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1 Nouvelles Notions Paternelles Tahar venait d’être papa pour la première fois à 38 ans. Sa jeune femme, Latifa, douze ans plus jeune, avait mis au monde une jolie petite fille, prénommée Zahia. Quand sa femme lui avait appris sa grossesse, il avait prié intérieurement jour et nuit pour ne pas avoir de fille. Il voulait un garçon. Car il savait qu’il aurait du mal à se retenir avec sa fille. Tahar avait toujours eu des tendances pédophiles, et les petites filles l’avaient toujours attiré. Dans sa jeunesse, il n’avait pas pu se retenir d’entretenir des relations sexuelles avec des pré-adolescentes. En vacances en Thaïlande, il avait même violé une petite autochtone. Les premières années de Zahia se passaient plutôt bien. Elle avait appris à parler, à marcher, elle devenait de plus en plus sûre d’elle dans ses gestes. Tahar évitait de rester seul trop longtemps avec elle, car l’envie était parfois trop forte. Parfois il ne pouvait pas se retenir et lui caressait la fente, quelques minutes, mais s’arrêtait vite. Tant que sa femme était là, il savait se tenir à l’écart de toute envie. Même si elle ne connaissait pas ses penchants. Malheureusement, peu après les 6 ans de Zahia, sa maman eut un accident de la route. Elle venait de déposer l’enfant à l’école, et une voiture la faucha après avoir brulé un feu rouge. Latifa était dans le coma pendant dix jours, mais elle mourut au onzième jour. Tahar était anéanti. Parce qu’il avait perdu sa femme, mais aussi parce qu’il se retrouvait seul avec Zahia. Et pour enfoncer le clou encore plus loin, la petite fille dormait avec son papa parce qu’elle faisait des cauchemars. Sa maman lui manquait. Il la laissait dormir, mais se masturbait à chaque fois pour empêcher tout mouvement ou geste déplacé. Tahar essayait d’être attentionné, mais à chaque fois qu’il libérait son esprit, il pensait à avoir des relations très intimes avec Zahia. L’enfant se remettait bien plus facilement de la perte de sa maman que Tahar. Quatre mois après le décès, les grandes vacances étaient là. Zahia avait 6 ans et demi et était toute contente de passer deux mois avec son papa. Il avait choisi un métier à risque, à ses yeux, car Tahar était directeur d’école, dans un lycée. Il était entouré d’adolescentes, mais n’avait jamais franchi la ligne. Deux mois seul avec sa fille. Le mot « seul » résonnait. Et pourquoi ne pas en profiter un peu ? Sa peine s’effacerait. Zahia dormait encore avec son papa. Il n’était pas encore minuit, il faisait une chaleur étouffante, l’été avait pointé le bout de son nez, et entièrement nu, Tahar se masturbait. Il regardait parfois sa fille dormir, et s’imaginait en train de la pénétrer. Les yeux fermé, il ne vit pas que Zahia avait ouvert les siens et qu’elle regardait son papa. La lune éclairait la chambre, elle pouvait voir. – Tu fais quoi papa ? Tahar sursauta et cacha son sexe raide sous le drap de lit. Puis se ravisa et ressorti son sexe. – Tu sais Zahia... papa est tout seul maintenant... il doit se faire plaisir... avant c’est maman qui faisait ça... et papa est content de dormir avec toi alors il doit faire ça pour se soulager. Il ne savait pas si sa fille comprenait, elle le regardait sans rien dire, sans bouger. – C’est gros ça, papa ! – Oui, toi t’as une petite fente, moi j’ai un gros zizi. Il sert à faire plaisir.

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Un jeune veuf pervers éduque sa fille à sa manière.

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Nouvelles Notions Paternelles

Tahar venait d’être papa pour la première fois à 38 ans. Sa jeune femme, Latifa, douze ans plus jeune, avait mis au monde une jolie petite fille, prénommée Zahia. Quand sa femme lui avait appris sa grossesse, il avait prié intérieurement jour et nuit pour ne pas avoir de fille. Il voulait un garçon. Car il savait qu’il aurait du mal à se retenir avec sa fille.

