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Fenêtres ù louer pour le Carnaval, 20 fr. S'adresser 48, rue d'Antibes, Bcrlitz-School. ETAT-CIVIL du 17 Février 1911. Naissances. Massabo Nicolas, Fran- çois, boulevard du Canner. Mariâmes. Néant. Dêclsy— Néant. •AVON lu Régiria Hôtel Bernascon 50 salles de bai cd nier luxe et confort. J. M. HHBNASCON, profrlitsire. AIX-LES-BAINS 7731 AVIS &, COMMUNICATIONS Chambre Syndicale des Artistes Musiciens i Professionnels. Les membres de la Cham- bre syndicale sont priés d'assister à la réu- nion, qui aura lieu, ce soir, samedi, 18 cou- rant, ;i 8 h. ].'%, Maison Dorée, i tr étage. Ordvc du jour : Adhésions nouvelles ; j Versement des cotisations ; Renouvellement j du bureau ; Pour toute absence non excusée, j l'amende sera rigoureusement appliquée. j Les Brigasques.Les personnes originai- res de Briga Maritima (Italie), désireuses i participer à une fête de famille sont ;• priées de se présenter ce soir samedi, à ' 9 heures, Bar do la Passerelle, rue Châ- , teaudun. CARLTON HOTEL, CANNES 300 chambres et salons. 250 salles de bains Souffrez-vous de imtu* d'estoma<* ou do ci'iisiiptition ? Kmployez les Pi- lules Suiss s, vous serez guéri. 1 fr. 50 la ; boîte. Glaesel.ph., 28, rue Grammont. Paris. ( SPECTACLES & CONCEIH ! Catino de Canrtsi, 5, rue Bon*. Tous leB soirs, Concert, Speeta,!.». Alnh \ \ ill and C°, nomédy cvclists and Tumbleis; Miloska, lu mystérieuse, assis- (ce du professeur Balsamo; ChnrloUe, Desbly, chanteuse a voix; .luno Sahno, •dandy diabolique; Cécile Gilbert, diseuse au piano, dans ses oeuvres; Dairvil, rhan- leur fantaisiste; Pâquerette, danseuse; Ho- inant-f, roinique trrimo; ï.iso Stelly, Lu- ey Vidal, chanteuses. Ji'Uili a.'î février, pour une seule vepré- ^cntali'in : Dranem. Musique Municipale Samedi, 18 Février 171j. square Brou- gham, à 2 heures du soir : { 1. Marche Tricolore Popy i 2. Le Jeune Henri, ouverture. Mehul ! 3. Ballet antique. Guillcmont \ 4. La Surprise, andante de la Symphonie. . . Haydn I 5. Etienne Marcel, sélection.. St-Sae"n9 ) 6. Sympathie, valso Mczzacapo i L'ACIDE UNIQUE i EI_U_GOUTTE ' Par Emile 6AUTIER « Kst-il vrai, m'écrit un podagre, que ht goutte soit due à l'excès de l'acide urique dans le san^' ? Moi, j'ai peine à le croi- re, car, s'il en était ainsi, la poulie sera II la même chose que 'e rhumatisme, tandis que, de toute évidence, ce «oui deux maladies très différentes. » De toute évidence ? Est-ce bien sur ? Loin de moi l'outrecuidante prétention «le trancher d'autorité une question à la- quelle nombre de princes de lu science ont consacré je ne sais combien de gros volumes, écrits en diverses langues, sans parvenir à se mettre d'accord, et qui', par conséquent, demeure encore pendanle. Il me sera cependant perin'.; de poser le principe suivant, qui ne paraît deuiir être sérieusement contesté par personne : Quelles que puissent être leur différen- ces (lus pointa de vue. de t'étiotoyie, du diagnostic et des conséquences. In (joulte et le rhumatisme ont une commune origi- ne, qui est la dialhèse. arthritique. Cesont deux rameaux issus d'une, scult: et même sviiche. 11 n'c-M pas davantage- coules 10 que la diath'^e rhumatismale esl inséparable de I'IM iivinic, e'esl-à-dire de l'empoisonne- ment du sang par l'acide urique et les mates. Non pas, sans doute, que, nécessai- rement, ceci engendre cela. Il se peut, au contraire, que cela engendre ceci. 11 se peut, en d'autres ternies, que l'uricémie, soit l'effet de l'arlhntisine, un lieu d'en être la cause — ou vicc-vc.rsn. Mais ec qu'il y a de sûr, c'est que le? deux phéno- mènes, arlhritismc et uricémie, existent infailliblement, de telle sorte que l'un esl le symptôme de l'autre. Sans compter que, comme pour mieux attester encore celte solidarité indissoluble, les seuls médica- ments réellement efficaces contre l'art h ri - tisme sont précisément ceux qui favorisent et précipitent l'élimination île l'acide uri- que. Dès lors, étant donné que lu goutte n'esl, comme le rhumatisme, niais sous une forme différente, qu'un<! modalité de la iliatbsèc arthritique, il est logique de supposer qu'elle est également due à un •excès d'acide urique. j On ne compte plus, au demeurant, les j physiologistes et les médecins autorisés qui 3e sont résolument ralliés à cette con- clusion. Ecoutez plutôt sir Dyce Duekworth : d II est impossible de concevoir une théorie acceptable de la goulte sans tenir compte du rôle joué par l'acide urique... Pas d'acide urique, pas de goutte !... La présence d'uratos dans les tissus est la preuve la plus certaine de l'existence de la goutte. » (Traité de la goutte). Assurément, on peut faire de l'acide urique, sans ôtre pour cela goutteux ou rhumatisant. Mais « il est important de no- ter », dit encore sir Dyce Dickworth, « que jamais, en bonne santé, l'on ne constate l'acide urique à l'état libre. Quand on le rencontre ainsi dons le sang ou dons les sécrétions, c'est un mauvais signe. » L'acide urique esl, en effet, un résidu de la désintégration des matières alhuini- noïdes. Son excès peut donc provenir soit de la destruction des tissus, d'une suite d'usure intime ou d'autopliagie, soil (le l'abus d'une alimentation anormale, trop riche en éléments azotés, en jn-oduils xon- thiques, en purines, etc. Maïs U a toujours h' caractère d'une intoxication. Supposez, maintenant, certaines prédis- positions héréditaires