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70* A nnée. 88. a b o n n e m e n t s «rxÆ i— . % £ * Paraissant le Di « M B ..;,. ,J3fr, si* moto.,, 6 fr. tro ü moto. 3 fr. ttfr. dfr. 3 50 16 fr. 8 fr. 4 fr. ON S'ABONNE i Sentis, an* bureaux du Journal, o et il, place de l’HôteNteYIlte, cher tons tes libraires du département, etdan# tons lesburcifl* de poste de France et d'Algérie. Utbopnemant est.payable d'avance. n n’est jamais interrompu et est considéré comme renouvelé, lorsqu’à l’expiration oûdo donne pas contre-ordre. ihe et le Jeudi. BULLETIN C O U R R I E R | b E L ’O I S E ri W ““tiomde par an Te Deutn à Ja falunce* l MiI® de ,on Association de bisn- Stnlit, 19 Juillet. Le gouvernement a décidé que la mis- aion Marchand serait disloquée à la date du 15juillet. Cette mesure vient de rece voir son effet. Bn conséquence, les mem bres de la mission ne pourront plus, à partir d’aujourd’hui, participer à aucune cérémonie ep leur honneur, et le gou- vernemènt a refusé au commandant Mar chand, ainsi ^u’à ses compagnons, toute | patïer, abordé sa ’McKe. Elle a «euïe- ment décidé, par huit voix contre sept, de demander au gouvernement s’il es- I T ît time que la discussion delà loi électo- !i« IiS r 4 ï li,V *J‘ colo,li,, * 08 raie doit avoir lieu dans la présente ses- I . •ion législative. On ne dit pas, d’aillenrs, si cette décision préjudicielle équivaut à une mise en demeure ou si elle cache une arnére-pensée de temporisation. Jeudi 20 Juillet 1899. .. ' % ï 3 1 .. ^ B U R E A U X fit Adminisirntion, 91W 1, pince do nfrttel-do-Ville, A Senlis. £. Jocsnal „K Skm is «, dMÿaé pou r publier dan. lai romli. Arment Ut Ikseiiiioxs iudiciaisss. PRIX DES INSERTIONS; Annonces : la liK„0, 0.Ü0 c. nJBnnfc'r'ft Uglie 0 40 c. F.iitii divu*s ;Jn |jgn0> ^ g o c On n accepte pas d’inserllon nu-dessous de 1 fr. Lès nmioucfs, rddamfs, etcv c i m m s m p sris fwpsrioménts sont reçues directement aux bureau* du Journal. u* , * «noaiMuenr da France. 11. & • 4,6 *™ “ * “ “ "h"80 “v.?*"*” ’ I? i’m . M I Tiont * recevoir da ministre de la guerre ans lettre lai noliflint que Je gouvernement n’autori.ait p u le comman- «S à Ten!p à Saint-Maixent, où une fêta devait être organisée en son honneur. âaagaaaE I; /7 victimes a été retiré vivante, et dans l’après-midi on communiquait avco le second ouvrier et chaussées?* ,louvelle, du inducteur des ponU Le négus Ménélik A Paris. Il parait qi ^ ., .... , 0.0 00, wvuipaguuuu, lOUia autorisation à ce sujet. Exception a été Alto seulement pour la fête du Triomphe à l’Ecole de Saint-Cyr. Cette cérémonie ne pouvait avoir lieu avant le 15 juillet, les élèves de l’Ecole se trouvant au oamp de Châlons i cette époque. Elle a été cé lébrée an champ de manœuvres de Saint- Cyr, sous la présidence dn général Mail lard, ayant à ses cétés un grand nombre de généraux, l’anmônier, Mgr Lanusse, ainsi que le commandant Marchand et les officiers de la mission, capitaine Bara- tier, docteur Emily, enseigne de vaisseau Dyé. Tous les nouveaux élèves s’étant réunis au centre et ayant mis genou à terre, uh ancien, monté sur un affût de canon, leur a traoé en quelques mots brefs leurs devoirs, les a exhortés àsuivre les traces de leurs anciens, et celles glo rieuses et récentes du commandant Mar chand. Faisant allusion à l’œuvre delà mission, il a ajouté : « Nous garderons 1 honneur, en rendant la oonquête. « lia I f,î,‘ai,te ,pri4 le général commandant 1 Ecole de vouloir bien donner à la pro- I motion des recrues le nom choisi par les anciens. Le général Maillard, d’une voix vibrante, a déclaré alors que la nouvelle G h a n d >** “0mm6I'ait 18 ‘ Promotion i Tandis que V Echo de Paris persiste ù réclamer la convocation de M. Delaroche- I Vernet devant le conseil de guerre de 1 Rennes, et que M. Quesnay de Beaure- I J, ? poursuit sa campagne en vue de a™ 4 débats, l’ex-commandant La dernière séance des Cortés espa gnoles, où l’on discutait l’abandon gra cieux fait par la reine-régente d’une part de sa liste civile pour atténuer la ruine nnanciére du royaume, s’est terminée par des incidents dont la gravité ne sau rait échapper. Tandis que la majorité poussait les oris de : . Vive la reine- régente I > la minorité républicaine de la Chambre a proféré ceux de : < Vivé la République! A bas les Bourbons! » qui présagent une crise politique et dynas- tique venant se surajouter à la terrible crise extérieure dont l’Espagne a tant de peine à se relever. Les journaux russes prévoient des complications en Serbie, et une note officieuse, publiée À Saint-Péterabourg, oonvw implicitement l’Autriche à-exàr* cer ses bons offices auprès de la cour de •JPÎx 5 en vue de maintenir la tran quillité dans la péninsule des Balkans. Ce n est pas chose aisée, car il paraît bien que la repression dont s’est chargé l’ex- roi Milan résulte d’un coup monté, son P™tendu assassin n’étant qu’un agent uo “ le «ecrétaire d’am- I j ' £7."*’ q «ffiure déoidêe. Le roi n£?i. ’ BoMwdet, recevait ta palaia Far- I aï?*»™ “PSMU.P» d E.lhl0Pi# et saceesseur de Ia* “ embrea de la colonie et des institutions I 110 viendr* 1 *D" é® prochaine pour viaiter fr«nn.,.«. a*..».* , ------------ . I JKxpoaition et connaître de pràa aea amia de 7-’” »u*orea ae ia colonie et dea inatitntii frangahea, qm étaient largement repréaentéea. A Vienne, en Anlriohe, à l’oeeaaion de la Fête I ,adptPe*a trieelore a été hiæé à l’am- I â ® donnée il y a qnelqoea moia baaaade de France. | #t * plusieurs repriaea, maie cette foie elle eat Lacolonie française de Rio-de-Janeiro a adressé *“ J“' * ' ’ U Rôpnbl^“ *."Ul' , , t * “ ■Lo“b”1’ ès « hs ooioois fr.nj.in d. Rio-ds.Jsneiro u lu “ blU *îr ° ,”M Lo"ba'' u st la R4- , p 01,1,8 [0“ 8118 8,1 I ? “ m ?8 P" ]* vois d « journaux alhésisn., qui . î1 ," 01' ” ","1 è’Abjlllois et pour I n u , , Ménélik n l’intention de p.i.er par MU finisI. f.ti.n n i . i t . I r. Un déraillement. ■Uni1?™ 011? à %Lottinghem, petit village u ÛmMm» k!Îomelre8 d0 Boulogne-aar-Mer, ils « n s ’ ?ua 1011 R pu croire fort grave anr de fer » ®*t produit sur la ligne dn chemin «n.. Q *ra'nde pl»i»ir a déraillé, et pluaienra voya- hîïi!mn»îl 1grièvement bleaséa, durent être tranaportéa au plua proa pour recevoir dea aoina. A cette nouvelle, qui lui fut communiquée travaux S fi*’ Pie" e B?udin’ mini«‘r®do» r I e*. ' i ? 8 . » . p . . Guillaume II et la France. titre»1 Vne nouvelle à démentir, I Echo de Parts dit savoir que la présence à Paria du prince de Hohenlohe n’est pas une simple coïncidence avec le bruit qui court de la venue ^ e e“ î ! ï " f ^ lT gBe danf le- fcJîïî aérait " V°yagî ,mPfrW nos côtes i®oa pnncpe dans lea mUieux gou- aeufea™ n dlafusion*.qUMtl0ai da *^.nt ÎLT i/ 0*10" cr.oire que cette information d IS m ir.' “ tour ^ X i3 È ^ : î! 2 À : meneiik a l’intention de paraer par "" " 1 Pao,,“' ®DV(>yR »ur lea lieux M. Paa- éthènee pour faire visite an roi Georges et con- 3“' £“**n>P««teur général du contrôle du réseau uwtre la Grdoe, qui eat le paya de ses rêves’ £ Ï Ï i ï g a ? vrip ÜD0 enquête sur « ? *• ’ “ ,w t q°9 1 Abyssinie a toujours I X 0 1 a0cid®nt et »ur son importance, été en relations avee la Grèce, un grand nombre I . J i ,ComP»gnie du Nord, on communiquait la de Grecs résidant II tit«. «i.*--—» j... 7™ note suivante : ^ zr 7 ““ »»»>" « «rece, un grana nombre Ftau*^* J Dt 4 tilre pownanent dans les I u 6ns °u 7 exerçant le commerce tem- 1 porairemcnt. r»DM éiéliI‘« p rô X iï. q“* FU' “ rM“- tan. : ------- , »sui»«|u« ubus rat- tentat : on la croira sans peine, mais la responsabilité de l’ex-roi Milan, qui a fait arrêter M. Blaso Petrovitch, n’en est que plus lourde, et elle sera sans doute Ob“ en„à v Z aUteUr 4 k dynasli° da“ lui Loubet, a écnt & Guillaume II pour lui exprimer la grande joie qu’il éprouvait <fe ce que ce rapprochement amical entre deux dea nlua puissants Etata de l’Europe ait en lieu sur lea confia, de la Suède et de la Norvège. onlîl.^i , “,'1 8,P8'»HqMls Ml , Vf p lr mèssisit 4 uos entent. . somplèt. entra dsnn nation., dont dépendait en grande partie la pata dn monde P d u félicitation, aemblable. an 81 "• “ ls«*tio“ La million Marchand. a i l e , W S ' f 1 8r*D',M Toil“ ' 8’ d8 088" 88 Sldî?. i ’ i l s de Conrbevoie, le. aoldats dn commandant Marchand. Le. noire £S3ï?î véhionle., en compagnie d’of- ficiera et de aona-offlmnrB Aa ____ : __ Le cas de M. Svveton. L_ ?,on,® iI «oadémique, chargé d’examiner le J» du professeur Syveton, a’eat réuni hier, il a entendu les explications de M. Syveton, % «"i.ini «ont reproché., nré.rà™ si *■ W 11 s™ 1 srn pouvoir, en partie en défendant la cabse nationale l. a?,ad6miqa® “ frappé M. Syveton de Îî. Qn an 0t un i°ur de ,e» fonctions lOOfr?pâ*0an! aVa° rédnotion de traitement de Soldats empoisonnés. lr.y„°5 V T 1*'.88 és “ i'hniro. dn d’ eicndron du S ï l i r A ,‘“ 8M’* 0l,*'‘« ' . *Plè. avoir maogé bîtaén mi 5m " ! q°i ,!e“r 8v8i8nt été dis- V. slm .’. î <tS d8 “ ''I” 1 neeompagnée. de différents aymptômea d empoisonnement. Plusieurs ont dû être tranaportéa i l’hôpital. V7"7T “v * »ur son importance. note suivante"?1,18 d“ NOrd’ °a oommuni(î0ait la r êM„LAen âr?i,Ieœe“t du lrain da Plaiair allant de noir A gn®* 6,1 Prodait dans la matinée, à neuf heures, au moment où ce train entrait en gare de Lottinghem. " J® à c® moment, allait à une assez fionfaïS^V " * ”' PM * la “ *• ”°.“ pv *ept bl8,,S' : 18 chauffeur, le mé- “X m . S ^ . ' a ^ i’“geU^,• AUM" d'6UI n’Ml l’.îcidïut°.0. , “it M0° '6 1 ,M l'8 MUM 8ll' ib"8' Jrti mort du Tsarévitch. 9 f i et,6i . Sil*sio donne la version sui- vante de la mbrt du grand-duo Georges : ^•ÂiuK “ai®11 exour,,ion dans le pays montagneux 8o8ob«18 INFORMAJIONS d.. „l.,.JT — I W t. ®ft|ut-Pétembourg nu. dépêche «ntt™ . I beauaoût) dIos Im hnnri■ n » >n. ...... . Enfant violé et étranglé. l«. ^ gar.ÇOni, d ® ciDq ans' c bRrles Gérard, dont Sîl hebitent Ardon-sous-Laon (Aisne), K ï r t 11 dan■ ,a fou,e*le dimanche 9 juii- Ton»«. nv .gUrutl0nxdu tramway éloctrique. 5 recherches de la famille et de la po- sniî- *vaient, étô •nfrnotueuses, lorsque, vendredi Îrnn ^ Ca y?,,,* £lé découvert au fond d’un V r Tn T éP8l»i bordant le sentier, dit Ardou P"’ q d08Oend d® Laon A d’uu’guobie ‘P’4’ “ïoir 81é ,iolto8 poîl“ .'„0r i ’., lêie““ ‘ dS'8 m “ k mort 01,1 élS la d / ™ ? ? ™ d,u p ,r ‘>”î l ‘"‘“‘'P d88”« uucune indication sur le coupable, qui cependant doit être fan5a/* et i !,valt.î:0Dna!,re l’existence du trou au fond duquel il a dissimulé le cadavre. L émotion est considérable en ville. Les obsèqbes flu pauvre enfant ont eu lieu à Laon aux frais de la ville. Médaille d'argent avec prime de 75 francs. on-ThBneien Gougibus’ instituteur ùNeuilly- I lédaitle de brome avec prime de 50 francs tou,''"S r t l ^ l0rlC Dela™“ Pld0. ins.itn- Songeons0tl0re ° éSiré Vaquez' inslll6leur & M. Louis-Elie Villette, instituteur à Epi neuse. * M - Caron, née Marie-Anae Vèdrf, insti- tutrice à Compiègne. piêgneEUBèn° Car°“ ’ insll‘illeur 4 Cl)tn- Bresie8^U*eS' 0CtaVe Bensse’ Instituteur à Bons de livres. “ i.G08t»n Lesiocarl, instituteur è Senlis. Grand °re , ’ lnsli,u‘*i<:e 4 Sacy-ie- daSi)iorr“ °°(i M“Urice’ in‘ululeor à Val- fondsL°UiS D,!mar0st’ instituteur & Pierre- Happete. M. Léon Lebrun, instituteur & Saint- Léger-aux-Bois. vilîersAlljerl Beauy^i8» ^nsfifufeur & Vief- Nos félicitations à ces excellents et xélés instituteurs et institutrices. ~ Vi— y -r-s/.soucxuaxwitr arrn nne iiou- velle série de révélations, qui attribuent au général de Boisdeffre l’initiative et la responsabilité de toutes les mesures pri ses pour la défense de l’état-major contre la campagne révisionniste, n affirme & nouveau qu’il est l’auteur du bordereau ; mais il dit, d’autre part, que Dreyfus est coupable, que si tous les ministres de la guerre ont affirmé sa culpabilité, c’est quils en ont eu les preuves formelles sous les yeux. Mais ces preuves ne pou- lüü! n ivHlguée8 8ans provoquer la guerre, il a fallu avoir recours & la super- ittfi, * b°rd?reau Pour atteindre Dreyfus. Tout cela est assez ingénieux, seulement nous avons été tellement habi- Conxeil de» minUtre» ; Itués aux ragots de M. Esterhasy, qu’il In y a pas plus lieu de tenir compte de l “ ;c!,'i“e rsste. Le plus prudent ■ serait d attendre patiemment les débats l t eJ U86r “‘ oonMil do guerre de ■ Rennes, où l’affaire commencera dans ■les premiers jours du mois prochains** laW ? ;,’a ?“ 0ttbIié 18 différend qui I ™ !14 , !8v,4 0ntre les autorités fran- 1 italiennes, dans le voisinage de Ues possessions de la mer Rouge, à pro- fêos des frontières du sultanat de Raheita. a.!fi provisoirement arrangé paria convention réciproque de procéder 4„h„6 d 0 °e» frontières, bette délimitation va commenoer; la panse a envoyé i oet effet le lieutenant Je ondiaux et une escorte, qui sont arri- Ct'"r U lieux’ 1“' Tont d’abord visi- tni i i ’ 8t ï ui sapèrent avoir ter- pme leur tûohe dans une quinzaine de i,J * eommission nommée par la Cham- Pm de représentants de Bruxelles, pour Sleaiaa gr,05"0 ûuestion de la réforme pectorale, n’a pas encore, à proprement FEUILLETON n iÏ T ïïS ï 01 " *0.Ill rSaci. Mer dan la maü- !l J , J ’ ’0M >.P'«>Mence de M. Loabet. ta.„u ” ‘»»tre de la marin., a entre- tenu le een.eil d en pro’et de décret avant ponr «a â iâMf° 18 l.88l0rité dn chef de l’état-major général de la merise en ee qui eeneerne le per sonnel et le matériel de gnerre naval. i S j S t e r s -.^ .■ T S P Ï S - E L S ’Î S Ï î S S f “éaat s ü s s t e,■,,!i■“b, Mbdi*i8“ * •- M. Moni», minUlpc de U jaaties a fait aimar p“ onT®m®B‘ JudioiBfre. Sont nommé, j prLddeetde r m S'Æ ^X peU .^' Préûdont de chambre A le Cour d'annel de Pem, M. Martinet, conieiller A le Oonr dViDel en remplacement de M. Boyers PP Conieiller Ale Conr d’appel de Paria, M, Fonr- net, proenrenr général AAlger i Procureur général à Alger, M. Haffner nro eorenr de le République ABordeaux : ' Proenrenr de le République A Bordeaux. M Frémont, proenrenr AAmiena; ConaeillerA laCour d’appel d’Amien*, M. Voaiel Viee-préaideatdu tribunal d'Amiena,M. Thorel. i. o f ?p*,id,nt. da ^ République l’initollere ver. le 21 de ce mou au chftteau de Rambouillet. àSMZ«fiii ira fai-0 one c°orte vi.ite A ae mère AMontélimar ; maia ce voyage n’aura aaann caractère offleiel. et M. Loubî“ ne orériMdr! n’ û™0 ,"!8* d“ 8U ^ .n t.PS îÆ 11 il**} àcomerv.r A ce déplacement pri.T f lfl “ « o fi^ d un simple voyage familial, prérident de la République a exprimé le RaîbSSSlïV?» ] ChaB8é* daM la châ‘®au ^ Kambouillet, A1 aménagement qui avait été fait PO®; to» «éjoura de aon prédécesseur. M. Locquet, eonaervatenr du Garde-Menble. obargé de l in.UII.tIon de. réeideooee présiden- Ueiie., . est rendu en ehéteau aven M. Combarien, I d.SÏÎ?l"eV„“ 8n u'e eu que quelques ordres o î.lî™ i 0Dll,r, P08' I88 tout tût prêt en ?.m!3ê“ 'oco,oir 18 prérident et u Le 14 Juillet Al’étranger. Le colonie française de Saint-Péterabourg a l . umuuo-iwue semoie în | bMuooup plu. le. Sondanu. que tont le re.to, et o set une grande Joie ponr enn que de monter J*88 *“ vrgon., oïl il. tont doua roi. l’iieension. eiito l ï “î!°îîi ‘ b,o!n,808‘ r*ri. et visitent en- î’enoeinte 8menU 48 plaisir groupée dan. ..... m euiit) u UUt) ' voquée par cette chute. » ®8i8,-Péter.bourg une dépôoha oonffrme A george, e été-lroové m ort.a.1. >“ »ite du palais. r^ P Ï* — ytai— 1 bon/gVÔb5aY8ï l o r “‘ t818b'80‘ ‘ ^i-PPétere. Entre F/ançais et La’iens. A la Canôe, dans une rixe qui a éclaté ven- d 5d o!p’ ® ,Dtre d® ,AfP,data fr»nçais et italiens, il X.ffirA’l. Ûr enannn sAIn ilnns U a—— re La toar Eiffel ne les amuse pas moins. Ils ae j s œ î s t e i a r du n o a b r a I «é"t, “ ?dr.umd .'*. ’Æ :,?0 .!!"” bi' “ 8" 8- 5'ord™™ •c0nï,,aandant Marchand, accompagné du 2Rî!?A /'P ®*®1 d®plu,l®nra autrea officiera, ? t'X h5Drs® et demi®- Lorsqu’il est !5i i» î . oge d® fr°° 9ui lni avait été réser- vée, 1 orcheatre a joné deux foia la Marseillaise. ÏLi°“^ ^ ’r ° on ,eul 61an. »‘«»t levée et l’a acclamé aux cris de ; . Vive Marchand 1 Vive 1 armée 1 o Pas de note discordante. is: M ï ï ï ï J S . 1» »irri»8 M.reh.od .ont Mère féconde. -haSffnM. COarant d! luio W flllfi-mére cnroot queïquee’jours 'l"i v8‘ MM. ne qui ejooto â le eingnlerité du fait, e’eet . eue cet eocouehemont était le quatrième de la fille-mère; cela portait i once te nombre des eo- fant. qu’elle av.it eu. en quatre foie : „„ fa p,°. S fa '0i™faiq° ! ,0° - 8t“ t/ ) ’'“ ,i deuai ta deuiiôme tou, trou fa troisième foi. et cinq fa quatriômo. I asa îj “uiw* ae leurs blessures. L ordre a deua’eonaeta z’ e**bli B'4ie 8 l’ioto'veintion de. M .îfaSÜÏ.A .siî?x ds. officier.. Le. tron- fi’ r "00 0814,4 consignée! dan. leur quar- diî,™ îi- ,olr’.00' 08 l.l0D 1,1 fioéraillee dn loi- I dat frança s, et ce matin oelles du soldat italien ÎJ' 2JH!!* l8a oom.œandanU et les officiers fran- I çais et italiens y assistaient. Il y a eu échanue de TLT?, 61 affiraa‘i°n. de sympathie et de I regret réciproques. L’état des blessé s’améliore. »» mission Marchand sont artis de Goarbevole, dimanche matin, A six oures, pour se rendre AToulon. . Jj0.1 160 tirailleura soudanais delà mission Mar- chand sont arrivés lundi matin A Toulon: Us ne 5 P« T l#UsP ! a,1*fael!on d ®la" visite A Paris d.e lâ y ü]® d®Pori» 1869. lie tirage des obligations de la Ville de Paris emprunt de 1869, vient d’avoir lieu. Le numéro 658.108 gagne 200.000 fr. Les grèves do Nantes, iprès enf ' I la trltl ®?te 6ntre la P®MonneI et la direction, r » . « c L m L n . ! .‘ ,p” ;.dc “n. ’.d lPî”0fii I b» ‘8Ü8» 7 7 n 7 ^ ^ ^ ehnndl ^ Viv® Franoe * Vive Mar- « “tentement de la population. 8 Attentat contre des gendarmes. indarmM e^.‘ï tein,Bt a été commia «ontre deux : ,a commune de Viscomtat (Puy. « M » v?njï®nl d®»nrprendre deux indi- S9 m lreîtïg/ ^ 6 pêch8’ lo,,1ae ceux-ci Z S S n rtîl S n r ,A 00 “ 8-f,881’ 88 En débarquant du train, le capitaine Mangin a fait former les rangs et a donné l’ordre da départ. S i S » . s s a Le chel de beUillon Merch.nd o.t affecté au 4 légiment d’infanlerie de marine. Sont affecté. : les capitaine. Mangin, au 1’’ rô- ïmû™ 08 J 'I 4»™88*, le lieutenant conque, eu 8* régiment d’infanterie de marina nl»é °îPfa .°Â,f " " " r d? Germain e.t Loriont régiment de l’erme è Ensevelis vivants. Un éboulement considérable s’est produit dan* Deux ouvriers et un conducteur des ponts nt d ‘ p0 n ? «wvir d abri aux carriers. ™ t,™ il” ,u ,. d0. èèbiaiement ont été auarilêt entrepris : après trois hnnm« d , CHRONIQUE DÉPARTEMENTALF Les Conseils «l’aprondissement. Par décret présidentiel, les Conseils d’ar rondissement se réuniront le lundi 24 juil- iet pour la première partie de leur session, parUe septembre pour la seconde Vacances scolaires en 1899 , ?r arn^ P1?8 en Conseil départemental, HAmîo Çro.p^ Uî?,n de M* l insPecteur d’Aca- démie, le 15 juillet 4899, M. le préfet a fixé ainsi qu il suit l’époque des vacances dans les cours complémentaires et écoles pri maires élémentaires publics de l’Oise fv compris les classes enfantines), sans excep- Ouverture des vacances : le dimanche « « îîîî~ " I ,î enlréeAd®8 basses : lo lundi 2 octobre, à 1 heure réglementaire. a^«iC0^ s n}aler).\e^ es- — Les vacances des écoles maternelles feront l’objet de déci sions d espèces; ces décisions seront noti fiées aux directrices d’écoles maternelles. Dans les écoles maternelles, et comme dans toutes les autres écoles, la rentrée est mentalre 2 octobre. à l’heure régle- Récoiupenses aux instituteurs. Les instituteurs et institutrices publics de l Oise dont les noms suivent ont été récom- S K L pourJ eI vîces rendus aux cours d adultes ou d adolescents, ou pour partici pations aux œuvres complémentaires do Le Conseil supérieur «le la Mutualité. On connaît maintenant le résultat du scrutin qui a eu lieu le dimanche 2 juillet pour 1 élection du Conseil supérieur de ià Mutua lté. La commission de recensement des votes, réunie mercredi au ministère de l intérieur, a proclamé les résultats suivants ; 4* collège ; Aisne, Ardennes, Nord. Pas-de- Calais. M. Eugène Roche élu. 6* collège : Aube, Belfort, Côte-d’Or. Doubs orne Haute-Marn0’ Meurthe-et-Moselle, Meuse,’ Vo™g«e; S- B ; i l o » . ôgee; e‘-L° 'r4’ Seine-et-Mamo: llif e /i'S b i S Æ Rbta0’ ^'oie. /' collège : Rasses-Alpes, Hautes-Alpes, Alnes- Mantinies, Ardèche, Bouches-du-Rhône. Drôme Raïf,!1 . *USe’ Corf6’ A,ger’ Constantine, Oran.’ - ^ R ésultat incomplet u‘ -înlp- ________________________ f « : s a S Æ a , î û i î i : » : Aude, Aveyron. Gard Haute-Garonne, Gers, Hérault. Lot IoVèrn S rUnlePSr ïyréDéos’ nJïi(5née8'°rient*les, Tarn! Tarn-et-Garonne. — Ballottage. 10* collège : Charente, Charonte-Inférieure Dordogup, Gironde, Landes, Lot-et-Oaronne’ Basses-Pvrénées. — Le docteur Gyoux élu. ' vit}- coljego • Coles-du-Nord, Finistère, Ille-et- Ailamc, ludre-et-Lotre, Loire-Inférieure Maine- et-Loire, Mayenne,- Morbihan, Sarthe. Deux- Sevres, Vendée. — Ballottage, 12* collège : Calvados, Euro, Eure-et-Loir -M 1 vV m ontélS0’ Seme-Iuférle“ «. Somme! M. Vermont a été élu par 496 voix. M La- coste a obtenu 326 voix; M. Berdin, 57‘ 35 voix se sont portées sur diverses per sonnes. Il y a ou 21 bulletins nuls, En tout, 935 votants. La pension des sapeurs-pompiers. L 'Officiel a publié mercredi un important décret aux termes duquel les sapeurs-pom piers communaux de tout grade, appartenant aux bataillons, compagnies et subdivisions organisés en vertu du décret du 29 décem bre 1875 qui, dans un service commandé auront contracté une maladie entraînant une incapacité absolue et permanente de travail ont droit à une pension viagère annuelle Cette pension est déterminée ainsi : Pour les sapeurs-pompiers des commune» dont.la population totale ne dépassent na» 2 000 habitants, 360 francs ; 4.000 habitants 480 francs; 10.000 habitants, 600 francs! 20.000 habitants, 720 francs ; .40.000 habi tants, 840 francs; 60.000 habitants, 970 francs. Les veuves et orphelins ont droit à la pen sion qui est des deux tiers. Le môme décret institue, en outre, de» secours annuels renouvelables en faveur des sapeurs-pompiers ayant plus de 25 ans da service et 65 ans d’ûge. CHEZ LES T U IE E E S - Etudes sur nature — Traduit de l'anglais FA* Loüii DESPRÉAUX MA BELLE-MÈRE VI (suite). »Cuiom«ml pas !’h0ure 4es èistussions. i 14 U .I k pi i j i r au ,mt èe quelques jours l'ifflportsnfa le s Si6 r,0l,4cha 118 pou el que hf'onnaee ta nha * 8lov4renl ■» S8i81 du FpIis T V ’ f»8'» désormais l'ait ne» À si de maison. Car il n’j rfit vivant de* rhJ?H ^î8^ 06 cï 8t 10 P°r" sais tr° P - Je trouve bien « ? » . 8 d? 80n PaPa* mais je ne vois guère d autre point de ressemblance. »r«Z- j c’est inouï! s’écriaBessie. Mais voyez donc ce front, et cette bouche t.. Quant aux chereux, il est certain qu’ils se- ront exactement de la même nuance cliii- tain clair... Mistress Pinkertou écoutait, l’œil chargé de reproches. A la Un, elle éclata : — Bessie, mon enfant, comment pouvez- 111R n a n a i v o is n™™nui . • . * distinguer l’un de l’aniré. .™ T Qa,oî !. 8’écria Oeopge qui Tenait d’en trer prétendez-vous que J’aie jamais ôté pa reil à ce petit bout d’humanité grimaçant et vorace 7 - Aussi pareil que deux gouttes d’eau le ton 8 répliqua mistress Pinker- J e " '" ais,Pri,' aucunopart à la discussion. Il m êlait absolument impossibled’aperce- “ne. ro^omMnnce quelconquo entre le précieux bébé et aucune autre créature Ti rante, * moins que co ne fût un autre bébé du môme âge. — Eh bien, ma sœur, reprit George, il ne tous reste plus en ce cas qu’une chose à faire, c est de donner mon nom é votre gar- oh 1 c'est une question réglée, répon dit fièrement Bessie : il s’appellera Charlie Ç est la première nouvelle que j’en avais! et le Ion décisif de Bessie ne laissa pas que de m’étonner. J’aurais supposé d priori qu un sujet si important ne pouvait échap per A ia juridiction do sa mère. La vieille dame parut on effet aussi vexée que surprise. Mais elle fit un effort pour dissimuler son mouvement d’humeur, et unit par dire avec assez de calme • i„„7 George serait assurément un bien meil leur nom... Et peut-être aussi auriez-vous pu donner un souvenir a la mémoire de ™ m tpa“Tre,pére: 11 s’aPPelait Benjamin, comme vous le savez... Oui, je le sais, répliqua Bessie avec une grande fermeté. Mais il y a quelqu’un fa. anf . , ? en 06110 "ffaito priment tous les autres, et le nom de Bébé sera Charlie. — Bravo, mignonne! m’écriai-je dans mon for intérieur. tLcouraB° de BeMie m ’enchantait. J'étais sûr désormais que si les choses en venaient a une guerre ouverte avec sa mère, c'est de mon cété qu elle se rangerait. Un nouveau lien plus fort que tous les autres venait de se former entre nons. - i 4 " 0,”1" 4,1 Georgo, ce n’est vraiment irnîi Àfani f ? 88 Quereller sur une ques tion d une si mince importance T üll0f.’ «“endez un peu d’avoir un garçon à baptiser, et vous aurez le droit riant 8r " °8 OP'“i0n 1 lui réPli(luai-jo en i a îie l!arul aT0ir P™ de succès. La veuve me décocha un coup d'œil féroce î1™ '6 rt?.rlm® un 8°ufire el me tança dû regard. Miss Van se mit à parler do tont üïii? s h050’ .romme si mon observation lui avait échappé. En somme, on me fit sentir que j aurais mieux fait de me taire les foî^.“tffS armoac^ m’?Ta“ éclairt »“p tes forces réelles que j'avais sous la main, - • krJal P,a®4164 “ owro •■> ligne. ri^ T Ï dia:‘ plSl"0™ 5L r8lab'10 01 féûeu . 1.7 a a” """ Pmmcment rétablie l ............. rissait dans sa grdee et dan, la beauté, sous les chauds rayons du soleil estival. Elle em- S S s ' rosP0“"abi"'14a nouvelles une n'ffali n! ?* ■6 u"0 sorto d’outorité. Ce d p 4 jeunG fl,le d’hier, c’était la jeune femme, la mère épanouie. fa'il y avail un aQ déjà que nous -rivSHm?1r Sf* El quand je Jelais un coup d œil en arrière sur cette première année de dnj ôDa^ « i,„“ ’élai.t i” poss*bl0 de ne pas me dire que nous n avions pas eu tout le bon heur auquel nous avions droit. Certes dus Un’v’afaiïNnm1*all6r6 n0lra oi0l conjugal ; «nîrî non 1 nlals 0u.“n mstant d0 froideur ’ .pa> ““ de 008 malentendus qui J01**??1 ““O ‘«es. Et pourtant nous n’avions pas été pleinement heureux. Nons avions vécu sous le poids d’une contrainte latente, donlje souffrais directement plus que Bessie, mais dont elle souffrait aussi par cela seul qu elle m en voyait excédé. ..ft.,a.,bel,e;mô™ n’avait pas changé : elle n était pas foncièrement méchante et n’avait assurément pas pour but d’empoisonner ma Menhir ? aaiA difficile de rien lui re- L.ÏÏn nLo 8pécifl(iU0 •’ néanmoins, par sa n tvr»PnS!S“M ,Par:8aglaCiale par i inconsciente qu’elle exerçait sur m A iiïîï 68 déA lail8 dQ niénage, elle me ritti Î Î S 8 1111 é t a l d ’é n o r v e m e n t c o n tin u . Cette action ne se limitait pas é ma vie in time. mnitx o nnnlm.mii jx ___ sso ou iiuiuuii yas a ma vie in lime, mais s appliquait aussi à ma vio so- êfa.l'aS. I? raP01i88ait “t étouffait pour ÎS r . Pap oxomplo. j’aurais aimé 4 ro- covoir mas amis, les convior 4 dloer, 4 sou- Eriuro..Pn ? T 0ar ‘••manche avec nous. w îî^ u ? fr “ na M“lovait jamais d’ob- K .™ . i",«vais que la compagnie ds £n.if I 9 la* convenait pas, et 11 n’en fallait pas pins ponr me rendre plus timide ou motus chaleureux dans mes Invitations. I Eux-mêmes, d'ailleurs, Us étalent décon 1 certés par les manières majestueuses de la veuve, et n arrivaient jamais 4 se sentir 4 I aise. Peu 4 peu, ils s’écartaient de nous et cessaient leurs visites. En certains cas, c'était plus grave. Pred et üü,.;?11!™0’ en‘reanhes, avaientpositivement farnnià8|Ur cod,b6: mP “elle-mére n'adressait S , ? P ar0le4 mistress Marslon, et elle avail ,d“ 4 F*»d. en propres termes, quo «son lengiige n était pas celui d'un gémis sant * Q0011141a>‘ parti furieux en di- ^ vons Prie d’être bien convaincue, madame, que vos grands airs n’en imposent “m ™ leço“,8i 4 “ “G 81 ,a0 Je " ’acroP'o lieux ou trois jours plus tard, j’eus l’oc casion de le rencontrer. Il voulut bien me déclarer qu il ne me rendait pas responsable de la rudesse de ma belle-mère. mû7..™ is,c’eï,i!gal’.aloula-l'il' lu devrais montrer plus d énergie et ne pas tolérer quo la vieille Pink insulte tes hôtes. Et je sentais bien qu’il avait raison. Bessie elle-même en arrivait à partager celte opi- ÜÎR ai t^a08 .ce ças 61,08 8Prôs ,out* qui au rait dû être la véritable reine de notre petit royaume? Pourquoi rester courbés sous cette absurde dictature? Il ne fallait peut-être qu un effort pour secouer le joug et recon- 2a » üolre ‘"dépendance. Cet effort, je résolus de le faire.. ’ J * ^ a '8, comment m’y prendre? Voilà la véri- table difficulté. Je ne savais trouver on motif sérieux de remontrance, et je n’étais pas homme â chercher, même A ma heifo- mére, une querelle d’Allemand. J’en causai arec Bessie, et, à ma joie profonde, je la trouvai disposée A assumer pour ellë-môme la responsabilité de ia crise. Tout se passa lyFxuaomjpiwuuniauniondet Avec une fermeté que je ne lui aurais jamais supposée deux mois plus tôt, avec un tact parfait, sans cesser d’être respectueuse et tendre, elle signifia à sa môre qu’elle avait reconnu la nécessité d'être désormais la maîtresse chez elle et de prendre la direc tion du ménage. Et d’emblée, elle commença par donner ses ordres, comme si elle n’avait toute sa vie fait autre chose. Mistress Pinkerton, d’abord surprise et domptée par une manœuvre aussi imprérde. se rabattit sur une question de détail : elle rencontra une résistance tranquille et in- vinciblequi l’exaspéra. Il y eut des mots vifs* je lus accusé d’avoir monté la tête de Bessie* — > ous vous trompez, ma mère, dit-ellà avec beaucoup de calme; Charlie ne me monte pas la tête et ne souhaite pas vous rendre malheureuse; il croit seulement qu’il est bon pour nous tous que je prenne la ljgCllon de la maison* et je suis de son La veuve avait trop de bon sens naturel pour ne pas reconnaître promptement que nous avions raison. Elle céda et ne chercha plus qu à dissimuler sa mortification. Cefutnotr M •* “■“- “•«roi oa mut MUCUllon. fut notre première victoire. Mais, «i la bonne dame ne détenait plu» le pouvoir, elle so réservait le privilège de ia critique, et 1 exerçait sans pitié, comme pour raiera rompre la prescription, spécialement A l'eni droit de ae» faits et gestes. Une deuxième rencontre devint bientôt inévitable. -HT' — J’ai le droit d’exprimer monopinieft

