OOMERANG, DICTÉE C LA DICTÉE DE À

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2 Fiche du maître

3 Avant-pendant-après la dictée

6 Abécédaire de dictées

28 Grilles de relecture

AUTODICTÉE, DICTÉE BOOMERANG, DICTÉE COPIÉE…

LA DICTÉE DE A À Z

FRANÇAIS • CP > CM2

Photos : P. Kruger-iStockphoto, sauf mention contraire.

Pour que la dictée, quotidienne ou non, devienne un véritable moment d’apprentissage, ce fichier recense, sous la forme d’un abécédaire, 23 situations qui peuvent s’adapter à tous les profils d’élèves.

Au programme : autodictée, dictée boomerang, dictée copiée, discutée, négociée, observée, harmonisée, dictée gagnante, dictée farce, dictée à trous… à vous de choisir les mieux adaptées aux besoins de vos élèves !

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© LA CLASSE 1 FICHES PÉDAGOGIQUES

FICHE PRATIQUE

CYCLEs 2•3CP I CE1 I CE2 I CM1 I CM2

FRANÇAIS> ORTHOGRAPHE • GRAMMAIRE

par Bénédicte Dubois-Gryspeert

La dictée de A à Z

A comme « Autodictée », B comme « dictée Boomerang », C comme « dictée Copiée »… En prenant des formes variées et ludiques, la dictée perdra son statut d’exercice rébarbatif pour apparaître aux yeux des élèves comme une activité véritablement attrayante !

ObjeCtIF Améliorer l’orthographe en pratiquant des exercices de dictée qui privilégient l’aspect ludique et prennent en compte la diversité des élèves

MAtéRIel Tableau récapitulatif : activités avant, pendant et après la dictée (p. 3 et 4)

Abécédaire de dictées (p. 6 à 27) Grilles de relecture (p. 28 à 31)

> UN ReGARD DIFFéReNt SUR lA DICtée La dictée est trop souvent considérée

comme un exercice d’évaluation, alors qu’elle pourrait s’inscrire davantage dans une situation d’apprentissage de l’orthographe, une sorte d’activité de recherche, combinant le plus souvent possible un « avant », un « pendant » et un « après ».

L’avant-dictée L’avant-dictée enseigne des stratégies de

réflexion et d’analyse sur la langue en intégrant la grammaire, le vocabulaire et la conjugaison. Situé en amont, ce temps développe principalement des connaissances ou des savoirs relatifs à la maîtrise de la langue, mais également la capacité à argumenter et à justifier des choix quand il est possible de le faire.

Le pendant L’enfant qui écrit la dictée mobilise ses

connaissances acquises précédemment et s’oriente donc vers des savoir-faire. À ceux-ci s’ajoute celui de se relire, et par là même de s’interroger sur la pertinence de ses choix orthographiques.

L’après-dictée L’après-dictée devrait être pour l’enfant

l’occasion de revisiter ses erreurs, de les analyser puis de les corriger seul, avec le maître, ou bien avec un ou plusieurs pairs dans une logique socioconstructiviste. Cette tâche peut s’accompagner d’une grille de relecture dans le but de guider les élèves et de leur apprendre à agir avec rigueur et méthode pour éviter toute dispersion.

eN RéSUMé

> Présentées sous la forme d’un abécédaire, 23 façons d’aborder la dictée pour optimiser les situations d’apprentissage de l’orthographe, du CP au CM2.


FICHE PRATIQUE

Avant la dictée

Développer des stratégies

Développer des compétences disciplinaires

Mobiliser et développer des outils

cognitifs

Développer des processus affectifs

Apprendre à :

- tâtonner, se questionner sur les conversions de phonèmes en graphèmes, les règles grammaticales ;

- mobiliser les connaissances acquises lors des séances de vocabulaire, de grammaire et de conjugaison précédentes ;

- utiliser des outils d’aides (dictionnaires, répertoires, cahiers de règles…).

Compétences d’un point de vue :

- graphophonétique

- de l’orthographe grammaticale

- de l’orthographe lexicale

Se référer aux programmes officiels pour chaque classe (du CP au CM2).

Se décentrer : prendre en compte le point de vue de ses pairs et le coordonner avec le sien.

Comparer : rapprocher des éléments pour en saisir les différences et les ressemblances (ex. : stratégies d’analogies avec d’autres mots).

Faire des liens entre les connaissances acquises et ce qui est nouveau.

Inférer : observer une situation et en tirer des conséquences, déduire, établir des relations qui ne sont pas directement explicites.

Classer : réaliser des catégories de mots en fonction de leur similarité et de leurs critères communs (ex. : les mots en ou qui ont le même pluriel).

Mémoriser : mobiliser ce qui a été retenu pour l’appliquer et retenir de façon durable l’orthographe lexicale et les règles nouvelles.

Oser donner son opinion sur le choix de l’écriture d’un mot, d’une phrase.

Débattre sur les règles en apportant une argumentation.

Prendre en compte les avis des uns et des autres.

Se projeter dans la mémorisation des règles orthographiques et grammaticales dans le but de réussir.

La dictée de A à Z


FICHE PRATIQUE

Pendant la dictée




cognitifs


Apprendre à :

- se relire et à se questionner sur ce qu’on vient d‘écrire ;

- mobiliser ses connaissances ;

- utiliser les outils d’aide laissés à disposition ;

- utiliser une grille de relecture et en tirer profit.

