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1 Tsiganes Grenoble 1925 Inuit OCTOBRE DéCEMBRE MARS En partenariat avec M u sée da u phinois ogramme 2015 2016 Grenoble

Musée dauphinois. Saison 2015 2016

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Les expositions, les rencontres, les publications...

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Tsiganes Grenoble 1925 Inuit

OCTOBRE

DéCEmBRE

mARS

En partenariat avec

Musée dauphinoisProgramme2015•2016

Grenoble

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uvrant pour la première fois ce programme du Musée

dauphinois, je me dois de rappeler toute l’importance

que tient notre réseau des dix musées départementaux

dans la vie culturelle sur notre territoire. Ces institutions sont

notre outil de partage avec les publics sur l’histoire et le patri-

moine culturel, permettant à chacun de se situer dans la commu-

nauté humaine, dans le temps comme dans l’espace.

Au Musée dauphinois, l’exploration des patrimoines les plus

divers – de la préhistoire au patrimoine industriel, de l’art

régional à l’histoire rurale, etc. – s’accompagne régulièrement

d’une approche des cultures qui sont venues, au fil du temps,

enrichir notre propre histoire. De nombreuses communautés ont

ainsi été présentées aux publics du musée (les Italiens, les Grecs,

les Arméniens, les Maghrébins, les Pieds-Noirs, etc.) ; cette année,

ce seront dans leur grande diversité les populations tsiganes.

Connaître leur histoire et les grands traits de leurs cultures, tel

est le projet de cette exposition.

Puis le musée reviendra à l’histoire récente, celle de ce XXe siècle

qui a vu l’Isère, au moment de l’Exposition internationale de la

Houille blanche et du Tourisme de Grenoble en 1925, entrer dans

l’ère de la modernité technique et industrielle, qu’elle n’a depuis

jamais quittée. Enfin, pour une autre forme de présentation de

la diversité culturelle, une exposition consacrée aux peuples du

Grand Nord, les Inuit, sera offerte au public dans le cadre d’un

partenariat avec les Musées de la civilisation de Québec.

Jean-Pierre Barbier

Président du Département de l’Isère

saiso

n 20

15-16 O

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Dans sa mission de mise en valeur de la diversité culturelle, le Musée dauphinois s’intéresse aujourd’hui aux populations constituant la minorité la plus importante d’Europe : les Tsiganes. Après les Italiens, les Grecs, les Arméniens, les Maghrébins, les Pieds-Noirs, etc., le musée invite les Gitans, Manouches, Yéniches, Sintis, Roms, etc., à prendre leur place dans l’his-toire commune et dans le patrimoine culturel collectif. L’exposition s’inter-roge également sur les raisons de leur rejet, un peu partout en Europe.

Qui sont les Tsiganes ? Appelés Roms aujourd’hui, ils sont dénommés Sarrazins ou Égyptiens à leur arrivée en Europe au XVe siècle et plus tard Bohémiens puis Romanichels… Dans les années 1960, l’administra-tion française les classe « gens du voyage »… malgré une forte tendance à la sédentarisation ! Eux-mêmes se nomment autrement…

Les Tsiganes auraient en commun une lointaine origine indienne (de plus en plus contestée par les historiens !) et se seraient dispersés en Europe occidentale à partir de la fin du Moyen Âge. Pèlerins, artisans ou commer-çants ambulants à leur arrivée, ils deviennent aussi hommes d’armes pour la noblesse, estimés bons chré-tiens par l’Église. Excepté dans l’ac-tuelle Roumanie où ils sont à l’époque réduits à l’esclavage, ils sont généra-lement tolérés. L’hostilité apparaît au

XVIIe siècle puis un siècle plus tard avec des tentatives de sédentarisation des populations nomades. Certains partent sur les routes exercer métiers et commerces ambulants à bord d’un nouveau moyen de locomotion, la roulotte (la verdine). Accusés notam-ment de rapines, l’image du Tsigane « voleur de poules » naît alors… tandis que pour les artistes, « le Bohémien » incarne un idéal romantique où noma-disme rime avec liberté, une supposée « vie de bohème ».

Victimes des guerres, notamment d’un génocide perpétré par les nazis durant la Seconde Guerre mondiale, les Tsiganes sont pourtant encore rejetés. Est-ce en raison de l’ances-trale opposition du sédentaire et du nomade ? Est-ce la délinquance dont on les accuse, qui n’est pourtant sta-tistiquement pas plus importante que pour d’autres groupes ? La question reste ouverte, tant il semble difficile de comprendre ces difficultés de relation.

L’exposition se termine par la présen-tation du travail d’un photographe, Pablo Chignard, qui a réalisé en 2015 les portraits de familles roms qui, venues d’Europe de l’Est pour des rai-sons économiques et sociales, vivent en Isère, souvent dans le plus grand dénuement. Il s’agit d’appréhender cette réalité actuelle, toute proche de nous, sans misérabilisme, mais avec beaucoup d’humanité.

Exposition présEntéE du 24 octobrE 2015

au 9 janviEr 2017

publicationstsiganes, la vie de bohème ?

Ouvrage collectifÉditions du Musée dauphinois

journal des expositions n°24

Femme © Roberto Neumiller Coll. Musée dauphinois

Tsiganes la vie de bohème ?

En complément au Musée de la Résistance et de la Déportation de l’Isère, l’exposition Un camp pour les Tsiganes. Saliers, 1942-1944 sera présentée du 27 novembre 2015 au 16 mai 2016.

Six siècles de présence en Isère

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En 1925, Grenoble organise l’Expo-sition internationale de la Houille blanche et du Tourisme. Porté par les instances politiques, par les universitaires et les industriels locaux, cet événement majeur hisse la ville au statut de ville de la modernité et au rang de capitale des Alpes françaises.La Maison Bergès-Musée de la Houille blanche et le Musée dauphinois, en partenariat avec la Ville de Grenoble, célèbrent cette année le 90e anniversaire de cette manifestation, à travers deux expositions sur Grenoble 1925 : Éloge de la modernité au Musée de la Houille blanche et La grande mutation au Musée dauphinois.

Au tournant du XXe siècle, Grenoble reste enclavée dans ses remparts et la nécessité de développer la ville mobi-lise les élus locaux. La forte croissance démographique, l’essor de l’industrie locale avec l’émergence de nouvelles filières techniques (électrochimie, électrométallurgie, …), le dévelop-pement du tourisme dans les Alpes, vont permettre à Paul Mistral, alors maire de Grenoble, d’ouvrir la ville à la modernité. L’exposition internationale est le symbole de cette grande muta-tion et la Tour Perret en béton armé, œuvre de l’architecte Auguste Perret, l’incarnation de ce Grenoble moderne.

Dès son investiture en 1919, Paul Mistral confie à Léon Jaussely, architecte urbaniste parisien, le projet d’un vaste plan d’aménagement urbain, qui sera

réalisé en partie. La réorganisation des voies ferrées et la construction d’une nouvelle gare, l’aménagement des grands boulevards, la création de terrains de sports et de piscines couvertes, transforment radicalement la ville… qui peut s’étendre au sud grâce à la destruction des dernières fortifications.

Visionnaire et rassembleur, Paul Mistral constitue une commission chargée d’organiser l’Exposition inter-nationale, composée de personnalités confiantes dans le progrès technique. Toutes adhèrent au courant régio-naliste de maintien des populations locales sur place, grâce notamment à la houille blanche : le député Léon Perrier, président du Conseil général, les industriels Aimé Bouchayer, Marius Blanchet, Charles-Albert Keller, le géo-graphe Raoul Blanchard de l’Institut de Géographie alpine, les architectes Léon Jaussely, Alfred Rome et Auguste Perret, les conservateurs de musées Hippolyte Müller, Andry-Farcy, Victor Piraud, etc.

Le fameux modèle grenoblois, fondé sur le lien université/recherche/indus-trie, est l’héritage de cette époque. Aujourd’hui encore, Grenoble conserve et cultive cette image de ville de l’in-novation et le 90e anniversaire de l’Exposition internationale sera l’occa-sion d’une campagne de souscription pour la restauration de la Tour Perret, l’unique vestige de cette importante manifestation qui attira plus d’un mil-lion de visiteurs.

Exposition présEntéE dE décEmbrE 2015 à sEptEmbrE 2016

(datEs à précisEr)

publicationGrenoble, 1925.

la grande mutationl’exposition internationale

de la Houille blanche et du tourismeOuvrage collectif

Éditions du Musée dauphinois

Boîte de l’Exposition internationale, 1925Coll. Musée dauphinois

Carte postale extraite d’un carnet de l’Exposition internationale, 1925Coll. Musée dauphinois

GRENOBLE 1925 la grande mutation

L’exposition internationale de la Houille blanche et du Tourisme

En complément, la Maison Bergès-Musée de la Houille blanche présente l’exposition Grenoble 1925 - Éloge de la modernité.

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Pourquoi le Grand Nord fascine tant ? Comment des hommes et des femmes peuvent-ils survivre sur des terres si hostiles à nos yeux ? En quoi différent-ils des gens de l’alpe ? L’exposition emporte le public vers un ailleurs lointain pour tenter de comprendre ceux qui s’intitu-lent désormais Inuit (les humains) et non plus Esquimaux. Ces communautés maintiennent sur de vastes territoires au Nord du 55e parallèle une culture ancestrale, largement moderni-sée au cours du XXe siècle, mais affirmant toujours des valeurs fondamentales.

