NIVEAU 7 · 2019. 12. 17. · LAN-5079-10 Des communications sur des thèmes concrets Francisation, niveau 7 – SA07 3 Formes de phrases Employer des phrases passives au passé composé,

Titre de la SA07 : Bloguez !

Auteure : Sophie Fournier

Commission scolaire : CSDM

Durée approximative : 3 h

Domaine général de formation

Culture et médias

Situation de communication

Suivi de l’actualité

Intentions de communication

Compétences langagières

Compréhension orale Compréhension écrite

Production orale Production écrite

16. Échanger avec quelqu’un sur l’actualité (CO, PO) 20. Comprendre un article d’opinion, une chronique un éditorial ou un blogue (CÉ) 22. Intervenir dans un blogue (PÉ)

Francisation NIVEAU 7 LAN-5079-10

Des communications sur des thèmes concrets

2 LAN-5079-10 Des communications sur des thèmes concrets Francisation, niveau 7 – SA07

MATÉRIEL NÉCESSAIRE (aussi disponible en .doc)

SAVOIRS DU NIVEAU 7 À MOBILISER

Grammaire du texte

Comprendre des textes argumentatifs É, expressifs O, informatifs, O descriptifs O et narratifs O

Produire des textes expressifs É, informatifs O, descriptifs O et narratifs O

Organiser clairement de l’information dans le but de comparer des éléments (22, 32) É

Connecteurs et relations logiques

Comprendre la postériorité avec le conditionnel présent ou l’auxiliaire d’aspect aller à l’imparfait + infinitif quand le point de référence est décalé (2, 16, 29, 31) O (19, 20, 21) É

Repérer les connecteurs qui présentent le sujet, qui marquent les étapes du développement, qui concluent et qui révèlent un changement de sujet d’un exposé (19, 20, 21) É

Comprendre la restriction avec le marqueur ne… que (6, 10, 19, 20, 21) É

Comprendre l’expression du but avec des marqueurs courants E (19, 20, 21, 37) É

Comprendre l’expression de la concession avec des marqueurs courant : bien que, malgré que, etc. (19, 20, 21) É

Employer des connecteurs de reformulation courants : autrement dit, en somme, etc. (5, 13, 16) O (15, 22, 32, 35) É

Exprimer la concession avec le marqueur même si (22, 32) É

Employer des connecteurs de topicalisation : quant à, à l’égard de, à propos de, en ce qui concerne, etc. (15, 22, 32, 35) É

Exprimer la conséquence : donc, par conséquent, etc. (15, 22, 32, 35) É

Mettre en relief des ressemblances et des différences entre deux éléments (22, 32) É

Reprise de l’information

Comprendre que le référent du pronom ils peut être implicite (16, 24) O (20, 21) É

Employer des déterminants quantifiants indéfinis repris par le pronom ça (8, 22) É

Grammaire de la phrase

Types de phrases

Employer des phrases impératives négatives avec des pronoms compléments : ne + Pr + V impératif + pas (16, 29, 31) O (22) É

Guide de l’enseignant : N7_SA07_Guide.pdf Cahier de l’apprenant : N7_SA07_Apprenant.pdf L’article du blogue : N7_SA07_T1-1_Blogue.pdf Lien vers le vidéoclip de la chanson Carmen de Stromae : https://www.youtube.com/watch?v=UKftOH54iNU)

N7_SA07_Apprenant.pdf

N7_SA07_T1-1_Blogue.pdf

https://www.youtube.com/watch?v=UKftOH54iNU)


Formes de phrases

Employer des phrases passives au passé composé, avec ou sans par (13, 16, 26) O

Employer des phrases emphatiques en suivant les modèles suivants : o Encadrement du sujet par clivage avec C’est… qui (22) É o Encadrement d’autres éléments par clivage avec C’est… que (7, 22) É o Encadrement du GN par pseudo-clivage (22) É o Encadrement par pseudo-clivage avec ce/celui que…, c’est… (22) É

Reconnaitre une phrase passive avec l’agent introduit par de (6, 20, 21) É

Comprendre des phrases impersonnelles avec Il est + adjectif + subordonnée (19, 20, 21) É

Jonction de phrases

Employer des phrases subordonnées à verbe conjugué qui expriment une hypothèse sur un fait présent ou à venir, présenté comme irréel : si + (condition) imparfait, (conséquence) conditionnel présent (16) O (8, 22) É

Employer des subordonnées corrélatives dont la comparaison est liée au nom ou au verbe (22, 32) É

