Nexus 43 - Ovnis - Leur Présence Enfin Décryptée

8/7/2019 Nexus 43 - Ovnis - Leur Prsence Enfin Dcrypte

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E X O P O L I T I Q U E

Dans le cadre du SETI (Search for Extra Terrestrial Intelli-gence), le radiotlescope dArecibo Porto Rico envoya, endcembre 1974, un message radiolectrique en binaire desti-nation dune galaxie voisine, en vue de communiquer avec unepossible intelligence extraterrestre. Cette bouteille dans lespacefut envoye par la plus grande antenne parabolique du mondeen direction de lamas dtoiles M13 situe 22 800 annes-lumire dans la constellation dHercule. Le message dArecibo,crit sous la direction de Frank Drake, professeur dastronomiede la Cornell University, codifia les numros atomiques desprincipaux lments constitutifs de la vie sur Terre (H = 1, C =6, N = 7, O = 8, P = 15). Il dcrivait galement les sucres et lesbases qui entrent dans la composition de lADN, le nombre denuclotides, un schma stylis de la double hlice de lADN,prsentait une silhouette humaine, en prcisant sa taille, indi-

quait le nombre dhabitants terrestres en 1974, la compositiondu systme solaire, en distinguant la Terre comme lorigine dumessage, et les caractristiques de lantenne radar mettrice.Vingt-sept ans plus tard, le 20 aot 2001, proximit delantenne parabolique gante de Chilbolton (Angleterre) ap-paraissent gravs dans les champs deux agroglyphes gants rec-tangulaires. Lun reprsente un visage humanode non terrestre(daprs des tudes morphologiques) et le second une rponseau message radiolectrique envoy dArecibo en 1974. Que d-voile le dcryptage de cet agroglyphe ? La rponse est codifie,crypte rigoureusement de la mme manire que le messagemis en 1974. LADN dcrit est plus court que le ntre, lesilicium ayant pris la place du phosphore, ce qui provoque uncrpissage de lhlice dADN prcisment reprsente dans leschamps de Chilbolton. la place dun homme stylis mesu-

rant un mtre soixante seize, ressort une silhouette classique d Gris [une espce dextraterrestre dsign ainsi daprs la dcription fournie par de nombreux tmoins travers le monde]un tre de petite taille, un mtre environ, macrocphale, donton identifie clairement les bras, les jambes et les yeux. Cet test originaire dun autre systme plantaire. Sa plante totalis17 milliards dhabitants, et se place en cinquime positiondepuis un petit soleil, gal au 4/9e du ntre, accompagn deneuf plantes. Dans ce systme, les plantes 3 et 4 sont dsgnes comme tant habites. Le message reprsente galemele schma dune antenne parabolique avec le symbole de lplante mettrice associe un chiffre signifiant la puissanclectromagntique utilise pour rpondre.

Silence radio des autorits

Lobservatoire de Chilbolton appartient au gouvernementbritannique. Il a t construit en 1965 dans le but dtudierles missions dondes radios en provenance de lespace et dsatellites. Son accs est interdit au public. La premire ractiodes chercheurs britanniques comme Paul Vigay a t naturellement de comparer la formation de code binaire de 2001 latransmission radiotlescopique de 1974 Porto Rico. Malgrdes photos, le dcryptage du code binaire et toutes les correspondances releves avec le message dArecibo par des chercheindpendants, aucune explication officielle na t donne. Leastronomes de Chilbolton ont dclar quils ne staient paaperus de lapparition des glyphes, ceux-ci ntant pas compltement visibles, mme du point le plus lev de lantenne (sic Un an plus tard, toujours dans un champ de Chilbolton, une

Les survols dinstallations militaires par des ovnis ou les apparitions de crop circles soles plus spectaculaires dune intelligence extraterrestre qui tente dentrer en contact les moyens. Christel Seval dcrypte et runit dans son livreLe Plan pour sauver la Terre , ces modesdapproches et lintention qui sen dgage : empcher lirrparable et neutraliser notrenotamment nuclaire. Ce que les gouvernements, tats-Unis en tte, refusent dentend

Par Christel Seval, 2005

Le 20 aot 2001, sont apparus proximit de lantenne parabolique de Chilbolton (Angletun agroglyphe reprsentant un visage humain et, dans laxe du tlscope, la rponse en code

au message envoy du radiotlescope dArecibo (Porto Rico) vingt-sept ans plus tt (en 19

