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1 N° 113 Hiver 2013 Ourlet et chaussettes Puissance érotique des pieds Justin Bieber

Ourlet érotiquefornost.uberbox.org/w/images/c/c2/Socks_N°113.pdf3 Zlatan, sale gosse Personne n’en doute : Zlatan Ibrahimovic est un grand joueur de foot. Un esthète qui brille

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  • 1

    N° 113Hiver 2013

    Ourlet et chaussettes

    Puissance érotique despieds

    Justin Bieber

  • 2

    REVUE DE PRESSE> Stromae, maestro en sondomaine> Zlatan, sale gosse> Chez Coldpay> Florent Manaudou défend lestongs> Odeurs de trouble> La chaussette de voyage

    pages 2 et 3

    STYLEOurlet et chaussettes

    page 4

    DEBATLes pieds de mon cousin

    pages 5 à 7

    TEMOIGNAGEMassage inespéré des pieds

    pages 8 à 9

    VECULes pieds de Chris

    page 9

    PEOPLEIncroyable Justin Bieber> C’est quoi ce look ?> Son look le plus raté> Justin Bieber abandonne seschaussettes sales dans leshôtels

    pages 10 à 12

    NOUVELLESL’apprentissage d’une lope

    pages 13 à 15Séminaire au couvent

    pages 16 et 17

    EN IMAGESCélébrons Noël en chaussettes

    page 18

    LITTERATURELe Maître a ses manies

    page 19

    SOCKS

    Revue de presseRevue de presseRevue de presseRevue de presse

    STROMAE Maestro enson domaine

    Depuis l’automne 2013, l’artiste belgo-rwandaisStromae (le verlan de « maestro ») a fait les bellespages des magazines grâce à son deuxième albumd’où est extrait le tube Papaoutai. Posant souventdans son look bien à lui (nœud papillon, gilet,chemise aux boutons fermés, pantalon à ourlet,chaussettes couleurs vives), Paul van Haver, deson vrai nom, a séduit public et professionnels.

    Le chanteur a eu un coup de coeur pourune petite entreprise familiale duLimousin qui fabrique - entre autres - deschaussettes haut de gamme et branchées.Stromae l’a choisie pour créer une ligne

    de chaussettes. Cinq mille paires ont été commandées. Aprèsavoir misé sur la production de masse dans les années 1980 et 1990,l’entreprise Broussaud a décidé de recentrer la production sur des marchés deniche qui conçoivent la chaussette comme un accessoire de mode à partentière, sur le made in France et la qualité. Entre 2006 et 2013 l'usine est ainsipassée de 10 000 paires de chaussettes par an à près d'un million.

    SommaireSommaireSommaireSommaire

  • 3

    Zlatan, sale gosse

    Personne n’en doute : ZlatanIbrahimovic est un grand joueur defoot. Un esthète qui brille par laconstance de son génie sur leterrain. Mais qui peut, comme toutun chacun, avoir quelque coup depompe en dehors. Dans uneinterview au quotidien sportif italienLa Gazetta dello Sport, le Suédoisrevenait sur ses débuts « pasfaciles » à Paris. Avec, entre autre,cette explication un brin vaseuse :« La saison dernière, je faisais unentraînement et trois jours plustard, mes chaussures n’étaient ninettoyées, ni rangées. On ne gagnepas parce que quelqu’un nettoie voschaussures. Mais d’où je viens, il yavait des gens qui s’occupaient decela. Ils faisaient leur job et moi, jepouvais me concentrer sur lemien. »A 15 millions d’euros par an, la stardu PSG juge donc indigne d’elle denettoyer elle-même ses chaussuressales. Autrement dit, son outil detravail. (…) Aux yeux du commundes mortels à qui personne ne lèchejamais les pieds, il dépasse mêmeles limites de la bienséance. Face àce comportement de sale gosse, onne peut s’empêcher de penser quequelques coups de pied dans leséant se perdent…

    L’Alsace

    Chez ColdplayInvité chez Chris Martin (le leaderdu groupe) et sa compagneGwyneth Paltrow, le reporter desInrockuptibles raconte : « Enpénétrant sur le plancher fait encagettes de fraises, Chris Martin mefait un signe : chez Coldplay, onenlève ses chaussures. Ça tombeplutôt mal : j’ai un trou dans machaussette. Surexcité à cette vision,il appelle sa femme qui applauditen trépignant et en poussant despetits cris américains. Visiblement,à la prochaine tea-party, il seraquestion de cette mode venue deFrance – l’orteil gauche libéré du

    joug du coton, dans un acteforcément politique. »

    Les Inrockuptibles

    Florent Manaudoudéfend les tongs

    La star masculine de la natationavoue enfiler des tongs tous lesjours. « Autour des bassins, c’est

    pratique. Et, à Marseille, c’estpresque devenu la chaussureofficielle ! »

    L’Express Styles

    Odeurs de trouble

    Du savon parfumé à la sueur, dufromage qui sent les pieds de DavidBeckham : ce sont quelques unesdes créations de l’artiste chimistescandinave Sissel Tolaas. En septans, elle a collecté, sous forme derépliques liquides, 7000 odeurs duquotidien, minutieusement stockéesdans son laboratoire. La marqueAdidas, qui collabore avec SisselTolaas depuis quelques années, luiconfie des baskets usagées pourqu’elle en extraie les bactéries et lestransforme en fromage. « Une foisles fromages prêts, nous les avonsdisposés dans de belles assiettespour les faire sentir à des expertsfrançais sans leur parler de lacomposition. Ils ont tellementapprécié leurs parfums qu’ilsvoulaient tous en goûter. » Jusqu’àce que la chimiste leur révèlel’origine exacte des produits !!!

