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PAGE % LE MATIN - i Septembre 1932 rwiw » ,-* > i Chambre des Députés Séance du £5 septembre 1932 10 heures, le premier appel rominal ne constate qu'une tai- ble minoruè. La fouie des as- sistants grossit à chaque minute. Le contraire peut être dit des députés. Les onze présents ja- t sent intimement dans l'attente ' d'une majorité tardive.—10 heu- res et demie. On procède à un deuxième appel qui accuse vingt trois présences. La séance est ouverte. Le premier point, sanc- tion des procès-verbaux, est sans matière. Deux communi- cations du Sénat sont les seules pièces de la correspondance. Au troisième point,les débats s'ouvrent autour des conclu- sions du rapport du Comité de l'Instruction publique et de l'A- griculture sur le projet de loi iflatit à l'enseignement rural. Le Ministre de l'Instruction publique parle longuement de l'importance de renseignement rural, de la mission délicate des Inspecteurs généraux; de la na- ture du contrôle qu'ils auront à exercer sur les Inspecteurs gionaux, de l'œuvre sociale, éco- nomique et morale à accomplir dans les campagnes. I p opose une nouvelle rédaction à l'art. 1er du pro|et de loi.— Le Pré- sident de l'Assemblée le prie d'atiendre le vole des articles pour présenter sa proposition. Les conclusions du rapport et le principe de la loi sont votés à l'unanimité. Au vote de l'art. 1er le Ministre revient avec sa nouvelle rédactiou qui pré- voit trois Inspecteurs généiaux siégeant à Port-au-Prince, con- trairement à la modification pioposée par le Comité. Le député P/Ott, rapporteui du comité, est au regret de com- battre la demande du Ministre. 11 passe en revue les arguments avancés par ce dernier à l'appui de sa centralisation et conclu! au rejel de sa nouvelle rédac- tion. Les dépuléS. Adamel Châte- lain se prouoncent en laveur de la demande produite par le Mi- nistre. Mise aux voix, la nou- velle rédaction es! adoptée par une lorte majorité. Les arlicles 2, 3 e! 4 modifiés par le Mi- nistre sont aussi votés. Au quatrième point, trois rapports sont déposés par le député Acl'im. Le dernier, du comité de l'Intérieur qui a ou à statuer sur les modifications apportées par le Sénat à. la loi sur le Bien rural de famille, bé- néficie de l'urgence et du vole immédiat. Le comité ainsi que l'Assemblée repoussent les dites modifications. Un quatrième rapport est dé- posé parle député Pierre Louis. Le Président Loubeau lait un appel à ses collègues pour qu'ils exécutent les travaux en cours dans Je plus bref délai, la ses- sion devant prendre fin dans vne quinzaine de jours. lit la téance est levée. SOCIETE INÏBE I MALLEBRANCHE. GENTIL. BOGAT k C" \ L'Eau Potable Le problème de l'eau po- table est un des plus ard is à retondit Les aggloméra* tions peu importantes et dis-1 . ne " 1 PorUtfrPrioi e, (Haït.) Nous auniis reçu lu circulant suivante que nous nom jaisons un plaisir de publier en recam-t nlenL B|i M on t généralement ' a .| à leur portée des sources sul- fisamment abondantes, AUX Trois Quartiers <_J.de VENDEGIES) ANGLE AVF.NUK KINO ET Rosi: VERNET Viennent d'arriver pai- le dernier Bateau : Souliers décolletés en Daim blanc, bleu et Salin Noir, olis chapeaux, nouvelle IL N'Y A PAS DE MEILLEURE PROTECTION POUR LA SANTÉ QUE LA PROPRETÉ DU LIFE- BUOY ANTMSPriQUE. taulet des grands centres, sources de contamination,s'en tirent encore assez facile- pu mandant à nos lecteurs nouvelle Urine haïtienne qui vient d'elle formée : Port-au-Prince,le 3 septem- bre 1932. M ;<ie de Pans. r'oudre létalia, Crème To k îlon. Tourniquets, Cordonnets brillantes, etc. AKTICLES GARANTIS ET AUX PLUS BAS PRIX. V9fr#ii«Ë&»*' , !