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La lettre d’information de Nitrawal www.nitrawal.be 47, chaussée de Namur, 5030 Gembloux >Nitrat’Info N°17 Janvier ‘17 > Edito > Sommaire Avec le soutien de la Le colza est une tête de rotation qui ne manque pas d’intérêts agronomiques mais aussi environnementaux. Sa couverture de sol longue lui confère de nombreux atouts : limitation du développement des adventices annuelles, rupture du cycle des maladies en céréales, valorisation des apports de matières organiques, prélèvement des reliquats azotés de la culture précédente, lutte contre l’érosion… Les besoins du colza élevés et ses capacités de prélèvement automnal très importantes constituent un poste du raisonnement de la fertilisation qu’il convient d’évaluer précisément. Le risque de surfertilisation, une récolte précoce, l’absence de couverture de sol avant l’implantation d’une céréale d’hiver en font une culture après laquelle le risque de lessivage de nitrate est important. Les avis des spécialistes et les expériences témoignées dans cette Nitrat’info vous aideront à limiter les risques environnementaux du colza et à en optimiser les avantages. Bonne lecture. Dimitri Wouez, Directeur de Nitrawal 1 Page 1 > Edito > Sommaire > Service d’encodage par téléphone des contrats et notifications Page 2 De la théorie... Page 3 ... à la pratique Page 4 > Pour aller plus loin… > Agenda > le colza, de la plante à la graine, sous l’angle de l’azote.

Nitrat’Info - Protecteau>Nitrat’Info N 17 Janvier ‘17 …à la pratique 3 Avec le soutien de la Des personnes de terrain partagent leur expérience sur la culture du colza dans

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Page 1: Nitrat’Info - Protecteau>Nitrat’Info N 17 Janvier ‘17 …à la pratique 3 Avec le soutien de la Des personnes de terrain partagent leur expérience sur la culture du colza dans

La lettre d’information de Nitrawal www.nitrawal.be47, chaussée de Namur, 5030 Gembloux

>Nitrat’InfoN°17 Janvier ‘17

> Edito

> Sommaire

Avec le soutien de la

Le colza est une tête de rotation qui ne manque pas d’intérêts agronomiques mais aussi environnementaux. Sa couverture de sol longue lui confère de nombreux atouts : limitation du développement des adventices annuelles, rupture du cycle des maladies en céréales, valorisation des apports de matières organiques, prélèvement des reliquats azotés de la culture précédente, lutte contre l’érosion…

Les besoins du colza élevés et ses capacités de prélèvement automnal très importantes constituent un poste du raisonnement de la fertilisation qu’il convient d’évaluer précisément. Le risque de surfertilisation, une récolte précoce, l’absence de couverture de sol avant l’implantation d’une céréale d’hiver en font une culture après laquelle le risque de lessivage de nitrate est important.

Les avis des spécialistes et les expériences témoignées dans cette Nitrat’info vous aideront à limiter les risques environnementaux du colza et à en optimiser les avantages.

Bonne lecture.

Dimitri Wouez,Directeur de Nitrawal

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Page 1 > Edito > Sommaire > Service d’encodage par

téléphone des contrats et notifications

Page 2 De la théorie...

Page 3 ... à la pratique

Page 4 > Pour aller plus loin… > Agenda

> le colza, de la plante à la graine, sous l’angle de l’azote.

Page 2: Nitrat’Info - Protecteau>Nitrat’Info N 17 Janvier ‘17 …à la pratique 3 Avec le soutien de la Des personnes de terrain partagent leur expérience sur la culture du colza dans

→ Le b.a.-ba de la valorisation de l’azote par le colza

Sur le plan de la fertilisation, lorsque la fumure azotée augmente, la teneur en huile des graines diminue ; par contre, la teneur en protéines augmente. La somme des teneurs en huile et protéines reste généralement stable quelle que soit la fumure apportée.

Si le colza a la capacité de bien valoriser l’azote, un excès est préjudiciable tant à la plante qu’à l’environnement. Il faut dès lors raisonner les apports d’engrais de ferme à l’automne pour éviter un développement trop important à l’entrée de l’hiver potentiellement préjudiciable à la culture. Il faut, en outre, prêter attention aux apports de printemps. Les apports, autorisés à partir du 16 février, se feront en fonction du développement automnal et devront couvrir les besoins du colza de la reprise de végétation à la floraison. Pour estimer le développement, la pesée de la matière fraîche est un très bon indicateur comme expliqué ci-dessous.