    M, le magazine du Monde

    SOCKS

    La chaussette de voyage

    Ah ! le passage à l'aéroport, et les fameux« et merde, il est où mon passeport ! ». Ouencore les « chériieeee, tu as mis où lesclés ! ». Tous ces tracas qui empêchentd'être serein avant le décollage. Et bien toutcela est terminé grâce à ces chaussettesde voyage avec poche .Et oui, des chaussettes avec poche. Quelleidée ! Et bien, c'est fort utile et super décalé.En effet, lorsque vous passerez à ladouane, il vous suffira de sortir le passeportde votre chaussette, vous ne le perdrezplus. De plus, cela peut être aussi pratiquepour courir, ou encore pour cacher la baguede fiançailles (mais attention à l'odeur).Bien sûr, d'autres choses peuvent êtremises dedans…

    commentseruiner.com

  • 4

    SOCKSStyleStyleStyleStyle

    L’ourlet permetd’exhiber seschaussettes. Que, ducoup, on porte neuves.

    Chacun de vos vêtementsindique une facette de votrepersonnalité. Elle doit êtreclassique (confiance, solidité),mâtinée d’une pointed’originalité (séduction,dérision, épaisseur d’âme,aptitude à être dans lerythme). Ainsi en va-t-il de lachaussette si vous la portezen dessous d’un ourlet.Même plus que classique (àlosanges), elle fanfaronne.On mise sur la fantaisie àl’unique condition d’avoir unepaire de souliers qui trancheaussi (photo de gauche).Avec un teint unique (àdroite), une chaussureclassique est adéquate.

    (Source : GQ)

  • 5

    cousin.Par contre, tu peux effectivementessayer de sniffer ses pieds quand ildort (évite de les lécher, ça risquede le réveiller).Tu peux aussi essayer de lui piquerune paire de cho7 sales.A la limite, si l'occasion seprésentait, tu pourrais lui proposerun massage des pieds. Il faudrait parexemple qu'il te dise qu'il abeaucoup marché et qu'il ne sentplus ses pieds pour que tu puisseslui proposer ça.Si tu lui proposes sans raison unmassage des pieds, il trouvera çabizarre.Le risque du massage de pieds, c'estque tu ne puisses pas t'empêcher deles sniffer, voire de les lécher, et làil risque aussi de trouver ça trèsbizarre...

    > ZeMaleFeetJe suis dans la même situation quetoi, mais avec mon parrain.Je garde ça pour moi, mais aumoment où ses pieds sont fatigués,je sauterai sur l'occasion. Ça faitenviron 4 ans que j'attends le bonmoment, mais je persiste. Il fautpersévérer.J'ai déjà volé ses sandales pour leslécher.J'ai déjà volé une paire dechaussette qu'il venait d'enlever,sans qu'il s'en rende compte.D'ailleurs, je les ai encore chez moi,mais l'odeur s'est dissipée.J'ai déjà volé ses chaussures pourles sentir.J'ai déjà touché ses pieds parcontre : une fois lorsqu'on jouaitensemble alors que j'avais environ9 ans, et que je venais de découvrirune certaine attirance pour ses

    (Suite page 6)

    c'est cool ! Faut juste être discret !Au pire, contente-toi de leurschaussures ou de leurs cho7 !Tu peux peut-être oublier les piedsde ton cousin et voir si tu ne peuxpas concrétiser ton fantasme avecd'autres gars intéressés par ça !

    > WhiteSoxLoverCe n'est pas du tout une bonne idéede parler de ton fantasme à ton

    > feet-boyUn fantasme n'a pas à être partagésur la place publique, ça fait partiede ton intimité. Le (ou la) seul(e) àqui tu peux en parler c'est ta copineou un gars avec qui tu ferais unplan ! C'est un fantasme trop rare ettrop original pour être comprisfacilement de tous !Perso, je l'ai fait plein de fois avecdes copains à moi ou à mon frère,quand ils dormaient à la maison. Et

    SOCKS DébatDébatDébatDébat

    J'ai une grande familledonc, régulièrement, jepars manger chez mescousins et cousines. Jesuis fétichiste des piedsdepuis environ 2 ou 3ans, je ne sais plus tropcomment. Or, à chaquefois qu'on part chez euxje remarque les pieds demon grand cousin (ilmarche toujours piedsnus, pour mon plus grandplaisir) et ses piedsm'attirent, même s'ilssont assez sales j'aitoujours envie de lesavoir sur mon visage,donc je ne peux à chaquefois m'empêcher d'y jeterquelques coups d'œildiscrets lors de cesvisites.Et cette fois, il n'était paslà, ce qui m'a permis derentrer dans sa chambreen étant tout seul. Et là,que vois-je ? Sa paire deBirkenstein posée devantson lit, comme si ellem'attendait. Alors jem'allonge sur le lit demon cousin et je saisisses Birks, je commence àen porter une à mon

    visage, à la sniffer, àl'embrasserpassionnément, puis jerépète l'opération avecl'autre. Ce petit manègedure environ 10 minuteset cela me plaîténormément. J'ai adorél'odeur de seschaussures, du talon auxorteils. Ses Birkensteintaille 43 m'ont fait jouirolfactivement, jesentirais bien cette odeurdes heures encore !Puis une heure après, jevis reparaître moncousin et lorsqu'il ôta seschaussures et se mit àremarcher pieds nusdans la maison je ne pusm'empêcher deremarquer la silhouettede ses pieds et devouloir les sentir.Alors maintenantcommencent mesquestions : je ne suis pasgay, seuls les piedsm'attirent chez leshommes, et les femmesaussi (donc, merci de nepas me parler de sexe) :- Pensez-vous que jedevrais dire à mon

    cousin que je suis« amoureux » de sespieds et que j'aimeraisqu'il m'écrase le visageavec ? Est-ce qu'il risquede le prendre mal ou deme prendre pour untaré ? (on ne se parle pastrès souvent lui et moi)- Pensez-vous que jedevrais m'arranger pourme trouver dans unesituation où il serait entrain de dormir et où jepourrais essayer dediscrètement lui sentir,voire (mais je pense pascar ce serait pas trèsdiscret) lui lécher laplante des pieds ?- Pensez-vous que jepourrais lui demander delui masser les pieds puis,s'il est consentant,commencer à les luisentir (mais je pense qu'ilva aussi me prendre pourun fou ?)- Pensez-vous que jedevrais en rester là avecmes rêves et laisser sespieds tranquilles ?

    tiplouf645

    Les pieds de mon cousinLes pieds de mon cousinLes pieds de mon cousinLes pieds de mon cousinQuoi qu’on en pense, les pieds ont une puissance érotique insoupçonnée etfont l’objet d’une attirance parfois honteuse. Témoignages et débat.

