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Numéro B 23 / Vendredi 24 Octobre. 2013 : [email protected] - GSM : 06 59 59 16 35 Chaque week end Lysnoir Webdomadaire «En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire» (G. Orwell) Hebdomadaire gratuit du Web diffusé par courriel à 105.000 adresses Samizdat anti-moderne consultable sur Tumblr.com et Lys noir CSAR calameo Version papier : 2,40 L’AFU est un putsch mental... Et Dejouy n’y peut rien... Olivier Dejouy, un remarquable exemple de type qui a une gueule de franc-maçon et qui est franc-maçon...

Numéro B 23 / Vendredi 24 Octobre. 2013 : leslysnoirs ......dans Alain Soral. Ce quWil y a de guénonien et de Franc-maçon en lui le pousse évidemment à une jacobinisme dWAction

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Page 1: Numéro B 23 / Vendredi 24 Octobre. 2013 : leslysnoirs ......dans Alain Soral. Ce quWil y a de guénonien et de Franc-maçon en lui le pousse évidemment à une jacobinisme dWAction

Numéro B 23 / Vendredi 24 Octobre. 2013 : [email protected] - GSM : 06 59 59 16 35

Chaque week end

LysnoirWebdomadaire

«En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire» (G. Orwell)

Hebdomadaire gratuit du Web diffusé par courriel à 105.000 adresses

Samizdat anti-moderneconsultablesurTumblr.comet Lys noir CSAR calameo

Version papier : 2,40 €

L’AFUest un putsch mental...Et Dejouy n’y peut rien... Olivier Dejouy, un remarquable

exemple de type qui a unegueule de franc-maçon et quiest franc-maçon...

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Editorial2

C’est juré, c’est promis, pour faire cesser la parution de l’Action FrançaiseUniversitaire, Olivier Dejouy est prêt à collaborer avec la police et avecles reporters-chasseurs d’extrème-droite du journal Le Monde.

D’ailleurs, c’est fait ! Cela ne lui a pas demandé beaucoup d’examen moral.Lui qui faisait la guerre depuis deux semaines à toutes les sections d’AF quidistribuent notre journal étudiant «intelligent et Violent».

L’affaire lui est même tombée toute crue dans le bec...

Alors que le syndicat des petits enculés de l’UNEF nous fait, dans le Mondeet La Croix, un procès pour «incitation à la haine» mais qu’il insinue aussi quec’est à la suite de la parution de notre journal étudiant que deux petites salopesfurent «agressées» par de mysérieux militants d’extrème droite qui leur auraientdit ne pas aimer non plus les gauchistes, Olivier Dejouy, lui aussi choqué, netrouve rien de mieux que d’insulter nos étudiants Lys Noir.

Bref, c’est toujours l’affaire Vilain qui aurait lu Maurras le matin où il fit lapeau à Jaurès...

Sauf que pour notre journal étudiant, c’est quand même un peu différentpuisque celui-ci, daté du 14 octobre, ne pouvait pas être lu avant le 4 octobre,jour de la soi-disante agression de la première petite salope affirmant avoir étélégèrement estafilée dans un escaier de secours (???).

Tout le monde a bien compris que la petite salope en question s’est estafiléeelle même ou qu’elle a demandé à son petit copain antifa de le faire avecprécaution.. Tout le monde à bien compris aussi que la sortie de l’AFu dans uncontexte tendu entre l’UNEF et la Fédé1 de la Sorbonne ressembla à ce momentde guigne extrême lorsque vous arrivez avec une bonne vanne sexiste à labouche justement le soir ou un copain vous ouvre la porte, hagard, parce qu’ilfait juste une pause dans la dérouillée de sa copine...

En saisissant l’occasion tendue par l’UNEF de se montrer immédiatementdésagréable avec nos étudiants de l’AFU qui ne serait nés sur terre que pour luipeter son jouet en bois, Olivier Dejouy montre son vrai visage de boutiquieruniquement préoccupé par «la marque» et «la propriété commerciale».

En plus, cette ordure, non content d’ajouter au concert général qui nous metles flics et les journaux du régime sur le dos, nous menace au moment où,évidemment, nous sommes putôt occupés à démontrer que nous n’avonsnaturellement estafilé personne !

Olivier Dejouy est un paranoïaque grossier qui prétend même, sans rire, qu’uncomplot compliqué pourrait avoir été spécialement combiné pour détruire sapuissante Action Française.. Chaque connaisseur des arcanes sordides de l’AFqui fait traditionnellement dans le fin de race et le bourgeois débile et branleur,ne peut que sourire devant un tel manifeste de forcené.

Mais pour les autres, ceux qui ne savent pas, pour les journalistes du régime,comme pour les flics qui n’oseront pas enquêter sur la véracité des propos desdeux petites saloppes de l’UNEF, Dejouy, c’est promis, c’est juré, sera d’un trèsgrand secours ! Ils peuvent compter sur lui pour balancer tout ce qu’il sait, cefils de pute...

Alors, écoute-nous bien, espèce de balance, ton mouvemnt on n’en veut pas !On en veut un autre, bien à nous, un mouvement intelligent et violent et quel’on appellera Action Française Universitaire parce que nous étions d’AF quandtu ne l’étais pas, parce que nous étions d’AF quand tu étais au Parti Socialdémocrate d’André Santini ! Nous serons la nouvelle génération AF activisteparce qu’il faut tout reconstruire et être clairs : nous réfutons ta ligne soralienned’hystérie antisémite et ton guénonisme maçonnique.

