10
5/2011 · UNE PUBLICATION DE REINHARD BONNKE ET DANIEL KOLENDA Compte-rendu de la mission Okigwe, Nigéria Un rêve qui changea tout Une grand-mère amène sa famille à Jésus personnes l’ont suivie 99 Au lieu de la pluie, une puissante averse de bénédictions à Okigwe Le Ciel a embrassé la terre L’Afrique sera sauvée

okigwe_fr

  • Upload
    cfan-ev

  • View
    215

  • Download
    2

Embed Size (px)

DESCRIPTION

http://www.bonnke.net/media/downloads/impact/2011/okigwe_fr.pdf

Citation preview

5/2011 · Une pUblication de ReinhaRd bonnke et daniel kolenda

Compte-rendu de la mission

Okigwe, Nigéria

Un rêve qui changea tout

Une grand-mère amène sa famille à Jésus

personnes l’ont suivie 99

Au lieu de la pluie, une puissante

averse de bénédictions à Okigwe

Le Ciel a embrassé la terre

L’Afrique sera sauvée

Déjà dès le premier soir, des personnes malades mentales furent libérées. Cette femme en souffrait depuis huit ans ...

Une semaine où de nombreux murs tombèrent. La puissance de l’Evangile brisa des barrières et des murs dans les cœurs …

J’ai eu un rêve qui changea tout. Je vis une carte de l’Afrique …

Chers partenaires de la mission,

Il n’y a pas longtemps, à la fin d’une campagne d’évangélisation CfaN bénie, un jeune homme m’accosta et me raconta une histoire impres-sionnante.

Sa grand-mère s’était convertie lors d’une campagne CfaN il y a de nom-breuses années. Elle se mit à témoigner de sa foi en Jésus à son entou-rage, comme la femme au puits qui se rendit dans la ville et raconta à tout le monde qu’elle avait rencontré Jésus. Le jeune homme dit : « A cause de la nouvelle vie de ma grand-mère et de son témoignage conti-nuel, 100 membres de la famille furent sauvés et sont aujourd’hui des chrétiens remplis de l’Esprit ». Quatre-vingt dix neuf autres personnes la suivirent lorsqu’elle se mit à suivre Jésus.

J’avais les yeux remplis de larmes en entendant son témoignage qui me rappela une histoire que mon père, Hermann Bonnke, m’avait un jour racontée.

Il était allé pêcher mais sa prise ce jour-là ne ressemblait pas à ce à quoi l’on peut s’attendre. Mon père était jeune et fort et avait la stature d’un athlète. En allant vers la rive, il entendit des cris d’appel au se-cours. Il alla regarder ce qui se passait et vit un homme se débattant dans l’eau glacée, en danger de mort. Mon père ne se demanda pas une seconde ce que cet homme pouvait bien faire à l’eau. Il était un bon na-geur et sans hésiter un instant, il sauta dans les eaux hivernales, nagea jusqu’à l’homme, s’empara de lui et sauva sa vie.

Il tira la victime presque noyée vers la rive. Mais en essayant de la sor-tir de l’eau, il ressentit une résistance particulière. Contre toute attente, hisser la victime hors de l’eau pour la sauver semblait être exception-nellement difficile et était inhabituellement éreintant. Il ne comprenait

Un vrai travail de suite

99 personnes l’ont suivie –une grand-mère amène sa famille à Jésus

Miracles

La vision CfaN

Campagne d‘évangélisation

Un témoignage impressionnant

4-5

6-9

11

pas pourquoi l’homme était si lourd. Soudain, il vit deux autres personnes qui s’agrippaient aux pieds du premier homme ! Il avait sauvé la vie de trois personnes en même temps. Trois vies pour le prix d’une !

Jésus sauva la grand-mère de ce jeune homme qui était venu me trouver après une réunion et cette dernière, Lui amena toute sa famille. Elle suivit Jésus et toutes ces personnes la suivirent dans les eaux profondes du Royaume de Dieu. Voilà le genre de choses que Dieu fait : une œuvre mer-veilleuse de multiplication du Salut – un vrai travail de suite.

Depuis l’an 2 000, nous avons recueilli plus de 58 millions de cartes de décision pour Jésus durant nos campagnes d’évangéli-sation. Ces personnes, à leur tour, en gagnent ensuite d’autres – des milliers chaque jour.

