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DOSSIER Communiquez ! RENCONTRE Commenter la Bonne Nouvelle (p. 5) par le père Basseville D’UNE RIVE À L’AUTRE P. 4 Les mouvements dans nos groupements paroissiaux. REGARD P. 12 Informer sur les ondes de RCF Loiret. PRATIQUE P. 15 Inscriptions au catéchisme, à l’éveil à la foi et à l’aumônerie. Vent d’Ouest N O 82 SEPTEMBRE 2016 2 JOURNAL DE L’ÉGLISE CATHOLIQUE • ARDON – BUCY-SAINT-LIPHARD – CHAINGY – CLÉRY-SAINT-ANDRÉ – DRY – INGRÉ – JOUY-LE-POTIER – LA CHAPELLE SAINT-MESMIN – LIGNY-LE-RIBAULT – MAREAU-AUX-PRÉS – MÉZIÈRES-LEZ-CLERY – ORMES – SAINT-AY – SAINT-JEAN-DE-LA-RUELLE Vent d’Ouest

P. 4 P. 12 P. 15 groupements paroissiaux. de RCF … · DRY – INGRÉ – JOUY-LE-POTIER – LA CHAPELLE SAINT-MESMIN – LIGNY-LE-RIBAULT – MAREAU-AUX-PRÉS ... Bernard Rouilly

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DOSSIER

Communiquez !

RENCONTRECommenter la Bonne Nouvelle (p. 5)par le père Basseville

■■D’UNE RIVE À L’AUTRE P. 4Les mouvements dans nos groupements paroissiaux.

■■REGARD P. 12Informer sur les ondes de RCF Loiret.

■■PRATIQUE P. 15Inscriptions au catéchisme, à l’éveil à la foi et à l’aumônerie.

Vent d’OuestNO82 ❚ SEPTEMBRE 2016 ❙ 2 €

JOURNAL DE L’ÉGLISE CATHOLIQUE • ARDON – BUCY-SAINT-LIPHARD – CHAINGY – CLÉRY-SAINT-ANDRÉ –DRY – INGRÉ – JOUY-LE-POTIER – LA CHAPELLE SAINT-MESMIN – LIGNY-LE-RIBAULT – MAREAU-AUX-PRÉS –

MÉZIÈRES-LEZ-CLERY – ORMES – SAINT-AY – SAINT-JEAN-DE-LA-RUELLE

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Journal catholique des paroisses des secteurs ouest d’Orléans et Cléry-Portes de Sologne • Rédaction et administration : « Association Les Quatre Vents » – 25, rue du Parc – 45380 La Chapelle-Saint-Mesmin • Directeur de la publication : Marie-Denise Pellé • Comité de rédaction : Père Olivier de Scitivaux et Marie-Christiane Guénon (Cléry), Jacques Lamoureux (Saint-Jean-de-la-Ruelle), Michel Poirier (Ingré), Bernardette Lefèvre-Dufour (La Chapelle-Saint-Mesmin), Jean-Philippe Gabelotaud (Saint-Ay), Andrée Javoy et Denise Faucheux (Mareau-aux-Prés), Marie-Denise Pellé (Ormes).• Responsable de la distribution : Bernard Rouilly • Publicité : Bayard Service Édition Île-de-France – Centre • 18 rue Barbès – 92128 Montrouge Cedex – Tél. : 01 74 31 74 10 • Édition et mise en page : Bayard Service Édition Centre ouest. Secrétaire de rédaction : Jean-Noël Desoulle. • Impression : Chevillon imprimeur – Sens (89) – Tél. : 03 86 65 04 78 • Tirage : 24 600 exemplaires • ISSN : 1269-5696 • Dépôt légal : à parution.Vent d’Ouest est distribué gratuitement dans les Communes du doyenné ouest d’Orléans. Pour aider au développement du journal : CCP “Les 4 Vents du Secteur Ouest” – 3059-99Y La Source (avec mention Vent d’Ouest). N’hésitez pas à nous faire part de vos réactions, en vous adressant aux personnes du Comité de rédaction, ou en écrivant à l’Association des Quatre Vents (Courrier des lecteurs de Vent d’Ouest), adresse ci-dessus, ou par e-mail : [email protected] ou [email protected]

ÉditorialToute notre vie est échange

Communiquer, c’est une ren-contre, un échange, un dialogue qui permettent d’être auprès de l’autre, à son écoute et éventuel-

lement de lui apporter l’aide dont il a besoin.En abordant, dans ce numéro de Vent d’Ouest, le sujet de la communication, nous avons repéré qu’il était particu-lièrement le reflet de notre humanité ! Ainsi, nous nous trouvons désemparés lorsque les moyens de communication font défaut ! Une route coupée par les inonda-tions des mois de mai-juin derniers, une tempête qui prive un village d’Internet, une information journalistique parfois idéologi-quement sélective, et nous voilà privés de nos repères et de nos habitudes. Nous ne pouvons plus joindre les autres, physique-ment ou médiatiquement ! Pour nous, ce journal, est un outil de commu-nication particulier. Nous essayons de vous rejoindre, là où vous vivez, pour vous faire partager un peu de la foi qui nous anime.

Andrée Javoy

C et automne, c’est le week-end du 16 octobre qu’aura lieu la célèbre “foire aux Pommes”. Un repas préparé, à l’initiative

commune des écoles publiques et libres de Cléry, rassemble tous les visiteurs. Une occasion de soutenir nos producteurs locaux de fruits après les difficultés du printemps !

