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71 e Année. - No M Ni. Wallon dit que son projet ne cer- respund pas entièrement à ses vues. NI. de Mac. Mahon réclamait le loto des lois e.onatttutionnellcs, la droite ne les aurait pas faite,. C'est Pour établir une majorité que M. Wallon a proposé son projet tut maintient et que le gel- approuve. M. Cottin dépose un amendement don- ant et Président de la République In nomination intégrale du Sénat, a des catégories d'éligibles et l'in.movt POLITIQUE ET LITTE$AIZE Touioase Hors Toulonue t'N AN .. 401e. UN AN..... 50 fr ABONNEMENTS StS A101S.... te SIX etots.... 2n TROIÇMfiIS... le TROIS MOIS.. 44 ANNONCES, la ligne........ 0 fr: 50 INSERTIONS RRCLAMRS, id. 0 50 ( FAITS D1vnR8, id. . 4 50 A la Soelété Générale des Annonces LES ANNONCES 25, La. nas9.r.xnes, TOULOUSE. SONT REÇUES Choc UNI. Bavas, Laffite et C. 8, l'LACo nx LA, Bac.., PARIS. HEURES DES DÉPARTS ET DES ARRIVÉES DES TRAINS DES CHEMINS DE FER DU MIDI ET D'ORLÉANS Ligne de Bordeaux. Départs: j Arrivées: Matin (direct) 12 b 11`1112 (direct) 8jh 23 Matin, 6 30 Malin (Aden), 8 48 Malt. (expe.), IL . 6mr (sape.), 3 1 45 35 Soir, 1 35 hoir, Soie(Agen), 6 20I Soir, 10 40 Ligne; de, Cette. Matin (direct) 3 h 40 Matin, 5 45 Miin n (Gare), 8 h 55 (expe.) 10 30 Départs: Arrivées Mati.- .fob.. (Soie, tbtS .Sir 4 51 Soir Star, 4 Soir 10 15 Suit (Coco), 6 LS, Soir (direct), 41 55 Ligne de Rayonne. blatin, 51, 20 Mat. (Monte.), 9635 Matin, 9 os. u (Pau), 1 25 Soir (Pan), 2 20 Soir (Sayonq, 5 35 Soie (Monte.), 5 40Soir, 9 55 u douteuses, elle décide, lequel a demandé à être présenté à la dent épure ves Toulouse J Février pur 345 voix coutre 3316, de colin... princesse Marguerite. la dI -sotte. Dépénhex lalégraphlgnes M. Depeyreexpliqueponrquotladroite , AuraB nÉvÈlom. r.vmc seéciaL ne i Acsnce env.el, repoussera l'article premier. paris, 43 février, 5 h. du matin. Parai li manche. 21 février, A1 de ci, s, Iq, an dit t qu'il m .te ru plusieurs de t An secoue relatif à l'article premier garou+ r ta , d le proje (1 h. 15 dl. r.) de s la commission, le projet Waliorz ne de l'a endemeet Wallon ont voté cas 'fristany et Mirnt ont 0tta,ryé Cor. contenant pas denx garanties c - ire: 6111. de Lassos, 5acose, de Brettes- vera (province de Lérida) (e 17, peu Dlues, la nomination l'une ér du 'Phnrin, Depeyra, de Bolrastel. d:,nt la nuit. Ils se sot emparés des I Sénat par le président, et l'adjonction N1. Thlers s'est abstenu. - fo,tv,urgs. Le feu i duré jusq,i a onze he. a . 0avant l'énergique rémslune t qqti ilss rencontrèrent, les carlistes ont ée rnutraints d72,' retirer. Set, tons les votera ponts, l'immobilité des eou- pe. est complète. TÉLÉGRAPHIE PRIVÉE Paris, 22 février, 1f h. matin: Eleclfon dans es Cétes-du.Nord al. de lorejégu, rchise, a été élu par 03,917 vais ; Ni. Foueher de Corail, républicain, a obtenu 59,785 voix de Goyon, duc de batire, 2!1,008. Il ang deux anions qui aog l. - meeutermlt la majorité de M. de tore' jégu. Aurore nfsrucru: Paris, 22 février, soir. Assemblé, nationale : M Leh.,eel'ontelis lit le rappmt de la commission 'nnolilntionnelle sur la projet. Wallon. Le rapport couctut au tdn t r Après (cette lecture Ni. Wallon de- mande l'urgence pem son projet de Sé- nat. AL Cseivet (bonapsetiele), combat l'urgence an sol du règlement. Le président, NI. Buffet, établit que le régleme.t ne s'oppose P.. à l'urgence. L'Assemblée consultée se prononce Pour 51M' deg Lo geril et Depeyra combat- lent la discussion immédiate du projet. L'Assemblée repousse successivement le renvoi au 25 et au 21, février, et dé- cide, apnée deux épreuves duulenses,que la discussion aura lieu i médistemeut. M. de Castellaoe combat les projets eenrtitsti...ci., organisant la Itépubli- qee qui est pleine de périla et qui ra- mèneru l'Empire. Il dit que les . chistes renieraient leur drapeau s'lis votaient ces projets. L'Assemblée nationale décide de pas- ser:, la discussion des articles. M. Baoul Du val développe la propo sition de nommer le Sénat aa sulfeOge mnversel direct. M. Lepère dit que I'ameadement de 31. Raoul Duval est un piège dans lequel L' gauche ne tombera pas. L'Assemblée rejette la prise en consi- dé) a tien de cet amendemea; puis,aprés samom Lé 'JOURNAL ne TOULOUSE Du 23 Février 1875. .wvm na 20 LA FILLE DU CH4NYillER XVII (soit'). aLranche esse a ses Yeux Le père L u rons. directeur, sortit a, la p prison. Il l était chanoe celant, épet, erdu, presque fou de jrie En le voyant ourir sur la route, le long des berges, on l'aurait ';pris pour un "susé Le lendemain, 1 midi, il traversa Lilliers sans voir sonos, sans rien entendre. Il passa devant sa maison, qu'il aimait tant ; il an lui donna qu'un régi rmercha ainsi jusqu'à l'engin. Lu porte des Cabrol était ouverte. Il entra. La femme su trouvait s"d". U oublia de lui dire bonjour et s'écria : Où est Tienoette ? Dieu ! fit la Cabrol, c'est le chan- vrier. - Où est nie Y dit-il encore. - A. grenier, vais s l'a'appeler. elle ..,lit je e t en criant - Tienneüe ! Tieonette ! c'est ton père. La jeune fille descendit les marrhes de escalier quatre à quatre, et vint tom- ber s bras de presque i...tmée dans le sonelet per. C fit pondant un quart d'heure un bruit de baiserd 'rot d, sanglots. L. Cabrol, eveims pour le moment BUREAUX : Rue Saint-Rome, 42. Ilion la séance d'hier, s la propo- ai,inu de M. Bethmmst, l'Assemblée a décidé de mettre la loi soi les po.voirs publics à l'ordre do jour immédiatement après la loi du Sénat. M. le marquis 1 Nl tins, ambaesadéur' d'Espagne, est arrivé à Paris: Le peintre Corot est mort. Au'rnu nkeéc.e bilité. Paris, 21 février, 7 h. 45 matie. Cet amendement n'est pas pris en La majorité en faveur de l'article pre- nsidératiou. mien dn projet. WniloB est formée par LOM. de La Rarhrt'ooesnid-Risarulia dit les groupes de la gaucho et environ 80 que les gauches commettant un abus de robres dn centre droit. pouvoir rn valant l e Sénat ; Idl'a lin m ",ons derniers sent MM. le prin- .et pas r,,o le mandat. u ce de Joinville, les dons d'Audiffrel'Puo-. Le scrutin est ouvert sur Fort. I loi ce et de troglin et NI. hocher. du projet Wallon. Aa nombre des abston0ons de.es- 4'Aasemhlécadopte par 622 voix centre Irêm, gauche sont MM. Crévy, Louis 2161 l'ortici, premier du projet Wallon. Bln.", Qu,oet, Péprat, Barodet. La séance rat levée. AUTR n6pécxa Paria, 22 :février. 6 h. 45 do soir. Résultat complet de l'élesLiou dans les Côtes-d., Nord, Ni. de Rerjégu .st élu par 45,000 contre 60,795 à M. Faucher de voie Careil, et 30,724 à M, le don de Feltre. Le Ti.. publie 1. dépérhe suivante : Constantinople, 21 février. Ln Porte considère la remis d'une lettre de don Alphonse notifiant son 'vélo, 'et an prince de iloumanie , comme nue tentative pour reconnaître l'indépendance politique de sen pays, en 'olation de la suzermneté de la Perte. F.n onséquence , elle .e reconnaîtra pas ,don Alphonse jusqu'à ce que ce procédé soit rectifié. Berne, 22 février. leour le renouvellement du grand Conseil du Tessin, 50 ultr.montaces L 49 libéraux ont été élus. Quelques dé- sordeea ont en lieu. Les clés de l'église catholique de Darne net été enlevées pur force an curé Permuta, lequel a été arrêté. (tome, 22 février. Le prince Humbert a visité Gueibaldi, les meilleures gens du monde, servirent manger au père Labranche qui mou- rait de faim. Après quoi le fermier a4 tels lui-méme nn de ses chevo us à s: voilure peur conduire à Liniers le père et la fille. - Je croyais Lien un plus r ci, dit ELiroutr e, eu en Liant don, a la petite blanche quelle avait rmis.o quittée si désespérée. _ Son père voulut savoir comment elle avait vécu depuis prés de dix ontis. 1. lie lui ra'. roté ,o partie sa douloo- recse histoire. pour ne pas lui causer te do j'a elle loi rat s s plus i"P a .,ulrrannaa. Mais'e. quS ll,- ne u a point, le pore Leranche le loi :.v, devina. - Ah 1 s'écria-411, c'est ainsi que I- gels de Liniers, qui devaient te proté- ger, t'ont trottée 1 Eh bien ! je n'y res- terni plus. Je vendrai ma aile. ; ai je ne trouve pas d'acheteur, je l'emplirai de paille jusqu'au folie et mettrai le leu dedans. 'Crois jours s'écoulèrent. Etiennette eux Verset de ris le ' vaioo pas revu Fp jour û l'arrachait 1 mort en la retirant de la Presle. Elle s'étonnait qu'il ne lût pas encore venu 1 Lilliers. Oh 1 elle ne doutait pas de lui ! Mois elle pensait à Ni. Veeuet. Alors son cime me serrait et elle voyait s'envoler, cemme e bande d'oiseaux etlrayés, tous ses rêves de bonheur. Le père Labranche était sorti de la maison de détention le mardi. Le di. manche, suivant, de bon matin, le phaé- te. de M. Verset s'arrêta devant sa ai_ sec. F.tiennatte vit venir le fermier et s'en- ferma dans sa petiechambre. Il fut reçu par le NI se csuiv ae et,. -ur Labranche,,, commença- Marché d, Paris du 22 février 4875. bplr!tuenx. . . . . . 53 .. à .e Marseille, 22 février. Nlarché calme. Aerivsges, 5,375 hectolitres. V tes 20 240 hectol,Me. Marihoopnli 7261125 à le. 31 12 112. Philippeville, 11une 130)42.1 1 le. 57 92 1)2. D'criblera 150(13h h fr. 32. Tugxnroclc dan 130/120 à Ir. S3 50. CHRONIQUE LOCALE CONSEIL MUNICIPAL arme., ce DOIT. Séumae du 6 février 1875. M. le V' Tousser m', maire, président. L. procès.verbal de la séance du 4 février est lu et adopté. M. le comte de Rességuier déclare décliner le mandat qui lui a été donné dans la dernière séance de faire partie de la commission clmrgée de procéder à l'examen des tableaux du Musée. - Oh ! interrompit le bonhomme, vous pouvez m'appeler père Labranche, comme autrefois. - Eh bien ! pore Labra0o6e, je viens vous trouver, pour vous dire, d'abord, que je regrette vivemmit tout ce qui est a rivé. - C'est ne accident, monsieur Ver- net, et ce n'est pas votre faute. - Alors, vous me pardonnez? - Oh ! de grand cour. - V000 50 o nn brave homme, père Luheonebe, et je vous trie de mettre votre tuait dans lai mienne, en signe de réronoitiation. Les deux hommes ee dopnèrent i, , cordiale Poignée de mains. - Ce n'est pas tout, père Labranche, noua vous devons une réparation. - Par exemple I s'écrit le chan- - Et nous la voulons t,,. aLle, pou z la déi srer. telle que vous ve 1,0 bonhomme rougit 1, . - Monsieur Vernet, reprit-il, je n vous demanda qu'on. chose, c'est de me conserver antre pratique ; car, je laie avoir besoin de travailler. Quel brave homme ! . pensait NI. Verset. - 9005 havez, père Labranche, r prit-il, que mon fils aime votre Elle.. nette ? - J'ai entendu parler de cela dons le temps. Entortillage de jeunes gens, M. Vernet, moins que rien. Mais ma fille est honnête et v.us n'avez rien à crain- dre, Mais il me gêne beaucoup avec ses réponses, se disait M. Ve...t. D'ailleurs, continua le père Labran- ,be, je cramais M. Félix; c'est la etc., d'or, et insola bit. sûr qu'il ne 000 droit pas séduire une Pauvrette qui da pour dot que sa sagesse, Ligne des Febx. Départs : Arrivées Matin, 9h E0 J Matin, 0h11 Soir, 2 50 Soir, 5 50 soir, 5 SO Smr 9 40 Ligne d'Orléans, Lenoe-Albl. Matin, lOh 40 Soir, 1 55 Soir, 5 10 Acte est donné de cette déclaration. M. Hue propose d'étendre le maodat de la commission dont il vient d'être parlé, à l'examen des décors du théâ- tee, dont certaines pièces , ayant une valeur artistique,. seraient,.dit-ou. mal tenues ou maladroitement restaurées. Ni. le Maire tait observer qu'il 'y a pas connexité entre In question intéres- sant les tableaux do NlosiIl et la ques- tion intéressant les décors de théâtre qui devrait être traitée', part. Sur l'obsmvaties de M. Csquié, la commission déjà ..année pour les ta- bleaux du Musée, reçoit le mandat spé- cial d'examiner les décors du théâtre. Ni. Je Maire intred,,it successivement les ff oivantes : 1 P._J t concernant les bàtimeats ageetéa an Musée. Sur une observation de M. Esquié M. le Maire explique que le maodat de la ee m ssloe comprend naturellement la q.estioo de l'.ehèvement du 91u- séc. 2° Bourse communsle de l'institut des Sourds.Muets ; Dwnamle d'un crédit de 1,750 fr. P"' supplément de traitement à sept pompiers hors rang et d'un crédit de 50 le. pont, élever an grade de caporal denx sapeurs - pompiers de première classe ; A- Avis à émettre sur l'opposition formulée par les héritiers de Ni. Lagrèze- reSirP à la délivrance d'un plan en relpdP eaéenté par le fils de testateur ; N1. 11ev commumqu1, au Conseil une lettre par laquelle Ni. Auguste Arti- gaud fils, offre de re uvale, aux mêmes conditions et pour une période de cinq années, le traité qni vient d'expirer ce 1874, et qui aval pour objet un servie ri bains p.hlics et grahtils dans l'intérêt de la population tonlousmne. Renvoyé à MM. lion, André, Itességaire. - M. Valette expose que dans le budget voté par la dernière Commission ,pal le traitement à secrétaire de l'école des Dents-Arts a été, proba- blement par l'efet d'une erreur, porté à 1,400 le. au lieu de 4,800 fr. Il demande le rétablissement de l'ancien chiffre. M. le Maire reconnaît qui une erreur pourrait avoir été commise à cet égard. Renvoyé à MM, Valeur, Monnié, Coulons, - M. Valette donne lecture d'une proposition ainsi conçue : J'ai l'honneur de proposer au Con- seil de envoyer à tn commisaion -.posée de neuf membres, l'examen du budget de 1875, et des recettes et dépenses fanaltaille. qu'il ce.. e prend.. M. le Maire répond que le budget de 1875 étant volé et approuvé, il n'y a pas lieu, ce semble, de revenir sur le t,1 9h53 3 47 B 51 25 Mardi 2.", Février 1875. omnibus de Banlieue Laraeu,, Avcsa.e.,n, i,annnse.. 8 h. 12h. eu. ; a h. 5 h. B a.rnr-Seenn, pur la (eomuee... enta 6.125. m.; Eh, h A.i Ceorx-.ovula.Louneae.. . H h 12 h. m 5 ha. Bucrtae, per l'Emhouehure... 1h .1 2 h. m.; 5 h. e. ,.an par la Céplèrc..... l h. e. s. Laeovanvsme,....... . , .e h. 12 , nanraaonus, parle tant d. Dem. 10 h. m.;3-h. é. P,.a,eencre, parles Viterellee... e h. m.; 3 h. I. 5s,5,-Ma,eiv, Coroumar.. , 8 l a . 4t. a! 8naevev,ra,, P i e s t . , Sature-Aane, Cassasse... . 7 h. 10 h, m. ; 3. h, e. 'ou- . .. . . 7 h m u . homo O h. m.; i h.3 6. 0 h. . 9 h. ll h.m.; 1,e,6 h.e 9h. m.;lh.e .s. eh. au eh.lls m.; 3 h. 112. Il i,;;l 4 hh. a1 h. e. 11h. ms. 11 . 112 m. 4 6.112 7 h. II h. m.; ah. s. e h. 112 m.; 4 h. ils s. 8. 11 h. 1IE m.,4 h. 12 3 h. e. Nora.- Le ssmie, de I, fille commaneo d 8 A. du mass et jean d 9À. dl eoae Toulouse, lyp. Monravmn. passé ; que d'ailleurs le Conseil peur- ra1Ls'il persistait A le croire nécessaire, se livrer plus utilement à l'examen de- s dé par M. Valette quand viendrait la discussion du budget supplémen- taire. M. Valette insiste : sa proposition de- viendrait sans objet s'il fallait attendre la discussion budget fia esereire c'est-à-dire, presque la fin de de l'exercice. la a d'ailleurs des précédents très- s Le Conseil municipal, qui rova- Pis la commission administrative pré présidée par l'e ,xnie 1, procéda 'mmi- diatement à l'examen et à la révision du budget voté parla Commission pré- cédente et l'autorité préfectoea le qui lait approuvé le budget de la Com mission approuva pareihement le fond get révisé. Rien d'ailleurs n'était plus naturel qu'une semblable révistou, à cause de l'antagonisme ex' tant entre les commissions municipales, et tes Conseils élus qri n'eut potut leu mêmes vnesni les mêmes principes. M. Calmé appuie la proposition de M. Volette, et ajoute quelques détails relatifs à l'incident de 1859 rappelé par Valette. Le Conseil consulté prend eu considé- ration la proposition de Ni. Valette. Avant glpil soit procédé au vote sur le fond, M. seeo demande à présenter quelques observations sur la position de la question. J'ai entendu, dit- il, prononcer successivement les ouctus amen IL révision du budget. Il ne faut pas ti il y ait d'équivoque. J'ap- puie la Demande de M. Valette eu ce ,ai concerne l'examen du hndget par commission. Cela me parait tedle- pensable. Nous avons tous reçu ua exemplaire du budget. Niais la inclure des séries d'articles qui te composent est insuffisante pour eu révéler la si- nihcation vraie et l'économie à ceux qui, appelas à l'appliquer ne l'op ce- pendantnt discuté, nt voté. Il faut pour cela une étude spéciale comma aussi pour comparer ce budget aux budgets précédents et apprécier les innovations que peutétre il contient. Mais il ne saurait évidemment cire question de déçréter, d'ores et déjà, la révision gé- nérale d'uu budget que nous ne Coa- natssnns pas. M. Valette explique que sa proposi- tion qui était écrite, h laquelle il n'a pieu changé, et dont il donne lecture une seconde fois, ne s'applique, d'après ses terme., qu'à prxamen pur et simple du budget M. Clolus dit : J'ai parfaitement con. servé le souvenir des paroles prononcées Par M. Vals ils; il s été question de révision et c'est bien là le but de sa proposition. Ce qui le prouve, c'est te pris par M. Valette de rappeler un précédent qu'il croit favorable à sa prétention. Je suis donc forcé de voir dues la proposition de M. Valette un acte d'hostilité vis-à-vis de l'ancienne Commission alors - surtout qu'il a été parlé de l'antagonisme existant entre le Conseil municipal et la Commission. Je demande en conséquence l'ajournement de la proposition de M. Valette M. Valette répond qûil n'est pas question de révision dans le teste de an proposition : qli il en a seulement parlé pour répliquer à M. le Maire, en rappelant le précédent de 1868;comme aussi il n'a parlé qu'en termes géné- raux de l'antagonisme existant natu- rellement entre les conseils élus et let commissions imposées. La proposition d'al.ueuement faite par NI. Idoles, est mise aux voix et re- poussée par le ConsoiL La proposition de M. Valette est adop- tés. En conséquence, il est procédé, par la voie de aommi s lo déstgna- tto. Il 'une commission de 1 de .,or e chargée xamt.er le budget de j1S75. 'I', 877. .Ni. Cousin, Costaos, Ebelot, 'tle et Rességuier, Caripuy, Monnié, Valette et D portal, ayant obleu,, la majorité des satrapes, sont nommés membres de la co satrape, M. Conslars croit devoir insister pour établir retiennent 'le ses de mandat donné à la commission; il déclare n'ac- cepter d'salle mandat que celai de procéder à l'exame.n et non à la révi- si du budget de 187:;. 9191. Rességuier et Cousin font, la même déclaration, M. Clolus dü ;que eériser ou r..xalné- nar c'en pour lui aLs0lnment la un Il sâ..e, parce qu'il loi est impossible de comprendre e. quoi pourrait consister ru examen plxtontque et abstrait et n coaduisart à rie. ; à moins que lui c soit la rétractation de ce qui avait paru un acte d'hostilité. M. Cosmos répond que la persistance de M. Clolus à confondre la rélisierr avec l'examen démonter la nécessité de la précision qu'il vient de taire. L'incident est clos. (La fn u dandin). M. Marly, Iteutenant du 3 régiment d'infanterie de marine, passe au 143° régiment d'infanterie de lignge, pour y occuper un e plot de son rade, en remplacement de M. Doucet, qui per- mute avec lai. M. Frédéric-Alexandre Ntont- brun, capitaine au OS' régi régime ont de ligne, est nommé chef de bata illon an 161 régiment d'infanterie de ligne, eu e pl' cament de M. Lamiesax, n .é an commandement du 17, bataillon de chasseurs à pied. La jeune fille était dans sa toilette de .allée. lis ae rendirent directement à la mat. où toute la noce se trouvait réunie. Parmi les personnes présentes, nous ci- terons Pavanai qui avait jurons le père Lubranebe devant la cour d'assises, et se femme. La veille, Félix élan allé Ies chercher loi même au chef-lieu. Après le mariage civil, les jeunes époux reçurent la bénédiction nuptiale, ,ni fat sui ie d'un disennes très-tou- chant du curé. Eu de l'église armé lea men- 'so smt t thon's' qui lui a tendaient nt la main pour umbne, Félis remmmt la bohém ce, e. Il .s'arrêta brusquement. Etiennette, qni baissait les yeux, les releva, et re. ont égalemeuL sa vieille amie la mon. dim,te. - Ait I s'rpria-t.elle, mon bonheur est nom plat I hile seule nous manquait. LL devant tout le monde, en pleurant, elle mLra a la cille femme. rt, dételle e -e'fiénnelIe, clignant de l'ail s on li, favori, amie les ,j 's d u ,aie Mollet. ç - Félix es l'ait la larinc, répondit eu souriant la jeune l'le nie - Ion n ce reprll le rr. sue r, 0nus êtes des moles, z avec nous. ami Félix ;vans is les haillons de la mendiante crie aient trop fort 1 ciné de vus heonx habit,. NI`^e Verset s'approcha. - La mère, 1.1 dit.elle, il y n à la ferme lire belle robe qui a été cousue exprès puce vous. - Vras lit la vieille ce se redres. sant. Demandez à Félix. - Je n'ai pas pu savoir oh vans étiez. la mère, dit-il, sans cela depuis hall jours vous l'auriez, - A. diable vos réflexions ! s'écria M. Vernet tout à fait désorienté ; il s'a- git bleu de dot et de séduction !... En deux mots, voilà la chose : Mua ms âme votre Eti.... tiret moi je vieux vous demandeur de me la dom,ee pour fille. - Qui est-ce que vous me dites-là ? fit le chanvrier abasourdi. - Morbleu ! vous l'avez bien en- tendu. - Quoi , on Etiennette serait la femme do M. Félix ; elle â appellerait Nl^'° 1'ernet ? - Oni, Mm" Vernet, M-, Félix ; enfin, antre fille à 5005, à ma lemme et à o, I - Monsieur Veeney je on peux pas vous répondra : je voudrais pourtant vous dite .. esPligncr... , ,je ne prospas--. "est bête d'être u'omn e ça... je n'ai Plus ua, idée, mA langue 'embarrasse, jr... je sais bien ]encens, NI. Ve...1 I - A bientôt la noce, papa Lahrsn- cbe, reprit goiemect le fermier, et ane belle .ace, je vous le promets. Drpnls qu'un jonc m n Sis ma m rmm'aeSSA je et, e plus ; il , rnhle n'avoir que iogt ans ; ne a mocr, d'hou- ff crois que je sois plus jeune que n l'élis. s Etiennette entendait la conversa- tlon. Qm,na son Père entra dans sa cham- bre, ,prés le départ de NI. Vernes, il le vit à genou. prés de st, l lit, absorbée dans la prière, et il se n,Liru discrète. ent. 'Io semaines pins tard, il,, lundi, 1 neuf b heures le malin, Si'" Venirt et son fils arrüèrent à Lilliers. Ilslenaient chercher Etiennette et son père pour Ies errer à Itavaine, où le maire et a ia e, le c erémea attendaient oui le m r u I P 5 Le visage de la bohémienne devint rayonnaot. Elle se dressa plus fière encore, Et d'une voix lente et émue : - J'ai va dors le monde tant d'égcia- les et d'ingrats, dit-elle, que je ne croyais pas qu'il y rut encore de la reconnaissance. Le c.,Lég, se remit en marche, elle le sutvtt. L'idiote était restée à la ferme, eh acide, elle avait mis ses habits de jours de fête. Elle vint au-devant des mariés, et présenta son front à Félix, d'abmrd, et ensuite à Etiennette. Puis avec ta dons ...rire - Mon frère, dit elle, le voilà marié; La as pris pour lemme la meilleure Ion je connaisse. Vous tri aimceev. bien tons deux et toujours, n'ester pas? Si s saviez comme ai besoin d'aVec- h ou !... Depuis que lit es revenu, Félix, je en sois plus lu méme... Vois m'avee tant embrassée tous les deux I... Tout à l'heure, pendant que les cloches son- .aient votre Lonbmir, j'ai senti, dans ma ale quelque chose d'étrange : je suis tombée à genoux et j'ai dit pour a prière. Oh I aimez.moi tou- t jours ;n j'ai tant besoin d'agecliea ! I?Ils cessa de parler et entoura de se, deus bras les télés radieuses des deus - Ma fille est guérie! Décria Ver Ma net. La aile de Dicte vient ent d'on trer dans s notre maison FIN. 1 Ee1LE RICI,EBOURG. Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