En collaboration avec les Musées de la civilisation à Québec et l’Institut culturel Avataq, le Musée dauphinois raconte l’épopée des Inuit du Nunavik, au Nord du Québec, dont l’ingéniosité perpétuelle a permis de s’adapter au climat, résister aux menaces du monde occidental et prendre en mains leur destinée. Venus d’Asie il y a environ 8000 ans vers le nouveau monde en fran-chissant le détroit de Béring, les Paléoesquimaux pénètrent la vaste région arctique et sillonnent la ban-quise à la poursuite du gibier marin et terrestre dont ils se nourrissent. Certains franchissent l’Arctique cana-dien autour de l’an Mil pour venir à l’Est du Canada, rencontrent les pre-miers Européens au XVIe siècle et sont finalement sédentarisés de force au XXe siècle. Après une vaste campagne

de revendications, le gouvernement du Québec leur confère enfin au siècle dernier un territoire : le Nunavik.

L’exposition rassemble une exception-nelle collection de pièces archéolo-giques, d’objets de la culture matérielle et d’œuvres d’art inuit (sculptures et arts graphiques) provenant des vil-lages côtiers de la baie d’Hudson et d’Ungava. Photographies et films rares illustrent la vie communautaire d’hier comme celle d’aujourd’hui et révèlent la parole inuit, les fameux « chants de gorge » ou encore les musiques actuelles. Les objets issus des col-lections des Musées de la civilisation de Québec documentent la vision du monde des Nunavimmiut, peuple autochtone de l’Arctique québécois. Leurs jours sans nuit ou sans lumière sont peuplés d’esprits. Les productions artistiques contemporaines laissent apparaître de nouveaux imaginaires…

L’exposition sera l’occasion d’invi-ter des artistes du Grand Nord québécois qui sculpteront la pierre devant le public et d’organiser des échanges autour de la culture inuit à partir de films, tables-rondes, concerts …

Exposition présEntéE du 25 mars au 31 décEmbrE 2016

(datEs à confirmEr)

publicationssur le toit du monde.

à la rencontre des inuit du nunavikOuvrage collectif

Éditions du Musée dauphinois

journal des expositions n°25

Lunettes de neige, bois de grève et cuir de caribou, vers 1940. Coll. Musées de la civilisation, Québec

Portrait de Norman Kritik,1980. Coll. Institut culturel Avataq, Montréal © Michel Garceau

Sedna, déesse de la mer, gravure d’Henry NAPARTUK, 1963. Coll. Michel Brochu, Musées de la civilisation, Québec

Photo Pierre Tairraz, 1966. Coll. privée

Sur le toit du monde

À la rencontre des Inuit du Nunavik

TITRE PROVISOIRE

En 1964, Roger Frison-Roche, guide de Chamonix, explorateur et écri-vain et Pierre Tairraz, photographe et guide de montagne, partent en expédition dans le Grand Nord canadien pour partager la vie des « Peuples chasseurs de l’Arctique ». Ils en rapportent des photographies exceptionnelles dont une trentaine d’entre elles prolongent le parcours de l’exposition.

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À la rencontre des Inuit du Nunavik

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Que peuvent nous apprendre les morts de leur vie ? Que recher-chent les archéologues en exhu-mant des défunts des siècles passés ? Quelles représenta-tions avons-nous aujourd’hui du squelette humain ? Pour répondre à ces interrogations, le Musée dauphinois, le Musée archéolo-gique de Grenoble et La Casemate – Centre de Culture Scientifique, Technique et Industrielle de Grenoble croisent leurs regards.

La nécropole Saint-Laurent de Grenoble avec ses 1500 squelettes exhumés est un terrain d’études dont les interprétations scientifiques ren-seignent sur les occupations humaines successives en Isère. En effet, des techniques d’investigation nouvelles permettent de faire « parler » les osse-ments sur l’âge, le sexe et l’état de santé des individus ainsi « auscultés ». Au-delà, les spécialistes interprètent les rites funéraires, voire les pratiques culturelles et l’organisation sociale des communautés à travers les âges. Enfin le squelette est porteur d’une force allégorique et s’immisce dans la littérature, les beaux-arts, l’art contemporain, le design, la haute cou-ture, la musique, le spectacle vivant, etc. Certaines communautés l’utilisent même comme signe de ralliement !Cette symbolique est traduite dans «La catacombe artistique», par une quarantaine de répliques de crânes interprétées par des peintres, sculp-teurs, tatoueurs, dessinateurs, …

La mort a de beaux restes et entretient avec la vie de curieuses relations…

En partenariat avec le Musée archéologique de Grenoble, La Casemate – Centre de Culture Scientifique, Technique et Industrielle de Grenoble et l’Inrap Institut national de recherches archéologiques préventives.

Avec le concours des Pompes Funèbres Intercommunales de la Région Grenobloise.

Exposition présEntéE jusqu’au 4 janviEr 2016

publicationsconfidences d’outre-tombe

Éditions du Musée dauphinois

[K]rÂnEs42 catacombe artistique

Éditions du Musée dauphinois

Confidences d’outre-tombe

Squelettes en question

[K]RÂNES42

Catacombe artistiqueQuarante-deux plasticiens ont tra-vaillé à partir d’une même pièce – un moulage de crâne en plâtre blanc – sur le thème récurrent de la vanité. Au-delà de leur diversité et de leur singularité, les sculptures se répondent pour composer une oeuvre unique, une « catacombe artistique ». Chacune nous confie une interprétation contemporaine de l’ici-bas et de l’outre-tombe.

Profil’OS’cope, dispositif interactif réalisé par la Casemate.

1 Corinne De Battista - 2 Line Orcière 3 Jean-Pierre Ardito - 4 Ludovic Paquelier

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Squelettes en question

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Il y a plus de trois millénaires, des hommes s’installent sur les hauteurs de la montagne alpine.

Ils affrontent l’altitude, la pente, le froid et l’isolement. Rien n’est laissé au hasard dans l’organisation de la communauté où chacun et chaque chose a sa place, où la rondeur des jours d’hiver succède aux durs labeurs des mois d’été. L’équilibre et l’harmo-nie atteints par les gens de l’alpe ont

perduré durant des siècles avant d’être bouleversés par les temps modernes. L’exposition du Musée dauphinois dresse le portrait de ces hommes qui, à force de ténacité, de mobilité et d’in-géniosité ont réussi à domestiquer les espaces difficiles de la haute mon-tagne, en présentant les collections les plus prestigieuses du musée.

C’était il y a bien longtemps, dans le Grand Nord, près du lac Baïkal et du Mont Altaï…

Les hommes préhistoriques faisaient leurs premières traces à ski. Tout naturellement pour avancer sur la neige, chasser et guerroyer. Pratique, utile et rapide, ce nouveau moyen de locomotion sera vite adopté par les Scandinaves pour braver les terres froides. Il faudra attendre la fin du XIXe siècle pour que le ski pénètre les

Alpes françaises, sous l’impulsion de quelques pionniers isolés et des mili-taires. Dès lors, l’histoire s’accélère : le ski utile laisse la place au ski sportif. Premiers concours, premières remon-tées mécaniques et premiers « fanas de la glisse » !Pour retracer cette fabuleuse épopée, le Musée dauphinois présente La Grande histoire du ski. Quatre mille ans de conquête et d’aventure depuis la préhistoire jusqu’aux tendances les plus actuelles de la glisse.

Exposition dE lonGuE duréE

Exposition dE lonGuE duréE

publicationla Grande histoire du ski

Éditions Musée dauphinois

La grande histoire du ski

GENS de l’Alpe

4000 ans de conquête et d’aventure

Les collections les plus prestigieuses du Musée dauphinois

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4000 ans de conquête et d’aventure

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Classé Monument historique, le couvent de Sainte-Marie d’en-Haut a été fondé au début du XVIIe siècle par François de Sales et Jeanne de Chantal pour abriter la quatrième maison de l’ordre de la Visitation.

L’atmosphère religieuse des lieux a été préservée, la sérénité du cloître et de l’ancien chœur des religieuses en témoigne. On se laissera volontiers surprendre par l’étonnante chapelle

qui a conservé son décor baroque et ses peintures murales. Mais ces pierres conservent aussi la mémoire d’une histoire mouvementée : le couvent a successivement servi de prison, de pensionnat religieux, de caserne, puis de logements pour une centaine de familles d’origine italienne. En 1968, à la faveur des Jeux olympiques de Grenoble, le Musée dauphinois s’ins-talle dans ce bâtiment entièrement rénové.Organisé autour des anciennes cellules des nonnes, le cloître permet de faire une première halte. Il est agréable de s’attarder sous les arcades, fraîches en été et abritées en hiver, avant de pour-suivre son chemin vers les terrasses qui s’étagent à l’est du couvent. Depuis la roseraie ou l’ancien séchoir, le pano-rama sur l’Isère, la ville ancienne et les massifs de Belledonne ou du Vercors offre de superbes perspectives.

publications sainte-marie d’en-Haut à Grenoble

quatre siècles d’histoire Éditions du Musée dauphinois

claude-françois ménestrier, les jésuites et le monde des images

PUG, collection La Pierre et l’Écrit

Roseraie et cloître du couvent de Sainte-Marie d’en-Haut, XVIIe siècle

Parcours muséographiqueLe couvent

de Sainte-Marie d’en-Haut

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Parcours muséographique

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sept

EMBR

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ConfidenCes d’outre-tombe

visite guidéepar Franck Philippeaux, conservateur au Musée dauphinois et Ludovic Maggioni, responsable des expositions à La Casemate.