Directeur politique du Lys Noir

Actualité

Quand Dejouy balance Olivie Le secr

Communiqué d’Action Françaiseà propos des Etudiants Lys Noirde l’AFU

Quelques individus, certainement mani-pulés, ont cru pouvoir utiliser le titred’AFU (Action Française Universitaire)pour déverser un tas d’immondices surquelques facs, appelant à la violence sur leton qu’employaient jadis les nervis de l’ex-trême gauche pour terroriser le bourgeois.

L’Action française dénonce cette tenta-tive de récupération de notre appareil étu-diant qui est totalement étranger à cesdivagations.

Il ne peut s’agir de notre point de vueque d’une grossière manœuvre destinéeprobablement à faire tomber notre organi-sation en obtenant son interdiction.

Bien sûr, comme tout crime ne peut res-ter impuni, l’Action française répondra àcette agression par tous les moyens dontelle dispose, même légaux.

Olivier Perceval, Secrétaire Généralde l’Action française.

Olivier Dejouy, un remarquableexemple de type qui a une gueulede franc-maçon et qui est franc-maçon...

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Depuis cinq ans, la vieille Action Française est aux prises avec la pénétration d’un groupe de franc-ma-çons guénoniens autour du tandem Olivier Dejouy et Michel Michel, deux disciples d’Henri Montaigu.

Actualité

er Dejouy-Perceval rétaire général indigne

Aujourd’hui drapé dans la position du barbouzed’Action Française caractériel mais qui dit chaquefois «Oui, madame» à la République, OlivierDejouy est un alien. Il n’a pas besoin d’être un agentpour ne pas être à sa place au secrétariat général. Son

manque de talent et ses grenouillages avec le régime suffisent àle disqualifier.

Alors qu’il nous la joue ces jours-ci «canal historique» droitdans ses bottes., Olivier Dejouy n’est membre de l’ActionFrançaise «vieille maison» que depuis 2008 ! Soit cinq ans...

Auparavant, il était à la NAF dont il fut viré par Renouvin.Ensuite, il rejoignit en 1975 le COPCOR de Fabrice O’Driscoll,puis le Mouvement Royaliste Français MRF qui tenta, au débutdes années 80, de construire un nouveau royalisme maçonnique.

Tous les dirigeants du MRF étaient franc-maçons. Que cela soitFabrice O’Driscoll qui finit par sombrer dans l’échangismesexuel, ou Michel Michel, binome de Dejouy à Grenoble dansl’entourage du maire maçon Carignon. Le seul militant du MRFqui n’était pas franc-maçon, c’était Jean-Charles, leur uniquecamelot, qui se faisait appeler alors «Bébert de Maubert» puis«Vicky de Saint Hermine».

Ce royalisme maçonnique du MRF s’appuyait évidemment surla personnalité du prince Henri, comte de Clermont (aujourd’huicomte de Paris) dont l’appartenance à la Grande loge nationalede France et les bizarreries ésotériques sont notoires.

Le MRF éditait un journal «Combat Royaliste» et se doublaitdu renfort de «La Place Royale», la revue doctrinale et ésotériquedu mouvement dont l’inspirateur était Henri Montaigu, initiateurde l’actuel Comte de Paris en maçonnerie guénonienne...

Après son passage dans le royalisme ésotérique et guénonien,Olivier Dejouy, toujours en réseau avec Michel Michel, s’installadans les loges grenouillant au sein de l’UDF et du RPR. Ainsi,après Grenoble et Carignon, Dejouy servit Santini et la Villed’Issy-les Moulineaux.

C’est à cette époque, à la fin des années 80, que Dejouy adhèreau Parti Social-Démocrate, l’ancienne scission socialiste qui avaitrejoint l’UDF derrière Max Lejeune, Eric Hinterman puis AndréSantini. Comme pour le parti Radical Valoisien (où Dejouy fittravailler bon nombre de militants de la «génération Portier» telsque Roussillon ou Dolbeau), le Parti Social Démocrate exigeaitl’initiation maçonnique dans son recrutement.

Aujourd’hui, Dejouy se présente encore comme «Expert endéveloppement social territorial. Expérience de conduite deprojets en zones urbaines sensibles. 30 ans d'expérience enassociations, fédérations, et collectivités locales», bref unparcours maçonnique sans faille pour qui sait lire entre les lignes.

Naturellement, il n’est pas question d’affirmer stupidement queDejouy est un infiltré maléfique du Grand Orient et qu’il ne croitpas en Dieu. Il s’agit simplement de relever qu’il est un franc-maçon de droite qui croit en Dieu, mais aussi en René Guénon etdans le Comte de Paris... Et qu’il croit aussi au Front National etdans Alain Soral.

Ce qu’il y a de guénonien et de Franc-maçon en lui le pousseévidemment à une jacobinisme d’Action Française que tout lemonde peut relever.

Mais jusqu’en 2008, jusqu’à la mort de Pierre Pujo qui seméfiait terriblement des «royalistes» guénoniems infiltrés àl’UDF, Olivier Dejouy n’était toujours pas entré à l’ActionFrançaise. Ce n‘est qu’en 2008, pour se donner un peu delégitimité losrqu’il prend une AF déboussolée par la mort dePujo, que Dejouy organise une cérémonie invraisemblable aucours de laquelle il se fait remettre une plaque de Camelot du Roipar un homosxuel héroïnomane lyonnais bien sympathique, trèsfortement royaliste, mais certainement pas le mieux placé pour«adouber» un futur «secrétaire général».

Aujourd’hui, Dejouy, fort de cette entorse, s’appuie sur unserre-file de cortège, ancien acteur porno assez bien remis de satrithérapie et qui se la joue auprès des petits militants auprèsdesquels il est présenté comme une légende vivante alors que cen’est qu’une burne et un branleur méprisé à son époque par lesmilitants sérieux.

