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N°165 - Chabbat Paracha Nasso - Hebdomadaire - Contact : 055-6617702 - www.viveleroi770.com - [email protected] Bonnes Nouvelles Jérusalem Har ‘Homa Cours de Tanya femmes dimanche soir 20h45 Rav Avi Assouline 054-6357709 Beit Machia’h Har ‘Homa Cours tous les soirs et Farbrengen le jeudi soir 050-4147725 34, rue Rav Its’hak Nissim Rav Shlomo Yossef Tsion Activités le Chabbat à 18h30 pour les enfants Talpiot-Arnona : cours (fr) de Tanya et Dvar Mal’hout le mercredi soir à 20h00 infos 055-6617702 Katamon : Beit ‘Habad francophone de Katamon Rav Avraham ‘Haviv 054-4866072 Guilo : Beit ‘Habad francophone de Guilo Rav Its’hak ‘Haviv 054-4833764 Pour soutenir la Newsletter de la Guéoula et le site www.viveleroi770.com 055-6617702 Photo de la semaine Pour écrire au Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h par l’intermédiaire des Igueroth Kodech 055-6617702 ou par email [email protected] Editorial Sivan 5772 : L’unité d’Israël dévoile la Guéoula ! En cette période où les instants de la Galout (l’exil) sont comptés, et au lendemain du don de la Torah, de la fête de Chavouot, l’essentiel de notre travail doit porter sur l’amour de son prochain, sur l’unité du Peuple Juif. Lorsque le Peuple était réuni au pied du mont Sinaï, nos Sages disent qu’il était comme un seul homme, d’un seul coeur. Et c’est par ce mérite qu’il a reçu la Torah par le Saint béni soit-Il. Pour annuler la raison de l’exil qui fut la haine de l’autre, nous devons tous nous unir de nouveau, comme un seul homme, d’un seul coeur afin de recevoir la « Nouvelle Torah qui sor- tira de Moi ». Cette Torah ne se dévoilera que lorsque la délivrance aura lieu, et la délivrance n’aura lieu que lorsque nous serons tous unis, car pas un seul Juif ne restera en exil. Or, le Dvar Mal’hout de cette semaine nous affirme que cette Torah est déjà entrain de voir le jour, car la ‘Hassidout s’est dévoilée déjà depuis plus de 300 ans, le Dvar Mal’hout s’est dévoilé depuis déjà plus de vingt ans. Le Machia’h est déjà présent dans le monde et il récolte les Juifs un à un pour les rapprocher de la Torah et des Mitsvot. C’est ce que nous affirme le Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h, dans le Dvar Mal’hout Paracha Nasso. Il demande de nous réunir par des cours de Torah, autour de tables de fêtes pour des réunions ‘hassidiques où seront prononcées des paroles qui réchauffent le coeur, qui unissent entre eux les Juifs qui sont de véritables frères, comme il a dit : « Aime ton prochain comme toi-même, parce qu’il est toi-même véritablement ! ». Après ce don de la Torah, le Dvar Mal’hout nous ouvre une porte que nous ne soupçonnions pas jusqu’à présent : « Etudier la Torah, dans la joie et le plaisir, jusqu’à en révé- ler de nouveaux commentaires!!!». C’est le rôle de chacun de nous aujourd’hui. Etudier, nous habituer à cette situation de Guéoula, enseigner autour de nous ce que nous savons déjà, apprendre la Torah dans le plai- sir, dans une joie intense, celle de constater que nous avons le grand mérite et privilège que le Saint béni soit-Il nous a choisi dans ce but, pour nous faire partager Son grand trésor de sagesse et de bonté. L’étude de la Torah, poursuit le Dvar Mal’hout, nous calme, nous réjouit, calme le monde, en renforce les bases, et nous fait entrer dans une ère de paix car ceux qui étudient la Torah, nous dit la Michna, multiplient la paix dans le monde. C’est pour toutes ces raisons que la Guéoula va se dévoiler de manière immédiate, nous serons tous unis dans la joie, l’amour et la crainte de D.ieu, l’étude de la Torah jusqu’à par- ticiper au dévoilement de la «Nouvelle Torah qui sortira de Moi», tous ensemble, vivre les miracles qu’Hachem fait pour nous, se connecter pour cela aux Igueroth Kodech, nous réunir lors de nom- breux Farbrengen, car c’est ce qu’Hachem aime voir, Ses enfants réunis autour d’une bonne table pour des chants et des danses de Guéoula pour accueillir le Roi Machia’h qui nous sauve déjà et nous l’acclamons par les cris de joie : « Vive le Roi Machia’h Now, Mamach ! ».

