OPÉRATION 11.11.11

DOSSIER DE PRESSE 2019

7-17 NOVEMBRE

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ContenuP 3. Opération 11.11.11

P 6. Financer

P 9. Sensibiliser

P 12. Agir

P 15. Évenements 11.11.11

p 17. Contact Presse

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OPÉRATION 11.11.11

DU 7 AU 17 NOVEMBRE, LES BELGES ONT RENDEZ-VOUS AVEC LA SOLIDARITÉ INTERNATIONALECette solidarité n’est pas un vain mot, à l’heure où le réchauffement climatique affecte princi-palement les pays du Sud, tandis que la mon-tée du national-populisme fait progresser partout le repli sur soi.

Durant 11 jours en novembre, les Belges au-ront l’occasion de montrer, leur attachement aux valeurs d’entraide et de justice. Les pro-jets financés constituent des leviers forts pour le développement de communautés, en Afrique, en Amérique latine ou en Asie et au Moyen Orient. Qu’il s’agisse de développer des cultures agro-écologiques, de créer des coo-pératives de santé, de permettre aux femmes de s’autonomiser de cultures patriarcales, ou d’atténuer les effets dévastateurs du réchauf-fement, tous les projets s’inscrivent dans une logique de justice sociale et environnementale.

En 2018, plus de 200 projets ont été financés dans une quarantaine de pays en dévelop-pement grâce à la solidarité de la population belge. Vous trouverez dans ce dossier trois exemples de projets au Burkina Faso, en textes et en images, pour comprendre comment les partenaires locaux, soutenus par des ONG belges et l’Opération 11.11.11, permettent aux communautés d’améliorer leur quoti-dien, en faisant face aux conséquences des changements climatiques, en mobilisant les jeunes pour l’environnement, et cela, malgré un contexte sécuritaire fragile.

La campagne sur la justice fiscale, portée par le CNCD-11.11.11 en 2019 et 2020, s’inscrit elle aussi dans cette logique de changement so-cial. Durant l’Opération 11.11.11 et dans les prochains mois, notre coupole d’ONG et de ci-toyens mettra en avant la profonde injustice d’un système de fiscalité internationale qui prive les Etats, au Nord et au Sud, de ressources essentielles pour le développement.

Aujourd’hui, l’optimisation fiscale agressive des multinationales coûte chaque année envi-ron 200 milliards de dollars aux pays au déve-loppement, d’après les estimations du FMI. En comparaison, l’aide publique au développe-ment des pays riches se chiffre à environ 150 milliards. Face à ce système inique, des solu-tions existent, notamment la taxation unitaire, défendue par la société civile. En Belgique, le CNCD-11.11.11 portera cette revendication.

Car chaque année, l’Opération 11.11.11, c’est un moment pour s’informer, pour échanger et pour soutenir les initiatives allant dans le sens d’un monde juste et durable.

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L’OPÉRATION 11.11.11, LA PLUS GRANDE RÉCOLTE DE BELGIQUE EN FAVEUR DES PAYS DU SUDLES PROGRAMMES DES ONG MEMBRES

En tout, la récolte 2018 de l’Opération finance plus de 200 projets dans une quarantaine de pays en développement (portés par 30 organisations membres). La sélection est indépen-dante : ce sont des collèges de consultants externes qui analysent les candidatures, en se ba-sant sur des critères de qualité précis, la cohérence avec la charte politique du CNCD-11.11.11 et l’implication du partenaire local.

Les programmes sélectionnés visent principalement l’Afrique centrale (RDC, Rwanda, Burundi) mais aussi l’Afrique de l’Ouest (Burkina Faso, Sénégal, Bénin, Guinée, Mali, Niger…), l’Amérique du sud et centrale (Pérou, Guatemala, Nicaragua, Haïti), l’Asie (Cambodge, Indonésie, Viet-nam) ou la Palestine.