ConfidenCes d’outre-tombe

qui sont les artistes de la catacombe artistique ? Au-delà de la vacuité de la vie, les quarante-deux sculptures de crânes qui complètent l’exposition expriment l’intention artistique de leurs auteurs.

ConfidenCes d’outre-tombe

c’est l’hécatombe !Le Musée invite le public à participer à un nouveau projet collaboratif dans la continuité de la Collecte de la mort et de L’art postal macabre. Saisissez vos crayons, plumes ou stylos pour compléter le croquis d’un crâne dessiné sur une feuille de papier. Tous les dessins seront collés le long de la montée Chalemont qui conduit au musée. Le modèle de crâne est à télécharger sur www.musee-dauphinois.fr ou à disposition à l’accueil du musée. Un espace (avec du matériel de dessin à disposition) sera aménagé au musée pour ceux qui voudront composer sur place. Rendez-vous samedi à 10h et 14h à l’accueil du musée pour partir en cortège coller les dessins.

SAM. 19SEpT.à11h

SAM. 19SEpT.à15h

SAM. 19SEpT.TOuTE lA journée

Autour des expos le musée dauphinois

est un espace public d’échanges et de réflexion sur notre temps

Journées européennes du patrimoine samedi 19 et dimanChe 20 septembre

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premières Couleurs...

visite guidéede l’exposition Premières couleurs. La photographie autochrome par Antoine Musy, chargé des collections.

ConfidenCes d’outre-tombe

qui sont les artistes de la catacombe artistique ? Au-delà de la vacuité de la vie, les quarante-deux sculptures de crânes qui complètent l’exposition expriment l’intention artistique de leurs auteurs.

Gens de l’alpe

une machine à contes au musée dauphinois !LE PATRIMOINE IMMATÉRIEL à L’HONNEURPrésentation par Jean Guibal, conservateur en chef, directeur et Agnès Martin, directrice adjointe du Musée dauphinois

Venez découvrir les récits légendaires des Alpes, collectés pendant plusieurs décennies par Charles Joisten, ancien conservateur au musée. Enrichissez ce corpus en enregistrant à votre tour un conte traditionnel ou inventé, créé seul ou à plusieurs voix à partir de mots clés proposés. La machine à contes est inspirée d’un dispositif prototypé lors de Museomix Rhône-Alpes 2013 au Musée dauphinois. Ce projet est porté par la direction de la culture et du patrimoine du Département de l’Isère, le Centre des Arts du Récit en Isère et France Bleu Isère.

SAM. 19SEpT.à16h

DIM. 20SEpT.à11h

DIM. 20SEpT.à15h

TOUTES LES MANIFESTATIONS PROPOSÉES SONT

GRATUITES, SAUF MENTION

CONTRAIRE.

Derniers jours ! À voir jusqu’au 21 septembre

Journées européennes du patrimoine samedi 19 et dimanChe 20 septembre

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jeu.08OCT.18h à 22h

DIM.18OCT.11h

ConfidenCes d’outre-tombe

atelier d’écritureÉCHANGES ÉPIST’OS’LAIRESAnimé par l’association Horizons vagabonds à partir des mots de chacun, jouer avec ses mots, emprunter les mots des autres, piocher dans le répertoire littéraire, partager nos trouvailles… D’écriture en écriture, chacun composera son texte.renseignements et inscription au 04 57 58 89 01 www.horizons-vagabonds.fr tarif : 10 €

ConfidenCes d’outre-tombe

visite guidéeAnimée par un guide de l’Office de tourisme de Grenobletarif : 3,80 € Gratuit pour les moins de 12 ans

VaCanCes au musée 17 oCtobre - 1er noVembre

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Mer.21OCT.14h à 16h30

Mer.21OCT.18h30 à 22h

jeu.22OCT.14h à 16h

tsiGanes, la Vie de bohème ?

atelier culinairePour enfants de 8 à 12 ans

à LA TABLE DE L’EUROPE DE L’EST Animé par Valentina Bres de Rêves et gâteaux .

Et lecturesautour d’albums contemporains et de contes tsiganes traditionnels.Animées par Gaëlle Partouche de la librairie Les Modernes à Grenoble.inscription au 04 57 58 89 01 tarif : 5 €

tsiGanes, la Vie de bohème ?

soirée étudiante Visite de l’exposition sous la conduite d’Olivier Cogne, commissaire, puis discussion autour de la préparation et du montage de l’exposition.informations et réservation : université de Grenoble - un tramway nommé culture.

Gratuit sur inscription préalable (visite réservée aux étudiants) [email protected] ou 04 56 52 85 22

jArDIn

atelierPour enfants de 8 à 12 ans

UN TRÉSOR AU FIL DE L’EAUAnimé par l’Atelier multidisciplinaire des Cairns (Amca). Jeunes aventuriers, saurez-vous résoudre les énigmes qui vous permettront d’emboîter les pas d’un mystérieux voyageur sur la piste d’un fabuleux trésor ? Un parcours au fil de l’eau, de la source au potager…inscription au 04 57 58 89 01 tarif : 5 €

VaCanCes au musée 17 oCtobre - 1er noVembre

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DIM.25OCT.à 17htsiGanes, la Vie de bohème ?

concertDOï ZETCHEInspirations roumainesviolon d’amour, chant : david brossier accordéon, chant : bastien charlery violoncelle : léonore Grollemund contrebasse : julien sarazin invité cymbalum : mihai trestian.

Passionné depuis plusieurs années par les musiques de Roumanie, Doï Zetche s’est imprégné des cultures roumaines et tsiganes à la faveur de nombreux voyages. Aujourd’hui, les musiciens de cette formation connaissent bien le répertoire, dont les «smecherie» (les ruses), qui enflamment les danses, accentuent l’émotion d’une complainte, et donnent à cette musique toute sa vitalité. Doï Zetche rend hommage aux «Lãutari», ces ménétriers qui ont porté avec finesse, dans la seconde moitié du XXe siècle, une musique vivante et raffinée.dans la limite des 120 places disponibles. retrait des billets à 16h30 et entrée dans la chapelle à 16h45

boissons chaudes et pâtisseries préparées par Ô café sauvage

VaCanCes au musée 17 oCtobre - 1er noVembre

VENDREDI23OCTOBREà 18h30éVénement

inauguration officielle de l’exposition

Dans la tradition des travaux qu’il consacre régulièrement aux populations d’origine étrangère et aux questions migratoires, le Musée dauphinois inaugure une nouvelle exposition sur l’histoire et les cultures tsiganes. L’objectif est notamment de déconstruire les représentations souvent négatives que véhiculent les mots « Roms », mais aussi « Tsiganes » ou « Gitans » contribuant à stigmatiser ces groupes de populations en Europe.

l’inauguration sera précédée d’un moment musical proposé par la troupadour.

tsiganesla vie de bohème ?

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DIM.1erNOV.à 11h

DIM.8NOV.à 11h

tsiGanes, la Vie de bohème ?

visite guidéeAnimée par un guide de l’Office de tourisme de Grenoble.tarif : 3,80 € Gratuit pour les moins de 12 ans

ConfidenCes d’outre-tombe

conférenceFACE à FACE MORTEL VANITÉS VS CRÂNESAnimée par Fabrice Nesta, plasticien, directeur artistique de La catacombe.42 crânes de l’exposition face à 42 vanités de l’histoire de l’art pour mieux comprendre les origines de cette représentation, devenue au fil du temps un exercice de style, et qui continue d’inspirer les artistes. De l’antiquité à l’art contemporain, les vanités peuplent les images, hantent nos esprits et nourrissent nos interrogations sur la mort. Une revue d’effectif mobile sans prise de tête !

VaCanCes au musée 17 oCtobre - 1er noVembre

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DIM.15NOV.à 17hmusique

concertCANCIONERO PORTEÑOHommage à Carlos Gardel et au tango chanté du Buenos Aires des années 30 bandonéon : William sabatier ; chant : diego valentìn flores.

Diego Flores et William Sabatier, tous deux issus de l’authentique veine tanguera populaire, distillent leur tango avec cette humilité qui convient si bien à la poésie porteña des années 30-40. Celle des Manzi, Cadicamo, Castillo, autres Contursi ou Discepolo. La puissance de leur sincérité se meut en un hommage à un Buenos Aires nostalgique à la fraîcheur révolue.dans la limite des 120 places disponibles. retrait des billets à 16h30. Entrée dans la chapelle à 16h45.

programmé dans le cadre des allées chantent - un tour d’isère en 80 concerts / aida, de la saison des détours de babel et du nouveau théâtre de sainte-marie d’en-bas.