→ Pourquoi peser permet de mieux fertiliser ?Il existe une corrélation entre la quantité d’azote absorbée dans les parties aériennes (kg N/ha) et le poids de matière fraîche aérienne (kg/m²) mesurée avant l’hiver (ou à la sortie de l’hiver si le feuillage n’a pas subi de gel). On considère que 65 à 75 kg d’azote ont été stockés par ha de colza, par kg de matière fraîche aérienne/m².Le colza absorbe et stocke donc avant l’hiver une partie de l’azote dont il aura besoin au printemps. De ce fait, c’est une culture qui permet une valorisation des engrais de ferme apportés à la fin de l’été. Il peut absorber plus de 100 kg d’azote par hectare avant l’hiver, s’il est implanté suffisamment tôt. Peser le colza à la sortie d’hiver permet d’estimer l’azote stocké dans la plante et par conséquent d’adapter la dose d’azote minéral à apporter.Son développement végétatif en sortie d’hiver est très variable en fonction des années et des parcelles (figure ci-dessous). Si en moyenne, on mesure entre 1,2 et 1,5 kg de matière fraîche/m², on observe cependant des valeurs allant de 0,5 à 3 kg/m².Lorsque le colza est très développé en sortie d’hiver, il ne faut pas craindre de réduire la fertilisation.Pour illustrer ceci, une expérimentation a été menée en 2016 à Gembloux sur une parcelle où le développement végétatif était important en sortie d’hiver (2,6 kg/m²). Le rendement optimum (5200 kg/ha) a été obtenu avec une fertilisation de 100 kg N/ha.

→ Associer le colza, accord gagnant-gagnant !Au cours de l’expérimentation menée depuis 5 ans par l’APPO à la Ferme Expérimentale de Gembloux Agro-Bio Tech, avec des couverts de légumineuses associés au colza d’hiver, il a été possible d’obtenir en 2012 et 2014, les mêmes rendements avec une économie de 25 kg N/ha lorsque le colza était semé avec un couvert associé. En 2013, 2015 et 2016, un gain de rendement compris entre 200 et 500 kg/ha a été obtenu avec un colza associé pour une même fumure azotée. Les essais de Greenotec menés sur la même période, fournissent des enseignements semblables. L’apport d’azote par la présence des légumineuses à l’automne et par la minéralisation au printemps de ce couvert détruit en hiver est bénéfique pour la culture du colza.

Au-delà de l’aspect azote et des qualités que l’on accorde aux légumineuses, le couvert associé peut limiter, le développement d’adventices. C’est ce que Terres Inovia, l’institut technique français des producteurs d’oléagineux, de protéagineux, de chanvre et de leurs filières, a confirmé dans ses essais. Le couvert n’est pas pour autant la solution miracle. Lorsque les parcelles ont un potentiel élevé de salissement, notamment en gaillet gratteron, matricaire camomille ou laiteron, elles verront la réapparition de ces plantes à l’approche de la maturité du colza et la dépréciation de la qualité de la récolte (augmentation du taux d’impuretés) si aucun désherbage n’est effectué au printemps. De même, pour les années à forte pression d’insectes, un couvert n’exclut pas une intervention chimique à l’automne, pour éviter de contrarier le développement du colza au printemps par la présence de larves d’insectes dans les tiges du colza.

La hausse de rendement du colza compense-t-elle le coût du couvert ?Le graphique ci-dessous traite des différences de marge entre les modalités avec et sans couvert (calculées avec un prix de vente du colza de 350 €/tonne).Une réduction de la fertilisation n’est pas le seul intérêt de la technique, réduction qui doit dans l’absolu se calculer sur l’ensemble de la rotation.

>Nitrat’Info N°17 Janvier ‘17

2 > De la théorie…

Avec le soutien de la

En Wallonie, le colza est cultivé sur près de 12.000 hectares. Ce qui en fait une tête de rotation intéressante dans de nombreuses exploitations, notamment en polyculture élevage.

Le graphe illustre les différences de rendement et de marge par rapport au témoin colza pur.

Le développement végétatif du colza est très variable en fonction des années et des parcelles.

Poid

s fr

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hive

r (kg

/m2 )

Années de récolte

0,0

0,5

1,0

1,5

2,0

2,5

3,0

2008 2009 2015 2016

Rend

emen

t (kg

/ha)

Années de récolte

6000

5000

4000

2012 2013 2014 2015 2016

Colza seul Colza + couvert

Prix commercialisation colza 350€/T

-10%-8%-6%-4%-2%

+2%+4%+6%+8%

+10% € 100€ 80€ 60€ 40€ 20 € -20€ -40€ -60€ -80€ -100

A B C D E GF H I J K L

→ Déchaumer selon la situation Un déchaumage répété des parcelles après la récolte du colza, dans le cadre d’une lutte intégrée contre les adventices et les ravageurs, a aussi pour conséquence de provoquer une minéralisation plus importante de la matière organique du sol et un niveau d’APL souvent plus élevé (en 2016, environ 75 kg N-NO3/ha dans des parcelles fréquemment déchaumées à comparer avec 50 kg N-NO3 dans des parcelles où les repousses de colza ont pu piéger l’azote nitrique). Pour mieux protéger l’eau, il convient donc d’adapter le travail du sol à chaque situation (présence plus ou moins importante de limaces et/ou d’adventices) plutôt que de recourir à une pratique systématique.