Leur prsence

enfindcrypte

OVNIS


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silhouette dalien trame dans un gigantesque rectangle nousprsente un disque rond dune cinquantaine de mtres dediamtre dont la moiti sort du cadre (voirMorphus n 8).Lintrieur du cercle vgtal comporte un sillon spiral divis

en une multitude de paquets de bls couchs ou relevs :une suite binaire. Le code en estsimple, il sagit de lASCII (AmericanStandard Code for Information Inter-change). Le message est le suivant : Prenez garde aux porteurs de fauxcadeaux et aux promesses non tenues.Beaucoup de douleur, mais il est tou-jours temps. Il y a du bon l-haut.Nous nous opposons la tromperie.Fin de transmission Il ny auraaucune dclaration officielle proposde cette formation. Alors sagit-il dun authentique contactou dune manipulation de larme ? quelle fin ?Aprs Nagasaki et Hiroshima, de trs nombreux ovnis ontsurvol les tats-Unis et se sont positionns avec prcisionau-dessus de tous les sites impliqus dans les activits mi-

litaires atomiques, comme sils cherchaient sinformesur les dveloppements des armes atomiques terrestresDs 1946, les sites du Manhattan Project, les sites dessaidexplosions atomiques comme latoll de Bikini, le site d

Trinity, Roswell et les bases du Nouveau Mexique en 1947Albuquerque, Sandia en dcembre1948, Los Alamos en janvier 1949,Camp Hood au Texas en mars1949. Toute la filire atomique estdcouverte : des sites de rechercheet dessais, jusquaux lieux de stoc-kage en passant par la chane deproduction des bombes. Pas un sitesecret nest pargn. Les officielsde la Dfense amricaine sont auxabois. Leur pire cauchemar vient de

prendre forme. Toutes les installations les plus secrtes dupays sont survoles par des ovnis. Il suffirait un espion drelever la carte des apparitions dovnis de 1946 1950 pouobtenir avec prcision la situation gographique de toutesles installations nuclaires de larme amricaine. Cest l

gauche, le message original envoy en 1974. droite, la rponse en agroglyphe du 20 aot 2001, qui comporte neuf diffrences avec celui env

Il suf rait un espion de releverla carte des apparitions dovnis

de 1946 1950 pour obtenir avecprcision la situation gographiquede toutes les installations nuclaires

de larme amricaine.


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panique dans les rangs amricains.En juillet 1952, le Pentagone etla Maison Blanche sont survols deux reprises, en plein centre dune

zone nvralgique strictement pro-tge, interdite la circulation a-rienne. Rien nchappe aux ovnis,de la filire militaire la filirepolitique. Ds larrive au pouvoirde D. Eisenhower en 1953, NelsonRockefeller sera charg de prsi-der une commission de refontedu dpartement de la Dfense. partir de cette date, lempireRockefeller, le CFR (Council onForeign Relations), la Trilatrale etles Bilderbergs vont grer le secretovni dans tous ses prolongements,scientifiques, technologiques, mi-litaires, renseignements, dsinfor-mation, jusquaux financementset infiltrations des associationsufologiques.En 1954, est survo-le linstallation de Fort Meade, sige du NSA* (Natio-nal Scurity Agency), qui plus tard mettra en uvrele rseau mondial dcoute lectronique Echelon.En 1963 et 1964, les satellites mis en orbite par les tats-Unis tombent systmatiquement en panne, et, tran-

gement, se remettent fonctionner spontanment.Novembre 1965 : une gigantesque panne dlectricit affecteNew York et le sud canadien [voir article page 74]. Un disquelumineux est aperu au-dessus de la station de distributionlectrique de Clay, point dinterconnexion de plusieurs r-seaux haute tension. Dcembre : une panne identique toucheplusieurs tats, le Nouveau Mexique, le Texas. Les bases mi-litaires Holloman, White Sands et Fort Bliss sont prives decourant. Cest le scnario que les responsables de la Dfensecraignaient le plus : des actions agressives paralysant la foislconomie de la Nation et les capacits des forces militaires.En 1967, la base de Malmstrom, Montana, qui abrite 120missiles intercontinentaux du Strategic Air Command, estsurvole par des ovnis. Le 16 mars, par une nuit glaciale, des lu-mires zigzaguent dansla nuit des vitessesincroyables. Lofficier detir est alert. Puis unesoucoupe rougeoyan-te savance, survole lagrille dentre au granddam des gardes. Enquelques secondes, cesont huit silos de mis-siles qui sont dclarshors service. Puis dix.Un commando charg