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DIM.29NOV.à 14h30 tsiGanes, la Vie de bohème ?

projection du filmOUT OF BORDERS BOX Réalisé par Images solidaires, 45 minutes. Scénario et réalisation : Gladeema Nasruddin, demandeur d’asile soudanais. Productrice et observatrice : Sarah Mekdjian, enseignante-chercheuse en géographie. Réalisation/chef-opératrice : Marie Colomban

Le documentaire porte sur les frontières étatiques franchies lors des voyages migratoires et les frontières politiques, administratives, sociales et symboliques vécues en France par les migrants entre les situations de clandestinité, de demande d’asile et d’exclusion de la citoyenneté.film présenté dans le cadre du festival migrant’scène organisé par la cimade www.lacimade.org www.festivalmigrantscene.org

Projection suivie d’un échange animé par Stéphanie Alexandre, responsable de la médiathèque et de la programmation audiovisuelle au Musée de l’histoire de l’immigration à Paris. Elle évoquera la richesse cinématographique sur le thème des frontières.

DIM.22NOV.à 14h30tsiGanes, la Vie de bohème ?

projections des filmsQU’EST-CE QU’ON FAIT DEMAIN ? 2015, 30 minutes

Une famille rom parle d’elle-même, en son nom, à sa manière, à travers ses histoires, ses parcours, ses représentations, ses illusions et désillusions et son regard sur la France.

QUELQU’UN D’IMPORTANT 2015, 19 minutes

Film documentaire écrit et réalisé avec sept adolescents roms de l’agglomération grenobloise. Ils nous racontent notamment ce qui les surprend sur la société française… Un regard édifiant sur les différences.

FEU ROUGE. C’EST BIEN LA FRANCEFilm de Yasemin Akinci, France, 14 minutes

En périphérie de Toulouse, un groupe de jeunes femmes sort de leur campement pour commencer leur journée de travail. Trois d’entre elles s’installent, raclettes en caoutchouc et bouteille de savon à la main, au feu rouge de la station de métro « Barrière de Paris ». Le temps d’une journée, nous suivons ces trois femmes au rythme de leurs chansons, leurs rires et leurs difficultés.avec la participation d’images solidaires

boissons chaudes et pâtisseries préparées par Ô café sauvage

Altérités en pratique

Donner la parole aux personnes exclues du débat public

Avril 2014 > avril 2015

Projet mené en partenariat avec : L‘association Roms Action (Grenoble).

Changer le regard que porte la société sur les Roms La stigmatisation des publics migrants en situation de précarité en France et en Europe se retrouve à plusieurs niveaux, elle est présente dans les médias, au niveau politique et dans la société civile. Ceux que l'on appelle les Roms sont aujourd'hui les légataires de préjugés, issus d'une méconnaissance globale qui nous concerne tous. Nous ne percevons souvent que la partie visible (mendicité, prostitution) que les médias relèguent au premier plan.

Il nous paraît important de leur donner la possibilité de parler d’eux même, en leur nom, à leur manière, à travers leurs histoires, leurs parcours, leurs représentations, leurs illusions et désillusions et leur regard sur la France. Ceci afin de favoriser leur inclusion dans les débats et dans la société.

Dans ce projet, nous voulons déconstruire les clichés en donnant la possibilité aux personnes de se représenter elles-mêmes, à leur manière, et de parler de ce qui fait sens à leurs yeux. Donner des outils d'expression via le support audiovisuel aux populations rom migrantes en situation de précarité dans l'agglomération grenobloise leur donne l’occasion de se positionner dans l'espace public face aux nouveaux enjeux politiques les concernant.

Le projet « Altérités en Pratiques » s'appuie sur une méthodologie participative combinant les techniques de l'animation de groupe, de l'anthropologie sociale et de différents dispositifs de la réalisation vidéo.

Mise en œuvre

1ère étape : Apporter au groupe des outils issus de l’anthropologie sociale appliquée, de l’ethnographie et de l’anthropologie visuelle.

2ème étape : Accompagner un projet de film collectif, en transmettant les techniques de l’audiovisuel et les codes du langage cinématographique, et en apportant un regard critique sur les images.

3ème étape, à venir : Former des jeunes médiateurs volontaires à l’animation, en leur transmettant des outils de pédagogie active, de médiation culturelle, et d’animation de groupe. L’objectif étant de leur permettre d’être autonomes en tant que médiateurs interculturels auprès d’autres groupes de jeunes et d’accompagner la diffusion des outils créés, notamment de l’outil vidéo.

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Des Roms dans la ville

Donner la parole aux personnes

exclues du débat public

Octobre 2012 > Mars 2013

En partenariat avec Roms Action. Lutter contre les discriminations, Déconstruire les préjugés En 2012 et 2013, Images Solidaires a accompagné un groupe de jeunes Roms de l'agglomération grenobloise dans la réalisation d'un film documentaire : un moyen de leur donner la parole sur leur vie en France, de travailler sur les différences culturelles, et de créer des occasions de rencontres et d'échanges entre ces adolescents et d'autres habitants de Grenoble. Quelqu’un d’important est donc un film documentaire de 20 minutes, écrit et réalisé avec sept adolescents roms. Il fait partie d’un triptyque de films sur le même sujet et visant à faire entendre la parole des roms, ces habitants de la ville que l'on ne perçoit qu'à travers le prisme déformant des médias et de la rue.

Diffusion: films utilisés comme outil de médiation

Le film a été diffusé de nombreuses fois dans des collèges et centres sociaux – afin de faire évoluer les perceptions négatives à l’encontre de la communauté Rom. Equipe Conception pédagogique et animation Christelle Gaïdatzis Images et montage Marie Colomban Prix Coup de chapeau 2014, Fondation Edf

Caractéristique techniques Durée 19’11 minutes Format 16/9 PAL Couleur Son Stéréo

Contact : Marie Colomban, Chargée de projets audiovisuels Tel: 06 35 54 92 74. E-mail: [email protected]

Avec le soutien de la Ville de Grenoble

Images Solidaires. A Cap Berriat, 15 rue Georges Jacquet. 38000 Grenoble – [email protected]

www.images-solidaires.net

Mise en œuvre

Les différentes phases du projet impliquaient une réflexion interculturelle grâce à des ateliers d’ethnographie, puis l’apprentissage des techniques et codes audiovisuels et enfin la création d’un film interactif.

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festiVal ethno & Cinéma du 16 au 22 noVembre

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ENDéCEmBREdate à préCiser

éVénement

inauguration officielle de l’exposition

Grenoble 1925 la grande mutationL’Exposition internationale de la Houille blanche et du Tourisme réalisée en 1925 à Grenoble, constitue un fait marquant dans l’histoire de Grenoble, tant dans la construction de son identité en tant que capitale des Alpes et de la houille blanche, que dans sa transformation et son développement urbain, le décollement de son industrie, la montée du tourisme.Le 90e anniversaire de cet événement sera marqué au Musée dauphinois par une exposition autour des questions des mutations de Grenoble (urbaine, industrielle, culturelle et touristique) mais aussi, de façon prospective, sur la relation de la ville à la montagne, sur la place de l’industrie et du tourisme dans les Alpes et, plus largement, sur le devenir du massif central de l’Europe.

déce

mbre

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lun.28DéC.14hà 17hGrenoble 1925

atelier CITÉS IDÉALESPour enfants de 10 à 14 ansAnimé par Dalia Ferreira, artiste numérique de tendance Pop Art.à partir d’images actuelles de la ville, cet atelier « photo-graphique » invite les participants à une réinterprétation de l’environnement à travers leurs émotions et perceptions.En partenariat avec le centre du graphisme. inscription au 04 57 58 89 01 tarif : 10 €

lun.21DéC.à 15htsiGanes, la Vie de bohème ?

contesPar les conteurs amateurs de l’association Paroles en Dauphiné.

VaCanCes au musée 19 déCembre 2015 - 3 JanVier

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janv

ier

jeu.14JAN.à 18h30

DIM.24JAN.à 15h

Grenoble 1925

conférence GRENOBLE EN HAUT DE L’AFFICHE PAR ANDRY-FARCY Animée par Hélène Vincent, conservateur en chef honoraire du Musée de Grenoble.Dans les années 1920, Andry-Farcy, graphiste, critique au Petit Dauphinois et conservateur du musée participe au développement culturel et touristique de Grenoble. Ses affiches et dessins publicitaires, réalisés pour des sociétés grenobloises et pour l’exposition de 1925, contribuent au rayonnement de la ville. En lien étroit avec de nombreux artistes, marchands et amateurs, il réussit à hisser le musée de Grenoble au rang de premier musée d’art moderne de France.

tsiGanes, la Vie de bohème ?

projection du filmAFERIM Film roumain écrit et réalisé par Radu Jude, 2015, 1h48

intervention d’ilsem about, chargé de recherches à Génériques (paris), membre associé du centre Georg simmel, EHEss (Ecole des hautes études en sciences sociales) à paris.

Le film a été sélectionné lors du 65e Festival international du film de Berlin où Radu Jude a reçu l’Ours d’argent du meilleur réalisateur.

1835. Un policier et son fils parcourent la campagne roumaine à la recherche d’un esclave gitan accusé d’avoir séduit la femme du seigneur local.

