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Étude pour mesurer l’intérêt et les besoins des intervenantes en éducation à la petite enfance envers un programme d’aide et de formation destiné à lutter contre le phénomène du « décrochage nature ». Rapport final Dossier 71070-001 26 septembre 2012 S DIFFUSER NI COPIER L’AUTORISATION DE LA FONDATION MONIQUE-FITZ-BACK OU DE LA FIPEQ

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Étude pour mesurer l’intérêt et les besoins des intervenantes en éducation à la petite enfance envers un programme d’aide et de formation destiné à lutter contre le phénomène du « décrochage nature ».

Rapport final

Dossier 71070-001 26 septembre 2012

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Le contexte et les objectifs 7La méthodologie 9Les faits saillants 12Le profil des répondants 15L’analyse détaillée des résultats 17

1. La perception du décrochage nature 181.1 La connaissance du phénomène de décrochage nature 191.2 La perception de l’importance de cet enjeu 201.3 La perception de l’influence de la nature sur le développement des enfants 211.4 La perception des effets bénéfiques du contact avec la nature 221.5 La fréquence idéale de contact entre la nature et les enfants 23

2. Les établissements et les endroits extérieurs 242.1 L’accès à une cour extérieure 252.2 La distance entre l’établissement et le parc le plus près 26

3. Le profil de fréquentation des endroits extérieurs 273.1 La présentation des endroits 283.2 Les cours extérieures d’établissement 293.3 Les parcs pour enfants 303.4 Les parcs urbains 313.5 Les milieux naturels 323.6 Les sorties thématiques en milieu extérieur 33

4. Les activités d’interprétation de la nature 344.1 Les activités d’interprétation réalisées par les enfants 354.2 Les freins à la réalisation d’activités d’interprétation 364.3 L’intérêt des intervenantes à offrir davantage d’activités d’interprétation 37

5. Les connaissances des intervenantes et le programme de formation 385.1 Le niveau de connaissance des intervenantes en interprétation de la nature 395.2 L’intérêt envers des activités de formation 405.3 La durée de formation et la distance de déplacement 415.4 Les facteurs de succès d’un programme de formation 42

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(suite)

6. Le soutien aux activités avec les enfants43

6.1 Les éléments de soutien aux intervenantes 446.2 Les moyens pour favoriser la réalisation d’activités d’interprétation 45

Annexe – Le questionnaire47

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Une étude pour mieux comprendre les besoins et déployer une stratégie optimale.

    

.

ContexteLa Fondation Monique-Fitz-Back et la Fédération des intervenantes en petite enfance du Québec (FIPEQ-CSQ) ont mandaté Léger Marketing afin de réaliser une étude visant à mieux comprendre le décrochage nature, qui se définit par le désintérêt, la méconnaissance et la perte de contact envers la nature au profit d’autres activités.

Plus spécifiquement, le projet s’inscrit dans une consultation des besoins des intervenantes en petite enfance. Nous avons ainsi mesuré leurs connaissances, leurs habitudes de fréquentation et leur degré d’intérêt à l’égard du développement d’activités en milieu extérieur. Les résultats de cette étude pourront entre autres servir à l’élaboration d’un programme d’aide et de formation afin de lutter contre le phénomène du décrochage nature.

Objectifs de l’étudeLes principaux objectifs de l’étude consistent à :

évaluer les perceptions des intervenantes à l’égard du décrochage nature; dresser le portrait des habitudes de fréquentation des endroits extérieurs, incluant les milieux naturels; identifier les principales activités d’interprétation de la nature réalisées par les enfants lors de leurs sorties; identifier les principaux freins à la réalisation d’activités d’interprétation de la nature; connaître le niveau de connaissance des intervenantes en interprétation de la nature; valider les stratégies envisagées pour le programme d’aide et de formation.

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La population à l’étudeLa présente étude a été réalisée auprès de 706 intervenantes en petite enfance par le biais d’un sondage en ligne. La population à l’étude est composée de personnes âgées de 18 ans ou plus, majoritairement inscrites dans une association d’intervenantes et œuvrant actuellement dans ce domaine. Les répondantes pouvaient remplir le questionnaire en français ou en anglais.

Le sondage en ligne a été hébergé sur les serveurs de Léger Marketing, alors que la gestion des envois est demeurée en tout temps sous la responsabilité de la Fédération des intervenantes en petite enfance du Québec (FIPEQ-CSQ). Une publicité parue dans le magazine « La culbute » en août 2012 invitait également les intervenantes à participer au sondage en ligne.

L’instrument de mesureUn questionnaire web a été conçu par Léger, en collaboration avec les professionnels de la Fondation Monique-Fitz-Back et de la FIPEQ-CSQ. Sa durée moyenne de complétion est de 16 minutes.