Newsletter n°165 - Paracha Nasso

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N°165 - Chabbat Paracha Nasso - Hebdomadaire - Contact : 055-6617702 - www.viveleroi770.com - v iveleroi770@gmai l .com

Bonnes Nouvelles

Jérusalem Har ‘Homa Cours de Tanya femmesdimanche soir 20h45Rav Avi Assouline054-6357709

Beit Machia’h Har ‘HomaCours tous les soirs etFarbrengen le jeudi soir050-4147725 34, rue Rav Its’hakNissim Rav Shlomo Yossef TsionActivités le Chabbat à18h30 pour les enfants

Talpiot-Arnona : cours (fr)de Tanya et Dvar Mal’hout lemercredi soir à 20h00infos 055-6617702

Katamon : Beit ‘Habad francophone de Katamon Rav Avraham ‘Haviv054-4866072

Guilo : Beit ‘Habad francophone de Guilo Rav Its’hak ‘Haviv 054-4833764

Pour soutenir la Newsletterde la Guéoula et le sitewww.viveleroi770.com 055-6617702

Photo de la semaine

Pour écrire au Rabbi deLoubavitch Roi Machia’h

par l’intermédiaire des

Igueroth Kodech055-6617702

ou par [email protected]

Editorial

Sivan 5772 : L’unité d’Israël dévoile la Guéoula !En cette période où les instants de la Galout (l’exil) sont comptés, et au lendemain du don de la Torah,de la fête de Chavouot, l’essentiel de notre travail doit porter sur l’amour de son prochain, surl’unitédu Peuple Juif. Lorsque le Peuple était réuni au pied du mont Sinaï, nos Sages disent qu’il était commeun seul homme, d’un seul cœur. Et c’est par ce mérite qu’il a reçu la Torah par le Saint béni soit-Il.

Pour annuler la raison de l’exil quifut la haine de l’autre, nous devonstous nous unir de nouveau, comme unseul homme, d’un seul cœur afin derecevoir la «Nouvelle Torah qui sor-tira de Moi ». Cette Torah ne sedévoilera que lorsque la délivranceaura lieu, et la délivrance n’aura lieuque lorsque nous serons tous unis, carpas un seul Juif ne restera en exil. Or,le Dvar Mal’hout de cette semainenous affirme que cette Torah est déjàentrain de voir le jour, car la‘Hassidout s’est dévoilée déjà depuisplus de 300 ans, le Dvar Mal’houts’est dévoilé depuis déjà plus de vingtans. Le Machia’h est déjà présentdans le monde et il récolte les Juifs unà un pour les rapprocher de la Torahet des Mitsvot. C’est ce que nousaffirme le Rabbi de Loubavitch RoiMachia’h, dans le Dvar Mal’houtParacha Nasso. Il demande de nousréunir par des cours de Torah, autourde tables de fêtes pour des réunions

‘hassidiques où seront prononcéesdes paroles qui réchauffent le cœur,qui unissent entre eux les Juifs quisont de véritables frères, comme il adit : « Aime ton prochain commetoi-même, parce qu’il est toi-mêmevéritablement ! ».Après ce don de la Torah, le DvarMal’hout nous ouvre une porte quenous ne soupçonnions pas jusqu’àprésent: « Etudier la Torah, dansla joie et le plaisir, jusqu’à en révé-ler de nouveaux commentaires!!!».C’est le rôle de chacun de nousaujourd’hui. Etudier, nous habituer àcette situation de Guéoula, enseignerautour de nous ce que nous savonsdéjà, apprendre la Torah dans le plai-sir, dans une joie intense, celle deconstater que nous avons le grandmérite et privilège que le Saint bénisoit-Il nous a choisi dans ce but, pournous faire partager Son grand trésorde sagesse et de bonté. L’étude de laTorah, poursuit le Dvar Mal’hout,

nous calme, nous réjouit, calme lemonde, en renforce les bases, et nousfait entrer dans une ère de paix carceux qui étudient la Torah, nous dit laMichna, multiplient la paix dans lemonde.C’est pour toutes ces raisons que laGuéoula va se dévoiler de manièreimmédiate, nous serons tous unisdans la joie, l’amour et la crainte deD.ieu, l’étude de la Torah jusqu’à par-ticiper au dévoilement de la«Nouvelle Torah qui sortira de Moi»,tous ensemble, vivre les miraclesqu’Hachem fait pour nous, seconnecter pour cela aux IguerothKodech, nous réunir lors de nom-breux Farbrengen, car c’est cequ’Hachem aime voir, Ses enfantsréunis autour d’une bonne table pourdes chants et des danses de Guéoulapour accueillir le Roi Machia’h quinous sauve déjà et nous l’acclamonspar les cris de joie: « Vive le RoiMachia’h Now, Mamach ! ».