*e m » < Cher Monsieur, CATOR ARRIVE DBMIN Notre champion National, Syl- vio Cato ,— qui, A Chicago ( U, S. A ), dans un concours inter- national, battit, devant plus de 6 0(10 personnes, le champion olympique de saut en lon- gueur,— sera demain parmi noij«. Il voyage par Vu Orange Nas- sau <>, de la ligne hollandaise, «Le Matin» renouvelle au magnifique athlète l'hommage de itn admiration. Nous prenons la liberté dt| vous aviser de la formation d'une nouvelle Soc nommée t Société Haïtienne» d'Automobiles, Mallebranche, Gentil, Bogat & Cie I. Cette Compagnie a été for- niée par Ofl groupe de cinq associés.- Messrs.Daniel Brnn,l n Directeur et Administrateur Général, Marcel Gentil,Direc- teur des Ventes, Philippe Charlier, Directeur du Dépar- tement du Crédit, Fortuné Bogat, Directeur du Stock, et Armand Mallebranche.chargé de la partie Technique-Pho- nographe-Radio et eu même temps D recleur du même Département. Comme vous pouvez le cons- tater, les éléments composant cette Société ont été chacun placés à un poste il sera à môme de justifier la confian- ce que vous voudrez bien nous accorder. Nous sommes les Repré- sentants Exclusifs pour la République d'Haïti des pro. duitstrès connus et tant ap- préciés dans le monde. lo Deia General Vlotors Export GOi comprenant les Voitures et' a Camioos i Che- vrolet > inarque déjà très ré- putée pour sou fonctionne meut économique tout en étant très confortable et très endu- rante, « La Buickiquia su taire la conquête de tous les couuaisscurs et amateurs de bonnes voitures. L')— Les Pneus, Chr.nbres à air et tous les antres arti- c les fabriqués par la « Good YenrTire & Rubber Coi. 3o Les RadloS'Phono- graphes et Dis pies « RCA- Victor Co [ne « il ;<tt le peur* centage de vente en Haïti a toiijours clé supérieur â ious les autres coucurrents.ce qui permet de conclure à la su- périorité des articles sortant des Usines de cette impor- tante Société. Nous avons aussi en mains toutes sortes d'accessoires, pièces de rechange et urti- c es pour automobiles, des Revotf Américaines et Euro- péennes dont lu liste et les conditions d'abonnement ou de vente vous seront envo- yées sur demande. Inutile de vous dire que neneje/ r mviationf a eau< ..... , _ pn . \Mn do I loutes dillerentes sont in;» ! couditions d'alimentation leurs canalisations sont simples, non enchevêtrées dans un ré- seau de canalisations dlM , ;s k . ,„„ ,„ delectncite, d'egouts, dont les réparations perpétuelles peuvent entraîner des fissu- rations d.us les conduites d'eau. les en eau pok-ble des grandes col- lectivités.Trouver des sources sullisanies, les capter, les ca* naliser et amener leurs eaux 'état de pureté aux robi- nets de distribution, cela re- présente un programme dont l'exécution et le fonctionne» ment ne vont pas sans diffi- cultés. Quel que soit le seau de mesures de surveil Ijuce dont on entoure la dis tribotion d'eau potable,il peut tis- toujours s'y trouver une sure par laquellle passeront les microbes et des milliers de mètres cubes d'eau conta- minée. La liltration de l'eau à do- micile constituerait un excel- lent moyeu de préservation si elle était entourée de ga- ranties faciles à réaliser.Mal- heureusement, la plupart des filtres ne donnent qu'une trompeuse sécurité. Il faut qu'ils soient constitués par une porcelaiue très fine et trèi serrée dont le débit esl forcément très limité.a cause de la finesse des pores, les- quels se bouchent rapidement et ont besoin de tréquents nettoyages. En pratiquent pour les col- lectivités, à cô'.