de sapprocher de lovni stationnairea t lgrement bless et vacu.Plusieurs commandos partis inspec-ter les silos signalent des ovnis leur

tour. Dans une autre unit de silos,plus au nord-est, un ovni volue auxalentours de la zone interdite. Dixmissiles sont leur tour mis horsservice. Il faudra plus dune journeavant quils ne soient dclars nou-veau oprationnels. Lenqute tech-nique conclura quil ny a aucune ex-plication rationnelle la dfaillancesimultane des vingt missiles ICBM.En novembre 1975, les ovnis re-tournent sur la base de Malms-trom dans le Montana. Sept ovnislents, qui djouent les intercep-teurs lancs contre eux, reprodui-sent le scnario de 1967 et dpro-gramment les ogives nuclaires. partir de cette date, rien ne sera pluscomme avant affirme Jean-GabrielGresl [ancien pilote de chasse et

commandant de bord] : Des puissances inconnues singnientrendre leur prsence vidente par des manifestations ariennes nconventionnelles. Elles disposent de moyens techniques ncessaipour convaincre lensemble du monde, une fois pour toutes, dleur prsence et de leur supriorit.

Une pression doutre espace pour une autre politique

De leur ct, le gouvernement amricain et le dpartement dla Dfense utilisent leurs moyens considrables, renforcs e1953, pour dissimuler eux aussi cette ralit au public. Entr1947 et 1967, les mmes puissances inconnues ont exercune pression croissante sur les gouvernements amricains. Dtoute vidence, elles cherchent obtenir quelque chose. Lgouvernement amricain pourtant domin par une technolo-gie suprieure la sienne a refus, en apparence, de cder Le gouvernement refuse effectivement dinverser sa politiqde dveloppement des armes nuclaires. Tous les gouverne

ments engags dans lacourse aux armementsde destruction massivesont confronts aux m-mes problmes de sur-vols de leurs installationsnuclaires par des ovnis.Une pression venuedoutre espace, demandeune autre politique pourla sauvegarde de la pla-

nte. De quelle genredintervention sagit-il ?

Prenez garde aux porteurs de fauxcadeaux et aux promesses nontenues. Beaucoup de douleur,

mais il est toujours temps. Il y a du bonl-haut. Nous nous opposons

la tromperie. Fin de transmission.

gauche, la partie infrieure du crop circle-rponse de 2001 reproduit celui apparu dans le mme champ unan plus tt, le 13 aot 2000 ( droite). En haut, lagroglyphe apparu le 15 aot 2002 Sparsholt (Hampshire)

reprsentant un alien et un disque sur lequel gure, en mode binaire, le message indiqu sous la photo.


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La marge de manuvre des intelligences luvre est trs mince.Imposer la paix avec une technologie qui neutralise toutes lestechnostructures militaires de la plante serait peru comme unedictature venue doutre espace entranant un ethnocide gnra-lis. Le remde serait pire que le mal. Par contre, ne rien faire si-gnifierait moyen terme laisser lhumanit sautodtruire volon-tairement ou par accident. Le dveloppement des armes plasmafait peser un pril pire que larme nuclaire. La pression globalesur lcosystme ne saurait continuer encore des dcennies. Ilest donc essentiel dintervenir progressivement en exerant unepression toujours plus forte. Laugmentation du nombre de cropcircles est significative ces dernires annes. Certains agrogly-phes rvlent des schmas dappareillages militaires ultra secrets,dautres portent sur des symboles de socits secrtes influentes,ou encore rpondent un message envoy il y a vingt-sept ansvers la constellation dHercule Au Mexique, les soucoupes vo-lantes sont omniprsentes sans affoler les autorits ou les popula-

tions. Gorbatchev lui-mme sest toujours oppos lide que lesovnis constituaient une menace pour lhumanit. Alors un pre-mier contact officiel est-il possible ? Non, car la technostructuregouvernementale amricaine na pas intrt ce que des ovniensentament une procdure de contact avec lhumanit.