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LE PROGRAMME CITOYENNETÉ ET DÉMOCRATIE

Le CNCD-11.11.11 soutient directement des réseaux d’organisations de la société civile en Afrique centrale, en Afrique de l’Ouest, en Amérique latine, en Palestine et en Asie. En 2018, 13 partenariats ont été soutenus dans ce cadre, en plus de 4 partenariats directs en RDC (cofinancés par la DGD). Citons entre autres les réseaux AETA (Agir pour des élections trans-parentes et apaisées) actif en RDC, PROFEMMES au Rwanda, ABONG au Brésil et LATINDADD en Amérique latine. Chacun, dans son contexte, soutien une approche basée sur le respect des droits humains, la démocratie et la solidarité.

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FINANCER

PROJETS SUD : COUP DE PROJECTEUR SUR LE BURKINA FASOLe Burkina Faso est l’un des pays les plus pauvres au monde, 221e place sur 228 selon l’indice de développement humain du Programme des Nations Unies pour le Développe-ment (PNUD), en 2017. S’il a réussi sa transition démocratique, en forçant pacifiquement au départ l’ancien président Blaise Compaoré après 27 ans de pouvoir en 2014, la situa-tion reste fragile. Le pays fait face à de grandes difficultés. Epargné jusqu’alors, il est la proie d’attaques terroristes qui ont ouvert une crise humanitaire sans précédent. Conflits et déplacements de populations se greffent à un problème d’accès aux ressources et d’in-sécurité alimentaire chronique dans certaines régions. En effet, la population, à plus de 80% rurale, subit de plein fouet l’impact du réchauffement climatique dans ce pays sahé-lien : périodes de sécheresse plus longue, suivies de séquences de fortes inondations. Mais la société civile fait aussi preuve d’une grande résilience et d’une forte capacité de mobi-lisation sur le terrain.

Depuis 2015, le Burkina est la cible, comme le Mali voisin, d’attaques terroristes fréquentes. En quatre ans, plus de 332 incidents sécuritaires ont provoqué le décès de 376 personnes, selon un rapport dressé par le Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations unies (OCHA) en avril 2019. Des violences, d’abord cantonnées à la frontière qui s’étendent vers l’est et l’ouest et prennent désormais le visage de violences interethniques, provoquant de très importants déplacements de population. Depuis le début de l’année, le nombre de déplacés interne a plus que quintuplé, passant de 50 000 en décembre 2018 à 270 000 en août 2019 (source CICR). « Pour la première fois, le Burkina Faso se trouve face à des déplacements internes massifs », prévenait Metsi Makhetha, coordinatrice résidente des Nations Unies dans le pays, en février dernier. Avec quel impact sur le travail des ONG ? Comment continuer à répondre présents auprès des populations les plus fragiles dans ces zones sensibles ? Réponse avec le SPONG, le Secrétariat permanent des ONG, le principal partenaire du CNCD-11.11.11 au Burkina Faso.

Vidéo 1 : ONG & menace terroriste au Burkina Fasohttps://cloud.cncd.be/s/TMJGnEz9NBkB82Z

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Le travail des ONG face au terrorismeONG & INSECURITE

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Les jeunes se bougent pour le climat Au Burkina Faso, les jeunes aussi se mobilisent aussi pour préserver leur environnement, à travers divers initiatives : nettoyage, collecte des déchets, reboisement, promotion de l’agro-écologie…. Des bonnes pratiques promues par l’ONG burkinabé Asmade qui forme 3500 jeunes chaque année. Et cela, grâce à plusieurs leviers : formation dans sa ferme école de Saaba, en périphérie de Ouagadougou, ou encore via le projet « Do IT » mis sur pied dans les écoles de la capitale et des alentours. Les jeunes les plus motivés s’engagent un cran plan loin et deviennent à leur tour formateur bénévole (environ 200 par an), afin d’inciter à leur tour d’autres jeunes à s’investir au service du développement. Un projet soutenu notamment par les ONB belges Défi Belgique Afrique (DBA) et Solidarité socialiste (SOLSOC).