ou acquises, certai- nes névroses, certaines lésions du foie, et cette intoxication, qui, chez un autre su- jet, aurait pu se traduire par îles troubles rhumatismaux, va prendre la forme gout- teuse, a\ er toutes les abominables compli- cations qu'il est inutile de décrire, car tous ceux qui en ont souffert — ils s'ap- pellent légion, hélas ! — ne lis connais- sent que trop. KsJ-ce la névrose, la lésion qui s'oppose à l'élimination de l'acide urique ? Est-ce, au contraire, la rétention de l'acide uri- que qui provoque les lésions organiques, les troubles fonctionnels, les désordres nerveux et le reste ? Je laisse à de plus compétents que moi la tâche difficile de ré- soudre ce problème, qui n'a, d'ailleurs, qu'une importance platonique. La première chose, sinon la seule chose à faire, étant l'élimination du poison, l'U- rodonal, qui est sans contredît le plus puissant dissolvant connu rie l'acide ini- que, doit être le remède spécifique de la goutte, comme il est déjà le remède spé- cifique du rhumatisme. Quant aux résultats obtenus par son em- ploi, je préfère donner la parole a quel- ques-uns des médecins qui en ont essayé : '( ... .T'ai obtenu un brillant résultat avec l'Urodonal dans un cas de rhumatisme goutteux. Il esl conslant qu'au bout de deux jours les douleurs et le gonflement du nied avaient disparu. C'est pourquoi je ne me lasserai nas de prescrire cet ex- cellent médicament. (Docteur Aleman). » « ... Je vous autorise à publier ceci : Affligé d'un tnphns à une articulation pha- langienne de l'index et d'un autre tophus à l'articulation du poignet, es deux me gênant beaucoup, je les ai vus disparaître complètement anrès quelques cuillerées à café d'Urodouiil. (Docteur IMBËRT). » <( I,TrndoTi;il ,\ soulagé bien des gouttes. (Docteur MoMiorviuN. i> Les ilneleurs Punis, Mongeot, Marcellin, Jacol attestent formellement les bons ef- fets produits par l'Urodonal dans la gout- te. Le docteur Fortier, professeur de thé- rapeutique, et le docteur Lehel, médecin de riïolel-Dieii, à Montréal (Canada), re- commandent iTrodonal « pour faciliter la dissolution et l'élimination rénale de l'acide urique » dans leurs « notes théra- peutiques sur le traitement de la goutte >>. (Jnurn. méd. et chir., Montréal). Et ils sont comme cela des centaines I II n'est pas jusqu'au regretté profes- seur Lanrereau.x, ancien président de l'A- cadémie de médecine, qui, dans son ma- gistral Traité de la goutte (page 622), ne se soit prononcé dans le même sens, et ne recommande ITmdonal. 1 Au demeurant, sir Dyce Duckworth, j avait déjà dit : | « La grande ligne du traitement de la j goulle doit être dirigée en vue de dimi- nuer la formation de l'acide urique dans l'économie, et d'entraîner dans le torrent circulatoire, pour la faire disparaître, tout excès ou reliquat de cet acide. » Ceci ne signifie pas seulement (pie, pour prévenir la surprodution d'acide urique, les goutteux doivent être sages, se mettre au régime, faire de l'exercice, brûler leurs déchets et s'abstenir de truffes et de bour- gogne, d'exlra dry et de gibier. Cela si- gnifie encore qu'ils feront bien de s'ar- ranger de façon à évacuer le poison au fur et à meure (pie,en dépit de toutes les pré- canlions diététiques, il se forme. Sir Dyce Inickv.orlh préconisait, à cet effet, la li- thine, dont l'arlinn, il faut le reconnaître, est loin d'être nulle. S'il eût connu l'Uro- donal, In-nte-sepl fois plus actif que. la ïi- th'uw, il eût eu trente-sept raisons de le recom mander de "préférence. Il eut même, sans doute, conseillé à ses goutteux de ne pas attendre, pour appeler IVrodonal à la rescousse, les fureurs de l'accès. Une cure de dix jours chaque,innis doit suffire à « liquider » l'acide dont Te trop plein n'a plus, de cette façon, le temps d'atteindre la dose critique. Le meilleur moyen, le plus simple et le plus sur, de prévenir une dangereuse ac- cumulation de suie, n'est-ce pas encore de ramoner périodiquement la cheminée, sans attendre que le feu y ait prix ? EMU.H fÏAî'TiEH. P.S.— Exiger l'Urodonal Châtelain (c'est le nom de l'inventeur) et refuser tou- tes imitations à noms analogues, qui son! mitant de contrefaçons inefficaces. I.i- Ihiron, franco, f> fr. fin, aux Etablis- sement Châtelain, 207, boulevard Porcin 1 , Paris, Les trois (lurons (pour la cure inté- grale de saignée urique), franco, iS îr. ; l'nîon Postale et colonies, franco 7 francs et 20 francs. L'I.îrodnna! est en vente dan? les bonnes pharmacies du monde entier. Dépôts à CANNES : Cmzet. 11 >>!„<•<• <U- rtlùtel (/«• Ville. ANTIBES : Guillin. JEUNESSE PROLONGEE Pour vivre en parfaite santé, il faut avant tout conserver l'activité des reins, afin qu'ils ne cessent de rendre le sang pur et vigoureux. Car les Heins seuls peuvent débarrasser le sang de toutes les impuretés qui l'en- combrent et provoquent toutes sortes de souffrances ou infirmités, telles que : douleurs dans le dos e.1 les membres, gonflement des chevilles et articulations, rhumatisme, gravellc, urines brûlantes, difficiles, irrégulières. AHLKS (Rnuches-du-Uhône), ati décem- bre ij,o8. — M. J. Dellaud, 8, rue de Vernon, nous disait : « J'attribuais à mon grand âge et a des refroidissements, les douleurs qui me tenaient le dos et les eû- tes. Pour nie baisser ou me relever, il fallait que je nie soutienne les reins; je ne pouvais rester debout; j'avaib des maux de tête. Mes urines troubles