No M Mardi 2., Février 1875. - images.jdt.bibliotheque ...images.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1875/B315556101_JOUTOU_1875_02_23.pdf · 71 e Année.-No M Ni. Wallon dit que son projet

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71 e Année. - No M

Ni. Wallon dit que son projet ne cer-respund pas entièrement à ses vues.NI. de Mac. Mahon réclamait le loto deslois e.onatttutionnellcs, la droite ne lesaurait pas faite,. C'est Pour établir unemajorité que M. Wallon a proposé sonprojet tut maintient et que le gel-

approuve.M. Cottin dépose un amendement don-

ant et Président de la République Innomination intégrale du Sénat, a

des catégories d'éligibles et l'in.movt

POLITIQUE ET LITTE$AIZETouioase Hors Toulonue

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TROIÇMfiIS... le TROIS MOIS.. 44

ANNONCES, la ligne........ 0 fr: 50INSERTIONS RRCLAMRS, id. 0 50

( FAITS D1vnR8, id. . 4 50

A la Soelété Générale des AnnoncesLES ANNONCES 25, La. nas9.r.xnes, TOULOUSE.

SONT REÇUES Choc UNI. Bavas, Laffite et C.8, l'LACo nx LA, Bac.., PARIS.

HEURES DES DÉPARTS ET DES ARRIVÉES DES TRAINS DES CHEMINS DE FER DU MIDI ET D'ORLÉANS

Ligne de Bordeaux.

Départs: j Arrivées:Matin (direct) 12 b

11`1112(direct) 8jh 23

Matin, 6 30 Malin (Aden), 8 48Malt. (expe.), IL . 6mr (sape.),

31 45

35Soir, 1 35 hoir,Soie(Agen), 6 20I Soir, 10 40

Ligne; de, Cette.

Matin (direct) 3 h 40Matin, 5 45

Miin n (Gare), 8 h 55(expe.) 10 30

Départs: Arrivées

Mati.- .fob.. (Soie, tbtS.Sir 4 51Soir

Star, 4 Soir 10 15

Suit (Coco), 6 LS, Soir (direct), 41 55

Ligne de Rayonne.

blatin, 51, 20 Mat. (Monte.), 9635Matin, 9 os. u (Pau), 1 25

Soir (Pan), 2 20 Soir (Sayonq, 5 35Soie (Monte.), 5 40Soir, 9 55

u douteuses, elle décide, lequel a demandé à être présenté à la: dent épure vesToulouse J Février pur 345 voix coutre 3316, de colin... princesse Marguerite.la dI -sotte.

Dépénhex lalégraphlgnes M. Depeyreexpliqueponrquotladroite ,

AuraB nÉvÈlom.

r.vmc seéciaL ne i Acsnce env.el, repoussera l'article premier. paris, 43 février, 5 h. du matin.

Parai li manche. 21 février, A1 de ci, s,Iq, anditt qu'il

m.te ru

plusieurs det An secoue relatif à l'article premiergarou+ r ta

,d le proje

(1 h. 15dl.

r.) des

la commission, le projet Waliorz ne de l'a endemeet Wallon ont voté cas

'fristany et Mirnt ont 0tta,ryé Cor. contenant pas denx garanties c - ire: 6111. de Lassos, 5acose, de Brettes-

vera (province de Lérida) (e 17, peu Dlues, la nomination l'uneér

du 'Phnrin, Depeyra, de Bolrastel.

d:,nt la nuit. Ils se sot emparés des I Sénat par le président, et l'adjonction N1. Thlers s'est abstenu.-fo,tv,urgs. Le feu i duré jusq,i a onze

he. a . 0avant l'énergique rémslunet

qqti ilss rencontrèrent, les carlistesont

ée rnutraints d72,' retirer. Set, tonsles votera ponts, l'immobilité des eou-pe. est complète.

TÉLÉGRAPHIE PRIVÉE

Paris, 22 février, 1f h. matin:Eleclfon dans es Cétes-du.Nord

al. de lorejégu, rchise, a étéélu par 03,917 vais ;

Ni.Foueher de

Corail, républicain, a obtenu 59,785

voix de Goyon, duc de batire,2!1,008.

Il ang deux anions qui aogl.-

meeutermlt la majorité de M. de tore'jégu.

Aurore nfsrucru:

Paris, 22 février, soir.

Assemblé, nationale :M Leh.,eel'ontelis lit le rappmt de

la commission 'nnolilntionnelle sur laprojet. Wallon. Le rapport couctut au

tdn trAprès (cette lecture Ni. Wallon de-

mande l'urgence pem son projet de Sé-nat.AL Cseivet (bonapsetiele), combat

l'urgence an sol du règlement.Le président, NI. Buffet, établit que le

régleme.t ne s'oppose P.. à l'urgence.

L'Assemblée consultée se prononcePour

51M' deg Lo geril et Depeyra combat-lent la discussion immédiate du projet.

L'Assemblée repousse successivement

le renvoi au 25 et au 21, février, et dé-cide, apnée deux épreuves duulenses,quela discussion aura lieu i médistemeut.

M. de Castellaoe combat les projetseenrtitsti...ci., organisant la Itépubli-qee qui est pleine de périla et qui ra-mèneru l'Empire. Il dit que les .chistes renieraient leur drapeau s'lisvotaient ces projets.

L'Assemblée nationale décide de pas-

ser:, la discussion des articles.M. Baoul Du val développe la propo

sition de nommer le Sénat aa sulfeOgemnversel direct.

M. Lepère dit que I'ameadement de31. Raoul Duval est un piège dans lequelL' gauche ne tombera pas.

L'Assemblée rejette la prise en consi-dé) a tien de cet amendemea; puis,aprés

samom

Lé 'JOURNAL ne TOULOUSEDu 23 Février 1875..wvm

na 20LA

FILLE DU CH4NYillER

XVII (soit').

aLranche esse a ses YeuxLe père Lurons. directeur, sortit a, lap

prison. Ill était

chanoe

celant,

épet,

erdu,

presque fou de jrieEn le voyant ourir sur la route, le

long des berges, on l'aurait ';pris pourun "susé

Le lendemain, 1 midi, il traversaLilliers sans voir sonos, sans rienentendre. Il passa devant sa maison,qu'il aimait tant ; il an lui donna qu'unrégi rmercha

ainsi jusqu'à l'engin.Lu porte des Cabrol était ouverte. Il

entra. La femmesu

trouvait

s"d".U oublia de lui dire bonjour et s'écria :

Où est Tienoette ?Dieu ! fit la Cabrol, c'est le chan-

vrier.- Où est nie Y dit-il encore.- A. grenier,

vais

sl'a'appeler.

elle ..,lit

jee

t en criant- Tienneüe ! Tieonette ! c'est ton

père.La jeune fille descendit les marrhes de

escalier quatre à quatre, et vint tom-bers bras depresque i...tmée dans le

sonelet per.C fit pondant un quart d'heure un

bruit de baiserd 'rot d, sanglots.L.Cabrol, eveims pour le moment

BUREAUX : Rue Saint-Rome, 42.