Christine Cartrysse, APPO

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>Nitrat’Info N°17 Janvier ‘17

3…à la pratique

Avec le soutien de la

Des personnes de terrain partagent leur expérience sur la culture du colza dans leur exploitation

José et Nicolas Thiange, agriculteurs à Falaën“Le colza nous permet une bonne valorisation du fumier de bovin produit sur l’exploitation. Nous apportons 35 tonnes avant le semis. La fertilisation est complétée au printemps. L’azote minéral apporté, 145 unités en moyenne, sera fonction du développe-ment du colza que nous avons mesuré par des pesées en début et fin d’hiver. Ces pesées nous donnent une bonne idée de l’azote déjà prélevé par la plante, ainsi que du potentiel de production de la culture.”

Christian Schiepers, agriculteur à Antheit“Curieux, je suis à l’affût de techniques innovantes pour mon exploitation. Depuis 8 ans, j’associe le colza avec différents couverts. En France, la technique a démontré son intérêt. Sur base de cette expérience, j’ai essayé différents mélanges : un mélange gesse-fenugrec-lentille d’abord, différents trèfles associés et une association caméline-lentille ensuite. L’objectif était d’arriver à une économie d’azote par l’apport des légumineuses tout en luttant contre le salissement de la culture. Objectif que j’ai pu atteindre au cours des 8 ans. Aujourd’hui, avec l’élongation du colza, la dépendance à une période de gel pour la destruction du couvert, reste une de mes préoccupations. En effet, ayant passé mes terres de culture en agriculture biologique, le broyage pour pallier une absence de gel est l’unique technique possible sur mon exploitation. Or, au-delà de freiner le développement, le broyage demande du temps et une portance minimum de sol. Sur mon exploitation, pour que la technique porte la totalité de ses fruits, le couvert adapté à mes pratiques doit encore être trouvé.”

Florent Bachelart, GRENeRA, partenaire scientifique de Nitrawal“Chaque année en sortie d’hiver, j’ai l’occasion de parcourir une vingtaine de parcelles de colza qui serviront à l’automne pour l’établissement des références APL. J’y réalise des prélèvements de sol pour doser l’azote nitrique et des pesées de matière fraîche en vue d’établir les conseils de fertilisation azotée au printemps.

Le reliquat azoté en sortie d’hiver est souvent très faible (environ 15 kg N-NO3/ha) et peu variable, ce qui démontre bien le rôle du colza d’hiver comme piège à nitrate. Par contre, le développement de la végétation est très variable (du simple au double) d’une parcelle à l’autre pour une même exploitation agricole. Pour éviter une mauvaise surprise (APL trop élevé ou rendement trop faible), il est important de visiter toutes ses parcelles à la sortie de l’hiver avant de décider de la fertilisation à appliquer au printemps.

En s’appuyant sur cette pesée de matière fraîche, sur la base de données des reliquats de printemps et sur le module de calcul de fertilisation en culture de Nitrawal, chacun peut aisément calculer la dose d’engrais azoté à apporter. Il convient de rester honnête avec le module « Ferti Culture » : on y inscrit un objectif réaliste de rendement et non un rêve de rendement… au risque d’une mauvaise surprise APL ! ”

Nicolas Colot, conseiller Nitrawal“Différents éléments sont à prendre en considération pour déterminer la fraction azotée minérale : le potentiel de rendement, l’azote déjà prélevé par la culture à l’automne et en hiver, le reliquat azoté en fin d’hiver, les apports organiques déjà réalisés, le précédent. Chacun de ces points influence fortement l’azote disponible pour la culture, le rendement et finalement le résultat financier en fin de campagne.

Dans les fermes, certains agriculteurs ne tiennent pas assez compte des effets des matières organiques qu’ils ont apportées, avec un risque de gaspillage de l’azote disponible qui peut se retrouver in fine dans les eaux souterraines.

Afin de déterminer les effets de la matière organique, on peut peser les bennes lors du transport de fumier et réaliser une analyse d’engrais de ferme  ; on connaîtra de cette manière la quantité d’azote épandue. Grâce à une table de conversion, disponible chez Nitrawal, on peut calculer la quantité d’azote qui est disponible pour la culture de colza et adapter le complément minéral à apporter au début du printemps.”