cl difficiles formaient un dépôt rougeàtre. J'étais toujours las et parfois je pouvais a peihe me traîner. Le matin, je ressentais une grande raideur dans les articulations. Je pris des Pilules Fostcr, et en peu de temps j'ai éprouvé un grand soulagement. J'ai continué ce traitement qui m'a parfaite- ment réussi. » Le 1/4 Février 1910, M. J. Dcfiaud ajoute : « Après vingt ans de souffran- ces et grâce à vos excellentes Pilules Fos- ter, ie suis encore, à 76 ans, alerte et très bien portant. » Toutes pharmacies. (Exiger la signature « James Foster »), 3 fr. 5o la boîte, 19 fr., les six, ou franco contre mandat : Spécialités Foster. TI. Binae, Pharmacien, :>5, rue Saint-Ferdinand, Paris. H RNÎE La Méthode MARIE Frères délivre les blessés de la torture du bandage Pourquoi souffrir toute sou existence sous la pression intolérable des iM'idag'.s ordinaires, pires que le mal qu'ils pré- tendent soulager ? U y a pour tout hernieux une nécessité vitale à s'assurer, dte !e début, le con- cours d'un appareil vraiment perfection- né, appliqué avec toute la compétence nécessaire el dont l'efiicacUé curative hau- tement reconnue ne laisse place à aucun mécompte. De telles garanties, seul le nouvel Ap- pareil MARIE Frères les offre à tous les blessés sans distinction d'âpe ni de pro- fession, et quelle que soit l'ancienneté de la tumeur. Aussi scxplïque-t-on le sucers de la Mé- thode MARIE Frères. Le nombre est grand des blessés habi- tant notre région qui tiennent à recourir à la profonde expérience de l'éminent spé- cialiste qui en fait lui-même l-'jnmlieation et c'est pourquoi nous sommes heureux de pouvoir annoncer à nos lecteurs qui souf- frent sa prochaine arrivée parmi nous en leur conseillant très vivement d'aller lui soumettre leur cas et de s'înspirer des conseils de sa haute expérience profession- nelle. 11 recevra d<; () h. à 5 h. : CANNES, Lundi 20 Février, Hôtel de l'Univers. GRASSE, Mardi 31, HÔIel Mnraour et de la Poste. NICE, Mercredi 22, Hôtel desElrangers. Ceintures spéciales MARIK Frères pour descentes de matrices. VILLA DES CHÊNES Rootr d'Antib». <'ntin*a tressoiKiiée. Arrangements pour séjour. BULLETIN FINANCIER Ce 16 Février ign. La façon aisée dont s'est effectuée hier la liquidation de quinzaine aussi bien que l'an- nonce de l'abaissement à 3 V-, %de l'escomp- te à Londres, permet à notre marché de gar- der ses bonnes dispositions. Toutefois, l'i- nacfivité des affaires, provoque, vers la clô- ture quelques légers tassements. Dans l'ensemble peu d'écarts de cours sur la veille. Les fonds étrangers, Extérieure en tête, gardent leurs avances de la séance précé- dente. On enregistre une nouvelle avance des obligations 5 % de l'Etat de Sao Paulo à ^07. L'opération de la valorisation qui fut à l'origine très discutée semble donner les meilleurs résultats et par de réguliers amor- tissements, l'Etat de Sao Paulo réduit la dette contaractée de ce chef. Les deux em- prunts de. valorisation représentaient 18 millions de livres slcling, sur lesquels les Paulistes ont déjà remboursé 5 millions de livres. Les 13 millions de livres sterlings res- tant dus sont largement garantis par les 6.300.000 sacs de café qui constituent le stock actuel, d'une valeur de 20.000.000 de liv. Bonne pour le café, l'opération de valori- sation ne le fut pas moins pour les finances de l'Etat de Sao Paulo qui bénéficie d'une solde de 7 millions do liv. pour la liquidation de <\n dette flottante et autre;; engagements. Bonne tenue de nos Sociétés de Crédit qui conservant leurs positions. Faiblesse cons- tante par contre de nos Chemins de fer, tandis que les Compagnies Espagnoles peu- vent maintenir à peu près leurs reprises de la veille. Aux transports, le Métropolitain, toujours poussé s'inscrit ;\ 658, ainsi que le Nord Sud à 340. Omnibus 635 et Thomson 326 ferme. Le Rio finit à 1726 après 1730 assez calme pour les raisons que l'on connait, et aux va- Cyclistes... NE PAYEZ PAS UNE ENVELOPPE VÉLO QUELCONQUE DE 14 A 20 FRANCS Q.UAND L'ENVELOPPE A TRINGLES MICHELIN SE TROUVE CHEZ TOUS LES DONS AGENTS ET NE SE VEND QUE DIX FRANCS MICHELIN NEFABRIQUE QU'UNE SEULE QUALITÉ eurs russes on enregistre une nouvelle pous- sée sur la Sosnowjce à 140g, cours exagéré. Briansk 393, Bakou 710. Au marché en Banque, Hartmann, est maintenu à 706, Maltzof s'inscrit à 1675 et 1750. Le Platine reste à 668 après 674. Dans les autres groupes, on retrouve la de Bcers à 479 stationnaire ainsi que les cuprifères. Les Mines d'or sont faibles- Au sujet de la Cic des Chemins de fer du Sud du Brésil, on a fait remarquer que, à coté des gages hypothécaires affectés aux obligations 5 % or de la Cie, les concessions et monopoles au Parana constituent unega- rantie qui prend pour base la comparaison des recettes nettes prévues avec les charges d'emprunt. Cette comparaison fait d'ailleurs ressortir un .surplus de recettes d'environ 72 % soit 726.000 frs. Sauf le coupon numéro 1 qui correspond à un trimestre et sera payé le i er Avril pro- chain, par 6 frs. 25 tous les coupons sont de 1 fr. 50 chacun, payables semestriellement, les i or Avril et Octobre de chaque année, nets de tous impots tant français qu'étran- gers. C'est donc un revenu net de 25 frs. par an que produisent ces titres. De ce chef, aux cours actuels, ils rapportent 5 % % l'an. Les actions de la Société des Mines de fer du Var sont tros fermement négociées à 205.30, et les très intéressantes perspectives qui s'ouvrent devant l'affaire font supposer que les cours ne resteront pas K ce niveau. La Société est, en effet, assurée d'écouler toute sa production, laquelle atteindra bien- tôt 100.000 tonnes par an. a des prix qui lui laissent un bénéfice net d'au moins 3 frs. 50 à 4 frs. par tonne. Le capital n'étant que de 2.250.000 on voit que l'exploitation de cette entreprise s'annonce comme devant être hautement rémunératrice. L'action Whim Well s'inscrit coupon dé- taché à 42 frs. 50. On mande de la mine que l'extraction pendant le dernier trimestre de 1910 a été de 820 tonnes de minerai à l 7 %• M35 tonnes à 12 % et 3354 tonnes à 5 % faisant un total de 5.609 tonnes de mi- nerai en 479 tonnes de cuivre métal. 