Tahar avait toujours eu des tendances pédophiles, et les petites filles l’avaient toujours attiré. Dans sa jeunesse, il n’avait pas pu se retenir d’entretenir des relations sexuelles avec des pré-adolescentes. En vacances en Thaïlande, il avait même violé une petite autochtone.

Les premières années de Zahia se passaient plutôt bien. Elle avait appris à parler, à marcher, elle devenait de plus en plus sûre d’elle dans ses gestes. Tahar évitait de rester seul trop longtemps avec elle, car l’envie était parfois trop forte. Parfois il ne pouvait pas se retenir et lui caressait la fente, quelques minutes, mais s’arrêtait vite. Tant que sa femme était là, il savait se tenir à l’écart de toute envie. Même si elle ne connaissait pas ses penchants.

Malheureusement, peu après les 6 ans de Zahia, sa maman eut un accident de la route. Elle venait de déposer l’enfant à l’école, et une voiture la faucha après avoir brulé un feu rouge. Latifa était dans le coma pendant dix jours, mais elle mourut au onzième jour.

Tahar était anéanti. Parce qu’il avait perdu sa femme, mais aussi parce qu’il se retrouvait seul avec Zahia. Et pour enfoncer le clou encore plus loin, la petite fille dormait avec son papa parce qu’elle faisait des cauchemars. Sa maman lui manquait. Il la laissait dormir, mais se masturbait à chaque fois pour empêcher tout mouvement ou geste déplacé.

Tahar essayait d’être attentionné, mais à chaque fois qu’il libérait son esprit, il pensait à avoir des relations très intimes avec Zahia. L’enfant se remettait bien plus facilement de la perte de sa maman que Tahar. Quatre mois après le décès, les grandes vacances étaient là. Zahia avait 6 ans et demi et était toute contente de passer deux mois avec son papa. Il avait choisi un métier à risque, à ses yeux, car Tahar était directeur d’école, dans un lycée. Il était entouré d’adolescentes, mais n’avait jamais franchi la ligne.

Deux mois seul avec sa fille. Le mot « seul » résonnait. Et pourquoi ne pas en profiter un peu ? Sa peine s’effacerait.

Zahia dormait encore avec son papa. Il n’était pas encore minuit, il faisait une chaleur étouffante, l’été avait pointé le bout de son nez, et entièrement nu, Tahar se masturbait. Il regardait parfois sa fille dormir, et s’imaginait en train de la pénétrer. Les yeux fermé, il ne vit pas que Zahia avait ouvert les siens et qu’elle regardait son papa. La lune éclairait la chambre, elle pouvait voir.

– Tu fais quoi papa ?

Tahar sursauta et cacha son sexe raide sous le drap de lit. Puis se ravisa et ressorti son sexe.

– Tu sais Zahia... papa est tout seul maintenant... il doit se faire plaisir... avant c’est maman qui faisait ça... et papa est content de dormir avec toi alors il doit faire ça pour se soulager.

Il ne savait pas si sa fille comprenait, elle le regardait sans rien dire, sans bouger.

– C’est gros ça, papa !

– Oui, toi t’as une petite fente, moi j’ai un gros zizi. Il sert à faire plaisir.

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– Tu veux que je t’aide alors ?

Les mots de l’enfant le firent frissonner et bander encore plus. Mais si gentiment demandé, il accepta l’idée.

– Tu... tu vas me caresser comme ça... regarde... avec tes deux mains...

Tahar lui montrait les gestes à faire et Zahia s’appliqua à faire plaisir à son papa. Pour la première fois il sentit ses petites mains toucher son sexe. Il ondulait le bassin, mimant la pénétration. Zahia souriait à son papa.

– Vas... vas plus vite Zahia, plus vite !

Elle obéit, et Tahar avait de plus en plus de mal à se contenir. C’était un homme endurant, il pouvait se masturber très longtemps. D’ailleurs, quand Zahia l’a surpris, il faisait ça depuis plus de trente minutes. Lorsqu’il faisait l’amour à sa femme aussi, d’ailleurs elle était très souvent épuisée, bien avant lui.

– Mmmh oui Zahia c’est bien, c’est bon ! Tu... tu veux sucer un peu ?