Paraissant le Di ihe et le Jeudi. - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1899-1900/bms_js_1899_07_20_MRC.pdf · ^ .,....,0.0 , p00, wvuipaguuuu, lOUia autorisation à ce sujet. Exception

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7 0 * A n n é e . — N ° 8 8 .

a b o n n e m e n t s

« r x Æ i — . % £ *

P araissan t le Di

« M B . . ; , . , J 3 f r , s i* m oto .,, 6 fr.t r o ü moto. 3 fr.

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ON S'ABONNE i Sentis, an* bureaux du Journal, o e t i l , place de

l ’HôteNteYIlte, cher tons tes libraires du département, etdan# tons lesburcifl* de poste de France et d'Algérie.

Utbopnemant est.payable d'avance. n n ’est jamais interrompu et est considéré comme renouvelé, lorsqu’à l’expiration oûdo donne pas contre-ordre.

ihe et le Jeudi.

BULLETIN

C O U R R I E R | b E L ’ O I S E

r i W“ “tiomde par an Te Deutn à Ja

falunce* l MiI® de ,on Association de bisn-

S tn l i t , 19 Juillet.L e gou vern em en t a décidé que la m is-

aion M archand ser a it d isloquée à la date du 1 5 ju ille t . C ette m esure v ien t de rece­v oir son effet. B n co n séq u en ce, le s m em ­bres de la m ission n e pourront p lu s, à partir d’aujourd’h u i, participer à aucune cérém onie ep le u r h onn eu r, e t l e g o u - vernem ènt a re fu sé au com m andant Mar­chand, a in si ^u’à se s com pagnons, to u te

| p a tïe r , abordé s a ’McKe. E lle a «eu ïe- m ent d écid é , par h u it v o ix contre sep t, d e dem ander au gou vern em en t s’i l e s - I T î t tim e que la d iscussion d e l à lo i é le c to - ! i « I i S . Æ r 4 ï li,V * J ‘ colo,li,, * 08 ra ie doit av o ir lieu dans la présente s e s - I .•io n lé g is la tiv e . On n e d it p as, d’a illen rs , s i c e tte d écision p réju d ic ie lle équ ivaut à u n e m ise en d em eure ou s i e l le cache u ne a r n ér e-p en sée de tem porisation .

Jeudi 20 Juillet 1899... ' % ï

3 1 .. ^ —

B U R E A U Xfit Adminisirntion,

9 1 W 1, pince do nfrttel-do-Ville, A Senlis.

£ . J o c s n a l „K S k m i s « , d M ÿ a é p o u r p u b lie r d a n . l a i r o m l i . A rm e n t U t I k s e i i i i o x s i u d i c i a i s s s .

PRIX DES INSERTIONS;Annonces : la liK„0, 0.Ü0 c. n JB nnfc 'r 'ft Uglie 0 40 c.

F.iitii divu*s ;Jn |jgn0> ^ g o c On n accepte pas d ’inserllon nu-dessous de 1 fr.

Lès nmioucfs, rddam fs, etcv c i m m s m p sris fwpsrioménts sont reçues directement a u x b u re a u *

du Journal. u*

, * «noaiM uenr da France.

11. & • 4,6 * ™

“ * “ “ "h"80

“v .? * " * ” ’ I? i ’m .

MI Tiont * recevoir

da ministre de la guerre ans lettre lai noliflintque Je gouvernement n’autori.ait p u le comman- « S à Ten!p à Saint-Maixent, où unefêta devait être organisée en son honneur.

â a a g a a a E I; /7victimes a été retiré vivante, et dans l’après-midi on communiquait avco le second ouvrier et chaussées?* ,louvelle, du in d u c teu r des ponU

Le négus Ménélik A Paris. Il parait qi

^ . , . . . . , 0 .0 00, wvuipaguuuu, lOUiaautorisation à c e su je t . E xcep tion a été A lto seu lem en t pour la fê te du Triom phe à l ’E co le d e S a in t-C yr. C ette cérém onie ne pouvait av o ir l ie u avan t le 15 ju ille t , les é lèves d e l ’E c o le s e trouvan t au oamp de Châlons i c e tte époque. E lle a é té c é ­lébrée an cham p d e m anœ uvres de S a in t- C yr, so u s la p résid en ce dn gén éral M ail­lard, ayant à se s c é té s un grand nom bre de gén éraux , l ’an m ôn ier, M gr L anu sse, ainsi que le com m andant M archand e t les officiers d e la m issio n , cap ita ine B ara- tier, docteur E m ily , en seig n e d e vaisseau Dyé. T ous le s n o u v e a u x é lè v es s’é tant réunis au ce n tre e t a y a n t m is g en o u à terre , uh a n c ien , m on té su r un affût de canon, le u r a traoé e n quelques m ots brefs leu rs d evo irs, le s a exh ortés à su iv r e les traces de leu rs an c ien s, e t ce lle s g lo ­rieuses e t récen tes du com m andant Mar­chand. F a isan t a llu sio n à l ’œ u vre d e là m ission, i l a ajou té : « N ous garderons1 honneur, e n rendant la oonquête. « l i a

I f,î,‘ ai,te ,pri4 le g én ér a l com m andant 1 E cole d e v o u lo ir b ien donner à la p ro-

I motion des recrues le nom ch o isi par le s anciens. L e gén éral M aillard , d’u ne v o ix vibrante, a déclaré a lo rs q ue la n ouve lle

G h a n d >** “ 0m m 6I'a i t 18 ‘ P ro m o tio n

i Tandis que V Echo de P a r i s p ersiste ù réclamer la convocation de M. D elaroche-

I V ernet d evan t le co n se il de gu erre de 1 R ennes, e t q ue M . Q uesnay de B eau re- I J, ? poursuit sa cam pagne en v u e de

w » a ™ 4 d éb ats, l ’ex-com m andant

L a dern ière séan ce d es C ortés espa­g n o le s , où l ’on d isc u ta it l ’abandon gra­c ie u x fa it par la re in e -ré g en te d’u ne part de sa lis te c iv ile pour a ttén u er la ru ine nnan ciére du royau m e, s’e s t term in ée par d es in c id en ts dont la gra v ité n e sau­ra it échapper. T andis q ue la m ajorité poussait le s oris d e : . V iv e la re in e - ré g en te I > la m in orité répu b lica in e de la Cham bre a proféré c e u x de : < V iv é la R épu bliq ue! A bas le s B ourbons! » qui présagent u n e cr ise p o litique e t d ynas- tiq u e ven an t s e su rajou ter à la terrib le c r ise e x tér ie u r e d ont l ’E spagn e a tan t de p ein e à se re lev er .