Ilion la séance d'hier, s la propo-ai,inu de M. Bethmmst, l'Assemblée a

décidé de mettre la loi soi les po.voirspublics à l'ordre do jour immédiatementaprès la loi du Sénat.

M. le marquis 1 Nl tins, ambaesadéur'd'Espagne, est arrivé à Paris:

Le peintre Corot est mort.

Au'rnu nkeéc.e

bilité. Paris, 21 février, 7 h. 45 matie.Cet amendement n'est pas pris en La majorité en faveur de l'article pre-nsidératiou. mien dn projet. WniloB est formée par

LOM. de La Rarhrt'ooesnid-Risarulia dit les groupes de la gaucho et environ 80que les gauches commettant un abus de robres dn centre droit.pouvoir rn valant l e Sénat ; Idl'a lin

m",ons derniers sent MM. le prin-

.et pas r,,o le mandat.u

ce de Joinville, les dons d'Audiffrel'Puo-.Le scrutin est ouvert sur Fort. I loi

ceet de troglin et NI. hocher.

du projet Wallon. Aa nombre des abston0ons de.es-4'Aasemhlécadopte par 622 voix centre Irêm, gauche sont MM. Crévy, Louis

2161 l'ortici, premier du projet Wallon. Bln.", Qu,oet, Péprat, Barodet.La séance rat levée.

AUTR n6pécxa

Paria, 22 :février. 6 h. 45 do soir.Résultat complet de l'élesLiou dans

les Côtes-d., Nord,Ni. de Rerjégu .st élu par 45,000

contre 60,795 à M. Faucher devoieCareil, et 30,724 à M, le don deFeltre.

Le Ti.. publie 1. dépérhe suivante :Constantinople, 21 février.

Ln Porte considère la remis d'unelettre de don Alphonse notifiant son'vélo, 'et an prince de iloumanie ,

comme nue tentative pour reconnaîtrel'indépendance politique de sen pays, en'olation de la suzermneté de la Perte.

F.n onséquence , elle .e reconnaîtra

pas ,don Alphonse jusqu'à ce que ceprocédé soit rectifié.

Berne, 22 février.

leour le renouvellement du grandConseil du Tessin, 50 ultr.montaces L

49 libéraux ont été élus. Quelques dé-sordeea ont en lieu.

Les clés de l'église catholique deDarne net été enlevées pur force ancuré Permuta, lequel a été arrêté.

(tome, 22 février.

Le prince Humbert a visité Gueibaldi,

les meilleures gens du monde, servirentmanger au père Labranche qui mou-

rait de faim. Après quoi le fermier a4tels lui-méme nn de ses chevo us à s:voilure peur conduire à Liniers le père etla fille.- Je croyais Lien un plus r

ci, dit ELiroutr e, eu en Liant don, a lapetite blanche quelle avaitrmis.oquittée si désespérée.

_Son père voulut savoir comment elle

avait vécu depuis prés de dix ontis.1. lie lui ra'. roté ,o partie sa douloo-

recse histoire. pour ne pas lui causertedo j'aelle loi rat s s plus

i"P a .,ulrrannaa. Mais'e. quS ll,- neu a point, le pore Leranche leloi :.v,

devina.- Ah 1 s'écria-411, c'est ainsi que I-

gels de Liniers, qui devaient te proté-ger, t'ont trottée 1 Eh bien ! je n'y res-terni plus. Je vendrai ma aile. ; aije ne trouve pas d'acheteur, je l'empliraide paille jusqu'au folie et mettrai le leudedans.

'Crois jours s'écoulèrent. Etiennette

eux Verset de ris le' vaioo pas revu Fpjour û l'arrachait 1 mort en la

retirant de la Presle. Elle s'étonnait

qu'il ne lût pas encore venu 1 Lilliers.Oh 1 elle ne doutait pas de lui ! Moiselle pensait à Ni. Veeuet. Alors soncime me serrait et elle voyait s'envoler,

cemme e bande d'oiseaux etlrayés,tous ses rêves de bonheur.

Le père Labranche était sorti de lamaison de détention le mardi. Le di.manche, suivant, de bon matin, le phaé-te. de M. Verset s'arrêta devant sa

ai_

sec.F.tiennatte vit venir le fermier et s'en-

ferma dans sa petiechambre. Il fut reçupar le

NI secsuiv ae et,.

-ur Labranche,,, commença-

Marché d, Paris du 22 février 4875.

bplr!tuenx. . . . . . 53 .. à .e

Marseille, 22

février.Nlarché calme.Aerivsges, 5,375 hectolitres.

V tes 20 240 hectol,Me.Marihoopnli 7261125 à le. 31 12 112.

Philippeville, 11une 130)42.1 1 le. 5792 1)2.

D'criblera 150(13h h fr. 32.Tugxnroclc dan 130/120 à Ir. S3 50.

CHRONIQUE LOCALE

CONSEIL MUNICIPAL

arme., ce DOIT.

Séumae du 6 février 1875.

M. le V' Tousser m', maire, président.

L. procès.verbal de la séance du 4février est lu et adopté.

M. le comte de Rességuier déclaredécliner le mandat qui lui a été donnédans la dernière séance de faire partiede la commission clmrgée de procéderà l'examen des tableaux du Musée.

- Oh ! interrompit le bonhomme,vous pouvez m'appeler père Labranche,comme autrefois.- Eh bien ! pore Labra0o6e, je viens

vous trouver, pour vous dire, d'abord,

que je regrette vivemmit tout ce quiest a rivé.

- C'est ne accident, monsieur Ver-net, et ce n'est pas votre faute.

- Alors, vous me pardonnez?- Oh ! de grand cour.- V000 50 o nn brave homme, père

Luheonebe, et je vous trie de mettrevotre tuait dans lai mienne, en signe deréronoitiation.

Les deux hommes ee dopnèrent i,,cordiale Poignée de mains.

- Ce n'est pas tout, père Labranche,

noua vous devons une réparation.

- Par exemple I s'écrit le chan-

- Et nous la voulons t,,. aLle,pou z la

déi

srer.telle que vous ve1,0 bonhomme rougit1, .- Monsieur Vernet, reprit-il, je n

vous demanda qu'on. chose, c'est de meconserver antre pratique ; car, je laie

avoir besoin de travailler.

Quel brave homme ! . pensait NI.Verset.

- 9005 havez, père Labranche, rprit-il, que mon fils aime votre Elle..nette ?

- J'ai entendu parler de cela dons le

temps. Entortillage de jeunes gens, M.Vernet, moins que rien. Mais ma filleest honnête et v.us n'avez rien à crain-

dre,

Mais il me gêne beaucoup avec sesréponses, se disait M. Ve...t.

D'ailleurs, continua le père Labran-

,be, je cramais M. Félix; c'est la etc.,d'or, et insola bit. sûr qu'il ne 000droit pas séduire une Pauvrette qui dapour dot que sa sagesse,

Ligne des Febx.

Départs : Arrivées

Matin, 9h E0J

Matin, 0h11Soir, 2 50 Soir, 5 50soir,

5 SO Smr 9 40

Ligne d'Orléans, Lenoe-Albl.

Matin, lOh 40Soir, 1 55Soir, 5 10

Acte est donné de cette déclaration.

M. Hue propose d'étendre le maodatde la commission dont il vient d'êtreparlé, à l'examen des décors du théâ-tee, dont certaines pièces , ayant une

valeur artistique,. seraient,.dit-ou. mal

tenues ou maladroitement restaurées.Ni. le Maire tait observer qu'il 'y a

pas connexité entre In question intéres-

sant les tableaux do NlosiIl et la ques-

tion intéressant les décors de théâtre

qui devrait être traitée', part.Sur l'obsmvaties de M. Csquié, la

commission déjà ..année pour les ta-bleaux du Musée, reçoit le mandat spé-cial d'examiner les décors du théâtre.

Ni.Je

Maire intred,,it successivementles ff oivantes :

1 P._J t concernant les bàtimeatsageetéa an Musée.Sur une observation de M. EsquiéM.le Maire explique que le maodat de

la ee m ssloe comprend naturellementla q.estioo de l'.ehèvement du 91u-séc.

2° Bourse communsle de l'institutdes Sourds.Muets ;

Dwnamle d'un crédit de 1,750 fr.

P"'supplément de traitement à sept

pompiers hors rang et d'un crédit de50 le. pont, élever an grade de caporal

denx sapeurs - pompiers de premièreclasse ;

A- Avis à émettre sur l'oppositionformulée par les héritiers de Ni. Lagrèze-reSirP à la délivrance d'un plan enrelpdP eaéenté par le fils de testateur ;

N1. 11ev commumqu1, au Conseil unelettre par laquelle Ni. Auguste Arti-gaud fils, offre de re uvale, auxmêmes conditions et pour une périodede cinq années, le traité qni vientd'expirer ce 1874, et qui aval pourobjet un servie ri bains p.hlics etgrahtils dans l'intérêt de la populationtonlousmne. Renvoyé à MM. lion, André,Itességaire.

- M. Valette expose que dans lebudget voté par la dernière Commission

,pal le traitement à secrétaire

de l'école des Dents-Arts a été, proba-blement par l'efet d'une erreur, portéà 1,400 le. au lieu de 4,800 fr. Ildemande le rétablissement de l'ancienchiffre.

M. le Maire reconnaît qui une erreurpourrait avoir été commise à cet

égard. Renvoyé à MM, Valeur, Monnié,Coulons,

- M. Valette donne lecture d'une

proposition ainsi conçue :

J'ai l'honneur de proposer au Con-seil de envoyer à tn commisaion-.posée de neuf membres, l'examen

du budget de 1875, et des recetteset dépenses fanaltaille. qu'il ce..

e prend..M. le Maire répond que le budget de

1875 étant volé et approuvé, il n'y apas lieu, ce semble, de revenir sur le

t,1

9h533 47

B 51

25

Mardi 2.", Février 1875.

omnibus de Banlieue

Laraeu,, Avcsa.e.,n, i,annnse.. 8 h. 12h. eu. ; a h. 5 h. Ba.rnr-Seenn, pur la (eomuee... enta 6.125. m.; Eh, h A.iCeorx-.ovula.Louneae.. . H h 12 h. m 5 ha.Bucrtae, per l'Emhouehure...

1h.1 2 h. m.; 5 h. e.

,.an par la Céplèrc..... l h. e. s.Laeovanvsme,....... . , .e h. 12

,nanraaonus, parle tant d. Dem. 10 h. m.;3-h. é.P,.a,eencre, parles Viterellee... e h. m.; 3 h. I.5s,5,-Ma,eiv, Coroumar.. , 8 l a . 4t. a!8naevev,ra,, P i e s t . ,

Sature-Aane, Cassasse... . 7 h. 10 h, m. ; 3. h, e.'ou- . .. .. 7 h mu . homo

O h. m.; i h.3 6. 0 h. .

9 h. ll h.m.; 1,e,6 h.e9h. m.;lh.e .s.

eh. au.;lh.8h.

eh.lls m.; 3 h. 112.Il i,;;l4hh. a1 h. e.11h. ms.

11 . 112 m. 4 6.112

7 h. II h. m.; ah.s.

e h. 112 m.; 4 h. ils s.8. 11 h. 1IE m.,4 h. 12

3 h. e.

Nora.- Le ssmie, de I, fille commaneo d 8 A. du mass et jean d 9À. dl eoae

Toulouse, lyp. Monravmn.

passé ; que d'ailleurs le Conseil peur-ra1Ls'il persistait A le croire nécessaire,se livrer plus utilement à l'examen de-s dé par M. Valette quand viendrait

la discussion du budget supplémen-taire.

M. Valette insiste : sa proposition de-

viendrait sans objet s'il fallait attendre

la discussion budget fia esereirec'est-à-dire, presque la fin

dede l'exercice.

la a d'ailleurs des précédents très-

s Le Conseil municipal, qui rova-Pisla commission administrativepré

présidée par l'e ,xnie 1, procéda 'mmi-

diatement à l'examen et à la révisiondu budget voté parla Commission pré-cédente et l'autorité préfectoea le qui

lait approuvé le budget de la Commission approuva pareihement le fondget révisé. Rien d'ailleurs n'était plusnaturel qu'une semblable révistou, àcause de l'antagonisme ex' tant entreles commissions municipales, et tesConseils élus qri n'eut potut leu mêmesvnesni les mêmes principes.

M.Calmé

appuie la proposition deM. Volette, et ajoute quelques détailsrelatifs à l'incident de 1859 rappelé par

Valette.Le Conseil consulté prend eu considé-

ration la proposition de Ni. Valette.

Avant glpil soit procédé au vote sur

le fond, M. seeo demande à présenterquelques observations sur la positionde la question. J'ai entendu, dit- il,prononcer successivement les ouctus

amen IL révision du budget. Il nefaut pas ti il y ait d'équivoque. J'ap-puie la Demande de M. Valette eu ce,ai concerne l'examen du hndget par

commission. Cela me parait tedle-

pensable. Nous avons tous reçu uaexemplaire du budget. Niais la incluredes séries d'articles qui te composentest insuffisante pour eu révéler la si-

nihcation vraie et l'économie à ceuxqui, appelas à l'appliquer ne l'op ce-pendantnt discuté, nt voté. Il faut pourcela une étude spéciale comma aussipour comparer ce budget aux budgetsprécédents et apprécier les innovationsque peutétre il contient. Mais il nesaurait évidemment cire question dedéçréter, d'ores et déjà, la révision gé-nérale d'uu budget que nous ne Coa-natssnns pas.

M. Valette explique que sa proposi-

tion qui était écrite, h laquelle il n'a

pieu changé, et dont il donne lecture uneseconde fois, ne s'applique, d'après ses

terme., qu'à prxamen pur et simple dubudget

M. Clolus dit : J'ai parfaitement con.servé le souvenir des paroles prononcéesPar M. Vals ils; il s été question derévision et c'est bien là le but de saproposition. Ce qui le prouve, c'est te

pris par M. Valette de rappeler un

précédent qu'il croit favorable à sa

prétention. Je suis donc forcé de voir

dues la proposition de M. Valette unacte d'hostilité vis-à-vis de l'ancienneCommission alors - surtout qu'il a étéparlé de l'antagonisme existant entre leConseil municipal et la Commission. Jedemande en conséquence l'ajournementde la proposition de M. Valette

M. Valette répond qûil n'est pasquestion de révision dans le

testede

an

proposition : qli il en a seulementparlé pour répliquer à M. le Maire, enrappelant le précédent de 1868;commeaussi il n'a parlé qu'en termes géné-raux de l'antagonisme existant natu-rellement entre les conseils élus et letcommissions imposées.La proposition d'al.ueuement faite

par NI. Idoles, est mise aux voix et re-

poussée par le ConsoiL

La proposition de M. Valette est adop-tés.En conséquence, il est procédé, par

la voie de aommi s lo déstgna-tto. Il 'une commission

de 1de .,or e

chargée xamt.er le budget dej1S75.

'I',

877.

.Ni. Cousin, Costaos, Ebelot, 'tle etRességuier, Caripuy, Monnié, Valette etD portal, ayant obleu,, la majorité dessatrapes, sont nommés membres de lacosatrape,

M. Conslars croit devoir insister pour

établir retiennent 'le ses de mandatdonné à la commission; il déclare n'ac-

cepter d'salle mandat que celai deprocéder

àl'exame.n et non à la révi-

si du budget de 187:;.9191. Rességuier et Cousin font, la

même déclaration,M. Clolus dü ;que eériser ou r..xalné-

nar c'en pour lui aLs0lnment la un Ilsâ..e, parce qu'il loi est impossible decomprendre e. quoi pourrait consisterru

examen plxtontque et abstrait et ncoaduisart à rie. ; à moins que

luic

soit la rétractation de ce qui avaitparu un acte d'hostilité.

M. Cosmos répond que la persistancede M. Clolus à confondre la rélisierravec l'examen démonter la nécessité dela précision qu'il vient de taire.

L'incident est clos.

(La fn u dandin).

M. Marly, Iteutenant du 3 régimentd'infanterie de marine, passe au 143°régiment d'infanterie de lignge, pour yoccuper un e plot de son rade, enremplacement de M. Doucet, qui per-mute avec lai.

M. Frédéric-Alexandre Ntont-brun, capitaine au OS'

régirégime

ontde

ligne, est nommé chef de bata illon an161 régiment d'infanterie de ligne, eu

e pl' cament de M. Lamiesax, n.é an commandement du 17, bataillonde chasseurs à pied.