é d'une filtra- tiou toujours imparfaite.il esi préférable de recouiir aux procédés dits de stérilisation, qui tient réel I ment les ger- mes au lieu de les retenir tou- jours imparfaitement à l'état vivant. L'action de l'ozone et des rayons ultraviolets nécessite l'emploi d'installations com- pliquées, onéreuses, mettant en jeu léuergie électrique. Possible à la rigueur pour de grosses installations publi- ques, elle ue peut èlre adap- tée au moins actuellement aux besoins domestiques. 11 esl un piocedé qui, en raison de si simplicitè,desou économie, a détrône rapide ment tous les autres : c'est celui de la chloration, plus communément désigné sous le, nom de « javelisa ion » et qui consiste à additionner l'eau de boisson de très mi- nimes quautiles d'eau de Ja- vel ou même de chlore libre. «charbon acti!».Celui-ci possède le pou- voir de détruire l'excès de chlore utilisé pour la stérili- sation de l'eau et en même temps de lixer énergique- ment toutes les substances susceptibles de communiquer à ceile-ci un goût desag ea b!e. Pour oue ce dispositif ait sa pleine efficacité et remplisse son but, il faut qu'il inter- vienne non pas au débouche des réservoirs publics, mais au point même de cette dis- I iributioa. De cette façon l'eau ; peu! garder jusqu'à sa der- i uiere limite sa teneur en 'chlore garantie de sa stérili- 'sation et ère émise jus'e au moment de sou utilisation, débarrassée de son chlore, de ses impuretés et de ses mi- crobes. Un pareil procédé rendrait, on le conçoit, des services éminenls. LIFEBUOY LE SAVON DE L/iSAME POUR MAINS, 1 ItURES ET BAINS. Le soussigné déclare à tous qn il n'est plus responsable des actes el actions de son épousp, Eisa lo b s, pour cause d'ia. onduite notoire" lui attendant qu'une action en divorce lui son intentée. Port au-Priuce, le6Septembre 1932. Elise BENJAMIN. Dernières MOHR & LAURIN, P. O. BOX-M» Distributeurs ltae Roux et du Centre.Port-au-Prince. EQUATEUB M. Guerero Martine/ est nommé président provisoire. ALLEMAGNE-i>tn« les mi- lieux politiques, on parle de la formation d'un nouveau parti dit présidentiel pour soutenir le chancelier Von Papen. -181,000 Casques d'Acier ont défilé hier à Bel lin en présen- ce du maréchal Von rîinden- burg, des membres du Gouver- nement, du Komprinz et des membres d'association. - Le Gouvernement du Reicn aurait demandé aux Etats-Unis d'ajourner l'échéance du 30 sep- tembre. 11 devait payer 33,000, 000 de marks. Les journaux des _ Etats- Unis n'ont pas accueilli favo- rablement la note allemande sur l'égalité de droit aux arme- ments. Erratum II s'est glissé hier dans les « Dernières Nouvelles de l'E- trange! » deux coquilles dues à 1 inattention du prote et que le reste a rétablii Viennent d'arriver par le dernier staamer : Porter Tenaent XXX Bitter Angostura. Whisky Johuie Waiker, Vermouth Martini & Hossi. Le tout à des prix très fa- vorable ; venez nous voir. L. PKEETZMANN-AGGEH- tiOLVl & Go. N lecteur du reste a m i VP P<4 Iui naeme - Ce n " esl JESfJ* u, )te ULiVCllCO i allemande sur l'égalité de» Alle- ETRANQBR | mands quia été examinée par le Cabinet de Conseil en l-ran-, ce, mais la note allemande sur ' Vigulité des armements. nous comptons beaucoup sur n suJlll de que lq U es milli- Votre concours et celui de vos g rammeS par |Uro d'eau pour la stériliser pratiquement. FRANCE— A la suite du con- seil des ministres, présidé par M. Albert Lebrun, M. Edouard Herriota porte le mémoire alle- mand sur l'égalité du droit aux armements a la connaissance des puissances signataires du traité de Lausanne. —M. Maurice Palmade a pro- noncé hier à Saintes un discouis il a annoncé des mesures é- nergiques de redressement bud- gétaire Il s'est prononcé con- tre l'inflation monétaire.II a an- noncé également la prochaine conversion