Quel privilège nous avons de pouvoir annoncer cet Evangile incomparable !

Je vous transmets les meilleures salutations de Daniel Kolenda.L’Afrique sera sauvée !

Bien à vous en Jésus,

Reinhard BonnkeEvangéliste

Bienvenue à Okigwe

Dans cette partie du monde, la saison des pluies commence en avril et dure

jusqu’en octobre. Durant cette période, le taux d’humidité monte jusqu’à 90 %. Le taux annuel de précipitation varie entre 150 et 220 cm. Les pluies diluviennes amènent souvent de gros pro-blèmes d’érosion – surtout dans les endroits déboisés.

Après Owerri où nous avions organisé une campagne d’évangélisation au début de l’année 2010, Okigwe est la deuxième plus grande ville de l’Etat fédéral de Imo, un état très peuplé

qui se situe au sud-est tropical du Nigéria, une région très fertile. C’est une plaque tournante ru-rale avec un marché de bétail très important et un centre de négoce. La langue locale est l’Igbo.

L’avant-dernier jour de la campagne à Okigwe, lors de la soirée « Saint-Esprit », cette femme raconte à la foule avec beaucoup d’enthousiasme et de joie, comment elle a été guérie de huit ans de folie.

Cet homme avait une épaule cassée, très douloureuse, qui a été guérie par la grâce de Dieu.

Jésus dit : L’Esprit du Seigneur est sur moi, parce qu’il m’a oint pour annoncer une

bonne nouvelle aux paUvrES … pour proclamer aux CaptifS la délivrance

et aux avEUgLES le recouvrement de la vue …

(Luc 4 : 18)

4

Un petit garçon qui avait été aveugle pendant cinq ans, peut voir de nouveau.

Cette femme radieuse témoigna que son bras gauche avait été paralysé pendant dix ans mais que ce soir-là, après la prière, il a été complètement guéri.

Cet homme était infirme. Là, il montre, fou de joie, qu’il a été guéri.

Un autre homme qui était couché sur un brancard fut guéri. Il avait un esprit de surdité et avait de l’écume aux lèvres.

Toujours et encore, des béquilles et des chaises rou-lantes étaient élevées dans les airs et les infirmes se mirent à marcher. Partout sur le terrain, des cris de joie accompagnaient les guérisons qui arrivaient ça et là.

Cette femme témoigna qu’elle avait eu des douleurs à l’estomac pendant 6 ans. Lorsque Daniel Kolenda pria le premier soir pour tous ceux qui souffraient d’ulcères, elle ressentit comme une sueur froide la traverser. Elle sentit que quelque chose quitter son estomac et toutes les douleurs partirent.

Cette petite fille (également sur la couverture) était sourde et muette de nais-sance et a été guérie par Dieu.

Ce garçon était également sourd de naissance. Daniel vérifie ses capacités retrou-vées en se tenant derrière lui et en frappant dans les mains.

5

Dès le premier soir, des personnes atteintes de maladies mentales

furent

libérées. Lorsque cet homme monta sur la plate-forme pour donner son témoignage, il y eut comme un brouhaha

dans la foule qui se mit à crier. Daniel Kolenda demanda : « Connaissez-vous cet homme ? » Elle

lui répondit : « Oui … nous le connaissons ». Il était

connu dans tout Okigwe pour sa folie. Maintenant, il racontait d’une voix calme et posée que Jésus l’avait libéré.

... cartes de décisions ont été le merveilleux résultat de notre campagne d’évangélisation audacieuse, en pleine saison des pluies à Okigwe. La grâce, la repentance, la foi, la restitution, le pardon, le Sang de Jésus, des malédictions brisées, le baptême du Saint-Esprit, la guérison divine, la délivrance et l’amour du prochain – voilà l’Evangile que nous avons prêché cette semaine-là. Beaucoup de vies ont été transformées et toute une région a été embrassée par le Ciel.