Zahia accepta. Il mit son gland dans la petite bouche de l’enfant et l’enfonça un peu. La sensation de ses lèvres sur sa queue, Tahar envoya quelques jets qui éclaboussaient l’enfant. Il la rassura, lui disant qu’il fallait qu’elle continue, et même qu’elle avale. Tahar finit par éjaculer dans la bouche de sa fille, qui avala une grande partie et laissa l’autre remplir ses petites mains. Il venait de vivre son premier travers. Il n’avait pas envie de s’arrêter.

Il fit promettre à Zahia de garder le secret. La petite fille savait garder des secrets, elle avait compris l’importance du secret. Quasi tous les soirs pendant une semaine, il la fit sucer, caresser et avaler. Puis il avait envie de changer. Il allongea Zahia, lui expliquant qu’il allait aussi lui faire plaisir. La petite fille était toute nue. Il lui écarta les jambes, et il se mit à lécher sa fente, de long en large, de haut en bas. Il devait se branler en même temps, tellement l’envie était forte.

La petite Zahia ne bougeait pas, elle laissait son papa la lécher, la caresser. Il lui écartait les lèvres du petit vagin de l’enfant, caressait avec ses doigts, jouant avec le trou, et le petit clito. Zahia gémissait quand il touchait ces deux endroits-là. Il donnait de grands coups de langue, jusqu’au nombril de la petite fille, qui sentait des chatouilles et qui riait timidement.

Tahar jouait avec ses doigts sur l’intimité de Zahia. La zone humide, il s’aventura à glisser son doigt. C’était très serré. Il n’avait entré que le bout du doigt, jusque l’ongle, que la petite fille gémissait en fronçant les sourcils. Mais il continua son chemin, et senti rapidement l’hymen. Tout était plus petit. Son doigt était enserré, il sentait le voile prêt à se rompre. La petite fille commençait à souffler, à pousser des « mmmmh » de mécontentement.

– Chut Zahia, ça va aller, papa fait doucement...

Tahar savait qu’il devait s’arrêter, mais il n’y arrivait pas. Il imaginait y enfoncer son sexe et commença à faire des va-et-vient avec son doigt, pendant qu’il se branlait de l’autre main. Il continuait de lécher de temps en temps, bougeant son doigt dans le petit corps de Zahia. Puis le retira. Il ne voulait pas qu’elle perde sa virginité si jeune. Il se redressa et après quelques branlées intensives, éjacula sur le petit minou de sa fille. Le petit sexe bombé était blanc de sperme, recouvert en entier.

– On va laisser sécher, ma puce, on se lavera demain.

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Le matin, il contempla le sperme séché sur le vagin de sa fille. Il la caressa un peu, puis tous les deux ont filés sous la douche. La journée était plus que normale, et ils ont été au parc animalier. Tahar avait habillé sa fille d’un mini short moulant en éponge, et d’un petit débardeur. Dans la journée, il remarqua que certains hommes la regardaient, pas de simples regards amicaux, mais des regards lubriques, sur ses petites fesses, sur son entre-jambes. Il se rendait compte qu’elle pouvait plaire, et surtout qu’il n’était pas le seul à avoir des envies sur des petites filles.

Après ça, il continuait de la faire caresser, sucer, et il la léchait et enfilait son doigt. Il aimait se vider sur son minou, ça lui donnait l’impression de l’avoir pénétrée. En faisant quelques recherches sur internet, il se rendit compte qu’il pouvait la prendre par derrière, que l’âge permettait une souplesse inégalable. Il se souvenait que sa femme détestait la sodomie, qu’elle avait mal à chaque fois, mais sans doute qu’elle n’avait pas été habituée jeune. Il hésitait... il savait que s’il commençait à faire ça, il aurait du mal à s’arrêter. Mais il avait trop envie, il avait une fille pour lui à disposition, sage, qui l’aimait...

Le soir même, il entreprit de lécher l’anus de sa fille. Couchée sur le ventre, la petite se laissait faire. Avec un gel intime que sa femme utilisait, il badigeonna l’endroit, et se mit à le caresser fermement. Il y glissa son pouce en entier, engloutit par le trou. La petite Zahia s’est mise à gémir, mais n’avait pas l’air d’en souffrir. Il faisait bouger son pouce, le sortait, le remettait... Trois soirs durant, Tahar y glissa ses doigts, un à la fois. Il aimait jouir sur elle.