Mobiliser ses connaissances dans les domaines :

- graphophonétique



Mémoriser :

- Mobiliser sa mémoire de travail pour pouvoir écrire, c’est-à-dire stocker et manipuler les informations sur une courte durée pour pouvoir réaliser la dictée.

- Chercher les informations dans son stock de connaissances (mémoire sémantique) et savoir les récupérer puis les utiliser.

S’engager dans l’exercice de la dictée avec le moins d’appréhension possible.

Après la dictée




cognitifs


Apprendre à :

- observer et analyser ses erreurs, être en réflexion et en recherche, tâtonner, expérimenter ;

- corriger ses erreurs seul ou à plusieurs en utilisant un support d’aide.

Conforter et/ou remobiliser ses connaissances dans les domaines :

- graphophonétique



La plupart sont les mêmes que les outils évoqués précédemment

Reconnaître ses erreurs, les utiliser et en tirer parti pour progresser.

S’engager dans un changement de stratégies pour mieux réussir les prochaines fois.

Analyser ses réussites pour continuer à progresser.


FICHE PRATIQUE La dictée de A à Z

La correction Concernant la correction de la dictée, notons

l’existence de l’outil proposé par Olivier Barbarant, inspecteur général de lettres (tinyurl.com/owa448n). Son idée repose sur un barème utilisant une feuille Excel, permettant de rendre compte de façon objective et factuelle de ce que sait faire l’élève mais aussi de hiérarchiser ses difficultés, afin d’envisager des remédiations possibles adaptées à chacun.

Cette démarche s’inscrit dans la logique du Référentiel de compétences des métiers du professorat et de l’éducation (BO n° 30 du 25 juillet 2013) où la compétence P5 met en exergue non seulement les aspects de repérage des difficultés des élèves (pour mieux assurer la progression des apprentissages), mais aussi l’utilisation d’outils permettant l’évaluation des besoins, des progrès et du degré d’acquisition des savoirs et capacités. Enfin, cette compétence intègre la nécessité d’analyser les erreurs et les réussites, dans une perspective de communication aux élèves eux-mêmes, principaux acteurs de leurs apprentissages, ainsi qu’à leurs parents.

Prendre en compte la diversité des élèves « Prendre en compte la diversité des élèves », autre

compétence de ce référentiel, c’est déjà réfléchir à la diversité des moyens pour parvenir aux apprentissages. Varier les types de dictées est une pratique de plus en plus répandue dans les classes et qui fait preuve d’efficacité car elle permet de mettre en jeu des compétences d’apprentissage différentes et de répondre à la nécessaire prise en compte des différents profils d’apprenants. À cela s’ajoutent un aspect ludique mais aussi une rupture dans les pratiques de mises en œuvre de cet exercice qu’est la dictée.

> DeS APPROCHeS VARIéeS POUR UN MÊMe eXeRCICe

Loin de viser l’exhaustivité, l’abécédaire proposé ici recense un panel de dictées tout en offrant des idées de réponses pédagogiques pour les élèves dont les besoins particuliers face à cet exercice difficile génèrent bien (trop ?) souvent découragement et mésestime de soi. Mais après tout, cette accessibilité pédagogique peut aussi s’adresser à l’ensemble des élèves de la classe… Chacun y puisera des avantages et des bénéfices transférables à d’autres compétences, cela dans la logique d’une école inclusive que nous rappelle la loi du 11 février 2005.

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Comment ?

L’idée n’est évidemment pas nouvelle… mais l’autodictée, qui consiste à écrire un texte préalablement travaillé en classe puis mémorisé, peut se décliner à travers une typologie variée : textes narratif, descriptif, poétique ou même documentaire.Elle peut faire l’objet d’exercices classiques (texte puzzle, texte à trous…) en amont, lors de sa découverte.

Pour quoi ?

Tout d’abord, pour favoriser la mémorisation d’un texte quel qu’il soit, puis fixer l’orthographe de mots usuels et réinvestir les connaissances acquises en grammaire.

Les points de vigilance

Si l’autodictée rassure les élèves du fait de l’absence de surprise, sa longueur et son niveau de difficulté doivent être pensés en fonction de leur âge.Ainsi, au CP, l’autodictée peut se limiter à une ou deux phrases.

A L’autodictée

En termes d’accessibilité et de réponses adaptatives, il est possible de :- varier la longueur du texte en fonction du niveau des élèves ;- laisser un référentiel de mots à disposition de chacun ;- offrir les premiers mots écrits pour favoriser le démarrage de l’autodictée ;- proposer une aide sous forme de pictogrammes ou de symboles de façon à favoriser la récupération en mémoire.


Comment ?

La dictée boomerang est une dictée de mots. Elle consiste à lancer oralement un mot préalablement étudié en classe, et à l’écrire au tableau (traditionnel ou numérique). Après une observation du mot pendant 10 secondes environ, les élèves doivent l’écrire, alors qu’il est à présent caché.À sa réapparition, ils le comparent avec leur production.

Pour quoi ?

Pour permettre la réactivation de mots étudiés dans le cadre d’une séance de vocabulaire, de sciences, d’histoire ou de géographie.