1900 tonnes an \<, % ont été chargées sur le voi- lier « Concordia » et 593 tonnes à 17 % sur des vapeurs. L'Informateur Financier, i(ï, rue Drnuot, Paris. AVIS DE nfXÈS Monsieur et Madame Honoré BOCH- ROn, et leur famille, ont la douleur de, fiiire part à leurs parents, amis el con- naissances de la perle ('nielle qu'ils vien- nent d'éprouver en la personne de leur jeune fils JVJ oYse (l(>rW: à lape de iS mois. Les obsèques auront lieu aujourd'hui samedi, à !\ heures }> de l'après-midi. On se réunira à la maison mortuaire, !iS rue d'Antibes. Le présent avis tient lieu de lettre île fiiirc part. Aux Rentiers M Le placement viager reste toujours pour les personnes Agées le moyen le pins sûr d'augmenter leurs revenus et de finir leurs jours dans l'aisance. Pour ce n-enre do placenieni, c'est lu Compagnie d'As- surances Générales sur la Vie «pu jouit en preininv li^ne de la confiance du pu- blie, puisqu'en 1910 elle a constitué 4.700.000 francs de rentes nouvelles dé- passant ainsi de un million cinq cent mille francs de rentes la Compagne qui occupe le second rang. \.A Compagnie d'Assurances Géné- rales sur la Vie (entreprise privée assu- jettie ;in contrôle île l'KlaO, adresse «ratis el franco ses notice* et tarifs a toute per- sonne qui en fait la demande soil a son sic£re social, à Paris, 87, rue de Richelieu, soit à ses agents dans tous les départe- ments, notamment à Messieurs Hector et Barcol, agents principaux, i5, rue Hossu, Cannes. 85:i() HÉMORROÏDES Peu île pereouiUM ignorent quelle tristo infirmité oona. tituont loi hémorroïde* ou vuricos [uiulo*. enr c'o*t une des affections les plu» répandue» ; mail comme on n'nimo pas h parler de co genre de souffnuicofl, on sn't beaucoup moins qu'il existe un médicamont, l'Elixir ds Vlrelnle-Nyrdaht, qui lw fait disparaître BHIIH /IUCUII dnnger. PritVo dp diVnupcr cette nmionro (304) et l'a- dresser À Produits Nyrdahl, 20, rui di La Rochttou- Cauld, Parlï, pour n-cevmr frmicu U hrochuro explicative do 148 p«ge% ainii qu'un petit .•oh.mtilkm réduit nu dixième, qui permettra d'uppreuier le ^aût délioieus du produit. O.i verni combien il est facile de KO débarrn.'wer do In maladie h plus pénible, et la pi os douloureux». Le flacon : 4 fr.fiO,franco. Pour éviter lo J innomliriibliw imitation* de co produit, exiger lu signature do garantio Nyrtfah!. la c ^ 1( '' bro voyante et , cartomancienne ltaltf n- DO reçoit tous les jours de 8 h. du matin i 8 h. du soir. 7, me Hoche (1er étage) Cannci 843a OBJETS FUNÉRAIRES Fiants: sterUliéu - Fleuri artUdell»! Maison O L I V E Hue du Chemin de Fer (Maison G&xftn) Cierges Travaux int PRIX MODÈRES Pantoufles iî)iprint froid ;)>Mi- la pnin'iniilp. iiwii^on m- CII.U[IM- ROBERT, CHAUSSURES 55, Rue dAntib39, 55, CANNES Cabinet de M e Coste Àrvien notaire, avec la colkbofitùn de M* VENTURINI, avocat, ancien magistrat NICE 4. I'LAUR tIE LA LlflEHTi, i NICE Vantes d'immeubltt et de tondi dt comm«rc« - Formation et dluolutlon d* Soclétât Ri- pré»ntitJon dans lei sucetuioni et partait! Oifenu devant les tribunaux d* Paix tt de Commerça. 8tua VEfiiFIClTION GRATUITE DES FEUILLES DE CONTRIBUTION?. - DÉGRÈVEMENT D'IMPOT LE CÉLÈBRE REGENERATEUR DES CHEVEUX AVEZ-VOUS DES CHEVEUX tRISV AVEZ-ÏOUS DES PEUICULtST VOS CHEVEUX TOMBENT-ILST S/ OUI, IBKPton» L.E ROYAL WINDSOR Ce produit par ÊMCtt lencB rend aux ChOTenv rls leurfcconleur ' eur beauté naturelles arrêta l.~ chute des Cbc l i d i î pectus sur demande. &iitpM: 28 RuotrEnohian.PA.M Dépositaire : ChoiimltCott/eur-Parfumeur F.tBBlflR DM COUKONM1» ARTICLES FUNÉRAIRE» 18, Rue de Ghateandnn, IS AÏV T oi°NB F 'j B A M Grand Assortiment de Couronne» «a ptflN et en mètnl. Couronnes eu fleuri artlftcltl- les. — Kantaialei en tous genres. L» k aura •e charge de livrer de snlt«, im déto», n'Importe qael Article. (W00) UN (VIUNS11UR Jf 1.^ connaîtra à [ous ceux tjui so 111 atteints d'une maladie di. 1 la peau, dartres, eczémas, boutons, dé- man^'eaison?, bronchites chroniques, ma- ladies de la poiliine, de l'estomac et de lu vessie, de rhumatismes, un moyeu infail- lible de se puérir promptemept, ainsi qu'il l'a été radicalement lui-même, après avoir souffert et essayé en vain tous les remèdes préconisés. Celte offre, dont on apprécie- ra le but humanitaire est la conséquence d'un voeu. Ecrire à M. VINCKNT, S, placr Victor-ïhifjo, à Grenoble, qui répondra gratis et franco par courrier et enverra les indications demandées, 73&V HOTEL BACHAUMONT, PARIS It 1KRTV .1 < RF.PETTOet WOUGIN .*. /.<• gérant ; JKAN BEJOT Société Anonyme d'Imnrînieries et Jour- naux du Littoral. Société au capital de aao.ooo francs, 'M, rue Hoche, Cannes.