L’été était passé. Tahar avait utilisé ses mains, mais pas sa queue, sauf pour jouir sur elle. Zahia était rentrée à l’école, gardant ce secret pour elle, fier d’être la petite chérie à son papa. Elle était maintenant habituée à tous ces trucs intimes. C’était presque devenu normal. Tahar essayait d’être aussi un papa exemplaire aux yeux des autres. Certaines mamans qu’il croisait lui souriait, le félicitait. Il passait ses soirées avec sa fille, sans pour autant la pénétrer. Quand elle eut 7 ans, il décida qu’il était temps, faire l’amour lui manquait. Et sa fille était là, alors pourquoi se priver.

C’était l’hiver, un samedi soir. L’anus de Zahia avait plus de souplesse, elle pouvait recevoir deux doigts sans se crisper ou gémir. Tahar caressait sa queue sur ses fesses, entre ses fesses, sur son minou. C’était bien plus gros que deux doigts, mais il avait tellement envie... Il s’assura que l’endroit était assez imbibé de gel pour y mettre son gland. Il s’enfonça de quelques centimètres et senti que sa fille se cambrait, se retenait. Elle s’avança, ce qui faisait retirer sa queue à chaque fois.

– Ça va aller Zahia, papa t’aime tu sais !

– Oui mais ça fait un peu mal, ça ! J’aime pas trop...

– C’est juste un peu, après tu verras, tout ira bien ! Tu n’auras plus mal...

Tahar continuait d’essayer de la sodomiser, mais ne pouvait pas aller plus loin que cinq centimètres, Zahia l’en empêchant à chaque fois. Il faut dire qu’une queue était bien plus large que deux doigts. Excité, Tahar devenait un peu plus ferme, tenant les hanches de l’enfant pour ne pas qu’elle s’avance.

– Non papa, j’aime pas j’ai peur ! Ça fait un peu mal !

– Zahia, papa a très envie tu sais ! Laisse-toi faire, si tu bouges, tu vas avoir mal, c’est normal, il ne faut pas bouger ! Je vais mettre mon zizi dans tes fesses, ça va aller ma puce !

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Zahia essayait de ne pas bouger. Tahar s’enfonçait, mais il sentait l’anneau se serrer sur lui. Elle n’était pas détendue. Il n’y avait plus qu’une solution à ses yeux... la prendre d’un coup. Il aller en une fois.

– Zahia... ne bouge pas...

– Mais papa j’aime pas quand tu fais ça !

– Tu sais que papa t’aimes, mais j’ai très envie ! Fais plaisir à papa ! Tu vas un peu avoir mal, mais après ça ira !

– Oui papa...

Tahar tira sa fille vers lui tout en avançant sa queue. Zahia lâchait quelques « aïe » et quelques gémissements. Puis, pensant lui faire passer cette petite douleur, poussa sa queue de plus de la moitié dans le corps de la petite, et continuait de s’enfoncer. L’enfant sursauta en criant et en pleurant, incapable de parler. Tahar était arrivé au bout. Il avait mis toute sa queue, il était en train de sodomiser sa fille. Quel plaisir !

Il la voyait pleurer, il avait de la peine, mais l’excitation était plus forte que lui, et il se mit à aller et venir, ignorant les plaintes de Zahia. De temps en temps il donnait un coup de reins sauvage, oubliant, l’espace d’un instant, qu’il tenait sa fille et non sa femme décédée. Tahar gardait son endurance. La sodomie dura vingt minutes, et il n’avait pas encore jouis. Zahia ne disait plus rien, reniflant de temps en temps, se laissant enculer. Puis enfin, Tahar se vida dans les fesses de sa fille avec une satisfaction incomparable. En se retirant, l’anneau mis de longues secondes à se refermer, crachant le sperme de trop.

– C’est fini, ma puce ! Papa est très content, tu as été sage ! Tu auras tout ce que tu veux.