À l’invitation du groupe “Chrétiens et écologie dans le Loiret”, la journée de la création se tiendra le dimanche 2 octobre à

Meung-sur-Loire. Découverte de l’environnement entre Loire et Mauves, rencontre d’acteurs de terrain, interrogation et approfon-dissement du lien entre foi et écologie.À la collégiale, à partir de 10 h.Renseignements et inscriptions [email protected]

C omme chaque été, depuis trois ans, des communautés CASA (Communautés Accueil sur les Sites Artistiques) sont venues à

Cléry pour accueillir les touristes et pèlerins en leur faisant visiter la basilique.Pour en savoir davantage sur ces communautés d’accueil :http://www.guidecasa.com/

D ans le but de communiquer largement sur le texte du pape François “Loué sois-tu” (Laudato Si’), une exposition sera ins-

tallée en septembre et octobre à la collégiale de Meung-sur-Loire et en novembre et décembre à la basilique de Cléry.

Journée de la création

Exposition Laudato Si’

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Visite de la basilique de Cléry

Foire aux Pommes

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D ’ U N E R I V E À L ’ A U T R E R E N C O N T R E D O S S I E R D É B A T S P I R I T U A L I T É C A R N E T D É T E N T E - P R A T I Q U E P R I È R E

Les journées du patrimoine avec l’aumônerie Képhas

Une église n’est pas un monument comme un autre. Elle a son histoire par ses murs, vitraux, statues,

peintures, mobiliers et si elle est le lien entre le passé et le présent, pour nous, chrétiens, c’est la “Maison de Dieu” où nous nous rassemblons régulièrement ou

occasionnellement.

L’aumônerie Képhas profite des journées du patrimoine pour organiser son temps fort de rentrée autour de la visite de deux églises de notre sec-teur : celles de Chaingy et de La Chapelle-Saint-Mesmin.Le dimanche 18 septembre, nous invitons tous les jeunes de Képhas, leurs parents, amis, paroissiens, curieux… à venir à l’église de Chaingy participer à la messe des croix de moisson, à 10 h 30. Cette tradition, qui sub-siste à Chaingy, représente pour les croyants un acte de recon-naissance adressé au Créateur à

l’issue de la récolte, tout en rappelant aussi la fonction nourricière de la nature et de sa fragilité.Nous prendrons ensuite le temps de “regarder ces lieux d’une autre manière…” et puis nous pique-niquerons tous ensemble. Nous emprunterons ensuite à pied les chemins et les sentiers pour rejoindre l’église de La Chapelle-Saint-Mesmin en longeant les bords de Loire pour profiter de la beauté offerte par la nature.Avant d’entrer dans l’église, nous ne manquerons pas de nous arrêter à la “grotte du dragon”. Savez-vous que le nom de la ville de La Chapelle-Saint-Mesmin trouve son origine au VIe siècle avec la construction d’une chapelle au-dessus de cette grotte ?Une belle journée en perspective à prendre conscience des trésors que nous avons à notre porte.

Isabelle Fouché,

responsable de l’aumônerie Képhas

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Une réalisation à base de grains et de graines, de l’église de Chaingy, pour une fête des croix de moisson.

L’entrée de la “grotte du Dragon” à La Chapelle-Saint-Mesmin.

D es enfants de primaire, catholiques et musulmans, avec leurs parents et éducateurs, se sont retrouvés, à l’initia-

tive de la paroisse de la Chapelle, pour découvrir les racines du patrimoine comme la vie de saint Mesmin par les vitraux de l’église et la grotte qui surplombe la Loire. Cette rencontre a permis de connaître la richesse du patrimoine mais aussi la place importante d’un édifice religieux dans la fondation d’une commune. A travers différents échanges et une prière partagée, chacun a pris conscience de ses valeurs respectives communes comme la fraternité, la bonté, la générosité. Une balade suivie d’un pique-nique pouvant réunir des membres de tous âges de nos deux communautés est un des projets concrets proposé à la communauté musulmane. S’il reçoit leur approbation, il pourrait avoir lieu en septembre, quand le temps s’y prête encore.Informations : http://blogsaintmesmin.blogspot.fr

La Chapelle-Saint-Mesmin

Rencontre intercommunautaire

I l se tiendra du 3 septembre au 8 octobre, sur le thème

de la Visitation, avec exposi-tion, soirée de prière, concerts, conférence…Le pèlerinage annuel de la Nativité de la Vierge Marie aura lieu le jeudi 8 septembre (messe à 10 h) par ainsi que le dimanche 11 septembre (marches vers Cléry, angélus…) puis messe à 16h par Mgr Blaquart.Renseignements :http://festivalmarialclery.com.

Festival Marialde Cléry

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L e secteur Ouest (ancien doyenné d’Orléans Ouest) reste divisé en trois groupe-

ments paroissiaux : • Pour la paroisse de Saint-Jean-de-la-Ruelle, ce sera l’abbé Stéfano Cimolino, prêtre italien. Il sera pré-senté aux paroissiens le dimanche 2 octobre, à la messe de 10 h 30 à Saint-Dominique. Il résidera au pres-bytère de La Chapelle-Saint-Mesmin. • Pour le groupement paroissial d’Ingré-Ormes-Bucy, l’abbé Jacques Pissier en reste le référent. • Pour le groupement de La Chapelle-Saint-Mesmin-Chaingy et Saint-Ay, les pères Louis Raymond, Philippe Séveau et Régis Cuisinet, missionnaires du Sacré-Cœur, seront les référents, et ce, en lien avec les EAP (Équipes d’animation pastorale), Isabelle Compin, assistante de pasto-rale avec l’aide toujours appréciée des pères Sampo et Basseville.

Le groupement de Cléry-Saint-André-Porte de Sologne reste confié à l’abbé Olivier de Scitivaux accom-pagné à temps partiel par l’abbé Ernst Julien et Jean-Marie Montigny, diacre, en lien avec l’EAP et Jessica Maciel, assistante pastorale.

L’abbé René Rousseau est recon-duit dans sa mission de modérateur du pôle et nommé prêtre référent des groupements de Beaugency et Meung-sur-Loire. Le Père Joël Raveton reste à Lailly en Val tout en apportant une aide appréciable sur les Groupements de Beaugency, Cléry et Meung.