L es jo u rn a u x ru sses p révo ien t des com plications en S erb ie , e t une note o ffic ieu se , pub liée À Sa in t-P éterab ourg , o o n v w im p lic item ent l ’A u tr ic h e à -exàr* c e r se s bons offices auprès de la cou r de

•JPÎx 5 en v u e de m ain ten ir la tran­q u illité dans la p én in su le des B alkans. Ce n es t pas ch ose a isé e , car i l paraît bien q ue la repression d ont s ’e s t ch argé l ’e x - roi M ilan ré su lte d’un coup m on té , son P™ tendu assassin n ’é tant qu’un agen t

uo “ • le «ecrétaire d’am- I j ' £7."*’ q «ffiure déoidêe. Le roin £ ? i . ’ BoM wdet, recevait t a palaia Far- I aï?*»™ “ PSMU.P» d E.lhl0Pi# e t saceesseur de

Ia* “ embrea de la colonie e t des institutions I 110 viendr* 1 *D" é® prochaine pour viaiter fr«nn.,.« . a*..».* ,------------ . I JKxpoaition e t connaître de pràa aea amia de7-’” “ »u*orea ae ia colonie e t dea inatitntii frangahea, qm étaient largement repréaentéea.

A Vienne, en Anlriohe, à l’oeeaaion de la Fête I „,a d p tPe*a trieelore a été hiæé à l ’am- I â ® donnée il y a qnelqoea moia

baaaade de France. | #t * plusieurs repriaea, maie cette foie elle eatLacolonie française de Rio-de-Janeiro a adressé *“ J “' * ' ’

U Rôpnbl^“ *."Ul' , , t * “ ■ Lo“b”1’ ès« h s ooioois fr .n j .in d . Rio-ds.Jsneiro u l u

“ blU*îr ° , ”M Lo"ba'' u st la R4-

, p 01,1,8 [0“ 8118 8,1 I ? “ m ?8 P " ]* vois d « journaux alhésisn., qui . î 1, " 01' ” ","1 è ’A bjlllois et pour

I n u , , Ménélik n l’intention de p .i .e r parMU finisI. f .t i .n n i . i t . I r.

Un déraillement.■Uni1?™011? à %Lottinghem, petit villageu ÛmMm» k!Îomelre8 d0 Boulogne-aar-Mer, ils « n s ’ ? ua 1 011 R pu croire fort grave anr de fer » ®*t produit sur la ligne dn chemin

«n.. Q *ra'n d e pl»i»ir a déraillé, et pluaienra voya- hîïi!mn»îl 1 grièvement bleaséa, durent être tranaportéa au plua proa pour recevoir dea aoina.

A cette nouvelle, qui lui fut communiquéetravaux S f i * ’ Pie" e B?udin’ mini«‘r® do»

r I e*. ' i ? 8 . » . p . .

Guillaume II et la France.titre»1 Vne nouvelle à démentir,

I Echo de Parts dit savoir que la présence à Paria du prince de Hohenlohe n’est pas une simple coïncidence avec le bruit qui court de la venue ee“ î ! ï " f ^ l T gBe danf le- f c J î ï î

aérait " V°yagî ,mPfrW nos côtesi®oa pnncpe dans lea mUieux gou-

aeufea™ n dlafusion*.qUMtl0ai da * ^ . n t Î L T i/ 0*10" cr.oire que cette information

d I S m i r . ' “ to u r ^

■ X ‘ i 3 È ^ l à : î ! 2 À

: meneiik a l’intention de paraer par " " " 1 Pao,,“ ' ®DV(>yR »ur lea lieux M. Paa- éthènee pour faire visite an roi Georges et con- 3 “' £“ * *n>P««teur général du contrôle du réseau uwtre la Grdoe, qui eat le paya de ses rêves’ £ Ï Ï i ï g a ? vrip ÜD0 enquête sur

« ? *• ’ “ ,w t q° 9 1 Abyssinie a toujours I X 0 1 a0cid®nt et »ur son importance,été en relations avee la Grèce, un grand nombre I . J i ,ComP»gnie du Nord, on communiquait la de Grecs résidant II tit« . « i . * - - —» j . . . 7™ note suivante : ^

z r 7 ““ »»»>" « «rece, un grana nombre F tau * ^* J Dt 4 tilre pownanent dans les

I • u 6ns °u 7 exerçant le commerce tem- 1 porairemcnt.

r»DM é ié liI‘ « p r ô X i ï . q“* F U '“ rM“-

ta n . : -------, »sui»«|u« u bus r a t -te n ta t : on la croira san s p e in e , m ais la respon sab ilité de l ’ex -ro i M ilan , qui a fa it arrêter M . B laso P e tr o v itc h , n ’en est que p lu s lo u rd e , e t e lle sera sans doute

Ob“ en„à v Z aU teU r 4 k d y n a s l i° d a“

lui Loubet, a écnt & Guillaume II pourlui exprimer la grande joie qu’il éprouvait <fe ce que ce rapprochement amical entre deux dea nlua puissants Etata de l’Europe ait en lieu sur lea confia, de la Suède et de la Norvège.o n l î l .^ i , “ ,'1 8, P8'» H q M ls M l

, V f p lr m èssisit 4 uos entent. . som plèt. entra dsnn nation., dont dépendait en

grande partie la pata dn monde P “ d u félicitation, aemblable. an

81 " • “ ls«*tio“

La million Marchand.

a i l e , W S ' f 1 8 r *D',M T oil“ ' 8’ d8 088" 88S ld î? . i ’ i l s de Conrbevoie, le. aoldats dn commandant Marchand. L e. noire£ S 3 ï ? î véhionle., en compagnie d’of-ficiera et de aona-offlmnrB Aa ____ :__

Le cas de M. Svveton.L_ ? ,o n ,®iI «oadémique, chargé d’examiner le J» du professeur Syveton, a’eat réuni hier, il a entendu les explications de M. Syveton,

% «"i.ini «ont reproché.,nré.rà™ s i *■ W 11 s™ 1 srn pouvoir, en

partie en défendant la cabse nationale l . a?,ad6miqa® “ frappé M. Syveton deÎî. Qn an 0t un i° ur de ,e » fonctionslOOfr?pâ*0an! aVa° rédnotion de traitement de

Soldats empoisonnés. lr.y„°5 V T 1*'.88 és “ i'hniro. dn d’ eicndron du S ï l i r A ,‘“ 8M’* 0l,* '‘« ' . *Plè. avoir maogé b îta é n m i 5m ™ " ! q° i ,!e“r 8v8i8nt été dis-V. s lm .’. î <tS d8 “ ' ' I ” 1 neeompagnée. de différents aymptômea d empoisonnement.

Plusieurs ont dû être tranaportéa i l’hôpital.

V 7 "7 T “v * »ur son importance.note suivante"?1,18 d“ NOrd’ ° a oommuni(î0ait la

r êM„LAe n âr?i,Ieœe“t du lrain da Plaiair allant de noir A gn® * 6,1 Prodait dans la matinée, à neuf heures, au moment où ce train entrait en gare de Lottinghem.

" J® à c® moment, allait à une assez

f i o n f a ï S ^ V " * ”' PM * la “ *•”°.“ pv *ept bl8,,S' : 18 chauffeur, le mé-

“ X m . S ^ . ' a ^ i’“geU^,• AUM" d'6UI n ’Ml

l’.îcidïut°.0. , “it M0° '6 1 ,M l '8 MUM 8ll' ib"8'

Jrti mort du Tsarévitch.9 f i et,6i . Sil*sio donne la version sui-

vante de la mbrt du grand-duo Georges :•ÂiuK “a i®11 exour,,ion dans le pays montagneux

8o8ob«18

INFORMAJIONSd . . „ l . , . J T — I W t . ®ft|ut-Pétembourg n u . dépêche « n t t™ .

I beau août) dIos Im h n n ri ■ n » >n. . . . . . . .

Enfant violé et étranglé. l«. ^ gar.ÇOni, d® ciDq ans' c bRrles Gérard, dont

S îl hebitent Ardon-sous-Laon (Aisne), K ï r t 11 dan■ ,a fou,e*le dimanche 9 juii-

Ton»«. nv.gUrutl0nxdu tramway éloctrique.• 5 recherches de la famille et de la po-

sniî- *vaient, étô •nfrnotueuses, lorsque, vendredi Îrnn ^ Ca y?,,,* £lé découvert au fond d’un

V r Tn T éP8l»i bordant le sentier, dit Ardou P"’ q d08Oend d® Laon A

d’uu’ guobie ‘ P’4’ “ïo ir 81é ,iolto8

poîl“ .'„0r i’., lêie““‘ dS'8 m “ k mort 01,1 élSla d /™ ? ? ™ d,u p ,r ‘>”î l ‘" ‘“‘'P d88”« uucune indication sur le coupable, qui cependant doit êtrefan5a/ * et i !,valt.î:0Dna!,re l’existence du trou au fond duquel il a dissimulé le cadavre.

L émotion est considérable en ville.Les obsèqbes flu pauvre enfant ont eu lieu à

Laon aux frais de la ville.

Médaille d 'a rg e n t avec p rim e de 75 francs.

on-ThBneien G ougibus’ in s t itu te u r ù N e u illy -

I lédaitle de b r o m e avec p r im e de 50 fra n cs

t o u , ' ' " S r t l ^ l0rlC D ela™“ P ld0. in s . i tn -

S ongeons0tl0 re ° éSiré V aquez' in s lll6 le u r &M. L ou is -E lie V ille tte , in s t itu te u r à E p i­ne u se . *M - C aron , née M arie-A nae V è d rf , in s t i-

tu tr ic e à Com piègne.

p iêgneEUBèn° Car° “ ’ in s ll‘illeu r 4 Cl)tn -

B resie8 U*eS' 0CtaVe B ensse’ In stitu teu r à B o n s de livres.

“ i .G08t»n L es ioca rl, in s titu teu r è S en lis . G rand ° re , ’ l n s l i ,u ‘*i<:e 4 Sacy-ie-

d a S i)io rr“ ° ° (i M“ Urice’ in ‘u lu le o r à V a l-

fo n d sL ° UiS D ,!m ar0st’ in s titu te u r & P ie r r e - Happete.

M. L éon L eb ru n , in s titu te u r & S a in t- L ég e r-au x -B o is .v ilîe rsA llje rl B eauy^i8» ^nsfifu feur & V ief-

Nos fé lic ita tio n s à ces excellents e t xélés in s t itu te u rs e t in s titu tr ic e s .

~ Vi— “ y -r -s/.soucxuaxw itr arrn nne iiou- velle série de ré v éla tio n s, qui a ttribuent au général de B oisdeffre l ’in itia tive e t la responsabilité d e to u te s le s m esures pri­ses pour la d éfense de l ’état-m ajor con tre la campagne r é v isio n n iste , n affirm e & nouveau qu’i l e s t l ’a u teu r du bordereau ; mais il d it, d’au tre p art, que D reyfus e s t coupable, que s i tous le s m in istres de la guerre on t affirm é sa cu lpab ilité , c ’est quils en on t eu les preu ves form elles sous les y e u x . M ais ce s preuves n e p ou-

lüü ! n i vHlguée8 8ans provoquer la guerre, i l a fa llu avoir recou rs & la super-

i t t f i , * b° rd?reau P our a tteindre Dreyfus. T out ce la e s t assez in g é n ie u x , seulement nous avons é té te llem en t h ab i-

Conxeil de» minUtre» ;

I tu é s aux ragots de M . E ster h a sy , qu’il I n y a pas p lu s lieu d e te n ir com pte de l “ “ ; c ! , ' i“ e r s s te . L e p lus prudent■ serait d atten dre p atiem m ent le s débats

l t eJ U86r “ ‘ oonM il do g u erre de■ Rennes, où l ’affaire com m encera dans ■ le s prem iers jo u rs du m ois prochains**

l a W ? ;,’a ? “ 0ttbIié 18 différend qui I ™ ! 14 , !8v,4 0ntre le s au torités fran- 1 ™ ita lien n e s, dans le vo is in age de Ues possessions de la m er R o u g e , à pro- fêos des frontières du su lta n a t de R aheita . a.!fi p roviso irem en t arrangéparia convention réciproque de procéder 4„h„6 d0 °e» frontières,bette délim itation v a com m enoer; la

p a n s e a en v o y é i oet effet le lieu ten an t Je ondiaux e t u ne e sc o rte , qui son t a rr i-

C t ' " r U l ie u x ’ 1 “ ' Tont d’abord v is i- tni i i ’ 8 t ï u i sap èrent avoir te r - pm e leur tûohe dans u n e quinzaine de

i , J * eom m ission nom m ée par la Cham - P m de représentants de B r u x e lle s , pour Sleaiaa “ gr,05"0 ûuestion d e la réform e p ectora le , n ’a pas en co r e , à proprem ent

FE U IL L E T O N

niÏT ïïS ï 01 " *0.Ill rSaci. Mer dan la maü- !l J , J ’ ’0M >.P'«>Mence de M. Loabet.

ta.„u ” ‘»»tre de la marin., a entre-tenu le een.eil d en pro’et de décret avant ponr «a â iâMf° 18 l.88l0rité dn chef de l’état-major général de la merise en ee qui eeneerne le per­sonnel et le matériel de gnerre naval.

i S j S t e r s

- . ^ . ■ T S P Ï S - E L S ’Î S Ï î S S f “ é a a t

s ü s s t e,■,,!i■“ b, Mbdi*i8“ * • -M. Moni», minUlpc de U jaaties a fait aimar

“ p“ onT®m®B‘ JudioiBfre. Sont nommé, jprLddeetde r m S ' Æ ^ X p e U . ^ '

Préûdont de chambre A le Cour d'annel de Pem, M. Martinet, conieiller A le Oonr dViDel en remplacement de M. Boyers PP

Conieiller A le Conr d’appel de Paria, M, Fonr- net, proenrenr général A Alger i

Procureur général à Alger, M. Haffner nro eorenr de le République A Bordeaux : '

Proenrenr de le République A Bordeaux. M Frémont, proenrenr A Amiena; ’

Conaeiller A la Cour d’appel d’Amien*, M. Voaiel Viee-préaideatdu tribunal d'Amiena,M. Thorel.

i. of ?p*,id,nt.da ^ République l’initollere ver. le 21 de ce mou au chftteau de Rambouillet.

àSMZ«fiii ira fai-0 one c°orte vi.ite A ae mère A Montélimar ; maia ce voyage n’aura aaann caractère offleiel. et M. Loubî“ ne orériMdr!

n’ û™0,"!8* d“ 8U ^ . n t . PS î Æ11 il**} àcomerv.r A ce déplacement pri.Tf lfl “ «ofi^d un simple voyage familial,

prérident de la République a exprimé leR a îb S S S lïV ? » ] ChaB8é* daM la châ‘®au ^ Kambouillet, A 1 aménagement qui avait été faitPO®; to» «éjoura de aon prédécesseur.

M. Locquet, eonaervatenr du Garde-Menble.obargé de l in.UII.tIon de. réeideooee présiden-Ueiie., . est rendu en ehéteau aven M. Combarien,

I d .S ÏÎ? l" e V „ “ 8n u'e eu que quelques ordreso î.lî™ i 0Dll,r, P08' I88 tout tût prêt en?.m!3ê“ “ ' oco,oir 18 prérident e t u

Le 14 Juillet A l’étranger.Le colonie française de Saint-Péterabourg a

l . umuuo-iwue semoie în| bMuooup plu. le. Sondanu. que tont le re.to, et

o set une grande Joie ponr enn que de monter J*88 *“ vrgon., oïl il. tont doua roi. l’iieension. eiito l ï “î!°îîi ‘b,o!n,808‘ r*ri. et visitent en- î’enoeinte 8menU 48 plaisir groupée dan.

. . . . . m eu iit) u UUt) 'voquée par cette chute. »

®8i8, -Péter.bourg une dépôoha oonffrme A george , e été-lroové m o r t .a .1. >“ »ite du palais. “r ^ P Ï * — ytai—

1 bon/gVÔb5aY8ï l o r “‘ t818b' 80‘ ‘ ^ i-P P é te re .

Entre F/ançais et La’iens.A la Canôe, dans une rixe qui a éclaté ven-

d 5d o!p’ ®,Dtre d®,AfP,data fr»nçais et italiens, ilX.ffirA’l. Ûr enannn sAIn ilnns Ua—— re

L a toar Eiffel ne les amuse pas moins. Ils ae

j s œ î s t e i a r du noabra I «é"t, “ ?dr.umd.'*. ’Æ : , ? 0. ! ! " ” bi' “ 8" 8- 5'ord™™

•c0nï,,aandant Marchand, accompagné du2 R î! ? A / ' P ®*®1 d® plu,l®nra autrea officiera,

? t'X h5Drs® et demi®- Lorsqu’il est ! 5i i» î . oge d® fr°° 9ui lni avait été réser- vée, 1 orcheatre a joné deux foia la Marseillaise.ÏL i°“ ^ “ ^ ’r ° on ,eul 61an. »‘«»t levée e t l’a acclamé aux cris de ; . Vive Marchand 1 Vive 1 armée 1 o Pas de note discordante.

i s : M ï ï ï ï J S . 1» » irri»8 M .reh.od .ont

Mère féconde.-haSffnM . COarant d! l uio W flllfi-mére

cnroot queïquee’ jo u rs 'l" i v8‘MM. ne qui ejooto â le eingnlerité du fait, e’eet

. eue cet eocouehemont était le quatrième de la fille-mère; cela portait i once te nombre des eo- fant. qu’elle av .it e u . en quatre foie : „ „ fa p ,°.S fa '0i™faiq° ! ,0° - 8t“ t/ ) ’'“ , i deuai ta deuiiôme tou , tro u fa troisième foi. et cinq fa quatriômo.

I asa î j “uiw* ae leurs blessures. L ordre a deua’eonaeta z’ e**bli B' 4i e 8 l’ioto'veintion de. M .î f a S Ü Ï .A . si î ? x “ d s . officier.. L e. tron- fi’ r "00 0814,4 consignée! dan. leur quar-

d i î ,™ î i -,o lr’. 00' 08 l.l0D 1,1 fioéraillee dn loi- I dat frança s, et ce matin oelles du soldat italien ÎJ ' 2 J H !!* l8a oom.œandanU et les officiers fran-

I çais et italiens y assistaient. Il y a eu échanue de T L T ? , 61 affiraa‘i°n . de sympathie et de

I regret réciproques. L ’état des blessé s’améliore.

»» mission Marchand sont artis de Goarbevole, dimanche m atin, A six oures, pour se rendre A Toulon.

. Jj0.1 160 tirailleura soudanais delà mission Mar- chand sont arrivés lundi matin A Toulon: Us ne 5 P«T l#UsP !a,1*fael!on d® la" visite A Paris

d.e lâ y ü]® d® Pori» 1869. lie tirage des obligations de la Ville de Paris emprunt de 1869, vient d’avoir lieu. ’

Le numéro 658.108 gagne 200.000 fr.

Les grèves do Nantes, iprès enf '

I la t r l t l ®?te 6ntre la P®MonneI et la direction,r » . « c L m L n . ! . ‘ ,p” ;.d c “ n. ’.d,élPî ”0fii I b» ‘ 8Ü8» 7 7 n 7 ^ ^ ^ ehnndl ^ Viv® Franoe * Vive Mar- « “tentement de la population. ’ 8

Attentat contre des gendarmes.indarmM e .‘ï tein,Bt a été commia «ontre deux : ™ ,a commune de Viscomtat (Puy.

« M » v?nj ï ®nl d® »nrprendre deux indi- S9 m l r e î t ï g/ ^ 6 pêch8’ lo ,,1ae ceux-ciZ S S i î n rtîl S n r ,A 00 “ 8-f,881’ 88

En débarquant du train, le capitaine Mangin a fait former les rangs et a donné l’ordre da départ.

S i S » . s s a

Le chel de beUillon Merch.nd o .t affecté au 4 légiment d’infanlerie de marine.

Sont affecté. : les capitaine. Mangin, au 1’’ rô-ïm û™ 08 J ' I 4»™88*, le lieutenantconque, eu 8* régiment d’infanterie de marina

n l» é ° î Pfa .°Â,f " " " r d? Germain e.t Loriont régiment de l’erme è

Ensevelis vivants.Un éboulement considérable s’est produit dan*

Deux ouvriers e t un conducteur des ponts nt

d‘ p0n ? «wvir d abri aux carriers. ™ t,™ il” , u , . d0. èèbiaiement ont été auarilêt entrepris : après trois hnnm« d ,

CHRONIQUE DÉPARTEMENTALFL e s C o n s e i l s «l’a p r o n d i s s e m e n t .