DIM.03JAN.à 11hGrenoble 1925

visite guidéeAnimée par un guide de l’Office de tourisme de Grenoble.tarif : 3,80 € Gratuit pour les moins de 12 ans

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jeu.11FéV.à 18h30Grenoble 1925

conférenceLA TOUR PERRET, LEVIER D’ARCHITECTURE Animée par Cédric Avenier, historien de l’art.à l’instar de nombreux prototypes ou constructions extraordinaires, la tour d’orientation de Grenoble n’est ni le plus utile ni le plus intelligible des édifices. Elle est conçue pour être vue d’en bas, pour voir d’en haut, et pour être un symbole, non un exemple. Elle n’a pas été copiée et n’a rien inspiré, mais sa conception, sa structure en béton armé, ses lignes simples, ont servi à introduire dans cette ville de province, mère des ciments moulés ornementaux, l’architecture du mouvement moderne : lignes simples, hauteur, lumière, hygiène et confort technique, rapidité et économie de construction, tant pour les HBM, les immeubles des Grands boulevards que les villas.

jeu.28JAN.18h30 à 22hGrenoble 1925

visite de l’exposition par Sylvie Vincent, conservateur en chef, commissaire de l’exposition, suivie d’un échange.visite réservée aux étudiants informations et réservation : université de Grenoble - un tramway nommé culture. [email protected] ou 04 56 52 85 22 Gratuit sur inscription préalable

févr

ier

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jeu.18FéV.14hà 16h30tsiGanes, la Vie de bohème ?

atelier culinairePour enfants de 8 à 12 ans

à LA TABLE DE L’EUROPE DE L’EST Animé par Valentina Bres de Rêves et gâteaux .

Et lecturesautour d’albums contemporains et de contes tsiganes traditionnels.Animées par Gaëlle Partouche de la librairie Les Modernes à Grenoble.inscription au 04 57 58 89 01 tarif : 5 €

DIM.14FéV.à 11htsiGanes, la Vie de bohème ?

visite guidéeAnimée par un guide de l’Office de tourisme de Grenoble.tarif : 3,80 € Gratuit pour les moins de 12 ans

SAM.13FéV.à 14h30Grenoble 1925

parcours patrimonialGRENOBLE EN 1925 PENDANT L’EXPOSITION INTERNATIONALE DE LA HOUILLE BLANCHEAnimé par un guide de l’Office de tourisme de Grenoble.Sous l’impulsion de son nouveau maire Paul Mistral, élu en 1919, Grenoble affirme son statut de grande ville française moderne, en matière technologique mais également architecturale et artistique. L’exposition Internationale de la Houille Blanche et du Tourisme contribue à attirer l’attention sur le dynamisme de la ville, nourri par d’audacieux projets de développement urbanistique. départ de la tour perret. sur inscription au 04 57 58 89 01 après réception du règlement. tarif : 7,60 € Gratuit pour les moins de 12 ans

VaCanCes sColaires d’hiVer 13 - 28 féVrier

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Mer.24FéV.14hà 16h

DIM.06mARSà15h

Grenoble 1925

atelierPour enfants de 11 à 14 ans

POP UP GRENOBLE !Animé par la Maison de l’architecture de Grenoble Des collages-skyline ou des pop-up seront fabriqués par les enfants, inspirés des plans de Grenoble à différentes époques et de photographies des édifices les plus emblématiques. Leurs bâtiments imaginaires devront évoquer l’évolution des repères architecturaux et des formes urbaines de 1925 à 2025.inscription au 04 57 58 89 01 tarif : 5 €

tsiGanes, la Vie de bohème ?

projection du filmJIMMY RIVIèREFilm de Teddy Lussi-Modeste, 2011, 1h30

à 19 ans, Jimmy Rivière se tourne vers la religion. Féru de boxe, il se convertit au pentecôtisme lors d’une cérémonie qui se tient entre les roulottes du camp de gitans dans lequel il vit. Gina, son entraîneur, lui propose de combattre lors d’un véritable match de boxe qui lui permettrait peut-être d’asseoir sa réputation.

En partenariat avec le festival itinérances tsiganes, organisé par l’artaG, la maison des passages et le centre social mobile apmv.

VaCanCes sColaires d’hiVer 13 - 28 féVrier

mars

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DIM.20mARS14hà 17hGrenoble 1925

atelier pour adultesGRENOBLE, CITÉ POP-ART !Atelier animé par Dalia Ferreira, artiste numérique de tendance Pop art. à partir d’images actuelles de la ville, cet atelier « photo-graphique » invite les participants à une réinterprétation de l’environnement à travers leurs émotions et perceptions.En partenariat avec le centre du graphisme. inscription au 04 57 58 89 01 tarif : 10 €

SAM.12mARSà14h30Grenoble 1925

parcours patrimonialGRENOBLE EN 1925 PENDANT L’EXPOSITION INTERNATIONALE DE LA HOUILLE BLANCHEAnimé par un guide de l’Office de tourisme de Grenoble.Sous l’impulsion de son nouveau maire Paul Mistral, élu en 1919, Grenoble affirme son statut de grande ville française moderne, en matière technologique mais également architecturale et artistique. L’exposition Internationale de la Houille Blanche et du Tourisme contribue à attirer l’attention sur le dynamisme de la ville, nourri par d’audacieux projets de développement urbanistique. départ de la tour perret. sur inscription au 04 57 58 89 01 après réception du règlement. tarif : 7,60 € Gratuit pour les moins de 12 ans

Week-end télérama 19-20 mars

jeuDI24mARSdate à Confirmer

éVénement

inauguration officielle de l’exposition

Fruit d’une collaboration franco-québécoise, cette exposition met en scène plus de cent cinquante objets traditionnels, photographies historiques et œuvres d’art issus des

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DIM.27mARS15hà 3hDu mATINfestiVal détours de babel

nocturne musicale Venez découvrir des formes musicales insolites d’ici et d’ailleurs dans une ambiance conviviale. Concerts, spectacles, performances, installations multimédia se répartiront tout au long de l’après-midi et jusqu’au cœur de la nuit dans les espaces libérés du musée : la chapelle, le cloître, les salles et les terrasses.programmation en cours, à consulter début 2016 sur www.detoursdebabel.fr production détours de babel en collaboration avec le musée dauphinois

Du25Au28mARS ETDu1erAu3AVRIlaltEr EGoles rencontres

musicales transculturelles

du festival mettent en perspective l’Autre, à la fois différent et semblable, comme miroir de notre propre

identité.

festiVal détours de babel 22 mars - 9 aVril

collections des Musées de la civilisation de Québec et de l’Institut Culturel Avataq. Portrait contemporain esquissé d’une culture en mouvement dans le territoire du Nunavik au Québec.

sur le toit du monde. à la rencontre des inuit du nunavik

DIM.3AVRIl11hà 17hfestiVal détours de babel

brunch musical Rendez-vous aujourd’hui incontournables du festival, les brunchs dominicaux se déroulent tout au long de la journée, à la découverte de chants et musiques ouverts sur les cultures du monde.Le tarif des brunchs est laissé à l’appréciation de chacun, à partir d’un euro.programmation en cours, à consulter début 2016 sur www.detoursdebabel.fr production détours de babel en collaboration avec le musée dauphinois

avri

l

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Mer.6AVRIlà pARTIR DE 20h

SAM.9AVRIlà 14h30

DIM.10AVRIlà 11h

inuit du nunaVik

soirée étudiante SAUVAGEla semaine thématique du 30 mars au 6 avril 2016

Dans la banquise, terrible banquise, l’ours blanc est mort ce soir… Du campus, descendez l’Isère en kayak et venez passer une inouïe nuit inuit dans l’igloo de Sainte-Marie d’en-haut ! Sans oublier votre polaire. Car ça vaut la peine de rejoindre ceux qu’on aime pour venir faire tourner un ballon sur son nez. Vous pouvez inviter Aurore, surtout si elle est boréale ! informations et réservation : université de Grenoble - un tramway nommé culture. Entrée libre et gratuite sur inscription préalable (visite réservée aux étudiants) : [email protected] ou 04 56 52 85 22

Grenoble 1925

parcours patrimonialGRENOBLE EN 1925 PENDANT L’EXPOSITION INTERNATIONALE DE LA HOUILLE BLANCHEAnimé par un guide de l’Office de tourisme de Grenoble.Sous l’impulsion de son nouveau maire Paul Mistral, élu en 1919, Grenoble affirme son statut de grande ville française moderne, en matière technologique mais également architecturale et artistique. L’exposition Internationale de la Houille Blanche et du Tourisme contribue à attirer l’attention sur le dynamisme de la ville, nourri par d’audacieux projets de développement urbanistique. départ de la tour perret. sur inscription au 04 57 58 89 01 après réception du règlement. tarif : 7,60 €

Gratuit pour les moins de 12 ans

inuit du nunaVik

visite guidée Animée par un guide de l’Office de tourisme de Grenoble.tarif : 3,80 € Gratuit pour les moins de 12 ans

VaCanCes sColaires de printemps 9 - 24 aVril

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Mer.13AVRIlà 15h

SAM.16AVRIl14hà 17h

jeu.14AVRIl14hà 16h

inuit du nunaVik

contesLES PEUPLES DU FROID EN HISTOIRESPar les conteurs amateurs de l’association Paroles en Dauphiné.

inuit du nunaVik

atelier linogravurePour adultes

BESTIAIRE POLAIREAnimé par Anne-Laure Héritier-Blanc, artiste plasticienne.La linogravure est une technique d’illustration qui permet de créer son motif en relief et de l’imprimer sur papier ou tissu.Atelier réservé aux dessinateurs confirmés. inscription au 04 57 58 89 01 tarif : 10 €