Doctrinalement, hormis son appartenance à la maçonneriecatholique et guénonienne, Dejouy est le véritable «faiseur» del’alliance avec Alain Soral. C’est Dejouy qui a jeté Blanchonnetet son «petit pull de laine orange» dans les bras virils d’AlainSoral... Prisonnier entre ces deux ogres qui le flattent mais avecdes gros yeux et de plus gros chibres que le sien, Blanchonnet endevient donc chaque fois aussi pamé qu’une parfumeuse deSéphora après une double pénétration dans un hôtel Campanile..

Naturellement, Dejouy est un régimiste et ne compte rien fairepour harceler la république ni pour la renverser, lui qui travailleavec les élus au sein du cabinet «Unis-vers» dont l’intitulé révèleau passage l’inspiration maçonnique..

Pour toutes ces raisons, comme beaucoup d’autres, Il existeaujourd’hui, au sein de notre mouvement d’Action Française, unevéritable révolte. C’est cette révolte que veut incarner l’ActionFrançaise Universitaire après avoir tenté le plus longtempspossible de masquer sa divergence avec l’équipe dirigeanteactuelle, tellement pauvre, tellement stupide qu’elle a renoncé àcette mission que lui assignait jadis Michel Michel : «l’ActionFrançaise doit être le Peter Pan de la poltique».... Eh bien, ellene l’est plus. Elle est devenue un mouvement de faussaires quise font plaisir en commandant à de jeunes naïfs finalement assezrassurés par le fait que ni Dejouy ni Blanchonnet n’ont lesmoyens ni l’envie de harceler la République.

Il y a deux jours, le mardi 22 octobre, devant la public duCentre Culturel et Chrétien Saint Paul, notre camaradeGuillaume de Tanouarn, autorité maurrassienne s’il en est une,sonnait la charge et déclarait la guerre à la clique Dejouy-Blanchonnet en donnant une conférence sur le thème : «AlainSoral, une fausse droite».

Le pauvre Alain Soral, otage de ces combats au couteau entreroyalistes d’Action Française autour de son nom, n’y estévidemment pour rien, lui qui n’a demandé qu’à faire le mariolele plus souvent possible au côté d’un petit pull orange qu’on luiprésente comme l’héritier de Charles Maurras...

Alors, décidément, chers amis d’Action Française, il étaittemps que l’Action Française Universitaire arrive, vous netrouvez pas ?

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Doctrinalement sûr, disposé à l’action et au coup de force, Bernard Bonnaves est possédé par l’hyperFrance et par son expression politique : l’Action Française.

Doctrine

L’appel à Berna

Dejouy : tous mes ennemis personnels sont des flics quiveulent la destruction de l’A.F parce que celle-ci, sous ma

ferme direction, est redevenue très dangereuse...

Que l’Action Françaisede la vieille maisonsoit en train de vivreun renouveau est évi-demment un bobard.

Aucun plume, aucun talent lit-téraire n’a été produit dans ses bu-reaux et dans les colonnes de sontriste journal depuis que JérômeBesnard en est sorti il y a six ans.

Depuis six ans, pas un seul mi-litant «intelligent et violent» n’aété détecté. Pas un seul n’a donnéles signes encourageants d’unequelconque maitrise intellectuelle,comme c’est pourtant le devoirpremier d’un mouvement école deles détecter. Au lieu de cela, l’Ac-tion Française est rongée de l’in-térieur par le légitimisme blanc

d’Espagne qu’elle ne parvient pasà endiguer ni à raisonner, et sur-tout, elle est aujourd’hui envahie,submergée, par la culture sora-lienne de l’antisionisme que nouscondamnerons chaque fois quel’on nous ne nous demandera pasnotre avis... parce que l’antisio-nisme est, soit un antisémitisme detafiole, soit une position étrangèresur laquelle aucun royaliste fran-çais ne devrait se risquer.

Dans ces conditions, l’appari-tion de l’Action Française Univer-sitaire, avec au moins six talentslittéraires formant déjà une géné-ration «politico-littéraire» auda-cieuse, est reçue comme uncamouflet par la direction de laVieille Maison où la pauvreté in-

tellectuelle flagrante des dirigeantstire la qualité vers le bas, au pointque l’on pourra peut-être dire de-main qu’Ambroise le Rouge est lefutur grand intellectuel de l’AF !

Pour articuler sa critique, lepauvre Dejouy nous sert le can-tique éculé : «tous mes ennemispersonnels, tous ceux qui me trou-vent con, ne sont que des flics quveulent la destruction de l’AFparce que celle-ci, sous ma direc-tion, est redevenue un mouvementdangereux...»

Quand Eugène Deloncle, anciencamelot et chef de la cagoule quit-tait une personnalité importante illui lâchait toujours un «Voussavez... nous sommes très mé-chants...». Chez Deloncle, qui

avait Filiol à son service, celaavait un sens, mais Dejouy ? Com-ment prendre ses menaces au sé-rieux ?

Quels abrutis compte-t-il mobi-liser avec de semblables appelsquand il nous écrit pompeusement: «Il ne peut s’agir de notre pointde vue que d’une grossière ma-nœuvre destinée probablement àfaire tomber notre organisation enobtenant son interdiction. Biensûr, comme tout crime ne peut res-ter impuni, l’Action Française ré-pondra à cette agression par tousles moyens dont elle dispose,même légaux.»

Il fallait arrêter Dejouy dans sonjeu de massacre doctrinal et c’estl’AFU qui va faire le boulot.