Les mouvements dans nos groupements paroissiaux

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Depuis la mise en place des pôles missionnaires, les prêtres nommés par l’évêque d’Orléans sont solidairement responsables des paroisses. Pour la rentrée de septembre prochain, quelques mouvements interviennent.

L’abbé Olivier de Scitivaux

l’abbé Ernst Julien

l’abbé Stéfano Cimolino

l’abbé Jacques Pissier

Le père Philippe Séveau

Le père Basseville

Le père Sampo

Le père Cuisinetle diacre Jean-Marie Montigny

le père Louis Raymond

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D ’ U N E R I V E À L ’ A U T R E R E N C O N T R E D O S S I E R R E G A R D S P I R I T U A L I T É I N F O S P R A T I Q U E S C A R N E T P R I È R E

Vent d’Ouest : L’homélie, quel est le premier message qu’elle doit délivrer ? Quelle est sa finalité ?Louis Basseville : Ce commentaire va permettre de découvrir Jésus et son Évangile avec le cœur pour pénétrer et nourrir toute notre vie humaine et chrétienne.

Comment se construit une homélie qui, plus qu’une attitude morale à suivre, doit mettre en présence de Jésus pour nourrir notre foi ?En général, en début de la semaine : recherche sur les textes, les lectures et surtout sur l’Évangile. On lit les commentaires (Signes, Prions en Église), on prend des notes ; déjà apparaissent une ou deux idées ouvrant plusieurs pistes, qui vont mûrir dans la semaine.Cette recherche est bien sûr accom-pagnée de la prière pour se pénétrer de la Parole et s’en nourrir soi-même.

Vous préférez préparer sur papier, je crois ?À titre personnel, je l’écris souvent trois fois afin que mes paroles soient

le plus clair possible pour être com-prises de telle sorte que si je lis mon texte, je le maîtrise.

Pour porter cette Bonne Nouvelle, y a-t-il une formation spécifique avec des buts à atteindre ?Aujourd’hui, un groupe de laïcs chré-tiens va dans les séminaires pour aider les futurs prêtres ou diacres à

se préparer à l’homélie. Des partages d’Évangile, au cours d’une célébra-tion, peuvent aider à la conclusion d’une homélie.Il me semble important que l’homé-lie fasse allusion à un fait concret, à une situation connue, qu’elle ait un goût d’humanité, afin que nous nous sentions aimés par Dieu et invités à aimer les hommes comme des frères. Et ce message d’amour n’a pas besoin de grand développe-ment, dix minutes suffisent.

En conclusion, comment se prépare une homélie ?Être en même temps, un familier de la Parole de Dieu, un homme de foi, un homme du monde en prise avec la vie présente, que l’homélie offre une respiration, un bon goût de l’Évangile et nous fasse toujours reconnaître que nous avons besoin de Jésus-Christ. Jacques Lamoureux

Commenter la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ

Comment le prêtre ou le diacre prépare le commentaire de la Parole de Dieu pour la messe du dimanche, ce qu’on nomme l’homélie ?Vent d’Ouest a rencontré le père Louis Basseville.

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Le père Basseville

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COMMUNIQUEZ !

Communiquer, mélange d’art et de science, c’est diffuser la bonne information, au bon moment, en termes choisis et compréhensibles. Dans la multitude des moyens de communication à disposition, Vent d’Ouest s’invite, chez vous, chaque trimestre, avec l’ambition de porter un message de proximité humaine et chrétienne par des témoignages, des signes concrets d’accueil, d’écoute et de partage de ce qui se vit autour de nous et dans nos paroisses.

Communiquer par le spectacle de grands moments de l’Histoire de France avec le Son & Lumière de Cléry.

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D ’ U N E R I V E À L ’ A U T R E R E N C O N T R E D O S S I E R R E G A R D S P I R I T U A L I T É I N F O S P R A T I Q U E S C A R N E T P R I È R E

Les civilisations antiques avaient déjà adopté des modes de communication (papyrus, tam-tam, signaux de fumée, peintures, sculptures, monnaies… ). L’écriture est certainement la

première technique et la plus efficace permettant le stoc-kage de l’information. L’imprimerie, première révolution culturelle, a offert la possibilité de diffuser et de parta-ger la connaissance. La communication, telle que nous la concevons aujourd’hui, a trouvé son envol dans l’ère de la civilisation industrielle, surtout avec l’apparition des techniques électroniques et informatiques.

Toute communication passe par un émetteur et un récep-teur. La base en est la parole, nécessaire mais pas forcé-ment indispensable, bien souvent détrônée par l’image. Les oreilles reçoivent les mots, le cerveau les interprète et permet de réagir. Dans la lecture et l’écriture, les yeux fusionnent avec le cerveau. Une caresse sur la main d’une personne malade ou un baiser à un bébé sont des gestes qui permettent de percevoir tendresse et affection. Dans l’art de communiquer, nos sens développent donc des sentiments car un regard ou un sourire en disent parfois plus long que de grands discours.

Information et diffusionInventé en 1832 pour la télégraphie, le code morse est considéré comme le précurseur des communications numériques. Le téléphone, la radio, le cinéma, la télévi-sion, le minitel, Internet et les technologies annexes ont changé les modes de communication et, par voie de conséquence, les habitudes dans le traitement de l’in-formation politique, la gestion des entreprises, les liens sociaux et familiaux. Tous ces moyens ont aussi le mérite d’avoir largement facilité l’accès à la culture.La course à l’information passe obligatoirement par les médias. Mais est-ce de la communication, de l’informa-tion ou de la diffusion quand, de son canapé, devant son téléviseur, on assiste en direct à une catastrophe humaine ou naturelle ? Le message passe mais chasse ce qui a tou-ché notre sensibilité quelques jours auparavant et préci-pite l’information dans l’oubli. Avec tous les outils mis à

disposition, non seulement des professions nouvelles ont été créées mais c’est la conception même de la commu-nication qui a été changée avec l’apparition de “l’instanta-néité”, de la diffusion “généralisée et quasiment imposée” à tous.