Vidéo 2 : Les jeunes pour le climat au Burkina https://cloud.cncd.be/s/7wmHX4Y9eEXaoTX

Réchauffement climatique & agro-écologie Les Burkinabé sont à 80% agriculteurs et éleveurs. Ils sont extrêmement dépendants des pluies qui ne tombent que trois mois par an. De plus, avec les changements climatiques, la fertilité des terres agricoles se dégrade et les ressources en eau se raréfient, ce qui affecte les rendements des récoltes.Dans ce contexte, l’agro-écologie offre une réelle alternative : peu coûteuse, elle permet aux communautés rurales de se passer d’engrais chimique et donc de réduire les coûts, d’atténuer l’impact de l’argiculture sur l’environnement, d’améliorer les rendements, la qualité de la production et in fine leurs revenus. Exemple à Koupéla avec l’ARFA, partenaire d’Iles de Paix, de SOS faim et d’Autre Terre.

Vidéo 3 : Réchauffement climatique et agro-écologiehttps://cloud.cncd.be/s/on55WSjjnwTyY8a

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SENSIBILISER

LA JUSTICE FISCALE, VRAIE SOLUTION POUR MOBILISER DES RESSOURCES POUR LE DÉVELOPPEMENT

Le FMI estime à plus de 600 milliards de dol-lars par an le montant de l’évasion fiscale des firmes transnationales dans le monde, dont 200 milliards dans les pays en développe-ment – alors que l’aide publique au dévelop-pement plafonne à moins de 150 milliards. Autrement dit, l’évasion fiscale des firmes transnationales dans les pays en développe-ment est nettement supérieure à l’aide au dé-veloppement.

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Depuis 1980, les profits enregistrés par les firmes transnationales ont plus que triplé. Dans le même temps, le taux d’impôt sur les bénéfices des sociétés est passé en moyenne mondiale de plus de 40% à moins de 25%. A ce rythme, la moyenne mondiale de l’impôt sur les sociétés atteindra 0% en 2052. Cette course au moins-disant fiscal met en péril les capaci-tés budgétaires des États.

Le pire est que ces taux sont théoriques. La plu-part des firmes transnationales paient en réa-lité beaucoup moins. Comment ? En exploitant les nombreuses « niches fiscales » et en multi-pliant les stratégies d’« optimisation fiscale » qui consistent à transférer des profits dans des filiales logées dans des paradis fiscaux, plutôt que dans les pays où les activités générant ces profits ont effectivement lieu.

Dans le système fiscal actuel, chaque filiale d’une firme transnationale est considérée comme une entreprise indépendante. Du coup, chaque filiale facture à une autre filiale les services qu’elle lui rend ou les biens inter-médiaires qu’elle lui vend. Grâce à ce système, les firmes transnationales peuvent fixer elles-mêmes le prix de ces échanges entre filiales. Elles peuvent donc facilement surfacturer ou

sous-facturer ces transactions, en vue de gon-fler artificiellement les profits enregistrés par les filiales localisées dans des paradis fiscaux. C’est ce qui explique que 40% des profits des firmes transnationales sont déclarés dans des paradis fiscaux.

Comment faire face aux inégalités sociales, au changement climatique, au financement des services publics si les firmes transnationales font tout pour éviter de contribuer au pot com-mun à leur juste proportion ?

Comment mettre fin à cette injustice fiscale ? Deux clés. D’abord, en imposant la transpa-rence aux firmes transnationales, via la publi-cation annuelle d’un « rapport pays par pays » de leurs activités. Ensuite, une telle transpa-rence permettrait aux États d’imposer une fis-calité unitaire aux firmes transnationales, en taxant le profit global de l’ensemble du groupe après l’avoir réparti en tant que base taxable entre les différents pays où les activités ont effectivement eu lieu. La taxation unitaire des firmes transnationales permettrait d’adapter la fiscalité à la mondialisation et de mobiliser des centaines de milliards d’euros pour finan-cer le développement durable.

