NICOLAS DAUTRICOURT

« LE VIOLON INTIMISTE » Album Sibelius - La Dolce Volta

Sortie le 20 octobre 2015

CONCERT - THEATRE DU RANELAGH - PARIS Lundi 7 décembre 2015 – 20h30 5 rue des Vignes – 75016 – Paris

Tel : 01 42 88 64 44

Contact presse :

Opus 64 - Valérie Samuel & Sophie Nicoly 52 rue de l’Arbre Sec – 75001 - Paris

Tel : 01 40 26 77 94 – s.nicoly@opus64.com

SOMMAIRE

Introduction p.3 Le disque p.4 Le concert p.7 Biographie p.8 Bernard Magrez, Château Pape Clément et la musique classique p.10

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Après avoir enregistré son disque consacré à Sibelius, « Le Violon Intimiste », Nicolas Dautricourt a fait le projet de jouer ce répertoire méconnu en concert à Paris le 7 décembre au Théâtre du Ranelagh, concert qui s’inscrit dans le cadre du cent cinquantenaire de la naissance de Sibelius (8 décembre 1865). Il y a cinq ans, Nicolas a été amené à découvrir des pièces nouvelles de Sibelius, en particulier ses Humoresques. Fasciné par l’indépendance de sa pensée, elles lui sont apparues d’une grande singularité, d’une veine entièrement personnelle, ne découlant d’aucune école et ne s’apparentant à aucun langage. Il règne dans ces pages un climat plus secret, plus intime où la virtuosité est secondaire, l’atmosphère générale est plus chambriste, laissant la part belle aux couleurs et aux impressions. Ce projet est avant tout une histoire d’amitié avec le chef d’orchestre Alejandro Garrido dont Nicolas est proche depuis plus de 20 ans, et ce lors d’un concert il y a trois ans. A cette aventure s’est greffé Juho Pohjonen, ami de longue date avec qui Nicolas a travaillé et enregistré les pièces avec piano. De ces pièces, l’inspiration apparait plus légère, spontanée, proche de l’esprit de salon. Ce sont ces mêmes pièces qui seront présentées lors du concert du lundi 7 décembre au Théâtre du Ranelagh en première partie. La deuxième partie sera davantage conçue comme une carte blanche à… donnant à Nicolas l’occasion d’y jouer un répertoire qui lui est personnel, avec des musiciens qui lui sont proches et qui l’ont accompagnés dans son voyage musical depuis plusieurs années.

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LE DISQUE

Parution le 20 octobre La Dolce Volta

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LE CONCERT

« Deux concerts dans la même soirée…. Pour commencer une immersion totale dans l'univers de Sibelius, à travers son oeuvre pour violon

et en reprenant donc une partie de celles enregistrées sur le disque…

Jean Sibelius

Juho Pohjonen

…ensuite, en deuxième partie, le concert tel que je me le représente, dans toute sa diversité et son éclectisme. L’occasion, entre autre, de découvrir ce merveilleux pianiste finlandais Juho Pohjonen, ou bien encore de dévoiler quelques notes de mon nouveau projet Porgy & Bess revisited, (violon, basse, vibraphone) avec mes camarades Pascal Schumacher et Knut-Erik Sundquist…

Knut-Erik

Knut-Erik Sundquist Pascal Schumacher …des univers sonores variés, une série de coups de coeur, pour des musiciens, des amis, des compagnons de route, et puis pour des musiques, que j’aime et qui résonnent en moi depuis toujours… »

Nicolas Dautricourt

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BIOGRAPHIE « Prix Georges Enesco de la SACEM », et « Révélation Classique de l’ADAMI » au Midem de Cannes, Nicolas Dautricourt est sans conteste l’un des violonistes français les plus brillants et les plus attachants de sa génération. Invité à partir de la saison 2012 à rejoindre la prestigieuse Chamber Music Society Two of Lincoln Center de New York, il se produit sur les plus grandes scènes internationales (Washington, Kennedy Center , New York Alice Tully Hall, London Wigmore Hall, Moscow Tchaikovsky Hall, Tokyo Bunka Kaikan, Téatro National de Bélèm, Copenhagen Concert Hall, Boston Gardner Museum, Ongakudo Hall Kanazawa, Nagoya Shirakawa Hall, Sendai city Hall…), françaises (SallePleyel, Théâtre des Champs-Élysées, Cité de la Musique, Musée d’Orsay, Arsenal de Metz, Opéra du Rhin, Grand Théâtre de Provence…), et est l’invité de nombreuses manifestations artistiques (Festival de la Chaise-Dieu, Printemps des Arts de Monaco, Festival de l’Orangerie de Sceaux, Parc Floral de Vincennes, Folle Journée de Nantes, Folle Journée de Tokyo, Rencontres Musicales de La Baule, Festival de la Vézère, Saoû chante Mozart, Lisztomanias, Fêtes musicales de Nohant, Flâneries musicales de Reims, Festival de Pâques de Deauville, Festival des Arcs, La Roque d’Antheron, Festival du Périgord Noir, Festival d’Auvers Sur Oise, Musique à L’Empéri…). Egalement l'invité de prestigieux festivals à l'étranger tels que Lockenhaus (Autriche), Ravinia (Usa), Sintra (Portugal), Davos (Suisse), il se produit en tant que soliste avec l'Orchestre National de France, l'Orchestre Symphonique du Québec, Sinfonia Varsovia, l'Orchestre Philharmonique de Mexico, le Belgrad Philharmonic Orchestra, le NHK Tokyo Chamber Orchestra, le Yokohama Sinfonietta Orchestra, Orchestra Ensemble Kanazawa, l'Orchestre National de Lorraine, l'Orchestre National des Pays de la Loire, l'Orchestre Philharmonique de Nice, l'Orchestre de Cannes, l'Orchestre de l'Opéra de Rouen, l'Orchestre de l'Opéra de St-Etienne, l'Orchestre de l'Opéra de Toulon, le Sendai Strings Ensemble, l'Orchestre de chambre de Novossibirsk, le Kiev Philharmonic Orchestra, l'Orchestre Philharmonique du Maroc, le Baltic Chamber Orchestra, l'European Camerata, l'Orchestre de Chambre de la Scala de Milan, l'Orchestre des Pays de Savoie, l'Orchestre d'Auvergne, l'Orchestre Symphonique de Caen, l'Orchestre Pasdeloup, l'Orchestre Français des Jeunes, sous la direction de Yuri Bashmet, Eivind Gullberg Jensen, Fabien Gabel, Michael Francis, Dennis Russell Davis, Jean-Jacques Kantorow, Mishiyoshi Inoue, Jacques Mercier, Kazuki Yamada, Faycal Karoui, Vahan Mardirossian, Stanislas Lefort, Mark Foster, Arie Van Beek... Particulièrement apprécié pour son « engagement sensible et passionné », il affectionne tout particulièrement la musique de chambre qu’il pratique aux côtés de Yuri Bashmet, Léon Fleischer, Augustin Dumay, Gérard Caussé, Michel Dalberto, David Guerrier, Gary Hoffman, Anne Gastinel, Bertrand Chamayou, Dana Ciocarlie ou encore le quatuor Psophos, le quatuor Parisii et le trio