La contrainte de l’exercice chronométré peut être source de stress et interférer dans la capacité à maintenir temporairement les informations, surtout si la dictée boomerang n’est pas proposée régulièrement.

B La dictée boomerang

lancer

En termes d’accessibilité et de réponses adaptatives, il est possible de :- photographier, avec la tablette numérique, les mots à mémoriser à la maison. Cette utilisation originale, qui change du cahier ou de l’agenda, peut motiver davantage les élèves ;- accorder plus de 10 secondes d’observation du mot ;- faire épeler le mot à voix haute pour favoriser la mémorisation (boucle phonologique) ;- proposer un support qui permet d’identifier le nombre de lettres. Ex. :

— — — — — — — —


Comment ?

La dictée copiée consiste à réécrire un texte qui a été copié auparavant par l’élève.Elle peut être immédiate ou différée au lendemain ou deux jours plus tard.Son efficacité sera d’autant plus assurée que les obstacles auront été repérés, identifiés puis traités, et que sa copie sera accompagnée de stratégies de traitement du mot dans sa globalité plutôt que lettre à lettre.

Pour quoi ?

Selon que la dictée est immédiate ou différée, le recours aux structures cognitives ne sera pas tout à fait le même.Différée dans le temps (le lendemain, par exemple), la dictée copiée fera appel aux informations récupérées parmi les connaissances et sollicitera davantage la mémoire sémantique, qui est une mémoire à long terme.


Le point le plus important est de vérifier que la copie ne comporte pas d’erreurs… d’où la difficulté pour l’enseignant d’organiser la dictée copiée immédiate.Gardons toujours à l’esprit qu’une graphie erronée peut entraîner une mauvaise trace mnésique et freiner l’acquisition de cette orthographe lexicale.

C La dictée copiée (texte court)

jours

accompagnée de stratégies de traitement du mot dans sa globalité

En termes d’accessibilité et de réponses adaptatives, il est possible de :- réduire le texte (copie et/ou dictée) ;- réduire la charge cognitive en proposant la copie du même texte mais avec des mots à compléter (texte à trous ou de closure) ;

Pour les élèves à besoins particuliers, la copie est déjà un exercice très coûteux en termes d’attention soutenue. La dictée immédiate peut donc être très fatigante et contraignante.


Comment ?

Un texte court est lu par le maître selon un débit normal. Il est relu une seconde fois plus lentement.Les élèves écrivent le texte avec l’autorisation de poser des questions une fois qu’un feu vert est fixé au tableau (en principe, à la fin de chaque phrase).Il est interdit de :- poser une question tant que le feu vert n’est pas visible ;- poser une question qui l’a déjà été (d’où la nécessité pour les élèves d’être très attentifs) ;- demander la bonne réponse.

Pour quoi ?

Pour apprendre à :- écouter attentivement avec un projet d’écriture immédiate ;- réactiver des notions étudiées antérieurement et poser des questions pertinentes relatives à ces notions, dans le but de les réinvestir ;- écouter les réponses données par l’enseignant et en tirer profit.L’enseignant peut, quant à lui, jauger les compétences acquises en fonction de la pertinence des questions.


La dictée discutée est à réserver aux élèves de Cycle 3 et de collège, déjà habitués à l’exercice de la dictée.

D La dictée discutée

- poser une question qui l’a déjà été (d’où la nécessité pour les

En termes d’accessibilité et de réponses adaptatives, il est possible de…… proposer la lecture du texte en amont, dans le cadre d’ateliers d’aide pédagogique. Le texte est lu silencieusement par les élèves, puis à voix haute. Il est ensuite observé attentivement dans le but de relever les obstacles (mots difficiles, accords…).


Référence : André Ouzoulias, Favoriser la réussite en lecture : les MACLÉ, modules d’approfondissement des compétences en lecture-écriture, SCÉRÉN-Retz

Comment ?

La dictée est préparée la veille et les obstacles possibles sont repérés.Au moment de la dictée, le texte est imprimé et collé au verso de la feuille sur laquelle écrivent les élèves. En cas de doute, ils peuvent avoir recours au texte à condition de le mentionner lors de l’écriture du mot.Le nombre de recours au texte est noté par l’élève.

Pour quoi ?

Pour consolider les connaissances en orthographe lexicale.


À titre d’exemple, au CE2, les textes comportent une cinquantaine de mots.Pour la correction, il est déconseillé d’échanger les copies (les erreurs des uns peuvent parasiter la mémoire orthographique des autres).La dictée sans erreurs peut aussi s’appliquer à la dictée de mots ou de syllabes complexes (en fin de CP).

E La dictée sans erreurs: les MACLÉ, modules

peuvent

En termes d’accessibilité et de réponses adaptatives, il est possible de :- raccourcir le texte ;- organiser un partenariat par binômes.


Comment ?

C’est une dictée assez courte (3 lignes maximum) dans laquelle l’enseignant glisse de temps en temps des anagrammes qu’il écrit au tableau. Par exemple :

Eva monte sur l’échelle et aperçoit un petit nid d’rondellehi (écrit au tableau mais pas verbalisé).

Les élèves doivent remplacer l’anagramme par le mot adéquat.

Pour quoi ?