Reconnaitre le sujet quand il suit le prédicat dans une phrase incise E (19, 20, 21) É

Reconnaitre des phrases subordonnées relatives introduites par [préposition] + lequel E (6, 20, 21) É

Comprendre des subordonnées corrélatives exprimant l’intensité en rapport avec sa conséquence introduite par :

o Si ou tellement + que (12, 16, 18, 31) O (6, 20, 21) É o Assez, trop, suffisamment + pour (que) (12, 16, 18) O (6, 19, 20, 21) É

Employer des subordonnées corrélatives dont la comparaison est liée au nom ou au verbe (16, 23, 30) O (22, 32) É

Déterminants

Distinguer le sens générique et le sens spécifique d’un GN en position sujet, selon la structure et le déterminant utilisés (20, 21, 28) É

Employer les structures et les déterminants suivants pour exprimer le sens générique d’un GN :

o formé de un/une + nom E (7, 22) É o en position sujet

quantifiant + nom, ça (22) É

le ou la + nom massif + verbe (7, 22) É

le ou la + nom massif, ça + verbe (22) É

les + nom comptable + verbe (7, 22) É

les + nom comptable, ça + verbe (22) É


o en position complément :

le ou la + nom massif, sujet + verbe + ça (22) É

Employer la structure suivante pour exprimer le sens spécifique d’un GN en position sujet : Dét quantifiant indéfini + nom E (7, 14, 22) É

Pronoms personnels conjoints

Employer le pronom personnel conjoint y pour remplacer un GPrép de lieu CP E (7, 14, 22) É

Pronoms interrogatifs

Associer que à qu’est-ce que (1, 16, 18) O (20, 21, 37) É

Accorder le pronom interrogatif simple quel en genre et en nombre (22) É

Employer le pronom interrogatif complexe lequel (22) É

Indicatif imparfait

Employer l'imparfait après si dans une hypothèse ou un fait présent ou à venir, présenté comme irréel (16) O (8, 22) É

Indicatif plus-que-parfait

Employer le plus-que-parfait (22, 32, 35) É

Employer le plus-que-parfait pour exprimer l’antériorité quand le point de référence est décalé (22, 32, 35) É

Indicatif passé surcomposé

Reconnaitre le passé surcomposé (20, 21) É

Comprendre que le passé surcomposé sert à indiquer une action accomplie dans le passé (20, 21) É

Indicatif futur antérieur

Reconnaitre le futur antérieur (19, 20, 21) É

Comprendre que le futur antérieur sert à indiquer une action accomplie dans l’avenir (19, 20, 21) É

Indicatif conditionnel présent Système prosodique : Maintenir le e s’il est suivi de [rj] O

Employer le conditionnel présent (radicaux et terminaisons orales [ɛ], [jɔ̃], [je] et écrites) (3, 8, 22, 32, 35) É

Employer le conditionnel présent pour indiquer une action hypothétique dans le présent ou dans l’avenir (22) É

Employer le conditionnel présent pour exprimer la postériorité quand le point de référence est décalé, notamment dans le discours indirect au passé (2, 16) O (8, 22, 32) É

Reconnaitre le conditionnel présent (19, 20, 21) É

Comprendre que le conditionnel présent peut servir à exprimer l’incertitude (19, 20, 21) É


Subjonctif présent

Employer des verbes usuels au subjonctif présent (radicaux et terminaisons écrites) E (8, 15, 22, 32) É

Employer obligatoirement le subjonctif présent après certaines conjonctions : o De but : pour que (22, 32) É o De temps : avant que (15, 22, 32) É

Employer le subjonctif présent pour exprimer la simultanéité et la postériorité quand le verbe introducteur demande le subjonctif et que le point de référence est décalé (16, 29, 31) O (8, 22, 32) É

Auxiliaires d'aspect

Comprendre que l’auxiliaire aller + infinitif passé indique une action accomplie dans l’avenir (16) O (20, 21) É

Employer l'auxiliaire aller à l'imparfait + infinitif présent quand le point de référence est décalé pour exprimer la postériorité, notamment dans le discours indirect au passé (2, 16, 29) O (22) É

Employer les comparatifs de degré plus (de)/moins (de)/autant (de) + nom ou verbe (16, 23, 30) O (22, 32) É

Employer des superlatifs de degré (16, 23, 30) O (8, 15, 22) É

Lexique Écoute d’un reportage informatif et conversation sur un sujet d’actualité

Vocabulaire lié à des sujets d’actualité

Partage d’informations ou d’opinions dans un blogue

Vocabulaire lié à l’expression d’opinion

Mots servant à décrire des faits et à donner de l’information, etc.