des rentes. M. Gaston Doumergue, an- cien Président de la Républi- que, a l'ait savoir qu'il n'avait nullement l'intention de rentrer dans la vie politique. BELGIQUE La grève des mineurs est virtuellement ter- miné». HOLLANDE Le Conseil Exécutil s'est prononcé en la- veur de l'entrée en franchise de tous les produits indispensa- bles à l'industrie hollandaise. ESPAGNE- M. Alcala Zamo- ia. Président de la République, a été promu Grand Croix de la Légion d'Honneur sur la pro- position de M. Herriot. ETATS UNIS - M. Waiker, maire de New-York, est démis- ' sionnaire. C'est le maire-adjoint qui a pris la direction des affai- res municipales. MEXIQUE- M. Ortiz Rubio, 'résident de la République, est AVIS Sauvez vos livres el cou lections en mauvais état tl les confiant aj relieur cous ciencieux, honnête et habile i ETIENNE CAMILLE, Rue Boune } Foi . PROGRÈS NOUVEAU RM M N0L\LAU Rhum délicieux goût exquis Prix réduit ALCOOL MUT TOUTE ÇONCURriENCE Clairin Vierge Chez N. NAZON Laboratoire SÉJOURNÉ DlHECTUHS F. SéJOURNé, Pharmacien R. SéJOURNé, Pharmacien de [l'Université de Paris M. SéJOURNé, Pharmacien de l'université de Paris,! tienne, la seule lire existant ju; PAR «L ORANGE NASSAU » Arriveront, demain, à Port- au-Prince, par le steamer Orangt Nassau», de la ligne hollandaise: No're athlète Sylvio Calor.Mr et Mme Auguste H. BaitieQ, Mme Lucien Laloniant et trois entants. Mr k. Seidel, Mr et Mine Fernand Sl.-\m:m«i, Mr Oscar Boigris, Méfie Cleanie Sérac, Mme Anne Elisabeth Ryner, Mt-'le \°i ;i Borges, Mme Par pende Zadra al anlanl, Mme Jean D«*c«atro, Mr Gerald i teaud, Mr et Mme Cari Ran- dao. amis pour permettre à notre Société, essentiellement Haï- de cette na- squ'à présent dam notre pa\s, d'évoluer ponr le bien être de tous. En ertet, nous sommes per suadés que de notre succès sortira bon nomb e de non*] vclles Société» li u nues et oue se réalisera aussi un progrès important pour Haïti ou le capital se trouve telle- ment divisé. Notre devise es» : t Gagner 1 démissionnaire. interne des Hôpitaux de Paris Analyses des Urines, du suc gastrique, du sang sermann, Urée, Constante d'Ainbard, Glycémie)., Descrachats. Des matières fécales. ancien ( Wai Cette dose esl d'ailleurs va- riable avec l'impureté de l'eau et notamment avec sa teneur eu matières organiques. M dans certains cas quelques dixièmes de milligrammes peuveut sullire, dansd'auties cette dose se révélera insuffi- sante cl ne donnera qu'un | résultat impartait Ou pourrait y reméJier eu javelisant tou- jours à haute dose, mais alors intervient eu plus de l'action irritante sur les muqueuses ,,w..~ —w..„w -~ . - »_»-(, . nniuuii; sui ICJ m .M j ui.-;i .;-> peu mais vendre beaucoup I djgestiftf U question du goût loul eu donnant satisfactiou j vr aiment insupportable corn a la clientèle ». Une visite en I luuu i,j U é à l'eau par lechlore nos magasins le meilleur accueil vous est réservé vous en convaincra. Dans l'espoir qu'avec voire précieuse collaboration indis*- peusable d'ailleurs à la bon- ne marche de notre Société, nous pourrons donner loute satisfaction à notre clientèle, nous demeurons, cher Mon- sieur, vos très dévoués, MALLIBRANCHB, GFNTIL. BOGAT & Cie, Toutes les Polices g DE LA l ! M comprennent la iProtection contrela J ai Foudre sans augmentation de tauxi j eu excès. L'idéal serait de pouvoir {avaliser uon |jas sans doute à tour de bras, mais très suffisamment, sans que l'eau au robinet de distri bution présentât un mauvais goût, ni un excès de chlore, j Il semble que ce desidera) tuni ait été satislait à l'aide d'un dispositif qui fait passer l'eau chlorée dans un reci- Eug.Le Bosséêti fi «l Aqents Généraux i __ i