  • 6

    pieds ; une autre fois lorsqu'il avaitposé ses pieds humidifiés par seschaussettes sur une chaise chez moi,et je les ai chatouillé pour voir s'ilétait chatouilleux.

    > crazy-wolfPerso, je suis bi mais je préfèredavantage les pieds de mecs.Je comprends totalement ce que tuvis actuellement, car ce fut mon casà moi aussi (j'avais 13 - 14 ans) ! Iln'est jamais évident de dire quelquechose d'aussi personnel à quelqu'unqu'on connaît... Mais il y a toujoursun moment où il faut franchir le capsi tu ne veux pas être frustré à mortet te dire : « M...., pourquoi je neme suis pas simplement lancé »...Mais plus facile à dire qu'a faire,hein !Bon, premièrement il ne s'agit enaucun cas d'un simple fantasmepassager... Soit tu es fétichiste despieds, soit tu ne l’aurais jamais été !Sache aussi que le fétichisme n'aitpas considéré comme anormal ouimmoral (énormément de gens lesont). Peut-être que ton cousin l'estaussi, car s’il se balade pieds nusdevant tout le monde c'est peut-être

    (Suite de la page 5) un signe (ça peut arriver mais pastrop de fausses illusions non plus).Si j'étais à ta place, je lui dirais maispas texto. Dis-le lui de manièredétournée. Regarde sa réaction et sielle te paraît bonne lance-toi.Tu peux déjà commencer par biendiscuter avec lui de choses etd'autres (si tu penses ne pas avoirassez de liens), puis aborde un peula sexualité en général... puisdemande-lui si tu peux lui faire « laconfidence de ton fétichisme »,explique-lui un truc genre : « je suishétéro, mais bizarrement, je flachesur les pieds d'un mec... Tu enpenses quoi ? Tu en connais qui ontla même chose que moi ?... », etc.Soit attentif à sa réaction et sespropos. C'est uniquement là que tupourras vraiment juger si tu peux luiavouer ou non et, peut-être même,passer à l'action.Voilà mon avis et pour te dire unedernière chose : tout le monde à desfantasmes, fétichistes ou non, etdans la majorité des cas, rares sontles personnes à mal le prendre.Perso, j'ai toujours réussit à fairecéder les gens hétéro qui étaientcontre à la base (mais c'est pas lecas de tout le monde). Donc, au

    pire, il dira juste : « bof, ça mebranche pas trop... »

    > feet-boyLe risque, à mes yeux, si le cousin leprend mal, c’est qu’il le répèteautour de lui. Se sentir humilié outrahi là-dessus ça peut être trèsdifficile à vivre. Ta technique peutpermettre de savoir si le gars estpotentiellement intéressé ou pas.C’est quand même se lancer dansune entreprise hasardeuse.Et sinon, je ne pense pas qu'on« refoule » notre fétichisme. C'estplus qu'on préfère le vivre caché,dans l'intimité. Tout le monde a desfantasmes, c'est sûr. Mais çan'empêche pas les gens d'être fermésà ceux des autres bien souvent.

    > mouta55Je vis la même situation. J’ai 18 anset je suis fou amoureux des pieds demon cousin. A chaque fois que je lerencontre je ne peux m’empêcher deles toucher. Le soir, quand il dort, jeles lui lèche... Mais j’ai jamais eu lecourage de le lui dire, j’ai peur quile prenne mal.

    (Suite page 7)

    SOCKS

  • 7

    potes... Je n'ai jamais osé luidemander si je pouvais lui sentir oulécher les pieds. Je pense que j'aifait le bon choix même si j'ai superenvie de sentir ses pieds... Pour tapart, je pense que tu devrais rien luidire mais essaye de te trouver dansune situation où tu pourras profiterde son 43.

    feet-love.forum-actif.net

    > antpiedsJe suis comme toi, j’adore les pieds(et seulement les pieds) de moncousin. Je lui ai déjà massé lespieds, parce que quand on était assiscôte à côte, il les avait mis sur mesgenoux. Je les ai saisi et j’aicommencé les massages et il n’arien dit : donc, si tu veux fairequelque chose, essaye de terapprocher de lui quand il est piedsnus ! J’ai déjà léché ses piedspendant qu'il dormait ! Il suffit defaire TRES attention, moi il a riensenti.Donc si tu veux qu'il se passequelque chose avec ses pieds, c'estlui qui doit faire le pas (moi jepense que s’il les a mis sur moi,c'est aussi parce qu'on est plutôtproches).

    > fandepied

    Moi je suis dans le même cas quetoi : je ne suis pas gay mais je suisattiré par les pieds d'un de mes

    (Suite de la page 6)

    SOCKS

    tiplouf645Merci de m'avoir répondu, je sais pas si jepourrai me trouver dans une telle situation carje dors très rarement chez eux et même quandc'est le cas parfois mon cousin part dormirailleurs.En tout cas, quoiqu'il en soit, parfois la nuit jerêve d'être son pantin, qu'il me demande delui sentir puis lécher les pieds. J'aimeraisdormir à ses pieds et me réveiller en sentantleur odeur.Mais bon, ce n'est qu'un rêve, à la limite uneobsession, mais sans plus. Je devrais peut-êtreme résigner à juste imaginer...

    TOUT LEMONDE A DESFANTASMES...

    MAIS ÇAN'EMPÊCHE

    PAS LES GENSD'ÊTRE

    FERMÉS ÀCEUX DESAUTRES.

  • 8

    un peu humides. Laurent avaittranspiré. En même temps, aveccette chaleur, ce n'était pasétonnant ! Je découvris alors pour lapremière fois ses pieds nus. Il enfilarapidement ses tongs et dit : « Jesuis prêt ! »

    Nous partîmes alors sur la plage. Jem'allongeai sur ma serviette et yrestai. Je jetai de petits coups d'œilrégulièrement sur les pieds deLaurent, qui me plaisaientbeaucoup.