Le prétest et la collecte de donnéesLe questionnaire a été prétesté auprès de 25 répondantes afin de s’assurer de sa logique interne et de son bon déroulement. La collecte officielle des données a été réalisée du 8 août au 5 septembre 2012.

Pondération et représentativité Aucune pondération n’a été appliquée aux données brutes de l’étude.

Marge d’erreurÀ titre indicatif, un échantillon probabiliste de 706 répondantes aurait comporté une marge d’erreur maximale de ± 3,69%, et ce dans un intervalle de confiance de 95% (19 fois sur 20).

10Notre approche méthodologique

Une étude en ligne auprès de 706 intervenantes en petite enfance.

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Notre approche méthodologique (suite)11

Les résultats

Dans les graphiques et les tableaux, le « n » représente le nombre réel de personnes interrogées.

Pour l’ensemble des graphiques et tableaux présentés dans ce rapport, les totaux différents de 100% peuvent être attribuables à l’arrondissement à l’entier des pourcentages indiqués. Quant aux totaux supérieurs à 100%, ils sont attribuables à la réponse multiple.

Afin de faire ressortir les écarts entre les sous-groupes à l’étude, les proportions significativement supérieures sont présentées en rouge dans les graphiques et les tableaux, alors que les proportions significativement inférieures sont présentées en bleu.

Les résultats des sous-groupes composés de moins de 30 répondantes sont présentés à titre informatif seulement, étant donné le faible nombre d’individus que cela représente.

La forme féminine utilisée dans le texte désigne aussi bien les hommes que les femmes. Elle n’est utilisée qu’à la seule fin d’alléger le texte et d’en faciliter la compréhension.

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Du point de vue des intervenantes, les effets d’un contact régulier avec la nature sont sans aucun doute positifs. Pour elles, ce contact favorise tous les aspects du développement et du bien-être des enfants. De plus, la forte majorité des intervenantes croient qu’un tel contact devrait avoir lieu quotidiennement.

Lorsque ce contact est peu fréquent et que les enfants sont moins intéressés à pratiquer des activités, on assiste à un phénomène dit de « décrochage nature ». Si ce nom en tant que tel est inconnu de la plupart des intervenantes, après information, celles-ci perçoivent ce phénomène comme étant un enjeu important.

Dans les faits toutefois, les enfants sortent souvent à l’extérieur. Quotidiennement ou hebdomadairement, ils sortent dans la cour de leur établissement ou dans des parcs pour enfants et occasionnellement, ils fréquentent d’autres endroits : des parcs urbains, des milieux naturels ou encore sortent à l’extérieur pour des sorties thématiques. Cependant, aucun de ces autres endroits n’est fréquenté régulièrement par un grand nombre d’intervenantes et d’enfants. On remarque donc l’importance de la proximité sur la fréquentation régulière des endroits extérieurs.

Or, même si on observe peu de diversité dans les endroits extérieurs que les enfants explorent, il faut toutefois souligner que certaines activités d’interprétation de la nature sont offertes aux enfants par la majorité des intervenantes, comme la chasse aux bibittes, l’identification des oiseaux et des arbres ou encore les activités de création artistique. Peu d’intervenantes ont déclaré ne jamais offrir de telles activités, et celles-ci ont identifié le manque de matériel et de connaissance comme en étant la cause.

Comme la très grande majorité des intervenantes souhaiterait offrir davantage d’activités d’interprétation à leurs enfants, il s’agit donc de déterminer comment augmenter le nombre et la qualité de ces activités. Pour cela, s’appuyer sur les activités qui sont déjà réalisées et chercher à les enrichir est sans doute une possibilité intéressante pouvant engendrer des résultats positifs très rapidement.

Le contact avec la nature : un aspect important du développement

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Afin de favoriser la pratique d’activités d’interprétation, trois grands types d’actions semblent s’imposer.

1. Alimenter l’intérêt par le développement des connaissances. Des moyens doivent être mis en œuvre pour aider les intervenantes à améliorer leur connaissance de la nature et, par le fait même, leur capacité à offrir des activités d’interprétation de la nature simples aux enfants. On remarque en effet que plus les intervenantes ont des connaissances en interprétation de la nature, plus elles reconnaissent l’importance de l’enjeu du décrochage nature et plus elles ont tendance à fréquenter les parcs urbains ou les milieux naturels. Les moyens à privilégier seraient donc :

• des formations, en général courtes (1 ou 2 jours) et le plus près que possible du lieu de travail;• la reconnaissance des formations par les bureaux coordonnateurs (pour les intervenantes en milieu familial);• une offre diversifiée de formations.