Maxime Merchier, coordinateur de Greenotec“Les premiers essais menés par l’ASBL Greenotec ont été implantés chez Christian. À la base, cette technique est apparue en France pour lutter contre des problèmes de salissement des parcelles là où certaines adventices étaient devenues résistantes aux matières actives. Très vite, les résultats en terme de lutte contre le salissement se sont montrés satisfaisants, laissant apparaître une opportunité pour les agriculteurs bio. Le deuxième élément observé en France concernait l’effet positif du couvert sur le rendement du colza, point qui a été vérifié dans nos essais en Belgique. Concernant le risque d’élongation avant l’hiver, peu d’observations ont été faites à ce jour. Par mesure de précaution, nous conseillons de choisir des variétés peu sensibles à l’élongation. Certaines espèces de légumineuses sont plus sensibles au gel que d’autres. Les cinq années d’essais terrain menés par l’ASBL Greenotec ont permis de tirer des enseignements. Des espèces comme le trèfle d’Alexandrie, la féverole de printemps et la lentille, qui restent relativement sensibles au gel, sont un gage de sécurité. Si les terres avec un haut potentiel de salissement peuvent poser problème, la technique du colza associé présente des avantages tant d’un point de vue financier qu’environnemental.”

Antheit

→ Peser pour mieux fertiliser → Associer pour mieux gérer

→ Mesurer la diversité du développement du colza en sortie d’hiver

Falaën

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CENTRES D’ACTION DE NITRAWAL

Centre d’action Nord (Province du Brabant wallon, Nord de la Province de Namur et Est du Hainaut) à Gembloux Tél. : 081 62 73 13 - Gsm : 0498 912 501 - [email protected]

Centre d’action Est (Province de Liège) à Huy Tél. : 085 84 58 57 - Gsm : 0498 912 505 - [email protected]

Centre d’action Sud (Province de Luxembourg, Province de Namur au Sud du sillon Sambre et Meuse, la botte du Hainaut) à Philippeville Tél. : 071 68 55 53 - Gsm : 0498 912 503 - [email protected] d’action Ouest (Hainaut occidental) à Tournai Tél. : 069 67 15 51 - Gsm : 0498 912 504 - [email protected]

Association pour la Promotion des Protéagineux et des Oléagineux Partenaire du Centre Pilote Céréales et Oléoprotéagineux (CePiCOP)Christine [email protected] des Déportés, 2B-5030 GemblouxTél./Fax : 081 62 21 37GSM : 0497 53 84 47

ASBL GreenotecMaxime [email protected] de Nimy 46B-7000 MonsGSM : 0474 31 18 47

Gembloux Agro-Bio Tech (ULg)Christophe Vandenberghe et Florent [email protected] de Recherche Environnement et Ressources AzotéesAvenue Maréchal Juin 27B-5030 GemblouxTél. : 081 62 25 40

Document téléchargeable sur www.nitrawal.be

Avec le soutien

de la

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>Nitrat’Info N°17 Janvier ‘17

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> Contact

> Agenda Échéances du Programme de Gestion Durable de l’Azote

→ Et si on binait ? Le désherbage mécanique : expérience à Ville-sur-Illon dans les Vosges

Pour réduire les traitements phytosanitaires, Sébastien Thiriot et Hervé Laveine, ont investi en com-mun dans une bineuse. Muni d’une caméra, l’outil permet le désherbage mécanique à l’automne. Après 3 ans d’utilisation, les deux agriculteurs français tirent un premier bilan et partagent leur expérience. La technique répond à leurs attentes. Malgré la présence récurrente de certaines adventices dans la rotation, la bineuse assure la propreté de la culture de colza. Le désherbage mécanique demande une certaine attention, concèdent les deux agriculteurs : un minimum de soin au semis d’une part, une météo correcte et une disponibilité plus importante pour les opérations de désherbage. « S’il est plus facile d’atteler un pulvé qu’une bineuse, la réduction des traitements phytos mérite la pratique du désherbage mécanique. »

→ Outils de demain ?Si les pesées permettent d’estimer le développement du colza en vue d’adapter sa fertilisation en sortie d’hiver, nombreux sont ceux qui travaillent à apporter des informations supplémentaires pour affiner la fertilisation via l’agriculture de précision. Que ce soit par le pincement du feuillage ou par imagerie avec des outils embarqués sur un tracteur, un drone ou un satellite, il est nécessaire de relier les besoins azotés aux données enregistrées. L’avenir nous promet de nouveaux outils pour être au plus proche des besoins. A vous de vous les approprier dès qu’ils auront démontré leur intérêt.

> Pour aller plus loin…

> 15 février : Consulter votre LS sur la plateforme

de la Région wallonne : https://dps.environnement.wallonie.be/home/formulaires/agriculteur.html

> 16 février : Épandage autorisé des engrais minéraux

et des engrais de ferme à action rapide sur terre arable

> 31 mars : Echéance des transferts pour le taux de

liaison au sol 2016

> 1er avril : Transferts comptabilisés pour le taux de

liaison au sol 2017

> 31 mai : Échéance pour la destruction des

prairies permanentes