512 360OkigwE, NigEria

6 9

En Afrique Occidentale, il y a seule-ment deux saisons : la saison sèche en hiver et au printemps, et la sai-son des pluies en été et au début

de l’automne. C’est pour cette raison que la plupart de nos campagnes d’évangéli-sation ont lieu en hiver. Néanmoins, une fois dans l’année, nous organisons une campagne « hors saison » pour rentrer une moisson de plus et par ce biais sauver quelques dizaines de milliers d’âmes supplémentaires. Cette campagne spéciale en saison des pluies a eu lieu à Okigwe, au Nigéria, du 27 au 31 juillet. Nous savions que cet événement repré-senterait un défi particulier mais une fois encore, nous avons été subjugués par la grâce et la bonté de Dieu.

Nous avons souvent prêché sous une pluie battante, trempés jusqu’aux os en l’espace de quelques secondes. Cette

fois-ci également, nous nous étions préparés à prêcher la Parole et à être très mouillés, que le temps soit favorable ou non.

De nombreuses semaines avant notre venue, il avait plu à torrent chaque jour ;des pluies qui inquiétèrent beaucoup notre équipe d’organisation surtout avec la perspective d’un terrain détrempé qui devait soutenir les immenses tours du son. Mais, durant toute la semaine, il n’a pas plu une seule fois pendant nos réunions. Nous avons eu une semaine sèche en pleine saison des pluies. Quelle compassion et quelle bénédiction ! La seule pluie que nous avons expérimen-tée ont été des averses de bénédictions venant du Ciel et qui nous ont tous trempés ! Ces pluies ont tout simple-ment été merveilleuses – comme un baiser du Ciel.

Le Ciel a embrassé la terre

Des murs s’effondrent Notre campagne d’évangélisation eut lieu sur un terrain de foot entouré d’un mur, mais ce mur dut être détruit pour pouvoir accueillir les foules ! Dès le début de cette campagne, nous avons vu cela comme un signe. Ce mur était le premier de toute une série de murs qui tombèrent cette semaine-là car la puissance de l’Evangile fit tomber toute barrière et toute forteresse de l’ennemi dans le cœur de ceux qui assistèrent aux réunions.

Le deuxième jour, la foule avait déjà triplé d’effec-tifs et la ville était en feu ! L’ampleur que prenait l’événement était impressionnante ! Le président du comité d’organisation dit qu’il n’avait jamais vu une telle chose arriver à Okigwe.

Lors de la troisième soirée, l’évangéliste Daniel Kolenda confronta délibérément les puissances démoniaques locales qui tenaient sous leur em-prise tant de gens. Il prêcha sur le merveilleux Sang de Jésus. Les gens étaient si réceptifs et attentifs qu’ils burent chacune de ses paroles. Un très grand nombre de personnes se décidèrent ensuite à suivre Jésus ! Après que des malédic-tions sataniques furent brisées au Nom de Jésus, des miracles surprenants se produisirent soudain sur tout le terrain de la campagne. La puis-sance de Dieu balaya la foule, du premier rang jusqu’aux derniers à l’arrière du terrain, guérit des corps et libéra des captifs.

Effusion du Saint-Esprit Lors de la matinée de la quatrième journée, notre Conférence « Fire » de trois jours eut son moment fort lorsque Peter van den Berg prêcha le mes-sage final et pria pour des milliers de pasteurs et membres d’églises. Il y eut ensuite une effusion puissante du Saint-Esprit. Nous avons entendu les témoignages de personnes qui furent guéries spon-tanément lorsque le feu était en train de tomber !

Le soir, la foule comptait 225 000 personnes qui écoutèrent avec tant d’attention le message de l’Evangile qu’on entendait une mouche voler. Après la prière du Salut, nous avons à nouveau prié pour le baptême du Saint-Esprit ; cette fois-ci, pour l’immense foule.

Lors de la réunion finale le dimanche matin, nous avons vu que Jésus garde vraiment le meilleur pour la fin. La foule avait grandi et comptait 300 000 personnes. L’atmosphère était chargée de foi et d’attente lorsque Daniel Kolenda prêcha sur le thème du pardon. Le Saint-Esprit fit une œuvre puissante dans les cœurs des gens. Ils reçurent non seulement le pardon pour leurs propres péchés mais pardonnèrent égale-ment à leurs prochains.

... cartes de décisions ont été le merveilleux résultat de notre campagne d’évangélisation audacieuse, en pleine saison des pluies à Okigwe. La grâce, la repentance, la foi, la restitution, le pardon, le Sang de Jésus, des malédictions brisées, le baptême du Saint-Esprit, la guérison divine, la délivrance et l’amour du prochain – voilà l’Evangile que nous avons prêché cette semaine-là. Beaucoup de vies ont été transformées et toute une région a été embrassée par le Ciel.