2. Outiller les éducatrices. L’aide en matière de matériel pédagogique peut permettre aux établissements de surmonter certaines difficultés dans la réalisation d’activités d’interprétation de la nature. Les principaux outils que les intervenantes semblent particulièrement désirer sont :

• la création de trousses pédagogiques offrant un choix d’activités à réaliser avec les enfants;• des programmes destinés à offrir du matériel d’interprétation de la nature aux enfants (filets, boîtes à insectes, etc.)

3. Appuyer financièrement les éducatrices. Les principaux moyens financiers qui pourraient aider les intervenantes à élaborer et offrir des activités d’interprétation à leurs enfants sont :

• de l’aide financière pour les libérations à des fins de formation;• de l’aide financière pour les déplacements avec les enfants.

Ensemble, ces mesures représentent les principales pistes de solution pour permettre une meilleure accessibilité aux différents milieux extérieurs, favoriser la diversité des activités et augmenter le nombre d’activités d’interprétation de la nature que les enfants peuvent avoir la chance de réaliser.

Favoriser les activités d’interprétation : les moyens à retenir

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Profil desINTERVENANTES

Total (n=706)

SexeHomme 1%Femme 99%Âge18 et 24 ans 1%25 et 34 ans 20%35 et 44 ans 36%45 et 54 ans 31%55 et 64 ans 11%65 ans et plus 0%

Lieu de travailMilieu familial 87%CPE (installation) 12%Aucun pour le moment 1%Années d’expérience0 à 5 ans 19%6 à 10 ans 27%11 à 15 ans 28%Plus de 15 ans 25%Type d’emploi occupéResponsable d’un service de garde en milieu familial 86%

Éducatrice régulière 12%Éducatrice occasionnelle 1%Autre 1%

Profil de la PROVENANCE

Total (n=706)

Région de provenanceMontérégie 31%Estrie 10%Laurentides 10%Centre-du-Québec 8%Abitibi-Témiscamingue 7%Bas-Saint-Laurent 6%Lanaudière 5%Laval 5%

Chaudière-Appalaches 4%Saguenay-Lac-Saint-Jean 4%Capitale-Nationale 2%Côte-Nord 2%Montréal 2%Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine 1%Mauricie 1%Nord-du-Québec 1%Outaouais 1%Milieu socio-économiqueFavorisé 78%Défavorisé 13%NSP/NRP 9%

Profil desGROUPES D’ENFANTS

Total (n=706)

Nombre d’enfants dans l’établissement6 ou moins 73%Plus de 6 25%Moyenne 12,6Type de groupe d’enfantsGroupe multi-âges 85%Moins de 18 mois 3%18 mois à 2 ans 1%2 à 3 ans 3%3 à 4 ans 3%4 à 5 ans 3%

Prise en charge d’enfants avec besoins particuliersOui 22%Non 76%

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1. La perception du décrochage nature

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191.1 La connaissance du phénomène de décrochage nature

Le décrochage nature se définit par le désintérêt, la méconnaissance et la perte de contact envers la nature au profit d’autres activités.

Peu d’intervenantes ont déjà entendu parler de ce concept.

Q1. Avant d’être invitée à participer à cette étude, aviez-vous déjà entendu parler du phénomène dit de « décrochage nature » ?

(n=706)

Oui4%

Non96%

En ont plus entendu parler celles travaillant en CPE (installation) (9%) et celles prenant en charge des enfants avec besoins particuliers (8%).

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201.2 La perception de l’importance de cet enjeu

Très important Assez important Peu important Pas du tout important Ne sait pas

30%

50%

4% 1%

15%

Q9. Personnellement, percevez-vous le « décrochage nature » comme étant un enjeu … ?*(n=706)

Total important : 80% Total pas important : 5%

De l’avis des intervenantes en petite enfance, la perte de contact avec la nature est un enjeu important pour l’avenir des enfants.

* Les répondants avaient accès à la définition du décrochage nature avant de répondre à cette question.

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211.3 La perception de l’influence de la nature sur le développement des enfants

Beaucoup Assez Peu Pas du tout Je ne sais pas

71%

26%

2% 0% 1%

Q10. À quel point croyez-vous qu’un contact avec la nature influence le bien-être et le développement des enfants ? Est-ce …

(n=706)

Total OUI : 97% Total NON : 2%

Selon les intervenantes, la nature influence beaucoup le développement des enfants.

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… le développement physique et moteur de l'en-fant.»

… le développement global de l'enfant.»

… le développement cognitif de l'enfant.»

… le développement social et moral de l'enfant.»

… le développement langagier de l'enfant.»

… le développement affectif de l'enfant.»