La jeune fille était dans sa toilette de.allée.

lis ae rendirent directement à la mat.où toute la noce se trouvait réunie.

Parmi les personnes présentes, nous ci-terons Pavanai qui avait jurons lepère Lubranebe devant la cour d'assises,et se femme. La veille, Félix élanallé Ies chercher loi même au chef-lieu.

Après le mariage civil, les jeunesépoux reçurent la bénédiction nuptiale,,ni fat sui ie d'un disennes très-tou-chant du curé.

Eu de l'église armé lea men-'sosmt tthon's' qui lui

a

tendaient

nt la main pourumbne, Félis remmmt la

bohém ce, e.Il .s'arrêta brusquement. Etiennette,

qni baissait les yeux, les releva, et re.ont égalemeuL sa vieille amie la mon.

dim,te.- Ait I s'rpria-t.elle, mon bonheur

est nom plat I hile seule nous manquait.LL devant tout le monde, en pleurant,

elle mLra a la cille femme.rt, dételle e-e'fiénnelIe,clignant de l'ail son li, favori, amieles ,j 's d u ,aie Mollet.ç

- Félix es l'ait la larinc, réponditeu souriant la jeune l'le nie- Ion n ce reprll le rr. sue r, 0nusêtes des moles, z avec nous.

ami Félix ;vansis les haillons

de la mendiante crie aient trop fort 1ciné de vus heonx habit,.

NI`^e Verset s'approcha.- La mère, 1.1 dit.elle, il y n à la

ferme lire belle robe qui a été cousueexprès puce vous.

- Vras lit la vieille ce se redres.sant.

Demandez à Félix.- Je n'ai pas pu savoir oh vans étiez.

la mère, dit-il, sans cela depuis halljours vous l'auriez,

- A. diable vos réflexions ! s'écria

M. Vernet tout à fait désorienté ; il s'a-git bleu de dot et de séduction !... En

deux mots, voilà la chose : Mua msâme votre Eti.... tiret moi je vieux

vous demandeur de me la dom,ee pourfille.

- Qui est-ce que vous me dites-là ? fitle chanvrier abasourdi.

- Morbleu ! vous l'avez bien en-tendu.

- Quoi , on Etiennette serait lafemme do M. Félix ; elle â appelleraitNl^'° 1'ernet ?

- Oni, Mm" Vernet, M-, Félix ; enfin,antre fille à 5005, à ma lemme et à

o, I

- Monsieur Veeney je on peux pasvous répondra : je voudrais pourtantvous dite .. esPligncr... , ,je

ne prospas--.

"est

bête d'être u'omn eça... je n'ai Plus ua, idée, mA langue'embarrasse, jr... je sais bien ]encens,

NI. Ve...1 I- A bientôt la noce, papa Lahrsn-

cbe, reprit goiemect le fermier, et anebelle .ace, je vous le promets. Drpnlsqu'un jonc m n Sis ma

mrmm'aeSSA je

et, e plus ; il , rnhlen'avoir que iogt ans ; ne

amocr,d'hou-

ffcrois que je sois plus jeune que

n l'élis.s Etiennette entendait la conversa-

tlon.Qm,na son Père entra dans sa cham-

bre, ,prés le départ de NI. Vernes, il le

vit à genou. prés de st, l lit, absorbéedans la prière, et il se n,Liru discrète.

ent.'Io semaines pins tard, il,, lundi,

1neufb

heures le malin, Si'" Venirt etson fils arrüèrent à Lilliers. Ilslenaient

chercher Etiennette et son père pour

Ies errer à Itavaine, où le maire eta ia e,le c erémea attendaient oui le m ru I P 5

Le visage de la bohémienne devintrayonnaot.

Elle

se

dressa plus fière encore, Etd'une voix lente et émue :

- J'ai va dors le monde tant d'égcia-les et d'ingrats, dit-elle, que je necroyais pas qu'il y rut encore de la

reconnaissance.

Le c.,Lég, se remit en marche, ellele sutvtt.

L'idiote était restée à la ferme, ehacide, elle avait mis ses habits de joursde fête. Elle vint au-devant des mariés,et présenta son front à Félix, d'abmrd,et ensuite à Etiennette.

Puis avec ta dons ...rire- Mon frère, dit elle, le voilà marié;

La as pris pour lemme la meilleure Ionje connaisse. Vous tri aimceev. bien tonsdeux et toujours, n'ester pas? Si

s saviez comme ai besoin d'aVec-h ou !... Depuis que lit es revenu, Félix,je en sois plus lu méme... Vois m'aveetant embrassée tous les deux I... Tout àl'heure, pendant que les cloches son-.aient votre Lonbmir, j'ai senti, dansma ale quelque chose d'étrange : jesuis tombée à genoux et j'ai dit pour

a prière. Oh I aimez.moi tou-t jours ;nj'ai tant besoin d'agecliea !

I?Ils cessa de parler et entoura de se,

deus bras les télés radieuses des deus

- Ma fille est guérie! Décria VerManet. La

ailede Dicte vientent d'on

trerdans

s notre maison

FIN.

1

Ee1LE RICI,EBOURG.

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Page 2: No M Mardi 2., Février 1875. - images.jdt.bibliotheque ...images.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1875/B315556101_JOUTOU_1875_02_23.pdf · 71 e Année.-No M Ni. Wallon dit que son projet

:t'VrP ors n' .s rus er tr,nesr, I S p i : exeR I . Le dcsavnen nnlligè à t os et le plus sintere respect tl 13 'la delegues on[ accrue en eonse- chef de I Etat de se déliant eure-Ils solisp t (J lf l !' 11 711 lait d'aulnes pl . pp t que rote religion que nous pinta quenee ponçant à l'exercice de sa prérogalisent

Mardi fl J n. r I87 r I I I'j n p... Il I pl : ll eu r . Avec la bine) .t d p x 1- De maintenir le projet Wall pour la nomination des sénateurs Lap 11 D pou l, û li ci, 1 11, t ép 6 u ,,n n ne l f l nun des flet par 1 P p De n'admettre un n arien luisent feuille lég tiste nous parait

dprie de

Coin de Minèr I R t I I .i 2 I Cil ooold I ! I. hé i 1 allait m .[cire ànec

g 1 de .t le I i deJ

Cghse, a n dehors de ceprojet . ing tn

pule D. quel roit lesie fit 1 o éodf.heu - 1 t eut naturel deil aloi l . harou 1 1 let c II l'.xh. talent I il, pas I t. f t elvoqur, -t M. Ricard, l'en do; f 1 g d -1 1 dét lé Ici 11,

Protessi

t I c 1 I : I t ,.L v e s'opposer 1 Bute dr, 11 d, g ale souverain s'est Gréseuré dt gauchis été h le t rl Il, ë- ilà I t .,I I y -lien i tSujet de rn N l 1 1. l lé le g. L i :, luis. L d x x }ont mdr e cri'nqué son avec le rameau d'olivier à la cou solutions à la roi ss n le 1 let 1 t t I t I A: e,si,

Biles tlistas aie. L,'s p, h.

nia..

t t r lu c, l arati n e à inlervenlnon mnl.id rode à l' seue de la en us conviant à la paix et eeut

lègues de la gauche qui àe son t ne, a ont.ils in nq e n jo ri bol leslogiques. tout à fait Jisl,aru nia dissona do peint sé:race, le maire a répandu : Ce ii est alitant tons les avantages

"'

p décidé, à l'unanimité moins cinq vo principes conse

Jn

rvateurs 11101 er I. f ai-se trouve 1, [seau du coup de bu- pas ma faute, c'est le conseil qui m'a nous procurer la possession de nos au- de voler le projet Wallon, hien que les ' vernement, qui ne fait rjua bandonoirr,

Cours de 7,oologie, Ana loisir. et l'l,y+in- gunite qui lui donnai la mort, taudis Gué Poussé. . tiques libertés. modifications yni elle a demandées au polit de lu fhambre souveraine, ,:. eigne compu'éeu, à 7 heures 1i2 du les aumeanx noirs and enc, levé leur as- . Vole avez un roi catholique qui; e n'aient s été admises. aDribution éventuelleP Si le ylaeé,1n1Mans son mimée. d'au'ourd'bo!, le Pasoir. p I VI I, D' I I . leu,urle sd

proposede réparer tant le mal qn a Les membres de IUni.n huitaine

afa I d tn d ..lt e ri .ouata nià,s e

bi 'oi mal pubhe la [mire Buvante repuol

i

Prv,f LL d I t d t p 1M, Iart m n J iléfait

à la religion et q sera l'un seuls n'ont fait connaître enc '.Ir eux ,s valer .i rs, 'n'ont peu le -,qu'il :i re de M. le maire ui pasSn et

1

du et t t d p Iii' 1 e. t f t. p r 11M Rmt Çue l'un des ploa fermes pdims de son lie' résolutions; lis ce retard et ilacte

us le dafma

rader', l'ah i i suis v. Le radiales Jilea .,- ,t P0110111 l i I .s nuits de cou- a Monsdem le gérant' air. en point quelques heures, tout radie lég t , tes extrémes P bals tout ils In-

légitimee Vous avez un roi i ces ndeue1 m celte i iestinnVous- Voit( spéciligue dut genre un- leur prod.it, saur l'iuilnence de la vo- s J'oppose le démenti le plus I:,rmel à quai qui pie psitu décisif are ai mrd'hni danst Isavezll ici é à Î ad' agrain. nnlié m :u par l mtion rénrsn chez cert ins l'article m sil, qua vo

é

OUR D'ASSISES

9 IIAII'l'dr.-A DUN lr'';f.

dndienee du 22 (écrier.

camélloi ons, pmssnns, etc, et,, publié dans votre numéro de ce joue.pur la rirculatiou dans des oanmix soue , Ce sera la seule et dennère réponsed q sd p R 1: "1114 qui apps qu' je ferai 1 vos assertions,"d"

. I. i d-.j .[ ons lu surface clan vous priant d'insérer ma lettred I . J nl I t sa, In i,onasse d: -s vi tee Jouira',range de l'l1l' ps appnrliendrail à cette J'ai l'honneur de vous saluer,eatégorie de pigments Bquides et aa dis-

. F, ne, w Canar,pueitiun x raln due a la rupture trou. ,Maire do.lfontpeüver.t l I I a p t solide in-dgno

R t1:n rvelé d, .I i : i leerme.

La séamt est levée à dix foires.Insu Jacques Monav, nru. Te. Manne., n, p is d' s r, rr

11

aIrl l

I.I

nrvaa.arvitenl1-

llucaalpa finn d'-alConsommé on teillai sansiv 1

n

siiro. I

une jeune fille figée de moins de treizeune. Plusieurs arrestations ontpu

or v.ls et abus de troubler,.Les débats eut eu lieu à fuie clos .

Le verdict est négatif.

Enconséquenee l'accusé est ,,quittéet mis en liber lé,

àlinixl£re publie: M. Surruf, avoel-gënéral.

Déf nsmm : M' J. Pion, survol.

société, rien sciences pl y. iry .eet ntlaaeenen ir-c irai tr,i,.e

Séance du 5 /z'urier 13711.

Peéd de M. If. Tuania, Ln .rravn.

La séance est auscele à liait lieuseset demie.

1. le U Jeanbernal, Seerétaire-géné-ral, donne lecture du procès-verbal dela décriée séance,

M. Armaing réclame contre les con-

hier maIres 4 heures, na lu-ceudie s'est d5rlaré, in l'hôtel 'I1,urnlé,

ptare. S,intr,Scsebes. le feu a pris à

a ai h rle ment situé à l'unieesnl, n n

i'leuvi£ nr eo rps de hdl iment lin ni

I anl, r.I appartement, ainsi que celair' fll t dessus, ont été i, proie

tesp,ipersdnC1,tolu,dnGiand-Itnrl et de Saint.el ae eont trans-portés sur le lien du sinial.re, A 5 tru-

a et demie tout dungse avait dis.paru.

DL le colonel commandant la place etle .!.net do 163 de ligne, ieusi quel'adjudantieude place ingénieur de laville, élatà a fille

l'te

d'un défiadétachementde, tram pus,

.g

9 Uo nationale moule : Le manifeste de la dépilation fait' s sont libres a

vf

ujourd'hui.suite emargn yne Ici paroles de

L'allégai du Cuartel-Real (organeWIJ dé l b

I

onseva71 ce e cou que, donAlphonle

sont une sérieuse garantie officiel de don Carbs), a sujet d'unantenonspris énergifne nervi encore n,s d'un avenir aujourd'hui plein dohsc 'soulèvement épiiblica,n qui aurait enalfirmations précédentes. rite, et que si on ne les écoulait point, lieu dans l'Andalousie est dénuée de.rivait au iUai-, dont nous menace

nrderM1i l et qu'il fera bien de1 iA p Il I 1.'.t

y: pl le l. I I. qu'il Pour..., IL doi.mr, la ver ii dl nos sse 'anuset ne jusClera pas roieox son attitude àl'égard de ara adjoints dans la séancedn 1. +

1,' ublic posera Tien eeetainemrnlqu'une pareille situation

eal.IldlsplnraUle, (hfesxagen du hhidi(

Marseille, 20 fégénération, à venir. ,tte feuille nnr. p ie pour déso

L n;le h' l'., droguerie à Mai aei,l.. La léputationde Biscaye u. dé héiusanee ans t ain d I Et t. A la me-

étdo mini,lere publ e, la chambre

é is en éu , hier, par nue note puti général Z. Manuel floua de guGtea mdu parquet invitant hier,eurs droguistes

Coetusur ;le député général don des mises en accusation a, en outre,

lais de justice. Il pa-don Peaneisrn de Cariaga ; le se' décidé la saisie dit numéro du journal

à

àait

se

querendre

les

auhpalais

de ont téerétnire Juan de Jatate si.. qui contient le document en question,

p pot On mande de Washington, 18 février,plainte et out appelé l'aIl, 11h05 de la Bilbao, 10 février 1575.

astuce sur la conenrrence lent fontque le Plat a refusé, par 39 voix con-

tes dru uenbes n vendant gales doits Le Carteléal, qui raille de temps tee 32,Pd'admettre le nègre éaek

eg pro à autre, ne se fait pas faute de déver- siéger dans son sein comme sénateurde

-an de ceutagnes. Il ne nul, esest

rtient ela lvui e sur non tel document, la Louisiane, à cause de l'illégalité depas de rechercher si la plainte fon-

vouésoles

n Iii an mépris des populr o élection faite par nin. législatureduo, et je vn s signale seulement l'in lions de la Itiscaye. irrégulièrement

eonstiluée

vitatin lancée aux droguistes qui se Le journal otdciel des carlistes publie La sous-commission du quinzième busot d t de fi tle P ( de hier, mu M. Ca-,i d II g t n t d commasdant des foi s -au a

"te'rl tpP Aragon, duquel il Ire ux, dont la déposition s'est polou-t ré',jusl . d pl y Pte II :t d ap è I gé I I' un ail, q 1 t gis jusqu'après G heures du soir.Lé d l( 1 1 II s d t t s

rJnsions trop absolues du procès-verbal, OBSERVATIONS MÉTÉO ROLOGIQUESq,,i, d'.apr£a s re de al rait serrai n'oaseavaraia4tin sévère mur leersl£me dei

s empierrées dont il s'est v:I -- R2 Tévr°iar 18115Desta 1. le rléfenstnr e u'rl

,p erfec ionnt q é.