Communication et communionLa communication ne se fait pas à sens unique mais néces-site écoute, accueil et partage alors qu’entendre reste du domaine de l’information. Le verbe “communiquer” vient du latin “communicare” signifiant participer, être en rela-tion, transmettre. Dans le langage du Moyen Âge, il s’est transformé en “communier” dans le sens de partage et de mise en commun alors que le terme de “communication” était seulement attribué aux moyens et voies de transport.Entrer en communion, c’est plus qu’une relation de sym-pathie, c’est une véritable union. En amputant de deux lettres “communiquer”, on obtient “communier”. Par conséquent, deux mots d’une même origine mais extrê-mement liés puisque le cheminement vers la commu-nion, le sacrement de l’eucharistie, ne peut se réaliser qu’à travers une communication efficace et profonde, entre un émetteur qui saura capter, écouter et respecter les signaux émis par le receveur.

La communication est plus qu’un simple échange d’infor-mation, c’est un acte de partage et de transmission.

Marie-Denise Pellé

Dire, Écouter et PartagerLa communication est au cœur de toute relation humaine. En plus d’un échange d’informations entre un émetteur et un récepteur, elle se doit de faire passer un message, transmettre un savoir, partager un sentiment.

■■“LA COMMUNICATION, LA VRAIE, N’EST PAS L’OUTIL MAIS LE MESSAGE.” MGR DI FALCO

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La communication orale semble être la plus directe : le face-à-face, le conférencier s’adres-sant à son auditoire, la discussion qui suit l’exposé, la conclusion et la résolution qui en

découlent, permettront d’atteindre le but recherché.

Tout au long de sa vie fœtale, le bébé envoie des signaux à sa maman sur son bien-être, sa progression et sa future venue en ce monde. Par son premier cri, il manifeste sa présence réelle auprès de ses parents et de ses frères et sœurs ; il communique déjà et dorénavant, il faut comp-ter avec lui. Il ressent l’attention qui lui est faite, et com-prend les paroles qui lui sont adressées et les gestes de tendresse et d’amour qui lui sont prodigués.

La vie continue : bientôt notre petit découvre et ren-contre d’autres enfants, il observe, il parle, il fait sa place, il joue, il manipule jouets, magazines, albums, bandes dessinées, il s’informe et pose beaucoup de questions ; parfois il forme un groupe autour de lui et en prend la tête.

Parallèlement à sa scolarité, il découvre la musique, le rythme, la danse, le sport, le théâtre, la peinture, etc. dans les activités scolaires ou extrascolaires. Il intervient parfois la peur au ventre : c’est le trac !Devenu adolescent, la radio, la télévision, le téléphone fixe, le mobile, l’ordinateur envahissent son univers : il envoie et reçoit des messages par les réseaux sociaux qu’il maîtrise parfaitement.

Le voilà bien lancé dans sa vie d’adulte, et ses moyens de communication pourront être améliorés par la connais-sance et la pratique d’une ou plusieurs langues étran-gères qui faciliteront ses échanges avec des personnes d’origine différente et ses voyages dans les pays étran-gers. Andrée Javoy

Faire passer le messageCommuniquer est une marque d’intérêt pour quelque chose ou quelqu’un provoquée par une rencontre, un partage demandé par plusieurs personnes sur des sujets divers et variés. la communication peut être verbale, non-verbale, écrite, imagée…

■■PAR SON PREMIER CRI (...) IL COMMUNIQUE DÉJÀ ET DORÉNAVANT, IL FAUT COMPTER AVEC LUI.

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P ascal Foulon* que nous avons rencontré, en est convaincu.“Informer et expliquer les décisions municipales,

apporter un maximum de réponses aux questions que peuvent se poser les habitants, partager avec le plus grand nombre les événements de la commune sont les fondamen-taux de notre communication. Celle-ci doit aussi alerter avec effi cacité en cas de risque. Les moyens sont multiples et tous au service de la population, de l’économie et pour la promotion du tissu associatif local.L’écoute est le principal outil de mesure dont dispose l’élu, c’est ce qui lui permet de s’assurer que le message qu’il cherche à transmettre est reçu et compris. C’est aussi par le retour des membres du conseil municipal avec leur propre opinion et celle de leur entourage.Aujourd’hui, l’être humain semble en panne d’échanges réels avec ses semblables aussi, nous espérons qu’il saura faire bon usage des moyens de plus en plus perfectionnés que la technologie met à sa disposition pour partager ses idées et ses souhaits.”

Jean-Philippe Gabelotaud

* Pascal Foulon est élu municipal de Saint-Ay, adjoint au maire aux affaires scolaires, à la culture et à la communication.

Communiquer, une invitation au partage

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DITES-LE AVEC DES FLEURS,DES MOTS, DE LA MUSIQUE

Pour une fleuriste, un bouquet n’est pas seule-ment un assemblage de fleurs, c’est avant tout un objet unique, adapté aux circonstances, goûts et souhaits de celle ou celui à qui il est destiné. À la fois sculpture dans le travail des volumes et œuvre de peintre dans l’agencement des couleurs. Pour être réussi, il doit se nourrir de la passion et de l’envie de faire plaisir.

C’est encore la passion de transmettre une part de soi qui pousse à monter sur scène au théâtre. Mais il ne reste rien de tangible du travail fourni, seulement les sentiments partagés avec l’audi-toire. Chaque fois est un nouveau défi. Quelle joie de sentir que vos audi-teurs réagissent aux émotions qui vous habitent, qu’ils se laissent entraîner et avec vous, r ient , pleurent, vibrent, ou tremblent, en un mot, rêvent.