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Bernard Bonnaves membre du Comité Directeur tenu en minorité parce qu’il s’oppose actuellementaux tractations avec le FN, est le véritable secrétaire général dont l’AF a besoin.

Doctrine

ard Bonnaves !P

uisque toutes les vieillespersonnes, un tempsriches ou glorieuses, fi-nissent toujours partomber sous la domina-

tion d'une femme de ménage oud'un jardinier arabe qui exercerasur elles la sale tyrannie des gensenvieux, conjurant ici une médio-crité par une victoire facile de finde parcours sur le "puissant" quiles aurait pourtant méprisé vingtans plus tôt ; les anciens mouve-ments qui firent l'histoire finissenttoujours aussi dans les mains desales gens se rivalisant hystérique-ment (Pujo et Hilaire de Cré-miers...) ou prenant tous les jours,dans un bureau vide, des poses depuissance absolument ridicules,comme le fait, Olivier Dejouymaintenant qu’on lui a dit qu’ilétait le chef de quelque chose quifut immense, il y a longtemps...

A tel point, que lorsque le der-nier secrétaire général du PCUSaura conquis sa place en 2240, ilparlera également comme OlivierDejouy : lui aussi, du haut de ses100 militants, pensant à l'antiquepuissance nucléaire de l'URSS, severra à la tête d'un redoutable po-litburo sur la place rouge avec toutle parti de masse en chapka... luiaussi s'exprimera risiblement à lafaçon des communiqués contem-porains de Dejouy.... Lui aussi, en2240, il interdira... lui aussi don-nera des ordres à des passants et àdes gens qui ne le connaitrontpas... Lui aussi, il signera ses cour-riers d'un seul mot "Secrétaire gé-néral", comme s'il était devenu àson tour le secrétaire générald'une moitié du monde, alors que

les gens autour de lui verront bienqu'il ne sera que le "secrétaire gé-néral" d'une ombre de mouvementrempli de chaisières, pas même lesecrétaire général de la face ca-chée de la lune ; juste le secrétairegénéral de la queue de comèted'une vieille idée...

Pourtant Olivier Dejouy rêve de"brejneviser" l’AFU, des fous, desprovocateurs, des jeunes rédac-teurs qui ont la foudre dans le stylocomme Cerdan l’avait dans lespoings...

Olivier Dejouy voudrait quenous inclinions notre royalisme ré-volutionnaire devant ses calculs deFranc-maçon guénonien rompu àtoutes les crapuleries de l’UMPapprises par lui dans les officinesde Sartrouville et d’ailleurs... De-jouy voudrait nous vendre en Etatde marche au Front National pourquelque sièges de conseillers ré-gionaux...

Eh bien nous ne lui obéironspas. En tout cas pas davantagequ'on ne doit le faire quand oncroise le simplet du village per-suadé d'être le garde champêtre !

Au contraire des poses de Ma-tamore de Dejouy, l’Action Fran-çaise idéale dont nous rêvonsaujourd’hui c’est Guillaume deTanouarn à la présidence du Co-mité Directeur (Un abbé, cela se-rait «fort»!), Crevelle à ladirection des journaux de feu, etBernard Bonnaves au secrétariatgénéral... Cela aurait quand mêmeplus de gueule que le trio guéno-nien Dejouy, Marcilhac et Blan-chonnet dont les manipulationsmaçonniques sont de plus en plus

troubles derrière le Comte de Parisqui est lui-même un franc-maçonguénonien déclaré et virulent.

Loin des opacités théorisées parHenri Montaigu, Bernard Bon-naves c’est l’eau claire de l’ActionFrançaise, le «petit coureur fran-çais» qui ne s’est jamais dopé auxinjections de narcissisme. Chezlui, tout n’est que dévotion simple,presque sainte.

Secrétaire général après l’épou-vantable Guy Steinbach qui sevantait d’avoir loyalement servi lamultinationale IBM, Bernard Bon-naves est secrétaire général del’Action Française au début desannées 1990. Il sera donc le secré-taire général de la «GénérationMaurras», au moment où NicolasPortier et Sylvain Roussillon, àpartir de la section de Dijon, fontrepartir le mouvement.

A cette époque, Bernard Bon-naves aura l’intelligence de laisserfaire. Il est simplement heureuxquand il peut être en tête, sanglédans un imperméable de VRP.Lors des actions très romantiquesconduites sous son mandat, Ber-nard Bonnaves n’a pas la témériténi l’autorité écrasante des braves,il a l’insouciance des saints. Il estlà où il doit être et c’est tout.

Il faut dire que Bernard Bon-naves est possédé par l’ActionFrançaise qui ne le lui a pourtantjamais vraiment rendu. Quand ilruina son cabinet d’assurance enFranche-Comté, quand il fit de lacavalerie sur sa trésorerie pour êtretout le temps à Paris à protéger sagénération Maurras, il crut que ledéshonneur lui était tombé sur latête, il se cacha et les autres encu-

lés, genre Pujo, se mirent à lefuir... Bernard Bonnaves est de cesgens si honnêtes qu’ils pensentque l’on va en prison pour dettes...Alors, il pleura seul à Nantes oùplus grand monde ne l’appela pourprendre de ses nouvelles....

Aujourd’hui, parce que Dieuveille quand même un peu sur lespossédés de l’hyperFrance, Ber-nard Bonnaves s’est remis. Il esttoujours là où la France lui com-mande d’être. Il ne sera jamaisriche, mais jamais fou, ni cassantnon plus. Certains, comme pour levin, ont l’Action Française mau-vaise. Au contraire, l’Action Fran-çaise que Bernard Bonnaves a enlui est gentille, attentive... et cou-rageuse en même temps...