Pour donner l’occasion aux élèves de se focaliser sur le sens, le contexte.Pour les encourager à faire des hypothèses sur la place des lettres dans un mot en fonction des apprentissages antérieurs. Par exemple, dans bermo (= ombre), on peut réinvestir l’hypothèse de la lettre m devant le b.


C’est une dictée coûteuse en termes d’attention car elle nécessite une réflexion sur l’orthographe lexicale en s’appuyant sur le contexte et le sens. C’est la raison pour laquelle elle doit être courte et contenir des mots préalablement étudiés.Il est conseillé de travailler en amont, de façon quasi rituelle, les jeux d’anagrammes pour habituer les élèves à ce type d’exercice, et mieux, de leur en faire créer.

F La dictée farces

contexte.Pour les encourager à faire des hypothèses sur la place des lettres dans un mot en fonction des apprentissages antérieurs. Par exemple, dans

En termes d’accessibilité et de réponses adaptatives, il est possible de :- commencer par des anagrammes syllabiques. Exemple : d’rondellehi ;- augmenter la difficulté en proposant des anagrammes moins évidentes du premier coup d’œil : rihlelnodel.- proposer des lettres mobiles à manipuler pour réduire la surcharge cognitive de cet exercice de combinatoire et optimiser la flexibilité mentale.


Comment ?

Et si on inversait les rôles ?… Dans la dictée gagnante, ce sont les élèves qui dictent des phrases à l’enseignant à partir d’une illustration vidéoprojetée. Son rôle est d’écrire les phrases au tableau à condition qu’elles soient correctement formulées, puis de justifier l’écriture de certains mots et tournures grammaticales.Pourquoi gagnante ? Parce que tout le monde y gagne : les élèves gagnent en apprentissage grâce à l’adulte qui « prête son savoir ».

Pour quoi ?

Pour offrir une situation d’apprentissage qui change et qui surprend les élèves… La dictée gagnante leur permet de « parler l’image » dans un premier temps, en laissant libre court à la parole. Dans un second temps, lors du passage aux phrases dictées, ne sont acceptées que celles qui sont formulées pour l’écriture. Cela donne l’occasion aux élèves de prendre conscience que l’écrit n’est pas un simple transcodage de l’oral.


Ce sont les élèves les plus à l’aise à l’oral qui se prêteront le mieux au jeu. Il est donc possible d’utiliser un système de tirage au sort ou de convenir d’un ordre de passage pour donner la chance à tous de dicter une phrase à l’enseignant.

G La dictée gagnante

» dans

En termes d’accessibilité et de réponses adaptatives, il est possible :- d’anticiper la construction de phrases en amont (à la maison ou en atelier pédagogique) en faisant observer et décrire l’image (et pas seulement énumérer ses éléments) ;- d’organiser préalablement un travail coopératif de construction de phrases à partir de l’observation de l’image.


Comment ?

La dictée harmonisée est une dictée créée par deux élèves.Elle ne pourra être opérationnelle que lorsque le texte sera parfait, tant au niveau de sa formulation que de son orthographe.Quand l’enseignant donnera son aval, elle pourra être dictée à deux voix… harmonisées !

Pour quoi ?

Pour :- créer une harmonie, une complicité et une coopération entre deux élèves ;- les encourager à se justifier sur l’application de certaines règles et les transcriptions phonologiques jusqu’à atteindre un véritable consensus ;- les inciter à consulter des référentiels et partager des stratégies d’utilisation.


Le texte n’a pas besoin d’être trop long. Ce qui importe, c’est sa qualité de rédaction, utilisant des connaissances en vocabulaire et en grammaire.Veiller à ce que les deux élèves utilisent les référentiels mis à disposition pour éviter qu’ils soient trop dépendants de l’adulte.Guider la thématique du texte en fonction des projets vécus en classe (visite au musée, à la ferme…) dans le but de réinvestir les connaissances.Être vigilant sur la façon dont sera dicté le texte aux autres élèves de la classe. Cela ne va pas de soi et nécessite un petit entraînement en amont (maîtrise des groupes de souffle, par exemple).

H La dictée harmonisée

- les encourager à se justifier sur l’application de certaines règles et les

En termes d’accessibilité et de réponses adaptatives, il est possible de…… penser à associer un élève à l’aise en orthographe avec un autre à besoins particuliers pour favoriser un tutorat.


Comment ?

La dictée imagée est un texte ou des phrases qui intègrent des dessins, des symboles voire des pictogrammes. Il s’agit pour l’élève, in fine, de réaliser une « traduction ». Exemple :

La vole au-dessus de la rivière et se dirige vers la .

(La libellule vole au-dessus de la rivière et se dirige vers la barque.)

Pour quoi ?

Pour apprendre aux élèves à produire du sens à partir de pictogrammes et à se référer à un contexte.Pour travailler les stratégies d’accords grammaticaux.Pour faire mémoriser l‘orthographe d’usage.


Il est nécessaire d’insérer des illustrations très explicites du premier coup d’œil afin d’éviter une surcharge cognitive et de l’ambiguïté.Pour faire ce type de dictée, il est recommandé d’utiliser des pictogrammes régulièrement afin d’habituer les élèves à ce type d’outil de communication.