    - J'ai faim, lança tout àcoup Laurent. Je vaisrentrer. Vous voulezrester encore un peu ?- Oui, moi je reste, ditGabrielle.- Bon, je viens avec toi,dis-je. Nous rentrâmestous les deux à lamaison et nous servîmesde quoi manger.Laurent s'allongea sur lecanapé.- Holala, j'ai mal auxpieds, c'est paspossible. Ça m'énerve !J'ai mis mes baskets

    trop longtemps, et mes orteilsétaient trop serrés. Et là j'ai supermal. Regarde les traces que j'ai !Je m'approchai alors du canapé etregardais de très près sesmerveilleux pieds masculins.- Ah ouais, dis donc ! C'est dingue...Il faudrait te les détendre un peu,dis-je en touchant doucement. Tuveux que je te fasse un massage ?- Nan, ne te sens pas obligé, ça va

    (Suite page 9)

    traits bleu marine sur le côté. Dechaque chaussure dépassaient deschaussettes blanches aussi, demarque Puma. Je fus étonné qu'avecla chaleur qu'il faisait, Laurent n'aitpas choisi de porter des tongs, pourlaisser respirer ses pieds. Ce choixm'aurait plu, mais bon. J'étaisquelqu'un de patient, et je medoutais bien qu'en Méditerranée, iln'allait pas garder les piedsrenfermés pendant trois jours !Après cette longue analyse, je meconcentrai sur la liste de courses.

    Nous mangeâmes tôt et préparâmesnos affaires pour aller à la plage.Laurent, toujours ses baskets auxpieds, marchait en direction ducanapé avec des tongs en plastiquebleu à la main. Tout en s'asseyant, ildélassa ses baskets, et les enlevadoucement. Il fit bouger ses orteilsdans tous les sens pour lesdétendre... Il retira ses chaussettesblanches. On voyait qu'elles étaient

    Nous attendions cemoment depuislongtemps... Mameilleure amie et moipartions pendant le week-end dePentecôte en Méditerranée... Je parsdonc avec Julie, son père Laurent,environ 35 ans, Gabrielle, safemme, et la petite sœur de Julie.

    Comme convenu, j'étais à 18h chezeux, avec mes bagages. Nous allionsrouler toute la nuit pour arriver tôtsur place. Il était 5h lorsque nousarrivâmes. Les parents deJulie sortirent les bagages etrangèrent un peu, et nous, lesjeunes, allâmes nous coucherpour finir notre nuit.

    Quelques heures après, je mismes vêtements spécial été :un short, un tee-shirt et destongs noires, pour laisser voirmes grands et fins pieds detaille 44. Je me rendis à laboulangerie du coin pouracheter le petit déjeuner àmes compagnons. A monretour, ils se levèrent. Jelançai alors doucement : « Lepetit déjeuner est servi ! » Ilsdécouvrirent le panier deviennoiseries sur la table de lacuisine. « Oh, merci David, c'esttrop gentil ! » Nous prîmes donc lepetit dej' tous ensemble...

    Ensuite, nous sommes allés faire descourses à l’hyper du coin. J'avaisremarqué que Laurent portait depuishier soir les mêmes chaussures : desbaskets Adidas blanches avec trois

    SOCKS TémoignageTémoignageTémoignageTémoignage

    WEEK-END EN MÉDITERRANÉE

    Massage inespéré des piedsMassage inespéré des piedsMassage inespéré des piedsMassage inespéré des pieds

    Difficile de garder des baskets et des chaussettes au bord de laMéditerranée. Une occasion pour soulager des pieds qui ne demandaientque ça !

  • 9

    - Merci beaucoup, c'était très trèsagréable !

    Les filles arrivèrent environ uneheure après. Laurent ne parla pas denotre petit moment intime, peut-êtretrop fier pour avouer à des femmesque l'homme de la maison avait malà ses petits petons ! Et çam'arrangeait beaucoup, car j'étaisgay. Julie le savait, et je ne voulaispas qu'elle croie que je draguais sonpère !

    feet--legend.skyrock.com

    - Ah ! Super ! Je suis content queça te plaise, Laurent ! Je n'ai pasl'habitude de faire ça...

    Je continuai alors à masser sespieds doucement. Ses orteils,puis sa plante. J'avais enviede baisser ma tête et desentir... De poser mes lèvres, etlaisser sortir ma langue. Mais il nefallait pas trop en demander ! Je luitouchais les pieds, c'était déjà pasmal. Mon visage était à environ30 cm de sa plante. Je sentais toutde même une petite odeur, trèsagréable. Je me concentrai sur elle.Après environ 5 minutes demassage, je reposai ses pieds sur lebord du canapé.- Voilà ! J'espère que ça t'a fait dubien.

    passer de toute façon, je pense...- Ah bon ? Tu es sûr ?- Oui, oui, ne t'inquiète pas.- D'accord...Bon, pas de massage pour cette fois,alors. Laurent me fit une petite placeet je m'assis à côté de lui pourregarder la télé. Il se toucha le pieden faisant une grimace.- Oh dis donc, t'as vraiment mal,là ? lui demandai-je.- Oui...- Bon, donne ton pied...Avant qu'il ait l'occasion de me direnon, je pris sa cheville et la posaisur mes genoux.- Allonge-toi, si tu veux, luiproposai-jeIl s'exécuta.

    Je commençai alors par lui caresserdoucement le pied nu avec mesdoigts. J'appuyai de temps à autre, etm'appliquai énormément au niveaudes orteils, pour qu'il n'ait plus malet qu'il soit content de moi. Il meregarda et me sourit. Je tiraidélicatement sur chaque orteil pourles détendre. Laurent faisait unepetite grimace sur le coup, etparaissait ensuite apaisé.- Hummm David, tu me fais du bien.Je ne sens presque plus de douleursdans mes orteils !