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Concrètement, on peut diviser lerenouvellement de la Torah en quatreniveaux :1. D’une façon générale, le Don de laTorah est réitéré chaque année lejour de Chavouot. Tous les évène-ments liés à cette révélation se révè-lent alors et se produisent de nouveaucomme la première fois.2. Le renouvellement du don de laTorah chaque jour, dont la force pro-vient du renouvellement annuel qui alieu à Chavouot. On trouve un équi-valent à cela dans le renouvellementquotidien de l’existence du mondechaque jour (comme il est dit « Ilrenouvelle chaque jour constammentl’œuvre de création ») dont la forceprovient du renouvellement annuel decette existence à Roch Hachana.3. Un renouvellement particuliersupplémentaire est réalisé lors duChabbat qui suit le Don de laTorah, Parachat Nasso et qui s’ex-prime aussi bien dans la Paracha de lasemaine que dans les Pirkei Avot(Maximes des pères) que l’on recom-mence à lire ce Chabbat.4. Les trois catégories qui précèdentévoquent le renouvellement du Donde la Torah de façon annuelle ou quo-tidienne, tel qu’il eut lieu la premièrefois au Mont Sinaï, c’est-à-dire que lamême Torah est donnée de nouveau.Mis à part le renouvellement, il existecependant aussi le sujet de la nou-veauté dans la révélation divine : denouveaux sujets qui se révèlent et quin’avaient pas été donnés lors du Donde la Torah. Il s’agit des nouveauxenseignements – ‘Hidouchei Torah –tels qu’ils s’en révèlent à toutes lesépoques et qui portent en eux la véritéde la Torah.

Nouveauté En réalité, la Torah a été donnée auMont Sinaï dans son intégralité, cequi inclut les nouveaux enseigne-ments qui étaient amenés à surgir aufil des époques et également la Torahdu Machia’h, au sujet de laquelle ilest dit « une Torah nouvelle sortira

de Moi (2) ». Ces enseignementsn’ont été cependant donnés que sousforme potentielle recelée dans lesrègles d’interprétation de la Torah etse sont par la suite révélés à traversl’étude des Sages.Il existe néanmoins une différenceprofonde entre les enseignements quisont dévoilés à chaque époque à tra-vers l’étude des Juifs et la « Torahnouvelle » qui ne sera révélée quedans les temps futurs Monde Futur dufait de son extrême élévation. Ceci estexprimé dans les mots « (une Torahnouvelle) sortira de Moi ». En effet,si d’habitude les nouveaux enseigne-ments « sortent » de leur degré poten-tiel pour être connus de tous à traversl’étude de tel ou tel Sage, la « Torahnouvelle » sera telle qu’elle ne pourra« sortir » que de D.ieu Lui-même.C’est pourquoi nos Sages déclarent,pour exprimer ce niveau de la Torah :«La Torah que l’homme apprend dansce monde est du vent par rapport à laTorah de Machia’h» !Comme nous l’avons dit plus haut,l’existence du monde se renouvelleégalement chaque jour. Or, commec’est de la Torah que provient cetteexistence (les Sages enseignent que laTorah constitue le «plan d’architecte»de Dieu pour la création du monde),on comprend que c’est le renouvelle-ment de la Torah qui entraîne celui dumonde. Ainsi, c’est la révélationd’une « Torah nouvelle qui sortira deMoi » à l’époque messianique, quisera à l’origine de l’accomplissementde la prophétie : «les cieux nouveauxet la terre nouvelle que Je ferai (3)».Une illustration du principe selonlequel le renouvellement dans laTorah entraîne le renouvellement dansle monde est fournie par la Michnades Pirkei Avot : «Celui qui rapporteune parole en citant son auteur amènela délivrance au monde.» En effet, ledévoilement d’un nouvel enseigne-ment qui était préalablement voiléconstitue une délivrance dans la Torahde laquelle découle ensuite la déli-vrance pour le monde.

Cependant, tous les nouveaux ensei-gnements qui se révèlent en tempsd’exil n’amènent qu’une délivrancepartielle dans la Torah, dans lamesure où il reste toujours des sujetsvoilés. Dès lors, la délivrance quis’opère dans le monde ne peut êtreque partielle également : une déli-vrance à l’intérieur de l’exil.C’est seulement dans les temps mes-sianiques, quand le dévoilement seral’œuvre de D.ieu Lui-même, que toutsera dévoilé dans la Torah et doncque la délivrance du monde sera com-plète.