Un obstacle loligarchie militaro-industrielle US

Tout contact avec une race extraterrestre technologiquementplus avance que nous engagerait un processus collgial dereprsentation de lhumanit auprs des visiteurs qui nuirait la souverainet des tats-Unis. Il sensuivrait des rformes

conomiques et cologiques proposes et impulses par lesextraterrestres pour amliorer la situation de lhumanit dans

son ensemble, ce qui nuirait lhgmonie amricaine. La rvlation ou le partage de donnes techniques et scientifiquejusque-l classes secret dfense nuirait galement aux tats UnAussi les tats-Unis peuvent-ils tre amens envisager detretenir volontairement un foyer mondial de perturbations conomiques afin de repousser au plus loin le jour du contact quncessite maturit et stabilit. Lacclration et lamplificatiodune politique de domination et dannexion du reste du mondenotamment par le biais du vecteur ptrolier et de programmedarmes de nouvelle gnration semblent tre lordre du jouAinsi, au moment du contact, les tats-Unis occuperont uneplace prpondrante, un fait accompli qui ne sera peut-trepas remis en cause par les extraterrestres par respect pour libert de lhumanit. Les tats-Unis auront leur dispo-sition un arsenal technologique qui leur permettra de fairepression sur les volonts extraterrestres si ceux-ci en mettenCar, quel est le mobile qui peut pousser les stratges militaire

amricains construire des bombes antimatire dix mille foplus puissantes quune bombe thermonuclaire, si puissantequelles ne peuvent pas tre utilises sur Terre ? La peur duastrode ? La probabilit dun gocroiseur spatial en approchdangereuse dans les parages de la Terre ? Foutaises ! Cest paranoa anti-extraterrestre, cest le dsir forcen de loligarchmilitaro-industrielle des tats-Unis de faire obstruction auxextraterrestres et, le jour du contact, davoir leur porte unmaximum de moyens de pression contre eux, voire darmes effcaces, car tel semble tre leur rve de domination mondiale. propos de lauteurChristel Seval est informaticien au ministre de la Dfense. Ce texte at publi parMorphus n 13, janvier-fvrier 2006), partir dextraits deson livreLe Plan pour sauver la Terre (JMG ditions, 2005). Il a gale-ment publiUmmo, un dieu venu dailleurs (JMG ditions, 2003).

Le 1er dcembre 1974, un Boeing 727 de la TWA scrasasur la pente embrume dune montagne de Virginie, tuantles quatre-vingt-douze occupants. Des journalistes rendus surplace remarqurent proximit la prsence dune base militairehautement scurise et se mirent enquter sur sa fonction.Le lendemain, le Washington Post prcisait que cette base taitconnue sous le nom de Mount Weather [litt. la MontagneMto ]. Tout en reconnaissant lexistence de Mount Weather,un porte-parole de larme refusa poliment dmettre tout

commentaire sur la fonction de la base, le nombre de personnesy travaillant ou depuis quand elle tait oprationnelle .Au fil des ans, des dtails commencrent cependant filtrer. La

base que virent les journalistes est implante sur un terrain d175,64 ha, mais cela nest que la partie merge de licebergProfondment enfouie dans la montagne, se trouve une forteresse massive conue pour abriter le prsident et les principaumembres du gouvernement, en cas de guerre nuclaire ou dcatastrophe majeure. Cette casemate souterraine contient laplupart des lments ncessaires la survie, y compris de leaun systme dpuration sanitaire et des gnrateurs lectriqueOn la compare une ville souterraine dote dun lac artificie

dhpitaux, de bureaux, de routes, de voies pitonnes, de studios de production de radio et de tlvision, un puissant rseaudordinateurs et mme un crmatorium. La base est cense

La face cache du black-outLe 9 novembre 1965, 30 millions dhabitants de la cte Est des tats-Unis furent plontotale pendant treize heures. lorigine de lincident, une surtension dans une centr

aprs son survol par des ovnis Pendant ce temps, en Virginie, la base militaire de mettait en alerte nuclaire maximale

NEW YORK 1965

Par Davis E. Wolin 2005.


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pouvoir accueillir plusieurs milliers de personne si ncessaire ;quant savoir lesquelles, cela est videmment top secret.Le personnel militaire de Mount Weather tait charg desurveiller des dispositifs, rpartis dans toute lAmrique duNord, destins dtecter les signes dexplosions nuclaires.Dans lventualit dune telle attaque, les dtecteurs devaienttransmettre, par les lignes tlgraphiques, un message diverspostes de surveillance.