Grenoble 1925

atelier Pour enfants de 11 à 14 ans

POP UP GRENOBLE !Animé par la Maison de l’architecture de Grenoble.Des collages-skyline ou des pop-up seront fabriqués par les enfants, inspirés des plans de Grenoble à différentes époques et de photographies des édifices les plus emblématiques. Leurs bâtiments imaginaires devront évoquer l’évolution des repères architecturaux et des formes urbaines de 1925 à 2025.inscription au 04 57 58 89 01 tarif : 5 €

VaCanCes sColaires de printemps 9 - 24 aVril

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jeu.&Ven.21&22AVR.14hà 17h

Mer.20AVRIlà 15h

inuit du nunaVik

atelier linogravurePour enfants de 10 à 14 ans

BESTIAIRE POLAIREAnimé par Anne-Laure Héritier-Blanc, artiste plasticienne.La linogravure est une technique d’illustration qui permet de créer son motif en relief et de l’imprimer sur papier ou tissu.Atelier réservé aux dessinateurs confirmés. Présence obligatoire aux 2 séances.inscription au 04 57 58 89 01 tarif : 15 €

inuit du nunaVik

contesLES PEUPLES DU FROID EN HISTOIRESPar les conteurs amateurs de l’association Paroles en Dauphiné.

lun.18AVRIl14hà 16hjArDIn

atelier Pour enfants de 8 à 12 ans

UN TRÉSOR AU FIL DE L’EAUAnimé par l’Atelier multidisciplinaire des Cairns (Amca). Jeunes aventuriers, saurez-vous résoudre les énigmes qui vous permettront d’emboîter les pas d’un mystérieux voyageur sur la piste d’un fabuleux trésor ? Un parcours au fil de l’eau, de la source au potager…inscription au 04 57 58 89 01 tarif : 5 e

VaCanCes sColaires de printemps 9 - 24 aVril

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SAM.30AVR.à 16hinuit du nunaVik

visite guidée Par Chantal Spillemaecker, conservateur en chef et commissaire de l’exposition.inscription au 04 57 58 89 01

DIM.24AVR.à 11hGrenoble 1925

visite guidéeAnimée par un guide de l’Office de tourisme de Grenoble.tarif : 3,80 € Gratuit pour les moins de 12 ans

mai

SAM.14mAIà 14h30Grenoble 1925

parcours patrimonialGRENOBLE EN 1925 PENDANT L’EXPOSITION INTERNATIONALE DE LA HOUILLE BLANCHEAnimé par un guide de l’Office de tourisme de Grenoble.Sous l’impulsion de son nouveau maire Paul Mistral, élu en 1919, Grenoble affirme son statut de grande ville française moderne, en matière technologique mais également architecturale et artistique. L’exposition Internationale de la Houille Blanche et du Tourisme contribue à attirer l’attention sur le dynamisme de la ville, nourri par d’audacieux projets de développement urbanistique. départ de la tour perret. sur inscription au 04 57 58 89 01 après réception du règlement. tarif : 7,60 €

Gratuit pour les moins de 12 ans

VaCanCes sColaires de printemps 9 - 24 aVril

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SAM.14mAIà 22h

SAM.14mAIà 17h30

tsiGanes, la Vie de bohème ?

contes et polyphonies bulgares a cappella Là Où LE SOLEIL SE COUCHE, Là Où LA LUNE SE LèVEnéfissa benouniche (conteuse-chanteuse) et le quatuor balkanes (martine sarazin, milena roudeva, milena jeliazkova et marie scaglia)

Là est un pays ancien qui vous plonge dans ses mystères dès les premiers accords résonnant sous la Lune. Les fées de la forêt y officient, le Soleil y prodigue ses largesses, les jeunes femmes puisent de l’eau silencieuse à la source, les jeunes hommes y dansent jusqu’à perdre haleine au pied des moulins à vent pour conjurer le mauvais sort. Il y a là la Terre du Bas, celle du Milieu et celle du Haut ; il y a aussi les trois frères pourchassant le dragon à neuf têtes pour cueillir la pomme d’or ; le courant d’eau changeante qui noircit les méchants et qui dore les méritants ; il y a là cinq femmes qui vous emmènent entre Ciel et Terre, entre Lune et Soleil, entre deux rives et au gré du Vent.

tsiGanes, la Vie de bohème ?

projection du filmSPARTACUS ET CASSANDRA 81 minutes

Spartacus et Cassandra, deux enfants roms, sont partagés entre l’univers du cirque et la rue où vivent leurs parents, du côté de Saint-Germain-des-Prés. Inséparables, ils se débattent avec la justice française, qui a sollicité l’aide sociale afin de les prendre en charge… En partenariat avec amnesty international. En présence de cathie lipszyc, membre de l’Equipe nationale de “lutte contre les discriminations” d’amnesty international france.

nuit des musées 14 mai (à Confirmer)

14 Au16mAITouTelA journéefestiVal des arts du réCit

les arts du récit s’installent au musée dauphinois !Spectacles, récitals de contes, brunchs contés, résonneront dans tous les espaces du musée.

Le Bistrot qui roule proposera ses petits plats…

programme détaillé en avril 2016 sur www.artsdurecit.com

Accès aux expos jusqu’à minuit

Page 37: Musée dauphinois. Saison 2015 2016

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DIM.22mAIà 17h

tsiGanes, la Vie de bohème ?

atelier d’écritureAnimé par l’association Horizons vagabonds.à partir des mots de chacun, jouer avec ses mots, emprunter les mots des autres, piocher dans le répertoire littéraire, partager nos trouvailles… D’écriture en écriture, chacun composera son texte.renseignements et inscription au 04 57 58 89 01 tarif : 10 €

musique

concert En partenariat avec le conservatoire national supérieur de musique et de danse de lyon.

Programmé dans le cadre des allées chantent, un tour d’Isère en 80 concerts. à l’initiative du département, Les allées chantent sont portées par l’Agence Iséroise de Diffusion Artistique (A.I.D.A) qui inscrit ses missions dans le cadre d’un service public de la culture.dans la limite des 120 places disponibles. retrait des billets à 16h30. Entrée dans la chapelle à 16h45.

DIM.22mAI11hà 15h

DIM.29mAIà 11hinuit du nunaVik

visite guidée Animée par un guide de l’Office de tourisme de Grenoble.tarif : 3,80 €

Gratuit pour les moins de 12 ans

Page 38: Musée dauphinois. Saison 2015 2016

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juin DIM.

05JuINà10h30

SAM.04JuINà10h30

jArDIn

décou’vertesLES JARDINS DE SAINTE-MARIE D’EN-HAUTLe jardinier invite à découvrir les espaces paysagers dès l’entrée du musée en passant par le cloître, les terrasses, la roseraie et le verger pour révéler les choix en matière d’architecture des jardins, de sélection des plantes, de gestion de l’eau depuis l’époque des Visitandines au XVIIe siècle.

à14hLE RUCHER DE LA MAISON RELAIS BON ACCUEILLes apprentis apiculteurs de Bon Accueil, maison gérée par l’association L’oiseau bleu, nous invitent à rencontrer le monde des abeilles. inscription au 04 57 58 89 01

jArDIn

décou’vertesLES JARDINS DE SAINTE-MARIE D’EN-HAUTLe jardinier invite à découvrir les espaces paysagers dès l’entrée du musée en passant par le cloître, les terrasses, la roseraie et le verger pour révéler les choix en matière d’architecture des jardins, de sélection des plantes, de gestion de l’eau depuis l’époque des Visitandines au XVIIe siècle.

à14hLE RUCHER DE LA MAISON RELAIS BON ACCUEILLes apprentis apiculteurs de Bon Accueil, maison gérée par l’association L’oiseau bleu, nous invitent à rencontrer le monde des abeilles. inscription au 04 57 58 89 01

renDez-VouS Aux jArDInS 3 - 5 juIn

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SAM.11JuINà 14h30

jeu.16JuINhorAIreàpRéCISER

Grenoble 1925

parcours patrimonialGRENOBLE EN 1925 PENDANT L’EXPOSITION INTERNATIONALE DE LA HOUILLE BLANCHEAnimé par un guide de l’Office de tourisme de Grenoble.Sous l’impulsion de son nouveau maire Paul Mistral, élu en 1919, Grenoble affirme son statut de grande ville française moderne, en matière technologique mais également architecturale et artistique. L’exposition Internationale de la Houille Blanche et du Tourisme contribue à attirer l’attention sur le dynamisme de la ville, nourri par d’audacieux projets de développement urbanistique. départ de la tour perret. sur inscription au 04 57 58 89 01 après réception du règlement. tarif : 7,60 e

Gratuit pour les moins de 12 ans

tsiGanes, la Vie de bohème ?

dialogues en humanité : les cultures tsiganes en Europe L’idée des Dialogues en humanité est née en 2002 lors du Sommet mondial de Johannesburg sur le développement durable. La première édition à Lyon, en juin 2003, a rassemblé 80 invités issus de tous les milieux et de tous les continents. Depuis, les Dialogues proposent régulièrement des activités dont le fil rouge est de grandir en humanité et de développer une citoyenneté de la terre, une société du «bien vivre».programmation en cours.