Il avait aussi appris à acheter sa fille, quand elle ne voulait pas. Il réalisait ce qu’il venait de faire. Et il avait envie de recommencer. Il voulait habituer sa fille à recevoir, à se faire sodomiser. A défaut de lui faire perdre sa virginité. Le lendemain, dans la journée, Tahar faisait des câlins intimes à sa fille. Elle n’avait déjà plus mal. Il lui touchait les fesses, les caressait. Zahia se contractait, de peur qu’il recommence.

– Papa est fier de toi, tu sais.

– Oui Papa.

– Tu sais que j’ai envie de recommencer, comme hier soir.

– Mais papa... j’ai eu mal...

– Tu auras de moins en moins mal, ma chérie, après tu n’auras plus mal du tout !

Zahia faisait confiance à son papa. Elle se mit dans la même position, à quatre pattes. Tahar utilisait du gel, sur la rondelle, et sur sa queue. Pensant que l’endroit serait habitué, il la sodomisa directement. Mais Zahia se mit à se débattre et à pleurer. Tahar continuait, et enfonça sa queue jusqu’à la garde, et fit des allers-retours plus rapide que la veille. Après quelques minutes, elle comprit qu’elle ne pouvait rien faire, et se laissa faire, pleurant sur l’oreiller. Mais elle aussi se rendit compte qu’elle avait moins mal.

Et c’est comme ça que Tahar pris son pied, sodomisant sa fille, souvent le weekend, plus souvent quand c’était les congés scolaires. Parfois elle le suçait, ou il la léchait. Zahia s’habitua vite à recevoir, la douleur n’existait plus. Tahar utilisait du gel et pouvait la prendre sans problème.

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L’été arrivait, les vacances aussi. Zahia avait sept ans et demi. Ce soir-là, Tahar commença sa sodomie, lentement, pour ne pas dire amoureusement. Puis accéléra le mouvement. De plus en plus vite. De plus en plus fort. De plus en plus longtemps. Zahia commençait à ne plus aimer. Il lui refaisait mal. Elle avait beau crier et le repousser, Tahar, les yeux rouge, excité comme jamais, enculait sa fille sauvagement. Il sortait sa queue, la remettait, l’enfonçait.

Puis soudain, sa queue sorti sans qu’il le veuille, tombant un peu, et dans la continuité du mouvement, il la remit, mais pas au bon endroit. Il sentit quelque chose se déchirer. La petite se mit à crier. En regardant, du sang coulait. Il avait mis sa queue dans le vagin, l’ouvrant pour la première fois, déchirant son hymen, cognant le gland contre l’utérus, en une fois. Il ne bougeait plus, la queue dans la chatte.

– Oh Zahia, excuse-moi ! Je... je me suis trompé de trou... ça a glissé... c’est rentré dans le mauvais trou...

Il se mit à faire des va-et-vient d’une lenteur absolue. Il y était, autant y rester. Il passait d’un trou à l’autre. Puis se mit à jouir dans le vagin de Zahia. Il s’allongea à ses côtés.

– Je t’aime ma chérie, tu sais ça ? Dans l’amour, parfois, ça fait un peu mal, mais tu verras, maintenant ça va aller. Tu aimes ton papa, hein ?

– Oui papa, je t’aime.

Le mois de juillet se passait entre journée normale, en famille, et journée sexuelle.

***

Un jour où il faisait très chaud, Tahar emmena sa fille à un concert gratuit de MegaMindy. Toujours avec son petit short moulant, son petit débardeur, elle s’amusait et dansait, se retournant de temps en temps pour voir si son papa était là. Une barrière les séparait, les enfants d’un côté, près du podium, les parents plus en retrait. Tahar lui faisait signe à chaque fois qu’elle le regardait.

– C’est une très jolie petite fille, que vous avez là. Moi mon fils c’est celui avec son t-shirt noir et son bermuda vert kaki.

– Oui je vois, il est grand, il aime MegaMindy ?

– Il a 10 ans, il aime bien oui.

– Ma fille a sept ans et demi. Elle est fan, dès qu’elle passe à la télé, elle ne peut plus en décoller.

Les deux hommes regardaient le spectacle, surveillant leur enfant respectif.

– En tout cas elle a un joli petit cul dans ce short, votre fille.