Désormais, la gêne des hommesqui ont tout donné à l’HyperFrance ne le quittera plus. Contrai-rement à un Dejouy, Bernard Bon-naves n’a pas réussi dans lesgrenouillage du RPR, il n’a jamaisété adhérent à l’UDF et il n’a ja-mais produit des groupes de rap...Bernard Bonnaves est seulementresté là où il devait être, toujourshumble... Presque saint, on vousdit !!!

C’est pourquoi, alors que notremouvement doit se préparer à degrands rendez-vous, nous, les mi-litants du Lys Noir et de l’AFU,nous en appelons à Bernard Bon-naves...

Bernard, débarrasse-nous de cetrio d’enculés guénoniens...Boute-les hors de notre maison etnous t’obéirons puisque nousn’avons confiance qu’en toi !!!

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Si le Lys Noir soutient cyniquement le vote FNparce que cela fout le bordel, le Lys Noir ne fait

confiance qu’au coup de force.

Le Lys Noir peut donc aisément se passer d’être ja-cobin, ou d’être républicain à la manière soralienne

et de tous les défenseurs de la laïcité.

Tous les républicains laïcards, qu’ils soient sympa-thiques ou non, qu’ils soient méfiants ou non devantl’immigration, doivent entendre une forte voix roya-liste d’Action Française et pas des encouragement à

leur jacobinisme alambiqué.

Pour nous la question du sang français est mêmeposée. Nous en avons marre des discours en cul de

poule et du royalisme de gauche insidieusement ins-tallé au 10 rue Croix des Petits Champs, puisque De-

jouy et Marcilhac en viennent et que Blanchonnetn’en est pas loin par la pusillanimité de son

caractère.

Nous, au Lys Noir, nous sommes radicalementcontre l’immigration, nous sommes hostiles à touteforme de visibilité de l’Islam dans l’espace public,

nous sommes pour la déportation des racailles etl’expulsion des clandestins, et tout ça par un gouver-

nement provisoire sorti du coup de force et non descombines familiales du lepénisme

Ca vous va ? Vous en voulez encore ?

En plus, nous osons affirmer que pour être fran-çais il faut avoir en partie au moins du sang fran-

çais, et qu’être catholique, c’est encore mieux pourcomprendre notre patrie...

Voilà pour notre ligne claire !

En revanche, comme il le démontre ici, Dejouy estévidemment très loin de nos positions. C’est un em-poulé grossier, un esprit laborieux et lâche à la fois,

qui feint la résolution mais fait suivre chacune de sesaudaces en phrase par leur immédiat démenti.

Chaque phrase de cette pensée qui avance encrabe prend donc toujours le soin d’emporter avecelle un antidote, un vaccin anti venimeux ; dès fois

qu’un lecteur puissant gueulerait..Bref, même si l’article ci-contre semble à peu

près dans la ligne du royalisme d’Action françaisequand on baille d’ennui et qu’on plaint l’orateur,,

nous vous mettons néanmoins au défi de le compren-dre et d’échapper au tournis qu’il vous donnera.

Dejouy c’est un trapéziste pédé, une danseuse poi-lue, un déménageur qui écoute du Dalida...,

bref, un type entre deux eaux : les pires.

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Il est constant dans les esprits quela délinquance soit reliée à l'im-migration. Et bien, ce constat po-pulaire, s'il mérite d'être nuancén'est pas fondamentalement faux.

Une immigration massive, mal gérée etincontrôlée ne peut provoquer, mêmedans une certaine marge, que des trou-bles sociaux renforçant naturellement lesentiment d'insécurité.

Pour autant il serait inexact et injustede n'expliquer la délinquance que parces seuls motifs.

Si certains opposent à la démarched'intégration, celle de l'assimilation, ilest un fait que ni l'une ni l'autre de cesdémarches n'est globalement couron-née de succès, en particulier dans lesquartiers sensibles qui sont autant dezones de relégations qui ralentissentvoire pervertissent toutes tentativesd'intégration et à fortiori d'assimilation.

Il faudrait peut-être aussi rechercherles raisons objectives, et sur lesquellesil y aurait possibilité d'agir concrète-ment, qui rendent si difficile l'intégra-tion et l'assimilation.

Tordons d'abord le cou à cette oppo-sition insensée entre intégration et assi-milation. L'intégration n'est que laphase première de l'assimilation, il fautune génération pour intégrer et deuxpour assimiler.

Mais le problème est ailleursOn parle d’assimilation, mais assimi-

lation à quoi ?Les violences dans les banlieues ne

sont pas le fait d’immigrés de la pre-mière génération, mais le plus souventde la seconde et des suivantes.

Ceux là parlent « bien » le Français,connaissent bien les transports urbains,savent se servir des téléphones et ordi-nateurs de la toute dernière technologie.

Ils se sont bien assimilés… à la ban-lieue.

Il y a certes une revendication isla-miste identitaire de circonstance dont ilne faut pas sous estimer le danger, maisqui n’est que le remplissage d’un videculturel abyssal et finalement une ins-trumentalisation d’une religion dans saversion la plus hostile aux juifs et auxchrétiens, ainsi d’ailleurs qu’aux mino-rités de l’Islam, en cohérence, du faitdes médias, avec les manifestations dehaine qui éclatent en Irak, au Pakistanet dans le monde.

La France ils ne la connaissent pas,parce que personne ne leur en aparlé. Sauf pour dénoncer la « Francemoisie ».

Ils ne connaissent que « l’anomie »

de notre société évoquée régulièrementpar les sociologues.