Nouveaux cieux et nouvelle terreActuellement, la vitalité divine quianime le monde n’est pas dévoilée.Le monde cache et dissimule cettevitalité («le monde», Olam en hébreu,qui vient du mot Elem, « le voile »).Dans les temps futurs, cependant, leciel et la terre seront appelés « nou-veaux », car la force divine qui les faitvivre sera visible en eux. Plus encore,cette vitalité ne sera pas distincted’eux, ils deviendront une demeureparfaite pour D.ieu qui y résidera defaçon dévoilée, à l’exemple d’unhomme qui se montre dans sa maisontel qu’il est lui-même. Et c’est « dudébordement de la lumière divine surIsraël que les ténèbres des Nationsseront éclairées… et ainsi la Gloire del’Éternel sera révélée et toute chair laverra (4) » (5). [6]Comme nous l’avons dit, la nou-veauté qui apparaîtra dans les cieux etdans la terre sera parallèle à celle quise fera dans la Torah : lors du don dela Torah, la partie principale de laTorah qui est la « Torah nouvelle »,n’avait pas été révélée, c’est pourquoil’Essence Divine ne pouvait se révé-ler dans le monde. Et bien que ledécret séparant les mondes supérieursdes mondes inférieurs ait été annulé,permettant ainsi à la Divinité de péné-trer le monde, celui-ci demeura néan-moins dans son niveau de «mondeinférieur». Dans les temps futurs,cependant, quand l’essentiel de la

Torah sera révélé, l’Essence Divine serévélera automatiquement dans lemonde.

Dans la Paracha Le sujet de la nouveauté dans la Torahest particulièrement mis en évidencele Chabbat qui vient après le Don dela Torah. La Paracha de cettesemaine, Nasso, donne à ce sujet plu-sieurs enseignements : La Paracha,commence en effet par l’ordred’«Élever les têtes» (dont le sens estde «dénombrer les têtes») : cette ter-minologie enseigne qu’il faut «éle-ver» et renouveler nos têtes, c’est-à-dire que l’étude de la Torah se fasseavec plaisir (car le plaisir transcendel’intellect) ce qui élève le niveau del’étude jusqu’à en faire jaillir desenseignements nouveaux, jusqu’àamener à la révélation de la «Torahnouvelle», les secrets de la Torah,l’essence même du plaisirdans laTorah.La Paracha traite aussi des lois duNazir (une personne qui se sanctifieen s’abstenant de boire du vin ou deconsommer tout produit à base de rai-sin, et de se couper les cheveux) danslesquelles apparaît le sujet de lavenue du Machia’h dans un contextede Halakha : «Celui qui déclare qu’ilsera Nazir le jour où le fils de Davidviendra devient immédiatement Nazir(7)». En effet, au niveau de la loi, cha-que jour est potentiellement « le jouroù le fils de David viendra ». Oncomprend de cette loi que la révéla-tion de la « nouvelle Torah » n’est pasdu domaine du lointain futur, maispeut se faire à tout instant.Au début de la Paracha, on parle durecensement de la tribu de Lévi quiavait la charge de porter les élémentsdu Sanctuaire dans le désert. À la finde la Paracha, on raconte l’inaugura-tion du Tabernacle et de l’Autel. Ilressort de cela que même le désert, un«endroit où l’homme ne réside pas»,peut être pénétré par la résidence de laPrésence Divine, comme ce sera lecas à l’époque messianique quand lemonde entier se sanctifiera.Dans la Paracha, il est également faitallusion à une approche du servicede D.ieu de nature à amener à la révé-lation de la « Torah nouvelle qui sor-tira de Moi » : Il est connu que cha-que Juif a en lui une étincelle del’âme du Machia’h, c’est le niveau de

w w w . v i v e l e r o i 7 7 0 . c o mL’Edit Royal - Dvar Mal’hout

Résumé du discours du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h ChlitaChabbat Parachat Nasso - 12 Sivan 5751-1991

Le Carnet : Refoua Chéléma, Bonne santépour Ben Chalom Reuven Ben Daniéla Adina ainsi que pour RaphaëlOuriel Ben Drora, Mina Guila Bat ‘Hanna, Adiel Ben Bra’ha et Bryan Aharon Ben Léa. Leilouï Nichmat de NorbertAvraham Ben Pnina Beckouche, Yossef Ben Solika, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Julia et Rachel Pessa'h,‘Haya Sim’ha Bat Avraham Haddad, Haya Clara Bat Chmouel, Chimon Ben Avraham et Yonathan Raphaël Sandler,Arié Alexandre et Gabriel Issa’harSandleret Myriam ‘Hanna Monsonégoqu’ils reviennent tous immédiatementavec le Machia’h

Faire de la Torah une nouveauté et recevoir la « Nouvelle Torah »

Nos Sages affirment que, chaque jour, l’homme doit considérer les paroles de la Torah «comme nouvelles,comme si elles avaient été données ce jourmême (1) ». Puisque tout sujet de la Torah est vrai, il est évident quesi on demande à chaque Juif de considérer la Torah de cette façon, c’est parce que telle est la stricte vérité. Ceciapparaît notamment dans le texte de la bénédiction quotidienne de la Torah : le verbe donnery est au présent,«Béni sois-Tu… qui donne la Torah», car la Torah est donnée de nouveau chaque jour.