I La dictée imagée

En termes d’accessibilité et de réponses adaptatives, il est possible de…… réduire la difficulté :- en utilisant des dessins ou pictogrammes se référant à des mots plus simples ;- en proposant des phrases plus courtes.


Comment ?

Le texte dicté est écrit en prenant soin de sauter une ligne. À la relecture, l’élève place des jetons sur ses hésitations.L’enseignant fait un sondage sur l’ensemble du groupe classe et répertorie oralement les hésitations des élèves.Après un rappel de règles apprises, ceux-ci peuvent revenir sur leur production et s’autocorriger.

Pour quoi ?

Pour encourager la relecture attentive et l’émission d’hypothèses.Pour réinvestir les connaissances acquises en vocabulaire, conjugaison et grammaire.


On s’assurera de la bienveillance des uns envers les autres : l’objet de l’exercice n’est pas une surenchère de celui qui a le moins de jetons… donc le moins d’hésitations !Le principe de cette dictée est fondé sur le « doute orthographique », vecteur d’un bon apprentissage. L’élève est mis en situation de se poser les bonnes questions quant à l’écriture des mots. C’est à l’enseignant de le lui rappeler et surtout de l’y encourager.

J La dictée jetons

Pour réinvestir les connaissances acquises en vocabulaire, conjugaison

En termes d’accessibilité et de réponses adaptatives…Reconnaissons qu’en termes d’estime de soi et de motivation, ce n’est pas la dictée idéale pour l’élève à besoins particuliers… Soit il risque de n’avoir pas assez de jetons tant le nombre d’hésitations est élevé, soit il risque de n’avoir pas conscience de ses erreurs et de passer pour un tricheur aux yeux de ses camarades…Alors, favorisons la dictée en binôme, qui permettra une approche collaborative et la prise de conscience pour l’élève que son camarade peut aussi douter et se tromper.


Comment ?

C’est une variante de l’autodictée.Le texte est mémorisé superficiellement, en amont, en classe.Il est dicté par l’enseignant, qui le stoppe de temps à autre. Les élèves doivent alors poursuivre l’écriture du texte, en faisant intervenir leur mémoire.Seul le nombre de mots manquants est affiché au tableau.

Exemple : ___ _____ ______.

Pour quoi ?

Pour réinvestir les connaissances acquises en conjugaison et en grammaire.Pour mettre en confiance l’élève sur un texte déjà étudié.


L’aspect très ludique et compétitif de l’activité peut déboucher sur de l’inattention. Il faut donc rester vigilant à l’attention des élèves.

K La dictée karaoké stop

En termes d’accessibilité et de réponses adaptatives, il est possible de :- donner un texte partiellement écrit, comme un texte de closure (à trous) ;- proposer un partenariat avec un autre élève.


Comment ?

La dictée libre est une dictée choisie par l’élève parmi un panel proposé. Elle peut s’organiser de différentes façons :1) Chaque jour, durant une semaine, l’enseignant dicte un texte différent et les élèves participent selon le texte qu’ils ont choisi.2) Les enseignants s’organisent pour dicter un texte différent au même moment et les élèves sont répartis dans les classes en fonction de leur choix.3) Tous les élèves font leur dictée en même temps grâce à une synthèse vocale (avec des écouteurs ou un casque).

Pour quoi ?

Pour personnaliser les dictées en fonction des besoins des élèves, après analyse de leurs erreurs récurrentes. Par exemple, certains devront renforcer leurs capacités à appliquer les accords du verbe avec le sujet, d’autres écrire sans erreur les homophones grammaticaux (à/a, et/est…), etc.Pour rendre les élèves acteurs de leurs apprentissages en leur faisant prendre conscience de leurs capacités et de leurs points faibles.


Il s’agit de bien identifier les erreurs récurrentes des élèves pour pouvoir les guider dans leur choix de dictée. Il est nécessaire de proposer ce choix de façon très explicite, sous la forme d’un tableau par exemple. Les élèves prennent ainsi conscience de leurs capacités et de leurs besoins en termes d’orthographe.La complexité d’une telle organisation ne doit pas affecter la correction des dictées si l’on veut maintenir une qualité dans les apprentissages.

L La dictée libre

En termes d’accessibilité et de réponses adaptatives, il est possible…… et nécessaire d’avoir recours, plus que jamais, à la participation de partenaires tels que l’enseignant spécialisé ou l’AESH pour les élèves à besoins particuliers.Cette participation ne se limitera pas exclusivement à l’exercice même de la dictée, mais concernera aussi sa préparation en termes d’obstacles aux apprentissages. Ces personnes sont sans doute les mieux placées pour anticiper la construction de textes parfaitement adaptés aux besoins des élèves dont elles ont la responsabilité.


Comment ?

Ce type d’exercice n’est pas tout à fait une dictée au sens où on l’entend habituellement, mais plutôt une production d’écrit mettant en évidence des connaissances en vocabulaire, grammaire et conjugaison.Les élèves ont chacun un quadrillage (mosaïque) contenant des mots, des pictogrammes, des dessins. Ils créent eux-mêmes leurs phrases ou leur texte en choisissant les mots et illustrations proposés (tous ou quelques-uns). Exemple :

freiner la maison rencontrer la rivière

imaginer le bec attention !

là-bas le canard arrêter le champ

manger nager le chemin les pattes palmées

Pour quoi ?