11 maintient que en système s donnédans le Lnnrabuais de meilleurs résul-L ts que celui des drains en terre cuiteplacés fout il bout , sans manchons ilest vrai, et qu'il doit en élue de mêmeparlant eh lu pente est assez rode eut laisppe d'eau f écouler peu cors(dérahie,

N. Luerrgoq a n s aurait admettre cetteéxreption. Pour lui , dans toutes lessis lutins passibles et à quelque point

de une que L'un se place, les draine enterre cuite, pourvus de manchons , ae.cou, loujnnrs pré[érables à tous les au-tres systèmes. Si dans le Lauragulis il

pure en âtre autrement' c'est qu'ainsique M. Armaing vient de le ereonnal.trc, on a employé des draine sans rnau-rlmn, et dès lors surjets à se déplacer.f:a

tte0n question de principe une fois

nement teanehée, M. Iazerges ercon-fiait

quedans rertaius cas exception-

nels , notamment celui d'an champ àépierrer, les tranchées à pierrailles peu-e L i l Dié 7 . I 1 r 1

M i f. é e dans ers cas po O.uhi.rs,s derniers sciaient encore pré(èra-

.L a incaevrer, magrai D l 7 féilé l

droit, d des pharroemens et ceux des m r résistance des troupes alphonsisles.`chaiuds

en droguerie, lis tiennent jeu Gamundi aurait fait 984 pris ...>,as et les autres des produrte simulai armi es nuls le colore1 Sandra ilrus, et. l'on a toujours eu quelque. peiné â rait prigs 140 chevaux,100 fnsils resavor air la droguerie commeuue et sgton, 3 sacs d'or et d'argent, 3iu la pharmacie finit. chueriots chargés de. tabac et une grsu-

e e se cette ru n agn nssent dans I, séance à laquelle ils Ban t c des unis ronstitu tionnelles, dans celtesolennellement juré fidélité, sons le veillé,, pour l'aprés-midi du 21, rate de question dn Sénat? Ils ne veulent paschéne leudi[icnrel de Gnernica la Sourdiére, i de lui Giiambre hante; elle leur é g e

Vous avez un mollie généreux et ms Une dé au point qu'ils la vondr.iiei t t réeèrlic de M dusi 1 du 20 février ,pgnan,me, quia à la tète d'une, brillante au soir, annonce que les carlistes et par le subroge universel direct pois enrisée, vous alter la paix et le main- été repoussés de Cervrea, avec de gros de,,>eler le pays. l'or ronségnen 1, :lue

lieu de race institutions séculaire, ses pertes. Après quelques esearmou. leur importe un mode de nomination. Vans ne puusrw.àf ilter rien de pins; obus, les carlistes qui menaçaient les pintât qu'on autre P Les légitimistes

vous ne pmrvez raisonnaÙ(anent deman- chemins de fer de Saragosee et de Va.dur davantage.. lance ont d0 é alement se retirer Ces

endroit in d,1., assumant fI1 s plus graves re pan b 1 tés I ra ministre des affaires étrangères

teste conclut vin R t I d'Espagne travaille r on mémorandumos foyers qui ont été g. ri l-- qn' a blasera aux représentants de don

tuuire du travail et de la vertu. !tan. Alphonse à l'étranger.dez hnutre patrie I. pais edatla tranquillité L'élatdel'empereurd'Allemagnrcon-dont elle a lait besoin ;ns vos mains linos de s'améliorer ; mais S. Ni. esteutIesnet du pays; ne demeurez pas meure obligée de garder ses apportesourds à nos prières, et vous donnerez mots.

monde l'exemple de la sagesse, de la pub!ieait.. de l'Encyclique dnloyauté et de la noblesse de vos senti. Pape, faite dans la Cermaaia du 19,mets et votre mémoire sera bénie des vient de valoir au éd t en chef de

nsebrnev : 194 .

7a

10a s.,7s m.

lo° nrIl x4a a-

uuag.conv

Idaid.

id.

tlYrrPa.

NO insens.SO id

sssE id,50 id.

il.

naco=I Causa

740,3 + 3^,6740,2 -.759,3

41°,2

39.5 } 2^,2738,7 -

758,9 --0- 4^,0

Thermomdtra centigrade:Maximum du 21 ........ + 5 4Minim- de la nuit suivante -t- 08Neige dans fa matinée do 22,Plaie dans l'après-midi du 22,

Extrait des observations metaorologiques faites

par Id. Disais - Stalinn t l'extrémité radde la Geandc-Allés. - Altitude : 158m,

Du 22 février.Therm. cntigr. d b ee : + G 0id.

Loin. de ta nuit: 00blea, sonda.. aa...ûvf a, état nn max. narre.

Après cet échange d'observations , le t h. m. 0,76 2 0 Boul. SR lr-faible.rocés-verbal estp adopté aura modifies, midi. 0 id, id,

lion,

1.1 S ,été el' it de hl. lel U Vilulm.d t f e II j I. 1 de Nii,, ta

1 I. p auto Iore,le 1 ie i! le plis!. h.et i gr iii., pro - ut des envimn.e dr.ea résidence

roi les minéraux nous signalseasnnfine collection de m ettesdes montagnesde 1e[ehigo, anlhrariir, lignile , talé ,rIe, en magniflgnes bchanlillons, et di-

marquables de fer de

Le barometre eemalo nn pan, aprèsêtre 1 c 1 jnsquà Phnie.i t'eul,

1.t. 1 son, leI t pliauux. Ilé dors l eu r et I t naJro de-

Pli' or' '[ilé usgii amide, 2,f n illimblres N'usa,leanpfralnre à midi, 1.1,

[) 1 PARTENENTS

J'urgent, etc, (les mince de Snnl nommés:`.égoma tl d'Osaka enfin quelynes Suppléant dn juge de. paix dn ra.(..fossiles appartenant 9 diverses Gmmr- de -Ssin46det (Hante-feronne), M. Cas.tiens. tex (Dnminigne Plat .AndréBenjamin),

l'armé les plantes aù;hes, tontes en en rem plueemmil de Ni. Parendeau, dé-bon état do conservation, on peut nciter: issnai,7^ I'leerbiee des plantes iudnslriellrs et Supléants du juge de paix du raa-

.eo_

alimmitaires des japonais; 2r deux sen. toi fi,* Clnrsau (Aude.), M11. Ca,zal !

d'espèces remmillies duos les mon. eeph-Marie-Cuillaume-Rnhen)tagnee de Iele.Ligu, espèces runes pour adjoiIl au m et. l'agiàs (Jean.Charv

bu

plupart, quelques.unes môme nnu- Ira), arijoint uni maire, rn remplacementveltes parmi lesquelles on remarque une de M, [tétait, dérnissionnuire, et de NI.nombreuse série de Desmodium,de Lespi- Néppri décédé.dez., de Vicia, erra et certaines espèce

1

s Suppléent du juge de paix do cantoneuropéennes spot ! lad r ées le béaignan (Aude), Ni. Marlyau 7a an, telles p L I a pvl t e, ['benne), en rernplncem eatde DL Myan,L L5uinsa fia u¢atgaere, L édeunel[a oings. décédé,nia, L et" dont l'#tsda pomru funrnirpeuPôtre d'utiles remarques de géogra-phie botanique. M. Viguier, maire de Caylas et mrm-Enlls parmi les graines, le plupart bon de tin seil général de

Ti,

ra-c4Ga-réeultérs r ûres et récemment, par rosse vient de mourir.cunséquenlii d'une germination à peuprés certaine, on emarqun les espoirsnivau[es : G'amel[iu japanica, L Thea Montpellier, 21 février,

7r'h ans s, LM

u 111, ctecumériofdev Les di.esenlimenls que n consta-troissortes de i:hânns à mipules épi. Lions et déplorions hier preslstn[ a nnensrs; Unuenfa dulean 'l' :erre eluam- sein de l'adminislralion m niripale denée singulière dont les pédicules Iln- Mont Ilie.r, ettaux grossissent aprés l'anthère et de- un prennent méme des provienuedt mangeables, etc, etc. Portions CicheuseS'

La Société dé "de que des remerca- Ni us listes dama l'Union nationale dumente seront adressés à NI. le docteur 20 févrierVidai, pour son important envoi, et . M. le maire a ers devoir, sur lanomme une commission composée. de sommation du ec cuit, désavouer deuxMM. le professeur Filhol, E 'Pimbal- de sis collégnes,u sues prélevte qu'ilsLugeuse,

et

Ur jongla pour faire un rap- traitaint clé matiéru'u politiques, alors

,cet

détaillé sur ce sujetElle décide, en qu'ils s'appuyaient sur des oueidéra-outre, qs' ne partie des graines reç re rions d'ordre puflic pour df'ée.nder unsera

aise

il la dispositimr de la Soniélé Projet de réorgauiaation de potine pré.d'horticulture gourétee distribuée contre sensé par l'ndrni¢uialeusion alla-mému. llles harficulteurs

brutsqui sou. leur a même retiré la parole, anæ ap-

drent en tenter la culture. plaudissements du conseil mnniclpal.DL le D¢ Jongla met sous les yeux de ........ ,

Baronne, 21 février'Dans le murant de cette semaine, on

signalait à Bayouno la présence d'unétranger qui déclarait s'appeler le com-teDenedetti et qui était descendu àl'hôtel des It.^sies-Pyrénées. C'était le

m de notre ancien ambassadesrh Ber-lin, lors de la déalarntien de guerre e1870; mais le personnage e questionn'était pas notre m,cien représentant etil était Chargé d'uat missin diploma-tiquequi u'a ,pas été des

liéEu chut, on l'a ariélé aujourd'huius la prévention rte lenttativei d'em

banchages dans l'armée peur le comptede l'armée carliste ; il offrait aux mili-taires grades et fortes soldas; mais ses

bnt réussi à eédwre aucunsoldait de antre garnison,

(Courrier de Rayon. e).

ESPAGNE0 écrit d. I1bottier,, 19 février;I ébat le militaire, a q .[les de-

pins i vé t. p g e ,st livré

M, Balaill, L qui p sent se ralta-

chi 1 question I ,le, et néces-

sité., paraî Lita u vnynge de l'ex-maré-chal dans le nord de la Péninsule,

On le dit cbsrgé de lAire nn rapportne les moyns les plus propres à tee.à

foiner rapidement la guerre. Si j avaisémettre un avis mi ces matières, je eau.drain faire sentir la nécessité d'on bonc.mma.dement peur tontes les brigadeset divisions.

P,su'à nfilon d en effet, à la Ira.-fi ce, qu'

éà irea San dtonal, la

mu 1léed'oo

ngégénéral l de brigade a mua

en péril la personne du roi, ,lui auraitété pris par les carlistes si le 2^ corpsdu primo de [tirera ri était vcuu à tempsle secourir. test à ee voulait que 700hommes de l'armée nlphmisiete lait ILItués par les carlistes à loups de bluoi-

de quantité d'effets militaires.S'il faut eu roi égslementleCnar-

tel rlui, le eaberillo Cuest, se rait

emparé de Vinneoz, et eu CatalogneTristsny aurait été vainqueur à Prudes,

pend que Mii dr,a Je ut nia[st

levait entré

Fou-pouvoir contrôler ces derniérea nosvel-les, qui sont suas doute exagérées com-

i la plupart de elles qui out laprétention d'âtre ollcie11Ie, de quelquesource quelles proviennent par décretde don Cnrlns, les chefs carlistes l'eru-Ia, Dary et Egana sont nommés géné-

x de division,.uLe journal officiel d'Elt,lia auto

qu'eu Andalnsie et spécialement àDesrenapereos ont éclaté des soulève-ments républicains. Les feuilles de Ma-drid sont muettes à cet égard Le Cnar-tel réal prétend aussi que, pairs lespapiers

doumentsrétahlissant toqueplusieurs généraux de l'armée du Nordeutb'mplignés dans une conspiration

répulicaine, S'il e n est ainsu pour-quoi le Cuartel realne publie-t-il pases papiers cois peometmote `1cSuivant les cari nsles, Moiteurs serait

coupé du gvos de l'armée dn Noel etse Lmuverart blagnoà Pampelune. CettOnouvelle ect inexacte ; le général Ma-

sol gnatier gnéral à (filiale, etil curai les ordres du ministre de la

guerre pour donner suite aux npéra-liona. hr corps de Loma est toujours àSaint Sêba,,tiI..

Les aI phonsistes ont transporté 27canane de Sus Cheistobal IL d'Oteiza à^a ugs.

Don Carlos est parti hier d'RsteliupouMo die à Mnez, air doit le

La Cillas publia on décret qui donneample satisfaction aux parleurs de con-pope payables à tondes et à Paris.

VERSAILLES-PARISselle. Cuerrepandanee pur bleutOns

L'uniqétéue Idchelé du général de brugode a

panic

su Ic-champ. C amnm'1 tournait les bidons, un aide de camp Paris, Al février 1875,de Primo de Rivera a pria son dos pour

'secs Ira Pruetloss parlemenfoi tes

ne léic de 'taro et sur celle cible a , qui rallient an projet Wallon ontdéa:liargé son revolver. 11 cil i utile de Irrminé les négneiatious portontsur 1msnommer ce général. détails de ce projet Ainsi que nous

La députation IiLérule des provinces l'avens dit hier, les délégués dn rentrecongades vient d'adresser aux babi- gui ('r, du centre droit et dur ggroupe

tains do la Itis,;aye un mari tette. afin de Il u ll.'n se sont réunis dans l'apeèo.midiles engager, dani la voie de pneilication, du 20, chez M. lboeher pour délibéreren en'mmaissant l'aoloeilé de don e r la situaliata et en particulier surAlphou'r. les divergentes qui séparent la gnciae

Il est dit dans ce document que si, des grmlpes sns-aammis.par l'effet des ciroonstusees et de cer- En substance, les délégués ont ététannes influences, la députation n'a P. d'avis qu'il n'y avait pas lieu d'entierfaire encore eulendre sa voix, la si lun. dans l'examen de c , divergences ;lion ayant complètement changé par qui on pareil e aurait plue d'in.suite d éatrcle evimprévus, il u't' a nvéuimie

quexmnen

d'avantages et pourraitpins d'obstacle esd uici le dépuration, et eIt,ltne de nouvelles exigences respxc-elle peut maintenant se faire écouter et tilts, et qu'il fallait ie,

il

usemeutLransme nia son opinion, à ses coinpl- plie, ; que dans cette vole, il n'y avaitmoles, qui seront dociles à aa voix plus il rais c de earréter ; qu'il con-conime par le passé, nait d'imiter le Patriotique exemple

a 1,'avémmueul le don Alphonse RII doué, par le maréclu,1, et qu'il émailroi légitime d'Espagne et seigneur a ge de s'arréler de et d'astre à lalégitime de la Disespe, ajoute In ma- limite des concessions obtenues ; qu'en. l'amertume Prod Hile chez les légitimis-nil'esl.e, signifie la puis et I'b illt,e a- lin es points dirregeuls n'élaieol point Luce Par l'attitude dur Gouvernement, etde la patrie, la ruine des phs délesta d'une telle gravité qu'ils dussent en- spécialement du Maréchal, dans cettehies ambitions, la enserv'tics de nos traPner mi désaccord déflnitif. question. L'Union accuse presque le

paris'

21 févrler1871i.

Depuis, hier la situation politique, n'apas changé; quelques organes parisenspersistent bien h croire à l'impossibilité

de trouver nue formule de nature àréunir une majorité, ma ils se font

grandement illusion. Il et s'agit plus

aujourd'hui de prendre ses désirs pourdes réalités et de croire an a rccés dece que l'on désire. D faut voir les cLoaes

relies qu'elles cent s'ils timismecomme sans pessimisme.

Or, ce qui est à peu prés certains,test qui il y a dans la Chambre 350 à400 dé ,tés décidés à voter un o'eteoustituant le Sénat, que ce soit Îa ré-daction de M. Wallon , celle de lacommission an tout antre propositionconçue dans un sens plus.u moins cou-atiIParmmi

lse

es opposants, il faut citer fontle groupe de l'Appel au peuple, tontel'eafflme

droite,une bonne partie de la

droite moderee et quelques memb del'extié ne gauche; la .,,a tilt 1citépeut et", 300 voix, mais test la maxi.mura à prévoir en tenant compte desabstentions possibles, des maladies, desabsences, On croit que le projet sur leSénat passera à une majorité de b0 àf0vô

Mais pour arrive à saillit il f tse iter les d5bat car 1m nigoci t o s,se prolongeant, pn,irra lent arriver à

dFenmontrrr

anx d ff. t g l a de lamajorité qu'on st n bain 1 fume, iepis, dh ,généité de topiaire quia lieu uei,arllemenl,

Il rot lr£sprobahie que celle majo-rité faite de p'éces et de morceaux sedisloquera à la première ...ai... Lapremière épreuve à laquelle Ils sera

umise seralors

gri il s'agira de se pue-luger les trophées de la victoire , c'est.

dire Inrsquiil faudra constituer uanouveau cultuel- II est n effet hie-eutendu, aujourd'hui, que les membresdu l'utdr ministère seront tous "'a""parmi les députés qui amont voté leslois constitutionnelles : le partage seradifficile à faire.

Dés que la Chambre en aura nuljdiscussions polilignes nun

abordera les ques0ona d'aires et s'oc-mnpeeu d'établir t'équilibre du budgetsur des lasses sérieuses, On sait qu'il y

n déficit important à combler etq.i ul va falloir v rien de msveanx Im-pats. Les pro,ds fnaueuere de hl. Ma-thieu li.dIi donneront lieu à les déhalaLiés.vifs, mare leur adoption est pro-bable.

I,e mande des nRuires ne s'iuqulétenullement de la ituation financière

argent est Lrè.s-abmidau L, les derniérea

émissions publiques ont oblevu uucolossal, la souscription sua

obligations du Gaz de Madrid sera cer-tainement font aussi favorisée; ponr-gnol Jonc, en prbsence de ces seslentes dispnsiions des capitalistes, legouvernement ne propose-l-il pas àla Chambre un emprunt qui éteindraitla dette flottante et donnerait au Payslus ressources dont il a besoin P

On lit dans le Moniteur:Las partis e.trémes commencent à

prendre position coutre le nuureau pro-jet de loi sur le Sénat. 11 faut lirel'Union pour se rendre complu la

ont-ils quelque chose à mettre à laplace des ieuf lutions

q.'ils cool tt

etY

listent ils même jusqu'à la prop L netéplaiu I Ils huas disent sur t. leslotis que non. Dés lors, les grandes 1'u-ferra

gaulas ulfeetent ne sont que puéri-les. Qimnd en veut ILre us parti poli-tique, capable de conduire les ululeras,il faut se payer moins de ruts etchercher davantage les réalités prati-ques.

eQuart à Ni. Crévy qui, à l'autre ires.

trémité de la Chambre, est venu faireétat des deus ou trois formules quicomposent depuis trente ans son bagagepolitique, il est dans son genre ce quoles chevan-légers sont dans e, leur. C'estnu pontife sans filète,, un oracle sanstemple, qui, une fois de plus, a donnéà ses amis le spectacle d'un. pauvretépobl'q ie invétérée.