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w w w . v i v e l e r o i 7 7 0 . c o mYé’hida, cinquième et plus hautniveau de l’âme. Ainsi, en révélant laYé’hida de chacun, on effectue larévélation de la Yé’hida collective,c’est-à-dire le dévoilement et lavenue du Machia’h.Cela apparaît au début de la Paracha,dans le dénombrement des Enfantsd’Israël qui exprime le lien essentielqui les unit au Saint béni soit-Il auniveau de la Yé’hida, car «Il lescompte à chaque instant du fait deSon amour pour eux (8)». La Parachane parle que du dénombrement de latribu de Lévi, mais le Rambam a écritque tout Juif peut se sanctifier etatteindre le niveau de la tribu de Lévi,celui de serviteur de D.ieu.On trouve cette notion également à lafin de la Paracha, dans l’union desChefs de tribus pour apporter leurssacrifices, car l’union des Enfantsd’Israël provient de la Yé’hida qui estidentique chez tous les Juifs. Ainsi, audébut de la Paracha suivante,Béaaloté’ha, on parle de l’allumagede la Ménora (le candélabre) qui futtaillée dans un unique bloc d’or. Cedétail fait allusion aux sept catégoriesdes enfants d’Israël, représentées parles sept branches de la Ménora, quisont intrinsèquement unies de façonparfaite et forment un bloc unique.Et, simultanément, la qualité spécifi-que de la tribu de Lévi est ici mise enrelief : Rachi explique en effet que lasection sur l’offrande des Chefs detribus est contiguë avec celle sur laMénorah pour consoler Aharon, leCohen Gadol, qui était triste de ce quesa tribu n’avait pas participé à l’of-frande des princes. D.ieu lui déclaraalors : « Ta part sera plus grande quela leur ! », s’agissant de l’allumage dela Ménorah. Néanmoins, la juxtaposi-tion de cet épisode à l’offrande desChefs de tribus indique qu’il y a unlien entre ces deux sujets : celaenseigne que cette qualité supérieurede la tribu de Lévi pénètre l’ensem-ble du peuple juif, comme l’a expli-qué le Rambam cité plus haut.

Dans les Pirkei AvotCe Chabbat, nous recommençonsl’étude du premier chapitre des PirkeiAvot :1. « Moché a reçu la Torah du Sinaï etl’a transmise à Yéhochoua ... » : lesujet de la transmission de la Torah degénération en génération qui devientla Torah de chaque individu lorsquecelui-ci y révèle de nouveaux ensei-gnements.2. Avant d’évoquer le Don de la Torahau Sinaï, nous disons « Tout Israël aune part dans le Monde Futur », dési-gnant le monde de la résurrection, cequi souligne que l’objet principal duDon de la Torah sera réalisé dans leMonde Futur, lorsque « Une Torahnouvelle sortira de Moi. »3. L’étude s’achève par le passagedisant « Le Saint, bénit soit-Il, a sou-haité rendre le peuple d’Israël méri-

tant...comme il est dit ‘D.ieu a désiré,pour la vertu [d’Israël], rendre laTorah grande et glorieuse’» Ceci évo-que l’étude de la Torah pour elle-même, et non pour savoir commentagir, qui se fera essentiellement dansla « Torah nouvelle » des temps mes-sianiques (car alors lesCommandements de la Torah serontdévoilés et il ne sera plus nécessaired’étudier pour savoir comment lesaccomplir parfaitement).4 - L’union d’Israël qui est expriméedans la phrase « Tout Israël a droit auMonde Futur » relève du niveau de laYé’hida.

Le renouvellement du ChabbatPar ailleurs, le concept de renouvelle-ment dans la Torah (« une Torah nou-velle sortira de Moi ») et dans lemonde (« Les nouveaux cieux et lanouvelle terre ») est lié avec le jour duChabbat, car, en ce jour, on inter-rompt les activités liées au mondepour se consacrer exclusivement auxsujets saints et à l’étude de la Torah.La raison en est que le Chabbat estparticulièrement lié avec laDélivrance messianique, commel’exprime le Psaume particulier duChabbat : «Cantique du Chabbat (9)»,«Cantique pour les temps futurs, aujour qui sera entièrement Chabbat etrepos pour la vie éternelle (10).»Enfin, le Chabbat est lié à l’uniond’Israël, car, selon la Halakha, c’est lemoment où il convient de réunir desassemblées pour enseigner la Torahen public (11).À tout ce qui précède s’ajoute unequalité particulière spécifique à notreépoque : le Rabbi précédent, RabbiYossef Itshak, a annoncé que notregénération serait celle de laDélivrance. Cette année-ci en particu-lier, 5751, qui, dans son écriturehébraïque forme le mot « s’élèvera »