Pour aider les élèves à :- produire un écrit utilisant des mots étudiés ou non ;- deviner des mots inconnus en mobilisant leurs connaissances ;- réinvestir des connaissances acquises en conjugaison et en grammaire.

M La dictée mosaïque

En termes d’accessibilité et de réponses adaptatives, il est possible de…… proposer des grilles de mots différenciées en fonction du niveau des élèves (niveau 1, niveau 2, niveau 3, par exemple) : mots déjà connus des élèves, mots réguliers…


Référence : Micheline Cellier, La dictée négociée, CRDP de Montpellier (tinyurl.com/nmpdd8h)

Comment ?

Après la phase de dictée habituelle, les élèves sont invités à se réunir par trois ou quatre pour ne rendre qu’un seul texte qui aura été revisité, négocié, argumenté.

Pour quoi ?

Pour apprendre aux élèves à mutualiser leurs connaissances et à justifier leurs choix.


Être attentif à la formation de groupes hétérogènes.

N La dictée négociée

En termes d’accessibilité et de réponses adaptatives…Ce procédé est bénéfique aux élèves à besoins particuliers dans la mesure où ils sont guidés par leurs camarades.


Comment ?

Les élèves sont par deux. L’enseignant dicte le texte, l’un écrit, tandis que le second, qui a le texte sous les yeux, l’observe sans intervenir.Une fois la dictée terminée, l’observateur se manifeste en soulignant les erreurs éventuelles ou en posant des questions relatives à certains mots (écrits en italique dans le texte parce que repérés difficiles par l’enseignant).Les rôles s’inversent la fois suivante.

Pour quoi ?

Pour renforcer l’orthographe lexicale et grammaticale.

• L’observateur :- apprendre à observer ;- prend conscience du tâtonnement d’un pair et de ses stratégies.

• L’élève qui écrit apprend à justifier et à argumenter ses choix.


Il est nécessaire de donner le texte à l’élève observateur pour éviter qu’il mémorise des erreurs.Il est préférable de garder le binôme au cours de l’inversion des rôles.

O La dictée observée

En termes d’accessibilité et de réponses adaptatives, il est possible de :- proposer un texte plus court ou de closure (à trous) pour les élèves à besoins particuliers ;- proposer le texte avant la dictée (à travailler à la maison ou en atelier pédagogique).


Comment ?

Jumelle de la dictée harmonisée, la dictée partagée est plus complète dans le sens où les élèves sont acteurs depuis sa conception jusqu’à sa correction.Deux élèves créent un texte, se corrigent à l’aide d’une grille de relecture, puis le soumettent au professeur qui valide.Cette création peut être ritualisée tous les jours durant la dernière demi-heure de classe, par exemple, avec deux binômes d’élèves qui s’isolent pour travailler. Ce sont eux qui dicteront le texte à leurs camarades et le corrigeront, pour aller jusqu’au bout de leur projet. Le texte peut être produit en complément d’un exposé qui a été fait auparavant, de façon à réactiver et renforcer des connaissances en culture humaniste ou scientifique.

Pour quoi ?

Pour favoriser le développement de compétences dans le domaine de la production d’écrit.Pour permettre aux élèves une prise de responsabilité au sein de la classe.L’enseignant joue le rôle d’observateur, de consultant puis de validateur.


Ne valider qu’une dictée « de qualité » tant sur le fond que sur la forme.Être au clair sur la correction que feront les élèves (un code de couleurs peut être établi par types d’erreurs).Être très vigilant sur la bienveillance des élèves porteurs du projet à l’égard de leurs camarades (statut de l’erreur).En raison de sa difficulté de réalisation et d’organisation, cette dictée sera plutôt proposée à des élèves de Cycle 3 ou de collège.

P La dictée partagée

Cette création peut être ritualisée tous les jours durant la dernière

leurs camarades et le corrigeront, pour aller jusqu’au bout de leur

En termes d’accessibilité et de réponses adaptatives, il est possible…… d’associer un élève à besoins particuliers avec un autre plus performant, dans l’idée d’une forme de tutorat. L’important est de préciser cette union en amont aux élèves pour que chacun trouve sa place et son rôle.


Comment ?

Bel exemple que la dictée quatuor pour démontrer ce qu’est la dictée « coopérative », mettant en exergue la spécificité et le talent de chacun des membres du groupe pour mener à bien la résolution d’une tâche.Tout comme dans un quatuor musical, à chacun sa spécialité. Par exemple, le violoniste est le garant des mots d’usage, le violoncelliste celui de l’accord sujet/verbe, etc.Une fois dicté et écrit, le texte est retravaillé à quatre. Quand tous les musiciens sont d’accord sur la partition, celle-ci peut être validée par l’enseignant chef d’orchestre.L’évaluation s’effectuera par l’attribution de notes… de musique : fa comme fabuleux, mi comme mitigé, ré comme à réviser.

Pour quoi ?

Pour démontrer aux élèves la nécessaire complémentarité de chacun pour résoudre une tâche.Pour focaliser leur attention sur des points précis, en ne ciblant (ou en évaluant) que ce qui a été étudié.Pour leur apprendre la confrontation pour expliciter leurs stratégies et faire l’expérience du doute.