512 360OkigwE, NigEria

6 9

En Afrique Occidentale, il y a seule-ment deux saisons : la saison sèche en hiver et au printemps, et la sai-son des pluies en été et au début

de l’automne. C’est pour cette raison que la plupart de nos campagnes d’évangéli-sation ont lieu en hiver. Néanmoins, une fois dans l’année, nous organisons une campagne « hors saison » pour rentrer une moisson de plus et par ce biais sauver quelques dizaines de milliers d’âmes supplémentaires. Cette campagne spéciale en saison des pluies a eu lieu à Okigwe, au Nigéria, du 27 au 31 juillet. Nous savions que cet événement repré-senterait un défi particulier mais une fois encore, nous avons été subjugués par la grâce et la bonté de Dieu.

Nous avons souvent prêché sous une pluie battante, trempés jusqu’aux os en l’espace de quelques secondes. Cette

fois-ci également, nous nous étions préparés à prêcher la Parole et à être très mouillés, que le temps soit favorable ou non.

De nombreuses semaines avant notre venue, il avait plu à torrent chaque jour ;des pluies qui inquiétèrent beaucoup notre équipe d’organisation surtout avec la perspective d’un terrain détrempé qui devait soutenir les immenses tours du son. Mais, durant toute la semaine, il n’a pas plu une seule fois pendant nos réunions. Nous avons eu une semaine sèche en pleine saison des pluies. Quelle compassion et quelle bénédiction ! La seule pluie que nous avons expérimen-tée ont été des averses de bénédictions venant du Ciel et qui nous ont tous trempés ! Ces pluies ont tout simple-ment été merveilleuses – comme un baiser du Ciel.

Le Ciel a embrassé la terre

Des murs s’effondrent Notre campagne d’évangélisation eut lieu sur un terrain de foot entouré d’un mur, mais ce mur dut être détruit pour pouvoir accueillir les foules ! Dès le début de cette campagne, nous avons vu cela comme un signe. Ce mur était le premier de toute une série de murs qui tombèrent cette semaine-là car la puissance de l’Evangile fit tomber toute barrière et toute forteresse de l’ennemi dans le cœur de ceux qui assistèrent aux réunions.

Le deuxième jour, la foule avait déjà triplé d’effec-tifs et la ville était en feu ! L’ampleur que prenait l’événement était impressionnante ! Le président du comité d’organisation dit qu’il n’avait jamais vu une telle chose arriver à Okigwe.

Lors de la troisième soirée, l’évangéliste Daniel Kolenda confronta délibérément les puissances démoniaques locales qui tenaient sous leur em-prise tant de gens. Il prêcha sur le merveilleux Sang de Jésus. Les gens étaient si réceptifs et attentifs qu’ils burent chacune de ses paroles. Un très grand nombre de personnes se décidèrent ensuite à suivre Jésus ! Après que des malédic-tions sataniques furent brisées au Nom de Jésus, des miracles surprenants se produisirent soudain sur tout le terrain de la campagne. La puis-sance de Dieu balaya la foule, du premier rang jusqu’aux derniers à l’arrière du terrain, guérit des corps et libéra des captifs.

Effusion du Saint-Esprit Lors de la matinée de la quatrième journée, notre Conférence « Fire » de trois jours eut son moment fort lorsque Peter van den Berg prêcha le mes-sage final et pria pour des milliers de pasteurs et membres d’églises. Il y eut ensuite une effusion puissante du Saint-Esprit. Nous avons entendu les témoignages de personnes qui furent guéries spon-tanément lorsque le feu était en train de tomber !

Le soir, la foule comptait 225 000 personnes qui écoutèrent avec tant d’attention le message de l’Evangile qu’on entendait une mouche voler. Après la prière du Salut, nous avons à nouveau prié pour le baptême du Saint-Esprit ; cette fois-ci, pour l’immense foule.

Lors de la réunion finale le dimanche matin, nous avons vu que Jésus garde vraiment le meilleur pour la fin. La foule avait grandi et comptait 300 000 personnes. L’atmosphère était chargée de foi et d’attente lorsque Daniel Kolenda prêcha sur le thème du pardon. Le Saint-Esprit fit une œuvre puissante dans les cœurs des gens. Ils reçurent non seulement le pardon pour leurs propres péchés mais pardonnèrent égale-ment à leurs prochains.