qui évoque le verset promettant que«Sa royauté s’élèvera (12)» et consti-tue également l’acronyme de «Cesera une année dans laquelle Je vousmontrerai des merveilles» parmi les-quelles celles qui se sont déjàaccomplies lors de la guerre du Golfequi étaient annoncées dans leMidrache Yalkout Chimoni déclarent:«L’année dans laquelle Machia’hse dévoilera toutes les nations sedisputeront entre elles, le roi dePerse… un roi arabe… et Il leurdira (D.ieu à Israël) Mes enfants,n’ayez crainte : tout ce que J’ai fait,Je ne l’ai fait que pour vous… Letemps de votre Délivrance estarrivé (13)» et, depuis lors (en parti-culier depuis le mois de Nissan, lemois de la délivrance), nous sommesau stade où, selon la suite de ceMidrache, «Au moment où leMachia’h viendra… il fera enten-dre aux Enfants d’Israël :Humbles ! Le temps de votreDélivrance est arrivé.»Ceci est d’autant plus accentué quenous sommes au moment de la célé-bration du Don de la Torah qui est unmoment propice pour le rapproche-ment de la Délivrance. En effet, leTalmud déclare sur la fête deChavouot que le plaisir de cette fêteest pour D.ieu et « également pourvous » (14), la valeur numérique decette expression est celle du mot «Ketz, la fin », qui désigne l’échéancemessianique (15). Et tout cela ressortencore plus dans le « Farbrengen »(fête ‘hassidique) supplémentaireexceptionnel de ce Chabbat, danslequel ont été chantées les neuf mélo-dies de nos Rabbis. Puissent-ils mar-quer la conclusion de l’exil et quevienne la dixième mélodie, celle deMachia’h. Ce jour est donc favorablepour le dévoilement de la «Torahnouvelle qui sortira de Moi».

L’action concrèteConcrètement, la préparation pour ledévoilement de cette Torah nouvelleest l’ajout dans l’étude de la Torahavec vitalité et plaisir, le développe-ment d’enseignements nouveauxdans la Torah – ‘Hidouchei Torah –selon la capacité de chacun, le renou-vellement et l’ajout dans l’étude et ladiffusion de la ‘Hassidout, la partieprofonde de la Torah et l’étude appro-fondie d’une Michna du chapitre dePirkei Avot de chaque Chabbat d’étéavec les explications et les commen-taires des Sages.

Puisse D.ieu vouloir que, de ces bon-nes résolutions, nous méritionsimmédiatement la révélation de la«Torah nouvelle qui sortira de Moi»,dans la Délivrance messianique, etalors Moïse, Aharon et tous nosRabbis jusqu’au Rabbi précédent,accompagnés de tous les Tsaddikimde toutes les générations précédentesseront là, avec tous les Enfantsd’Israël de notre génération, des âmesqui résident dans des corps sansaucune interruption entre temps. Ettous ensemble entendront la «Torahnouvelle», en terre sainte, à Jérusalemla ville sainte, sur la montagne sainte,dans le Temple et dans le Saint desSaints, « Sur le propitiatoire qui estsur l’Arche du Témoignage, entre lesdeux Chérubins (16)».Et le principal est que ceci soit immé-diat, ce qui se dit « Myiad », mot quiest l’acronyme de Moché, Israël (leBaal Chem Tov, dont le dévoilementde l’enseignement amène la venuede) David, qui symbolise le Machia’hdont il est l’ancêtre. Et que ce soitconcret, ce qui se dit « Mamach »,c’est-à-dire tangible, ici-bas, MamachMamach .

Notes1/ Cf. Rachi sur Yitro 19, 12/ Midrache Vayikra Rabba 13, 33/ Isaïe, 66, 224/ Isaïe 40, 55/ Tanya fin du ch. 366/ note n° 50 : En effet, l’existence mêmed’Israël se confond, si l’on peut dire, avec cellede l’Essence Divine, alors que le reste de laCréation est l’effet de la force créatrice del’Essence Divine. C’est la raison pour laquelleAvraham fit jurer son serviteur Éliézer en lui fai-sant mettre la main précisément sur l’endroit desa circoncision, bien que ce geste a priori heurtela pudeur, plutôt que sur un objet de culte, carl’essentiel du dévoilement divin qui s’opère dansla matière lorsque celle-ci est sanctifiée se faitdans Israël même (c’est pourquoi Avraham n’apas fait jurer Éliézer sur sa propre circoncision,car celui-ci n’était pas juif).7/ Rambam, Lois relatives aux Nazirat, ch. 4 §11. Talmud Erouvine 43b8/ Rachi, début de la Paracha Bamidbar9/ Téhilim 9210/ Talmud, fin du traité Tamid11/ Choul’hane Aroukh Harav Ora’h Haïm ch.290.312/ Balak 24, 713/ Yalkout Chimoni sur Isaïe, §49914/ Talmud Pessa’him 68b15/ Commentaire « Maamar Mordékhaï » sur letraité Pessa’him du Rabbi Mordékhaï deNadvorna

16/ fin de notre Paracha

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Allumage des Bougies Chabbat Parachat Nasso

Jérusalem Entrée : 19h04Sortie : 20h22

Allumage des Bougies Chabbat Parachat Nasso

Jérusalem Entrée : 19h04Sortie : 20h22

w w w . v i v e l e r o i 7 7 0 . c o mHistoire

Les dollars qui ont sauvé Manchesterdu « Rouquin »…

Le Rav Chalom DovberLibérov, émissaire du Rabbi Roi Machia’h Chlita, à Manchesteren Angleterre, fut stupéfait en rentrant chez lui, de découvrirson intérieur sens dessus-dessous. Il réalisa immédiatement, qu’il venait d’être la victime d’un cambriolage.