P a r d écre t p ré s id e n tie l, les C onseils d ’a r ­ro n d isse m en t se ré u n iro n t le lu n d i 24 ju i l - ie t p o u r la p re m iè re pa rtie d e le u r sess ion , parU e sep tem b re p o u r la seconde

V a c a n c e s s c o l a i r e s e n 1 8 9 9 ,

?r a rn ^ P1? 8 en Conseil départem en ta l, HAmîo Çro.p Uî?,n de M* l in sPecteur d ’Aca- dém ie, le 15 ju ille t 4899, M. le préfet a fixé a insi qu il su it l ’époque des vacances dans les cours com plém entaires e t écoles p ri­m aires é lém en ta ires publics de l ’Oise fv com pris les classes enfan tines), san s excep-

O uvertu re des vacances : le d im anche« « î î î î ~ " I , î e n l r é e Ad ®8 b a s se s : lo lund i 2 o c to b re , à 1 h e u re ré g le m en ta ire .a^«iC0^ s n}aler).\e^ es- — Les vacances des écoles m a te rn e lle s fe ro n t l ’ob je t de déci­sions d e sp è ce s; ces décisions se ro n t n o ti­fiées a u x d irec tr ic es d ’écoles m ate rn e lle s .

D ans les écoles m aternelles , e t comme dans toutes les a u tre s écoles, la re n trée est m en ta lre 2 octobre . à l’h eu re rég le-

R é c o i u p e n s e s a u x i n s t i t u t e u r s .Les in stitu teu rs e t ins titu trices publics de

l Oise d o n t les nom s su ivent on t été récom -S K L p o u rJ eI vîces re n d u s aux cours d adultes ou d adolescents, ou p o u r partic i­pations aux œ uvres com plém entaires do

L e C o n s e i l s u p é r i e u r« le l a M u t u a l i t é .

On c o n n a ît m a in te n a n t le ré s u l ta t d u sc ru tin q u i a eu lieu le d im a n c h e 2 ju il le t p o u r 1 é le c tio n d u C onseil su p é r ie u r d e ià M utua lté . L a com m ission d e re ce n se m e n t des vo tes , r é u n ie m erc red i au m in is tè re d e l in té r ie u r , a p roc lam é les ré su lta ts su iv a n ts ;

4* collège ; Aisne, Ardennes, Nord. Pas-de- Calais. — M. Eugène Roche élu.

6* collège : Aube, Belfort, Côte-d’Or. Doubsorne Haute-Marn0’ Meurthe-et-Moselle, Meuse,’

Vo™g«e; S- B ; i lo » .ôgee; e‘-L° 'r4’ Seine-et-Mamo:

l l i f e / i ' S b i S Æ R bta0’ ^ 'o i e ./ ' collège : Rasses-Alpes, Hautes-Alpes, Alnes-

Mantinies, Ardèche, Bouches-du-Rhône. DrômeRaïf,!1. *USe’ Corf6’ A ,ger’ Constantine, Oran.’ - ^ R ésultat incomplet ’ u‘- î n l p - ________________________

f « : s a S Æ a , î û i î i : »

: Aude, Aveyron. GardHaute-Garonne, Gers, H érau lt. Lot IoVèrnS rUnlePSr ï yréDéos’ nJ ïi(5née8'°rien t* les, Tarn! Tarn-et-Garonne. — Ballottage. ’

10* collège : Charente, Charonte-Inférieure Dordogup, Gironde, Landes, Lot-et-Oaronne’ Basses-Pvrénées. — Le docteur Gyoux élu. ' vit}- co lj e g o • Coles-du-Nord, Finistère, Ille-et- A ilamc, ludre-et-Lotre, Loire-Inférieure Maine- et-Loire, Mayenne,- Morbihan, Sarthe. Deux- Sevres, Vendée. — Ballottage, ’

12* collège : Calvados, Euro, Eure-et-Loir - M 1 v V m o n té lS 0’ Seme-Iuférle“ «. Somme!

M. V erm on t a é té é lu p a r 496 voix. M L a- coste a o b te n u 326 v o ix ; M. B e rd in , 5 7 ‘35 voix se so n t po rtées s u r d iverses p e r­sonnes. I l y a ou 21 b u lle tin s nu ls,

E n to u t, 935 vo tan ts.

L a p e n s io n d e s s a p e u r s -p o m p ie r s .

L 'Officiel a p u b lié m erc red i un im portan t déc re t aux term es duquel les sapeurs-pom ­piers com m unaux de tout g ra d e , appartenan t aux bata illons, com pagnies e t subdivisions organisés en v e r tu du d éc re t du 29 décem ­bre 1875 qui, dans un serv ice com m andé a u ro n t con tracté u n e m alad ie e n tra în a n t u n e incapacité absolue e t p erm anen te de travail on t d ro it à u n e pension v iagère annue lle

Cette pension es t d é te rm in ée ainsi :P o u r les sapeurs-pom piers des commune»

don t.la population totale n e dépassent na» 2 000 h ab itan ts , 360 francs ; 4.000 hab itan ts 480 fran cs ; 10.000 hab itan ts , 600 fran cs! 20.000 hab itan ts , 720 francs ; .40.000 h ab i­tan ts, 840 f ra n c s ; 60.000 h a b ita n ts , 970 francs.

Les veuves e t o rphe lins o n t d ro it à la pen­sion qui es t des deux tiers.

Le môme déc re t in s titue , en ou tre, de» secours an n u e ls renouvelab les en faveur des sapeurs-pom piers ayan t p lus de 25 an s da serv ice e t 65 an s d ’ûge.

C H E Z L E S T U I E E E S

- E t u d e s s u r n a t u r e —

Traduit de l'anglais

FA*

L o ü i i D ESPR É A U X

MA BELLE-MÈRE

VI (su ite).

» Cuiom«ml pas !’h0ure 4es èistu ssions. i 14 U .I k p i i j i r au ,m t è e quelques jo u rs l 'ifflportsnfa l e s Si6 r ,0l,4cha 118 pou e l queh f'o n n a e e ta nha * 8lov4renl ■» S8i 81 du F p I i s T V ™ ’ f»8'» désorm aisl 'a i t ne» À s i de m aison. C ar il n ’j

r f i t vivant de* r h J ? H ^ î 8 06 c ï 8t 10 P °r"

sais tr° P - Je trouve bien « ? » . 8 d? 80n PaPa * mais je ne vois guère d autre point de ressemblance.»r«Z- j c’es t in o u ï! s’éc riaB essie . Mais voyez donc ce fro n t, e t ce tte bouche t . . Q uant aux c h e re u x , il es t ce rtain q u ’ils se- ro n t exactem ent d e la m êm e n u an c e cliii- ta in c la ir .. .

M istress P in k e rto u écoutait, l’œ il chargé de reproches. A la Un, e lle éc lata :

— Bessie, m on en fa n t, com m ent pouvez-111R n a n a i vois n™™ n u i . • . *

distinguer l ’un de l ’aniré..™ T Qa,oî ! . 8’écria Oeopge qui Tenait d’en ­trer prétendez-vous que J’aie jam ais ôté pa­reil à ce petit bout d ’hum anité grimaçant et vorace 7

- Aussi pare il que deux gouttes d ’eau le ton 8 rép liqua m istress P in k e r-

J e " ' " ais,P ri, ' a u c u n o p a rt à la discussion. I l m ê la i t abso lum ent im p o ss ib led ’aperce-

“ n e . ro^om M nnce quelconquo e n tre le précieux bébé e t aucune a u tre c réa tu re Ti­ra n te , * m oins que co n e fû t un a u tre bébé du m ôm e âge.

— E h b ien , m a sœ u r, re p rit George, il ne tous re s te p lus en ce cas qu ’u n e chose à fa ire , c est d e d o n n er m on nom é vo tre g a r-

o h 1 c 'e st u n e question rég lée, répon­d it fièrem ent Bessie : il s ’appe lle ra C harlie

Ç est la prem iè re nouvelle que j ’en avais! e t le Ion décisif de Bessie n e laissa pas que d e m ’éto n n e r. J ’a u ra is supposé d p r io r i qu un su jet si im portan t n e pouvait échap­per A ia ju rid ic tio n do sa m ère.

La vieille dame parut on effet aussi vexée

que su rp rise . Mais e lle fit un effort pour d iss im uler son m ouvem en t d ’hum eur, et u n it p a r d ire avec assez d e calm e • i „ „ 7 George se ra it assu rém en t un bien m eil­le u r n o m ... E t p e u t-ê tre aussi auriez-vous p u d o n n e r u n souven ir a la m ém oire de™ m tp a“ T re ,p é r e : 11 s ’aPPelait B enjam in, com m e vous le savez...

“ O ui, j e le sais, rép liqua Bessie avec un e g ran d e ferm eté. Mais il y a quelqu’un fa . a n f . , ? en 06110 "ffa ito p rim en t tousles au tre s , e t le nom d e B ébé sera C harlie.

— B ravo , m ig n o n n e! m ’écria i-je dans m on fo r in té rieu r .

tLcouraB° d e BeMie m ’en ch an ta it. J 'é ta is sû r désorm ais q u e si les choses en venaien t a u n e g u erre o uverte avec sa m ère , c 'e st de m on cété qu elle se ra n g era it. Un nouveau lien p lus fo rt que tous les a u tre s vena it de se fo rm er e n tre nons.

- i 4 " 0,” 1" 4,1 Georgo, ce n ’e s t v ra im ent irnîi À fa n i f ? 88 Q uereller su r une ques­tion d u n e si m ince im portance

T üll0f.’ «“ endez u n peu d ’avo ir un garçon à bap tiser, e t vous au rez le d ro it

riant 8r " ° 8 OP'“ i0n 1 lui réPli(luai-jo en

i a î ie l!a ru l aT0ir P™ d e succès.L a veuve m e décocha un coup d 'œ il féroce î1™ '6 r t?.rlm ® u n 8° u f ire e l m e tança dû regard . Miss Van se m it à p a r le r do tont ü ï i i ? s h050’ .rom m e si m on observation lu i a v a i t échappé. E n som me, on m e fit sen tir que j a u ra is mieux fa it d e m e ta ire

les fo î^ .“ t f f S armoac^ m ’?Ta“ éclairt »“ptes forces réelles q u e j 'av a is sous la m ain ,- • k r J a l P,a®4164 “ owro •■> ligne.

r i ^ T Ï d ia :‘ plS l" 0™ 5 L r8 lab ' 10 01 féûeu. 1.7 a a” " " " Pmmcment rétablie l .............rissait dans sa grdee e t d an , la beauté, sous les chauds rayons du soleil estival. Elle em-

S S s ' rosP0“ "ab i"'14a nouvelles une n 'ffa li n! ?* ■6 u" 0 sorto d ’ou torité . Ce

d p 4 jeunG fl,le d ’h ie r, c’é ta it lajeune fem m e, la m ère épanouie.

f a ' il y avail u n aQ déjà que nous-r iv S H m ? 1r Sf* E l quand je Jelais un coup d œil en a r r iè re su r ce tte p rem iè re an n é e de

dnj ôDa^ « i,„ “ ’élai.t i” poss*bl0 de ne p as m e d ire que n ous n av ions pas eu to u t le bon­heu r auque l nous av ions dro it. Certes dus

U n ’v’afa iïN n m 1 *all6r6 n 0 lra oi0l conjugal ; « n îr î non 1 n lals 0u. “ n m sta n t d0 fro ideur

’ .pa> “ “ d e 008 m alen tendus qui J01**??1 “ “ O ‘« e s . E t p o u rta n t nous n ’avions pas été p le inem en t h eu reux . Nons avions vécu sous le poids d ’une co n tra in te la ten te , d o n lje souffrais d irec tem en t p lus que Bessie, m ais d o n t elle souffrait aussi par cela seul qu elle m en voyait excédé.

..ft.,a.,b e l,e ; m ô™ n ’avait pas changé : elle n éta it pas foncièrem ent m échante et n ’avait assurém ent pas pour b u t d ’em poisonner m a M enh ir ? aa iA difficile de rien lu i re - L .ÏÏn n L o 8pécifl(iU0 •’ néanm oins, p a r san tvr»PnS!S“ M ,P a r :8 aglaC iale par

i inconscien te q u ’e lle exerça it su rm A i i ï î ï 68 déAlail8 dQ n iénage, e lle m e

r i t t i Î Î S 8 1111 é t a l d ’énorvem en t continu . Cette ac tion ne se lim ita it pas é m a vie in ­

time. mnitx o nnnlm.mii j x ___ ■sso ou iiu iuu ii yas a m a vie in lime, m ais s app liquait aussi à m a vio so- êfa .l'aS . I? r a P01i88ait “ t étouffait pour Î S r . P ap oxomplo. j ’a u ra is aim é 4 ro - covoir m as am is, les convior 4 d lo e r, 4 sou- E riu ro ..Pn ? T 0 a r ‘••m anche avec nous.w î î ^ u ? f r “ na M“lovait jam ais d ’ob-K .™ . i" ,« v a is que la compagnie ds£ n . i f I 9 la * convenait pas, e t 11 n ’en fallait pas pins ponr m e rendre plus timide ou motus chaleureux dans mes Invitations. I Eux-mêmes, d'ailleurs, Us étalent décon 1

certés p a r les m an ières m ajestueuses de la veuve, e t n a r r iv a ie n t jam ais 4 se sen tir 4 I a ise . P eu 4 peu , ils s ’éc arta ie n t d e nous et cessaien t leu rs visites.

E n ce rta in s cas, c 'é ta it plus g rave . P red et üü,.;?11!™0’ en ‘r e a n h e s , avaien tpositivem en t farnnià8|Ur cod,b6: m P “ elle-m ére n 'ad ressa it S , ? P a r 0 le 4 m istress M arslon, e t elle av a il ,d “ 4 F*»d. en propres term es, quo « s o n lengiige n é ta it pas celui d 'u n gém is­san t * Q0011141a>‘ p a rti furieux en d i-

vons Prie d ’ê tre b ien convaincue,m adam e, que vos g ra n d s a irs n ’en im posent

“m ™ leço“ ,8i 4 “ “G 81 ,a 0 Je " ’acroP'o lieu x ou tro is jo u rs p lus ta rd , j ’eus l ’oc­

casion de le re n c o n tre r. Il voulu t bien m e d éc lare r qu il ne m e re n d a it pas responsable de la rudesse de m a belle-m ère .

m û7 . .™ is,c’eï , i !gal’ .alou la- l ' i l ' lu devrais m o n trer p lus d én erg ie e t ne pas to lére r quo la v ieille P in k in su lte tes hôtes.

E t je sen tais b ien q u ’il avait ra ison . Bessie elle-m êm e en a r r iv a it à p artager celte opi-ÜÎR ai t^a08 .ce ç as 61,08 8Prôs ,o u t* qui au ­ra it dû ê tre la v é rita b le re in e de n o tre petit royaum e? Pourquoi re s te r courbés sous cette absu rd e d ic ta tu re ? I l n e fa lla it peu t-ê tre qu un effort pour secouer le joug e t recon- 2a » ü o lre ‘"d ép e n d an ce . Cet effort, je réso lus d e le f a i r e . . ’ J* ^ a ' 8, com m ent m ’y p re n d re ? Voilà la véri- tab le difficulté. Je n e savais où trouver on m otif sérieux de remontrance, e t je n ’étais pas homme â chercher, même A m a heifo- mére, une querelle d ’Allemand. J ’en causai arec Bessie, et, à m a joie profonde, j e la trouvai disposée A assum er pour ellë-m ôm e la responsabilité d e ia crise.

Tout se passa lyFxuaom jpiw uuniauniondet Avec une ferm eté que je n e lui au ra is jam ais supposée deux m ois p lus tôt, avec un tac t p arfa it, san s cesser d ’ê tre respectueuse e t ten d re , elle signifia à sa m ôre qu ’elle av a it reco n n u la nécessité d 'ê tre désorm ais la m aîtresse chez e lle e t de p re n d re la direc­tion du m énage.

E t d ’em blée, e lle com m ença p a r d o n n er ses o rd res , com m e si e lle n ’av a it toute sa v ie fa it a u tre chose. •

M istress P in k e rto n , d ’abord su rp rise e t dom ptée p a r u n e m anœ uvre aussi im p ré rd e . se ra b a ttit su r u n e question d e déta il : e lle re n co n tra u n e résistance tran q u ille e t in - v incib lequ i l ’exaspéra . I l y e u t des m ots vifs* j e lu s accusé d ’av o ir m onté la tê te de Bessie*

— > ous vous trom pez, m a m ère , d it-e llà avec beaucoup d e c a lm e ; C harlie n e m e m onte pas la tê te e t n e so u h aite pas vous re n d re m a lh e u re u se ; il c ro it seu lem en t q u ’il e s t bon p o u r n ous tous q u e je p re n n e la

ljg Cllon d e la m aison* e t j e su is d e son

L a veuve av a it trop de bon sens n a tu re l p o u r ne pas reco n n a ître p rom ptem ent que nous av ions ra ison . E lle cé d a e t n e chercha p lus qu à d iss im uler sa m ortification.

C e f u tn o t r • •

M

•* “ ■“- “•«roi oa mut MUCUllon.fu t n o tre p re m iè re v icto ire. M ais, «i la

b onne dam e n e d éte n a it plu» le pouvoir, e lle so ré serv a it le privilège d e ia critique, et 1 exerçait san s pitié , comme pour raiera ro m p re la prescription, spécialem ent A l'en i d ro it d e a e » faits et gestes. U ne deuxièm e rencontre devint bien tô t inévitable. -HT'

— J’ai le droit d’exprim er m onopinieft

JO U RN A L d e s e n l i s

S E N L I S

I

l ' i

A t r a v e r s S e n l i s *U n e F ê te de F am ille . — H ie r ap rès-

m id i, & cinq heures, M. D aubenlon , d irec­te u r de l'im prim erie du J o u rn a l de Sen lis,

^ ré u n is sa it dans sa salle à m anger tous les em ployés e t l'équ ipe en tiè re des ouvriers de la m aison, pour « a rro se r » l a décoration de tro is de ces d ern ie rs , MM. V arlet, G arluis et Secq , auxquels le Sous-P réfe t av a it rem is leu rs m édailles d ’h o u n eu r le jo u r de la Péte nationale .

E ta ien t égalem ent présents : MM. Dupuis, p ré sid e n t du conseil d 'adm in is tra tion , et

06ùcqX<zc<a d u jo u rn a l.A n m om ent où le cham pagne p étilla it

d a n s les ve rres , M. D upuis, e n quelques .m ots em prein ts d e la plus parfaite co rd ia lité , fé lic ita nos tro is collaborateurs de la d is tinc­tion dont ils ava ien t été l 'ob jet depuis six m ois environ ; m ais dont la rem ise oflicielle t e n a i t de leui^ ê tre faite à l’occasion du 44 Ju ille t. I l expliqua que s’il n ’av a it pas été p ré sen t à cette so lennité , non p lus qu 'aucun m em bre du conseil, ni le rédacteu r, ni le d irec teu r de l ’im prim erie, c’est qu 'aucun d 'e u x n ’en avait été avisé — e t tous le re ­g re tta ie n t très vivem ent.

A u su rp lus, ajoute M. D upuis, le m al va ê t r e facilem ent ré p aré , ca r l ’a u tre jo u r , c 'é ta it une so lennité ad m in is tra tiv e ; mais au jo u rd ’hu i c ’est u n e fête de fam ille qui ré u n it en u n seu l groupe in tim e tous les co llaborateurs .de la maison.

M. D upuis, s’adressant ensu ite à M. Louis V arlet, le félicUe des paroles qu 'il a pronon­cées en ré pondan t au Sous-P réfe t ; lui e t ses cam arades o n t fa it preuve de ce lte qualité ra re , la reconnaissance du cœ ur, en rappe­la n t la b ienveillance don t ils ava ien t été l ’objet de la part de leu rs anc iens patrons. I I espère qu ’ils continueron t tous le m ême dévouem ent à la nouvelle adm inistration .

T rès ém u, M. V arlet s’y engage en son nom e t au nom de ses cam arades.

M. D aubenlon lit ensu ite l ’allocution su i­v an te :

Il y a quelques mois, trois d’ontro vous obte­naient la médaille du travail après trente «innées de bons et loyaux services rendus daus 'notre imprimerie.

A l'occasion du M Juillet, M. lo Sous-Préfet vous a remis vos décorations ait nom du Gou­vernement de la République.

J ’ai tenu personnellement à vous féliciter et 4 vous témoigner tous mes regrets de n ’avoir pas été avisé de la cérémonie officielle, car c’eût été pour moi le plus grand honneur que de vous serrer cordialement la main, à vous, mes chers collaborateurs, qui êtes aujourd’hui l’orgueil de notre atelier.

Ce ruban tricolore, Messieurs, qui a été attaché sur vos poitrines le jour de la fête de la Patrie, ne fut jamais mieux placé : tous les trois, vous êtes non seuloment des ouvriers modèles, mais encore de bons pères de famille et d ’excellents citoyens.

Aussi bien dans celte maison que dans tout Sentis, vous jouissez de la plus grande estime et de la plus parfaite considération.

Mais il y on a qui peuvent s’enorgueillir davan­tage encore do posséder parmi eux des cama­rades tels que vous : ce sont tous les typos fran­çais, qui forment une grande famille a laquelle vous êtes fiers, à justo titre, d’appartenir.

Dans cette corporation où la solidarité la plus grande existe, vous avez tenu aussi à vous ren­dre utile, et vous avez créé une œuvre fort inté-

ulilitô : une sociéié°de secours mutuels qm fonc- tionne ici et qui prospère, grâce à votre entier dévouement.

Je forme des vœux, Messieurs, pour que, mar­chant sur vos traces, il y ait bientôt, parmi vous, d ’autres médaillés du travail.

MM. les Membres du Conseil d ’administration, vous le savez, sont pleins de sollicitude pour les travailleurs. Il n ’est pas douteux que vous re­trouverez en eux les qualités que vous avez su si bien apprécier en MM. Payen et Nouvian. Sous leur bienveillante direction, et grâce à votre es-

{iril de travail, de droiture et de dévoùment, j ’ai a conviction que l'Imprimerie commerciale et

administrative de Seulis saura conserver l’excel­lente réputation qu’elle a dans tout le départe­ment, et qu'elle prospérera de plus en plus.