Panique Mount Weather

Le 9 novembre 1965, les alertes la bombe commencrent envoyer des informations inquitantes Mount Weather. Vingtet un dtecteurs avaient t mystrieusement mis hors serviceet des voyants jaunes clignotaientpartout sur le panneau de con-trle. Plus inquitant encore, les

dtecteurs situs Salt Lake City en Utah, et Charlotte, en Caro-line du Sud, clignotaient rouge,signifiant quil y avait bien eu desexplosions nuclaires. Au mmemoment, une grande partie dela cte Est, y compris la ville deNew York, subissait une rupturede courant, plongeant 30 millionsde personnes dans lobscurit pen-dant prs de 13 heures !Le Colonel J. Leo Bourassa com-mandait Mount Weather depuissa cration vers la fin des annes1950. Ce site top secret se trouvaofficiellement sous le contrle duOffice of Emergency Preparedness[centre dalerte prventive] quideviendrait plus tard la FederalEmergency Management Agency (FEMA) [agence fdrale de gestion durgences]. La FEMA est charge de grer les dsastres, comme les ouragans et lestremblements de terre, et fit face notamment aux consquencesdu 9/11. Outre la mission de guider laction gouvernementaleen pareilles circonstances, la FEMA est charge dassurer les

capacits de fonctionnement du gouvernement lors dunecatastrophe.Du fond de la forteresse secrte, Bourassa fut convaincu quele pays subissait une attaque nuclaire sovitique. Il plaa ledispositif de Mount Weather en tat dalerte maximale et pritles premires mesures prparatoires un engagement nuclairetotal des tats-Unis. Fort heureusement, dautres instancesmilitaires dcouvrirent rapidement la nature des alertes et lessystmes darmes nuclaires ne furent pas activs. Laffaire futrsolue rapidement, mais lon considre encore aujourdhui trepass deux doigts dune conflagration.Si lalerte nuclaire fut bien dclenche par la panne de cou-

rant, quelle tait lorigine de celle-ci ?On suppose que la panne fut dclenche par une brusque

surtension provenant dune centrale prs de Niagara Falls. Lecentrales lectriques sont toutes connectes un rseau, de sorque lorsquil y a surcharge dans lune dentre elles, cela se proptout au long des lignes, les mettant lune aprs lautre hors sevice Ce jour de novembre 1965, la majeure partie de la ctEst fut ainsi prive de courant. Les responsables des compagnidlectricit furent somms de fournir des explications.On leur demanda notamment de sexpliquer sur les mystrieuse boules de feu qui avaient plan au-dessus de leurs installtions. Les journaux de lpoque firent le rapprochement entre lmystrieuse surcharge et une srie dobservations dovnis dansvoisinage des centrales, avant, pendant et aprs la panne.La rivire Niagara coule entre les lacs Erie et Ontario, dessnant une frontire naturelle entre les tats-Unis et le Canada

Au fil de ses 56 km, ce puissant coursdeau forme les clbres chutes. En fait,il sagit dun groupe de cascades, les

deux plus grandes constituant lun dessites touristiques les plus frquents destats-Unis.En amont des chutes, une importantepart du dbit est dvie vers des cen-trales lectriques, situes de part etdautre de la frontire et qui produisentune grande partie de llectricit de lacte Est. On suppose que la centraleSir Adam Beck, du ct canadien, fut lorigine de la surtension.La rgion des chutes du Niagara taitdj rpute pour ses nombreuses appa-ritions dovnis. Le 22 septembre 1965,peu de temps avant la panne, laNiagaraFalls Gazette publia un rapport selonlequel un grand nombre de tmoinsavaient vu des ovnis survolant les chu-tes et les centrales avoisinantes : Lesobjets, brillants et lumineux, aux cou-

leurs changeantes, se trouvaient sous le plafond nuageux et sodemeurs assez bas pendant presque toute la priode dobservtion. Les tmoins ont affirm quil ne sagissait ni dhlicoptrni davions conventionnels. un moment donn, vers 20 h,deux objets, qui avaient dj t aperus auparavant loin lun d

lautre, se sont rapproch sur des trajectoires convergentes puensemble, sont parti dans la direction de Buffalo. Laprs-midi du 9 novembre, deux pilotes de lOhio signalrenpar radio avoir vu deux objets brillants, en forme de disquespoursuivis par des jets militaires. Les ovnis acclrrent sloignrent, laissant les jets pratiquement sur place. Les obsevations Niagara Falls dbutrent une heure plus tard et, peuaprs, les lumires commencrent steindre. Plusieurs pesonnes signalrent des lumires brillantes dans le ciel et un plote approchant de laroport de Niagara Falls fit rapport dun curieux objet survolant la centrale lectrique de la ville.La surtension courut sur les lignes en direction de Syracuse

tat de New York, accompagne de tranes de lumires dans ciel. Tandis que la lumire steignait, Syracuse, des centain

Tandis que la lumire steignait,des centaines de tmoins

dclarrent avoir vu des boulesde feu survolant les lignes haute tension.