On ne saurait trop recommander l’utilisation du barème Excel recommandé par le ministère (tinyurl.com/owa448n). Cet outil, qui permet d’identifier rapidement les capacités des élèves, facilite la constitution de groupes contenant des talents complémentaires.

Q La dictée quatuor

», mettant en exergue la spécificité et le talent de chacun des membres du groupe pour mener à bien la

Une fois dicté et écrit, le texte est retravaillé à quatre. Quand tous les musiciens sont d’accord sur la partition, celle-ci peut être validée par

L’évaluation s’effectuera par l’attribution de notes… de musique : fa

En termes d’accessibilité et de réponses adaptatives, il est possible…… et strictement nécessaire de constituer des groupes hétérogènes en expliquant aux élèves les raisons de ce choix.


Comment ?

Cette dictée est proposée aux élèves au moment où ils se sentent prêts à la faire, dans la limite de deux semaines. Pour cela, ils portent un casque sur les oreilles et par lequel est diffusé un texte préparé par l’enseignant (qui utilisera à cet effet un logiciel d’enregistrement audio par micro).

Pour quoi ?

Pour permettre à chacun de s’approprier des connaissances à son rythme.Pour apprendre aux élèves à mieux connaître leur fonctionnement avec une prise de conscience de leurs capacités à restituer des connaissances : « Suis-je plus efficace quand je fais la dictée tout de suite après la séance d’apprentissage ou bien quand je la diffère de quelques jours ? »


Penser à varier les niveaux de dictées pour parfaire l’idée de rythme d’apprentissage (niveau 1, niveau 2, niveau 3).

R La dictée à son rythme

En termes d’accessibilité et de réponses adaptatives, il est possible…… d’adapter cette dictée à tous les élèves puisqu’elle diffère en quantité, en niveau de difficulté, en adaptation du débit de parole, et offre à chacun la possibilité de réitérer le message autant de fois qu’il le désire.


Référence : Thierry Marot, Lecture-écriture, apprendre autrement, Mens Sana, coll. « Initiative éducation »

Comment ?

La dictée de syllabes est un grand classique de début de CP. Il est cependant nécessaire de la proposer sur un support particulier nécessitant un cloisonnement de ce type pour éviter que les syllabes s’attachent les unes aux autres.

1 2 3 4 5

Pour quoi ?

Pour vérifier très rapidement la discrimination auditive et la correspondance graphophonologique, ainsi que la capacité des élèves à segmenter les phonèmes, condition indispensable à la maîtrise de l’écriture de mots.

Pour déceler rapidement les confusions de phonèmes et les inversions de type car/cra.

S La dictée de syllabes

En termes d’accessibilité et de réponses adaptatives, il est possible de :- présenter les syllabes déjà écrites et de les faire numéroter par l’élève ;

mar

3

pil

1

tra

2

fir pol

- proposer une flèche assortie de jetons pour aider l’élève à segmenter les phonèmes.


Comment ?

C’est une dictée déjà écrite sur un support papier ou sur un écran (ordinateur, tablette), dans laquelle l’enseignant a laissé des trous que les élèves doivent compléter.

Pour quoi ?

La dictée de closure ou à trous est souvent proposée aux élèves à besoins particuliers dans le cadre de l’évaluation modifiée pour réduire la charge cognitive.Elle permet généralement de cibler des domaines d’apprentissages précis comme l’orthographe lexicale ou l’application de la règle de l’accord sujet/verbe.

Comment ?

C’est une dictée qui intègre les mots les plus souvent utilisés dans la langue française.Elle peut faire l’objet d’un travail partenarial entre les élèves et l’enseignant, qui, au cours de découvertes de textes, répertorient les mots les plus usuels. Une fois la liste finalisée (le sera-t-elle vraiment un jour ?!), elle peut faire l’objet d’une dictée.Pour ajouter un aspect ludique, elle peut se présenter sous la forme de devinettes. Exemple :Je suis un mot de 6 lettres et le contraire de souvent. Qui suis-je ?

Pour quoi ?

Pour réactiver régulièrement l’orthographe usuelle de mots de la langue française.

T La dictée à trous

En termes d’accessibilité et de réponses adaptatives, il est possible de…… varier la quantité et/ou la difficulté de mots à écrire.

U La dictée usuelle


Comment ?

C’est une dictée de mots un peu particulière, dans la mesure où les élèves écrivent en vrac tous les mots qu’ils veulent, à condition qu’ils aient été travaillés en classe depuis le début de l’année scolaire. Ils peuvent répondre à une contrainte thématique (par exemple, les mots appris sur les volcans, le cirque, la préhistoire…) et/ou une contrainte quantitative : écrire 18 mots, par exemple.

Pour quoi ?

Pour vérifier, réactiver, renforcer :- la maîtrise de la correspondance graphophonologique ;- la mémorisation de mots usuels.

V La dictée valise

En termes d’accessibilité et de réponses adaptatives, il est possible de :- faire travailler les mots en amont en atelier ;- varier la quantité de mots ;- proposer une dictée avec utilisation du clavier, de lettres mobiles…


Comment ?