    (Suite de la page 8)

    SOCKS

    Les pieds de ChrisLes pieds de ChrisLes pieds de ChrisLes pieds de ChrisJ’ai passé l’après-midi avec Chris. Merveilleux garçon, tendrement câlin,doué pour le sexe, actif et passif. Je l’ai réprimandé pour seschaussettes sales (des tennis blanches très ordinaires de chezDécathlon). « Elles ont deux jours seulement », s’excuse-t-il comme s’ilétait pris en faute. A vrai dire, je m’en foutais bien, ça m’excitait. En toutcas, ce fut le prétexte pour pimenter nos ébats. Je l’ai fessé pour sonlaisser-aller et puis je lui ai tendu mon cul en signe de pardon. Il n’a paslésiné sous les coups de bite… Je me suis laissé dominer avecjouissance par ce jeune mec plein de fougue. Au final, il m’a laissécaresser ses pieds à travers ses chaussettes et pour finir, j’en ai retiréune et lui ai caressé chaque orteil avec dévotion avant de les lécher touten reniflant sa chaussette dont la plante grisâtre n’était pas odorante. Amon plus grand regret ! Recherchant continuellement son approbation demon regard enamouré, il a accepté ce traitement avec ravissement, pasle moinschoqué oudégoûté, etpourtant c’étaitla première foisqu’il sesoumettait à cefétichisme,m’a-t-il avoué.Merci mongarçon pour cemomentmagique que jen’aurais jamaisosé espérer deta part !

    P.P.

    VécuVécuVécuVécu

  • 10

    SOCKS

    L es ados jettent leurs idolescomme leurs vieilleschaussettes. Ainsi, qui se

    souvient encore des minets gothiquesdu groupe Tokio Hotel, starséphémères d’un show biz exploiteurde notoriété ?

    Dans cette frénésie, Justin Biebers’en plutôt sort bien. Lesadolescentes prépubères continuentde se pâmer d’adoration et ledéfendent bec et ongles. Par ailleurs,la presse people le descend en flècheà chacune de ses apparitions : sonlook juvénile (genre jean taille trèsbasse, tee-shirt serpillière, sketsmontantes délassées) est décrié etmoqué, ses écarts de conduite et sesamourettes font le tour du monde.Il est devenu un gosse tête à claquesà la stature disproportionnée.

    Dans le flot des minettesenamourées, il existe des garçons enidolâtrie. Tel Jérémy, ce Mulhousiende 18 ans, surexcité par la venue deson idole en Alsace : « Je ne lelâcherai jamais. C’est le meilleur ! »proclame-t-il avec l’enthousiasmed’une jeune fille en fleur.

    P.P.

    PeoplePeoplePeoplePeople

  • 11

    SOCKS

    Son look le plus ratéDans la mode ilfaut tenter ! EtJustin Bieber l’abien compris.Cependant ilfaut aussi enaccepter lecontrecoup quiest de seramasser unebelle gamelle. Etça il l’a moinsintégré et au lieude renoncer àson look aprèsles premierséclats de rire, ila persisté. Il abeau être unestar, leschaussettes deskipsychédéliques,remontées surle pantalon dejogging, on a dûmal à y croirecomme lookpossible. Etpourtant lui ils’éclate à sebalader commeça. Pour ne rienarranger il aopté pour unechapka, alorsqu’il fait assez

    chaud pour qu’il se balade en tee-shirt…On voitbien que son look est étudié, il a accordé sesbaskets au gilet et c’est la seule chose positiveque l’on peut retenir de ce suicide fashion.

    public.fr

    C’est quoi ce look ?

    Le pire look de Justin Bieber a été immortalisé en Californie lorsd'une balade romantique qu'il effectuait avec la jolie SelenaGomez. Il y a de quoi relever un milliard de fashion faux pas queJustin Bieber a commis dans cette tenue qui flirte avec l'absurde

    voire ledéguisement.

    Franchement oùJustin Bieber a-t-il vu que leviolet et le vertétaient d'abord« tendance » etensuite,potentiellementassortis ?L'hallucinationnous guettelorsque nousobservons leshorribleschaussettesrayées de JustinBieber portéesavec une pairede sneakers quidonnent desaigreursd'estomacs auxplusextravagantsd'entre nous.On doute qu'ilsoit judicieuxpour JustinBieber d'assortirsa casquettekingsize avecses baskets tantle moindrerappel de cettecouleur violette

    nous plonge dans le désarroi. On passe rapidement sur le tee-shirtbien trop grand et franchement moche de Justin Bieber. Nonvraiment, ce qui nous arrache des cris d'horreur, c'est ce que noussommes obligés d'appeler le "sarouel" de Justin Bieber.Pourquoi ? Mais pourquoi ? Pourquoi Justin Bieber a vraimentcraqué ? L'explication est simple : Justin Bieber a certainementenfilé son sweat à l'envers. La brigade du Style enquête de manièreapprofondie pour éclaircir le choix de Justin Bieber de se vêtird'une fringue pareille. C'est simple, Jutin Bieber semble être atteintd'une dysenterie aigue. Une colique qui nous rend mélancolique.

  • 12

    SOCKS

    Justin Bieber abandonne seschaussettes sales dans les hôtelsLes chaussettes sales de Justin Bieber, vous en rêviez ? Peut-être pas tout le monde, maisenfin… Donc, afin de booster les ventes d'un concert des Pet Shop Boys (bon, ce n’est pasvraiment le même style musical ni le même public…) en Pologne, un promoteur a décidé de« s'attaquer » aux très nombreux fans du petit ami (ou pas) de Selena Gomez : acheter un billetpour le show du groupe électro-pop offrait en effet la possibilité de gagner une paire de

    chaussettes usagées du Canadien,mais aussi l'une de ses serviettes ouencore une photo dédicacée. Desobjets que le jeune chanteur avaitoubliés dans sa loge lors d’unpassage à Lodz.Le promoteur Prestige MJM necache pas que s'il a imaginé un telconcours, c'est parce que certainsfans de Justin Bieber le harcèlentpour obtenir le moindre objet ayantappartenu à leur idole. «Nousdonnons tout ça aux fans parce quenous recevons beaucoup de mailsavec des demandes dans ce genre»,a-t-il à Metro UK.