M.Crévy sntenait

l'année dernière que l'Assemblée n'avmtP. le droit de constituer un pouvoird'ana durée postérieure à celle de senpropre mandat; ce qui ne l'a pas e.-péché, d'ailleurs, de roter la loi 1vra1-lon, Les républicains, nus leur ren-dons cuite justie, ne gofitent que mé-diucremnt 's' iniransigencea sonores,qui n'ont rien,à voir avec l'exercice dela politique M. Crévy a n pldans le désert, et sou

do c aidéopposition ans

lois constitutionnelles, n IL néfal, età la loi du Sénat, eu particulier, n'en-gae sal sen

d ne,i dons cetproémblé

une pa-rait devoir faire échec à la politique detransaction, t le sentiment de tous estqu'il y a, dès à présent, u majoritéde trente à quarante voix pour l'en«semble du projet de loi dort la dis.ussion va commencer aprés-demain.

On lit dans le mime journal:Les journaux légitimistes attaquent

avec la dernière vivacité les concessions

faites par le Maréchal dans 1. questiondu Sénat. Nons expliquons plus hautnomment les députés et les jenrnauxde l'extréme droite, aprés avoir laissévoter le Sénat électif, saut mai ventis

aujourd'hui à invoquer la dispositiondu i v an projet qui attribuerait àl'Assemblée nationale les evmiaalionséseesées dans le principe, pour la

Chambre haute, au pouvoir exécutif.Mais il y a u e autre nbservstion à

présenter. C'est que le Maréchal, e

fa isaIL celte concession anx partis mo-

aérés, B éat hm,oré n pins 1 uut degré.L'esprit de sacrifice est celui que lepeuple frmçnis respecte le, plus chez

uz gai Ira gnnvm anal Entie le comtede Chamhond écrivant sa lettre du 27octobre, au moment même ni, la mnarchie émit préau à aboutir, et le ma-iéchal de Stuc-Mahon rel'usont de le-

écLre les lois ton tilntionnellespnIrnuse gnestiun de prérogatives, 'iy a nue grande, une très gourde Biffé-

e, qui n'est , merles, pas à l'avauta-gendu prunier. Si le parti légitimiste,juste ment fer de sestionpprincipes, en avaitpoursuivi l'applieuar des volisPlu,,pratique' il y a longtemps que In1l ane aurait retrouvé la séesellé et lerepos. Mais le parti légitimiste, maître

de la situation pendant des mois entiers,déployé di3 fois plus d'énergie pour

falluaomprola

sauvequll ne lui en eût

11 n' su que parle,,dilrn'u jamais agi,et aujourd'hui, n'ayant rien nus lamain, avec le vide eu nn mot, ils s'ef-force de jeter le discrédit sne ceuxqu épouvantent les séquence. de sonmoque de peéroyance. Le parti légiti-miste est dans l'erreur, quoiqu'il seflatte dâtre logique. Nons respectons

vidions ; mais il r,aie devantl'histoire l'instrument de son imputs-aance, l'agent de sa défaite, fauteurresponsable, en or mol, de la Itépubli-que quia été votée par sac Assembléecomposée, au début, de plus de cinqcents monarchistes

- On a annoncé que le goureene-mept terail demain une nouvelle 55m-mualcatlon à la Chambre, Nous croyonsqne cette nouvelle est insecte,

Le gouvernement, eu effet, aprés lesdéclarations que In général de ChabundLa 'tour a faites à la cunmiasins decq'renle, au nom maréchal, n'a plusrien à dire;el s'il intervient dans ladisnssi.n sur la loi du sénat, er serapose dire qu'il se rallie au projet deNi. Wallon.

- Le procés-verbal de la réunion de

La

gauche ue sera publié qui aujourd'hui,en

5-'tLampa que celui de la séance

de l'union républicaine. La méme cfbrmité de sentiments, dit l'F,ddnemenynègre parmi les députés de l'Union ré-pubiiraine, qui se réuniront aujourd'hui,rue de la Sourdiére, à 2 bel es. Plu.aise membres du groupe nous ontrépélé hier qu'ils se en naiesalenl quequatre opposants : M1IM. Ordinaire, LouisBlanc, I,heemimer et Ararron. lis aje..

talentméme

"'ILs se faisaient forts de

ramener M, Lhermini,r.Les calculs les plus sévères permet.,

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: No M Mardi 2., Février 1875. - images.jdt.bibliotheque ...images.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1875/B315556101_JOUTOU_1875_02_23.pdf · 71 e Année.-No M Ni. Wallon dit que son projet

(huer à nos ortes la redoutable uis- M11. Min fière, ancien préfet, 18 :ms en ont russe pour capter desLent d'annoncer dés aujourd'hui que les P P sou

Iris constiD,tionnellos seront votées sauce militaire qui devait, si peu de do services, pension annuelle de 5;000 es d'eau minérale aux rouirons de

Tihis Il, emm é avec lui son filsfè é l d

r

4

par n majorité qui peut varier de380 à 400 voir. Les groupes de gauchedisposent aujourd'hui rte 315 voix as.-rées. MM. d'Audillert-Pasquier et leursamis sont sûres de 00 voix au moins etespèrent que leur exemple entraîneraencore de 20 à 25 de leurs collègues.

- D'après la Rrance M. Befhmont au-gauche prononcéérait, à la réunion de la

n discours remarqué dans lequel il

est attaché à démontrer que, devant

la gravité de la situation, toutes lesquestions de doctrine n'étaient que se-

i claires. Nous apporterons dans le.éraillonsdu gouvernement répnbli-

rail les modifications nécessaires quesindiquera l'expérience., a-t-il dit.

Ce q li importe anjooed'hni, c'est der le puys, de le mettre à l'abri

,le, foctieos, de loi donner le calme, le

repus, la séenrité auxquels il aspire.

A la suite de vote, uu des députésqui s'étaient prononcés contre la pro-

position transactionnelle, hl. Wil loin, adéclaré que devant la presque

ou lié

des suffrages, il croyait de son devoir de

ne pas se séparer de ses collègues et de

,alto le projet Wallon.

- Jeudi prochain, le Maréchal don-nera n nouveau dîner parlementairennquel seront invités les députés ap-11

puetenmit aux divers groupes de l'As-mblée. Après le dîner aura heu la

néerption officielle habituelle.

- hier lu pays coté saisi. Ily avaitdéjà 5,000 numéros de tirés lorsque la

a u lieu. Cette mesure a étéee par un article de M. Paulale C usa

; mois, après correctioneu s clér IearRcl inrrimné, le numéro du

Pays a été rendu à la circulation.

Regrets stêrlleu.

r. . encraser ; p us etemps apr s, nuso l'aider au milirai des difficultés deguerre de 1870, plus de Sedan, plus de I M. Sonnette, ancien préfet, 21 ans p se

siégé de Paris, partout plus de Coin- de services, pension annuelle do 5,353 n entreprise, et Wons apprenonsqu'ils

I

ions encore l'Alsace et francs. ont reçu tous les deux, de le part do1. Loir aiueset,,,nous n'a prions pas M. Guillaume d'Aueibean.:mcieu pré- grand duc et de l'ernpreeue de Bussie,

l'amendement de M. Dupent. fil, 21 ans do services, pensim, annuelle des témoignages de haute satisfaction.Mais laissons ces regrets stériles ; et, de 5,702 0e,

si excusables que nous fussions peut- M. Tourangia, ancien préfet, 21 ans

être de nous lamenter sur un passé qui de services, pensioa annuelle de 5,100

pouvait être si brillant et qui est si la- francs.gober, cessons de gémir et de eécrimi- M. de Vangy, avoiés préfet, 22 nuser pour noas occuper courageusement de services, pensi.n annuelle de 3,533

au présent. Lianes.On se moque de ce bonhomme de père M. Couard, ancien préfet, 24 ans

qui on lieu' de, chercher les moyens de services, peasion annuelle -de 3, o

de racheter son Cils, qu'il croit prison Iruors.r cher les 'turcs, ne sait que. répé il Ilueeau oui leu Préfet, 2' lis de

fer :. Mués, que diable allait-il faire. , pension annuelle de 5,000dans celte galère ! Ne ..y... pas

l'rane,,¢s

une union de Gérontes, hl. Lurribe, aarien préfet, 21 ails de

(Jfoslifeur rrndeeeiel). Alexandre pcy.ervlces, pension annuelle de. 2,379

francs.

_ Ni. Morand de Callae' ancien préfet,

Voici le relevé des feucLi.nn;ires do

23

ans de services, pension annuelle de

4,295 te.inistère de l'intérieur qui, ayant été M. Nau de Beauregard, ancien préfet,

retraités depuis 1870, ont obleuu avant 21 ans de services, pension annuelté dele 24 mai des pensions de retraite, bien 4,649 fr.qu'ils ne fessent pas dans les candi. ,M. Si... de Quirielles, ancien sous-tions o.,u d'après le droit commun ils préfet, 17 ans de services, pension an

fient droit à cette pension, viciai ont nuelle de 1,223 fr.dû jusliticr des infirmités prévues pur les Ni. Belloc, aarien soos-préfet, 22 mlois: de services, pension annuelle de 1,5114

M. Montois, ancien préfet, ayant 23 ans francs.de services, pension annuelle de 3,000 N1. Bidon, ancien sous-préfet, 18 oresfrancs, de services, pension annuelle de 928

M. Pool [tests. d'Ancezune, ancien pré- francstel, 23 ane de services, pension ..nu e]le M, Bonhamme, ancien soos-préfet, 11de 3,333 fr. ana de s vices, pension annuellle de

i n Préfet, 20 ans 1,000 fi.

erM. Lorette, ancs

de services, pension annuelle de 4,775 M. Caslaing, ancien préfet, 21 ans detroncs

, services, pension annuelle de 0,000 Le.M. Seenntius, ancien préiet, 20 an M. Sobinr, préfet, 2f ans de

de services, pension Inculpé de 3,177 ser

Mvices,

pension annaelle de 5,000francs. [ anis.

NI. Dmvauohe, ancil. préfet, 29 ans hl. Yuillard, ancien préfet, 26 ans dede survie e, pension annuelle de 5,000 ervlces, pension annuelle de 5.01)0francs francs-

M. Colorias de Itnvvre, ae 'fitn Pt M. 7ougeard du Lvices,, ancien pré-24 ans de services, pension sonnette

'

de fut, 27 ana de services, pension an-0,000 fr. nuelle de 6,000 francs.

NI. P,smpon-I.evainville, ancien préPel, M. Vernhette, ancien préfet, 14 uns21 ans rte services, pension annnc'hte de de pension annuelle de 1,7118

0001,M L

le.sm f I amis p Ni B Y préfet, 18 aIl,

Lei 1 an s,. uses, p lion,,, nu le dcscr,ires, pension au salle de 1,195de 1,336 fr. francs.

M, Ninmmés, uvriesoe os-préfet, 27 ans NI. pétri, ancien préfet, da police,de servais, Pension annuelle de 1,176 23 ans de services, pcolin. annuelle defrancs. 0,000 francs.

M. Itofêntov, ancien préfet, 29 eus hl. Pion, ancien préfet, 23 ans dede services, pension unnnnlle de 5,000 service, peasion annuelle la 0,0110

('ranci. francs61. ini, pneu, ancien préfet,

18

eus M. Bonnet, unciea soos-préfet, 21 misde

suer,

.es, pension annuelle de 2,793 doM- pension annuelle de 1,000francs

r

fr.

51. Delmus, ancien soos-préfet, 23 ans M. Carat ancien sous préfet, 22 ans

question des bûchés de i'I?Ibe, d'où de-vait ,ci

Illa guerre de 1800, laquelle à

on tour devait pro loir, lu guerre de4870, c'euLà.dieu l'ahuissemoun, le dé-

de la é ce..me51. II,nsen a pris

umne

pont fort activeà toutes cas négociations; il corres-ponde, il s'est entretenu plesicucs foisavec !'ci principaux persnnuagea qui di.rigeaient alors Ies cela rions e tér,enresaos grandes pniss:rares, avec NI. Il ,.a,-te

de Choudardy nt avec NI. Drouyn dei,huya, aven M. de 1(endell et avec M. deItism,reti I et son livre n'eut, à propre-,sent parier, qni uu simple journal o'il a repro unit Ifda`leiIiaiIt Ies plus

,olé.

massantes de ces c n... es stious et de celettres, "x qui,précisémeut û ansede cette simplicité même, li n ,jettequ'au e lumière pins vive et plus origi,alesnr les événements comme enr Iesmm il..

La Gouverna ment français a ce deuxérosions de conjurer les dangers qui

pouvaient résulter pour notre puys d'entrop grand nccrnisent de la puis-

P"""""- premier,, en 1864,rlnsnd

loordd nsse:l proposa d'intml fans

en faveur du rires; mais il faut.dire à la déchargearge l' cabinet impérial,que, n en prénom lnitiative de netteintertavent

tion armée, l'Angleterre ne pa-raissait guère disposée à en supporter

us le poids. La seconde,en 18110,avec 'o

pends u la guerre ausiro-pressé mie; et,

cette l'oie, la conduite de nasebammesd'limt l'ut sans exc ose.

Il faut lire dans l'in térécit de ce qui

se passa entre l'empereur et ses covse{(-lars, quand m, sppldl sise 1Wileries fie

u to a.pressait M. BrouYn de Lhu7sdag wypressait Naplléml lai J

fr.ntiê,I de l'Est.hommess,.

ur noir tiére de l'Est.Vous pouvez dominer la si l es , ve-

nait d'écrire, de Vienne, hl.dode C,ramne;

par ai e simple e, en etration militaire;lo Prusse n'a pas, l

Ilmoment, 15,000e

re Slraebuurq etlinnnes d mettre ent

Li.. , Cl Ccmme le remarque loribienbien

111.1 .,.t plan naturel, quand on aii de grandes taules qni on paye

i:hèrement, toc de se reporter par lu

pensée vers l'heureux instant ou l'on

pouvait encore ]es éviter, et de repasser,Prit t h g

1 1. lie [ 1,, calait. oIlq n. l

.[IL b, , été mieux ilC'est ne

vu mm,n'avons pu non., mu-

ce faire eu lisant le curieus Li-re que vient de publier un écrivain

danois, 51.1. lluosev (t), .a 'es négo-r.int.ans anxqueltes a donné lieu, de181;4 à 1861, r elle éternelle et fatale

de services, pension annuelle de 1,000 de services, pension annuelle de 1,493francs. Pr.

M. M19o n, ancien sous-préfet, 20 M. Lavollée, ancien pré f, 17 ans deans de

ser servialo

ces, pension annuelle de survires, pensionanenelleet

de 1,403981 IL. francs.

hl. Bayer, ane en préfet, 22 uns de M. de Vatlavieille, a.cten préfet, 13services, pns m nuelle de 3,2!14 ns de s rvires, pension anenelle deensio

dp plu, an

4,524 ffancs-Ni. 1, ana e mes,suellode Ans de s.rvïces, pension on-5

nu lia de 30.ilM. Lasses, haro. de Saint-Geniô an-

e, pn

ensioncien préfet, 22 ans deserviesmouette de 5,707 fr.

Ni. sioos, , ancien préfet, 18 ansde sefvices, pension un...lie de 4,094troncs.

NS. de: Chaxiergues de nard, ancienus-préfet, 2fi; ans services, p,msion

annuelle de 1,000Le,

hl. Vér m, baronde

TI,fi uq ancienem ppréfet, 13 alis de services, pension n

poel'se de 5,5517 fr.M. Le Beau de Metteur, allie. pré-

fet, 18 ans de services, pension annuellede 3,700 l'r.

M. de Fleury. ancien préfet, 10 ans

de servlaes, pension annuelle de 4,100

francs.M. Parlas d'ivoy de la Poype, ancien

préfet, 28 ans de services, plus ,en an-.alie de 5,000 te.

M. Salles, ancien préfet, 22 ans deservices, pension annuelle de 3,986

francs.

M> robc'iceslimé, ancien préfet, 2-'l sas

de services,

Inuli

ne, anenelle de 3,582

fi soles.réfef 19 ansN. Bernard ancien sous- p

de services pension annuelle de I,Oqqfrancs.

Pré-ü. do eaasservices,

peu elle[et, 20 uns de pension annuellede 1,029 fr.

Ni. le baron Dosais, anesen préfet, 17s de services, Loulou. annuelle de

1,500 fr.M, lleneufve, ancien pré&t, 18 ans

de services, pension annuelle de 4,524

fr.