M. Dupuis, président du Conseil d’administra­tion, a bien voulu venir honorer de sa présence cette petite réunion tout amicale.

Permettez-moi, Messieurs, de l’en remercier bien sincèrement en notre nom à tous. Je lève mou verre à sa santé, ainsi qu’à colle de Louis Varlet, do Carluis et do Secq, les nouveaux mé­daillés.

M. V illavrôde prend à son tou r la paro le e n ces term es :

Messieurs,J ’approuve entièrement les paroles que vient

de prononcer M. Daubeuton, et je m’y associe de tout cœur. J'ajoute que, le hasard ayant Voulu que je vous aie connus avant lui, je suis bien à même déjuger combien il a dit vrai.

Depuis bientôt trois ans, en effet, que vous êtes mes collaborateurs, j’ai pu apprécier votre dévouement sans borne à l’œuvre communo, votre loyauté professionnelle, et j ’ajouterai votre talent d’artisan II y a vingt ans que j ’exerce la

Profession do journaliste, et je suis heureux 'affirmer hautement qu’il ne m 'était pas arrivé

Iusqu’ici de rencontrer une équipe comparable à a vôtre : aucune besogne pénible ne vous a

trouvés rétifs, jamais vous n avez refusé de ré-

Sondre à l’appel de vos patrons quand ils vous emandaient un effort supplémentaire, le travail

quotidien une fois termine. Aussi ai-je été heu­reux do sentir la loyale sympathie qui s’est éta­blie, sur ses bases, entre nous.

Nulle distinction, je l’ai dit et jo lo répète, n’a été plus méritée que celle dont trois dos vôtres ont été honorés. Jo dirai mémo quo, si la loi no s'y opposait, co n’est pas sur les poitrines de Varlet, de Carluis et de Secq seulement que de­vrait briller le sigue de l'honneur ot du devoir professionnels, mais sur vos poitrines à tous, messieurs, car vous le méritez tous également, et je suis convaincu quo tous vous l’obtiendrez le moment venu.

Je bois donc non-seulement aux nouveaux décorés, mais aussi aux futurs, c’est-à-dire à toute l ’équipe du Journal de Senlis!

S u r la proposition de M. Y illavrède, on t r in q u a en su ite en l'h o n n eu r de M. Dau- b en to n , qui av a it p ris l’in itia tive de celte c h a rm an te ré u n io n .

I l é ta it cinq heu res e t dem ie ; les typo­grap h es fu ren t inv ité s à cesser le travail et à p re n d re congé le re s te de l ’ap rès-m id i,— e t l ’on so sépara, ap rès , un échange de cordiales poignées de m ains.

fê te m ilita ire donnée le 4 ju ille t s u r leu r p is te , e tldon t n o u t avons re n d u com pte, MM. les Officiers du 2e hussard s on t rem is 400 francs au B ureau d e b ienfa isance de Sen lis e t 60 francs à celui d e S ain t-L éo­n ard .

Au nom des pauvres, nous les rem ercions de ce t ac te d e générosité.

O dsèques. — Les trois en fan ts V io let. — D im anche, à u n e heu re e t dem ie, a eu lieu , aux frais de la Ville, a in si que nous l’av ions an noncé , l’inhum ation des tro is e n ­fan ts Violet, m orts asphyxiés d an s un com­m encem ent d ’incend ie p en d a n t la n u i t de vendred i à sam edi de rn ie r.

Le deuil é ta it condu it p a r la fam ille ; les pe tits cercueils av a ien t é té encadrés par

d u l ’Ecole com m unale e t d es fil­lettes d o , l ’Ecole m atern elle . M. te Sous- P réfet, M. le Maire, M. le S ecré ta ire de la sous-préfecture, MM. les C onseillers m u n i- e paux, les* fonctionnaires d e l’E ta t e t de la Ville, une grande partie de la population av a ien t ten u à assister à la funèbre céré­m onie, pour apporte r eux-m êm es à la fam ille Violet le tém oignage de leu r sym path ie dans l’affreux deuil qui l 'a tte ignait.

L’office re lig ieux a été cé léb ré p a r M. l’arch ip rê tre D ourlent.

Au cim etière, M. de W aru , m a ire de S en lis, a prononcé l'ém ouvan te allocution qu i s u i t :

Mesdames, Messieurs,Devant l’indicible tristesse de ces trois cer­

cueils d’enfants, vous ne me prêtez pas, sans doute, la témérairo pensée qu’une parole hu­maine, la mienne moins que toute autre, puisse apporter quelque consolation à la famille si dou­loureusement éprouvée, dont il n’est, hélas, au pouvoir d ’aucun de nous de sécher les pleurs. S’il est, en elfet, des deuils en présence desquels on ne puisse quo s ’incliner en un respectueux silence, tel est bien, à coup sûr, celui qui nous réunit en ce moment autour d'un père et d’une mère trois fois atteints par un seul et môme coup dans leurs affections les plus chères.

Je me crois cependant le devoir d’élever ici la voix parce que, représentant de notre ville, je lui dois, ce me semble, de dire en son nom quelle douloureuse et profonde émotion chacun y a ressentie à la nouvelle du sinistre événement qui, brusquement, venait assombrir d ’un voile fu­nèbre le déclin d’un jour de fête.

Aussi bien, vous le savez, et je le dis à l’hon­neur de notre cité, il y règne entre toutes les classes de sa population un touchant esprit de solidarité dont chacun de nous, s’il est possible, sent encore se resserrer les liens chaque fois que le malheur vient y frapper quelqu’un des nôtres.

En me faisant ici l’interprète de ce sentiment que tous nos efforts doivent tendre à maintenir et à fortifier parmi nous, qu’il me soit permis de remercier M. le Sous-Préfet et tous ceux qui, avec lui, ont tenu h s’associer à notre deuil en apportant à l’inconsolable douleur d ’une famille senlisienne si cruellement atteinte, le témoignage drs sympathies unanimes qui de tous les cœurs vont en ce moment vers elle. i

I n s t i tu t io n S a in t-V in c k n t. — F ête des Jeux. — L’In stitu tio n S ainl-V incent nous a offert h ie r sa coutum iôre F êle des Jeu x qui a t t ire annue llem en t à V iilem élrie toute l ’é lite de la population sen lienne . C’est une so rte de concours spécial où chacun peut apprécie r la v a leu r de l ’éducatfon physique donnée aux élèves de celte excellente in s ti­tu tio n . P o u r l ’éducation m orale e t in te llec­tue lle , c 'est a illeu rs qu ’on en voit les ré su l­tats ; ce lte an n é e ils o n t été rem arquab les,

ir-^ é l è v es-p résen tés an ba c c a la u ré a t

Au 2° H u ssa rd s . — M. M artineau , chef d ’escad ron , d irec teu r des études à l ’Ecole d ’application de la cavalerie , ost prom u au g ra d e de lieu tenant-co lonel e t affecté au S* rég im ent do hussards en rem placem ent d u colonel de Lagarenne ;

M. Bressen, lieu tenan t breveté au 47* chas­seu rs , à R am bouillet, es t prom u capitaine (choix") e t affecté au 2e hussards ;

M. de M alherbe, cap itaine au 2 e régim ent d e h u ssards, est nom m é capitaiue com m an­d a n t dans le corps don t il fait partie .

M. Legrand , capitaine au 2e rég im ent de h u ssa rd s , e s t désigné pour occuper les fonc­tions de tréso rie r du corps don t il fait partio.

M. R oltr, cap ita ine com m andanf au 2( r é ­g im en t de h u ssa rd s, est affecté au 2* régi­m en t de cu irassiers (hab illem en t).

M. M idrié, cap ita ine au 49* rég im en t de chasseu rs à Lille (rem on tes), e s t affecté au X» rég im en t de h ussards (rem ontes).

— Nv bi (ipprM ons q u 't la suiio de l a ,

40 son t dé jà b rillam m en tso rtis de l’épreuve. Mais revonons à V iilem élrie.La réun ion , présidée p a r le R . P . supé­

r ie u r Itob in , ay a n t à ses cê lés, M. l ’a rch i- p rê tre D ourlen t, p lusieurs ecclésiastiques et notabilités des env irons, com prenait un grand nom bre de S enlisiens, d ’officiers du 2» h ussards avec leu rs fam illes, a in s i que les pa ren ts des élèves.

Toute cette foule, où les un iform es, les costum es cla irs des dam es e t des jeu n e s filles je ta ie n t une note gaie e t p im pante, fa isa it le p lus pitto resque effet dans le cad re de ver­d u re qui l ’en to u ra it.

L a ch a leu r é ta it ag réab lem en t tem pérée p a r une b rise légère, dont chacun asp ira it avec délices les ém anations balsam iques.

A deux heures com m encent les prix . Un h érau t d ’arm es, suivi de son écuyer, v ien t jes annoucer en ré p é tan t à h au te voix les ind ications du program m e.

C’est d ’abord la B ata ille des B oucliers, où la d ivision S ainl-Joseph, partagée en deux cam ps, les Bleus e t les Bouges, se lancent des projectiles inolfensifs, m ais qui n éa n ­m oins en tra în en t m ort d 'h o m m e s!!! car toutes les fois q u ’un de ces projectiles louche un des com battan ts parcè q u 'il n ’a pu le p a re r de son bouclier, il est ho rs de combat.

D 'au tres exercices su ivent : les sau ts en h a u te u r e t longueur e t trem plin p a r la divi­sion S ain t-V in cen l; la course aux clochettes, des exercices de gyrnuasiique , voltige et sau ts d 'obstacles à cheval, foot-ball, le pas des éventails, rav issan te pantom im e p ar les tout petits, les exercices d ’éq u ilib re , etc ., etc ., epfln le g rand carrousel.

D ans tous ces exercices, les élèves on t riva lisé d ’agilité et desouplessè au ta n t que de v igueur et on t fait h o n n eu r à leu rs excellents m ailres e t aux habiles professeurs spéciaux, no tam m ent MM. O rtm ans e t Meilhoc.

Le carrousel su rto u t a soulevé de vifs applaudissem ents bien m érités.

Voici les noms des lau réats dos d iv e rs jeux : P r e m iè r e P a r t ie .

Bataille aux Boucliers, — MM. Bar, Lonicque, d Humières, Arm. Martin.

Sauts en hauteur et longueur au trem plin. — MM. Ch. Monnet, II. Iluraux, Luc Lauioioa.

Course a u x Clochettes. — MM. Mouriguy, de Richi-bourg.

Massues, excrcicps d’assouplissement. — MM. M. Lenicquo, J. du I’erray, Dccaux, Gamot, Edm. de Perihuis.

Voltige ù chetal. — M. du Vigier.Le Pas des E icnlails. — MM. Fournelle, Du-

plessier.Courses de citesse. — M. de Fry.Ballon anglorfrançais. — MM.' Sauvage, Et.

Roland.Sauts d'obstacles par les cavaliers. — M. Lhoste.

D eu x iè m e P a r t ie .Balle au camp. — MM. 11. Iluraux, de Fry.Le Joyeux Postillon. — MM. H. Iluraux,

P. Iluraux, L. I.ambion.Bourric-Sport. — M. M. Meignen.Exercices d'assouplissement au sabre de ca­

valerie. — MM. Cliastaing, J. Prevel.Courses de Tètes. — M. Lhoste.Barres d sphèms, assouplissements. — MM.

Rey, d llumièrcs, Maurice.l.’Equilibre européen. — MM. Rousseau, Du-

bourg, R. do Vasselot.Grand Carrousel. — Félicitations universelles. A joutons que le program m e, très bien d es­

s in é , é ta it aussi l’œ uvre d ’un des élèves, M. M. G ervais.

F a n f a r e du 2 ® H u s s a rd s . — Voici le program m e des m orceaux qui seron t exécu­tés p a r la fanfare du 2e hussards, dem ain jeu d i, de h u it heu res à neuf heures du so ir au C halet :

P o n ts et C h au ssée s . — Nous apprenons q u e M. R ousseau, em ployé d es ponts et chaussées, anc iennem en t à L lancourt e t ac tuellem en t à S en tis, a sub i avec suécés les exam ens pour l’ob ten tion d u g ra d e d e p i- q u e u r au service m un icipal d e P aris , e t a ob tenu au classem ent le n u m éro 48 su r 350 candidats.

Nous lu i adressons toutes nos félicitations.

S o c ié té d e S e c o u rs m u tu e ls d e S a in t- F h an ço is -X av ie r. — Lors d e la réunion m ensuelle de la Société, d im an ch e d e rn ie r, à h u it h eu res du so ir, dans la g ran d e salle de l’A ncien E vêché, M. l’a rch ip rê lre Dour­le n t, d irec teu r, a fé lic ité 41. Léon Joseph F ouirai, p résiden t do Ja S o c ié té ùo S a in t- , F rançois-X avier, de la d istinc tion h o n o ri­fique si m éritée que v ien t d e lu i açco rder le G ouvernem ent à e te RèpabYiqo# en lo i décerna n i la croix d e ch a v àu è r d e la Légion d 'h o n n eu r.

Ce discours a été in terro m p u à p lusieurs rep rises par (es bravos e t les acclam ations ' de l’au d ito ire ; puis u n superbe bouquet a été offert à M. F a u tra t p a r M. P o ttie r , tréso ­r ie r , au nom de la Société, accom pagné de quelques paro les de félicitations.

La Société com pte ac tuellem en t deux d é ­corés : M. F au tra t e t M. Po ttier .

Nous leu r adressons d e nouveau nos féli­citations. — Un Sociétaire.

S p o r t V é loc ipéd ique S e n lis ie n . — Les g randes courses organisées p a r le S . V. S ., qu i au ro n t lieu au V élodrome le d im anche 30 ju ille t cou ran t, p rom etten t d ’ê tre fo rt in ­téressan tes. U n g ra n d nom bre d e coureurs e t des m eilleurs se so n t fa it in sc rire e t v ien­d r o n t se d isp u te r les p rix offerts p a r le S . V. S . Le program m e com plet de ces courses sera publié e t affiché sous quelques jou rs.

La Société m usica le a b ien voulu p ro­m ettre d e p rê te r son concours e t p a r sa p ré ­sence reh au ssera l ’éc la t de ce tte fête.

O n p eu t vo ir chez M. Lejeune, ép ic ier, p lace de l ’H ôlel-de-V iile, où ils son t exposés, les lots m agnifiques d e la tom bola. I l ne re s te déjà plus ou presque p lus d e b ille ts ; av is aux re ta rd a ta ires qui n on t pas p ris la précau tion de s ’en m u n ir a u débu t d e la m ise en ven te . . /.< i.

Aussitôt après les courses, il sera procédé au tirage de la tom bola, pu is au ra lieu à l’hô tel du G rand-C erf un b an q u e t auquel les au to rités o n t prom is d ’assister.

Les sociétaires qu i n ’on t pas encore sous­crit, a insi que les p ersonnes qui d ésire ra ie n t pre n d re p art à ce b anque t, so n t priés d e se fa ire in sc rire d ’ici le v en d red i 28 ju ille t au so ir, chez 41. D aussint, sec réta ire , 5 , ru e du Lion ; la souscription es t fixée à 5 francs.

A v a n t-G ard e S e n lis ie n n e . — La sortie que la Société d ’éducation m ilita ire i’A canf- G arde senlisienne devait effectuer d im anche d e rn ie r su r C hantilly a dû ê tre rem ise à une d a te u ltérieu re , en ra ison d u deuil qu i a frappé p lusieu rs des m em bres d e la Société p a r le décès des tro is en fan ts Violet.

L a S éan ce de gym nastique d u « R év e il de S e n l is La Société d e G ym nastique le Réoeil de Senlis a donné d im anche d e r - n ie r , su r le Tapis-V ert, la séance publiqueque nous avions annoncée.

La réun ion é ta it p résidée p a r M. le Sous- P réfet, assisté du M aire de S en lis. E taien t égalem ent présents : M. D ria rd , 4 « ad jo in t, la p lupart des conseillers m unicipaux, des fonctionnaires, e t u n g rand nom bre d e no­tab ilités de la ville.

Le program m e a été exactem ent su iv i, les m ouvem ents b ien exécutés ; ils m anqua ien t cependan t un peu d ’ensem ble : i l é ta it vi­sib le que les jeu n e s gym nastes é ta ie n t de classe d ifférente, ce rtains d ’e n tre eu x ayant u n e pra tique de p lusieurs années , e t é tan t incontestab lem ent supérieu rs aux au tres. C’est su rtou t dans les m ouvem ents avec en ­g ins, la b a r re fixe e t les b a rres parallèles, que ce tte disproportion se re m a rq u a it : MM. G rim bert, Maillo e t B oulet, p a r exem ­ple, pour n e c iter que ceux-là, son t de beaucoup supérieu rs à la p lu p a rt d e leu rs a u tre s Camarades.

N éanm oins il y a dans l ’ensem ble de ces jeu n es gens, des élém ents de p rem ie r o rd re , don t il se ra it possible de t ire r un b ien m eil­leu r parti.

A près les exercices, a eu lieu la d is tr ib u ­tion des p rix obtenus aux concours d e S a in t- Denis e t de Meaux. M. le S o u s-P réfe t en a accom pagné la rem ise de félic ita tions appro­priées.

¥* *

C irq u e P in d e r . — Le c irq u e P in d e r a d o n n é samedi d e rn ie r sa rep résen ta tio n an ­n u e lle à Seulis. Les artistes o n t exécuté avec leu r hab ile té e t leu r ta len t accoutum és les in té re ssa n ts exercices de gym nastique et d ’équ ilu tion auxquels nous avons déjà as­sisté .

L eur tonte é ta it com ble; les m ilita ires su rtou t é ta ie n t venus en g rand n o m b re et sem b la ien ls’in téresse rv ivem en tauspectac le .

A onze ‘«oures e t dem ie, la séance p re n a itfin , e t chacun de regagnor ses péna tes àtâ to n s, en c h an té de sa so irée , m ais re g re t­tan t l ’insuffisance de lum ière dans les ru e s : le serv ice d e l’éc lairage p a ra it en effet com­p o rter , à certaines périodes so i-d isan t lu ­n a ire s , un nom bre un peu re s tre in t d e la n ­te rn e s publiques.

Nul doute que nos éd iles, si dévoués aux in té rê ts de la population sen lis ien n e, don t nous nous faisons ici l ’écho , n e p re n n e n t su r eux d ’apporte r à ce serv ice les quelques m odifications q u ’il com porte.

Fête de la P o r t e de C re i l . — D im anche p ro c h ain , le 23 ju ille t, a u ra lieu la fê le de la P o rle d e C reil, com prenan t b a l cham pêtre, chevaux de bois, etc.

On trouvera chez M. A. O t t , à l’H ôtel des A rènes, des P âtisseries e t des R afraîch isse­m en ts de choix, e t — ce qui n e gâte r ie n — un accueil aussi courtois qu ’em pressé.

G are, la réception des Sociétés e t des lau ­ré a ts . P u is , l ’H arm onie m unicipale en tê te , le cortège a gagné, escorté p a r u n e fonle considérab le, la place de l ’H ôtel-de-V ille, o ù u n superbe bouquet b lanc a é té déposé s u r la statue d e Je a n n e -d ’Arc.

U n serv ice so lennel a eu lieu en su ite , à l’église S a in t - J a c q u e s jà la m ém oire des sauve teu rs décédés, t f k s i e u r s a r tis tes se so n t fait en te n d re penoVut la cérém onie.

A m id i, u n b an q u e t ré u n issa it deux ce n t cinquan te sociétaires f d an s les salons d e l’hô te l de F la n d re ; p f is a eu lieu , d an s la g ra n d e salle d u th éâ tre n eu f d u pala is, la ré u n io n g én éra le p résidée p a r 41. M eunier, sous-préfet de Compiègne.

S u r l ’es tra d e d ’h o n n eu r, o rn ée p o u r la circonstance de drapeaux e t d ’engins de

sén a te u r, m aire , p ré sid e n t des S auveteurs d e l ’O ise ; N oël, d é p u té ; A rnou lt R ogier, p résiden t des S auveteurs d e l ’A isn e; Au­g u s te R oyenval, etc . . .<

A près u n e éloquente e t patrio tique allocu­tion du p ré sid e n t, M. N attier, tré so rie r, a exposé la situa tion financière.

D epuis le 42 fév rier d e rn ie r , da te de son e n tré e en exercice, les recettes se son t é le ­vées à 3,908 francs, les dôpensA à 4.626 francs, d ’où un excédent d e recettes de 2,294 francs q u i, ajouté aux 42,600 francs en dépôt à la Caisse d ’ép arg n e, constitua à la Société, avec u n e som me d e 3.500 francs re p rése n ta n t son m atérie l (bouées de sauve­tage , postes d e secours), u n capita l n e t à ce jo u r de 46,400 francs.

D epuis la m êm e époque, 480 nouveaux sauve teu rs o n t donné le u r adhésion , ce qui les oorle à 43,500 e t form e a in s i la Société, sinon la plus im portan te de F ran c e , d u m oins la plus nom breuse .

Ce rapport a é té suivi de celui d e M. Came, secréta ire g én é ra l, su r lés belles ac tions. C elui-ci appelle ensu ite les lau réats en én u ­m éra n t les faits qu i leu r o n t v a lu les récom ­penses que la Société leu r a décernées.

L e p rem ie r la u ré a t m en tionné, es t le com ­m an d an t H ippolyte Cazier, de C reil, a qui e s t attribué u n g ra n d diplôm e d ’h o n n e u r , le p lus h a u t p rix de la Société.

V iennent ensu ite , pour le p rix d e la So­c ié té du D ern ier A dieu des S auveteu rs de P aris , Mm* A m élie C ardon, de C ondé(N ord ); pour le p rix des S auveteu rs du R hône, M. Léon P ou la in , de C hantilly , e t p o u r 'le ' p rix de l'U nion départem en ta le des sapeurs- pom piers d e l ’Oise, M. Georges G au th ie r, de B eauvais.

C itons encore le m a rin ie r N eydt, qui re tir a de l ’Oise, il y a quelques jo u rs , un m ilita ire e t son officier, le chef de gare M. Lam y, e t Baudot, le cla iron de Malakoff.