nlenL on a POUR MAINS, 1 ItURES ET BAINS.ufdcimages.uflib.ufl.edu/UF/00/08/12/13/07097/00795.pdf\Mn do I loutes dillerentes pnsont. in;» ! couditions d'alimentation leurs canalisations

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Chambre des Députés

Séance du £5 septembre 1932

10 heures, le premier appel rominal ne constate qu'une tai- ble minoruè. La fouie des as- sistants grossit à chaque minute. Le contraire peut être dit des députés. Les onze présents ja- t sent intimement dans l'attente ' d'une majorité tardive.—10 heu- res et demie. On procède à un deuxième appel qui accuse vingt trois présences. La séance est ouverte. Le premier point, sanc- tion des procès-verbaux, est sans matière. Deux communi- cations du Sénat sont les seules pièces de la correspondance.

Au troisième point,les débats s'ouvrent autour des conclu- sions du rapport du Comité de l'Instruction publique et de l'A- griculture sur le projet de loi iflatit à l'enseignement rural.

Le Ministre de l'Instruction publique parle longuement de l'importance de renseignement rural, de la mission délicate des Inspecteurs généraux; de la na- ture du contrôle qu'ils auront à exercer sur les Inspecteurs ré gionaux, de l'œuvre sociale, éco- nomique et morale à accomplir dans les campagnes. I p opose une nouvelle rédaction à l'art. 1er du pro|et de loi.— Le Pré- sident de l'Assemblée le prie d'atiendre le vole des articles pour présenter sa proposition. — Les conclusions du rapport et le principe de la loi sont votés à l'unanimité. Au vote de l'art. 1er le Ministre revient avec sa nouvelle rédactiou qui pré- voit trois Inspecteurs généiaux siégeant à Port-au-Prince, con- trairement à la modification pioposée par le Comité.

Le député P/Ott, rapporteui du comité, est au regret de com- battre la demande du Ministre. 11 passe en revue les arguments avancés par ce dernier à l'appui de sa centralisation et conclu! au rejel de sa nouvelle rédac- tion.

Les dépuléS. Adamel Châte- lain se prouoncent en laveur de la demande produite par le Mi- nistre. Mise aux voix, la nou- velle rédaction es! adoptée par une lorte majorité. Les arlicles 2, 3 e! 4 modifiés par le Mi- nistre sont aussi votés.

Au quatrième point, trois rapports sont déposés par le député Acl'im. Le dernier, du comité de l'Intérieur qui a ou à statuer sur les modifications apportées par le Sénat à. la loi sur le Bien rural de famille, bé- néficie de l'urgence et du vole immédiat. Le comité ainsi que l'Assemblée repoussent les dites modifications.

Un quatrième rapport est dé- posé parle député Pierre Louis.

Le Président Loubeau lait un appel à ses collègues pour qu'ils exécutent les travaux en cours dans Je plus bref délai, la ses- sion devant prendre fin dans vne quinzaine de jours. lit la téance est levée.

SOCIETE INÏBE I ™

MALLEBRANCHE. GENTIL. BOGAT k C"

\ L'Eau Potable Le problème de l'eau po-

table est un des plus ard is à retondit Les aggloméra* tions peu importantes et dis-1 .

ne " 1 PorUtfrPrioi e, (Haït.)

Nous auniis reçu lu circulant suivante que nous nom jaisons un plaisir de publier en recam-t nlenL B|iM ont généralement

'a.| à leur portée des sources sul- fisamment abondantes,

AUX

Trois Quartiers <_J.de VENDEGIES)

ANGLE AVF.NUK KINO ET Rosi: VERNET

Viennent d'arriver pai- le dernier Bateau :

Souliers décolletés en Daim blanc, bleu et Salin Noir,

olis chapeaux, nouvelle

IL N'Y A PAS DE MEILLEURE

PROTECTION POUR LA SANTÉ

QUE LA PROPRETÉ DU LIFE-

BUOY ANTMSPriQUE.

taulet des grands centres, sources de contamination,s'en tirent encore assez facile-

pu mandant à nos lecteurs nouvelle Urine haïtienne qui vient d'elle formée :

Port-au-Prince,le 3 septem- bre 1932.