N1 Belurgey de Granvi eiuo ancien pré-fet, 21 ans de survires, pensi.n aonuelle de 8,555 Ir.

M. Blanquert de Dail lent, ancieus services, pension ;an-préfet, 2U ans il

.15e110 de 1.651 Prr M. lori -Pisaui, ancien soes-préfet,

- Madame la maréchale de bloc.Ntahon vient d'annoncer à Madame lamarquise de Fouenès, lemme du préPelde lu Savoie, qu'elle met à sa disposi-tion air vase de la aloi 'actnre de SI

s, destinde à la loterie qui suivra legrand concert de 27 de ce mois an bé-

6tce des inondés nécessiteux de Cham-béry.

- Les j.......IL de Boues démentent,nu nom de S. E. Mgr. de Bonnechose,la nouvelle d'après laquelle le rdinal

archevêqueaurait

assisté ana obsèques

de son frire, M. de Bonuechnse qui

était, comme ou sait, protestant.

-- La cérémonie du sacre de Mgr.Jourdan évêque élu de Tarbes, aura

lieu à Notre. Dame le mercredi 24 fé-vrier à 8 heures 112. Le cardinal arche-

,éque de paris, prélat consécrateur, se-

ra assisté par les évêques d'Autan et

de 13 ,avais.Le Saint-Père a nominé le nouvel

évêque assistant au trône et comte ro.main.

- Tous lesans, à la méme épegeeNi. de Bismarck éprouve une maladiechronique qui exige les soins les plusu'gens et qui ue permet pas an gland-

de l'empire de supporter lepoids des affaires. L. journaux s'émuu-mst, ils consacrent de longs articles à

an Lé dois le 'art de l'Aliémognean,sembla dEpendre, te public ereop.mdiscute les chances !d'une retraite qni

aurait, si elle aenait à se prod ,ire sé-

rieusement, les conséquence.., Ira plus

graves: pendant ce temps, M. de Bis-arck erço!t ale Loutrs parts rles témoi-

d'admiration, 11gnages d'amitié oujouit des craintes qu'il inspire , ilprofitohabileroent de la ter. eue que l'i-dée seule de son départ inspire pour af-fermir son pouvoir et briser Ies risis-tances de ses adversaires ; puis il vapasser quelques mois dans ses terres etcroient mussifs fort dispos à lierlm, oùil reprend avec une v gueur mm..ellesa lutte acharnée contre le catholicismeet ses intrigues diplomatiques.

Nous sommes aujourd'hui aItnoracement de la crise. M. de Bismarckparle de ses fatigues et demande ['a.-

de se retirer des affaires ;

tous Ies jouenm,x d'Allemagne sont enémoi ! Dans quelques jaaes sous arri-verons à la seconde période, qui pré-cédera de bien peu le dénoiument ordi-nuire.

Pour un homme aussi épuisé qu'ilprétend l'être, M. de Bismarck montre,d'ailleurs, une singulière activité. Ne

,disait-il pas de faire discuter, en pieiqui

ro..,lecture, par le

l'La.

admi i la loiP. d raaphphe fias

des biens du

desclergé

laïques? Le télé

e

télégraphe ne

nous annonce-4 ail pas ce malin mêmeque la Germani rit poursuivie pour

air publié une encyclique du Pape 4Que les jouenuua se rassurent. M. deBismurcis a encore toute son énergie,

et se maladie sera vite guérie!

(fmuenal des hébvla).

La Société ImIlrale d'agriculture del'Aude proteste en es termes contrele projet de lui relatif à l'a surtaxe deles vins :La Société centrale d'agricul4me de

l'Aude ;Envisagra fit la question seulement ma

point de eue agricole.Considérant:Q,'il n'est pas exact de prétendre

que l'alcoolisation des vi . légers n'a

pas d'autres bel gn'ms dédoublementfutur opéré sur les lieux de consomma-

tion ;

Que celte alcoolisation est au 'eu.

traire indispensable pour asenrer aux

n peu alcnolignes une stabilil,, quim, favorise la conservation et leur per-mette d'arriver tunnels an c somma-teur, sons quoi ils seraient perdes ;

Que les vins légers,, ai i montés,

sont la boisson nrdmaiee nder l'ouvrierqui peut les acheter à bas prix ;

sut,Quedans

QueQle département de l'Aude eu

particnller, col bonne partie des vins

de Narbonne, a, Lspalme, etc.,

sont des vins tréa-colorée, (rés-riches en

alcool

Que 10 .'est pmiIlionpar c laines demille, m fis par s d'hectolitresqu'il faut compter la quantité des vinsdu Midi dont la force alcoolique natu-relle dépasse I2 degrés ;

Qee é2 vins dits de coupage vnatrecherchés 'a la fois et exclusivement

pour leur alcool et pour leur cou-

le., ;Que ces vins de coupage, qui se ven-

dent plus cher, sont fournis toulei'uis

pluspar les plus mauvais terrains et Il

faihle quantité par hectare ;Que dés tors, si l'impôt proposé était

voué, le produit des plus mauvaises ter-res aurait à supporter 15mpôt le phisélevé ce

qaiéquivaudrait à frapper de

restreint des vignes en terrains peufertiles constituerait à la foia nue me-

sure inopportune et une profonde injus.

Que lles 'inaes

généreuxde l'Aude seraient délaissés

pal le commerce u leur titre alcooli-

que naturel trop élevé;

D'autre part que les vins des plaines,pouvant

etItrés.pu être que Lrés-parcilus osement

oupéx avec des 'Jus plus

rrobustes,

seraient

condamnés

à la chaudière

Que de quelque côté qu'on evi-sage la question, soit au point de vue

dl] commerce, sait au point de vue dela propriété la loi n 'saillit que des

o iquenr,es

inutiles

on r,g,,LWblee ;C Que le trésor ,e bénéficierait quepeu et difficilement des nouvelles me.sz

,'lare, au non, des propriétaires dudépartement de l'Aude, protester detoutes ses forces contre I adoption duprojet

Décide

,

que ess de la présente déli-bération sera

ud adrressée

à M. Présidentlaiiss in n s budget,IMgris.

lesministrraea des finances

et dt

de l'agricultu-e, at MM. les députés du département

afin qni ils veuillent bien, par leurdémarche et par leur vote, mole-

ter énergiquement, les funestes pro.

positions de M. le ministre des finances,

enfin aux principaux journaux du Mid,peur que la plus grande publicité soit

prêtée

lacdoléances bien) égitimes.

à grossir d'une manière exceptienpelle,mats régulière, à partir de l'âge dumoi's. Depuis lors, cette nugunentation degille et de poids ne s'est pas rolen lie,sans qni il ait jnmais été malade.

11 mesure aujourd'hui 7^, Y8 tle hau-teur, pieds uns; il pèse 80 livres, maisil pesait f 0 livres de plus ; il a perdmomentanément ces 10 livres à lasuite d'une blessure au pied qui l'a tenuinactif pendant quelques semaines.

Il a commencé à parler à nn an et àmarcher à quatorze mois. Il montre au-jourd'hui plus d'intelligenco que ses oa-

arades, et il sent assez le besoind'employer sa force utilement, puerpréférer ma jea les travaux des chsn ,s,dans les quels il aide réellement sesparents. fi peut porter sous n I L anpoids de 120 livres. S'il onlinnoi1grandir avec la même régularité, il al,tmndroit plus de deus métrer à l'âgeadulte, dent l'époque sr rait d'n illenrs,avancée. Clubs il est probuble gtiii s'ar-rêtera avant d'atteindre celte limite,et que, vers dis ana, comme on peut leprévoir déjà par certains caractèresphysiologiques, il aura traversé les deuxphases de l'enfance et de la ,imiers50,

REVUE DES SCIENCE,

rsn:eouocts sxeitmnnnrara.

[)épais plusieurs années on s'occupebeaucoup, eu Allemagne surtout, d'une

nuelle branche de la science, quel'on pourra il appeler assez, justement

la psychningie expérimentale. 11

s'agit, en eues, de s.nmet ru à l'expé-ience l'étude, jusqu'ici esses confuse,

des phénomènes psychiques et d'obtenirne certaine précismn une mesure

de

nos

Sensu ion,.

Ges

travaux sont tort

peu connus ea France, L peut-être ne

serait-il pas sans intérêt d'indiquer

brièvement les derniers résultats aux-

quels ma est parvenu.IL semblera tout d'abord au moins

singulier de voir des physiciens et desphysiologistes pénétrer dans un pareildomaine et chercher à apprleurécier des

lessensations; Certains psygchologueslabora-s àtlantimerraient

toi 1, , et plus d'un dote !

mêlez.vous de vos affaires ; on an iu m -

sure pas au compas ou à la balance desimpeesstons si fugitives. s

On peul très-bren mesurer au cen-traire les sensations , et l'on restera ,

,j espère, convaincu dans un instant que

la méthode expérimentale peut , danscette voie, comme dansltsnt d'autresapporter un concours bleu quelx (I).

Tout le monde sait bien que la sen-,afin, peut varier d'énergie dans deslimite, assee étendre,, depuis la clr9-an...Ide jusqu'au coup de poing , laigûre d'épingle jusqu'au coup d'épée

te Ue tac de la pendule jusqu'au coupde canon. Personne ne centende. ja-mais l'impression lumineuse produitepar une bougie ou par une lampe glec-trique. La lumière à midi est tout autrequ'au clair de lune, Chaque sensationa évidemment son intensité propre. Jus-qu'ici, aucune difficulté. Mais tout changequand il s'agit d'apprécier cette inten-sité. Combien de fois un coup do canonest.il plus bruyant qu'an coup ils Lu.'1? Combien de fois la sensation pro-

duite par un coup de poing est'elleplus forte que la sensation produite parune chiquenaude ? Voilà où l'auteurs'embrouille et oh la perception vraiede l'impeuusi.. produite devient con-fuse. Les psycholagrsles auront beaudire : sur ce point,

Ilsne savent rien.

U. soufflet d'une énergie double en-gendre-t-il une sensation ideux Pais plusfort'? Un poids d'une valeur double,placé dans le creux de la maie, engen-dre-t-il une sensation deux fois plusforte que le poids simple? Deux piècesde 5 fr. tenues l'une sur l'autre dans lamain peoduieunt'ellé, une sensationdeux l'ers plus grande qu'une seulepièce ? Lue lumière d'intenmle double

l -

- L'abaissement de la température,qui est le signe caractéristique de lapériode, occupe aujourd'hui tous lesjournaux. Nous n'en fuirions pas si nousvoulmns résumer tous les renseigne.mens qui nous sont arrivés : nous di.eaux seulement qu'à Constontinople etduos toute la Turquie, l'hiver ététrès rigoureux. Le thermomètre a mi-

ma de Montpellier est descendu il ytrois jours à 4- au-dessous de zéro. AMayence, les Allemands vol été obligésd'interrompre le travail des fortifica-tions, etc., etc.

A. contraire, lesjonrnaux d'Australiequi arrivent avec la date de la Noéla s apprennent qu'il faisait très-cha.dh bidney. Mais la température de 29 àl'ombre gons indiquent e.st loin d'êtreexagérée. Si elle devait être considéréecomme an maximum, un pourrait direque la chaleur qui est venue du soleilest bien faible, contrairement a ce quenous avions cru ; toutefois il serait très-prématuré d'émettre ne pluie. à cesujet

Tandis que la bourrasque du Midipersiste dans les parages de l'Italie,accompagnée de mauvais temps quisévissent sur l'Adriatique et sur la merNoire, de fartes pressions barométri-ques continuent à prédominer dans lescontrées N de l'Europe. Sous cette do.-105 influence, les vents soufflent d'en-tre N et E partout ; ils sont acompu-gnés ;de grains et de neiges dans lesud de l'Angleterre. La température a

tore baissé dans le N de la France.Ce malin, le froid atteignait 2 à Pariaet 7- à Dunkerque, tandis qu'il étaitde 8 à Prague, 17' à Stockholm et 92-à Moscou,

La Gironde, après nous avoir appris

qu'une veuve, Jeanne Dominé, venait

de mourir, commune de Perron, à l'Sgede cent sepi ans, ajoute :

Deux sceurs de la veuve Dominé luisurvivent ; l'uns habite file Saiet-

Georges, elle est figée de cent trois

ans, et elle a une Elle qui comptequatre-vingt-un ans. L'autre sieur, la

jeune, c'est la veuve Bouchon, de Cané-jan, elle est âgée de cent un an et a

un fils de soixante.onze ans ; la pau-

vre femme, presque aveugle, a quelquepeu perdu de ses facultés intellectuelles,

mais elle est exempte d'autres infirmités.Ces deux braves femmes n'ont jamaisbesoin du médecin.

- On écrit d'Erstein, le 16 février,

au Journal d'Alsace :

. Fila soir, vers trois heures, la po-pelati.n d'Grstein fut mise en émoi parne nouvelle aussi grave «inattendu..

U. rassemblement de près de trois centP

rès de l'hôpitalformé Prèss'étaitdes sænrs dePour assister au départ

charité.. eomt chargée de gérer

les biens

de

e cettete eondation pieuse

ayant """""lé' en partie, le bruit

courait que la eeare allait être

changée. Samedidemaiernier,

""Pr"que

les

troissoeurs

seraient obligées de par-tir. Alors on fit circuler u.. lagon'qui se couvrit de signatures del. gran-

de la loé du conseil municipal et dela

pnpaopaiaLion

pour lui demander lemaintien,. Or, comme les sueurs ne sepressaient pas de partir et déclaraient

même qu'elles er eu ont que lors-qu'on les y forcerait, deux gendarmes

se préseolérent à l'hospice et leur en-

joignirént de déménager dans le plus

bref dlai.ssus,p1 ieurs bourgeois d'F.rs--de en. Là

e les aider dansm cessèrent dtetn s'e Dde travail et i offrirent un -

dues leurs mai

...

sons.

un

perd en

eu

coe-

jmtnreesur ls

motifs

fs qui -et Po dictermesure

si

grave. présenced'un

.me 'unpareil état de choses iciseritiellourmaitcontraire aux intérêts de la ville, lesconseillers municipaux demandèrent 3la direction du cercle, par la voie légale,l'autorisation d'une réunion spéciale quine leur a pas été accordée.

. On interjettera appel de ce refus désque les motifs eu auront été commu-

lié ces mêmes terres, inéapablesstérild'ailleurs de servir à toute autre nouure

que celle de la signe ;Que ie tt aitm

draifar suite laQu P

e

lanterreP

va terre d'antan[Ienr directe d plusfortement que celle-ci surait plus infé-rieuse comma qualité, ce qui est l'm-ve se de l'équité la plus élémentaire ;

Qu'en ege1, ces terres produisant u

armoyenne de 10 à 30 hectolitres pe

hectare seraient fivappies d'un i,npet

plus lourd que celles qui donnent GO àfl0 hectolitres, alors que pour les pre-

mières, àrevenu égal, les frais d'exploi

taille sont plus censiduuits et queoduit est loin dela valeur vénale du pr

d

suivre de son tété une élévation pro.

"est aux Tailleurs que se tiendrale ana

iHrésdes scidncjs géo8rapLi9ues

qui ouvre.. mais de juillet prochain àl'expositiondents que o baitellée

detous

s les

produ

duits et

ins,mnmalions

ser-

vaat aux sciences géographiques ou les

ayant fait progresser.

.- Le monument élevé à la mémoirede Frédéric Scellé au Père Lechaise aété inauguré ce matin à once heures,en présence d'une foule nombreuse de

litléralesrs, d'auteurs dramwiques,d'muis 9ucounus et de parents do cé-

lèbre romancier. Deux discours ont été

prononcés par MM. Paul Féval et Au-guste Militant.

hl. llansen, le prince de Bismarck Ici-noue,

annoncéplus tard combien cette

gpprécintion de M. de c'ramont étaitjuste, quand il a dit au Ileichstag, dans

la séance du 16 janvier 1874 1 + Si luFrance. n'avait (e 1816) que peu de

troupes de disponibles, néanmoins uu

petit plaint de troupes français s rot

Nt.Bi peur .,faire ,an armée respectable,u : e iolgna.t aux nombreux cal Lingenls

de l'Allemagne do Sud... et nous auraitobligés d'abaal...Ir immédiatement

,ur couvrirnos rossés en1,nlriche ptel,

Berlin.l a Vdit M. [lansen,

l'avido Pli!,

de Las de Mll de Valette t Ito.hcrprévalut sur celui de M. Drouy. deLhnys et sue les informations de Ni. deGrdmOnt.