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Wanderer. Son intérêt marqué pour le jazz lui offre également le privilège de collaborer régulièrement avec de très grands musiciens tels que Jean-Marie Ecay, Nelson Veras, Jean-Philippe Viret, Jean-Marc Jafet, Antoine Hervé, Dominique Fillon, Pascal Schumacher, et notamment l’accordéoniste Richard Galliano au sein du « Tangaria quartet » et du « Piazzolla Forever project », dans de prestigieux festivals tels que Jazz à Vienne, Marciac, Sud-Tyroler Jazz Festival, San Javier, Copenhague, Athènes... Lauréat du Concours International Henryk Wieniawski de Poznan, du Concours International des Jeunesses Musicales de Belgrade, des Concours Internationaux Rodolfo Lipizer de Gorizia et Gian-Battista Viotti de Vercelli, il compte parmi ses maitres Philip Hirschhorn, Miriam Fried, Jean-Jacques Kantorow, Gérard Poulet et Jean Mouillère, et est depuis 2007 directeur artistique des «Moments Musicaux » de Gerberoy. Nicolas Dautricourt joue un magnifique instrument d'Antonio Stradivarius datant de 1713, le "Château Fombrauge", généreusement mis à sa disposition par Bernard Magrez.

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Les grands vins de garde et les instruments à cordes de collection ont en commun de se bonifier avec le temps. Leur existence aurait été inconcevable sans des siècles de recherche patiente et d’expérimentation progressive. Cultiver des vignobles d’exception et veiller à la conservation d’instruments à cordes de collection sont deux manières analogues de sauvegarder un patrimoine ancien pour qu’il continue à vivre dans le présent et le futur. La recherche en conservation-restauration et la recherche en oenologie participent d’un même effort pour mettre les technologies du présent et de l’avenir au service des legs inestimables de l’Histoire. La passion des grands vins et celle des instruments à cordes de collection reposent toutes deux sur une seule et même exigence d’authenticité. La dégustation d’un grand vin et l’audition d’une pièce de musique classique ont en commun l’association complexe et souvent ineffable des sensations corporelles et des connaissances intellectuelles.

La relation à long terme qu’entretient Bernard Magrez avec le monde de la musique classique a débuté sous les meilleures auspices en 2011 par l’acquisition d’un violon d’Antonio Stradivari, le « Château Fombrauge ». Elle se poursuit aujourd’hui avec l’acquisition d’un violoncelle produit par un autre grand nom de l’âge d’or de la lutherie italienne : Ferdinando Gagliano, un violoncelle de 1788, fait à Naples, le « Château Pape Clément ». Fidèle à ses convictions, Bernard Magrez entend à la fois soutenir de talentueux artistes-interprètes français et contribuer à la sauvegarde de grands instruments à cordes de collection. Le violon de Stradivari a été confié au soliste Nicolas Dautricourt. Le violoncelle de Gagliano sera quant à lui prêté à la violoncelliste Camille Thomas. Ces deux joyaux sont placés sous le patronage du Château Fombrauge, Grand Cru Classé de Saint-Emilion et du Château Pape Clément, Grand Cru Classé de Graves, emblématiques domaines viticoles appartenant à Bernard Magrez. Afin d’optimiser leur conservation et garantir leur pérennité, Bernard Magrez a engagé une collaboration étroite avec Balthazar Soulier, luthier-expert et restaurateur du patrimoine.

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BERNARD MAGREZ, CHÂTEAU PAPE CLEMENT ET LA MUSIQUE CLASSIQUE