Verbes d’opinion et de paroles ou de déclaration : Je trouve que, je pense que, etc.

Employer les expressions idiomatiques ou figées dans des contextes liés aux situations de communication

Employer les préfixes et les suffixes dans la formation de mots

Employer des adjectifs dérivés de verbes

Employer des synonymes et des antonymes de mots en rapport avec le vocabulaire courant

Employer des mots suppléants de sens voisin

Employer des nuances de sens


Exploiter les familles de mots pour la nominalisation ou l’adjectivation o Employer la nominalisation à sens passif o Modifier la structure dans le passage de l’adjectif vers le nom o Modifier la structure dans le passage de l’adverbe vers l’adjectif

Exploiter des champs lexicaux pour exprimer le détail et la nuance dans des contextes liés aux situations de communication

REPÈRES CULTURELS

ACTIVATION DES CONNAISSANCES EN MÉMOIRE ( ̴ 20 minutes)

PROBLÉMATIQUE

Blogue (de journaliste) La technologie L’expression de ses idées

Visionner le vidéoclip de la chanson Carmen de Stromae qui porte sur la dépendance aux réseaux sociaux. (Les paroles de la chanson peuvent être exploitées dans une activité ultérieure) (Le vidéoclip se trouve dans You Tube https://www.youtube.com/watch?v=UKftOH54iNU) Animer une discussion grâce aux questions suivantes : -De quoi parle la chanson ? -Que font les personnages dans le vidéoclip ? - Ils font des autoportraits (selfies), ils prennent leur nourriture en photo, ils sont

toujours sur les réseaux sociaux… - Quelles sont les relations entre les personnages de cette histoire ? - Que représente l’oiseau ? Comment change-t-il au cours de l’histoire ? Pourquoi change-t-il ? - Est-ce que vous êtes inscrit à un réseau social ? Lequel ? Pourquoi ? - Quels sont les avantages et les inconvénients des réseaux sociaux ? - Connaissez-vous quelqu’un qui a déjà eu des problèmes à cause des réseaux sociaux ?

Une de vos collègues envoie un courriel à tous les membres de votre équipe de travail pour partager un article paru sur un blogue. Vous aimeriez réagir à ce texte. Toutefois, vous désirez clarifier votre pensée avant d’écrire et de mettre votre réponse en ligne. Vous dinez justement avec vos collègues de travail ce midi. Peut-être qu’ils auront, eux aussi, lu le texte…


Pistes d’enseignement de la PROBLÉMATIQUE ( ̴ 10 minutes)

- Présenter la problématique (peut être projetée ou lue par un apprenant) et distribuer le cahier de l’apprenant (au moment opportun, selon le mode de présentation choisi). - S’assurer de la compréhension de tous. Est-ce que les apprenants savent ce qu’est un blogue ? Est-ce qu’ils sont au courant qu’on peut y laisser des commentaires ? En plénière, animer une discussion métacognitive en posant les questions suivantes : - Est-ce que vous consultez des blogues ? Lesquels ? - Est-ce que vous avez déjà laissé un commentaire dans un blogue ? À quel sujet ? - Comment fait-on pour laisser des commentaires ? - Est-ce que c’est difficile d’exprimer clairement son opinion ? Pourquoi ? - Que faites-vous si vous voulez clarifier votre pensée lorsque vous n’êtes pas sûr d’être d’accord avec quelqu’un ? Pour résoudre la problématique, l’apprenant devra : T1 : Lire le texte sur le blogue T2 : Discuter du texte d’opinion avec ses collègues pendant l’heure du diner T3 : Écrire un commentaire dans le blogue


RÉSOLUTION TÂCHE 1 : Lire le texte sur le blogue

Pistes d’enseignement de la SOUS-TÂCHE 1.1 ( ̴ 60 minutes)