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COOPÉRATION VS POPULISMEUn nouveau livre: « Mondialisation et national-populisme : la nouvelle grande transformation »Le repli national-populiste, qui se nour-rit du ressentiment des « perdants de la mondialisation », bouleverse les systèmes politiques des démocraties occidentales. Alors que la crise de la « première mondia-lisation » (1870-1914) avait engendré la montée des totalitarismes et la « grande transformation » des années 1930, la crise de la mondialisation actuelle débouche sur une réaction identitaire qui met en péril le multilatéralisme, la démocratie libérale et le vivre-ensemble. En retraduisant les en-jeux économiques en clivages identitaires, le discours national-populiste remet en causes les valeurs progressistes, sans pro-poser d’alternative crédible aux dérives de la mondialisation néolibérale. La « socié-té fermée » promue par les Trump, Salvini, Le Pen, Orban et autres De Wever n’est pas moins inégalitaire et insoutenable que la

« société ouverte » néolibérale. Après avoir retracé l’histoire des mondialisations, cet ouvrage analyse les dérives de la mondia-lisation néolibérale, les caractéristiques du repli national-populiste et la « nouvelle grande transformation » qu’il provoque, avant de proposer des alternatives pour une société ouverte, juste et durable.

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PARLER DU CLIMAT AVEC LES ENFANTSUn nouveau livre « COUP DE CHALEUR »Une ville. Quelque part en Belgique. Quelque part dans le futur. Peut-être en 2052, ou 2053. Il fait chaud. Très chaud. Tellement chaud que Lucie, bientôt dix ans, n’arrive plus à trouver le sommeil. En plus, elle s’inquiète. Elle vient d’apprendre que le koala, son animal favori, avait disparu à cause du climat. Un matin, sur le chemin de l’école, elle rencontre Oscar, un pingouin exilé du pôle Nord et son amie Olga, une bonhomme de neige complètement fondue. Que faire pour les aider ?

Coup de chaleur, illustré par Marie de Monti et écrit par Éric Walravens, plante le décor d’un monde où le changement climatique a déjà produit tous ses effets : chaleurs extrêmes, inon-dations, réfugiés climatiques. Un avenir terrible ? Oui, mais il y a peut-être moyen de faire quelque chose. De façon ludique et rigolote, Coup de chaleur donne aux enfants de 8 à 12 ans des clés pour comprendre le changement climatique et pour agir.

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LES PRODUITS 11.11.11, DES VALEURS SÛRES

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Nouveautés cette année: des tablettes de cho-colat (noir et au lait), un livre pour les enfants sur le climat et des cartes postales représen-tant des portraits de femmes inspirantes.

Tous les produits que nous proposons re-flètent nos valeurs. Ils sont fabriqués dans des conditions éthiques et respectueuses de l’en-vironnement : des ingrédients naturels, bio et équitables pour l’alimentaire ; des papiers recyclés ou labellisés FSC et impressions « CO2 neutre » pour les imprimés. Nos fournisseurs et collaborateurs partagent aussi nos préoc-cupations : ce sont des entreprises locales res-pectueuses de l’homme et l’environnement.

CALENDRIER DU MONDE 2020…UN VOYAGE DE 365 JOURS

Véritable produit phare de l’Opération 11.11.11, le calendrier vous embarque pour découvrir d’autres horizons pendant douze mois grâce à ses magnifiques photos avec en prime une chance de gagner un bon d’une va-leur de 600 € pour un week-end dans une mai-son de vacances de l’agence Ardennes-Etape. Version panoramique ou vertical > 20 €

CARTES POSTALES DE FEMMES INSPIRANTES

Des cartes postales ilustrées par l’artiste Na-dia Akingbule représentant des femmes inspi-rantes : Tarana Burke, Berta Caceres, Angela Davis, Marielle Franco et Vandana Shiva. De quoi inspirer la génération actuelle et future des femmes qui veulent défier le statu quo. Les cartes comprennent des citations et des informations sur chaque femme présentée.10 cartes au format carré > 10 €