Tahar regardait l’homme, qui continuait de regarder sa fille. Il comprit que cette phrase n’était pas anodine. N’importe quel père lui aurait donné un coup de poing et sans réaction, il savait que l’homme avait compris lui aussi quel genre de père il était, sans savoir à quel stade il en était. Pas besoin de parler plus.

– Je m’appelle Fabian.

– Enchanté, moi c’est Tahar.

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– Je suis séparé de la mère du petit. Elle est là-bas, au stand maquillage. On ne se parle pas trop. Mon fils rentre avec elle, à la fin du spectacle.

– Je... je suis veuf. Je vis seul avec ma fille.

– Elle s’appelle comment ?

– Zahia.

Pendant de longues minutes, ils ne se parlaient plus, regardant sans vraiment regarder le spectacle. Zahia continuait de se retourner, souriant à son père.

– Vous me répondez par oui ou par non, Tahar, d’accord ? Vous voulez que je vous accompagne chez vous, après le spectacle ?

Tahar ne savait pas quoi répondre. Il avait à ses côtés un vrai pervers, il l’avait compris. Il savait que s’il disait oui, c’était pour abuser de Zahia. Mais il n’avait pas envie de passer à côté de ça, l’excitation montait en lui.

– Vous avez peur ? J’ai ce qu’il faut avec moi, si jamais vous avez peur.

– Ce... ce qu’il faut ?

– Oui. GHB.

Tahar regardait la fin du spectacle, sans dire un mot de plus à Fabian, mais restant à ses côtés. Zahia arriva en courant près de son papa.

– Ça a été ?

– Oui c’était bien ! Elle est super belle MegaMindy ! !

– Heu Zahia... je vais inviter monsieur, ici, que tu vois, à la maison, il s’appelle Fabian.

– Oui d’accord !

Zahia parti jouer avec d’autres enfants. Ils attendirent encore une heure, vaquant chacun de leur côté, puis Tahar ramena sa fille chez eux en voiture, suivi par Fabian. Dans la maison, il offrit un verre à son nouvel invité. Zahia était partie jouer dans la salle de jeux.

– Elle est très bandante, votre fille.

– Hum oui... vous... vous avez déjà fait ça ?

– Je vois que vous avez peur, c’est normal. On ne se connait pas. Mais je ne suis pas un flic, si vous voulez savoir. Et oui, j’ai déjà fait ça. Le GHB marche très bien, aucune petite fille ne se souvient de rien, sauf d’avoir mal partout pendant quelques jours. Et vous ? C’est un fantasme ou vous avez déjà fait ça ?

– Heu... Zahia et moi on est... très intime...

Tahar vit Fabian sourire, les yeux grands ouverts.

– Habituée à recevoir, alors.

– On peut dire ça, oui.

Fabian se leva, sorti quelque chose de sa poche et le posa sur la table basse. C’était un mini flacon avec un liquide à l’intérieur.

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– Quelques gouttes de ça, et elle ne se souviendra de rien. Ou alors, vous la laisser se faire prendre par nous deux éveillée.

Tahar hésitait. Les deux étaient tentants. Mais en y repensant, il n’aimait pas d’une fille sans réaction, amorphe, et il refusa donc l’idée du flacon.

– Mais... je ne sais pas si vous êtes honnête.

– Tahar, on va se tutoyer non ? Écoute Tahar, crois-moi, ce n’est pas ma première fois. Je vais être direct avec toi, je ne suis pas très tendre. Les petites filles m’excitent vraiment. Donc tu peux me foutre dehors, je ne dirai rien, je comprendrai. Je te laisse ma carte d’identité, si tu veux. Je dirai que je l’ai perdue, tu pourras facilement me retrouver comme ça.

– Ça peut être une fausse carte.

– Oui je vois, tu es très méfiant ! Alors je te sors ma dernière carte, tu ne pourras pas refuser !

Fabian sorti son téléphone de sa poche, et activa la dernière vidéo. Tahar pouvait le voir clairement en train de pénétrer une petite fille presque endormie. La vidéo ne durait que une minute dix, mais suffisant pour avoir confiance en Fabian.

– On... on fait comment maintenant ?