Pantoufles LÀ H RNÎEarchivesjournaux.ville-cannes.fr/dossiers/littoral/... · « Kst-il vrai, m'écrit un podagre , que ht goutte soit due à l'excès de l'acide urique dans le

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Fenêtres ù l o u e r p o u r leCarnaval, 20 fr. S'adresser 48, rued'Antibes, Bcrlitz-School.

ETAT-CIVIL du 17 Février 1911.Naissances. — Massabo Nicolas, Fran-

çois, boulevard du Canner.Mariâmes. — Néant.Dêclsy— Néant.

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J. M. HHBNASCON, profrlitsire.AIX-LES-BAINS 7731

AVIS &, COMMUNICATIONSChambre Syndicale des Artistes Musiciens i

Professionnels. — Les membres de la Cham-bre syndicale sont priés d'assister à la réu-nion, qui aura lieu, ce soir, samedi, 18 cou-rant, ;i 8 h. ].'%, Maison Dorée, i t r étage.

Ordvc du jour : Adhésions nouvelles ; jVersement des cotisations ; Renouvellement jdu bureau ; Pour toute absence non excusée, jl'amende sera rigoureusement appliquée. j

Les Brigasques.— Les personnes originai-res de Briga Maritima (Italie), désireuses id© participer à une fête de famille sont ;•priées de se présenter ce soir samedi, à '9 heures, Bar do la Passerelle, rue Châ- ,teaudun.

CARLTON HOTEL, CANNES300 chambres et salons. 250 salles de bains

Souffrez-vous de i m t u * d'estoma<*ou do c i ' i i s i ip t i t ion ? Kmployez les Pi-lules Suiss s, vous serez guéri. 1 fr. 50 la ;boîte. Glaesel.ph., 28, rue Grammont. Paris. (

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Tous leB soirs, Concert, Speeta,!.».

Alnh \ \ ill and C°, nomédy cvclists andTumbleis; Miloska, lu mystérieuse, assis-(ce du professeur Balsamo; ChnrloUe,Desbly, chanteuse a voix; .luno Sahno,

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Ji'Uili a.'î février, pour une seule vepré-^cntali'in : Dranem.