Avec la montée de l’Islam, les asso-ciations laïcistes et républicaines par-tent vent debout dans un combatanti-communautaire dont les effets surnotre société ont pourtant conduit à uneanomie sans précédent et à l’incapacitépour celle-ci précisément de faire faceaux nouveaux courants religieux,comme le souligne l’enquête de Gilleskepel publiée en septembre dernier parl’Institut Montaigne (2).

Dès lors que « la croyance religieuseest plus structurante, que la croyancerépublicaines » comme le constate LucBronner du journal le Monde(3/10/2011) Il faut revoir nos critèresd'intégration qui ne peuvent se conten-ter de la mise en oeuvre d'une citoyen-neté qui limiterait la France à un idéalcollectif réducteur.

Demandons à nos enseignants com-ment ils parlent de la France aux nou-veaux venus. Demandons à l'Educationnationale pourquoi elle choisit de rame-ner l Histoire de notre pays à la portioncongrue.

Demandons-nous comment les fran-çais qui ne s'aiment pas peuvent-ilsfaire aimer leur pays à ceux, d'origineétrangère, qui souhaitent l'intégrer.

La citoyenneté, repose essentielle-ment sur la notion de civisme ou decontrat social, c'est-à-dire sur un actevolontaire supposant des droits et desdevoirs. Sont citoyens tous ceux quis’intéressent à la vie politique et veulenty participer ne serait-ce que par la pra-tique du vote.

Mais cela suppose de savoir où onest et quel processus historique a struc-turé notre société. Il faut s'inscrire, etc'est inévitable , dans la notion du"temps long" selon le principe de Fer-nand Braudel.

Voilà, le débat est lancé et bien-sûrnous reviendrons sur cette question, carle sujet n'est pas épuisé.

Olivier Dejouy

Cet article bouillie, malécrit, mal ficelé, tournoyant,prudent et faussement grin-cheux, a été publié sur lesite «unis-vers», un cabinetd’études d’orientation maçonnique agissant pourles collectivités locales.Nous l’avons publié sansaucune retouche ni césure.

Olivier Dejouyest-il un Bobby Lapointe en tutu rose ?

Entre Dejouy et Bobby Lapointe, la ressemblance est frappante....

Dossier d’Actualité

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Laborieux autant à l’écrit qu’à l’oral, Olivier Dejouy est l’incarnation de ces hommes pauvres enconcept mais riches en morgue que jusqu’ici personne n’a osé défier. Nous si, parce qu’il écrit mal.

Dossier d’Actualité

Lire un texte d’OlivierDejouy c’est aussi tor-dant que lorsque BobbyLapointe, velu, mousta-chu et balaise à petite

bite, enfilait un tutu rose chez De-nise Glaser...

Sauf que là, le type velu, il lefait pas exprès : il est secrétaire gé-néral d’Action Française et il vou-drait qu’on le prenne au sérieuxpour cette seule raison...

Depuis la fin de la fin de la se-conde guerre mondiale, tous lessecrétaires généraux d’ActionFrançaise ont été des gros cons.Calzan, Juhel, Steinbach, ceconnard qui avait passé toute savie chez IBM et qui en était sifier... Seuls trois secrétaires géné-

raux ont échappé à cette médio-crité obligatoire : Bernard Bon-naves, Stéphane Tilloy et NicolasKayanakis. Pour les autres, leurbêtise explique à elle seule pour-quoi notre mouvement manquatous ses rendez-vous..

Cela dit chaque fois, chacun deces crétins nous a joué la rengainede redépart et de recommence-ment. Chaque fois, le type nous asimplement vendu deux francsplus cher à la bourse des petitsmouvements que l’on s’achète à laveille d’une consultation électo-rale...

Pendant quarante ans, cette vé-ritable vermine que l’on appelaitPierre Pujo nous a vendu réguliè-rement au gaullisme puis à

Jacques Chirac qui, avant chaqueélection nationale, s’achetait sonpetit éditorial «favorable» d’Ac-tion Française. Des fois que celase jouerait très serré à quelquesmilliers de voix.. Le prix de ceséditoriaux que tous nos anciensont lu en souriant d’effarementétait fixé à 500.000 francs, le mon-tant d’une souscription annuelle.Au moins cent francs la voix...

L’excuse de cette prostitutionquinquennale était que Pierre Pujoutilisait la totalité de la somme àfaire survivre son mauvais journalde vieux dégoutant qui n’avait ja-mais touché une femme de sa vie..

Dans l’affaire de Mayotte,L’Action Française toucha un peuplus souvent encore...

Aujourd’hui, Dejouy nous vendau Front National. Ce fils de putenégocie des postes de conseillersrégionaux sous étiquette SIEL.

Naturellement, ce n’est pas pourcela que nous lui en voulons, c’estparce que pendant ce temps-là, iltravaille évidemment contre lecoup de force, contre la révolutionqui vient, et seulement pour sespetits calculs de type fasciné parles «collectivités locales».

L’idéal royaliste révolutionnairecelui de notre jeune génération Ac-tion Française Universitaire ne to-lère plus ces Bobby Lapointe entutu rose... Elle fait bien ! Alorsnous saluons son arrivée sur lering en espérant qu’elle va cognerencore plus fort sur les cons !

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Traqué par les gauchistes Lorant Deutsch est désormais obligé de nier avoir eu un mot gentil pourl’AF dans une dédicace rédigée au dos d’un autocollant...

Actualité8

Quand le guénonien Dejouy b

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Quand on a la chance d’avoir un Lorant Deutsch qui fait un tel boulot de vulgarisation et depropagande intime, on le protège. On ne joue pas au con en répondant aux journalistes ennemis !