C’est une dictée qui se compose de mots compliqués utilisant ces quatre lettres : W, X, Y, Z.Par exemple : xylophone, exercice, zoologie, wapiti, yack…

Pour quoi ?

Pour se focaliser sur l’orthographe de mots particuliers en travaillant la graphophonologie, la relation d’analogie (payer comme dans rayer), et la morphologie des mots (exercice, exercer…).

Wxyz La dictée Waouh !

(exercice,

En termes d’accessibilité et de réponses adaptatives…Cette dictée n’est certainement pas la plus adéquate pour les élèves ayant des difficultés à décoder et manipuler la graphie-phonie… Aussi est-il préférable de s’en tenir aux mots les plus couramment utilisés comme exercice, treize, six, chez…, ou bien plus simples à orthographier parce que réguliers : wapiti, taxi…

Référence : André Ouzoulias, Pour favoriser l’enrichissement autonome du vocabulaire en lecture : installer les bases de l’orthographe lexicale dès le Cycle 2, MENJVA/DGESCO (tinyurl.com/nrtoxnr)


FICHE PRATIQUE

Des grilles de relecture

Grille de relecture CP

Mon prénom :

Je pense à vérifier :

L’orthographe lexicale

l’écriture des mots que j’ai appris les majuscules des noms de personnes

L’orthographe grammaticale

les majuscules au début des phrases le pluriel des noms le pluriel des verbes (-nt) le féminin des adjectifs

Grille de relecture CE1

Mon prénom :



l’écriture sans erreur des mots invariables les plus fréquents les mots-outils appris au CP les mots contenant c/ç, c/qu, g/gu/ge, s/ss


l’accord du nom avec son déterminant l’accord du verbe avec le sujet l’accord de l’adjectif qualificatif avec le nom l’écriture des majuscules

Je sais conjuguer :

au présent de l’indicatif : des verbes du 1er groupe au présent de l’indicatif : être et avoir, faire, aller, dire, venir à l’imparfait de l’indicatif : des verbes du 1er groupe, être et avoir au futur de l’indicatif : des verbes du 1er groupe, être et avoir au passé composé de l’indicatif : les verbes du 1er groupe, être et avoir


FICHE PRATIQUE Des grilles de relecture

Grille de relecture CE2

Mon prénom :



l’écriture sans erreur des mots invariables les plus fréquents la lettre m devant les lettres m, p et b les correspondances entre les lettres et les sons les mots contenant c/ç, c/qu, g/gu/ge, s/ss que je coupe les mots au bon endroit


les homophones grammaticaux a/à, on/ont, et/est, son/sont, ou/où… l’accord du verbe avec le sujet l’accord de l’adjectif qualificatif avec le nom l’écriture des majuscules

La conjugaison

au présent de l’indicatif : des verbes du 1er et du 2nd groupe au présent de l’indicatif : être, avoir, aller, dire, faire, pouvoir, partir, prendre, venir, voir, vouloir à l’imparfait de l’indicatif : des verbes du 1er et du 2nd groupe à l’imparfait de l’indicatif : être, avoir, aller, dire, faire, pouvoir, partir, prendre, venir, voir, vouloir au futur de l’indicatif : des verbes du 1er et du 2nd groupe au futur de l’indicatif : être, avoir, aller, dire, faire, pouvoir, partir, prendre, venir, voir, vouloir au passé composé de l’indicatif : des verbes du 1er et du 2nd groupe, être et avoir


FICHE PRATIQUE

Grille de relecture CM1

Mon prénom :



l’écriture sans erreur des mots invariables les mots contenant ail, eil, euil les mots inconnus qui viennent de mots connus (préfixe/suffixe)


les homophones grammaticaux : c’est/s’est, ces/ses, mes/mais, c’était/s’était l’accord du verbe avec le sujet l’accord du déterminant avec le nom (eu, eau, au)

La conjugaison

au présent de l’indicatif : des verbes du 1er et du 2nd groupe au présent de l’indicatif : être, avoir, aller, dire, faire, pouvoir, partir, prendre, venir, voir, vouloir à l’imparfait de l’indicatif : des verbes du 1er et du 2nd groupe à l’imparfait de l’indicatif : être, avoir, aller, dire, faire, pouvoir, partir, prendre, venir, voir, vouloir au futur de l’indicatif : des verbes du 1er et du 2nd groupe au futur de l’indicatif : être, avoir, aller, dire, faire, pouvoir, partir, prendre, venir, voir, vouloir au passé composé de l’indicatif : des verbes du 1er et du 2nd groupe, être et avoir à l’impératif présent : des verbes se terminant par cer, ger, guer


FICHE PRATIQUE Des grilles de relecture

Grille de relecture CM2

Mon prénom :



l’écriture sans erreur des mots invariables les mots finissant par ée, tié, té, e muet… les mots qui commencent par ap, ac, af, ef, of…


l’accord du verbe avec le sujet les homophones grammaticaux : leur/leurs, s’en/sans, quel/qu’elle… les verbes se terminant par yer, eter, eler

La conjugaison

au présent de l’indicatif à l’imparfait de l’indicatif au futur de l’indicatif au passé composé de l’indicatif à l’impératif présent au futur antérieur au plus-que-parfait au conditionnel présent les participes présent et passé


Documents

OOMERANG, DICTÉE C LA DICTÉE DE À