Musique MunicipaleSamedi, 18 Février 171 j . square Brou-

gham, à 2 heures du soir : {1. Marche Tricolore Popy i2. Le Jeune Henri, ouverture. Mehul !3. Ballet antique. Guillcmont \4. La Surprise, andante de la •

Symphonie. . . Haydn I5. Etienne Marcel, sélection.. St-Sae"n9 )6. Sympathie, valso Mczzacapo i

L'ACIDE UNIQUE iEI_U_GOUTTE '

Par Emile 6AUTIER

« Kst-il vrai, m'écrit un podagre, que htgoutte soit due à l'excès de l'acide uriquedans le san^' ? Moi, j'ai peine à le croi-re, car, s'il en était ainsi, la poulie sera IIla même chose que 'e rhumatisme, tandisque, de toute évidence, ce «oui là deuxmaladies très différentes. »

De toute évidence ? Est-ce bien sur ?Loin de moi l'outrecuidante prétention

«le trancher d'autorité une question à la-quelle nombre de princes de lu scienceont consacré je ne sais combien de grosvolumes, écrits en diverses langues, sansparvenir à se mettre d'accord, et qui', parconséquent, demeure encore pendanle. Ilme sera cependant perin'.; de poser leprincipe suivant, qui ne paraît deuiir êtresérieusement contesté par personne :

Quelles que puissent être leur différen-ces (lus pointa de vue. de t'étiotoyie, dudiagnostic et des conséquences. In (joulteet le rhumatisme ont une commune origi-ne, qui est la dialhèse. arthritique. Ce sontdeux rameaux issus d'une, scult: et mêmesviiche.

11 n'c-M pas davantage- coules 10 que ladiath'^e rhumatismale esl inséparable deI'IM iivinic, e'esl-à-dire de l'empoisonne-ment du sang par l'acide urique et lesmates. Non pas, sans doute, que, nécessai-rement, ceci engendre cela. Il se peut, aucontraire, que cela engendre ceci. 11 sepeut, en d'autres ternies, que l'uricémie,soit l'effet de l'arlhntisine, un lieu d'enêtre la cause — ou vicc-vc.rsn. Mais ecqu'il y a de sûr, c'est que le? deux phéno-mènes, arlhritismc et uricémie, existentinfailliblement, de telle sorte que l'un eslle symptôme de l'autre. Sans compter que,comme pour mieux attester encore celtesolidarité indissoluble, les seuls médica-ments réellement efficaces contre l'art h ri -tisme sont précisément ceux qui favorisentet précipitent l'élimination île l'acide uri-que.

Dès lors, étant donné que lu goutten'esl, comme le rhumatisme, niais sousune forme différente, qu'un<! modalité dela iliatbsèc arthritique, il est logique desupposer qu'elle est également due à un•excès d'acide urique. j

On ne compte plus, au demeurant, les j

physiologistes et les médecins autorisésqui 3e sont résolument ralliés à cette con-clusion.

Ecoutez plutôt sir Dyce Duekworth :d II est impossible de concevoir une

théorie acceptable de la goulte sans tenircompte du rôle joué par l'acide urique...Pas d'acide urique, pas de goutte !... Laprésence d'uratos dans les tissus est lapreuve la plus certaine de l'existence de lagoutte. » (Traité de la goutte).

Assurément, on peut faire de l'acideurique, sans ôtre pour cela goutteux ourhumatisant. Mais « il est important de no-ter », dit encore sir Dyce Dickworth,« que jamais, en bonne santé, l'on neconstate l'acide urique à l'état libre. Quandon le rencontre ainsi dons le sang ou donsles sécrétions, c'est un mauvais signe. »

L'acide urique esl, en effet, un résidude la désintégration des matières alhuini-noïdes. Son excès peut donc provenir soitde la destruction des tissus, d'une suited'usure intime ou d'autopliagie, soil (lel'abus d'une alimentation anormale, tropriche en éléments azotés, en jn-oduils xon-thiques, en purines, etc. Maïs U a toujoursh' caractère d'une intoxication.

Supposez, maintenant, certaines prédis-positions héréditaires ou acquises, certai-nes névroses, certaines lésions du foie, etcette intoxication, qui, chez un autre su-jet, aurait pu se traduire par îles troublesrhumatismaux, va prendre la forme gout-teuse, a\ er toutes les abominables compli-cations qu'il est inutile de décrire, cartous ceux qui en ont souffert — ils s'ap-pellent légion, hélas ! — ne lis connais-sent que trop.

KsJ-ce la névrose, la lésion qui s'opposeà l'élimination de l'acide urique ? Est-ce,au contraire, la rétention de l'acide uri-que qui provoque les lésions organiques,les troubles fonctionnels, les désordresnerveux et le reste ? Je laisse à de pluscompétents que moi la tâche difficile de ré-soudre ce problème, qui n'a, d'ailleurs,qu'une importance platonique.

La première chose, sinon la seule choseà faire, étant l'élimination du poison, l'U-rodonal, qui est sans contredît le pluspuissant dissolvant connu rie l'acide ini-que, doit être le remède spécifique de lagoutte, comme il est déjà le remède spé-cifique du rhumatisme.

Quant aux résultats obtenus par son em-ploi, je préfère donner la parole a quel-ques-uns des médecins qui en ont essayé :

'( ... .T'ai obtenu un brillant résultat avecl'Urodonal dans un cas de rhumatismegoutteux. Il esl conslant qu'au bout dedeux jours les douleurs et le gonflementdu nied avaient disparu. C'est pourquoije ne me lasserai nas de prescrire cet ex-cellent médicament. (Docteur Aleman). »

« ... Je vous autorise à publier ceci :Affligé d'un tnphns à une articulation pha-langienne de l'index et d'un autre tophusà l'articulation du poignet, es deux megênant beaucoup, je les ai vus disparaîtrecomplètement anrès quelques cuilleréesà café d'Urodouiil. (Docteur IMBËRT). »

<( I,TrndoTi;il ,\ soulagé bien des gouttes.(Docteur MoMiorviuN. i>

Les ilneleurs Punis, Mongeot, Marcellin,Jacol attestent formellement les bons ef-fets produits par l'Urodonal dans la gout-te. Le docteur Fortier, professeur de thé-rapeutique, et le docteur Lehel, médecinde riïolel-Dieii, à Montréal (Canada), re-commandent iT rodonal « pour faciliterla dissolution et l'élimination rénale del'acide urique » dans leurs « notes théra-peutiques sur le traitement de la goutte >>.(Jnurn. méd. et chir., Montréal).