Dans une chora le , p lus encore qu ’au s e i n d ’ u n e t r o u p e théâtrale, chacun est une partie d’un tout. La cohésion du groupe est la base de l’émotion que l’on cherche à transmettre.

Au final, quel que soit le domaine artistique, le plus important n’est pas la tech-nique mais de tout donner et de se donner soi-même. C’est d’aimer, tout simplement.

Anne-Marie Pissier-Bruckner

À Saint-Ay, Anne-Marie est fl euriste, chef de chœur de la chorale “Ensemble” et des “Voix du Val d’Art Doux”. Elle intervient également dans une troupe de théâtre de jeunes.

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Regardez des personnes sourdes discuter en signant : vous verrez des corps en action, des mains virevolter, des visages aux mille expressions. Sans connaître leur langue, vous

pourrez deviner la joie, la peur, l’attente, la surprise… tant l’expressivité faciale et le geste sont liées dans la pratique de cette langue. Née en France au XVIIIe siècle, structurée par les travaux de l’abbé l’Epée au temps de Louis XVI, la langue des signes est une langue à part entière, riche de sa grammaire et de ses subtilités lexi-cales. Essaimée dans le monde entier, elle est propre à chaque culture, à chaque pays. En France, elle s’appelle la “Langue des Signes Française” (LSF), à distinguer du français signé, copie gestuelle du français. Elle permet aux personnes sourdes de communiquer entre elles avec

toute la finesse d’une langue, de développer et exprimer la pensée avec précision.Depuis quelques années, la langue des signes est entrée dans certaines de nos crèches. Babysigns est née aux États unis dans les années quatre-vingt. Entendu que le bébé comprend les mots et imite les gestes bien avant d’accéder à la parole articulée, cette méthode éducative propose aux professionnels de la petite enfance et aux parents d’introduire les signes auprès des bébés (vers 6-8 mois). Le bébé peut ainsi exprimer ses besoins avant de pouvoir parler : “encore”, “fini”, “boire”, “avoir mal” sont autant de besoins exprimés qui diminuent la frus-tration et améliorent la communication. Cette utilisation pour tous offre une nouvelle vie à la langue des signes.

Céline Lefèvre

Les gestes et expressions du corps parlent aux malentendantsSavez-vous que les bibliothèques-médiathèques municipales ont un rayon de livres en braille, gros caractères pour les publics en difficultés de lecture… que la plupart des chaines de télévision ont des programmes (adultes et enfants) traduits en langue des signes française…

UN PEU D’HISTOIRE En 1760, l’abbé de l’Epée regroupe des enfants sourds. Il leur apprend à signer en s’inspirant d’échanges observés dans une fratrie de sourds. Il structure la langue, embauche des professeurs, crée une école. Son succès est tel que des précepteurs du monde entier viennent s’en inspirer.

La LSF est née et se développe. En 1880, suite au congrès de Milan, la langue des signes est bannie des écoles : les sourds doivent apprendre à parler pour s’intégrer. La langue des signes survit dans les cours de récréation et sur les terrains de sport. Elle ne sera enseignée de nouveau qu’en 1980. Depuis 2005, la LSF est officielle-ment une “langue à part entière”. À Saint-Jean-de-la-Ruelle, un établissement, rue de l’abbé de l’Épée, continue d’accompagner des jeunes déficients auditifs. Il est en prise directe avec la vie com-munale et paroissiale.

Communiquer en “signant” à l’aide de cet alphabet.

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D O S S I E R

D ’ U N E R I V E À L ’ A U T R E R E N C O N T R E D O S S I E R R E G A R D S P I R I T U A L I T É I N F O S P R A T I Q U E S C A R N E T P R I È R E

Les messages de publicité ont longtemps été qualifiés de “réclames”, un mot pratique-ment disparu de notre vocabu-

laire. Les affi ches furent les premiers sup-ports entre le commerçant et le public. Elles ont été influencées par différents courants artistiques. Les journaux ont eu pendant longtemps le monopole de l’in-formation mais c’est surtout au lendemain de la Libération que la presse s’est consi-dérablement développée, parallèlement à l’activité commerciale et industrielle. L’évolution de la société, l’exode rural, l’amélioration progressive du niveau de vie, la naissance des enseignes de vente par correspondance ont, à force de slo-gans imagés, fait connaître de nouveaux produits et par voie de conséquence, ont créé de nouveaux besoins.La radio s’est ensuite généralisée et les marques ont redoublé d’humour et d’ima-gination. On peut citer la lessive “O..” qui lave plus blanc, alors que la “B....” offre un cadeau, ou encore les images d’une marque de chocolat à collectionner avec pour récompense, une boîte de friandises quand l’album était complet. Avec l’arri-

vée de la télévision, la “réclame” a été évincée au profi t de la “publicité” qui n’a cessé de suivre les tendances en abordant de nouveaux thèmes.La publicité et la communication sont deux disciplines étroitement liées. La première ne peut exister que si la deuxième met en œuvre les moyens de la transmettre. Les méthodes changent et évoluent non seulement en tenant compte des compor-tements mais surtout en fonction des évo-lutions technologiques.Pour Vent d’Ouest, la publicité est indis-pensable à sa survie et il nous est permis ici de remercier sincèrement les entre-prises et commerçants qui nous font confi ance.