85%

83%

74%

71%

71%

57%

13%

15%

25%

26%

26%

36%

Totalement en accord Plutôt en désaccord Totalement en désaccord Je préfère ne pas répondre

Total en accord

98%

98%

98%

97%

97%

93%

Q12A à F. Quel est votre niveau d’accord avec les énoncés suivants :« Le contact avec la nature favorise…

(n=706)

1.4 La perception des effets bénéfiques du contact avec la nature

Globalement, il est de l’opinion des intervenantes que le contact avec la nature a un impact positif sur tous les aspects du développement de l’enfant.

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231.5 La fréquence idéale de contact entre la nature et les enfants

… quotidienne

… hebdomadaire

… mensuelle

… saisonnière

… annuelle

Je ne sais pas

71%

21%

3%

3%

1%

2%

Q11. Selon vous, sur quelle base les intervenantes en petite enfance devraient-elles occasionner ce contact entre la nature et les enfants ? Sur une base…

(n=706)

Ainsi, pour plus de neuf intervenantes en petite enfance sur dix, un contact sur une base hebdomadaire constitue un minimum.

Le contact entre la nature et les enfants ne devrait pas être occasionnel, mais régulier.

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2. Les établissements et les endroits extérieurs

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252.1 L’accès à une cour extérieure

Q13. Avez-vous accès à une cour extérieure ?(n=706)

Non2%

Oui98%

La quasi-totalité des établissements de garde ont accès à une cour extérieure.

Ce constat confirme qu’un potentiel important existe pour des activités d’interprétation de la nature pouvant être réalisées au quotidien.

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Plus de 2 km8%

501 mètres à 1 km27%

201 à 500 mètres

17%

0 à 200 mètres21%

Je ne sais pas : 18%Je préfère ne pas

répondre : 2%

Q14. À environ combien de kilomètres de votre établissement ou de votre service de garde en milieu familial est situé le parc le plus près ?

(n=706)

Moyenne : 1,1 kilomètre

2.2 La distance entre l’établissement et le parc le plus près

Au total, 21% des intervenantes interrogées ont affirmé qu’elles avaient accès à un parc à 200 mètres ou moins de leur établissement de garde.

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3. Le profil de fréquentation des endroits extérieurs

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283.1 La présentation des endroits

Cour d’établissement

Parc pour enfants

Parc urbain Milieu naturel Sortie thématique en

milieu extérieur

Q19. Est-ce que vos enfants réalisent des activités d’interprétation de la nature dans l’endroit que vous fréquentez ?

Pour chacun des cinq endroits, les questions suivantes ont été posées afin de déterminer le profil de sortie de chacun d’entre eux.

Les résultats détaillés sont présentés aux pages suivantes.

Ceux qui répondent « Jamais » n’ont pas

répondu aux questions 16 à 19.

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Les enfants dont la garderie a accès à une cour extérieure ont la chance de pouvoir sortir dehors quotidiennement durant près de deux heures en moyenne.

Grâce, entre autres, à la présence répandue de gazon, de végétation et d’une aire de jeu aménagée, des activités d’interprétation de la nature sont souvent réalisées dans ces endroits.

Q15A. Fréquence des sorties (n=693)*Quotidienne 96%Hebdomadaire 2%Mensuelle 1%Saisonnière 0%Annuelle 0%Jamais 0%Préfère ne pas répondre 0%

Q17A. Ce que l’on retrouve à cet endroit (plusieurs réponses possibles) (n=690)Gazon 85%Aire de jeu aménagée 85%

Arbres et végétation 73%

Petit boisé 17%

Forêt 8%

Étendue d’eau (étang) 2%

Cours d’eau (ruisseau) 4%

Petite faune 19%

Autre 10%Préfère ne pas répondre 0%

Q18A. Temps moyen des sorties dans cet endroit (n=690)Moyenne 1,9 heure

Q19A. La réalisation d’activités d’interprétation de la nature (n=690)Oui 84%Non 16%

3.2 Les cours extérieures d’établissement

* Seules les intervenantes œuvrant dans un établissement possédant une cour extérieure (voir Q13, page 22) ont été interrogées pour ces questions.

Pour les cours d’établissement, la catégorie « Autre » inclut (Q17AO, n=67) : des arbres fruitiers, un potager ou un jardin (37%), un carré de sable (18%), divers jeux aquatiques (15%), des animaux de petite ferme (10%), des balançoires (9%), un verger ou des champs agricoles (9%), des sentiers ou pistes cyclables (6%).

