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Rappel : ce reportage ne doit pas comprendre plus de 15 photos Catégorie : Lycées Niveau de la classe, le cas échéant : 11ème / Terminale Nom de l’établissement : Lycée Sainte Pulchérie d’Istanbul / Lycée Paul Valéry de Meknès Ville – Académie : Istanbul (Turquie) / Meknès (Maroc) - INTERNATIONAL Nom et prénom du responsable du projet : Arari Marat, Baillargues Julian, Ducrot Christelle, Harmand Delphine Mail de contact : [email protected], [email protected], [email protected], [email protected] Noms et Prénoms des élèves reporters : ÖZEN Piraye Ada, BERNOUSSI Leïla Paule Prix du reportage photo VUES DE CHEZ NOUS avec

Nom et prénom du responsable du projet : Arari Marat

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Rappel : ce reportage ne doit pas comprendre plus de 15 photos

Catégorie : Lycées

Niveau de la classe, le cas échéant : 11ème / Terminale

Nom de l’établissement : Lycée Sainte Pulchérie d’Istanbul / Lycée Paul Valéry de Meknès

Ville – Académie : Istanbul (Turquie) / Meknès (Maroc) - INTERNATIONAL

Nom et prénom du responsable du projet : Arari Marat, Baillargues Julian, Ducrot Christelle, Harmand Delphine

Mail de contact : [email protected], [email protected], [email protected],

[email protected]

Noms et Prénoms des élèves reporters : ÖZEN Piraye Ada, BERNOUSSI Leïla Paule

Prix du reportage photo VUES DE CHEZ NOUS avec

Les photos ont été réalisées avec un smartphone lors de promenades ou trajets du quotidien dans différents endroits de nos villes respectives. Cela a pour nous été un réel plaisir de redécouvrir le lieu dont nous venons sous un angle nouveau.

Notre projet est né de notre passion mutuelle pour toute forme d’art. En tant qu’étudiantes aspirant à faire des métiers artistiques, nous avons voulu explorer les ruelles d’Istanbul et de Meknès à la recherche des œuvres d’art qui y fleurissent. Ces œuvres sont à notre avis la forme d’expression la plus sincère, et sont de plus en plus présentes dans notre environnement. L’art s’est démocratisé et devient aujourd’hui visible lors de nos déplacements les plus communs : en allant au supermarché, au lycée ou en rentrant chez soi, nous croisons à chaque coin de rue ou presque des tags, peintures, graphismes de tous genres. Il n’y a donc rien de plus révélateur de la société dans laquelle nous vivons que ces œuvres, cachées, ou exposées au contraire à la vue de tous…

QUAND LES MURS PRENNENT VIE

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QUAND LES MURS PRENNENT VIE

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Les masques(Istanbul)

Cette photo a été prise devant une boutique de desserts traditionnels à Suadiye. C’était évidemment fait à la hâte, mais la peinture dégoulinante et l’expression avec un air vide (probablement accidentelle) du côté gauche m’ont rappelé les masques de théâtre de Melpomene et Thalia.

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Le pianiste de Meknès

Les rues entourant le conservatoire de musique de Meknès sont très animées.Ce tag nous offre un panorama de la ville de Meknès, bercée par la mélodie d’un vieux pianiste. Le mur prend alors vie par la force de la mélodie des couleurs et la rue toute entière le suit...

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La bâche noire(Istanbul)

C’est la vue de dessous d’une station de métro, sur un pont, toujours à Suadiye. La bâche noire écaillée a été mise en place à cause des graffitis excessifs qui peuvent encore être trouvés à cet endroit. Je suppose que rien ne résiste à la création.

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L’éternel gnawa(Meknès)

La musique gnawa est “sacrée”, au Maroc. Nous avons la chance d’avoir un musicien gnawa éternel attitré à la ville de Meknès. C’est donc un bel hommage à cette tradition musicale, paradoxalement peinte. Ce mur, autrefois d’un blanc triste, a ainsi en 2017 pris vie.

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Regardez-moi!(Istanbul)

Cette fois, c’est la vue de l’extérieur du pont du métro. L’art est beaucoup plus détaillé et caricatural. Les plus grandes tailles font une déclaration claire ; regardez-moi.

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L’hirondelle de l’amour(Meknès)

Le street art est partout, il nous faut parfois juste lever les yeux au ciel pour le remarquer..! Cette oeuvre apaise et rassure par son beau message : où que vous soyez, l’amour et la paix sont sur le chemin. Il vous suffit d’observer le mouvement et la fluidité du graphisme pour n’en plus douter !

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En contraste frappant avec les autres œuvres d’art que j’ai photographiées, et dont la légalité était discutable, celle-ci est définitivement décorative. Située dans l’une des rues commerçantes les plus populaires d’Istanbul, ses couleurs vibrantes et ses designs simples mais élégants sont bien intégrés à la rue Bağdat.

La rue Bağdat(Istanbul)

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Un passage vers un autre monde !(Meknès)

Le coeur de la médina de Meknès cache bien des merveilles. Découvert au tournant d’une ruelle, ce petit jardin-monde m’a tout de suite fait sourire du fait de sa beauté simple mais heureuse. Il en faut parfois peu pour accéder aux portes de Narnia !

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Les nouvelles antiquités(Istanbul)

Peut-être que la meilleure façon de décrire les ruelles cachées du côté européen est cette image. Prise devant un magasin d’antiquités, elle capture magnifiquement la façon dont le nouveau rencontre l’ancien.

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Le “Minion-potelet” (Meknès)

Je montais des marches qui me paraissaient interminables et une fois arrivée en haut, je suis tombée nez à nez avec un Mignon peint sur un potelet! L’ingéniosité de certains artistes de notre ville est décidément surprenante et ne cessera d’animer nos rues et murs de toutes les façons possibles.

QUAND LES MURS PRENNENT VIE

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Une brise méditerranéenne(Istanbul)

Une fois de plus trouvée du côté européen, cette oeuvre est définitivement décorative. La raison pour laquelle elle a attiré mon attention est la ressemblance qu’elle a avec l’art qui peut être vu exclusivement dans les régions les plus touristiques de la Turquie. Son objectif est clairement d’apporter un peu de brise méditerranéenne dans une rue isolée d’Istanbul.