Marie-Denise Pellé

Réclame et publicité

LE NUMÉRO DE TÉLÉPHONE DE JÉSUSUn soir, Christophe (cinq ans) fait sa prière avec sa grand-mère dans sa chambre quand sa maman, qui n’est pas croyante, passe dans le couloir. Il l’appelle et lui dit : “Tu sais, maman, c’est très facile de télé-phoner à Jésus !” Sa maman, un peu sceptique, lui répond : “Ah bon, et tu connais son numéro ?Mais oui, dit Christophe, c’est “Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit… “ (Authentique)

La publicité est une forme de communication. C’est la transmission d’un message dans le but d’inciter à adopter un comportement, à transmettre des idées, à séduire afi n de créer des besoins et, par conséquent, à infl uencer.

vée de la télévision, la “réclame” a été évincée au profi t de la “publicité” qui n’a cessé de suivre les tendances en abordant

La publicité et la communication sont deux disciplines étroitement liées. La première ne peut exister que si la deuxième met en œuvre les moyens de la transmettre. Les méthodes changent et évoluent non seulement en tenant compte des compor-tements mais surtout en fonction des évo-

Une campagne d’affi chagelancée par le diocèse

d’Orléans.

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R E G A R D

D ’ U N E R I V E À L ’ A U T R E R E N C O N T R E D O S S I E R R E G A R D S P I R I T U A L I T É I N F O S P R A T I Q U E S C A R N E T P R I È R E

Sophie, comment êtes-vous arrivée à RCF Loiret ?Je suis rentrée à RCF à la fin de mes études, alors que je cherchais à travail-ler dans une radio sur Orléans… Les autres antennes n’embauchaient pas, à l’époque, alors, j’ai commencé par un CDD, puis j’ai fini par être recrutée. Cela fait plusieurs années et j’y suis toujours ! Ce qui intéressait les responsables, c’était d’abord le côté “professionnel”, et même si je suis baptisée, ce n’est pas cela qui a primé. Il faut dire que ce que l’on attendait de moi, c’était “les infos non religieuses” et comme je sortais de l’IUT de communication de Bordeaux… En plus, je pouvais être opérationnelle tout de suite !

Alors, qu’est-ce qui fait la particularité de RCF ?C’est d’abord de faire passer les valeurs chrétiennes. Ça va être notam-

ment l’attention aux plus petits, ceux qui n’ont pas souvent la parole. C’est davantage dans les actes que dans les paroles que je perçois cette diffé-rence. On n’y arrive pas toujours, mais l’important, c’est d’essayer. Ce qui est intéressant, c’est que contrairement à ce que j’avais vécu précédemment dans une autre radio, ici, on ne fait pas la course aux scoops ! L’intérêt exagéré pour les faits divers ne me convenait pas… Cela se faisait parfois au prix de la négligence de certains sujets sociaux ou sociétaux. Par exemple, cela ne les intéressait pas si l’on voulait faire un sujet sur l’apprentissage. Aujourd’hui, j’ai le sentiment que ce que je fais me convient très bien.

Mais l’information, c’est toujours la même ?Oui, en effet, quand il y a un drame, on ne peut pas passer à côté ! C’est

vrai aussi qu’on transmet l’info avec le prisme de ce que l’on est… Mais que chacun la reçoit aussi avec ce qu’il est ! Mais ce qui m’intéresse, c’est de faire de l’info positive. De donner des bonnes nouvelles. On demande sou-vent, en particulier à l’évêque ou au vicaire général : “et votre info positive, c’est quoi ?”. Pour moi, c’est cela être “en référence” à la Bonne Nouvelle !

Merci Sophie de cet échange… Et je rappelle à nos lecteurs les fréquences de RCF dans le Loiret : Orléans : 91.2, Gien : 87.9, Montargis : 90.3 et Pithiviers : 95.1

On peut aussi retrouver RCF sur Internet : http://rcf45.neowordpress.fr/ et réécouter des émissions en podcast ainsi que sur FaceBook : RCF Loiret.

Père Olivier de Scitivaux

Informer… sur les ondes de RCFRCF, Radios chrétiennes francophones, est née en 1986, à Lyon. Depuis, 63 radios ont pris leur essor un peu partout en France. Dans le Loiret, ce fut d’abord Radio Saint-Aignan, puis RCF Orléans avant de devenir RCF Loiret. Sophie Deschamps est journaliste à RCF Loiret. Nous l’avons rencontrée.

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S P I R I T U A L I T É

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Si les Évangiles, au nombre de quatre, sont des récits rapportés par des dis-ciples de Jésus (Matthieu,

Marc, Luc et Jean) qui ont été insérés dans la Bible, l’évangélisation réside dans la manière dont les baptisés vivent selon la Parole de Jésus et en parlent autour d’eux. Tout Chrétien devrait avoir à cœur de témoigner de sa foi, car le christianisme n’est pas d’abord une doctrine, ni même une morale : il est une manière de

modeler sa vie sur celle de Jésus.Durant les Journées mondiales de la jeunesse qui viennent d’avoir lieu en Pologne, le pape François a appelé les centaines de milliers de jeunes, venus de tous les pays, à offrir au monde un visage de Miséricorde au sein d’une humanité en proie à la violence et à la haine.Prenant de relais de Saint-Jean-Paul II, je formule des vœux pour que ces JMJ donnent de nouveaux saints à notre Église : “La présence

et les signes de la sainteté sont donc décisifs : la sainteté est un présup-posé essentiel à une authentique évan-gélisation, capable de redonner l’espé-rance. Il faut des témoignages forts de vie nouvelle dans le Christ, sur le plan personnel et communautaire.” (Jean-Paul II, Exhortation post-synodale L’Église en Europe, n° 49).