- Demander à un apprenant de lire la consigne. S’assurer de la compréhension de tous. - Distribuer l’article du blogue. - Demander aux apprenants de lire le texte d’opinion ainsi que les commentaires qui ont été laissés. - Inciter les apprenants à utiliser l’espace réservé aux notes de lecture dans le cahier de l’apprenant. Ils peuvent y inscrire les expressions qu’ils n’ont pas comprises ou les éléments importants du texte. En plénière, animer la discussion métacognitive suivante : - Avez-vous pris des notes de lecture ? Si oui, qu’avez-vous noté ? - Quels mots ou expressions ne comprenez-vous pas ? - De quel type de texte s’agit-il ? - Qui est l’auteur ? - Est-ce que l’auteur a toujours raison ? Expliquez votre réponse. Savoirs : Faire remarquer l’utilisation de certains savoirs tels que : Le discours indirect, les connecteurs, la restriction, les marqueurs de relation, le pronom ils implicite, le passif, les phrases impersonnelles, les phrases incises, les subordonnées relatives et corrélatives, les déterminants, l’association de que à qu’est-ce que, le passé surcomposé, le futur antérieur, le conditionnel présent



TÂCHE 2 : Discuter du texte d’opinion avec ses collègues pendant l’heure du diner Pistes d’enseignement de la SOUS-TÂCHE 2.1 ( ̴ 25 minutes)

TÂCHE 3 : Écrire un commentaire dans le blogue

Pistes d’enseignement de la SOUS-TÂCHE 3.1 ( ̴ 60 minutes)

-Demander à un apprenant de lire la consigne. S’assurer de la compréhension de tous. -Demander aux apprenants de se placer en équipe de quatre. -Demander aux membres des équipes de discuter de leurs opinions à propos du sujet évoqué dans le texte et dans les commentaires. - Inciter les apprenants à prendre des notes pendant leur discussion. -Après la discussion, poser les questions suivantes en plénière : - Est-ce que tous membres de votre équipe avaient la même opinion ? - Est-ce que vous avez changé d’avis ? Pourquoi ? - Avez-vous pris des notes ? Qu’avez-vous noté ? Savoirs : Favoriser l’utilisation de certains savoirs tels que les connecteurs de reformulation, l’imparfait, les comparatifs, les superlatifs, les subordonnées corrélative, le conditionnel présent, le vocabulaire lié à l’expression d’opinion et les verbes correspondants.

- Demander à un apprenant de lire la consigne. S’assurer de la compréhension de tous. - Demander aux apprenants d’écrire un commentaire dans l’espace prévu à cet effet dans le cahier de l’apprenant. Les apprenants peuvent répondre directement à l’auteur du texte ou à un des lecteurs qui ont laissé un commentaire. Savoirs : Favoriser l’utilisation de certains savoirs tels que les connecteurs, le marqueur même si, les marqueurs de conséquence, la mise en relief des ressemblances et des différences, les déterminants, le pronom ça, les hypothèses avec le conditionnel présent, les comparatifs, les superlatifs et le vocabulaire lié à l’expression d’opinion, à la description de faits et à la communication d’information (et les verbes correspondants). Variante La même situation d’apprentissage peut être faite en ligne sur un blogue. L’enseignant peut ouvrir un blogue personnel (sur des plateformes telles que Le web pédagogique, Blogger ou Moodle) et publier l’article et les commentaires de l’annexe du blogue. Les apprenants peuvent alors lire le texte d’opinion et laisser des commentaires en ligne. Ils peuvent également discuter entre eux en répondant aux commentaires laissés par leurs collègues.



OBJECTIVATION

Pistes d’enseignement de la section OBJECTIVATION ( ̴ 10 minutes)

En plénière, animer une discussion à l’aide des questions suivantes : - Est-ce que vous aimeriez laisser un commentaire en français sur un vrai blogue ? Pourquoi ? - Qu’est-ce qui a été le plus difficile dans l’écriture de votre commentaire ? - Est-ce que vous avez pris des notes tout au long de ce processus ? Si oui, est-ce qu’elles vous ont servi lors de la rédaction de votre commentaire ? - Est-ce que l’exercice vous a amené à préciser votre opinion ? Expliquez. - Est-ce que vous pensez qu’Internet est un lieu d’échange et de discussion ? Expliquez votre opinion.


Savoirs grammaticaux dans les documents CO/CÉ Technologie : une drogue dure1 Publié par Abel Cespedes, 14 décembre

Elle est moins chère que la cocaïne. Elle est en distribution libre et légale partout. C'est une drogue dure à laquelle personne ne peut résister. Elle a envahi toutes les couches de la société. Elle est si présente dans nos vies qu’elle est banalisée et acceptée de tous. Par contre, elle s'attaque au cerveau et détruit peu à peu ceux qui la consomment sans modération. Elle entraine une grande dépendance.

Quelle est cette drogue ? La technologie.