Nous pouvons mesurer aujourd'huicombien le cours des événements "Ilété changé si Napoléon III n'eût pasécouté ses conseillers qui lui fallûtseus tant de rapports et si sauvent fu-nestes : la Penser, intimidée, allaitconsenti à se dessaisir d',me pai4ie de

ieS nAVanLa8es ' et soit que non efi ts réclamé notre Pro t une

f u t'tdé floutrenci ep soit, ce qui epeut

l être été encore plus niés d'en q

nous ...N fussions contentés d'entraver

l'unificaflon de l'Allemagne de Nord deempochant l'a. on dn royaume defil.... I, nous n'anr s pas use ns-

- NI. Louis d'Estampes, rédacteur enchel de l'IRdépsuda.ee bretonne de Saint-

2G det ailé lcom araiire eBrieuc es n

mois devant le tribun:,) correctinn-MNi.

,culde .cite ville, à requête en r GalrLsshis ouiépéso

deJ-é,

t leGal Las elle, dépotés des

dlifrsuvésNord.Ces

rne.ssleurs, setrouvant

t diBamés dansm tille ayant trait aux eut errements

ivila demandent 10,000 il. de dommo-ges intérêts.

- On v.,ont de commencer la démo-lition des remparts de Selon. L'ancienchistean do 'fnrenes sera eesperlé etmis an nombre des monuments h,slor,-Lors,

I V l' NI.l'Est auconce qJe,

,, aél l} nJ I.s Padmis,Vion de t 1H plus, dis.

29. as de sorvices, pension annuelle de

1,1)74 fi.NI. Crache[, ancien préfet, 27 ans de

î3 te.nn annuelle de 5penséservicesréfel

22ansLam, u, pe ancienM. P

de services, easion annnelie de 5,184

ir.pe ansM, Lef, rs arten ,11,préfl" 19

services, pension anenell de 5,181i'1.

M. Péchin, sur ieil préfet

,

, 20 ans de

eervicvs, pertsionannuelle de 1,6113 tir.

M. Aubertia, ancien smss-peétrl, 24as de services, pension annuelle de

1,00(L te.Ni. Bru saler, ancien préfet, 19 ans de

1 92 fse , P deM a A

aileé 14

35pré"',sonnalsue pensioni

Il. do ad de Ja e fion, a n prén a

.,,l de -i. rs..ns,nn amwel-lin ue t d . t .r ,

grand succès Pau eonouon de plaa,eurs

Il de...31 """,M I Préfet, 18 de e é p I f fg ir,-un,

rvic p. a Ils d 1 0110 f xt pl à l l b 1 xmdl,Al l.nlbonrg, , 1 f 1 li V` by, B.gnmes de I 1 S 4San-s da services, spension nnuell de I enr, Ri sir tr et d,. /rn111 nos sas

1,535 ir. tiens Else.rmalrs, a' été appelé par lel lmr. p, .l

portionaelle ;Considiumut,

,ne

pour se soustraire à l'application

d'ana loi aussi isj te, les pr pr,étof-,es chercheraient désormais bLuire des'jus à 42 degrés;

s matièresLes ans en mouillant leurpremières, rIIIIobe moûts trop sucrés quileur donneraient des vins trop alluess

quel, afin d'en obai-,,.ssi lu richessepar aul,cip'fioe (opération que la lot

e saurait interdire si le producteur

en prévient loyalement l'acheteur)Les autres en mouillant leurs pro-

dallsfabriqués, leurs vins (opérationbldmabla que les magistrats doivent sé-vèrement punir)

ioefficuce ;Que, par sorte la loi allait.Qu'il serait d,ffi cite, sinon mpossible,

d 1d s r t tP,

I I11d lpraisonnables -t d litd t

Iallait n l u i ,u ' t fatQue 11 p

p.

_ t p or ré- 1 i _es le rsppmt phymgne, pure.so ilet l l,. : IL d d clappements !, es nature.

ai csoalien

de Io frnndu s plus Il exact ce moment, Saint- Ser-éehelle; fis (Bretagne), un enfant de cinq a s

Cnn d t .t dcoai qui Lit létonnement dQue, en l' 'la pl yll I ms qui s.et admises à le var ll

punch t o u s ) s J., d d l sri e, t t sa na issu nce, les prop taug nentIr les smpoin inr le pu ,d ut nr anales. 11 a commencé à grandet et

le nom de mm:rosomieCest sousq I science désigne les individus

umiamènera-t.elle une impressionneuse double? Eu un mot, la eesealiancroit-eile comme l'excitation ? IL n enest absolument rien, et l'on se trompe-rait beaucoup si l'en admettait que des

sensatims idendquessont toujours peu-s identiques.duites par des étions i

Les peuvent dériversemêmes fort différentes.ut c'est

digérentees

s. Et c'estansd'eacitotici que er méthode expérimentale s

nous tirer d'embarras et corriger !es

appréciations erronées que chaque in-

dividu a dis faire souvent en s'en opino ntant

faità sa s eensibilité pmropre.

L'opinion

lIeue

merrereurur en oison dei'excitati..on estt u de nos sens,

uoerreur psychique.du peut cependant, avec quelque ré-

flexion, corriger immédiatementfausse interprétation des fa;5s, La

preuve, en effet, que la sensatiga .,aug-

mes toujours avec l'ae,oroissemnelde Cll'excitation, c'est que si vous prenez

duos votre main 2 kilogrammes, parexemple, et que Vous ajoutiez ensuite

quelques grammes, vous aurezaIIgme.té

olds etcependant vousnle

leme'aurez nui.r

ne accru la sen'ationa

vous n'aurez.

l urdissement..science d'un opas c

quelconque.Vnus ohm u le tic tac votre

montre chezno vouss,

, vous descendez ez dansla rue, vous ne l'entendez plus, et ce-

perdsbrait. t à du bruit vous avez ajouté

bruit Le bruit de ras masquelele

bruit de lamontre,

, pour employerl'expression consacrée, comme la lu-mière do jour éteint la lumière des

po , maisqu'ues.

C'est un ers bien nnuqui on u'a pas cherché

àexpliquer.

peut doué' seloctén

lLes o oo variable es

eelle ngfit

d enter uneitious duos lesquelles'n q

ensation ou en paslatout.

ut.donner

ddu Ov voit déjà que la

f s do R ebnv, Daondc s Ilelmb nliu, Il, (surI t.. des sensabons sac la de, 'a des anis.

'1 ,x eto,ja n'v ravie pus ,uloCedsin iD t: e,a de o breux détails jetd le Loure IX (1870) de nos Canevnex acien-lu('goe.,

C

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 4: No M Mardi 2., Février 1875. - images.jdt.bibliotheque ...images.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1875/B315556101_JOUTOU_1875_02_23.pdf · 71 e Année.-No M Ni. Wallon dit que son projet

1 l i I 1 t 1. I ..-isur I p ee pt I 1 .: Pi t'g I f in t L if y Lt 1 I t 1 Blé tai 6

I en I d t mpl . q t t L n Pé l t 11- i l I Tlul (V I ) Pl L f s tl -'tu. d

l d I I p' l t l t i (J I ) I p g ..1 f L I f

I d i l 'I Ip JIf 1 I D tl 8 i\ I I ilî1

1 t l ' '' 1 I I tr I II' < I l' A'

r

1 ( f a l .t I 10. J OI (I J I I11 1 4

I1.; g'1 I q I, i U..I I tJ I (t: I :,. h'tse t` I l, i b, r q pl w I

fl I w l it c i' i i inr érr, l i IJésrrla, 10r1

20 0311x1 I.p ao,000, la réanntmn serapraVERTE A CREUIT0 (0 0 5. p Imsnelle.

f 71111 25 LA n'om iaaa iorv e r on rems r.11 ° iJl SOUSCAIPTIOR SERA OU'dERïE Tira r d rit hai . On g s que

l j l r.fl1..,.111 I I I I f I

. 7 R L (t J I. ) 1 1' V .. .. 7II; I , i .II

1 I l'r l il 1 (g 11 lit: 1 I 1 tin.. ii ln.t 1 I.r I; e L. i I 1,, la I.rgim lhn F2 : sf 17 u 14 ;f fJ, peul sansrrin; en auv ,y ut Ici1 t;l t P l I el. tir I t t t1 L r i Tonlooee, eL N ly (t igeni V . .. , 80 24 5 115 5:i tord, parc p da ou en versant

n.,L. I x 'I. t t i u It d I 1n1 I,. .rot ne't CI s.b-W), rne Relleç aide, LR. 4.. sirs.. 80 1 f0(2'I 50 1 I s I ' 11 D'nq mie de

il Iau1. 1 l t t 1

I .1. II' t. IS six (1 ç t! ar Mi.itme. ( d. ilhi....... ff 2'1 1: 21 5(1 F r creJi de la D q tonale11 .' I t I t I. 1 I

iz

bl. , IF ill..- I l l' 1I 1 d 0 I. ..I, t 1. L t t Blinc (Léautine.) 1 Colra ............... 65 21 (0 21 5x1 de Crédi[. (:aaf US)

n éla t elle aéras ronndérable, en I sl t il'U IL. 1 a fllaverd A.Unire ,1P 1 é de curaTrétlre(graine)infou).

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: t i 11. n aeprolondissant s( )

p y ren9 éi I.e

l s '1 I Y 1 un clin rapp t r 1. I 1 t 1 I I. r I A sr il l 1 z t l II ', f ie (q j l 10U foIl 140 P L A TUE sa:: p q I g

1 i .g é i 1 ,, t I b r - J -L t II . I . (J I ) pi d 11 1 R 10 s 1 Par ta délic,euse Farine de Sa itn da Ov

I - 'I Y L al p : I I 1 I .t t R t(J 6piste) Il éd O é. ( t), la r 8 rY de Londres. die.

1 'I 'r I p r.'es d la b I l d 1 p II I t l l h e (Ar:4ge), et l (1i ) balle d 122 k t X41 lI l hi OJ

d t. t 1 I It itd Jtl u.1 Js Ilt Iq o éu.aix taon s, rne d. pé II1 f aqu (SSj _ 4l1),ba 51,i rlr

1. oraisons, mie e/iw", P ores dt potes p - 44 9 (sF-stt) X40 0''42 du

tin { t pl y d verses méthodes mii(pn q I li0;a ace drv er Ils dur: d ((. g s-A i) 1, ISF 11 (ILI' Itp,) - 1h 01134 00aappréciabl Amsi, 100 grammes I L e[A P' t ix dit af e fil Repasses - t7 te 't I it vus d'un invrrable succès

mr. .I I I `,portgn1elinx-'I l'i I t (2) N. di- gre nlme à - k I g m -0(J g am saUelh-d'0 ove), rue il I Yr u 14 sons. 14 5'.1i1ti 00 - G tt rat les dyspepsies, mauvaises

1 II tl I.o. ,rte,- mes, eL tl l .1 a iL t Or!- a . dg t gastralgies, glanes, vents,

pter-

temeut I t t I peut 1Yn ---- -- " Foi. noue - l 50 A I. 6 25 7 00 aiget mies, acidités, pluies, nausées,

ri L ni 01 a lu L I 1 Ilé 11 Sir.Puin, ,., avcau 7 OO 7 75 rem is, vomissements, ennstipatios'

1:' li . .,genre Je reebrr 9ni ma Itau e

i sacrent l' t i p I . p t is aérés i t 19 ei Luzerne, - 0 P(, 0 O[I imrrhée, dyssenterie, coliques, phthiaie,

I.tud itpose les in d'uiuis de cb,nger t d. p tes f l 1 i 9'rà0e, - 0 W ci iii triez, asthme, étontPements, étourdisse-

PniJs. Oa relit. poser la nn m d'un sri rt, lutté'e du posa de :q F loi e n mes, mils Ferrié (BernsrJ Jean , 54 ar.c, rue Paille, - 2 25 2 75 mois, oppression, congestion, névrose,

béats t-ett lu, rne Une taule, et l'un lace peuremn ajouter pr.squx une livra sans ) Bots e sommes, mélancolie, diabète, faiblesse,P

s'a i' de la surehalor Oa c Bayard, 22. Nais stère 1 , Î téPOsx

22 Ix) 0 (0 épuisement, anémie. chlorose, tous dé-I Il. p Is q .1. que.

çoiie d a nié cela, lors U 'y (Therése. Josepl 1 l 1te) , 9 snrdres de la t ' m haleine,mie n e. gre,id ] i0 Poi nn gqne T lité 21 l 0 00d. PL I. dé 0 i joute Pr,s Ion Ciaeerie, bouletatd de Str.is q

I voix, nies bronches, vessie, fuie, reins,pals u i soupesons a la mam de p Id pt ir I Id 50 k0. de 1 55 1J 00n p J t 1 f l le

les e n Fer, irons n l q' U b g 42..e, intestins, m es s . erean et sang. -

i d 1I p. dé

P,uitladhals .rt né i 1 L (f e .I , t ) 01 ,s 80,000 car II. gcnmprir cellesI ee I ilï' e ,I poids

(ions sont faussées. rr 1 C l-I 11 _ ),t )i alll{IIjh1 U'L(L1IIi 1f,L d M d,me la Duchesse de Castlo-- ,it I .L I. p d .t I On -péLr. Quart aux t ar Itt s 1 I - B P r (J lit 1 g tan), i u L7 AB CIIAUI I AW; PAII LE GA/ t t le dire de Plnskow, Madame la

i .'lér i tin Ire, de laso détermine ter la r dl 1 i F b. g-B. foy, 7U.

d é c N 1 77 ai s, Gn ae- EPfiISS10R PURL{margmaearDréhm,lordStuartdeDe-

' 1 diPYé r, d 1. lé { t d 1 rl II} (L 11 )QUE rime, pair d A gi t e, rte., etc.O. I a 11 I 11.1 n dL { td ps

a; 1 q 1 d ifé e d.vlnn P11 I i (1l i) .e Il unout, ai t 71 1 [ f f !a {{' C 45,270.

Jtid t ps it j p route de F t i i ù4lii Olilfy8l{ORS Ilda 1141) !£.{ :rpl I I. t I t l pl graid lu n. s

'ns °isr° M. Roberts d'une cou,

n rceI. t I L f Lt it plue tort II Y u'0 ui I I 7 B' W .q ltaJJeiu) F v: t1 1 J nné pouess plans

ton 1 J l a ses . L lardIt d Lni11 . I I uf

I I a [ la noion de lo d 0 . Il4 20

t Fl1

Y 1 I I 1t L

y '

I .i J 11 1 té

I] a Y dép etLII pan n rn plus 17

gin n I I lauara mettre sonore1t nr d(l. n l nsalton, mais bien1 ktiog tt fais . les deux nom1 0 g n t 17 grammes ; pais.a I<,,-; et t kilogramme saitdans I eseuppoet. L'mi est le triplede l'autre-i'

Telle est l1 loi pour la sensation depr. , , U. gvteslnt Qio ou uneI u t I. p sera siu-

ie i{i. I p ds ajouté o eclevs-

hé ,.st t ns le rapport de 1113 avec

t' poil 1 mlDr. l t quolt i aJ,

L t d s pis te édiai-rrs, I a ,,ro'J,emeat d ex,. t.tio a-momirau nerlt dansla eunsat un. A o kalométs es a,ou trz tUgre nn,_ U 1110 grammes,'1, 1 o-r7m nr. , t saturer lou-

h kilogrammes; mais 9

t n l l i 11 pI . t

régie t l I r e P '(R ,al c), ,8 a Il ,, S lp Ji le l I III S R

Pire 1 I 1 t 1 It Irtbougie d t 1. I A é t le t i uçl axedoit vus i éclairer le t,blcan. Maisquand .tl g t t d. I tsolotion I 1 t IIpour unir ne I v é i l t es andl lrègle, a ruant an pais ige lu lumide la sroovde bougie, co nmenee 9 ptaie miesi une ombre. A c mon.ntareélev vous et aciers Icse listai cesdes bougiesau inblea.. Les teteas'ttsluminea s t ! os, d'après r n piin-riipeede pl y J o a in

s d r é d d stv

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PUBLICATION UE 611RIARES

du 22 féviter 187,1.

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gl l em d' tempéeit b g5 t lnl tCeI1an(Luust),4 i l 1. pl d à i e I flIoo tm I (yl ert

1. 1' t po l'11..i .t plai- Gilb (I ) lt t r a Ca-

I,;atsui. rh ana derx un doigt dm la Pet Ju (,4ide), El (IIng- tJ t ose-Mar-nléme :nain. Enfin, en rérbanB:rat en en gareile-El:sabetli), nin des l'uradoux,eu feoidi.ss:ait l'yn des liquides, cher. 41.cocos ,)mile dilfére,ice de lempératnre Jalabert (Jean), maÇa., rue Pois, til t'.mt produire pour déterminer unes Unglas (Josephine), journalière, allée

Saint It oint- t Ils (r, tde An l é) .mpl yé et

r Î ;l,r l ls nu1. I W

II .'In dés iI,r 11 : 11 m d f lt ubau g D 1 y, et

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L IIgL 09.' qls t .ulac II IR émis i l ü I- d

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Si le nambic d oLllgatious sonna ires

Dopas que je fais Usage de vote,bienlaisante Rntalesciéer, je essoras une

.Ils vigueur, la laryngite et le

I dans lous mes monbers netdisp.uv. Msverner, curé.

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