Actualité 9

balance aussi Lorant Deutsch

L’autre semaine, un ly-céen militant de l’AFde Bordeaux apporte lenouveau livre de Lo-rant Deustch au cercle

d’étude et une dédicace spécialeau dos d’un autocollant d’AF. Il lefile à Yves Leroy, responsable étu-diants de l’Action française deBordeaux.

Aussitôt, les militants bordelaismettent la dédicace en lignepuisqu’elle sert à la pignolade gé-nérale et qu’elle dit : « Pour lespatriotes de l’AF car il nous fautun arbitre ! ! Lorant Deutsch ».

La photo sera mise en ligne surd’autres sites que celui de l’AFBordeaux.

Rien de bien méchant. Aucuneraison de douter de la véracité dela démarche et de l’authenticité dela signature, comme le fait pour-tant maintenant Yves Leroy.

Sauf que le truc est naturelle-ment arrivé aux yeux de ces encu-lés du Front de gauche qui necessent de persécuter LorantDeutsch parce qu’ils ont devinéqu’il est en train de renouer dan-gereusement avec le «roman na-tional» qu’il réactive, restaure,remet au goût du jour, comme ondit...

Alors depuis quelques jours, cepetit mot de Lorant Deutsch dédi-cacé aux jeunes de l’Action Fran-

çaise bordelaise circule sur les ré-seaux sociaux.

Evidemment, comme on doittous faire gaffe parce que le ré-gime se durcit et réprime, le 14 oc-tobre, soit deux jours avant sonpassage à la librairie Mollat deBordeaux, Lorant Deutsch décla-rait dans les colonnes du Point :« Je trouve ça honteux et répu-gnant ! Je déteste la manière dontl’extrême droite récupère et ins-trumentalise mon travail pourfaire parler d’elle. »

Lorant Deutsch doit être protégépour la qualité métapolitique deson travail. En plus c’est un gentilgarçon.

A peine la dédicace postée, lesjournalistes instructeurs étaient lâ-chés en meute «pour comprendrele sens à donner à ce petit mot»,mais surtout pour plomber la car-rière de Lorant Deutsch parce queces gens-là en sont encore à penserque les mots «extrême-droite» ou«Action Française» ont quelquechose de discréditant aujourd’huiauprès du peuple français. En va-cances, Lorant Deutsch fit rappe-ler la direction des journaux parson éditeur Michel-Lafon quicontesta très vivement :

« Il n’a pas écrit ce petit mot !Il nous l’a dit et répété. Il démentfermement ! Lorant Deutsch n’arien à voir avec l’Action française.

Il n’a rien à voir avec l’extrêmedroite. Il est démocrate. De nom-breuses monarchies européennessont des démocraties ! »

Pourtant, devant les journalistesqui menaient la chasse au Deutsch,il a encore fallu que Dejouy leurparle, qu’il fasse le grand chefd’un grand mouvement et qu’il ba-vasse. Il aurait du fermer sagrande gueule et refuser toute va-lidation. Il aurait même dû corro-borer tout de suite le déni deLorant Deutsch. Au lieu de cela,Dejouy n’a pas pu se retenir, il afallu qu’il balance Lorant Deutschen faisant l’important le chef d’ungrand mouvement.. etc..

En effet, au siège parisien del’Action française dont MariellePujo conserve les clefs sous sesbas de contention, Dejouyconfirma : « il y a eu une rencon-tre dans le cadre d’une signature »mais qu’il n’y a pas de « liens par-ticuliers » avec l’auteur d’« Hexa-gone ».

Pourquoi ne pas avoir seule-ment plaidé la mauvaise blague ?Pourquoi ne pas avoir dit franche-ment que c’était une farce quecette dédicace n’avait jamaisexisté ?

Bien sûr que cela aurait été fauxpuisque nous croyons le lycéen deBordeaux. Mais au moins cela au-rait été politque. Au lieu de cela,

dans une réponse byzantine à lacon, juste pour faire le malin endébitant des évidences, Dejouy adonné des cartouches aux journa-listes instructeurs comme il en aégalement donné contre nous à larédaction du Monde et aux flics...

Alors Lorant Deutch est dans lamerde. Pourtant, afin de se parer,L’acteur royaliste s’est depuislongtemps inventé une identitépratique de «royaliste de gauche»qui le protège dans le mondepourri et lyncheur des médias.Bien sûr que Lorant Deutsch aimeles royalistes puisqu’il en est un !Lorant Deutsch fait même, commenous l’avons déjà écrit, un boulotde propagande dix fois plus effi-cace que tous nos journaux roya-listes réunis !

Ainsi, si Blanchonnet et Dejouysont bien incapables de faire unseul nouveau royaliste par leur ta-lent, Lorant Deutsch en fait à lapelle... En tout cas, il rend la causesympathique ce qui n’est évidem-ment pas non plus le cas de l’AFdepuis qu’elle nous a ressorti sonantisémitisme à la con, son antisé-mitisme à la mode avant-guerre,comme si c’était Cyril Hanounanotre problème majeur...

D’ailleurs tiens, en passant, Lo-rant Deutsch est partiellementd’origine juive... Alors on faitquoi? On le dénonce à Soral ?

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Communiqué del’AFU/Lys Noir àpropos de la plaintede l’UNEF pour inci-tation à la haine.

Oui nous haïssons lesgauchistes. Oui, ces fu-miers ont dépassé la me-sure et ouvert en Franceun remarquable chantierde guerre civile.

Non, nous ne nous dé-fendrons pas.

Non, nous ne sommespas responsables de lamanière dont noussommes lus.