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303.3 Les parcs pour enfants

Q15B. Fréquence des sorties (n=706)Quotidienne 24%Hebdomadaire 27%Mensuelle 11%Saisonnière 11%Annuelle 6%Jamais 19%Préfère ne pas répondre 1%

Q16A. Moyen de déplacement (n=561)À pied 92%En voiture 6%En autobus de ville 1%En autobus scolaire ou nolisé 1%

Q17B. Ce que l’on retrouve à cet endroit (plusieurs réponses possibles) (n=561)Gazon 75%Aire de jeu aménagée 93%Arbres et végétation 69%Petit boisé 30%Forêt 8%Étendue d’eau (étang) 5%Cours d’eau (ruisseau) 4%Petite faune 16%Autre 6%Préfère ne pas répondre 1%

Q18B. Temps moyen des sorties dans cet endroit (n=561)Moyenne 1,3 heure

Q19B. La réalisation d’activités d’interprétation de la nature (n=561)Oui 60%Non 40%

Pour les parcs pour enfants, la catégorie « Autre » inclut (Q17BO, n=33) : un carré de sable (18%), divers jeux aquatiques (15%), un terrain de sport (9%), des arbres fruitiers, un potager ou un jardin (6%), une rivière ou un fleuve (6%), des balançoires (3%), un verger ou des champs agricoles (3%).

Un peu plus de la moitié (51%) des intervenantes emmènent leurs enfants dans un parc au moins une fois par semaine, la plupart du temps à pied et pour une durée d’un peu plus d’une heure.

Dans ces parcs, on note une présence plus fréquente de petits boisés que dans les cours extérieures, mais les activités d’interprétation de la nature y sont moins fréquentes.

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313.4 Les parcs urbains

Q15C. Fréquence des sorties (n=706)Quotidienne 4%Hebdomadaire 10%Mensuelle 8%Saisonnière 9%Annuelle 7%Jamais 58%*Préfère ne pas répondre 4%

Q16B. Moyen de déplacement (n=272)À pied 61%En voiture 25%En autobus de ville 8%En autobus scolaire ou nolisé 6%

Q17C. Ce que l’on retrouve à cet endroit (plusieurs réponses possibles) (n=272)Gazon 64%Aire de jeu aménagée 59%

Arbres et végétation 64%

Petit boisé 38%

Forêt 14%

Étendue d’eau (étang) 19%

Cours d’eau (ruisseau) 8%

Petite faune 22%Autre 8%Préfère ne pas répondre 7%

Q18C. Temps moyen des sorties dans cet endroit (n=271)Moyenne 1,6 heure

Q19C. La réalisation d’activités d’interprétation de la nature (n=272)Oui 62%Non 38%

Pour les parcs urbains, la catégorie « Autre » inclut (Q17CO, n=21) : divers jeux aquatiques (29%), des animaux de petite ferme (5%), un terrain de sport (5%), un carré de sable (5%), un sentier ou une piste cyclable (5%).

* Ces résultats sont à mettre en perspective avec la provenance régionale des répondants au sondage. Dans notre échantillon, peu de répondantes proviennent des grands centres urbains, pouvant en partie expliquer cette faible fréquentation des parcs urbains. Voir le « Profil de provenance », page 15.

Les grands parcs urbains n’ont pas la cote auprès des intervenantes qui ont répondu au sondage*. Celles qui s’y rendent à l’occasion le font à pied ou en voiture et pour une heure et demie environ.

Les parcs urbains offrent souvent une belle diversité naturelle. La réalisation d’activités d’interprétation y est toutefois moins répandue que dans les cours extérieures d’établissement.

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323.5 Les milieux naturels

Q15D. Fréquence des sorties (n=706)Quotidienne 20%Hebdomadaire 15%Mensuelle 8%Saisonnière 17%Annuelle 8%Jamais 29%*Préfère ne pas répondre 4%

Q16C. Moyen de déplacement (n=479)À pied 71%En voiture 17%En autobus de ville 4%En autobus scolaire ou nolisé 7%

Q17D. Ce que l’on retrouve à cet endroit (plusieurs réponses possibles) (n=479)Gazon 52%Aire de jeu aménagée 18%

Arbres et végétation 70%

Petit boisé 59%

Forêt 45%

Étendue d’eau (étang) 27%

Cours d’eau (ruisseau) 30%

Petite faune 40%Autre 7%Préfère ne pas répondre 7%

Q18D. Temps moyen des sorties dans cet endroit (n=479)Moyenne 1,7 heure

Q19D. La réalisation d’activités d’interprétation de la nature (n=479)Oui 84%Non 16%

Pour les milieux naturels, la catégorie « Autre » inclut (Q17DO, n=35) : des animaux de petite ferme (20%), un verger ou des champs agricoles (17%), une rivière ou un fleuve (14%), un sentier ou une piste cyclable (11%), des arbres fruitiers, un potager ou un jardin (9%), un carré de sable (3%), divers jeux aquatiques (3%).

Près de trois intervenantes sur dix ne sortent jamais leurs enfants dans des milieux naturels*, qui sont des endroits offrant une très grande diversité naturelle.

Les intervenantes qui y emmènent leurs enfants le font généralement à pied ou en voiture, démontrant ainsi que ces endroits sont relativement accessibles. Elles y restent une heure et demie à deux heures en moyenne et offrent des activités d’interprétation de la nature aux enfants.