10

Mur

Visitez Reinhard Bonnke sur sa page Facebook disponible en anglais, en allemand ou en espagnol. Laissez votre vie être enrichie au quotidien par le partage de quelques pensées rafraîchissantes …

Profiter – pas endurer

Dieu a inventé la joie – Dieu, pas Hollywood. Dieu nous a donné la capacité de rire – Dieu, pas les comiques à la télé. Dieu nous a donné la couleur et la beauté – Dieu, pas les impressionnistes.

Etre sauvé ne veut pas dire s’asseoir en rang d’oignons dans une réunion d’église deux fois par dimanche. La monotonie n’est pas une invention divine. Il y a quelque chose qui ne tourne pas rond si l’adoration est ennuyeuse. Si c’est le cas, nous sommes en marche arrière. Les gens sauvés AIMENT – ils aiment Dieu, les gens, la Parole de Dieu, l’adoration et la vie.

Voilà le monde de Dieu. Marche dans ce monde. Les bannières de Son amour sont partout. Le Dieu qui produit cela n’est pas en panne sauf pour ceux qui n’en veulent pas. Jésus est venu dans ce monde – c’est typique de ce Dieu qui a conçu les merveilles du ciel et de la terre. Christ captive ceux qui Le rencontrent. Même les morts reviennent à la vie ! Réjouissez-vous !

REINHARD BONNKE

Evangelist Reinhard Bonnke - Official Page

L’Afrique

serA

sAuvee

5-9 octobre 2011Zaki Biam, NigERia

9-13 novembre 2011Uyo, NigERia

7-11 décembre 2011 Ughelli, NigERia

25-29 janvier 2012Ouagadougou, BURkiNa FasO

22-26 février 2012Freetown, siERRa LEONE

4-8 avril 2012Niamey, NigER

QUELQUES datES pOUr vOtrE agENdaCampagnes d’évangélisation CfaN

saison 2011/ 2012

Plus d’infos également sur :

Extrait de Chapitre 19

Autobiographie de Reinhard Bonnke

Je fis un rêve qui changea tout. Je vis une carte de l’Afrique. Pas de l’Afrique du Sud, ni du Lesotho, ni de Johannesburg, mais du conti-nent entier. Dans mon rêve, la carte était tout d’un coup éclaboussée et couverte de sang. J’étais inquiet. Je pensai qu’il s’agissait de l’annonce d’une violence apocalyptique – peut-être une révolution communiste san-glante. Mais l’Esprit me souffla qu’il s’agissait du sang de Jésus. Cette violence affreuse qu’il a subie a fait gicler son sang, il y a 2 000 ans, sur une croix. C’est alors que j’entendis ces paroles : L’Afrique sera sauvée.

Quand je me réveillai, j’étais devant un problème. J’avais beaucoup de pensées en tête qui me mettaient mal à l’aise. Avant d’aller me cou-cher, la veille, j’étais heureux de savoir que 50 000 personnes étaient inscrites à notre cours par corres-pondance au Lesotho et même en dehors du pays. Mais à la lumière de ce rêve, je me retrouvais bien loin derrière le programme de Dieu.

Je commençai à remettre ce rêve en question. J’avais tout simplement dû manger des bananes avariées. Mais la nuit suivante, le même rêve se ré-péta. De même que la nuit suivante, et celle d’après. Il n’y avait pas tant de bananes avariées à Maseru ! Après cette quatrième nuit, je dis à ma femme : « Anni, je crois que Dieu essaye de me dire quelque chose. » Il avait obtenu dès lors toute mon at-tention. Allais-je prendre au sérieux

ce qu’il me disait ? Ou allais-je au contraire le rejeter ? Allais-je choi-sir de croire les mathématiques de Dieu, ou bien les miennes ?

Dieu m’avait conduit à une nouvelle croisée de chemins qui allait définir l’avenir. Peu importe si je n’étais pas capable de le calculer. Peu importe si mes efforts n’avaient été jusque-là qu’une goutte d’eau dans la mer. Dieu avait dit : L’Afrique sera sauvée. Allais-je répéter ses paroles ? Allais-je dire par la foi ce que j’avais vu dans mon rêve ? Ou allais-je me mu-rer dans le silence, battre en retraite et devenir un cadavre de plus dans le cimetière des missionnaires ?