– Je pense que c’est bientôt l’heure de manger, il va être 18h. Fais la manger, après, on attaque.

Tahar prépara le repas pour trois. Zahia regardait la télé, complètement absorbée, et n’entendait même pas les deux adultes parler.

– Tu lui as tout fait ?

– Oui... de... devant et derrière... et dans la bouche...

– Excellent ! Elle aime ça ?

– Maintenant oui, mais pas toujours, parfois je suis un peu brute...

– Tu seras le bon, moi la brute et le truand à la fois ! J’aime faire ça sauvagement.

– Parfois je le fais aussi... mais j’ai de la peine à la voir pleurer...

– J’adore voir une petite pleurer ! On va bien s’entendre...

Après avoir débarrassé et mis la vaisselle dans le lave-vaisselle, Fabian demanda d’aller dans la chambre. Zahia les suivit, emmenée par son père. La petite, assise sur le lit, ne disait rien.

– Zahia, ton papa te fait des choses, non ? Je sais que c’est ton secret, mais il me l’a dit.

– Oui... on est amoureux tous les deux. On fait des choses en amoureux.

– Il te fait mal, parfois ?

– Parfois oui mais il dit que c’est normal, mais c’est pas souvent souvent, alors ça va.

– Tu me trouves comment, Zahia ?

– Beau.

– C’est vrai, je suis beau ? Je te plais alors ! Tu sais Zahia, ton papa et moi, on a envie de faire des choses avec toi, tous les deux.

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– Tout nu ?

– Oui, tous les trois tout nu. Alors on va se déshabiller, d’accord ? On va faire des choses...

Zahia regardait Fabian et son papa se déshabiller, et fit pareil.

– Comment tu trouves mon zizi, Zahia ?

– Il est plus gros que celui de papa !

– Oui, et je ne vais pas te mentir, tu es grande maintenant ! Il va te faire mal, mais tu es une grande fille, tu ne diras rien !

– Je vais avoir mal ?

– Oui. Ton papa lui, il ne te fera pas mal, mais mon zizi va te faire mal, au début.

Tahar chuchota à l’oreille de Fabian : « pourquoi tu lui dis ça ? Elle va avoir peur ! ». Fabian répondit, sourire aux lèvres : « c’est le but, j’aime les petites filles qui ont peur, qui se retiennent, j’aime les forcer ! ». Tahar comprit qu’il voulait la violer. Il fantasmait là-dessus, mais il avait peur, peur que sa fille le rejette, qu’elle ne l’aime plus, qu’elle en parle.

Fabian s’approcha de l’enfant, toujours assise sur le lit. Il attrapa sa tête, la soulevant un peu, et força sa queue dans sa bouche. Tahar restait en retrait, sous la demande de Fabian, qui voulait commencer. Zahia le repoussait, elle n’aimait pas être forcée comme ça. Elle sentit malgré tout la verge gonfler et grandir. Tahar vit en effet que Fabian avait une queue plus grande que la sienne, et un peu plus large. Fabian s’enfonça dans le gosier de la petite, sans pitié. Il baisait sa petite bouche, insensible aux refus et rejets de l’enfant. Puis l’enleva.

– C’est bien, tu l’as bien mouillée. Comme tu as déjà pris, ça va aller tout seul.

– J’aime pas quand tu fais ça, j’aime pas !

– Ton papa est plus gentil ?

– Oui avec lui j’aime bien ! Pas avec toi !

Fabian riait. Il poussa l’enfant, l’allongeant entièrement sur le lit. Tahar lui demanda :

– Tu... tu ne la prépares pas ?

– Non, c’est bien meilleur comme ça ! Tu vas essayer après, tu verras ! Rejoins-moi quand je te le demanderai !

Tahar était déjà raide, à la vue de sa petite fille malmenée de la sorte. Il vit Fabian se mettre au-dessus de l’enfant et l’embrocher comme un bout de viande, élargissant le vagin et la faisant beugler. L’instant d’après, il lui donnait des coups vifs, la cognant, la faisant ballotter sur le lit. Zahia pleurait à chaque mouvement que Fabian faisait. Fabian poussait des « han ! han ! » de fureur, plus que de plaisir. Zahia se débattait et Tahar voyait que ça plaisait à Fabian.