Et ils sont comme cela des centaines III n'est pas jusqu'au regretté profes-

seur Lanrereau.x, ancien président de l'A-cadémie de médecine, qui, dans son ma-gistral Traité de la goutte (page 622), nese soit prononcé dans le même sens, et nerecommande ITmdonal. 1

Au demeurant, sir Dyce Duckworth, javait déjà dit : |

« La grande ligne du traitement de la jgoulle doit être dirigée en vue de dimi- •nuer la formation de l'acide urique dansl'économie, et d'entraîner dans le torrentcirculatoire, pour la faire disparaître,tout excès ou reliquat de cet acide. »

Ceci ne signifie pas seulement (pie, pourprévenir la surprodution d'acide urique,les goutteux doivent être sages, se mettreau régime, faire de l'exercice, brûler leursdéchets et s'abstenir de truffes et de bour-gogne, d'exlra dry et de gibier. Cela si-gnifie encore qu'ils feront bien de s'ar-ranger de façon à évacuer le poison au furet à meure (pie,en dépit de toutes les pré-canlions diététiques, il se forme. Sir DyceInickv.orlh préconisait, à cet effet, la li-thine, dont l'arlinn, il faut le reconnaître,est loin d'être nulle. S'il eût connu l'Uro-donal, In-nte-sepl fois plus actif que. la ïi-th'uw, il eût eu trente-sept raisons de lerecom mander de "préférence.

Il eut même, sans doute, conseillé à sesgoutteux de ne pas attendre, pour appelerIVrodonal à la rescousse, les fureurs del'accès.

Une cure de dix jours chaque,innis doitsuffire à « liquider » l'acide dont Te tropplein n'a plus, de cette façon, le tempsd'atteindre la dose critique.

Le meilleur moyen, le plus simple et leplus sur, de prévenir une dangereuse ac-cumulation de suie, n'est-ce pas encore deramoner périodiquement la cheminée,sans attendre que le feu y ait prix ?

EMU.H fÏAî'TiEH.

P.S.— Exiger l'Urodonal Châtelain(c'est le nom de l'inventeur) et refuser tou-tes imitations à noms analogues, qui son!mitant de contrefaçons inefficaces.

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JEUNESSE PROLONGEEPour vivre en parfaite santé, il faut

avant tout conserver l'activité desreins, afin qu'ils ne cessent de rendrele sang pur et vigoureux.

Car les Heins seuls peuvent débarrasserle sang de toutes les impuretés qui l'en-combrent et provoquent toutes sortes desouffrances ou infirmités, telles que :douleurs dans le dos e.1 les membres,gonflement des chevilles et articulations,rhumatisme, gravellc, urines brûlantes,difficiles, irrégulières.

AHLKS (Rnuches-du-Uhône), ati décem-bre ij,o8. — M. J. Dellaud, 8, rue deVernon, nous disait : « J'attribuais à mongrand âge et a des refroidissements, lesdouleurs qui me tenaient le dos et les eû-tes. Pour nie baisser ou me relever, ilfallait que je nie soutienne les reins; jene pouvais rester debout; j'avaib des mauxde tête. Mes urines troubles cl difficilesformaient un dépôt rougeàtre. J'étaistoujours las et parfois je pouvais a peiheme traîner. Le matin, je ressentais unegrande raideur dans les articulations. Jepris des Pilules Fostcr, et en peu de tempsj'ai éprouvé un grand soulagement. J'aicontinué ce traitement qui m'a parfaite-ment réussi. »

Le 1/4 Février 1910, M. J. Dcfiaudajoute : « Après vingt ans de souffran-ces et grâce à vos excellentes Pilules Fos-ter, ie suis encore, à 76 ans, alerte et trèsbien portant. »

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BULLETIN FINANCIER

Ce 16 Février i g n .La façon aisée dont s'est effectuée hier la

liquidation de quinzaine aussi bien que l'an-nonce de l'abaissement à 3 V-, % de l'escomp-te à Londres, permet à notre marché de gar-der ses bonnes dispositions. Toutefois, l'i-nacfivité des affaires, provoque, vers la clô-ture quelques légers tassements.

Dans l'ensemble peu d'écarts de cours surla veille.

Les fonds étrangers, Extérieure en tête,gardent leurs avances de la séance précé-dente.

On enregistre une nouvelle avance desobligations 5 % de l'Etat de Sao Paulo à^07. L'opération de la valorisation qui futà l'origine très discutée semble donner lesmeilleurs résultats et par de réguliers amor-tissements, l'Etat de Sao Paulo réduit ladette contaractée de ce chef. Les deux em-prunts de. valorisation représentaient 18millions de livres slcling, sur lesquels lesPaulistes ont déjà remboursé 5 millions delivres. Les 13 millions de livres sterlings res-tant dus sont largement garantis par les6.300.000 sacs de café qui constituent lestock actuel, d'une valeur de 20.000.000 deliv.

Bonne pour le café, l'opération de valori-sation ne le fut pas moins pour les financesde l'Etat de Sao Paulo qui bénéficie d'unesolde de 7 millions do liv. pour la liquidationde <\n dette flottante et autre;; engagements.

Bonne tenue de nos Sociétés de Crédit quiconservant leurs positions. Faiblesse cons-tante par contre de nos Chemins de fer,tandis que les Compagnies Espagnoles peu-vent maintenir à peu près leurs reprises de laveille.