L’adm ission définitive de nouveaux socié­ta ire s a m is fin à cette in téressan te cê ré- m on ieà laquelle l ’H arm onie m unicipale, sous la direc tion d e M. C avaiilé-M assenet,a p rê té son p lus gracieux concours.

Nous re levons dans le p alm arès les nom s su ivants des m édaillés de n o tre rég ion :

Médaille de vermeil.Mme Cambron, Compiègoe ; MM. Alfred Char-

tier.Pierrefonds; Irénôe Lefebvre, Boran ; Eugène Bontemps, Compiègne: Charles Ledoux, No\on: Edmond Bourgeois, Précy-sur-Oise; Alfred Bochet, Creil; Borde père, Saint-Leu.

Médaille d ’argent grand module.MM. Dasenne, Saint-Leu-d’Esserent; Candeller

père. Gouvieux; François Hénaut. Saint-Leu.Médaille d ’argent pe tit module.

MM. Louis Fontaine, Noyon; Eugène Saingery, Compiègne: Léopold Vincent, Crépy-en-Valois; Léopold Formeniin, Longuoil-Ste-Marie; Arthur

1. Condi, allegro......................2. Gillette de A'abonne, fanl"’3. Les Bibaudcs, m azurka. . . .4. VAndalouse , boléro..............6, Cécile, po lk a........

Fanfare de trompettes. *

M

W bttge.A u d r a n .Gakke.AMOinDEDIEU.Uillalt.

S e r v ic e d u « J o u r n a l d e S e n l i s ».Nous recevons depuis quelque tem ps un

grand nom bre de p la in tes de nos abonnés et dépositaires, nous av isan t que le serv ice du J o u rn a l de Sen lis leu r e s t fa it avec un e ir r é ­g u larité déplorable.

Nous ne signalerons pas au jo u rd ’h u i les b ureaux de poste qui se sont m on trés les p lus négligents ; m ais nous prions nos am is qui on t à soutfrir do cos négligences de nous re to u rn e r la bande do leu r jo u rn a l qui nous se rv ira à com pléter le dossier q u e nous avons déjà e t à ad resser à qui do d ro it u s e récla­m ation en règ le . G. V.

L e s S a u v e t e u r s d e l ’Oise»La 82• Assem blée générale.

Les S auveteurs de l’O ise o n t brillam m ent cé léb ré d im anche d e r n ie r , à C om piègne, l e u r 32* assem blée généra le .

A pnzo heure» a eu lieu , su r la place de la

Massin, Compiègne; Mlle Manche, Creil; Auguste Boulanger, Attichy; Henri Labitte, Compiègne.

Médaille de bronze.MM. Georges Crépin, Attichy; Maurice Caron,

Compiègne; Julien Steffgen, Compiègne ; Georges Aubry, Gouvieux ; Louis Cantrelle, Gouvieux ; Eugène Leforl, Chantilly; MmeLesueur,Bélhisy- Saint-Pierro.

Mention honorable.MM. Henri Lampre, Compiègne ; Alphonse

Rouffet, Gouvieux.Médaille d’argent. — Fille de Compiègne.

MM. Lamotte, Chantilly; Arthur Lequint, Com­piègne.—---------

M é d a ille c o lo n ia le .La m édaille coloniale v ien t d ’ê tre déc e r­

née à M. A rth u r O lin, de Creil ; Ju les La- vacry, de V erberie ; et F rançois B allin , de Crépy.

L e s r é c o l t e s d a n s l ’O ise .Le Jo u rn a l officiel publie les renseigne­

m ents su ivants su r l ’éta t des cu ltures dans le départem en t :

« Oise. — Les blés hâtifs son t en p a rtie v e rsés ; ceux qui o n t été sem és tard ivem en t d onnen t, p a r contre , de belles espérances. Les avoines on t souffert de la sécheresse e t d u froid ; en o u tre , elles son t envahie» par. les m auvaises herbes. Les fourrages sont assez abondants. Les pommes de te rre e t les b etteraves son t -

P o s t e s e t T é lég r a p h e s*Les m ercredi 9 e t jeu d i 40 août 4899, il

sera ouvert au chef-lieu de chacun des départem ents désignés c i-ap rès, un concours pour l'adm ission aux em plois de dam e dans l ’A dm inistration des Postes e t des T élégra­p hes , savoir :

C irconscrip tion d u N ord.N ord, P as-de-C alais, Somm e, Oise, A isne,

S eine-e t-O ise , S ein e-e t-M arn e , E u re -e t- L oir, E ure , S ein e-In férieu re .

P o u rro n t seules p re n d re p a r t à ce con­cours les postu lan tes, femm es, veuves, filles ou sœ urs d ’agents ou sous-agents com ptant o u ay a n t com pté p lus d e dix a n s d e services dans^l’A dm inistration des Postes.

La liste d ’inscrip tion sera close le 29 ju ille t.

P ig e o n s v o y a g e u r s .Beaucoup de personnes cro ien t encore que

lo rsqu’un pigeon voyageur s’ado n n e quelque p a r t, il suffit de fa ire savo ir q u ’on t ie n t ce pigeon à la disposition de son proprié taire . C’e s t une e r re u r grave qu ’il im porte de d is­s ip e r, car les personnes qu i ag issen t ainsi, s’exposent m algré le u r bonne foi, à de s é ­v ères poursu ites. D ans l’in té rê t g é n é ra l , d a n s 1 in té rê t de la défense natio n ale , ra p ­pelons que des instructions on t été données, â ce su jet, à lous les préfets. Les pigeons voyageurs capturés doivent êl?e rem is aux au to rités locales : m airie ou g en d arm erie , q u i, ap rès exam en des m arques appliquées s u r les ailes, reconnaîtron t si les m essagers so n t français ou é tran g ers. D ans le p rem ie r cas , o rd re es td o n n é aux au to rités de re lâ ch e r im m édiatem ent les pigeons ap rès les avo ir soignés e t réconfortés ; d an s le second, on d ev ra rem ettre les oiseaux capturés e n tre les m ains de l ’au to rité m ilita ire locale : d an s les v illes de g a rn iso n , à l ’officier le p lus é levé en g rade , d au s les au tre s e t d an s les com m unes, à la b rig ad e d e gendarm erie .

G roh lo t s n o n r é c la m é s .Les offtgatioflg à lots son t fort re ch er­

chées', m à t i l p a ra it q u e le nom bre des gens qu i o u m M it d â vérifier les listes d e tirages e s t très< fpnsidéflb le. >

C’e s t a insi qup, en cerm om ent, le C rédit fonc ie r g a n te dqhs ses caisse* deux lots de 400.0ddrr. d o n t personne n e veu t.

I ls on t été gagnés p ar les num éros 76.010 des b ons d e 400 francs de 4887i 430.440 des b ons Algériens^de 400 francs de 4888.

D e m êm e, un lot d e 50.000 fr . des bons d » l ’Exposition un iverse lle d e 4889 gagné p a r le num éro 507.366, n ’a pas été réclam é; pas p lus d ’a illeu rs , qu ’un lot d e 40.000 fr. des bons d e l ’Exposition de 4900, gagné p a r le num éro 40.000 de la sér ie 288.

Nous ne parlons pas des lots d e 25.000, 46 .666 , t>.666 ftavra., b rab les.

Mai» c’est encore la ' Com pagnie d e P an am a qu i d é tie n t le record . Les possesseurs des

s^vfo'îfMnéTOs 406.607 e t 388.647 o n t chacun cin g cent m ille fra n cs à tpucher, e t ils les laissen t d o rm ir en com­pagnie d e q u atre lots de 400.000 francs ga­gnés p a r les num éros 342.344, 637.490 e t 777.673. _

E n v en te aux b u re au x du J o u rn a l de Senlis.

A ff ic h e s c o n te n a n t l a lo i s u r l e s a c c id e n t s d u tr a v a il , 0,40 cent, l’exem plaire.

BETZFête Nationale.

L a F ête N ationale a été cé lébrée â Betz avec p lus d ’e n tra in encore q u e les. années p récédentes. 11 faut d ire , à l 'h o n n e u r d e la M unicipalité, qu ’elle n e néglige r ie n pour d o n n er à ce tte m anifestation p o pu la ire tout l’éc lat qu ’e lle p eu t com porter. Aussi l ’élan d o n n é es t salu ta ire , e t il est im possible de fa ire davan tage avec les é lém ents que l ’on possède d an s la com m une. Tous les h ab i­tan ts se son t associés à celte fê te d an s une m ôm e pensée, dans un m êm e sen tim en t d ’un io n , d e concorde e t de fra te rn ité . L’as­pect du petit chef-lieu de can ton , pavoisé et 'en g u irla n d é, fa isa it d ire à ce rta in bicycliste de passage : < Voilà u n e petite v ille où l ’on a bioD fa it les choses; c’es t choue tte 1 » Ce tém oignage d ’un é tra n g er est le p lus sincère des éloges.

L e program m e a été b ien rem pli.La veille , une re tra ite aux flam beaux eu t

lieu avec le concours d e la Subdiv ision des sapeurs-pom piers e t d ’un grand nom bre de jeu n e s gens p o rtau t des torches lum ineuses e t des lan te rn es vén itiennes. Le cortège p a r­co u rt toutes les rues pavoisées aux couleurs françaises e t russes, e t, ap rès av o ir été salué au passage par des feux d e benga le , des fu­sées, la dislocation a lieu devan t la M airie.

Dés l ’aube , le canon to n n e e t an n o n ce la fôte. D ans la m atinée , une ab ondan te d is tr i­bu tion de secours es t fa ite au x ind igen ts, afin qu ’ils a ie n t en ce jo u r un peu de jo ie au cœ ur.

L ’ap rès-m id i, vers q u a tre h eu res , la Com-

r oie de sapeurs-pom piers se rassem ble à M airie. B ientôt a r r iv e n t M. D e la itre , ad jo in t, ce in t de son écharpe — qu i do it rem ­

placer M. R oblin , em pêché par un deuil ré ­ce n t de fam ille — la M unicipalité presque au -complet, M. C h a m o r !— -1—fonctionnaires, M. le m aréchal des logis e t les gendarm es.

A près le sa lu t au d rapeau , le défilé com ­m ence : on se re n d su r la p lace des fêtes, où do it av o ir lieu la revue. M. D ela itre passe d ev a n t le fro n t de la Subd iv ision , ad resse u n m ot à chacun e t com plim ente l'officier su r l ’excellente ten u e de ses hom m es. < Con­tinuez, le u r d it-il; vous êtes en b o n n e vo ie ; n u l dou te que des succès fu tu rs ne v ien n en t o rn e r b ien tô t vo tre m agnifique po rte-récom ­penses déjà si b ien g a rn i. Vous le devrez à votre app lica tion , à vo tre excellen te tenue e t à vo tre dévouem ent qu i n e s’es t jam ais d ép a rti u n in s ta a t. »

Des rafra îch issem en ts, dus à la générosité de M. le M aire, sont offerts à toutes les p er­sonnes fo rm ant le cortège e t aux sap eu rs- pom piers. Les en fan ts reçoivent des jouets e t des friand ises d is tribués p a r les commis­sa ire s ; m ais il es t reg re ttab le à tous les points de vue que l ’on a it aban d o n n é les jeux d ivers qui a ttira ie n t su r la place tan t d e personnes désireuses de se p ay e r d u r ire san s bourse délier.

Le so ir, u n e foule nom breuse e t com pacte em plit les rues e t circu le pour ad m ire r les illum inations qui éc la iren t les façades des m aisons. Les h ab itan ts sem blen t avo ir voulu r iv a liser d e ta len t e t d ’ingéniosité e t en quoique so rle se su rp asse r : lan te rn es , bal­lons de tous gen res, b iza rre ries d iverses, v erres de couleurs, éto iles lum ineuses, tout a été m is en œ uvre. L’illum ination la p lus rem arquée a été celle de M. Leroux, percep­teu r, qu i re v ê ta it un carac lére tou t spécial e t peu com m un; m ais toutes é ta ie n t très réussies e t p leines de bon goût.

V ers n eu f h eu res , les ar tis te s m usiciens p re n n e n t place à l ’o rchestre ; u n e jeunesse b rilla n te fa it son en tré e au bal e t s’en do an e à cœ ur-jo ie , p ro longean t la fê te ju sq u ’au m atin .

Etat olvil du 2* trim estre.Naissances. — 9 avril : Gillet Paul, présenté

■nus vie. — 8 0 : Briiaet Maurit*. — 11 mai.: Iichor Jules-Albert. — 20 : Paicon Germaine. — 26 : Duminil Jeanne, présenté aana vie.

Décès. — 7 avril î Dujon Marlha-Mareeau. —7 mai : Laliier MHrie-Caroline. — 26 : Lacorne

: Mahieux Vietoriee. — 80 :

M. D elplanque, tré so r ie r d e la Section, é té nom m é p ré sid e n t p ar ,25 voix s u r 24 J. ta n ts ; M. H iedel a été nom m é trésorier J rem placem ent de'M . D elp lanque, p a r 25», s u r 26 v o ta n ts ;e n f in , M. C h ié lien nom m é m em bre d u conseil d 'adm in istra tJ pour ta Section d e C reil, en ren tp laceu j d e son père, p a r 21 voix s u r 26 v o ta n ts /l

L’o rd re du jo u r é ta n t épu isé, la s ’ e s t levée à dix h eu res e t dem ie,

D im anche Rprès*-midi a eu lieu,' au n.,„ d ’u n e assistance considérab le, l ’en té rreay d e M®* Leroy, b e lle-m è re d e M. vjj m aire . Chacun av a it ten u â ap p o r te r un fl m oignage d ’estim e à la fam ille cru e lleq l éprouvée, en accom pagnant le corps i l

sfe m aguifiques ■ ro n n e s recouvra ien t le co rb illa rd .

A im ée M arin. —Duchaogu M arie.

Mariages et publications. ■ (Néant).

T a x e d u P a in ./ ,a q u in x a in e de ju i l l e t .

P a in b lanc , 4 " qualité . 0 .2 9 le kilog. ■— —* 2* q u a lité .. 0 .2 4 —

Nous re levons à l ’ac tif d e M. Le Minik cou tum ier d u fa it, u n nouvel ac te d e d é n i m e n t q u ’il a accom pli v endred i dern ie r! sau v an t deux voyageurs.

B ravo 1 encore u n e fois 1

D im anche ap rès-m id i, u n o u v rie r n * ch a i, A uguste C ailleux, qu i é ta it a ilil p rom ener avec sa fem m e e t de» am is enrl berges d e l ’Oise, voqlu t profiter d e la chil de la tem péra tu re e t de la do u ceu r de l’g p o u r se b a ig n e r; m al loi e n p r i t , c a r i qu ’il n e fût pas bon nageur ou q u 'il fût J p a r u n e cram pe, il d isp aru t soudain 1 d e pouvoir a t te r r i r , e t m alg ré les r qu i lu i fu ren t p rodigués, se noya. ■

Ce tris te accident se passa it p ré s de n cluse, a u lieu d it L a G arenne.

ETAV IGNYM. H erb in (V ictor), dom icilié à E tav igny ,

est nom m é gard e cham pêtre de ce tte com ­m u n e en rem placem ent de M. P e ti t, dén iis- sionnaire .

M A R E U IL -SU R -O U R C QMIU J u lie Eloy v ien t d ’ê tre nom m ée élève

sage-fem m e, aux frais du D épartem en t, à l’Ecole d e la M atern ité de P aris .

C R B IL .La ré u n io n d e la Société fra te rn e lle des

E m ployés do C hem ins d e fe r, Section de C reil, a eu lieu sam edi so ir, à n e u f h eu res , sa lle L izô ; l’o rd re d u jo u r com prenait la nom ination d un m em bre du Comité e t des affaires d iverses.

M. T ribou le t, p ré sid e n t p roviso ire, a ou­v e r t la séance 01 a prononcé u n e allocution tou eb au te pour ra p p e le r les services re n d u s p a r M. C hrétien , anc ien p ré sid e n t, m ort acciden te llem en t â ChauÜUy.

F a i t s d i v t r s .Albert Faugfll, Emile Lafout et François Dm

per, ont été mis dimanche dernier en étitfj restation et dirigés su r Senlis, sous l ’inculùf d’attentat à la pudeur aveo violences. q

La victime qui a porté plainte, une danaj âgée de 40 à 50 ans, vit eu concubinage inL père de l’uu des inculpés. Ce n ’est oertes n u l vertu farouche, et le délit doit ô tr t moIaiaT qu’il ne parait tout d ’abord. "

X l i é ;Aubert (Eugène) e t Viel (Achille), qui i t é

fêté la journée du 14 Juillet eu prenant umI midabte cuite, se sont amusés, le sotr, 4 * les drapeaux et les objets de décorations m ques qu’ils ont rencontrés dans le q u a r t» ] Usines; Us ont été, de oe fait, arrêtés et 4M sur Sentis, où ils auront à répondre deg délits. *

XContravention a été dressée contre un I

Sauvai, dit « la Louite », qui travaille anxM tiers de la nouvelle écluse; s’étant reodî] manobe soir vers dix heures, aveo sa femor bal de l’hôtel de l’Epée, rue de la Républia interpella grossièrement et bouscula IégèrtM pour un motif des plus futile, nue fille Dieu] se trouvait également à ce bal aveo dés 1

. XUne enquête est actuellement ouverte cm

bonne d ’uue dame L..., habitant rue Juiikt accuse cette dernière de lui avoir dérobi somme de 65 Dr. plaoée dans uqe annotai bonue nie énergiquement, et il est probable] la brave dame aura trop bien caché s o o f magot; o’est la raison pour laquelle elle 1 retrouve plus.

tram luauuioio qui siauouuaiem a uretii dant le chô nage, Tréhaut père et fils, te l disputés et en sont venus aux mains sur b l d’Avai, le 16 courant; il est vrai qu’ils |T tous deux en état d ’ivresse, lo père a y a n ts commencé sa soulographie la veille. îb l néanmoins récolté chacun une contravu ainsi du reste qu’un débitant de la rue de Ni taire, Bouchel, chez lequel ils avaient été 5

* XUn slru r Fallot, de Llancourt, qui a été]

contré dans la nuit du 14 au 15 juillet. tr iM Creil à bicyclette sans lanterne, a réoÔMl contravention de ce fa it 1

CH A N TILLY— F ête N a tiona le .

La F ête N ationale a été cé lébrée &Û tilly avec beaucoup d ’e n tra in .

La v e il le , u n e d is tribu tion d e bon i v ian d e a été fa ite aux ind igen ts, et l « f u n e re tra i te aux flam beaux, organisée!* M usique m un icipale e t la Compag ' S apeurs-P om piers, a p arco u ru les pares rues de la ville .

L e 4 4 , à six h eu res du m atin ; des 11 d ’a r tille r ie an noncen t la féte.

A n euf heu res m oins le q u art, le C _ m un icipal d e C h an tilly , ay a n t à s a i MM. Vallon, m aire , Coqueret e t B é n ,l jo in ts , toutes les Sociétés d e la Tille,] fonctionnaires e t em ployés, auxqueliéü v enus s’ad jo ind re MM. Mahô e t Chou chevaliers de la Légion d ’hon n eu r, H .! r e l , m édaillé m ili ta ire , MM» -BooteF T aup in , du D om aine de Chantilly, t ré u n is & la m airie .

L e cortège se form e aussitô t pour Mil d re à l ’église, où un serv ice funèbre M i léb ré à n eu f h eu res en l ’h o n n eu r de'Cb P h ilip p o t, soldat au 5' rég im ent d ’iniiL, de m arin e , d isp aru le 44 ju in 4899, UN k in , à bord de la chaloupe Faitsilong.îL d a n t l'office, la M usique Municipafflifl e n te n d re deux m orceaux funèbre» q d l été exécutés avec u n e délicatesse et u f sem ble parfaits .

R em arqué d a n s l ’église : M. le 1. _ G u io lh , a d m in is tra teu r du DomslMj C han tilly , M. G ruyer, m em bre de l’ios conse rvateu r «du M usée Condé, M. Msr re cev e u r du Dom aine, e tc ., etc.

A l ’issue du serv ice, le cortège se ri­passe p a r la G rande R ue, la ru e de Pri l ’A venue de la G are e t a rriv e au dm»HI o ù M. le M aire, au nom de la ville ,4 . u n e superbe couronne su r le mon» é levé p a r C hantilly à ses enfants morttM les d rapeaux . La Société m usicale, P h ilip p o t fa isa it ja d is p a rtie , a aussi i f une jo lie couronne de violettes.

P u is aux accords d e l ’Hym ne 1 les Sociétés défilen t devan t le monui se d irig en t v e rs l ’A venue d u Rôsenoii e lles son t passées e n revue p a r le C orp ! n icipal. 1

P e n d a n t la revue, M. V allon, maire.1 m et au sapeur-pom pier B ureau la qu i lu i a été décernée p a r M. le MinlitN] Commerce e t d e l’In d u s tr ie , en récom m d e ses tre n te a n n é es d e services duj>! m aison de carrosserie B arb ie r père et

La revue term in ée , tes Sociétés déj™ p our se re n d re à la Salle des Fêtes a M airie où va ê tre offert le vin d ’honaM»

D ans u n e re m a rq u a b le allocution* " p re in te du plus p u r patriotism e, M. VJW m aire d e C nanlilly , après avoir rend»! hom m age à la m ém oire du soldat PbiU d isp aru su r une te rre lo in ta ine, au X de la F rance , in v ite ses concitoyens «•! beau jo u r de la fé te d e la nation , à H à la concorde, au respeet des instnJJ répub licaines, à l ’am our de l'armée»! n a le , ce tte g a rd ie n n e fidèle du drapm sj colore, sym bole d e nos gloires, de no»^ leu rs , m ais aussi d e nos espérances. • '

P a is il lève son v e r re a M. le " de la République française.