DIM.19JuINà11hinuit du nunaVik

visite guidée Par Chantal Spillemaecker conservateur en chef et commissaire de l’expositioninscription au 04 57 58 89 01

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juill

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août Ven.12

19&26AOÛTà18h30

Ven.15&22JuIl.à18h30

Grenoble 1925

parcours patrimonial à véloGRENOBLE, AU CœUR DE L’ART DÉCO Animé par un guide de l’Office de tourisme de Grenoble.Reflet du développement considérable de Grenoble dans les Années 20, l’Art Déco investit toute la ville. Une balade originale à vélo conduira, au fil des édifices grenoblois les plus marquants, de la Tour Perret au garage hélicoïdal.départ de l’office de tourisme inscriptions obligatoires à l’accueil de l’office de tourisme de Grenoble ou en ligne sur www.grenoble-tourisme.com tarif communiqué ultérieurement

Grenoble 1925

parcours patrimonial à véloGRENOBLE, AU CœUR DE L’ART DÉCO Animé par un guide de l’Office de tourisme de Grenoble.Reflet du développement considérable de Grenoble dans les Années 20, l’Art Déco investit toute la ville. Une balade originale à vélo conduira, au fil des édifices grenoblois les plus marquants, de la Tour Perret au garage hélicoïdal.départ de l’office de tourisme inscriptions obligatoires à l’accueil de l’office de tourisme de Grenoble ou en ligne sur www.grenoble-tourisme.com tarif communiqué ultérieurement

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Tsiganes, la vie de bohème ?Ouvrage collectifsous la direction d’Olivier Cogne et de Jean GuibalÉditions du Musée dauphinois,octobre 2015, illustré couleur.Prolongeant l’exposition du musée, cet ouvrage collectif aborde l’histoire longue de la présence tsigane en Europe et dans notre région. Tolérées un temps par la société, ces popula-tions ont été visées dès le XVIIe siècle par des mesures répressives tendant à leur faire abandonner leur mode de vie nomade. En France, la République, elle-même, a discriminé les Tsiganes par la mise en place du carnet anthro-pométrique, puis des titres de circula-tion encore en vigueur en 2015… Des populations dont on ignore généra-lement que seule une minorité pra-tique encore aujourd’hui en Europe le nomadisme. Derrière le terme glo-balisant de « Tsiganes » retenu en France par les spécialistes du sujet se cache une diversité de groupes et de pratiques culturelles d’une extraordi-naire richesse. Ce livre est l’occasion de déconstruire des représentations communément admises, souvent bien éloignées des réalités humaines.

Prolonger une exposition,

se documenter sur un thème particulier,

se laisser tenter par un témoignage

ou de belles images, une multitude de

regards et d’analyses vous est proposée

dans l’espace boutique ou en ligne.

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Grenoble, 1925 La grande mutationL’eXPOSITION INTeRNATIONALe De LA HOUILLe BLANCHe eT DU TOURISMeOuvrage collectif sous la direction de Sylvie Vincent, conservateur en chef du patrimoine, directrice de la Maison Bergès - Musée de la Houille blanche.Éditions du Musée dauphinois, décembre 2015, illustré couleur, environ 120 pages.Organisé autour de quatre thèmes principaux que sont Grenoble capitale des Alpes - L’Exposition internationale de la Houille blanche et du tourisme, l’exhibition du progrès technique - La tour Perret, la modernité incarnée - Et 90 ans après, quelle image pour Grenoble ? cet ouvrage abondam-ment illustré réunit les expertises les plus récentes d’universitaires, de spécialistes du patrimoine et d’his-toriens. Il est édité en prolongement des expositions au Musée dauphinois Grenoble, 1925. La grande mutation et à la Maison Bergès- Musée de la Houille blanche : Grenoble 1925. Éloge de la modernité.

Sur le toit du mondeÀ LA ReNCONTRe DeS INUIT DU NUNAVIKOuvrage collectif sous la direction de Chantal Spillemaecker, conservateur en chef du Patrimoine au Musée dauphinois.Éditions du Musée dauphinois, mars 2016, illustré couleur, environ 150 pages.Accompagnant l’exposition pré-sentée en collaboration avec les Musées de la civilisation à Québec et l’Institut Avataq de Montréal, l’ouvrage rassemble les contribu-tions des spécialistes québécois et français (universitaires, conserva-teurs de musées, archéologues, his-toriens de l’art inuit…) de l’histoire des Inuit du Nunavik, de l’expression artistique du XXe siècle et de leur culture matérielle, des questions liées aux autochtones et aux reven-dications politiques, économiques et culturelles…Bénéficiant d’une riche iconographie, pour la plupart inédite, cet ouvrage offre une synthèse de la culture d’un peuple de l’Arctique.

Confidences d’outre-tombeSQUeLeTTeS eN QUeSTIONOuvrage collectif sous la direction de Jean Guibal et de Jean-Pascal Jospin. Éditions du Musée dauphinois, décembre 2014, illustré, couleur, 108 pages, 14 €Cet ouvrage fait le point sur les thèmes principaux développés dans l’exposition (et notamment sur les données issues de l’étude des sque-lettes de la nécropole Saint-Laurent de Grenoble). Il aborde aussi les nombreuses questions ouvertes : sont ainsi discutées la place de l’ar-chéologie préventive, qui permet de consigner des informations avant destruction, la question de la « ges-tion » de la mort aujourd’hui, des nouveaux rites à la saturation de nos cimetières, ou encore la très délicate question des restes humains dans les collections de musées…

Que peuvent nous apprendre les morts de leur vie ? Que recherchent les archéologues en exhumant les défunts des siècles passés ? Exemple remarquable, la nécropole Saint-Laurent de Grenoble avec ses 1500 squelettes fouillés autour de l’église, offre un champ d’étude rare dont les interprétations scientifiques renseignent sur l’évolution de la population de la ville entre les IVe et XVIIIe siècles. L’ouvrage comme l’exposition qu’il complète évoque les recherches anthropologiques dans le domaine alpin, depuis la préhistoire récente – la plus ancienne tombe, celle d’ « Alexandre », ayant moins de 12 000 ans. Aujourd’hui, les techniques d’investigation des chercheurs permettent de « faire parler » les ossements sur l’âge, le sexe et l’état de santé des individus ainsi « auscultés ». Mais mieux encore, des disciplines innovantes, comme la bio-anthropologie, reconstituent le mode d’alimentation des hommes dans leur environnement. Toutes ces données nouvelles sont à comparer avec le contexte funéraire qui informe sur l’évolution des rites, croyances et pratiques (inhumation ou crémation) à travers les âges. De tout temps, l’image du squelette a été utilisée, autant pour décrire notre destinée que pour jouer avec la représentation ultime de la mort. Ces images, des vanités aux danses macabres, sont aujourd’hui reprises par l’industrie du loisir.Autant de confidences livrées par les restes humains que cet ouvrage tente de rassembler.

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[K]RÂNES42 CATACOMBe ARTISTIQUe AU MUSée DAUPHINOIS Ouvrage dirigé par Agnès Jonquères, Fabrice Nesta et Franck Philippeaux. Éditions du Musée dauphinois, décembre 2014, illustré, couleur, 60 pages, 12 €L’exposition Confidences d’outre-tombe – que prolonge l’installation [K]RÂNES42 - Catacombe artistique - interroge la relation que nous entre-tenons avec la mort à la lumière des analyses livrées par l’archéologie funéraire. Les pratiques sociales de la vénération des restes humains, les représentations allégoriques et les usages sociaux des motifs du crâne et du squelette enrichissent cette vaste réflexion.[K]RÂNES42 s’inscrit dans la volonté du musée d’inviter les artistes à se confronter à l’histoire et au patrimoine, voire à s’exprimer sur les questions de société soulevées par ses expositions. Quarante-deux plasti-ciens ont ainsi travaillé à partir d’une même pièce – un moulage de crâne en plâtre blanc – sur le thème récurrent de la vanité. Au-delà de leur diversité et de leur singularité, les sculptures se répondent pour composer une œuvre unique, une « catacombe artistique ». Chaque sculpture, créée pour l’expo-sition, nous confie une interpréta-tion contemporaine de l’ici-bas et de l’outre-tombe.

L’Alpe n° 70éCOLIeRS DeS MONTAGNeSÉditions Glénat/Musée dauphinois96 pages. Septembre 2015, 15 €Combien avons-nous été à découvrir la montagne lors d’une classe verte ou d’une classe de neige ? Aujourd’hui, l’école peut-elle encore remplir ce rôle de passeur et faire connaître la mon-tagne aux jeunes générations ? C’est sur cette problématique que s’ouvre ce numéro de L’Alpe sur les écoliers. L’éducation est le sujet de préoccu-pation de toute civilisation. à l’heure où le débat sur le rôle de l’école dans l’apprentissage de la citoyenneté revient en force, il est intéressant de s’interroger sur l’enseignement d’hier et d’aujourd’hui à travers les terri-toires de l’arc alpin européen. Quelles en sont les spécificités ? Que nous racontent manuels et objets sur la façon d’enseigner (dans) les Alpes ?