    purebreak.com

    PubPubPubPub

  • 13

    J'ai rencontré Maître G. sur le Net. Il a tout desuite voulu me dominer... Dès le départ, jesuis devenu son esclave insignifiant, moinsque rien…Je sonne chez lui et m’agenouille devant la porte.Dès que Maître ouvre, il me chope par la nuque etme traîne à l’intérieur, claque la porte, me met unpied sur le dos et me dit fièrement : «Un rien

    SOCKS

    NouvellesNouvellesNouvellesNouvelles

    m’énerve ! J’veux qu’on me serve aveuglement,sinon coups de latte dans la gueule, dans le ventre,et écrasement des burnes…T’as compris, bâtard ? »

    « Oui Maître », répondis-je timidement. Et là, pas letemps de réagir, son habileté grâce à l'armée pourfaire les liens lui permet de me ligoter les mains entrès peu de temps. En guise de bâillon, une de seschaussettes bien fumantes que je crache (obligé, tantle goût est fort).

    Là, mon Maître me met une magistrale claque dansla tête, j'en ai les larmes aux yeux. « T'avises pas derefaire ça, sale lope ». Oui Maître. Il me fait rampervers le canapé, s'installe et me fout ses skets de footavec les crampons bien sales... « A mes pieds, lèchebâtard, oui lèche sale bâtard... Faut que ça soitnickel…»

    Je fais de mon mieux pour bien lécher les cramponsbien sales de mon Maître tandis que l'autre pied melaboure la gueule... J'entends des « vas-ysalope »... « Plus vite chien »... « Ouvre la bouche etbouffe, raclure »... Je continue de lécher, craignantles coups de mon Maître qui, lui, profite de la télé...

    Puis après une heure de décrassage, Maître G. medit : « Je reçois mes potes ce soir. Je vais faire

    (Suite page 14)

    L’apprentissaged’une lope

    Rencontre avec un maître aussi vicieuxque dégueu. Quand ses potes, de retourde foot en tenue crade, s’invitent àtable, le bâtard n’a pas d’autre choixque de les décrasser… Et ça daube bien !

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    football encore en tenuecrasseuse...Ils sont venus sedétendre.

    Maître G. les installe et il leur dit :« Les gars, ce soir j'ai un cadeau

    (Suite page 15)

    Une fois la douche terminée, ettandis que mon Maître est rhabillé,il m'attache une laisse autour du couet me laisse dans la salle de bain,une chaussette dans la bouche. Sespotes arrivent. Quatre beaux mecsrevenant juste de l'entraînement de

    quelques courses.Nettoie, sale pute,que ce soitparfait ! ». Je disalors : « OuiMaître, maisdéliez-moi lesmains et donnez-moi du produit ».Il explose de rireet me balance uncoup de pied dansla tronche : « Saleesclave, ton outilc'est ta langue etle produit tasalive. Lèche lesol ».

    Une heure durantje lèche lesprincipales tachessur le sol. MaîtreG. revient. Ilhurle :« Paillasson,esclave ». J’accourssous ses pieds qu'ilessuie violemment surma gueule. Satisfait dunettoyage, ilm'annonce qu’il va selaver. Maître G. metraîne à la douche... Jelui masse d'abord lesmuscles de son corpsviril et puissant. Jesens ses muscles ettremble à l'idée qu'unhomme puisse avoirautant de puissancedans ses bras. Jedescends à ses jambeset masse à la boucheson chibre puissanttandis que l'eauruisselle sur lescorps...

    Après quelquesminutes, je m'en prends plein labouche et tandis que j'avale, monMaître me repousse et, avec sespieds, me piétine le corps. Il se sertde moi comme tapis, m'écrase lagueule. Je gémis tandis qu'il rigole...

    (Suite de la page 13)

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    nickel »...Je sens que je vais encoregalérer...

    Je mange donc, le nez dans les sketstandis que Maître G. enfonce sespieds dans ma tête pour que magueule soit bien dedans. L'odeur estécœurante et ce n'est rien à côté deschaussettes de Maître G. que je doisencore décrasser après. En effet,mes Maîtres se sont mis dans lecanapé à regarder un match de foottandis que mon travail sur leurschaussettes est loin d'être terminé...Je lèche encore et encore, meprenant quelques coups dans lescôtes et sur la gueule, à recevoirinsultes et crachats... Ma langue nedistingue même plus les odeurs.Elle ne fait que travailler au servicede ces Maîtres.

    Mais, leur chibre puissant biendressé attend autre chose...Pour moiaussi ça va être la mi-temps !

    slaveoffeet.skyrock.com

    allant à table : « Nettoie le salon etviens nous servir, sale pute »... Lasoirée ne fait que commencer...Maître G. me remet la laisse et mefout sous la table. Là, tous mesMaîtres ont retiré leurs baskets etune forte odeur de chaussettehumide et sale règne. Lolo me foutun gros coup de pied dans les côteset gueule : « Qu'est-ce que t'attendspour manger ton repas, sale pute ».Je commence donc à lécher seschaussettes de foot crades etboueuses. Les traces d'orteil sontbien visibles et j'avoue que j'ai enviede gerber.

    Pendant que mes Maîtres rigolent àtable et mangent bien, je continue àastiquer les chaussettes sales enveillant à bien les nettoyer. Même sicela est très dur.

    Puis fin du repas. Mes Maîtres selèvent. Maître G. tire sur ma laisseet m'ordonne de débarrasser la table.Si je mets un seul bout de nourrituredans ma gueule, je vais morfler.Tandis que je débarrasse, un bout depain qui traîne me fait envie...Maître Pierrot le voit, me gifle etMaître G. prépare la punition. Ilprend une de ses vieilles basketspourries. Il y met des restes denourriture et écrase son pied dedans.Puis, en l'enlevant, il me dit: « Tuveux bouffer, sale esclave? Bouffeça, bâtard, et que ce soit

    pour vous ». Il rentre dans la sallede bain, vient me chercher et metraîne par la laisse dans le salon. Sespotes sur le canapé sont étonnés.« Mais c'est quoi ça ? Il faitquoi ? ». Maître G. est fier : « Voicimon esclave personnel. Ce soir, ilva s'occuper de vous et décrasservos baskets, chaussettes et pieds ».