JO U R N A L D E S E N L IS

Ces paroles sont saluée? par des applau- d issfm rols unanimes»— -------

A onze heures, la fôto officielle est ter­m inée.

A cinq heures, au ropd point du Bois Bon- riilon , la Musique Municipale a donné un concert auquel ont assisté plusieurs containes de personnes, heureuses d’écouler d e bonne m usique et de respirer en même temps l ’air si frais du bois.

Le soir, la m airie, les édifices publics, les rues et uu grand nombre de maisons parti­culières étaient brillam m ent illum inés, et,

ftendant que la m oitié de la population de a v ille assistait & la représentation du cirque

Pinder, installé sur la Petite P elouse, le bal champêtre de (a place de l ’Hospice Cpndé

et danseuses qui n e se sont retirés qu’à une heure fort avancée de la nuit.

Le duc de W estminster tient la téte des propriétaires gagnants en Angleterre, avec 789,700 fr. En France, M. Caillant atteint le chiffre de de 754,293 fr ., qui, croyons-nous représente le gain le plus important d’uné écurie de courses à ce lte époque de l ’année dans notre pays.

I m ent pour les danseurs, qui avaient d’autres I fatigues à affronter pour la Fôle patronale

qui a eu lieu d iraanch^ ern ier.L’après-midi a été consacrée aux jeux et

divers exercices qui font la joie des jeunes gens ; un concert des mieux compris réunis­sa it au C afé de la Renaissance les amatours de chansonnettes et de romances.

Le soir, sous la tente, un bal'où chacun rivalisait d entrain a duré jusqu’à l ’aube et 1 on ne s est quitté^ qu’après s’ôtre donné rendez-vous pour le soir, où l ’on a d igne­m ent clôturé la fôte en se livrant à de nou­veaux ébats chorégraphiques.

Dans l ’intervalle, avait eu lieu , l ’aprés- m idi, au m ilieu d ’une assistance considé­rable, le tirage de Ja Jtmnbolÿ- Jlo n t jsoop

pins bas la liste des numéros ga - | goants ; les heureux propriétaires des nu­méro» so r te pourront réclam er ï m r s )o ls •

<& & & & , texposés. “i !?jmanche Prochain. continuation et fin de la Fôte patronale par une magnifique retraite aux flambeaux, un brillant feu d’arliflce et et un graUd bal sous la tente de la fôte.

nanteuil-le-haddouin

l e PLESSIS.BELLEVILLEA “ - i l » ™ , l'honorable m aire d'Eve a m is

lonformémant'V111 ul,',ir e d e oolre com nm ge, fe iï î p îî . A i une promesse qu’il lui avaith i l o l année (Im nidre.|a somme de 80 fr .,KÏTi • parln® e en tre les 8 élèves déL Æ “ ' T “ "?le 9» ' 0"> obtenu le cerliil-m l H'Aln i„ • “ vu» UIJU IHI“ , r i h a ^ J “ ..fV “ a!.r r « -A _a«quel. e lle ,erad ’épar^no .StlUS ’d8 l i m l s

m Ü T * ’ J ? n a“ ‘ de N e u illy -e n -T h e lle , lo rs- * U,J J 0I1X* no pouvan t se r e te n i r à un

to u rn a n t b ru sq u e que fa it la ro u te à son a r - i vçe d a n s P u ise u x , v in t tom ber s u r un m u r,

e t l on c ra in t q u ’il n ’a it un b ra s d e cassé e t des con tusions in te rn e s .

U LLY -SA IN T-G EO .R G ES

r . n i n eJ ? s ' P réfe ,t , i o “ ‘ d 'a g ré e r M- J u le s ü Ü!î - g a rd e c h am p ê tre aux iliu iro

li.^ ô .^ ier.IEBt doil- on outre. remettre 0 l ’in s- tituteur, une somme qu’il devra utiliser n n n r I u s „ ,„ „ d 'o y

Nous

t ’eioce î 6™'1! com m une d ' U lly- S a in t-G eorges,' rem p lacem en t d e M. L am ouche, d écédé .

de guide? Se“ ' iS’ 2 ' r>“cs d '“m" 1,le défaut

— Lefort (Alfred), dit Gilet -18 ans ivres*.’ * Verberie' 4 fre“ “ d ’amro’d l

Villrneute-sur- Verberie.40 ans, charretier ' Levasseur(Itené),

llachet (Paul), 27 aug clinrrcii^r Villp- ,“ üVr “.r,-JVerljer|e. 2 fra"c» d ’amende pour de-faut do guido.

u u Plesais-Mc'-er l e . g6„ ê ™ r ï ï r „ a T o u r Z i s a i f«co n ra g e r les progrès d e ’ l ' K m i o l , pr?-

l i s t e des num éros g agnan ts de la tom bola.C’est à Flying Fox et Perth que ces pro- I priôtaires doivent leur place à la téte des 374* 2594 4939 2167 2431 2944 1305 propriétaires gagants. 1 no“ 1 — —Flying Fox a gagné à 2 ans. .liv. st.

à 8 ans..............3.175

28.175

Liv. at. 29.250 ou 733.750 fr.

Perth a gagné i 2 ans........................ 42 912 50“ b 3 ans........................ 628.100 »

8967 2817

f 2750 , 179

2649

73611963849691

16128000

1481172

29953505

2848 653 41864854 2185 4020

4127 4636 623

669.012 50

N ou vea u x abonnés a u Téléphone.M. Gobet, architecte, rue des Cascades, <9 .M -Harry Ware, jockey, rue d ’Aumale, 2 .Mairie de Chantilly.

GOUVIEU XDimanche dernier, le nommé Luem (Jean),

69 ans, jardinier, e t sa femme née Augustine Ausquer, âgée de 64 ans, ont été trouvés as­phyxiés en Jeur dom icile. Ils avaient allumé un réchaud, après avoir calfeutré toutes les ouvertures.

7273

3621621 828

1495 3159 2229 4946

I 4631 . 300

8017

4977£66

3197

4010676

1954671376

1855464130183815

17724534

39

178916734342

270740194079

1766169

46592877

NEPILLY-EM-THgLLEL e e C h e m in e d e f e r d e l 'O is e .

rih?uJo. u r n a l publie un tableau des résultats comparatifs de rAininiiMii!». ü®framdn8 d® fer .franÇais d’intérôt local et des

( c h K ’Æ Z f annéeM898 81 1897

t a i & i S £ r - si iS iü œ i d

C o n s e i l m u n ia ip a ).S é a n c e e x t r a o r d i n a i r e .

‘ Le 30 ju in , à hu it heures du so ir, le Con- soi! m unicipal s 'est réun i sous lu p résidence e t après convocation du M aire. '

P ré s e n ts : MM. B erd in , m aire ; Georges

m ï r rrÂnre"„“ S T ' P? “ 81’ doc-

C é t e r m î è j l e . ’ 0 e “ ° UX’ “ “ “ ad8’ 01CU5^

é.UIUNï ï w i m S SeCrélaira 1 “ • T t,i8" J '

b r a s s e u s e

feruüftj1 r6S°r m sorv,ic® d e M. Dovouge, , e r im e r ,v ><? aommè rddmento n f **4.d? 27 «"«• " o m -ù ra n l f f i -

seuso, rayonait avant- trier, 17 enuran t dans I après mi li, do V erbe™ , avec son lourd a ttelage, lo*Sque, dans la côte, un h eu rt le lit toinbor d ev a n t la vo iture, d an t une des roues lui passa su r l ’abdom en. *r o n . l ? • e t ,riUlSP0 , lc chez lu i, le m albeu- S S 5 aPrèS d6UX heures d 'h o rr i’bios

Il é ta it p ère de deux enfants t bas âge.

f l e u r i n e s

aucune observation.. . n i B analisation d ’eaux ; d islribu lion n o u - i Telle . t e Conseil accepte le devis de M le i 05 ,n o 8? r s 1,011,8 8Ï ehaussées, m ontant

3.700 francs, e t décide que les travauxm e . am v mats «m 4M m » . i- r . r A ^ . ' J i i T l i r »W 7 au â 'f ThC I S • “ WMlon d# la d istribu tion d 'e a u a» . 1855 2003 4372 3622 2218 S S! ” 1,r0 ° “ 1414 J e <80 016 francs e t Im îo r t “ adjudication en deux parties.2344 2047 8333 25m m u a o ioa I j j!^ ? “ 8es de <<2 300 francs, soit un bénéûce I L e "T * “ a1,8,™ 0 de M tm ljertin :

d e 43.416 francs. ncueuce | L e Conseil accepto égalem ent le dev is déM. Vacossin, s 'é levan t à .une f,- ,,,-- ...

verbaîi deltîaed ere ié re C éànce^esV'adopPé°sC I J uSns.“ » ailr0SSer aos p l“ 8 si,l0”™ S a î

E st nom m é ch ev a lie r du M érite ag rico le -

c o r ts “ ° S ,6 llc l,a llo n s a “ s nou v eau x d é - *

l # s s

e t q u e «les aflié iio rations im p o rtan tes dimâ ^ on m u ta i , ,o , se ro n t p ro c h a in em e n t’ r é a -

lin l-A 0 d '8*t°clion b ien m éritée d o n t le d is . fingué d ire c te u r do l’a sile v ien t d ’ô tre l’nh je t se ra a ccu eillie avec sa tis fac tion n a r tn .u

l i a s s s ü

dépenses d’établissement nn 74 aa i 1 « nu25* 7 I cembre 1898 s’élevaient à 2.424 769 framw" I S francs» e t décide

Les ,recelte3 du 1” janvier 1897 ‘nn ai i f * I PM r * extension de la distr

v, / ' e J ? . au so‘r » est ouverte Dar t sp lendide re tra ite aux tlamhRnm ftnnnéej

<rs.

s x eu t f c r i ï = d 8 p r U 8 " d ™

I» P an r7pore»lria *!^aux lam b ea u x donnée p a r 1 a 11 i Compagnie de pom piers.L e u , des d is tr ib u tio n s d e v in «*

2344 26Z7 2753 19T7 2949 12613880 719 4902 2517 4084 3783772 4722

3881 1387

1542038480

112840718142

25)62876100823371673980

2278

2054009272522403610

21983061887

173616831646817

Mm. iL ™ » J a 611 “ w l ’inhumatio: M Basset, née Languepin, âgée de 77

Qoand on a découvert les cadavres ils I m?.®? de ?****}' cons«^ er° munYcipaÎ! I raPPOrl présenté par leé ta ien t d é jà froids, e t 1 .D 'V in c e n t , appe lé ' !iécé,dé? d im anoh<1 d e rn ie r |“ “n a r îe ? r é ^ n f uT e,, ar '-----------n axpu que constater le décès. | « i ^ d i l D. e iDS0,at,0n Qd’ell0 avait prise I !^iJPaü_ L? ,(!e.nl de la

5 000 francs, soit

| Les dépenses’ d’établissement s’élaiont I *!•. Vac° s8>n> »'élOTan7à"Bo“ frâncs”ët*dé' élevees au 31 décembre 1897 à 2.424 7*4 r? ®*de que le premier aqueduc sera fait avec Les recettes du janvier 1897 au 3 t dé I f n 8 h5?a^X i0,ô5 cenlim ôlre8 diamètre

?U,?ant I° ot donné un total de r S tm ,à °3 ^ gg 0Uléré' ne ^ ^ o a i s s a n t paâ 158.187 francs, les dènnncaa <■» «»._i > I * utilité d établir un pont en maçonnerieLe travail sera mis en adjudication. '

i 6 m de ces lrayaux ont été faite d accord avec le Maire, la Commission dessé e s fUX Conducleur dé» ponts ol chans- ,

4468 0o J f r a“C?: 188K? ép80888 » S w de6112.000 fr ., sou un bénéfice de 46.187 fr.

^ Æ Ç K i ï ï n ^ œ a c -

S c i è m e ? d 'a re lT s e,,ieS d° " 0mpi8r8’ doL e cortège p a rco u rt les ru e s du village

?^us e t do |Ja0,r»Uî d8S lllm l,our8 ' des c ia i- « n ï . . ? , 18 fa“ fare • c e s l “ n e in v ita tio nn ï ! r i^ “ ° ! e. a P o rtic ipe r à la fôte, inv ita tion ou i réiiR.11 4 .„ „ i .11t| pu isque j au re lo u r |a

une foulo com pacte e t

COMPIÈGNEJL de Guiroye.

num éro " “ d é v S m e n f d e M°‘ d ? Æ édem

S r = » « ? . ! s S 5 r ’

OnnitE nu H éG inssr » r o r e t - é 1 J S ï i . d» ,i»«o r p

D é v o u e m e n t r é o o m p e n s é .

_On ne sait à quoi atlribner cet acte de désespoir.

MELLOM. Gravier, de H elle, élôre du Petit Sé­

minaire de Saint-Lucien, Tient de subir avec succès la ï> partie du baccalauréat de

Nous lu i adressons lentes nos félicitations.

M O N T A T A IR & .Vendredi^dernier, après W départ de

H . le Sous-Préfet, qut a laissé la m eilleure impression à la population par son accueil si affable et ses façons si courtoises, les réjouis- sances de la F êle Nationale ont continué et les distractions se sont succédé jusqu'au soir

U totrée entre autre s ’est passée d'une façon charmante, les bals, notamment celui de la place de la Mairie, présentant une ani­mation extraordinaire et les illum inations étant particulièrement réussies; aussi cha-

~irdera-t-il un excellent souvenir du

il q u e l q u e s jours en traVailtemdans^son

à . a i t r ê 7 e m ; r a“ ° “ Pa®nai,IaCor‘,‘

SA IN T -V A A S T -L E S-M E L L OF ite P a trona le .

Voici la liste des numéros gagants de la tombola tirée le 17 ju illet 1899.

66 613 148 -

approuvé l e f 3 juiK

™ , 7 r J !'oo»:a ^ a:“ . : d Æ b ,iq "0' un8

5° Réponse de l ’Administration supérieure

a p r 7 a 0voir d o n n ^ le ^ tu ^ ^ C o n se i^ d e T a ’

s S S S i f ? " I£ 7 e S|,rPaa, “ ™

la co “ seii sar ,o 1

q u , ré u ssit à s J u b a i t , p u is q ie , au re to u r la d" par la vo!6f o Z e 6 earn“ d '“ e foui° “ “ P8018' •< t e r u f a ï s - ' ’« A près a v o ir fa it ra n g e r los Sociétés e n d0 à'l« nigo do “f i e 08S 5 ^ i d8" ? .‘> « Ü ™ . « le Mai'rS

acte de bravoure.Nous lu i adressons nos félicitations,

173199215229296318362378401409426478

657569598604632732742743 763 769

842843 845 837

10231031106511411159

11741176120712161260

937 1282

137614701518

152516501579158816221627ICO’2167217431749180118541894

lataire.atiou à M on-

19972063207320902156216722282247229423162317 2346 2365

2397239925442564257826122618265026802682269927582800

|.s. S dS ÿ ^ t T ^ S?c h a rre tie r au service de mm 'n-i»- r . •

I S8.u,8“«8r8 4 Neuilly-en-Thélle, revenait

qifand"av’e »

sous la roue qui lo i passa su r le ré rn s 7 l r e II c b a n U o u im îrf1,!’. / f ,U8,aurs fo p rise s .'cb er- 1,’ /'P r os discussion, le Conseil m uni

Qnftrî.. j re n tre r chez lu i; il fu t enfin I UIjan inm é, charge le M aire de s’afiiaperçu par des ouvriers travaillant en Dlatefl * M- ü au ssv . nui L Z h Ï 6 ™ , ^ 1

I ?nin , r a “ o nèren t à , on dom icile t t l I

D 'Â dam ski.r6n t Pr° digUé> 8088i,0, Pa r •« I

, , J "6 AConseil décide que les prescriptions im posées p a r M. le M inistre seron t exécutées S L ? 08 1 sd o ire sera soumise au Conseil

I d E tat, conform ém ent à la loi.Après ce vote, un m em bre fa it observer

qu au lieu d avo ir une canalisation souter- f ê viMq a ' , “ 8 8880,1 d a ' ,lne itilime partie de

to !“ra|ese cauiveauxerandeS ,illa8 ’ P0UI’ “ 8‘- f’ Après discussion, le Conseil m unicipal à

n Z ^ ’ C,large 16 M aire da « S i r àmoralk y* (IUI nu ra it d it, parait-il, à un m em bre du Conseil, qu ’il se chargerait, à

**9°™ «• prononcer

Dimanche à une heure et demie, on t eu lieu, au m ilieu d u n e foule considérable les obsèques de M. Charles-Maxime Barbier’

J e ï r a d e m a f f i ! " aprés q08l1088i , N,?u> A8 ,8 ? a réO ïrqné dans le cortège • L ! ï r biaire, diverses déléga:bons du Conseil municipal, des Sociétés do gymnastique, de pomPrers, Sociétés de .e ! cours m utuels; les T n . a i t h Z T r ê J i , u

de m Z e Æ c 6 . e?crC’ “ ■ le !U 8 0 r’ !8cré,a ir8

D e u x G lo ir e s .I Sor le» p u de MBrchsn-1 le radieux soleil

E«t venu aalaer 1 éle rose et vermeil,[ K t la nature a pria aa paru re de fête.

Pour tou Congo, Vaiuier, la gloire eat prête. Joseph Bailltt, au savonnier parisien.

~ du b lesse; qui est p ir e d e T e u x " ï f fs u r l ’é la t

ncx..nr !S ues d e fa ire des fouillesn r l n ?; A f l ea u -et^ensuite de fa ire des~nronoxihnn< A n niii» _______ .. . . . uos

b o r a nLa com m une de B oran a été en liesse d» .

FnorVÆh™ » ' M r \ la FSte N olionale tou ­jo u rs célébrée avec le mémo éclat, a succédé | le su rlendem ain la F éie patronale.

propositions à la v ille pour une d istribu tion géoeru ie avec booches d 'égout, m ovenoont une concession qui lui sera it accordée

Le Conseil, p re n an t en considération cette proposition, atten d ra les conditions de M ilaussy av a n t de s ta tuer. uu luons 00 “ •

l in o seconde su rp rise nous e st ré se rv ée ■ M. I e r r o n u e l a ob tenu une m éda ille

u h o n n e u r com m e an cien o u v r i e r ou a ?011 08.-,ln,a" 1'e ’ 4 sab liè re P e nce,^M. lo M aire s exp rim e a insi n m i r i i i 71

p ar leporter s e o ü û r s . 'V u 'J é r i i le ^ 'r v te ,annü M Ur Mauroy en danger do se noyer. ’ cav tl“îr

f S * L « S S « 2 è ïCompiôguo, le 13 juillet 1889.

E scrim e.

et m' H 1', professeur d'oscrime à Paris

ad . u i i ô l e \ a l e n i r f f l î ê l é “ l ? p é t e " g ; a

^ ‘Z ' r r lu.te rn »Uonai do D ttnkeruue

V y e T L :Io n s nos com plim ents a ces deux m a ître s ,

fine fillette tombie t| l ' e u

s ’a d resse e n ces Termes à 'M !T è s re n l(Lm t!s)e s e rv ic e P° m p le r’ 80niP l8n l l r e n lo a n n é e s d (

Monsieur Tesson,

M J ’to ''E l? ,™ r ' i ü l0 d ,P|ôma d 'honneur que * ' 1® Miuistro de l Intérieur vient de vous do- datN I,?°S f,^com penser vos années de service f i r t a e s . V' S,0“ des “ Pcrs-P om piers dem Üi3stmV®Ci.une v*ve satisfaction que je vous ro-

1 Mte Naiinlfi «ment’H^aiAS CHt0 sole»«ité de la rôle Natiouale, ce diplôme qui est i ’attnstniirtn

I W , o n , p ,

f a r e j o K U«dS S . éC,atenl’ 8" 8 r 8 “ -

CRÉPY-EN-VALOIS

- • 6' C réation d 'u n bu reau aux iliaire do la Banque d e F rance à Senlis : Lo Conseil su? la proposition dn M aire, donne un avis’ fa vorabte a la créai,on d ' i n bureau , ‘

d.?n!!,'.l la p rt,' “ idi d“ dim anche't 6 ju ille t, ° e la Banque de France des jeux iivec prix pour (llles et garçons en 1° Circulaire du_ , - - - - - - r;~£ pour dites 6 t gerçons ont Iparfaitement réussi, le manège Troubat tourné dur et f e r m e , ~ -

à Senlis.auxiliaire

y - r .—" “ honneur.nsaSoi®, Hed.ai,,S / 6,é ins|ituéo par le Gouver­nement de la République pour récom nenser les i

Circulaire dnGouvernem én, reiative à I & œ ’S a . tot^ la

M ■eBc e ,I H,,S dY' Sg# ,N T -" ,A R T m * -a a d é r n £ Æ Æ C r . d„e , f i J\ ° e- Z a t C T a n ? î f f i ? 7 '“ F ^ ^ ^ S ^ s d i EI. drégo“ '°??L . ? 8 ootumandant le | 1“ ,.“ “ li ; n! . ol'«)>«'.re_ a fait danser I ^ 88i8“ «"ique d \ss istan ce a pouvoTre | ^ Z M r î Æ K & aS8»-“ -

Recevez de tous nos plus sincères féiicitatinnR ?ôlree p ™ £ , m”‘ d’ll“ acl*eb oetto médaille sur

sE ssæ ssf 1 i s p î a i S sMessieurs, I ho ids du l Oiso. lu s ia llé e s u r l'esca lie r nui

"■p™“ i “ é,lrt e UTéC,0ramr ' 48 ' ’W - W . ïo l te ° e s s a y 7 ld * a l t re p 7 ? e s 1In e t! t '’n ’ *,adu i p assa ien t A sa Ï K e ! eL Pu £ Pr , é m

çois) une mqdadle d’honneur, I fcfn Po r la. le te s te e t la jeuneE iiuénioV .,»

Fôte Nationale,disreu?iTuiv«utf’ leMaire a f™00”04 18

Discours de M. F a u ré - lU ro u a r t.Mesdames, Messieurs,

t Mes chers collègues,“T„eo. 000 bien vive émotion que je viens

dn r fti= d?uloa.™?80, eirconstance, dire, au nom la C o r ’ •* p0m

lebienfaisan ollègue Bai

iffeotion F*™-«.urôment à notre sinoèrê

un bal populaire et gratuit.Les pays voisins ont, comme d’habitude

fourni leurs contingente d ’ammoura a * i„*

'abord de bien approfondir d attendre les décisions des

^ ^ “ r e a u / e ^ b f ^ i s a n ^ e t ^ ^ o n ^ ^ r e? 8i pourraien t

« ic , ? 8eiLm5 n,clPaI 61 de ,a Commission admi- adiitf î Ve ,U ®areaa de bienfaisance, un suprême S t K n?trî cÏ5r Barbier qui Kî f i c n 8 prématarément » 001, ? , l S

8cS°“ pagnant au champ du repos notre îonl t t ^ ! 88008 aux (radltions A

t a 'S S î 8 “ “ S H ? P î * î P?W">4 *0» ffua

B E T H IS Y -S A IN T -P IE R R E

„ M? C ap!a^n(M icbel)dlcM rte r aux C arriêrea I Id e B élh isy -S a m t-P ie rre . |

? s S S ar h W i d S ‘ “ ° a I n ™ î rS f S £ ! ï i

Nous lu i adressons toutes nos félicitations.vou-

■u Æ y ™ b r e “u ; r aion cercueil dit assez; q ^ il a au par l’amabilité de

rû„H?CCompagaement- »<>« a é té exécuté I ju sq u ’ici, c’é ta it avec i ’assentimfl"m T . / C ’

n v ^ :n F n DCM0 D e, M* ffam elinck , anciens patrons d e M. F erro n n e t, le félic iten t égale- m ont de la distinction q u 'il a su m é rite r par ses bons e t loyaux services.