– Ne... ne bouge pas trop ma chérie... ça ira mieux...

– Oh si qu’elle va se débattre ! Hein Zahia ! Papa ne veut pas, mais moi je veux que tu te débattes !

Fabian violait Zahia, et Tahar regardait, sans bouger, se caressant la queue. Il avait honte de voir que ça l’excitait. Puis Fabian se redressa et regarda Tahar.

– Encule-la comme moi ! Tu vas voir le plaisir que ça procure !

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Tahar obéit, comme fasciné par tout ce qui se passait autour de lui. Il retourna délicatement sa fille, qui pleurait encore, relevant ses fesses. Un dernier regard vers Fabian, qui fit un signe affirmatif de la tête, et Tahar sodomisa l’enfant d’un coup, sentant la rondelle s’ouvrir, limite se fissurer, et s’enfonça jusqu’à la garde.

La petite se mit à hurler, et malgré ça, Tahar commença à la pilonner, la bourrer, accélérant le mouvement, déchainé comme jamais. Au bout de dix minutes de sodomie sauvage, Fabian dit à Tahar de s’allonger. L’enfant, complètement molle, se laissa porter par Fabian, qui la mit au-dessus de son père.

– Prends-la comme ça, sur toi !

Tahar pénétra sa fille, qui s’allongea sur le torse de son père. Il la pénétrait doucement, comme pour la consoler. Puis il vit Fabian arriver par derrière.

– Non, non attends ! Tu vas... tu vas ... non attends...

– Si si, je vais la prendre en double ! T’inquiètes, elle va supporter ! Elle va juste avoir mal, très mal, mais elle ne va pas en mourir ! Et tu vas aimer tu vas voir !

Tahar n’eut pas le temps d’enlever sa fille de cette position que Fabian l’empala par derrière. Zahia vivait sa première double pénétration violente. Elle pleurait en criant, comme une enfant ayant mal peut faire. Mais Tahar était excité par cette situation et se mit à onduler, tout comme Fabian. Celui-ci fut le premier à jouir dans le corps de la petite fille, inondant ses fesses. Tahar suivit de quelques minutes, inondant sa chatte.

– Je m’excuse Zahia, je suis désolé...

– C’est une bonne petite salope ! Tu l’as bien éduquée, une bonne pute !

Mais Tahar n’arrivait pas à être fâché sur Fabian. Il laissa l’enfant sur le lit, se reposant, reprenant ses esprits, et descendit avec Fabian.

– Et maintenant on fait quoi ?

– Je vais rentrer chez moi ! J’ai pris mon pied ! Si tu veux on s’échange nos coordonnées mais si tu ne veux pas, ok, on en reste là.

– Je vais prendre ton adresse et ton numéro de téléphone. Juste par sécurité.

Fabian était prêt à franchir le seuil de la porte pour rentrer chez lui, mais Tahar lui demanda :

– Et ton fils, tu le prends ?

– Depuis qu’il a six ans ! C’est une tapiole ! Il aime se faire enculer comme une bête ! Enfin, pas toujours, mais bon... ils doivent tous passer par là de toute façon ! Pourquoi il aime MegaMindy à ton avis !

Tahar regarda Fabian s’éloigner. Rapidement, il alla voir sa fille, qui pleurait dans le lit, cachée sous les couvertures. Il dû lui mentir, disant que Fabian l’avait obligé. L’innocence de son jeune âge fit qu’elle crut son papa. Mais pendant plusieurs semaines, à part quelques caresses, il n’osa plus la pénétrer, même si l’envie était là.

Tahar n’a jamais essayé de contacter Fabian. Il a repris une vie presque « normale » avec sa fille, lui faisant l’amour régulièrement, parfois sauvagement, parfois romantique. Zahia n’aimait pas avoir mal, mais elle avait compris que si elle parlait, elle risquait d’aller vivre chez des gens qu’elle ne connaissait pas, et elle ne voulait pas ça. Alors elle gardait le secret.

Page 10: Nouvelles Notions Paternelles

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Tahar était finalement satisfait d’avoir eu une fille, même s’il l’avait éduquée à sa façon.

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