Je savais qu’une chose pouvait me tenir silencieux. C’était la crainte de ce que d’autres allaient penser ou dire. Je pouvais déjà entendre leurs critiques : « Qui es-tu pour dire que l’Afrique sera sauvée ? » Il s’agit de la question que Satan aime jeter à la face des serviteurs de Dieu pour les faire taire : « Qui donc crois-tu être ? »

Si je parlais de ce rêve, certains ne manqueraient-ils pas de dire que j’étais motivé par mon ego ? Certai-nement. Mes paroles allaient-elles mettre des gens mal à l’aise ? Sans nul doute. J’avais le sentiment que ces paroles allaient me distinguer comme la tunique bigarrée de Jo-seph aux yeux de ses frères remplis de jalousie. Ce serait comme me dessiner une cible sur la poitrine.

Mais je me dis si tout cela consti-tuait des raisons de rester silen-cieux alors que Dieu avait parlé ? Non. Mille fois non !

Ce n’était pas moi qui comptais. C’était Dieu et son appel. Depuis mon enfance, j’avais obéi à sa voix. J’étais une de ses brebis. La Bible nous dit que ses brebis reconnais-sent sa voix. Mais certaines s’en-seignent à elles-mêmes à l’ignorer. Il les appelle et elles prétendent que cela vient de bananes avariées. Nous ne devrions pas agir ainsi.

Chaque fois que Dieu m’avait parlé, même lorsque j’étais enfant, j’ali-gnais mes pensées à sa Parole, et non le contraire. Dieu m’avait donné le rêve d’une Afrique lavée par le sang. Je commencerai donc d’en parler à cause de Dieu, et non à cause de moi.

« Si Dieu peut m’utiliser alors

Il peut utiliser n’importe qui »

Reinhard Bonnke

Un rêve qui changea tout

Pour lire en extrait du livre et faire une pré-commande :

www.unevieenfeu.comTel : F +33 977 218 417 CH +41 21 907 44 58

Reinhard Bonnke

L’histoire étonnante de la vie d’un homme qui a amené plus de 54 millions de personnes à Christ, et qui, comme il le dit lui-même, a commencé à zéro.

Découvrez son histoire fascinante !

« Si Dieu peut m’utiliser alors

Il peut utiliser n’importe qui »

( y compris 20 pages en couleur )

ISBN 978-3-941124-30-1 29,90 € / 49,80 SFr

Der P

reis is

t im M

itglie

dsbeit

rag en

thalte

n

Editeur :Christus für alle Nationen e.V.Postfach 60 05 7460335 Frankfurt am MainAllemagne

Téléphone : +49 (69) 4 78 78 0Télécopie : +49 (69) 4 78 78 10 20

[email protected] w w.bonnke.net

Président de l’association :Daniel Kolenda

Impressum

Comptes bancaires de la mission :Crédit Mutuel Hoerdt, FranceN° de banque : 10278 N° de compte : 20033801Guichet : 01047 · Clé : 65 IBAN : FR76 1027 8010 4700 0200 3380 165BIC : CMCIFR2A

PostFinance Basel, SuisseN° de compte : 40-23212-5IBAN : CH33 0900 0000 4002 3212 5BIC : POFICHBE

Kreissparkasse Boeblingen, AllemagneN° de banque : 603 501 30N° de compte : 1 037 900IBAN : DE46 6035 0130 0001 0379 BIC : BBKRDE6B

Postbank Stuttgart, AllemagneN° de banque : 600 100 70N° de compte : 3465-708IBAN : DE78 6001 0070 0003 4657 08BIC : PBNKDEFF

Maison d’édition :E-R Productions GmbHPostfach 60 05 9560335 Frankfurt am MainAllemagne

Téléphone : +49 (69) 4 78 78 98Télécopie : +49 (69) 4 78 78 10 10

Directeur : Siegfried Tomazsewski

Photographes : Oleksandr Volyk

Rédaction : Martin Baron

Design : Tabitha Hess

Pour tout virement bancaire veuillez nous faire part de votre adresse complète.Don en ligne : www.spenden.bonnke.net