Comme tous les habitants deManchester, il avait entendu par-ler de ce cambrioleur en série,sévissant dans les différentsquartiers de la ville. Surnommé« Le Rouquin », il n’avaitjamais été vu à l’œuvre, maisune fois, quelqu’un l’avaitaperçu s’enfuyant d’une desmaisons qu’il venait de visiter ;le seul signalement que letémoin fut en mesure de fournir,était la couleur flamboyante desa chevelure. Nombreuses étaient les victimesdu malfaiteur, qui dérobaitessentiellement bijoux, objetsd’art et argent liquide. La policele recherchait activement et, luiavait même tendu plus d’unefois des guet-apens, mais cesefforts étaient restés vains.Le Rav Libérov ne fut pasétonné d’apprendre des policiersque de nombreux indices sem-blaient désigner «Le Rouquin»comme l’auteur du cambriolage,dont il venait d’être victime.Après quelques instants passésau milieu des dégâts, le RavLibérov s’aperçut que les dollarsqu’il avait reçus du Rabbiavaient disparus. La cachette, oùles cinquante billets de un dollarétaient entreposés, n’avait paséchappée aux investigations duspécialiste. Véritablement cho-qué, il n’arrivait pas à encaisserle choc, il avait dit : «Les dol-lars que j’avais reçus de la saintemain du Rabbi se trouvaient ence moment entre des mains scé-lérates !».Le voleur avait emporté tous lesobjets de valeur de la maison,bijoux, chandeliers, argenterie,etc., mais ce sont surtout les dol-lars du Rabbi dont le RavLibérov regrettait la disparition.«J’ai demandé par la pensée auRabbi que le cambrioleur soitarrêté, afin de récupérer les dol-lars, le reste étant à mes yeuxd’une importance secondaire.»Subitement, il eut l’idée de télé-phoner à toutes les agences ban-caires de la ville, demandant àêtre averti d’urgence si on venaitleur déposer des billets de un dol-lar, sur lesquels étaient écrit à lamain des caractères hébraïques.

Le lendemain matin, le RavLibérov était au volant de sa voi-ture, sur l’avenue principale deManchester, lorsque son télé-phone portable se mit à sonner.Un employé d’une des banquesde la ville l’informait qu’à l’ins-tant même, un homme venaitd’entrer dans l’agence et avaitdemandé à échanger des billetsde un dollar griffonnés d’unelangue étrangère. L’émissaire du Rabbi s’em-pressa d’arriver à la banque enquestion, demandant à un poli-cier en faction de l’accompa-gner. Tous deux pénétrèrentdans l’agence se dirigeant versl’employé qui l’avait avertit. Cedernier leur déclara : «Quandj’ai identifié les dollars, je vousai appelé immédiatement, maisl’homme qui me les a remis s’enest rendu compte et s’est enfuien me laissant les billets.»En quelques minutes, de nom-breux policiers furent sur place.Après avoir mené une rapideenquête, ils tenaient enfin unepiste. Le voleur avait laissé sesempreintes sur les billets, maissurtout, il avait été filmé par lescaméras de surveillance del’agence…Deux jours après, le RavLibérov reçut un message de laPolice : «Le Rouquin a étéarrêté!». On avait retrouvé chezlui un conséquent butin, récoltélors des dizaines de cambriola-ges dont il était coupable. «Toutle mérite en revient aux dollarsdu Rabbi Schneerson», luidéclara le commissaire chargé

de l’enquête. «Félicitations,c’est uniquement grâce à vousque nous avons pu arrêtercevoleur qui faisait régner la ter-reur sur Manchester».Dans les heures qui suivirent, leschefs de la Police locale tinrent àrencontrer le Rav Libérov. Ilsreconnurent qu’ils avaientrenoncé à mettre la main surl’auteur de ce véritable fléau etque, sans les dollars du Rabbi,jamais ils n’auraient pu le neu-traliser. Par la même occasion,ils demandèrent à voir une photodu Rabbi et écoutèrent avec inté-rêt le Rav Libérov, leur exposerla grandeur du Rabbi RoiMachia’h Chlita.