    Maître G. me gifle. Je crache lachaussette sale. Il m'ordonne de lessaluer en embrassant leurs skets etd'aller chercher des bières et desbiscuits apéro. J'entends que çadiscute au salon mais que ça a l'airde plaire. Je reviens et alors que jem'agenouille, un des potes de MaîtreG. me met un violent coup de pieddans les côtes en disant : « Ouais,t’as raison, on va bien le tabasserce bâtard »...

    Maître G. tire sur la laisse et me dit :« J’ai bossé dur, j’veux que tu melèches pour me détendre et vas-y debon coeur sinon je t'explose latronche, lope dégueu ». Je ne peuxque m'exécuter pendant que lesbières défilent et la télé fonctionne.Les quatre potes prennent leursaises et se servent de moi comme untapis...

    Mes Maîtres me piétinent un par un,histoire de bien sentir les coups surmon dos et puis ils gueulent en

    (Suite de la page 14)

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    L a petite entreprise para-médicale où jetravaillais avait jugé bon de réunir enséminaire tous ses cadres commerciaux letemps d’un week-end de travail/détentedestiné à re-dynamiser les troupes. L’endroit choisi parla direction était assez insolite : un couvent franciscainretiré sur le plateau ardéchois, encore habité par unecommunauté d’une trentaine de religieux. Dernierdétail : la tenue de rigueur pendant ce week-end serajogging et skets.

    Rendez-vous nous fut donné à 20 h dans le réfectoirecommun. J’arrivais donc à l’heure prévue, revêtu demon jogging. L’animateur nous révéla la premièreépreuve : nous allions être répartis tous les cinq autourd’une table pour le dîner, entourés de plusieursreligieux. La mission était de récupérer les nomsd’emprunt d’au moins trois des convives qui seraientassis à nos côtés. Les franciscains avaient pourréputation d’être très peu loquaces : cette épreuvedevait donc mettre en avant notre force de persuasionquant à obtenir des informations confidentielles.

    Je me suis retrouvé entouré de deux frères sur magauche et sur ma droite, et de trois d’entre eux devantmoi. « Un auditoire de six clients rien que pour moi, çane devrait pas être compliqué d’obtenir trois noms ! »,me dis-je.

    Je les observais plus attentivement. Tous étaient revêtusd’une robe de bure munie d’une capuche. Une grossecordelette noueuse faisait office de ceinturon. La robedescendait bien en dessous des genoux, mais jedistinguais à leurs pieds de grosses chaussettes de laineengoncées dans des godillots cloutés. Ils n’abusaientpas du savon car assez rapidement, une odeur forte desueur s’échappa par les encolures et les manches demes voisins.

    Je tentais par quelques questions anodines de connaîtreleur train de vie, leur motivation, et de gagner ainsi leurconfiance. Les réponses étaient lapidaires et sansenthousiasme. L’épreuve s’annonçait donc plus ardueque prévue. Nous étions déjà au milieu du repas et jen’avais pas progressé d’un pouce ; mes collèguessemblaient dans la même situation d’échec. Je fis doncquelques confidences sur ma personne : je révélaisnotamment que j’étais célibataire et passionné de rugbyet de toutes activités viriles. Je leur taisais quand mêmeque j’étais gay. Mon entourage marqua alors un regainde curiosité à mon égard.

    Mon voisin de droite vint soudain coller sa cuisse lelong de la mienne ; je sentais sous mon jogging sa robeentrer en contact franc avec ma jambe. Ne décelantaucun geste de repli, il plaqua alors une de ses mainssur le haut de ma cuisse. Je scrutais les visages autourde moi pour discerner si l’on pouvait nous remarquer,mais mes collègues étaient trop éloignés. Seuls lesfrères proches pouvaient clairement observer la scène,mais ils n’en paraissaient pas particulièrement émus.

    Le religieux tâta alors soigneusement mon paquet àtravers le tissu du pantalon de sport. Ma queue, quiappréciait ce traitement, avait pris du volume. Il réussità saisir mon calibre et à lui prodiguer quelquesmouvements de va-et-vient ; avec mes 21 cm, la naturem’avait plutôt gâtée. Visiblement, le religieux voulaitaller plus loin : il saisit mon jogging à la hauteur de laceinture et me le fit tomber franchement sur mesgenoux. Puis il saisit mon slip à son tour qui subit lemême sort.

    Je me retrouvais assis cul nu sur ma chaise, ma bitebien raide, toujours cachée sous la table. J’essayais de

    (Suite page 17)

    Séminaire aucouvent

    Il vaut mieux être gay pour soutirer

    des informations à des frères

    franciscains peu loquaces. Et ne pas

    être rebuté par une hygiène plus

    que douteuse ! De quoi pimenter

    agréablement un séminaire de

    travail !

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    garder un air indifférent par rapportaux événements qui d’ailleurs seprécipitèrent. Le religieux avaitdesserré la cordelette de sa robe,rendant accessible son caleçonrendu également difforme par sonérection. Il me saisit la main droiteet la posa sur son paquet. Je partis àla découverte du territoire àl’aveugle. Ma main passa par sabraguette ouverte et se posa sur soncylindre de chair bien ferme. Jedescendais toujours à tâtons versson sac de couilles extrêmementvolumineux et poilu, sac que jesaisis et pressai délicatement.Remontant vers le gland, je faisaisle tour de la couronne, non sansétaler le précum qui s’écoulaitabondamment. Le religieux sepencha à mon oreille : « Je suisfrère Bartholomé. Branle-moi ! »

    Je fus moins surpris par sa demandeque par la révélation de l’identité demon voisin. J’avais enfin progressédans le déroulement de l’épreuve.Dans mon enthousiasme, je me misà secouer énergiquement la bite defrère Bartholomé qui appréciait cetraitement.

