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Presses Universitaires du Mirail La Universidad de Sevilla en el siglo XVIII. Estudio sobre la primera reforma universitaria moderna by Francisco AGUILAR PIÑAL; Plan de Estudio para la Universidad de Sevilla por Pablo de Olavide, estudio preliminar por Review by: Marcelin Defourneaux Cahiers du monde hispanique et luso-brésilien, No. 14, Numéro consacré au Paraguay (1970), pp. 177-179 Published by: Presses Universitaires du Mirail Stable URL: http://www.jstor.org/stable/40849897 . Accessed: 18/06/2014 14:07 Your use of the JSTOR archive indicates your acceptance of the Terms & Conditions of Use, available at . http://www.jstor.org/page/info/about/policies/terms.jsp . JSTOR is a not-for-profit service that helps scholars, researchers, and students discover, use, and build upon a wide range of content in a trusted digital archive. We use information technology and tools to increase productivity and facilitate new forms of scholarship. For more information about JSTOR, please contact [email protected]. . Presses Universitaires du Mirail is collaborating with JSTOR to digitize, preserve and extend access to Cahiers du monde hispanique et luso-brésilien. http://www.jstor.org This content downloaded from 185.44.77.28 on Wed, 18 Jun 2014 14:07:26 PM All use subject to JSTOR Terms and Conditions

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La Universidad de Sevilla en el siglo XVIII. Estudio sobre la primera reforma universitariamoderna by Francisco AGUILAR PIÑAL; Plan de Estudio para la Universidad de Sevilla porPablo de Olavide, estudio preliminar porReview by: Marcelin DefourneauxCahiers du monde hispanique et luso-brésilien, No. 14, Numéro consacré au Paraguay (1970),pp. 177-179Published by: Presses Universitaires du MirailStable URL: http://www.jstor.org/stable/40849897 .

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COMPTES RENDUS 177

CARLOTA CANAL prolonga ideas vistas arriba sobre El tema del sueño y la imagen laberinto en Quevedo (p. 130-41), relacionando recursos estilísticos con el « laberinto interior », producto del desen- gaño. (Confróntense con estudios conocidos sobre lo mismo de Spit- zer y Veres d'Ocón). SUSANA FRENTZEL y JORGELINA COR- BATTA, estudiando respectivamente la Ejemplaridad de la figura humana... y La fealdad de la figura humana en « Los Sueños » de Quevedo (p. 142-54 y 155-65), muestran con enfoques complemen- tarios el sentido moral de la deformación quevedesca.

Más adelante, VIRGINIA BULLOSA vuelve a traernos a Calderón, de la mano con Shakespeare, en La actitud conflictual en Segismundo y Hamlet (p. 166-76), en donde ilustra un aspecto central del « sen- tir barroco » al ver en ambos personajes el símbolo del hombre en conflicto con los demás y consigo mismo. En fin, con La represen- tación en « Lo fingido verdadero » de Lope de Vega (p. 177-88), HAY- DEE BERMEJO introduce la figura del Fénix de los Ingenios moviendo los hilos de San Ginés, comediante, que convirtió el « papel » en vida.

Si, una vez cerrado el volumen, se nos impone una apreciación de conjunto, ello viene favorecido por una razonable unidad del « semi- nario », fraguada tal vez en buena parte por su dirección. En gene- ral, hemos visto muestras diversas de un estudio « interno », sea temático, sea estilístico - estrechamente unidos ambos aspectos a menudo - y con cierta vertiente hacia la glosa filosófica. Echaríamos de menos otros posibles enfoques si no consideráramos legítimo - y acaso necesario - cualquier tipo de « reducción metodológica ». Úni- camente como tímido complemento, como proposición, se nos permi- tirá apuntar unas reflexiones ante la crítica de temas. ¿ Por qué un tema o - mejor - su cariz concreto en un momento determinado ? Una respuesta plausible debería atender, como punto de partida, a las condiciones de vida del momento (sin renunciar por eso a determinar la contextura interna de la cuestión). Porque lo que hace un gran escritor acaso no sea más que alzar a « tema » - dar una formula- ción teórica, moral o metafísica - algo que estaba « en el aire ». En suma, lo importante, para nosotros, sería ver el hilo que conduce de las vivencias a la teoría. O, si se quiere, de la infraestructura a la ideología. Pero esto no es más que el deseo de que se continue el sugestivo trabajo de los profesores de Bahia Blanca.

Vicente Tusón.

Francisco AGUILAR PIÑAL, La Universidad de Sevilla en el siglo XVIII. Estudio sobre la primera reforma universitaria moderna.

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178 C. de CARAVELLE

Anales de la Universidad Hispalense, Serie Filosofia y Letras, 1969, 562 p. Plan de Estudio para la Universidad de Sevilla por Pablo de Olavide, estudio preliminar por - Ediciones de Cultura popular, Barcelona 1969, 175 p.