* Ces résultats sont à mettre en perspective avec la provenance régionale des répondants au sondage. Puisque peu de répondantes au sondage proviennent des grands centres urbains, nous pourrions supposer qu’elles ont accès à des milieux naturels plus facilement, expliquant le meilleur taux de fréquentation. Voir le « Profil de provenance », page 15.

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333.6 Les sorties thématiques en milieu extérieur

Q15E. Fréquence des sorties (n=706)Quotidienne 1%Hebdomadaire 1%Mensuelle 5%Saisonnière 42%Annuelle 22%Jamais 27%Préfère ne pas répondre 2%

Q16D. Moyen de déplacement (n=498)À pied 5%En voiture 56%En autobus de ville 4%En autobus scolaire ou nolisé 34%

Q17E. Ce que l’on retrouve à cet endroit (plusieurs réponses possibles) (n=498)Gazon 64%Aire de jeu aménagée 51%

Arbres et végétation 79%

Petit boisé 50%

Forêt 33%

Étendue d’eau (étang) 17%

Cours d’eau (ruisseau) 13%

Petite faune 38%Autre 13%Préfère ne pas répondre 6%

Q18E. Temps moyen des sorties dans cet endroit (n=497)Moyenne 3,4 heures

Q19E. La réalisation d’activités d’interprétation de la nature (n=498)Oui 88%Non 12%

Pour les sorties thématiques, la catégorie « Autre » inclut (Q17EO, n=63) : des animaux de petite ferme (29%), des arbres fruitiers, un potager ou un jardin (11%), divers jeux aquatiques (5%), un sentier ou une piste cyclable (5%), un carré de sable (2%), des balançoires (2%).

Les sorties thématiques sont généralement effectuées sur une base annuelle ou saisonnière, en voiture ou en autobus scolaire.

Ces sorties durent généralement longtemps et offrent aux enfants une expérience nature intéressante, avec beaucoup de choses à voir et beaucoup d’activités à réaliser.

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4. Les activités d’interprétation de la

nature

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354.1 Les activités d’interprétation réalisées par les enfants

Chasse aux bibittes

Identification d'oiseaux

Identification d'arbres

Créations artistiques à partir de branches, roches…

Jardinage

Herbiers

Fabrication et soin des mangeoires d'oiseaux

Observation d'animaux, insectes ou poissons*

Cueillette de fleurs, fruits ou légumes*

Soin d'animaux ou de poissons*

Identification de plantes et de fleurs*

Autres

Je préfère ne pas répondre

89%

82%

78%

77%

70%

33%

32%

7%

2%

2%

2%

7%

1%

* Réponses spontanées.

Q20. Quelles ont été les activités d'interprétation de la nature ou de la faune présentées à vos enfants?Base : ceux qui ont pratiqué des activités d’interprétation à au moins un endroit (Q19A à E)

(n=660)

La chasse aux bibittes et les activités d’identification et de création sont les plus pratiquées.

Les activités d’identification d’oiseaux et d’arbres sont davantage pratiquées par les intervenantes âgées de plus de 45 ans (respectivement par 88% et 87% d’entre elles), ainsi que par celles travaillant en milieu familial (respectivement par 84% et 81% d’entre elles).

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Q21. Pour quelles raisons les enfants ne réalisent-ils pas d’activités d’interprétation de la nature ?

Base : celles qui n’ont pratiqué aucune activité d’interprétation de la nature avec ses enfants

Plusieurs réponses possibles Total(n=46)

Je n’ai pas le matériel nécessaire 48%

Je ne possède par les connaissances nécessaires 39%

L’accès aux endroits propices est trop difficile 20%

Les enfants ne sont pas intéressés envers ce genre d’activités 11%

J’ai peur qu’il y ait des accidents 9%

Autres 4%

Je préfère ne pas répondre 20%

Généralement, le manque de matériel et le manque de connaissances nécessaires sont les principales raisons pour lesquelles des activités d’interprétation ne sont pas pratiquées avec les enfants.

Concentrer les efforts sur ces aspects aurait l’avantage d’être également bénéfique pour les intervenantes qui réalisent déjà de telles activités.

4.2 Les freins à la réalisation d’activités d’interprétation

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37

Q22. En tant qu’intervenante, quel est votre niveau d’intérêt à offrir davantage d’activités d’interprétation de la nature à vos enfants ?

(n=706)

Très intéressée Assez intéressée Peu intéressée Pas du tout intéressée Je préfère ne pas répondre

54%

41%

4%0% 1%

Total intéressées : 95% Total pas intéressées : 4%

4.3 L’intérêt des intervenantes à offrir davantage d’activités d’interprétation

Non seulement les intervenantes reconnaissent l’impact positif pour l’enfant d’avoir un contact avec la nature, mais elles seraient également intéressées à offrir davantage de ces activités aux enfants.