    (Suite de la page 16)

    Je me tournais alorsvers mon voisin degauche qui sedélectait de la scènede branle. Jel’interrogeais duregard, un regardqui, en clair,signifiait : « Tuveux que je te fassela même chose ? »Comme lui aussi fittomber sa ceinture,je compris qu’ilvoulait être de lafête. De ma maingauche, je plongeaisdonc vers le slip demon quémandeur.Une forêt dense depoils épaisrecouvrait son sexe,je tentais de lesécarter pour rentreren contact avec sabite. Il me semblait

    que ma main devenait poisseusealors même que je n’avais fouilléque depuis quelques secondes. Jedégageais ma main que je portais àmon nez. Elle était imprégnée d’unmélange de pisse, de foutre et desueur. Ce poppers naturel redonnaun coup de fouet à mon sexe qui seraffermit encore, s’il en étaitpossible. « Elle te plaît la bite defrère Boniface ? Fais-moicracher », me susurra-t-il. Je venaisde glaner un deuxième prénom.J’étais donc bien calé au fond de machaise en train de branler,simultanément ou à tour de rôle, lesdeux bites de mes voisins. De tempsen temps, je picorais dans monassiette ou buvais une gorgée pourdonner le change.

    Un raclement sonore émanant de lagorge du religieux installé en facede moi attira soudain mon attention.Je lui fis un léger sourire, montrantd’un signe de tête que j’étais bienaccaparé. Je le vis se déhancherquelque peu sur son siège, etsoudain au bout de quelquesinstants, je sentis un contact sur mabite. Je regardais sous la table cequ’il en était. Il s’agissait d’un despieds dudit frère qu’il avait réussi à

    glisser jusqu’à moi, favorisé par sagrande taille. Ce pied, qui devaitchausser au moins du 45, étaitrevêtu d’une épaisse chaussette delaine noire d’où le gros orteildépassait nettement. Une odeurirrespirable s’en dégageait : elletémoignait de longues journéespassées dans les godillots sansjamais avoir été lavées. Le religieuxavait réussi à plaquer ma bite contremon ventre et il me massait avec sachaussette puante sur toute lalongueur de ma bite et sur mescouilles.

    Pendant ce temps, jecontinuais à branler frèreBartholomé et frèreBoniface. Le premiermarqua soudain un rictus et je sentisqu’il déchargeait abondamment surma main. Je continuais à le presserpour faire sortir les dernièresgouttes de sperme. Frère Bonifacene fut pas en reste : je sentis saqueue se durcir soudain et êtreagitée de plusieurs soubresauts.Plusieurs giclées de sperme vinrentatterrir dans son slip déjà biencartonné par des branlesprécédentes. Pour ma part, jerésistais encore quelques instants,mais le duo odeur de panards etpétrissage de bite eurent raison dema résistance. À mon tour, jecrachais plusieurs jets de foutre dontnombreux vinrent s’échouer sur lachaussette de laine.

    Frère Boniface me dit alors :« Quelle marque utilises-tu pouramidonner si généreusement leschaussettes de frère Baptiste ? » Jelui répondis par une dernière caressesur son sexe, et j’étais heureuxd’avoir rempli l’épreuve de ce soir.La fin du repas était proche, et jeréajustais mon jogging pendant quemes voisins faisaient de même avecleur robe.

    Quand l’animateur se leva etdemanda à chacun le résultat de sesinvestigations, je fus le seul à avoirrécupéré les trois identités, ce quiprovoqua une admiration incrédulede mes collègues.

    Mortimeros (GE)

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    SOCKS

    Le Père Noël a aussi des besoins !

    Chaussettes crades en guise de guirlandes, slips enboule au sommet et skets puantes au pied du sapin !Quant à l’odeur, on peut tout imaginer !

    Quatre potes réunis en chaussettesautour du sapin ! C’est pas mignon !

    En imagesEn imagesEn imagesEn images

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    SOCKSlittératurelittératurelittératurelittérature

    Originaire d’Ukraine, lesulfureux et polémique poète-écrivain Edouard Limonovs’exile à New York dans lesannées 70. Il fréquente la jet-set puis la rue. Homosexuel letemps de coucheries avec de« grands nègres », puismajordome pour unmillionnaire qu’il surnommeGatsby le Magnifique auprèsde qui il vit toute la gammedes relations maître-esclave.

    « Histoire de son serviteur »,par Edouard LIMONOV(Flammarion)

    Le Maître a sesmanies

    Ayant parcouru le New York Post, il saisissait son verre etmontait dans sa chambre, au deuxième, se faire couler unbain qu’il parfumait d’une essence de pin particulière.

    Ainsi se détendait-il en haut tandis qu’en bas, nousattendions qu’il décampe, disparaisse, file au restaurantpuis aille, ensuite, tirer son coup n’importe où, avecn’importe qui. Depuis quelque temps, de plus en plussouvent, il rentrait à une heure tardive pour baiser ici. Lamaison et moi, naturellement, attendions qu’il parte ;j’avais le sentiment que cette maison n’aimait que moi.Parce que je l’habitais, que je m’en occupais, que je labichonnais. Ah ! le grand nettoyage hebdomadaire,passer l’aspirateur de la cave au grenier, cirer lesparquets, ça c’est de l’amour, et la maison m’aime enretour. Gatsby répand partout des serviettes, deschemises, des chaussettes sales, ses vieux slips. Il sème ledésordre, néglige les lieux que, moi, je protège.

    (…)

    Gatsby transportait une étrange odeur de cuir.Sa penderie, regorgeant de costumes et dechaussures, exhalait un parfum acre, mélanged’eau de Cologne et de Dunhill, son tabacattitré. Comme tous les snobs (…) il avait samarque de whisky – Glenlivet –, sa griffe dechemise – Astor –, ses pantalons – les Jockey –et enfin son tabac Dunhill ; sans parler d’autresmanies plus ordinaires comme de ne porter quedes chaussettes cent pour cent coton venantexclusivement de chez Bloomingdale’s.

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