M ;<ie de Pans. r'oudre létalia, Crème To

k îlon. Tourniquets, Cordonnets

brillantes, etc. AKTICLES GARANTIS ET

AUX PLUS BAS PRIX.

V9fr#ii«Ë&»*',!*em»<

Cher Monsieur,

CATOR ARRIVE DBMIN Notre champion National, Syl-

vio Cato ,— qui, A Chicago ( U, S. A ), dans un concours inter- national, battit, devant plus de 6 0(10 personnes, le champion olympique de saut en lon- gueur,— sera demain parmi noij«.

Il voyage par Vu Orange Nas- sau <>, de la ligne hollandaise,

«Le Matin» renouvelle au magnifique athlète l'hommage de itn admiration.

Nous prenons la liberté dt| vous aviser de la formation d'une nouvelle Soc nommée t Société Haïtienne» d'Automobiles, Mallebranche, Gentil, Bogat & Cie I.

Cette Compagnie a été for- niée par Ofl groupe de cinq associés.- Messrs.Daniel Brnn,ln

Directeur et Administrateur Général, Marcel Gentil,Direc- teur des Ventes, Philippe Charlier, Directeur du Dépar- tement du Crédit, Fortuné Bogat, Directeur du Stock, et Armand Mallebranche.chargé de la partie Technique-Pho- nographe-Radio et eu même temps D recleur du même Département. Comme vous pouvez le cons-

tater, les éléments composant cette Société ont été chacun placés à un poste où il sera à môme de justifier la confian- ce que vous voudrez bien nous accorder.

Nous sommes les Repré- sentants Exclusifs pour la République d'Haïti des pro. duitstrès connus et tant ap- préciés dans le monde.

lo — Deia General Vlotors Export GOi comprenant les Voitures et'aCamioos i Che- vrolet > inarque déjà très ré- putée pour sou fonctionne meut économique tout en étant très confortable et très endu- rante, « La Buickiquia su taire la conquête de tous les couuaisscurs et amateurs de bonnes voitures.

L')— Les Pneus, Chr.nbres à air et tous les antres arti- c les fabriqués par la « Good YenrTire & Rubber Coi.

3o — Les RadloS'Phono- graphes et Dis pies « RCA- Victor Co [ne « il ;<tt le peur* centage de vente en Haïti a toiijours clé supérieur â ious les autres coucurrents.ce qui permet de conclure à la su- périorité des articles sortant des Usines de cette impor- tante Société.

Nous avons aussi en mains toutes sortes d'accessoires, pièces de rechange et urti- c es pour automobiles, des Revotf Américaines et Euro- péennes dont lu liste et les conditions d'abonnement ou de vente vous seront envo- yées sur demande.

Inutile de vous dire que

neneje/ r mviationf a eau< ..... , _ pn. \Mn do I loutes dillerentes sont in;»™! couditions d'alimentation

leurs canalisations sont simples, non enchevêtrées dans un ré- seau de canalisations dlM , „;s k. ,„„ ,„ delectncite, d'egouts, dont les réparations perpétuelles peuvent entraîner des fissu- rations d.us les conduites d'eau.

les en

eau pok-ble des grandes col- lectivités.Trouver des sources sullisanies, les capter, les ca* naliser et amener leurs eaux

'état de pureté aux robi- nets de distribution, cela re- présente un programme dont l'exécution et le fonctionne» ment ne vont pas sans diffi- cultés. Quel que soit le ré seau de mesures de surveil Ijuce dont on entoure la dis tribotion d'eau potable,il peut

tis- toujours s'y trouver une sure par laquellle passeront les microbes et des milliers de mètres cubes d'eau conta- minée.

La liltration de l'eau à do- micile constituerait un excel- lent moyeu de préservation si elle était entourée de ga- ranties faciles à réaliser.Mal- heureusement, la plupart des filtres ne donnent qu'une trompeuse sécurité. Il faut qu'ils soient constitués par une porcelaiue très fine et trèi serrée dont le débit esl forcément très limité.a cause de la finesse des pores, les- quels se bouchent rapidement et ont besoin de tréquents nettoyages.

En pratiquent pour les col- lectivités, à cô'.é d'une filtra- tiou toujours imparfaite.il esi préférable de recouiir aux procédés dits de stérilisation, qui tient réel I ment les ger- mes au lieu de les retenir tou- jours imparfaitement à l'état vivant.