L'étude de F. Aguilar est essentiellement fondée sur l'exploitation de documents inédits des archives sévillanes et de l'A.H.N. Un cha- pitre préliminaire rappelle pourquoi la métropole andalouse n'a jamais possédé un Estudium generale digne de la place qu'elle tenait dans la vie de la nation. Née au début du XVIe siècle de l'initiative de l'archidiacre Rodrigo de Santaella, 1'« université » ne réussit jamais à se dégager de l'emprise qu'exerçait sur elle le Collège de Santa Maria de Jesus, fondation antérieure de « Maese Rodrigo ». Pendant près de trois siècles, les Colegiales, à qui appartenait la nomination du Recteur de l'Université, exercèrent une tutelle rigou- reuse tant sur sa gestion matérielle que sur son enseignement, en se réservant, aux dépens des manteistas, le monopole des cátedras. Mais le Collège-Université se trouvait lui-même affronté à une double concurrence : celle des Dominicains du Collège Saint Thomas, celle des Jésuites du Collège Saint Herménégilde, qui enseignaient les « arts », la philosophie, la théologie et s'étaient fait reconnaître le droit de conférer les grades universitaires. Au début du XVIIIe siècle, le Collège-Université - dont le prestige est moindre que celui de Saint Thomas - cumule les maux qui affectent partout les Colegios mayores - exclusivisme, esprit de caste, conservatisme - et ceux qui affectent l'enseignement universitaire : absentéisme des profes- seurs, pour qui la cátedra n'est qu'un échelon vers une situation plus brillante, dévaluation des titres et diplômes, souvent obtenus à prix d'argent, sclérose des études restées fidèles à l'esprit de la scolastique.

Bien que le gouvernement de Philippe V se fut préoccupé, dans les années 1720-25, de remédier aux abus les plus criants, c'est hors de l'Université que se manifeste, au milieu du siècle, un esprit de réno- vation : il anime d'une part la Real Sociedad Hispalense (société de médecine) fondée en 1700 et qui se refuse à reconnaître la validité des titres médicaux décernés par l'Université, d'autre part la Real Academia Sevillana, créée en 1751 et qui rassemble les esprits les plus éclairés de la cité (parmi lesquels un certain nombre d'ecclésiasti- ques). C'est à cette Académie que revient l'initiative d'avoir, au len- demain même de l'expulsion des jésuites, proposé au gouverne- ment la formation d'un « Plan d'études » conforme « au nouvel état des connaissances ». Lorsque le nouvel Assistant de la ville, Olavide, est invité par le Conseil de Castille à lui proposer un projet de réforme des études supérieures à Seville, elle lui fournit tout natu-

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COMPTES RENDUS 179

Tellement des collaborateurs d'autant plus précieux qu'ils sont par- faitement au courant des problèmes locaux.

Cependant, le Plan d'étude pour l'Université de Seville adressé au gouvernement par Olavide et dont F. Aguilar publie pour la première fois le texte intégral précédé d'une importante introduction, dépasse de beaucoup l'horizon local et constitue, dans la pensée de son rédac- teur, un projet de réforme applicable à toutes les universités du royaume dans l'intention d'en faire désormais les pépinières où se formeront les serviteurs de l'Etat. Son approbation, à titre provi- soire, par le Conseil de Castille ne constitue toutefois qu'une victoire précaire; si elle consacre la séparation du Collège et de l'Université, elle suscite une très vive opposition de tous ceux dont les intérêts sont lésés : Colegiales de « Maese Rodrigo » qui ne renoncent pas à leurs « droits » sur l'Université; Dominicains de Saint Thomas et autres réguliers qui protestent contre leur exclusion de l'en- seignement universitaire, prévue par le Plan d'Olavide. Les uns et les autres accablent le gouvernement de leurs protestations et obtiennent, dès 1772, l'abandon d'un certain nombre des dispositions du Plan approuvées trois ans auparavant. Par surcroît, le claustro universitaire lui-même est constamment troublé par des querelles intestines, en sorte que, pendant une trentaine d'années et en dépit des quelques progrès réalisés dans le domaine des études, l'université semble aller à la dérive. L'appli- cation du « plan général de réforme » adopté par le gouvernement en 1807 eût-il mis fin à cette longue crise ? On en peut douter. En tout cas l'invasion française allait faire ajourner jusqu'après 1814 cette réorganisation de l'enseignement supérieur sur un plan unifor- me qui avait été l'objectif d'Olavide.

C'est en somme l'histoire d'un long échec qu'a retracé F. Aguilar : mais cette histoire apporte un témoignage d'un vif intérêt sur un épi- sode significatif de la lutte entre ilustración et tradition dans la seconde moitié du XVIIIe siècle.

Marcelin Defourneaux.

PRADO COELLHO (Jacinto do). - A letra e o lector. - Portu- galia editora, Lisboa 1960, 373 p.

A elle seule l'introduction - qui n'a que 11 pages - est plus riche que maint gros volume. Il est vrai qu'elle est particulièrement dense. Elle se lit néanmoins très agréablement car elle est claire. Elle est à la fois définition des critères adoptés par l'auteur et réfle- xion personnelle sur la lecture de l'œuvre littéraire. Elle comprend deux mouvements essentiels, le premier analyse de ce qui caractérise

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