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5. Les connaissances des intervenantes et le

programme de formation

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Le niveau de connaissance en interprétation de la nature est un facteur très important dans la réalisation de telles activités avec les enfants.

Ainsi, les intervenantes ayant un niveau élevé de connaissance en interprétation de la nature sortent plus souvent avec leurs enfants dans les parcs urbains (52% n’y vont jamais, contre 66% chez celles ayant un faible niveau de connaissance) ou les milieux naturels (21% n’y vont jamais, contre 40% chez celles ayant un faible niveau de connaissance).

Elles pratiquent également plus d’activités d’interprétation que celles qui ont un niveau faible de connaissance, sauf pour la chasse aux bibittes, qui est pratiquée de manière semblable par toutes les intervenantes.

Q23. Quel est votre niveau de connaissance en interprétation de la nature ?(n=706)

Très élevé Plutôt élevé Plutôt faible Très faible Je ne sais pas Je préfère ne pas répondre

4%

53%

35%

2% 5%1%

Total élevé : 57% Total faible : 37%

5.1 Le niveau de connaissance des intervenantes en interprétation de la nature

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Q24. Seriez-vous intéressée à participer à des activités de formation qui vous permettraient d’offrir des activités d’interprétation de la nature à vos enfants ?

(n=706)

Très intéressée Plutôt intéressée Peu intéressée Pas du tout intéressée Je préfère ne pas répondre

37%

48%

10%3% 3%

Scénario optimiste : 85%

Scénario réaliste : 37%

5.2 L’intérêt envers des activités de formation

Plus de huit intervenantes sur dix seraient intéressées à participer à des activités de formation en interprétation de la nature.

De façon plus réaliste toutefois, ce sont 37% des intervenantes qui sont très intéressées envers de telles formations. Ce sont ces intervenantes qui seraient les plus susceptibles d’agir et de s’inscrire à des activités de formation.

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Base : les intervenantes n’ayant pas répondu « pas du tout intéressée » à la Q24.

Total(n=686)

Type d’établissementMilieu familial

(n=598)Autres(n=88)

Q25. Sur une période d’un an, combien de journées seriez-vous prête à consacrer à des activités de formation en interprétation de la nature (une demi-journée = 0,5) ?Moins d’une journée 8% 8% 5%1 journée 32% 32% 32%2-3 journées 18% 17% 27%4-5 journées 6% 6% 6%Plus de 5 journées 7% 7% 6%Je ne sais pas 26% 27% 22%Je préfère ne pas répondre 3% 3% 3%Moyenne 2,4 2,4 2,1Q26. Jusqu’où seriez-vous prête à vous déplacer pour participer à des activités de formation en interprétation de la nature ?Strictement sur mon lieu de travail 5% 4% 7%Dans les limites de mon quartier 11% 12% 3%Dans les limites de ma municipalité 35% 38% 18%Dans les limites de ma région 40% 38% 51%N’importe où au Québec 4% 3% 10%Je ne sais pas 4% 3% 8%Je préfère ne pas répondre 2% 2% 2%

5.3 La durée de formation et la distance de déplacement

Les intervenantes consacreraient annuellement entre une et deux journées à de la formation.

Notons que les intervenantes en milieu familial seraient beaucoup moins enclines à se déplacer au-delà de leur municipalité que les autres, qui seraient prêtes à se déplacer dans leur région.

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Q27A-27D. Lesquels des éléments suivants seraient nécessaires pour que vous puissiez suivre un programme de formation en interprétation de la nature ?

Base : les intervenantes n’ayant pas répondu « pas du tout intéressée » à la Q24.

Total(n=686)

Type d’établissementMilieu familial

(n=598)Autres(n=88)

Disposer d’une offre diversifiée d’activités de formationNécessaire 57% 56% 65%Pas essentiel, mais ce serait un avantage 36% 37% 28%Pas nécessaire 3% 3% 3%Je ne sais pas 3% 3% 2%Je préfère ne pas répondre 1% 1% 1%

Se faire offrir régulièrement des activités de formationNécessaire 36% 34% 49%Pas essentiel, mais ce serait un avantage 45% 46% 38%Pas nécessaire 14% 15% 9%Je ne sais pas 3% 4% 3%Je préfère ne pas répondre 1% 1% 1%

Que la formation soit reconnue par mon bureau coordonnateur*Nécessaire - 73% -Pas essentiel, mais ce serait un avantage - 21% -Pas nécessaire - 4% -Je ne sais pas - 1% -Je préfère ne pas répondre - 1% -

Recevoir de l’aide financière pour les libérationsNécessaire 51% 48% 74%Pas essentiel, mais ce serait un avantage 34% 36% 19%Pas nécessaire 9% 10% 3%Je ne sais pas 3% 4% 1%Je préfère ne pas répondre 2% 3% 2%

* Cette question a été posée uniquement aux 598 intervenantes en milieu familial.