Père Olivier de Scitivaux

Évangiles et Évangélisation

L a première chose qui me touche, lorsque j’ouvre un Évangile, c’est le nombre de fois où Jésus prend la parole ! Il ne fait pas que d’accomplir

des signes, il prend son temps pour que les gens aux-quels il s’adresse, comprennent bien ce qu’il fait.Pour cela, il va utiliser, entre autres, un style méta-phorique, en se servant de petites histoires que l’on va nommer “paraboles”. La plupart sont si célèbres (le retour de l’enfant prodigue, la brebis égarée, le

bon Samaritain, les talents…) qu’elles ont même été “récupérées” par des dictons ou des proverbes ! Généralement, ces paraboles sont utilisées par Jésus lorsqu’on cherche à le prendre au piège où lorsque les réalités dont il désire parler sont difficilement expli-cables sans prendre des comparaisons. C’est le cas, en particulier, lorsqu’il parle du “Royaume des Cieux”.Mais il y a aussi d’autres paroles de Jésus, adressées à des foules ou à ses amis. Quelques unes nous ont été rapportées, telles les Béatitudes, mais d’autres nous restent inconnues. C’est ainsi que l’on parle à deux reprises de “multiplications des pains”, où, nous disent les Évangiles, il y avait tant de monde pour l’écouter (5000 hommes sans compter les femmes et les enfants…), sans que le texte nous dise le contenu des paroles de Jésus !Aujourd’hui, ces Paroles de Jésus continuent de nous être adressées et expliquées. Dans les passes difficiles de notre vie, n’hésitons pas à prendre les Évangiles pour l’écouter.

Père Olivier de Scitivaux

Jésus et la communication

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I N F O S P R A T I Q U E S

D ’ U N E R I V E À L ’ A U T R E R E N C O N T R E D O S S I E R E N G A G É S P I R I T U A L I T É I N F O S P R A T I Q U E S C A R N E T P R I È R E

le carnetdes mois de mai, juin et juillet 2016Les informations mentionnées dans le carnetsont publiées avec l’accord des familles.

Paroisses du secteur ouest d’Orléans

BAPTÊMESChaingy : Valentine Faure, Mathéo et Nathan Camus, Maxine Fortes, Enzo Batista , Roxane Brunet,Théo Onraedt, Sacha Teixeira.Ingré : Ezéquiel Rey, Maïssa Plessis, Maxence Gaudin, Lisa Luce, Valentin Gales, Amalia Ganier De Brito, Leo Lebeaume, Ewen Mouane, Tiann-Lee Ventolini.La Chapelle-Saint-Mesmin : Rafael Francisco, Lucas Menigon, Jonas Herve, Raphaël Le Bras, Lucas Melot, Joséphine Pegaud, Pierre Wirth, Lana De Lemos, Raphaël Guiset, Delphine Outteryck Ormes : Gabin Blotière-Bertelemy.Saint-Ay : Mathilde Maligne, Félix D’Aux de Lescout, Julie Serein.Saint-Jean-De-La-Ruelle : Savannach Soleilhac-Caque, Lylian Hanous, Gabrielle Tressou, Océane Pereira, Shanice et Taïna Brissac, Dimitri Meignien, Manon Hennequin,

MARIAGESChaingy : Fanny Manceau et Anthony Herpin, Ludivine Gaudillat et Régis Marcos, Ophélie Gaudillat et Vinh Verges. Ingré : Steffie Arrondeau et Clément Baltazar, Caroline Brosse et Alain Baudu.La Chapelle-Saint-Mesmin : Laura Goncalves et Ludovic Fatin, Audrey Guérin et Loïc Chabot, Axelle Guillon et Gregory Lejarre, Marion Baizet et Maxime Petel, Leslie Collet et Dimitri Denizon, Chantal Cornelie et Antoine Grossetti, Anne Levi et Jérrôme Gres.Ormes : Emilie De Sa Ferreira et Mickaël Finet, Laura Meyer et Maxime Jégo. Saint-Jean-De-La-Ruelle : Aurélie Tortrat et Damien Le Deuil, Carl Rosemin et Cindy Douard, Weena Serryn et Jérôme Gilles.

OBSÈQUESChaingy : Léone Munoz née Charpignon, Annick Landy née Ringuede, Jean-Jacques Forneret, Catherine Barrier.Ingré : Roger Metayer, Jeanine Maillard, Marcel Pourtau, Angela Durand née Montes, Claude Philippe, Camille Jeulin, Eugénie Ganier née Bienaime.La Chapelle-Saint-Mesmin : France Pommier, Simonne Cherelle née Barraux, Gabriel Lamoureaux, Nicole Mathieu née Perret, Félix Barambones, Pierre Meunier, Denise Besancon née Javoy, Joël Jeanson, Michel Chandon, Guy Barret, Claudine Charuelle, Arthur Vieira, Charlotte Gauthier née Ducruet, Bernard Lonlas, Brice Nagot, Bruno CassegrainOrmes : Paulette Ferrary née Le Merer. Saint-Ay : Odette Cochon née Choquart, Michel Chantriaux.Saint-Jean-De-La-Ruelle : Madeleine Sicot née Thomas, Françoise Broche née Goold, Hélène Marion née Micheau, Ghislain Prunier, Montserrat Tomas née Forcadell, Francisca Sancho née Garrido-Hernandez, Rolande Desgranges née Carreau, Fernande Quarante, Bernard Hebert, Jeanine Prevost née Mandigout, Jean Poujade, Alfida Texeira Da Fonseca née Da Cunna Magalhaes, Catherine Marguerite Desplobin née Besse, Claude Daudin – Jean Yoland Payet.

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C A R N E T

D ’ U N E R I V E À L ’ A U T R E R E N C O N T R E D O S S I E R E N G A G É S P I R I T U A L I T É I N F O S P R A T I Q U E S C A R N E T P R I È R E