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de tmoins dclarrent avoir vu des boulesde feu survolant les lignes haute tension.Elles furent observes pendant plusieursheures et photographies par un prtre,William Stillwell, qui en fit la description

suivante : Le centre tait en rotation cons-tante. Cela venait de DeWit [New York],changea brusquement de direction et fitrapidement demi-tour. En quelques mi-nutes, lextinction atteignit la ville de New York et le reste de la cte Est. Nombreuxfurent les tmoins de lumires dans le cielau-dessus de New York, et un journaliste deTime Magazine prit une photo qui, de lavisgnral, est celle dun ovni au-dessus duneville plonge dans le noir.Les mdias senflammrent sur le sujet. De

nombreux articles parurent sur les myst-rieuses boules de feu et plusieurs ditoriauxrclamrent une enqute gouvernementale.La Indianapolis Star insista : Lexplication est vidente : objetsvolants non identifis ! Cest une des pistes que lenqute ne peutignorer. Les plus grandes chanes de tlvision sy intressrentaussi. Sur la Nightly News de la NBC, des millions de tlspec-tateurs furent informs de lapparition dovnis dans la rgionprive dlectricit.Une explication officielle fut finalement mise : un dispositif dfaillant dimportance secondaire naurait pas intercept labrusque surcharge. Cette explication sembla calmer quelque peula controverse. Ce dont on ne parlait pas, ctait de la source dela surtension.Lorsque les lumires steignirent, le clbre acteur hollywoodienStuart Whitman fut bloqu au douzime tage dun htel deManhattan. Il prtendit par la suite avoir vu deux ovnis en volstationnaire devant sa fentre et que ceux-ci lui communiqurentun message : Ils me dirent que ctait eux, les intelligences ani-mant les ovnis, qui taient responsables de la coupure de courant.Ils dirent avoir fait cela pour prouver aux populations du monde

leur existence relle et leurs extraordinaires ca-pacits daction Il me dirent leur inquitudede nous voir persister dvelopper et essayer desarmes nuclaires. Leur intervention tait unemanifestation de puissance pacifique Ils dirent

que cette occultation ntait quune petite d-monstration du pouvoir dont ils disposent pournous empcher de dtruire notre civilisation et lesplantes voisines. Ils furent assez clair sur leurs in-tentions dintervenir si nous allions trop loin dansnos manuvres belliqueuses. Ils dclarrent trecapables, nimporte quel moment, de bloquerle fonctionnement de tous nos appareils lectri-ques et dinterrompre le cours de nos activitshabituelles.Le gouvernement entreprit finalement une enqu-te sur trois plans. En 1968, le comit du congrs

amricain sur la science et lastronautique ques-tionna le Dr James McDonald, de luniversit delArizona, sur le lien entre les ovnis et les coupu-

res de courant. Le professeur fit tat de nombreux cas o des observations dovnis avaient t suivies de perturbations lectriquallant des interfrences radio et des arrts de moteurs de vhiculjusqu des coupures totales de courant. propos de lvnemede 1965, lestim astrophysicien dclara aux congressistes : Dovnis ont souvent t aperus survolant les centrales lectriqueUn nombre restreint, et cependant un peu trop lev pour treattribu au hasard, de pannes lectriques concident avec deobservations dovnis Mme la plus clbre, celle de New Yo[9 novembre 1965], sest saccompagne de la prsence dovnis.Trente-huit ans plus tard, la cause de la panne na toujours pat lucide. Traduction : Andr Dufour

Cette photo, publie dansTime Magazine le 19 novembre 1965, reprsente-t-elle des ovnissur Manhattan ou est-ce une illusion doptique ?

Les experts sont diviss.

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propos de lauteurDavid E. Wolin est un artiste et crivain new-yorkais. Il aborde la culture,la politique et lart contemporain dans plusieurs revues, dontParanoa : A Conspiracy Reader et le Coagula Art Journal . Il vient de terminer lelivreTop Secret : UFO , dont cet article est extrait. Il peut tre contactpar e-mail : [email protected].

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