Le grand retour des loupsDANS NOS PAySAGeS eT NOS IMAGINAIReSPar Laurent Garde, écologue, anthropologue et pastoralisteÉditions Le Dauphiné Libéré, collection Les Patrimoines, mars 2015, 52 pages, 7,90 €

Voici vingt ans, le loup faisait irrup-tion dans les montagnes françaises après une éclipse de plus d’un siècle. Animal fantastique de nos contes et légendes, il retrouvait dans les éco-systèmes sa place de régulateur de la faune sauvage. Un grand prédateur strictement protégé par deux textes internationaux, la convention de Berne et la directive Habitats. La louve de Rome, le Petit Chaperon rouge, le “grand méchant loup” sont connus sous des formes proches dans les mythes anciens de nom-breuses sociétés humaines, depuis la Scandinavie jusqu’au Turkestan : la symbolique du loup est universelle et prend naissance dans l’inconscient de l’homme. Aujourd’hui, les loups se répandent dans les campagnes. Un défi redoutable pour les éleveurs qui préfèrent le pâturage à l’élevage hors-sol. Un défi, aussi, pour une société qui voudrait des loups dans ses paysages sans renoncer à des gigots et fro-mages produits dans des conditions naturelles.

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Cultures et patrimoines de l’Europe alpineFrance 18

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CHRISTIAN AMALVIProfesseur d’histoire contemporaine à l’université de Montpellier.

CAROLINE AUDIBERTJournaliste et philosophe, auteur d’ouvrages sur les Alpes.

LOÏC CHALMELProfesseur en sciences de l’éducation à l’université de Haute-Alsace.

CLAUDE COMETCréatrice d’Alpes Magazine, aujourd’hui élue de la Haute-Savoie.

ANNE-MARIE GRANET-ABISSETProfesseur à l’université de Grenoble, spécialiste de l’histoire des sociétés de montagne.

VALÉRIE HUSSHistorienne de l’art, conservatrice du patrimoine au musée de Grenoble.

STEPHANIE KLEIDTHistorienne de l’art, restauratrice et commissaire d’expositions d’art.

CHRISTOPHE MAURONHistorien et conservateur au Musée gruérien, à Bulle.

CALIXTE ROGERIPhotographe

FEDERICA TAMAROZZIEthnologue et conservatrice du patrimoine, responsable du département Europe au MEG.

MANON WALLENBERGERÉlectron libre.

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EN DEUXIèME PAGE DE COUVERTURECe relevé météo réalisé « dans la cour de l’école » a été très soigneusement élaboré (et illustré) par Bertrand Bodin, 10 ans, alors élève à Bourges (Cher), lors d’une classe de neige qu’il a effectué à Pont-du-Fossé, dans les Hautes-Alpes, durant les trois dernières semaines de janvier 1965. Singulier destin que celui de ce petit écolier qui, après avoir découvert le Champsaur par le biais de ce séjour hivernal, finira par s’y… installer comme… photographe ! Depuis, Bertrand Bodin a signé de très nombreux ouvrages sur les montagnes ainsi que la couverture du premier numéro de L’Alpe. Il fait également partie des très rares photographes à avoir été publié deux fois à la une de la revue !

EN qUATRIèME PAGE DE COUVERTUREPlusieurs enfants du personnel des éditions Glénat, qui publient votre revue L’Alpe, ont raconté avec leurs crayons, leurs feutres et leurs pinceaux ce que représentait pour eux une école à la montagne. Ici, un dessin de Paul, 6 ans.Voir aussi en pages 8, 10 et 14.

LE SOMMAIRE DÉTAILLÉ DE CE NUMÉRO EST EN PAGES 4-5

À LA UNELe peintre suisse Albert Anker (1831-1910) aimait peindre les gens, les petites gens, les vieilles gens, les plus jeunes aussi. Comme on le verra dans ce numéro qui reproduit plusieurs de ses œuvres, il nous a laissé de très nombreux tableaux d’écoliers, rencontrés pour la plupart dans les rues de son village natal, Anet, dans le canton de Berne, tels ces quatre enfants pris dans une tempête de neige. L’atelier de l’artiste se visite : www.albert-anker.ch Décembre, une huile sur toile de 1888, 85,5 x 63,5 cm. Fondation pour l’art, la culture et l’histoire, Winterthur. Voir aussi en pages 11, 19 et 23.

La revue L’Alpe est publiée avec le concours du conseil départemental de l’Isère

Musée Dauphinois

Écoliers des montagnes

Le dossier

L’Alpe comme vous ne l’avez jamais lue.

L’Alpe comme vous ne l’avez jamais vue.

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L’exposition Confidences d’outre-tombe. Squelettes en question présentée au Musée dauphinois, interroge la relation que nous entretenons avec la mort à la lumière des analyses livrées par l’archéologie funéraire. Les pratiques sociales de la vénération des restes humains, les représentations allégoriques et les usages sociaux des motifs du crâne et du squelette enrichissent cette vaste réflexion. Le projet [K]RÂNES 42- Catacombe artistique s’inscrit dans la volonté du musée d’inviter les artistes à se confronter à l’histoire et au patrimoine, voire à s’exprimer sur les questions de société soulevées par ses expositions. Quarante-deux plasticiens ont ainsi travaillé à partir d’une même pièce – un moulage de crâne en plâtre blanc – sur le thème récurrent de la vanité. Au-delà de leur diversité et de leur singularité, les sculptures se répondent pour composer une œuvre unique, une « catacombe artistique ». Chaque œuvre originale, créée pour l’exposition, nous confie une interprétation contemporaine de l’ici-bas et de l’outre-tombe.

L’exposition Confidences d’outre-tombe est le fruit d’une étroite collaboration

entre le Musée archéologique Grenoble Saint-Laurent, La Casemate - Centre de

culture scientifique, technique et industrielle de Grenoble et le Musée dauphinois,

avec le concours de l’Inrap (Institut national de recherches archéologiques

préventives) et le soutien des Pompes funèbres intercommunales de

l’agglomération grenobloise.

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Dans le cadre du programme Inmédiats (Innovations, médiations, territoires), lauréat des Investissements d’Avenir.

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le centre de ressources documentairesSpécialisé sur l’histoire et l’ethnographie du monde alpin, le Centre de ressources documentaires du Musée dauphinois est ouvert aux chercheurs, étudiants et aux amateurs d’histoire et de patrimoine. Il est constitué d’une bibliothèque, d’une iconothèque, d’une photothèque et d’une phonothèque. L’iconothèque et la photothèque réunissent des dizaines de milliers de dessins, estampes, affiches, cartes et plans, cartes postales, photographies …. Un millier de films, deux mille enregistrements sonores et près de vingt-cinq mille ouvrages complètent ce fonds .Depuis une dizaine d’années des campagnes de numéri-sation complètent l’étude des collections et favorisent leur valorisation auprès des chercheurs, des établisse-ments culturels et du public. à ce jour, près de 70 000 items ont pu en bénéficier, dont une partie est visible sur une base en ligne à la rubrique Ressources & Collections sur le site internet du musée : http://www.musee-dauphinois.fr/148-collections.htm

La consultation des documents est possible uniquement sur place (pas de prêts de documents).L’accès aux Centre de ressources documentaire se fait sur rendez-vous du lundi au vendredi.Renseignements au 04 57 58 89 01

accueil des personnes à mobilité réduitele musée est partiellement accessible aux personnes à mobilité réduite.

renseignements au 04 57 58 89 01

venir au muséeaccès piétons

Par la montée de Chalemont : accès place de la Cymaise, fontaine au lion.

Par les sentiers de la Bastille : la carte des sentiers reliant la Bastille au Musée dauphinois est disponible sur www.bastille-grenoble.fr/sentier.htm

En véhicules

• Accès depuis l’autoroute Lyon-Grenoble ou Valence-Grenoble : prendre la sortie Grenoble-Bastille

• Accès depuis l’autoroute Chambéry-Grenoble : prendre la sortie Grenoble-Centre-ville

• Accès par la rue Maurice Gignoux : passer sous le porche du quai Perrière, stationnement à 30 m

• Parkings : Philippeville, Office de tourisme, Musée de Grenoble, Esplanade (gratuit).

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NIVEAU 3

REZ-DE-CHAUSSÉE

GENS DE L’ALPEExposition permanente

LA GRANDE HISTOIRE DU SKIExposition permanente

� CONFIDENCES D'OUTRE-TOMBE jusqu'au 4 janvier 2016

� INUIT DU NUNAVIK� & EXPOSITION PIERRE TAIRRAZ du 25 mars au 31 décembre 2016

� GRENOBLE 1925 de décembre 2015 à septembre 2016

� TSIGANES, LA VIE DE BOHÈME ?du 24 octobre 2015 au 9 janvier 2017

NIVEAU 2

NIVEAU 1

NIVEAU -1PARCOURS MUSÉOGRAPHIQUE DU COUVENT

ACCUEILBoutique

CHAPELLE Roseraie

Terrasses

Rotonde

Séchoir

Jardindes Cairns

Cloître

Chœurdes religieuses

Espacedécouverte

Exposition

Exposition

Exposition

Exposition

Exposition

Courd’entrée

Administration

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www.musee-dauphinois.fr

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L’entrée est gratuite

pour tousLe musée est ouvert

tous les jours sauf le mardi,

et les 1er janvier, 1er mai

et 25 décembre

de 10 h à 18 h

du 1er septembre au 31 mai

et de 10 h à 19 h

du 1er juin au 31 août

Musée dauphinois

30 rue Maurice Gignoux Grenoble

04 57 58 89 01

[email protected]