Ils disaient que la technologie apporterait la modernité, qu’elle allait nous aider dans notre vie quotidienne. Pourtant, c’est la catastrophe ! Nous étions beaucoup mieux avant alors que nous n’étions pas envahis par les écrans. L'utilisation de la technologie est devenue un problème de société. C’est même une maladie. On ne peut plus s'en passer, même quelques instants. Les yeux rivés sur notre petit écran lumineux, nous sommes hypnotisés par notre téléphone portable.

Aussi, cette drogue a la capacité de rendre accro en douceur, sans que l'on s'en aperçoive. À table, il faut jeter un oeil à son portable. En famille, en réunion de travail, en compagnie de ses amis, le besoin de prendre son bel objet de « communication » se fait sentir. Éteindre pendant quelques heures ou quelques jours est presque impossible. Écouter un film, une pièce de théâtre, un cours à l'école, un spectacle sans son téléphone intelligent en main crée un malaise.

Lors des partys de bureau, des soupers familiaux, des rendez-vous galants ou simplement entre amis, bien qu’on devrait avoir beaucoup de choses à se dire, on ne parle que de la nouvelle vidéo qui circule sur les réseaux sociaux. On la montre sur son portable. Ceux qui ne l’ont pas vue sont considérés comme des dinosaures.

À l'école, les étudiants sont tellement déconnectés de la réalité que les professeurs qui font encore référence au cinéma deviennent démodés. Ils doivent parler vedettes des réseaux sociaux pour capter leur attention.

Interdire les téléphones portables en classe mettrait les élèves et leurs parents en colère. Cela provoquerait la panique générale. Ce serait la même chose si l'on demandait à ses invités d'éteindre leur cellulaire en entrant dans sa maison.

1 Adaptation à des fins pédagogiques de FERLAND, Guy. Technologie : une drogue dure.14 décembre 2014. La presse.ca, http://www.lapresse.ca/debats/votre-opinion/201612/12/01-5050557-technologie-une-drogue-dure.php


L'utilisation prolongée du cellulaire en tout temps conduit à une perte d'autonomie, de vocabulaire et de repères culturels diversifiés. Ce qui facilite le contrôle des populations par le gouvernement.

Les politiciens l'ont compris puisqu'ils profitent de l'isolement des citoyens, prisonniers de la technologie, pour faire n’importe quoi. D’ailleurs, ils n'ont plus qu'à utiliser les réseaux sociaux pour se faire élire.

Finalement, il est capital que nous nous libérions de ce mal qui détruit la société. Que pensez-vous d’éteindre vos appareils électroniques ? Pensez-vous que nous aurons compris que nous faisons fausse route avant qu’il ne soit trop tard ?

Commentaires

Sara Haidara M. Cespedes, vous exagérez ! Les gens sont suffisamment intelligents pour utiliser adéquatement leurs appareils électroniques. Il est évident que la technologie change nos comportements, mais il est impossible de retourner en arrière. Une fois qu’on a eu inventé l’imprimerie, notre société a été chamboulée. Par contre, on ne peut pas nier les avantages de cette invention. Je ne dis pas que l’informatique n’amène pas de problèmes. Toutefois, il faut aller de l’avant. Que pouvons-nous faire pour vivre avec la technologie et minimiser ses effets négatifs ?

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Matt 3000 Selon certains chercheurs, le temps passé devant les écrans aurait un lien avec la dépression. D'autres avancent que les radiofréquences émises par nos cellulaires pourraient provoquer des problèmes de santé... Il serait important d’étudier ces impacts avant d’intégrer la technologie dans notre vie quotidienne.



Alex95 «L'utilisation prolongée du cellulaire en tout temps conduit à une perte d'autonomie, de vocabulaire et de repères culturels diversifiés», déclare M. Cespedes ! Franchement ! C’est révoltant de voir que vous ne citez aucune source ! Ce n’est pas vrai ! La technologie nous donne accès à plus d’information et nous permet de communiquer.


««« Benoit Je suis d’accord avec vous M. Cespedes. Les technologies sont tellement présentes dans nos vies que nous avons perdu tout contact humain. Je crois que, avant l’informatique, nous étions beaucoup plus heureux. Un étudiant ne devrait pas amener d’appareil électronique en classe. Je suis enseignant au CEGEP et j’interdis tous les gadgets dans ma classe. Au début, les étudiants étaient mécontents, mais, maintenant, cette règle est appréciée de tous. Croyez-vous que tous les enseignants devraient faire comme moi ?


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