ÉVEIL À LA FOI, CATÉCHISMEAvec le prêtre les catéchistes et en lien avec la com-munauté paroissiale, votre enfant, baptisé ou non, est accueilli au catéchisme dès son entrée au CE2. L’éveil à la foi s’adresse aux plus petits (à partir de 4 ans). Comme parents, vous êtes associés au parcours de votre enfant. Pour le secteur ouest, inscriptions dans les paroisses :- à Chaingy, le vendredi 2 septembre, à la salle parois-siale, de 16 à 18 h ;- au forum des associations de Saint-Ay, Ormes, le samedi 3 septembre de 14 h 30 à 18 h ;- à Ingré, le samedi 3 septembre, à l’aumônerie Képhas, de 10 à 12 h et le dimanche 11 septembre au forum des associations ;- à Saint-Jean-de-la-Ruelle, centre Saint-Dominique, rue Félix-Maulien, le samedi 10 septembre de 10 à 12 h et le mardi 13 septembre de 16 à 18 h ;- à La Chapelle-Saint-Mesmin, espace Jean-Paul II, 25, rue du Parc, samedi 10 et mercredi 14 septembre de 10 à 12 h. Messe de rentrée, pour tout le secteur, dimanche 29 septembre à 10 h 30 à Saint-Dominique de Saint-Jean-de-la-Ruelle.Renseignements et informations complémentaires à partir du 1er septembre : 02 38 43 80 43 Pour le groupement Cléry-Portes de Sologne, ins-criptions au presbytère de Cléry, le samedi 3 septembre de 9 h 30 à 12 h et de 14 à 17 h, ou en ligne par internet : http://notredamedeclery.blogspot.fr

Aumônerie Képhas : de la 6e à la terminale, inscrip-tions samedi 3 septembre de 10 à 12 h.10, rue de la Garenne à Ingré. Tél. 02 38 74 77 [email protected]

Confirmation à Saint-Dominique de Saint-Jean-de-la-Ruelle, le dimanche 9 octobre à 10 h 30. À partir du 16 octobre, la messe à La Chapelle-Saint-Mesmin sera à 10 h 30.

L’ÉGLISE VOUS ACCUEILLEVOUS ARRIVEZ, FAITES-VOUS CONNAÎTRE !

Vous voulez préparer le baptême de votre enfant , vous envisagez de vous marier , l’un de vos proches est décédé, vous souhaitez connaître les horaires des messes, confier un souci, une intention de prière, prendre rendez-vous avec un prêtre, n’hésitez pas !

■■Pour les paroisses de l’ouest d’Orléans :Permanence d’accueil au presbytère de La Chapelle Saint-Mesmin, 25, rue du Parc, du lundi au vendredi de 9 à 12 h (le samedi, sur rendez-vous), par Isabelle Compin, assistante pastorale, joignable par téléphone au 02 38 43 80 43 (en cas d’absence, possibilité de laisser un message sur répondeur), ou par courriel à [email protected] informations paroissiales diffusées par la feuille Eole sont consultables sur le blog des groupements paroissiaux :• La Chapelle-Saint-Mesmin : http://blogstmesmin.blogspot.fr• Ingré - Ormes - Bucy : http://blogstloup.blogspot.fr• Saint-Jean-de-la-Ruelle : http://blogstjeanruelle.blogspot.fr

■■Pour les paroisses du groupementde Cléry-Porte de Sologne :• Permanence d’accueil au presbytère de Cléry, 1, rue du Cloître, les lundi, mardi, jeudi et vendredi de 9 h 30 à 12 h (le samedi sur rendez-vous), par Jessica Maciel, assistante pastorale, joignable par téléphone (en cas d’absence possibilité de laisser un message) au 02 38 45 70 05 ou par courriel : [email protected].• Informations paroissiales sur le blog du groupement : http://notredamedeclery-blogspot.com.

Groupement de Clery-Porte de Sologne

BAPTÊMESArdon : Laurine Richard, Léon Lorenzetti, Lucie Caillaud, Victor Aussant, Amélie Sigure-Machard.Cléry-Saint-André : Thélio Longo-Dorni, Lilian Lepetit, Tom et Théo Ganaye, Maël Fernande-Letin, Félix Notari, Louise Mehault, Lucile Bocage, Axel Pommier.Dry : Louis Genevée, Romane Dupuis- Banessy, Lia Greuin.Jouy-Le-Potier : Martin Demogeot, Eva Fontaine, Valentin Giet, Rose Legras, Lucas Tridon.Ligny-Le-Ribault : Manon Montigny, Liam et Candice Gillet, Ethan et Maëline Gapin, Léo Leveque. Mareau-Aux-Prés : Lenzo Martins, Salomé Leroy, Naomi et Wesson Pinault-Smith.Mézières-Lez-Cléry : Thiéfaine Cordier, Erwan Pionnier.

MARIAGESCléry-Saint-André : Solène Verret et Florian Coin, Cindy Berthe et Cédric Edouard, Gaëlle Duchet et Xavier Perinet.Jouy Le Potier : Sarah de Boisvilliers et Alan Lucas.

OBSÈQUESArdon : Danièle Launay.Cléry-Saint-André : Rémy Briffaud, Thérèse Perdereau née Jossier, Germaine Legrand née Cecille, Bernard Boissay, Georgette Grandvillain née Heiszler, Arlette Boscher née Planchon.Jouy Le Potier : Robert Bardon, Madeleine Bobeau née Lablee, Roland Rousseau, Jacqueline Colom Y Canals née Leger.Ligny-Le-Ribault : Maurice Rolleri, Jeannine Naslin née Pajon, Mireille Truchot née Maynard, Renée Boulard née Herpin, Monique Laconte née Cools.Mézières-Lez-Cléry : Claude de Vial, Roland Boisset.

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P R I È R E

Ç A S E PA S S E C H E Z N O U S F I N A N C E R N O T R E É G L I S E D O S S I E R R E N C O N T R E S P I R I T U A L I T É C A R N E T D É T E N T E - P R AT I Q U E P R I È R E

Pardon, Seigneur, de n’avoir pas su écouter.Pardon, Seigneur, j’ai dit un monologue et je n’ai pas dialogué.

J’ai imposé mon idée et je n’ai pas échangé.Parce que je n’ai pas écouté, je n’ai rien appris.

Parce que je n’ai pas écouté, je n’ai pas communié,Pardon, Seigneur, car j’étais en communication,

Et maintenant nous sommes coupés.

Michel Quoist (1954)

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