LES CHOCOLATS

Des tablettes de chocolat noir ou au lait de 90 g équitables et produites par la chocolate-rie écologique Belvas.Tablette 90 g > 6 €

LIVRE DE CUISINE VIVANTE : RECETTES GOUR-MANDES, SAINES ET RAPIDES

À travers 30 recettes, découvrez une cuisine sa-voureuse et gourmande, tout en étant attentif à la planète et à la santé avec :– le plein de conseils nutritionnels pour diver-sifier son alimentation et mieux se nourrir au quotidien.– un guide pratique des ingrédients alternatifs aux produits classiques (viande, produits lai-tiers, blé, sucre,...).Livre > 15 €

LES CARTES POSTALES DU MONDE 2020

Les superbes clichés issus du calendrier 11.11.11, imprimés sur des cartes panora-miques. 10 cartes au format panoramique > 10 €

LE CACAO… QUI N’EST PAS AMERPOUR LE PRODUCTEUR

Un sachet de cacao bio et équitable produit par la chocolaterie écologique Belvas.Sachet > 6 €

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ÉVÉNEMENTS 11.11.11

INFORMATIONS PRATIQUES:

OÙ: Centre Lumen, Ixelles | Centre culturel d’Ans| Centre culturel d’Habay l L’Etable d’Hôtes, Tubize l Centre culturel Tour à plomb, Ville de Bruxelles l Salle culturelle de Boussu l Centre culturel de CineyQUAND: Du 08/10/2019 au 03/12/2019 PLUS D’INFOS: https://www.cncd.be/combat-de-pauvres-theatre-2019

INFORMATIONS PRATIQUES:

OÙ: Théâtre national, Ville de BruxellesQUAND: 20/10/2019 De 20:30 à 23:00PLUS D’INFOS: https://www.cncd.be/concert-11-11-11-au-festival-libertes-bruxelles-alice-on-the-roof-20-octobre-2019

Depuis près de 50 ans, la mauvaise redistri-bution des richesses en Europe ne cesse d’ac-croître les inégalités. Les chiffres de la pauvreté explosent. La pièce « Combat de pauvres » de la Cie Art&Tca, dresse un portrait de ces figures quotidiennes de la pauvreté du simple « clodo » à la famille monoparentale.

Le CNCD-11.11.11 s’est associé cet automne à une série de représentations de la pièce, géné-ralement suivies de débat sur les inégalités et la justice fiscale.

COMBAT DE PAUVRES, DU THÉÂTRE PORTE-PAROLE DES « SANS VOIX »

« Les jeunes filles débarquent dans un drôle de monde. Certaines en rient, d’autres le contournent ou s’y frottent. Alice on the roof ne choisit pas. Ce monde, elle l’observe, assise sur le bord d’un toit imaginaire et brinquebalant. Pour en faire des chansons. Des chansons à son image, tantôt légères et moqueuses, tan-tôt oniriques ou mélancoliques ».Après un remarquable concert à Forest Natio-nal en mars dernier, Alice on the roof sera sur la scène du Festival des Libertés.Ce concert est organisé en partenariat avec le CNCD-11.11.11.

CONCERT 11.11.11 AU FESTIVAL DES LIBERTÉS : ALICE ON THE ROOF

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CLASSES EN URGENCE CLIMATIQUE

INFORMATIONS PRATIQUES:

OÙ: A BRUXELLES ET EN WALLONIEQUAND: 08/11/2019 DE 08:00 À 16:00PLUS D’INFOS: https://www.cncd.be/Classes-en-urgence-climatique

Quelque temps avant la COP 25 qui se déroule au Chili, le vendredi 8 novembre 2019, chaque école et chaque classe peut se mobiliser pour faire face à l’urgence climatique en se décla-rant en état d’ « urgence climatique ». Pour mener cette action vous pouvez symbolique-ment tirer la sonnerie, faire sonner des réveils, réunir l’école dans la cour.

Stéphanie Triest02/613 30 33

0485/46 99 23stephanie.triest@cncd.be

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