5.4 Les facteurs de succès d’un programme de formation

Offrir des activités de formation diversifiées et de l’aide financière pour les libérations serait les éléments jugés nécessaires par le plus grand nombre d’intervenantes, et surtout parmi celles qui ne travaillent pas en milieu familial.

Par contre, pour les intervenantes qui œuvrent en milieu familial, la reconnaissance des formations par leur bureau coordonnateur est l’élément reconnu nécessaire par le plus grand nombre de répondantes.

Chez les intervenantes prenant en charge des

enfants ayant des besoins particuliers : 60%

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6. Le soutien aux activités avec les enfants

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Q28A-28D. Lesquels des éléments suivants seraient nécessaires pour que vous puissiez offrir des activités d’interprétation de la nature aux enfants dont vous avez la responsabilité ?

Total(n=706)

Type d’établissementMilieu familial

(n=617)Autres(n=89)

Recevoir de l’aide financière pour les déplacements de groupeNécessaire 46% 45% 53%Pas essentiel, mais ce serait un avantage 37% 38% 31%Pas nécessaire 12% 12% 11%Je ne sais pas 3% 3% 3%Je préfère ne pas répondre 3% 3% 1%

Recevoir de l’aide financière pour du matériel d’interprétation (filets à papillons, guide d’identification des oiseaux, boîtes à insectes, etc. )

Nécessaire 40% 37% 58%Pas essentiel, mais ce serait un avantage 45% 47% 31%Pas nécessaire 12% 13% 9%Je ne sais pas 1% 1% 0%Je préfère ne pas répondre 1% 1% 1%

Que les familles soient impliquées dans la formation et les sorties (par exemple, avec des parents-accompagnateurs)Nécessaire 28% 29% 26%Pas essentiel, mais ce serait un avantage 42% 41% 47%Pas nécessaire 26% 27% 19%Je ne sais pas 3% 2% 6%Je préfère ne pas répondre 2% 2% 2%

Avoir un suivi ou la possibilité d’échanger avec d’autres intervenantes participantes (lors de rencontres annuelles ou sur un forum en ligne)

Nécessaire 15% 14% 19%Pas essentiel, mais ce serait un avantage 45% 44% 53%Pas nécessaire 35% 37% 24%Je ne sais pas 3% 3% 3%Je préfère ne pas répondre 2% 2% 1%

6.1 Les éléments de soutien aux intervenantes

L’aide financière pour les déplacements de groupe est quant à elle jugée nécessaire par 46% des intervenantes, soulignant un manque de ressources.

Soulignons que l’aide financière, sous toutes ses formes, est d’autant plus nécessaire parmi les intervenantes qui ne sont pas en milieu familial et parmi celles qui s’occupent d’enfants ayant des besoins particuliers.

Besoins particuliers : 48%

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456.2 Les moyens pour favoriser la réalisation d’activités d’interprétation

Une trousse pédagogique, disponible en ligne ou livrée, offrant un choix d'activités à réaliser avec

vos enfants.

Une formation de groupe dans votre région avec un naturaliste.

Une activité de formation intégrée dans un plan général de formation offert par une organisation

d'envergure.

Une formation individuelle, avec vos enfants et avec un naturaliste.

Une formation de quelques jours dans un grand parc urbain ou un milieu naturel.

83%

49%

47%

53%

24%

15%

40%

41%

32%

37%

9%

8%

11%

29% 7%

Certainement Probablement Probablement pasCertainement pas Je préfère ne pas répondre

Total Oui

98%

89%

88%

85%

62%

Q29A-29E. Si ces moyens vous étaient offerts pour favoriser la réalisation d’activités d’interprétation de la nature dans votre établissement ou service de garde en milieu familial, les utiliseriez-vous …

(n=706)

Constituant un outil facile d’accès qui contient des activités déjà préparées, la trousse pédagogique est le moyen qui serait le plus certainement utilisé par les intervenantes.

Les activités de formation seraient également largement considérées. Toutefois, une formation durant quelques jours serait à envisager avec plus de prudence, seulement 24% des intervenantes prévoyant certainement utiliser ce moyen.

Besoins particuliers : 61%

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54CONTACTS ET COORDONNÉES

Pour plus d’information au sujet de cette étude, veuillez contacter :

Nom Caroline LévesqueTitre Chargée de recherche

Courriel [email protected]

Téléphone 418-522-7467 poste 17

Cellulaire 418-209-9821

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