Oui, nous pensons queles petites salopes del’UNEF qui portentplainte ont totalement in-venté les agressions dontelles se disent victimes.

Enfin, nous affirmonssolennellement, quel’Action Française Uni-versitaire n’a strictementaucun lien avec l’ActionFrançaise de MessieursDejouy et Blanchonnet etque ce serait donc risiblede reprocher à celle-ci lecourage que noussommes seuls à assumerau nom de nos vieuxmaîtres d’AF.

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Olivier Dejouy, qui occupe le secré-tariat général contre l’avis général,est un régimiste, un homme d’of-ficine gaulliste longtemps compro-mis dans les barbouzeries

électorales du RPR, notamment à Sartrouville.En 1995, après l’éviction rocambolesque du

maire centriste Laurent Vetzel dont le RPR ob-tint qu’il soit interné à quelques jours de l’élec-tion, les gaullistes prennent la ville. OlivierDejouy est dans leurs fourgons.

En 2001, quand il faut conserver la ville aumaire RPR Pierre Fond, Olivier Dejouy est en-core dans l’équipe. C’est Olivier qui conduittoutes les opérations vicieuses contre la listed’extrême-droite alors conduite par NicolasBay

Pour cela tous les moyens sont bons. Commele dénonçait à l’époque Nicolas Bay. Rumeurset coups bas orchestrés par Dejouy contre lesnationaux laisseront longtemps des traces dansle paysage local.

Dans l’équipe de Pierre Fond, Olivier Dejouyétait également chargé de rameuter les racaillesde cité qui commençaient dès cette époque à de-venir intéressants, électoralement parlant...

L’équipe RPR de Sartrouville chargera doncOlivier Dejouy de diriger une association spé-cialement destinée à la séduction des «jeunesde banlieues défavorisées». L’association, bap-tisée ASESP, est grassement subventionnée parla mairie avec un budget annuel de (quatre mil-lions 600.000 euros (4 020 000 F).

Le président de l’ASESP est Antoine de La-coste, adjoint du maire RPR. Mais dans la réa-lité c’est Olivier Dejouy avec un salaire de7.000 euros qui est salarié comme directeur etauquel il a été fixé comme but principal deconserver des points d’appuis solides du RPRdans les «quatiers».

C’est alors que l’affaire de la production d’undisque de rap vient sur le tapis. Au profit duRPR Pierre Fond, Dejouy a acheté la paix so-ciale en produisant les rapeurs des cités de Sar-

trouville. A l’époque, notre am Nicolas Bay quise présentait sous les couleurs du MNR dénon-çait les paroles du disque de rap produit parDejouy.

Fin 2001, sommé de s’expliquer par la ru-meur publique qui l’accuse d’avoir construitune machine à acheter des votes, Olivier De-jouy déclare au parisien : «Ce disque produitpar l'Asesp ne comporte aucun texte de natureà provoquer la haine ou la violence à l'égardde quiconque. Notre objectif est au contraire demontrer que des jeunes peuvent s'exprimer au-

trement que par la violence. Les connaisseursde ce style de musique s'accordent par ailleursà reconnaître une réelle qualité de la musiqueet des textes..» Est-ce de leur expérience des ra-cailles que Dejouy et Soral parlent ensemble ?

Remerciements spéciaux à Nicolas Baypour nous avoir rafraichi la mémoire sur lacarrière gaulliste et barbouzarde de Dejouy àSartrouville, que Nicolas avait été le premierà dénoncer en 2001 dans une totale indiffé-rence, sauf un article du Parisien libéré.

Olivier Dejouy adore parler de nervis et d’opérations de basses oeuvres... Mais au fait, ce franc-maçon guénonien n’est-il réellement que le meilleur disciple ésotérique d’Henri Montaigu ?

Dejouy à Sartrouville : quand ilétait franc-mac, nervis et gaulliste

Enquête

Hongrie : l’impossible révolution à la fac...

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Les « foules » et leur psychédisponible sont en effetplus que jamais au centre

du grand combat qui nous attend,« l’adhésion des cœurs ». Ce seraune guerre de l’intelligence quisemble durer depuis des lustres.Ce sera un combat à mort, mêmesi nous n’avons que des armes depaix, rosaires et Sacré-Cœur, et deRaison : tous les bréviaires de laplus haute culture classique qu’aitproduit en cinq siècles, malgré

tous les assauts del’anticivilisation moderne, cetOccident en décadence que laFrance seule peut sauver en sesauvant elle-même de sonantithèse de gouvernementnaturel. On ne mesureabsolument pas tout ceci sansavoir lu le maître Gustave LeBon, grand successeur de Bonalddans le rang nos premierssociologues nationaux. Le Bon,qui avait perçu dans la Réforme

et dans 1789, les racinesprofondes de ce chocpsychologique, culturel etanthropologique qui saisit lesentiment des foules dans lesgrandes entreprisesrévolutionnaires. Ce qui nousinquiète, et cela est trèscertainement la seule chose quipourrait nous inquiéter avec leFront National, c’est qu’il nedevienne par trop républicain aucontact de plusieurs années de

dos rond et d’assimilation auxméthodes du système. Ce quinous inquiète profondément, c’estque les hauts cadres du FrontNational ne semblent pascomplètement prendre la mesurede cette nécessaire entreprise àlaquelle notre générationconsacre ses jeunes et raresjournées dans l’enfer de lamodernité et du désastrequotidien des Universités.

(suite page 3)

Soutien méprisantau Front National

Livres :L’identitémalheureusedu professeurFinkielkraut

Léonarda :

Le déficompassionnel

des petites salopes de l’UNL

Télé :

Quatrièmesaison pour«Game ofThrone»