Aux transports, le Métropolitain, toujourspoussé s'inscrit ;\ 658, ainsi que le Nord Sudà 340. Omnibus 635 et Thomson 326 ferme.

Le Rio finit à 1726 après 1730 assez calmepour les raisons que l'on connait, et aux va-

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eurs russes on enregistre une nouvelle pous-sée sur la Sosnowjce à 140g, cours exagéré.Briansk 393, Bakou 710.

Au marché en Banque, Hartmann, estmaintenu à 706, Maltzof s'inscrit à 1675 et1750. Le Platine reste à 668 après 674. Dansles autres groupes, on retrouve la de Bcersà 479 stationnaire ainsi que les cuprifères.Les Mines d'or sont faibles-

Au sujet de la Cic des Chemins de fer duSud du Brésil, on a fait remarquer que, àcoté des gages hypothécaires affectés auxobligations 5 % or de la Cie, les concessionset monopoles au Parana constituent une ga-rantie qui prend pour base la comparaisondes recettes nettes prévues avec les chargesd'emprunt. Cette comparaison fait d'ailleursressortir un .surplus de recettes d'environ72 % soit 726.000 frs.

Sauf le coupon numéro 1 qui correspondà un trimestre et sera payé le ier Avril pro-chain, par 6 frs. 25 tous les coupons sont de1 fr. 50 chacun, payables semestriellement,les ior Avril et Octobre de chaque année,nets de tous impots tant français qu'étran-gers. C'est donc un revenu net de 25 frs. paran que produisent ces titres. De ce chef, auxcours actuels, ils rapportent 5 % % l'an.

Les actions de la Société des Mines de ferdu Var sont tros fermement négociées à205.30, et les très intéressantes perspectivesqui s'ouvrent devant l'affaire font supposerque les cours ne resteront pas K ce niveau.La Société est, en effet, assurée d'écoulertoute sa production, laquelle atteindra bien-tôt 100.000 tonnes par an. a des prix qui luilaissent un bénéfice net d'au moins 3 frs. 50à 4 frs. par tonne. Le capital n'étant que de2.250.000 on voit que l'exploitation de cetteentreprise s'annonce comme devant êtrehautement rémunératrice.

L'action Whim Well s'inscrit coupon dé-taché à 42 frs. 50. On mande de la mineque l'extraction pendant le dernier trimestrede 1910 a été de 820 tonnes de minerai àl7 %• M35 tonnes à 12 % et 3354 tonnes à5 % faisant un total de 5.609 tonnes de mi-nerai en 479 tonnes de cuivre métal. 1900tonnes a n \<, % ont été chargées sur le voi-lier « Concordia » et 593 tonnes à 17 % surdes vapeurs.

L'Informateur Financier,i(ï, rue Drnuot, Paris.

AVIS DE nfXÈS

Monsieur et Madame Honoré BOCH-ROn, et leur famille, ont la douleur de,fiiire part à leurs parents, amis el con-naissances de la perle ('nielle qu'ils vien-nent d'éprouver en la personne de leurjeune fils

JVJ oYse(l(>rW: à lape de iS mois.

Les obsèques auront lieu aujourd'huisamedi, à !\ heures }> de l'après-midi.

On se réunira à la maison mortuaire, !iSrue d'Antibes.

Le présent avis tient lieu de lettre îlefiiirc part.

Aux Rentiers

M

Le placement viager reste toujourspour les personnes Agées le moyen le pinssûr d'augmenter leurs revenus et de finirleurs jours dans l'aisance. Pour ce n-enredo placenieni, c'est lu Compagnie d'As-surances Générales sur la Vie «pu jouiten preininv li^ne de la confiance du pu-blie, puisqu'en 1910 elle a constitué4.700.000 francs de rentes nouvelles dé-passant ainsi de un million cinq centmille francs de rentes la Compagne quioccupe le second rang.

\.A Compagnie d'Assurances Géné-rales sur la Vie (entreprise privée assu-jettie ;in contrôle île l'KlaO, adresse «ratisel franco ses notice* et tarifs a toute per-sonne qui en fait la demande soil a sonsic£re social, à Paris, 87, rue de Richelieu,soit à ses agents dans tous les départe-ments, notamment à Messieurs Hector etBarcol, agents principaux, i5, rue Hossu,Cannes. 85:i()

HÉMORROÏDESPeu île pereouiUM ignorent quelle tristo infirmité oona.

tituont loi hémorroïde* ou vuricos [uiulo*. enr c'o*t unedes affections les plu» répandue» ; mail comme onn'nimo pas h parler de co genre de souffnuicofl, on sn'tbeaucoup moins qu'il existe un médicamont, l'Elixir dsVlrelnle-Nyrdaht, qui lw fait disparaître BHIIH /IUCUIIdnnger. PritVo dp diVnupcr cette nmionro (304) et l'a-dresser À Produits Nyrdahl, 20, rui di La Rochttou-Cauld, Parlï, pour n-cevmr frmicu U hrochuro explicativedo 148 p«ge% ainii qu'un petit .•oh.mtilkm réduit nudixième, qui permettra d'uppreuier le ^aût délioieus duproduit. O.i verni combien il est facile de KO débarrn.'werdo In maladie h plus pénible, et la pi os douloureux». Leflacon : 4 fr. fiO, franco.

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RF.PETTOet WOUGIN .*.

/.<• gérant ; JKAN BEJOT

Société Anonyme d'Imnrînieries et Jour-naux du Littoral. Société au capital deaao.ooo francs, 'M, rue Hoche, Cannes.