L'action de l'ozone et des rayons ultraviolets nécessite l'emploi d'installations com- pliquées, onéreuses, mettant en jeu léuergie électrique. Possible à la rigueur pour de grosses installations publi- ques, elle ue peut èlre adap- tée au moins actuellement aux besoins domestiques.

11 esl un piocedé qui, en raison de si simplicitè,desou économie, a détrône rapide ment tous les autres : c'est celui de la chloration, plus communément désigné sous le, nom de « javelisa ion » et qui consiste à additionner l'eau de boisson de très mi- nimes quautiles d'eau de Ja- vel ou même de chlore libre.

«charbon acti!».Celui-ci possède le pou- voir de détruire l'excès de chlore utilisé pour la stérili- sation de l'eau et en même temps de lixer énergique- ment toutes les substances susceptibles de communiquer à ceile-ci un goût desag ea b!e. Pour oue ce dispositif ait sa pleine efficacité et remplisse son but, il faut qu'il inter- vienne non pas au débouche des réservoirs publics, mais au point même de cette dis-

I iributioa. De cette façon l'eau ; peu! garder jusqu'à sa der- i uiere limite sa teneur en 'chlore garantie de sa stérili- 'sation et ère émise jus'e au moment de sou utilisation, débarrassée de son chlore, de ses impuretés et de ses mi- crobes. Un pareil procédé rendrait, on le conçoit, des services éminenls.

LIFEBUOY LE SAVON DE L/iSAME

POUR MAINS, 1 ItURES ET BAINS.

Le soussigné déclare à tous qn il n'est plus responsable des actes el actions de son épousp, Eisa lo b s, pour cause d'ia. ■ onduite notoire"

lui attendant qu'une action en divorce lui son intentée.

Port au-Priuce, le6Septembre 1932.

Elise BENJAMIN.

Dernières

MOHR & LAURIN, P. O. BOX-M» — Distributeurs ltae Roux et du Centre.Port-au-Prince.

EQUATEUB — M. Guerero Martine/ est nommé président provisoire.

ALLEMAGNE-i>tn« les mi- lieux politiques, on parle de la formation d'un nouveau parti dit présidentiel pour soutenir le chancelier Von Papen.

-181,000 Casques d'Acier ont défilé hier à Bel lin en présen- ce du maréchal Von rîinden- burg, des membres du Gouver- nement, du Komprinz et des membres d'association. - Le Gouvernement du Reicn

aurait demandé aux Etats-Unis d'ajourner l'échéance du 30 sep- tembre. 11 devait payer 33,000, 000 de marks.

— Les journaux des _ Etats- Unis n'ont pas accueilli favo- rablement la note allemande sur l'égalité de droit aux arme- ments.

Erratum II s'est glissé hier dans les

« Dernières Nouvelles de l'E- trange! » deux coquilles dues à 1 inattention du prote et que le

reste a dû rétablii

Viennent d'arriver par le dernier staamer :

Porter Tenaent XXX Bitter Angostura. Whisky Johuie Waiker, Vermouth Martini & Hossi. Le tout à des prix très fa-

vorable ; venez nous voir. L. PKEETZMANN-AGGEH-

tiOLVl & Go.

N lecteur du reste a

m i VP P<4 Iui naeme- Ce n"esl JESfJ* u,)te ULiVCllCO i allemande sur l'égalité de» Alle-

ETRANQBR | mands quia été examinée par le Cabinet de Conseil en l-ran-, ce, mais la note allemande sur ' Vigulité des armements.

nous comptons beaucoup sur n suJlll de quelqUes milli- Votre concours et celui de vos grammeS par |Uro d'eau pour

la stériliser pratiquement.

FRANCE— A la suite du con- seil des ministres, présidé par M. Albert Lebrun, M. Edouard Herriota porte le mémoire alle- mand sur l'égalité du droit aux armements a la connaissance des puissances signataires du traité de Lausanne.

—M. Maurice Palmade a pro- noncé hier à Saintes un discouis où il a annoncé des mesures é- nergiques de redressement bud- gétaire Il s'est prononcé con- tre l'inflation monétaire.II a an- noncé également la prochaine conversion des rentes.