Le « scoop » fut largement dif-fusée par la presse locale et surdivers sites Internet, tous s’ac-cordèrent alors à reconnaîtreque, tout le mérite de l’arresta-tion du « Rouquin » revenaitaux dollars du Rabbi.Tout la ville de Manchester neparlait plus que de cette incroya-ble histoire; religieux, non reli-gieux, ‘hassidim, opposants à la‘Hassidout et non-Juifs réunisreconnaissaient le miraclequ’avait réalisé le Rabbi.Le mot de la fin de cette aven-ture fut prononcé par le RavLibérov : « La sanctification dunom de D.ieu, à porter à l’actifdu mouvement ‘Habad et bienentendu au Rabbi, suite audénouement miraculeux, est dif-ficilement descriptible».

(Tiré du livre «Les Merveilles duMachia’h» de Rav Yossi Haddad)

Un dollar au Beit ‘Hannah de Jérusalem

Il existe de nombreux récits au sujet du «Dollardebénédiction» reçu de la Sainte main du Rabbi RoiMachia’h Chlita au moment de la distribution dudollar le dimanche ou à d’autres moments. A cesujet, Madame Barou’hman nous raconte une his-toire actuelle extraordinaire qui est arrivée àJérusalem, un véritable «scoop »…

Il y a près d’un an, pendant la période d’hiver, mafille, Barel, qui étudie dans un collège, le Beit‘Hannah de Jérusalem a rencontré une série demésententes avec l’une de ses enseignantes. Pour mapart j’essayais de parler avec ma fille afin de l’encou-rager à la réconciliation, bien qu’il me semblait quedans certains cas ma fille n’avait pas tout à fait tort.Tout commença un lundi matin, le 21 Chevat. Ma filles’apprêtait à partir à l’école, remontée à bloc contre cetteMora (enseignante). Je m’efforçais de la retenir et d’éveil-ler ses sentiments, afin d’éviter le drame, mais sans suc-cès… Alors qu’elle partait en retard, je me suis assise sansforces face à la Sainte photo du Rabbi Roi Machia’hChlita, puis je me suis mise à lui parler et à lui demanderd’intervenir en faveur de ma fille. Nous sommes desémissaires du Rabbi Roi Machia’h Chlita, mon mari RavYaacov est l’un des Chalia’h (émissaire) du «MerkazMachia’h VeGuéoula» dans la célèbre rue piétonne BenYehuda à Jérusalem. C’est pour cela que j’ai exigé de lapart du Rabbi Roi Machia’h Chlita qui est responsable del’éducation de notre fille.Lorsque Barel rentra de l’école à la fin de la journéed’études, je lui ai demandé: «comment s’est passée tajournée?». «Grâce à D.ieu, très bien». Me répondit-ellemystérieusement avant de rentrer dans sa chambre danslaquelle elle resta un long moment en silence.Le soir, avant de dormir, elle m’appela de sa chambre etme dit : « Maman, je me suis demandée toute la journéesi je devais t’en parler, mais en fin de compte, je me sensobligée de tout te raconter… Voilà, ce matin, quand je suisarrivée à l’école en retard, les couloirs étaient vides cartoutes les élèves étaient déjà entrées en classe. Alors queje me dirigeais vers ma classe, j’entendis soudainquelqu’un qui m’appela par mon prénom derrière moi. Jeme suis retournée, et je me suis presque évanouie! Face àmoi, se tenait le Rabbi Roi Machia’h Chlita, de la manièrela plus réelle qu’il était possible d’imaginer. Puis avec unregard très sérieux, il me dit en hébreu: «Toi aussi tudois corriger ton attitude, il est possible que la Moran’ait pas toujours raison, néanmoins, le rôle de laMora est de t’éduquerpar contre ton rôle n’est pascelui d’éduquer la Mora». Je ne réalisais toujours paslorsqu’il rajouta : «Prends, cela t’aidera». Il me tenditalors un billet d’un dollar. « Je reviendrais dans unesemaine pour examiner la situation». Je restais hébétée,alors que le billet d’un dollar était encore dans ma main.Je me suis même pincée pour réaliser que je ne rêvais pas.Je ne pouvais pas parler. Je plaçais le dollar dans mon car-table et je couru me rincer le visage pour me remettre demes émotions, puis, j’entrais en classe. Mais je n’arrivetoujours pas à me calmer depuis ce moment». «Alors, oùest le dollar?», lui demandais-je, ne pouvant me résoudreà en croire mes oreilles. Barel se mit à trembler et à pleu-rer d’émotion alors qu’elle sortait le dollar de son cartableet elle me le montra…La situation avec sa Mora s’améliora sensiblement grâce àD.ieu. Mais le plus incroyable fut que ma fille possèdeaujourd’hui un dollar de bénédiction, elle le reçut de laSainte main du Rabbi Roi Machia’h Chlita, le 21 Chevat !(Traduit du livre « Lifkoa’h Eth Haenaïm»)