.

Elle devient l’une des pièces maîtressesde l’Institut National Polytechnique de Lorraine.

Une formation d’Ingénieur de spécialité en Matériaux et Gestion de Production est mise en place en parallèle à la formation d’Ingénieur Civil des Mines.

Acte de naissance de l’alliance Artem-Nancy, fruit du rapprochement de l’école des Mines de Nancy, de l’ICN Business School et de l’école Nationale Supérieure d’Art de Nancy.

Ouverture de la Formation d’Ingénieur de spécialité en Ingénierie de la Conception.

Emménagement de l’école dans ses nouveaux locaux sur le campus Artem. Naissance de l’Université de Lorraine. Création de l’Institut Mines-Télécom.

La chaire « Ingénierie et Innovation » voit le jour avec pour ambition de former les élèves ingénieurs au management de l’innovation.

née au lendemain de la premièreguerre mondiale pour répondre aux nécessités de la reconstruction, l’école des mines de nancy a démontré tout au long de ses 90 ansd’histoire sa capacité à anticiperles besoins de l’économieet les attentes de la société.D’abord au service de l’industrielorraine, puis des entreprisesfrançaises, elle a su revisiter son héritage pour s’ouvrir au monde, au point que ses diplômés occupent aujourd’hui des postes à responsabilitéun peu partout sur la planète.

mines : un label d’excellenceL’école des Mines de Nancy porte l’héritage d’une longue histoire qui débute bien avant la création de l’Institut Métallurgique et Minier en 1919, quand au milieu du XVIIIe siècle la notion d’Ingénieur Civil fait son apparition dans l’Encyclopédie. Absorbant les évolutions successives des savoirs scienti-fiques et techniques, le modèle généraliste et humaniste développé par les écoles Nationales Supérieures des Mines est devenu une référence. Une marque qui vaut à l’école des Mines de Nancy de recruter les meilleurs élèves de classes préparatoires aux Grandes écoles au travers d’un des concours nationaux les plus sélectifs : le Concours Commun Mines-Ponts.

Effectifs étudiants : 800 Enseignants, chercheurs et personnels : 250

Légende :

Formation Ingénieur civil des Mines

Formation Ingénieur de spécialité Matériaux et Gestion de Production

Formation Ingénieur de spécialité Ingénierie de la conception

Mastères Spécialisés

Masters d’Université

doctorats

chercheurs et Enseignants-chercheurs

Personnels bIaTOS - Ingénieurs, personnel administratif et techniciens, ouvriers et personnel et service

données 2011-2012 (estimation moyenne)

1919

60’s

1971

1991

1999

2001

2008

2012

Excellence et Différence

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2012

Notre établissement de tutelleNotre partenariat stratégiqueNotre alliance différenciante

éCOlE dEs MINEs dE NaNCy - CaMPus aRTEM Cs 14234 - 54042 NaNCy CEdEX - Tél. : + 33 (0)3 55 66 26 00 ensmn@mines.inpl-nancy.fr www.mines.inpl-nancy.fr

NOUVELLE ADRESSE

à compter du 20 août 2012