— M. Gaston Doumergue, an- cien Président de la Républi- que, a l'ait savoir qu'il n'avait nullement l'intention de rentrer dans la vie politique.

BELGIQUE — La grève des mineurs est virtuellement ter- miné».

HOLLANDE — Le Conseil Exécutil s'est prononcé en la- veur de l'entrée en franchise de tous les produits indispensa- bles à l'industrie hollandaise.

ESPAGNE- M. Alcala Zamo- ia. Président de la République, a été promu Grand Croix de la Légion d'Honneur sur la pro- position de M. Herriot.

ETATS UNIS - M. Waiker, maire de New-York, est démis- ' sionnaire. C'est le maire-adjoint qui a pris la direction des affai- res municipales.

MEXIQUE- M. Ortiz Rubio, 'résident de la République, est

AVIS Sauvez vos livres el cou

lections en mauvais état tl les confiant aj relieur cous ciencieux, honnête et habile

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F. SéJOURNé, Pharmacien R. SéJOURNé, Pharmacien de [l'Université de Paris M. SéJOURNé, Pharmacien de l'université de Paris,!

tienne, la seule lire existant ju;

PAR «L ORANGE NASSAU »

Arriveront, demain, à Port- au-Prince, par le steamer ■ Orangt Nassau», de la ligne hollandaise:

No're athlète Sylvio Calor.Mr et Mme Auguste H. BaitieQ, Mme Lucien Laloniant et trois entants. Mr k. Seidel, Mr et Mine Fernand Sl.-\m:m«i, Mr Oscar Boigris, Méfie Cleanie Sérac, Mme Anne Elisabeth Ryner, Mt-'le \°i ;i Borges, Mme Par pende Zadra al anlanl, Mme Jean D«*c«atro, Mr Gerald i teaud, Mr et Mme Cari Ran- dao.

amis pour permettre à notre Société, essentiellement Haï-

de cette na- squ'à présent

dam notre pa\s, d'évoluer ponr le bien être de tous.

En ertet, nous sommes per suadés que de notre succès sortira bon nomb e de non*] vclles Société» li u • nues et oue se réalisera aussi un progrès important pour Haïti ou le capital se trouve telle- ment divisé.

Notre devise es» : t Gagner

1 démissionnaire.

interne des Hôpitaux de Paris Analyses des Urines, du suc gastrique, du sang

sermann, Urée, Constante d'Ainbard, Glycémie)., Descrachats. Des matières fécales.

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Cette dose esl d'ailleurs va- riable avec l'impureté de l'eau et notamment avec sa teneur eu matières organiques. M dans certains cas quelques dixièmes de milligrammes peuveut sullire, dansd'auties cette dose se révélera insuffi- sante cl ne donnera qu'un | résultat impartait Ou pourrait y reméJier eu javelisant tou- jours à haute dose, mais alors intervient eu plus de l'action irritante sur les muqueuses ,,w..~ —w..„w -~ . - »_»-(, . nniuuii; sui ICJ m .M j ui.-;i .;->

peu mais vendre beaucoup I djgestiftf U question du goût loul eu donnant satisfactiou j vraiment insupportable corn a la clientèle ». Une visite en I luuui,jUé à l'eau par lechlore nos magasins où le meilleur accueil vous est réservé vous en convaincra.

Dans l'espoir qu'avec voire précieuse collaboration indis*- peusable d'ailleurs à la bon- ne marche de notre Société, nous pourrons donner loute satisfaction à notre clientèle, nous demeurons, cher Mon- sieur, vos très dévoués,

MALLIBRANCHB, GFNTIL.

BOGAT & Cie,

Toutes les Polices g DE LA l

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comprennent la iProtection contrela J ai Foudre sans augmentation de tauxi j

eu excès. L'idéal serait de pouvoir {avaliser uon |jas sans doute à tour de bras, mais très suffisamment, sans que l'eau au robinet de distri bution présentât un mauvais goût, ni un excès de chlore, j

Il semble que ce desidera) tuni ait été satislait à l'aide d'un dispositif qui fait passer l'eau chlorée dans un reci-

Eug.Le Bosséêti fi ■ «l

Aqents Généraux i

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