La M arseillaise se fa it en te n d re u n e se­conde fois, pendant que les bravos re te n -liccnnl v“

M. B ran isk i, hom m e d 'é q a ip . à , a g a re I f ' ° m

i a ? : î a S 'S i ‘ '’ff! “ r Æ S - S S M ïbien, acquérir les sympathies de tous. 6 ,0 l ’A dinim i ? .dU conc*r*>*- le M aire, M. 1 Hftnnû --------- "â a i r 'arr èf,e l ^ bas est terminée et nous tenons F R E S N O Y -L û -R IU IF r f • 61 188 mflm bres dévoués de la•d ire qu’elle fut dignement remplie nar S Mm. v r n t o l , u i T“LA’, l l v l E n E Commission on t procédé au tirage da la

C haïS ' MfldiéimLeïï? nliS ePK0biié e td ’honneur. tr iï nuhM nnï' ? I?Zé,I0 D,uboi8. in s titu - to m b o la , don t on trouvera ci-après les n u - I e i t QDe fem m e divorcée" avant' e S S à Mont- Pu b mq “ e i F r0snoy-la- R iv iè re, e s t m ôr°* gagnants. v ÜU 71 an s à sa charge ym.<o ^J/.l0. 29 juillet 1833, d ’une modeste I nom m ée officier d académ ie. I V ers n eu f h e n r a o i - • — ». I i»f—

47 l Da8h î7 “ r? s d u 88i,: ! j? feu d ’artinco Ia été t iré s u r les bo rds d e FOise, avant “ u? Î H 7 “ ™ .bon-seu lem en t tous les h ab i-

ïïi™ « S ! » ! f?l“ lil!“ -kVen“ Jeune m ’co’re dut” I T o“ te» no s félicitaïlonL K h L ? is’ 11 anl bl»utfll par la travail et

ractère doux bonFiendidîîth a 7 a n t0là*société’n GLAIGNES I ten te d e la rommunè ÎB n è u rs ïn v ité s "maishomm^r<fn»Q' ,e P*j8u de °°ncitoyens qui le I p rochain , fôte patrona le ; jeu x I n om bre d « personnes des1874 in H<Sx ,n .r mÎJn!ciPa * en Novembre I f , chevaux de bois, balanço ires, bal I rh i rn 1 î« j anl8, La m aison P in e t et S a m t 8,m6nl, el 1 “toSgation dont il lit «'«•• 0lc- ’ ’ d ia rn ie r m érite des éloges p o u r la composi-

V ^ % S 1 S ffS S S £ S tS f3 S ! : I l a „ , r ° R ,E N V * L d e ïe duriePmoM„,die e 'le ‘ ° n ' ^ I'8d“ = >B ru - I Le b al du lu n d i a eu l ’an im ation re la tive

.B ie n n ’étant plus à l ’ordre séance est levée.

sa mère de

du jour, la

d é X a r „ btri ' Æ . 7 i ; s , ,oni“ r 8 d '808-

tlon»7,u 50u r xrem P.lir “ uTéuablrinent ses foao- ! r , , , . . ! , , . I a e tout le m onde. “

a f S S S S û r J S S S S S » s ! S r ? f ~ r . i - s n - . s s i« E b U , jeu n e s gens e t com m issaire.Ses nniii.a0' T u "“ üe ^u iJui était accordée.

I tn inV nS;1 ® j0 désignaient naturelle-Bureau dn e Co? seil municipal au1879 momhrA I I l 8?*!?’ vîiQ nommé en“ art 8™OT d lL fn iiS S él*bllM« b » n t e t jusqu’à sa (este d’honurer °ecupa avec autorité ce

, W™ Teru,ks,„p8I!ï r8 ’ B soulagea discrètement

I le conservèrent n? 8, pe81 P4^ P"™ 1 bous ; nous

"il d’administreSm d"1? 1Icip*1’ noIn au Con-•u nom i . S i K !1 ,“ ",ra"U de bienfaisance ; J !* en mon nom , f 48 communel'dernier adieu? P°r£°unel je vous adresse un

relevon . avec p i = 7 e T o m ade ï fTu?

au W e ' S M arsodle? d6 ClaSS8 élém ““ ,air0

auerT1,?mrh>“rTîtq “87A8sl 18 flls de M. Lava- de la m a irie d e p 7 ? o“ -8’, “ “u io“ 8ecréla‘re

annoncé 'plusieurs foB q^’ellea e’suicideran1 I >m m s *8"? 0 t commissaires « e n instituteur à üôt7 relr i ? " “ 08 01 a“ -

“ , , 8 « | ; - “ d8™ o,e° | £ i S ^ “ à i ^ S o u r S

La re v u e des Com pagnies a lieu ensu ite re v u e a g réa b le , c a r les au to rité s n 'o n t eue com plim en ts à a d res se r à nos b rav es socié- ta ire s , d o n t la ten u e e s t irrép ro c h ab le .

M ais le soleil e s t c h au d , e t des ra f ra î­ch issem en ts son t tout p ré p a ré s sous le fra is om brage des tilleu ls . Ru u n in s ta n t , les tab le s so n t g a rn ie s , e t tous les a ss is ta n ts d e ­v ise n t e n p re n a n t le v in d ’h o n n e u r.

F a n “ , r e > 9 ui. R re p r is ré ce m m e n t le cou rs d e ses ré p é titio n s , fa it e n te n d re ses p lu s jo lis m orceaux , sous l ’ha b ile d irec tio n d e M. N a n th ie r fils, son n ouveau d irec teu r que nous ten o n s à fé lic ite r d e cet h e u reu x d é b u t, qu i p e rm e t d e b ie n a u g u re r d e l 'av e-

Voici q u ’e n su ite dos je u x d iv ers s ’in s ­ta lle n t : Il y en a p o u r tous, e t les p r ix so n t les c h o se s’ “ com m duo fa it la rg e m en t

Le so ir , s u r la p lace , b rilla m m e n t illu - m inéo , u n bal c h an q ê tre a lie u , Irès a u im é . qu t re tie n t la jeu n e sse ju sq u 'a l ’aube.

En som m e, excellente jo u rn ée , qu ’aucun accident désagréable n ’est venu troubler.

Un Assistant.

cip itée dans la r i “ è re !°UQ<i E “*én ie f ° l p ro ‘ M. p i a t .q u i p é ch a it à qu e lq u e d i s t a n t

e t qu i ava it vu la scène , h é la m Caillpiiv* g a rd e du n a v ig a tio n . Co b ra v e hom m * j e ta tout b ab ille à l 'e au , ré u ss it à « am n t pe lito fille p a r un p ied e t la sauva?« ,“ Uin C0" ,p ,é le ' ' 44 b“ 110 01 bonne action M. L ailloux a porté E ugén ie L eroy d a n s s e , b ta s usqu au dom icile do ses p a ren ts .ve?eur! CQmp,,m8“ Ia 4 00 o r a g e u x .a u -

n a i r e d a n s l a l hindoue.point. im agi-

n ea u d a n . l ë bûïTASSnT m a S r e P». réussi, e lle m on ta “

p en d re d a n s son g re n ie r m on ta seEn rentrant le soir, ie mari la trouva

Tenn’in u tiîe . “ *i8 ,o n l 88C0ure 4,4,1

Un Boranais. com plim ents à son honorab le familie?

Loi sur les Accidents de travail.*»OMéMnnomMaire’ " I 4 n i de 14 '«m ille a

fbute’ d e f f i I 7 " “ » dela”Loiëtrem boü™ 'à7a” “ n”!a .iî î ° lb o n , joignons a n . nan?iîr!on? I a ; . 8 A“ 7 “ .p84I’O0b ld e l ’e x c é d é d e!

L ’A B E IL L E, Compagnie d’assurancex A pal™"» d e . cou,A -

ds ^ B a r b i e r n o n °n8t fl°iX b 0m b re u x 'o m ï, p S r ë à srë a s s n r Z ”I »»>c « m p , i m e „ ^ 3 ^ / î “,j « 8 ^ |

Dns1 04 l'id 'ti’arees’taHnn1'’ ,che|b ibeaa, a été mis

I ^ “0 menüaS I lS,,,"“gadbaonnd,.aBoSO,râe d “ ' 8

I la ia„N°AG EN T' L Ï Ï 'V IE R n E SI ? fni aar; 8 l , V ° d |0‘ *'0»>. conrormé-

a » i ï m i ü mAG E N T G ÉNÉRAI,

des q u a tre Compagnies < l ’A beille i , racxnniK , ORÉLB, v u , x cc iD in rs . ’

a » . H u e d u C h i t t e l , a s

l i s te , p a r o rd re de tira g e , des 105 num éros g a g n a n ts de la Tombola.

058 lo t i l u e 1440

1080 m o1234

1205 1542 2220

1678 .358 2369 OU 49 K613 J 166 668 1780 106 1221 ' kkr S S S i 2330748 1345 596 1910

1686 2332 2343 2339

433 1645 637 98

2165 5832190 1823 ___1270 746 20741639 2381 777

7741242146216591814514

W 2000 027 1082 -^7} 072 531 132

U 2 i2 466 23971357 174 2132 13791991 1040 1487 971864 1801 209 740

n î i? 1149 66 1194“ m 2^ 2 2291 2 m

S ? i 9 2 ^ ‘6 2166837 1512 2010 2057

CHAMBLYP e n d a n t l ’orage de m ercredi d e rn ie r . la

foudre es t tom bée à Cham bly, à deux en - d re tls D a n s l ’u n . e i l e 4 tué tre U b re b is“ t

?enurb,6"rd .T srA iar^ S w ' r S S £ S 7 m ,in a ’ “ ,uré‘ à '*

P U IS E U X -L E -H A U T B E R G E RSamedi dernier, vers cinq heures du soir

deux W cycliites descendaient la r t ïe dii

T r i b u n a l d e s im p le p o l ie e d u c a n t o n d a P o n t-S a in te - IV Ia x a n o e .

a u d ien c e d u 7 j u i l l e t <8 99 .

. s S S S S S S ^n i .n l . ta8” (Chartes), ouvner pu nlra on bntiJs!.’ f i ^ s r p „ dr , ^

pour t e a - t s ;,™ 8

f B O A N S DE S u c c è s m

Remède Infaillible_çontra toutes las MALADIES des PORCS

l e u r entfraimmttm ewft

» i m Æ ? à t e r 'légères.

i d’amende pour

p, w m s, manouvrier à amende pour violences

s & e s i s s ê wSaln im SaM nîi,,llJ S s 27 *M' cb ,rc“ii«r à Pont- r r ln l p ü î ^ ci-devant et aciuellement à n lm re îa .n 0/ i ’ 5“ d ’améado pour Jet de p ierrei dans la cour de son voisin.

SsrH i. - Onqtsr (losspb), *7 a u , (trçca *

A r r o n d is s e m e n tg T o is in s ,

B EA U V A ISM. dei V illarot, chef de bataillon au ! • ' ba­

taillon de chasseurs A p ied , est prom u lieu­tenant-co lonel e t affecté au s i* rég im ent d in fan te rie , à Beauvais. e™ ™ ,

a.*? ,'.P izard ' f 40'04 ib specteur d ’académ ie d e ffeauvats, in specteur honora ire de i ’A ca- détn te d e P a rts e t d irec teu r de l ’Ecole Col-b e rl, v ien t de m o u rir à Vesoul. ■

Les obsèques de M. U auzet, conseiller m unicipal, décédé subitem ent dans la n u it do sam edi a diinancho, on t eu lieu lund i

population1 18 d uu 8 tan d e n c o u r s de

Au c im etière, des discours on t été nro- noncés p a r MSI. H ucher, Laly e t Lainé.

La v ille d e Beauvais perd on M. Dauzot un excellen t éd ile e t les Sociétés de b ienfa l-

01 de gym nastique un d e leurs m em ­bres les p lus dévoués e t les p lus actifs,

CLERMONTPar décret présidentiel du 19 ju illet : jEst promu officier du Mérite agricole : I

« M. Lcfobvre-Albarot (Gaston), cên.truc- / * à B antigny .-nombreuses et hantes récompen- Ises dans les expositions intonm lionaln. iton - I --------------------------f i m * éBangéres. chevalier du 7 m al | I m p ^ a r i . ^ n l s t r a U v . , ! ^ ^ -

EjW e t l e p a o n .C 'est u n e c royance fort rép an d u e aux In d e s

q u il ex iste e n tre le tig re e t le nannges affin ités, a lliu ité s sl p u i s s S s q ^ t e

ü r eu:.1 ?e g r i J e fa sc in e r fo p^o ®, d l a lt i i et à lu i, d e so i a ss im ile r m êm e ju s a u 'acette c royance f '9 1“ co rp o r4 ,io b - D ’où v in t

se n itn i | ai?rei6“ r 8 i ,US1IU'au *,out la ^ g o n d e ,

sSolU nTînifuSîéet ra ^ ^ a ^ l t o n i " r e 8 d i ~

ô h n ü . la isser approcher, négliger le ®ba88e,u r e l». im m obile comme en é ta t d ’hvD- d u îe ’ Mg Tv»ïr üxem ent une >oaffe de v e r-

- a l ! .' * T yllür* ,ô 80n ‘o u r, explora le bui**^ i-00 gran é tonR®ment, il en v il s o r - i «V,gre ram pait verâ l ’oiseau Le ?

chasseu r ne p e rd it po in t la c a r te ; tout h e u !(lai'ffnïiÎT.f de p i o f i t e r de l ’auba ine , il d é ­daigna t le paon e t a justait le tig re, auand celuU c. se d ressa it su? les pattes T d o S Î e t, d une voix étrang lée , s ’éc ria : . Non m o n sie u r; non , non , ne Tirez p a s l i '

c rtite freia ,MllU8l'!U8s seco“ d 0s, M. T y tle r se c r u t fou. Mats, h e u reu sem en t, son ém otion fut d e cou rte d u r é e ; c ar le tig re se dépou illa

e sa sup e rb e p e a u ol, A la p lace d u fauve un hom m e se ré v é la , c ’é ta it u n chasseu r in d ig è n e II co n ta à M. T y tle r q u ’i l a v a iîlu !a é!S?t f j ! se d ^gu iser a in s i, pa rce q n ’ü lu i é ta u facile, d a n s cet acco u trem en t da s a p p ro ch e r des pao n s e t m ôm e d e les sa is ir I l se m b le donc q u e tou t n ’e s t r ” ' ’ r *

Pux •' 1 *teAWQ LH PAQÜKT FBANOO

..O n dem ande des dépositaires. 77

E v i t t r l u o o n t r t f a g o n iCHOCOLAT

M ENIKRM r it » r f r i r l t A b l ,

l* Gérant : BnxotiR.

BULLETIN COMMERCIALM archés de la Région

S u a is , 18 juillet. 100 k . hect.from ent, 1" qualité.. 19 75 15 40

_ 2* - 18 75 14 25_ 8* - 17 75 13 13

Seigle......................... 1 * 5 0 9 00Avoine, 1” qualité... 17 00 7

— 2’ — . . . 16 00 7fa r in e ........................ 25 60Pain, le U l. 1M q. 0 32 2* q. 0 29

Baisse de 0 50 par 100* de seigle.

JJ-JÆ üiL hect. 100 k.

Blé, 1" qualité 15 40 20 00, 14 62 . 19 50

- 3* - . . . . . . . 13 87 19 00Seigle.......................... 9 18 12 75Avoine, 1Mqualité ... 8 10 18 00

— 2* - 7 11 •■■■Orge............................ 11 55farine, 1" qualité ..................... 28 60

— 1* - 28 00Pain, le U l. l " q . 0 30 2’ q. 0 26

Poht-S“-Màxbncb, 13 juillet.heot. 100 k .

froment, 1” qualité.. 15 60 19 50

\ m Ê m Ê Ê m m

— 2* - . 14 82 19 00— 3* - . 13 70 18 50

Seigle.......................... 9 13 12 87Orge.............................. 10 90 17 00kvoine, 1 " qualité ... 9 36 18 00

— 2* — . . . 7 60 16 60— vieille 1” q . »* »» » »— — ï* q « -»» »»- » i »

Farine, 1" qualité. . . ■» » »» »•— 2* — . . . i i i i i i i i

Beurre. — — 3 80 — 3 60Œufs, le cent............ .............. 7 »»Pain, le U l. 1" q 0 30 2‘ q . 0 25

Biauvjlis, 15 juillet.les 100 k .

Blé............................. 18 00 à 19,50Farine de cylindre.. 29 60 30 75

— de m eules.. . 28 25 29 50S eigle....................... 13 01 13 70_Avoine.................... 19 00 19 50S o n .......................... 14 25 15 25Remontage 16»» 18» »Foin, les 520k i l . . . . 36 »» à 42 Luzerne, — . . . . . 33 »■ 42Sainfoin, — . . . . 28 »» 32Paille de blé, 520 k. 20 »» 25 »»a — de seigle — 30 «» 32 •»

— d’avoine — 18 »» 22 »»P a in .. le k ., 1" q., 0 32 2' q ., 0

Breteuil , 12 juillet.

B lé .Seigle..............

' Orge................

Avoine...................... 17 »• 17 60Farine de cylindres. 29 »• »• »•

— de m eules.. . 27 50 »» »»Beurre, — ......... 2 60 2 80Œufs, le ce n t 9 »» 11 »•Pain, le kilog 0 30 0 32

Clumomt, 16 juillet. '

les 100 k.19 25 à 19 75 13 •» 13 50 16 »» 17 »»

Sainfoin, — 26 »» 30 »»Luzerne, — 25 »» 30 »»

Pain, le Ul. 1" q . 0 31, 2* q* 0 26

Blé b lan c .................roux ...................

Méteil........................Seigle........................Orge..........................Avoine noire............

blancheBeurre, le U l...........Œufs, le cent............Pain, le kil., 1** q.,

les 100 Ul.19 00 19 7517 00 18 0016 00 16 0012 00 12 5016 00 16 5016 00 16 5016 50 15 75

.............. 3 20 8 CO► 30, 2* q., » 25

Noyoh, 15 juillet.Blé.............................S e i g l e . . . . . . . . . . . . .A voine.....................Orge..........................Farine.......................Pain le kil.

Compiéonb, 15 juillet.les 100 Ul.

Froment, 1” qualité. ’ 19 00 à »» »»

Molson ............Méteil........................Seigle........................Orge.................. ..Avoine......................Farine................Son............................Remoulage..............Fécule........................Pommes de te rre ...Foin, les 104 botteB.Paille, —

18 50 >• »»»» »»' »» »»•» »• •• •»13 •» 12 5015 00 16 (XI17 (K) 18 (X!27 «N» 28 tx:15 (X) »» •»14 (X) »» »»31 •» »» »»»• »» •» »•30 (X) 32 »»18 »» 21 »»

les 100 U l. 18 50 à 18 75 12 00 12 2517 50 18 »»16 »» 17 0028 »* 29 »»0 30 0 26

Paille de blé, 520 k. »» •» »» »»— d’avoine, — »» »» »» »»

L u z e rn e . . . . . . —- •» »» »» »»Pain, le U l > 3 1 » »»

Songions, 13 juillet.

Blé.....................Seigle................Orge..................AvoineBeurre, le k i l . . .

v>.

les 100 Ul.17 50 à 16 (12 32 » i i20 30 »» »•17 39 »» »»

2 00 » »»D DP »* »»

Pain, le Vil., 1" q ., 0 30, 2* q ., 0 26'

Rouhn (Seine-lnf.), 7 juillet.lcs iodk li:

M archés de P a ris .

Paris, le 17 juillet.

B lé. i . . . . ; .Seigle.......................Orge..........................Avoine.......................Farine, les 159 U l..

18 80. k »» »*13 00 » »*18 00 »» »*20 55 ■» »»42 50 a» a»

Soissons (Aisne), 1" juillet.les 10Q k i l /

Blé............................. 17 65 à 18 50Avoine...................... 16 75 16 95Farine de cylindres. 28 50 aa »»

Farines de consommation :La vente est un peu plus facile en

boulangerie; les cours restent les mêmes.

La marque de Corbeil est * 47 fr. les 157 k . net, ou 29,93 les 100 k.

I aa wAtus marques sont cotèes : 169 k. 100 k .

Marques choix. 47 49 29 93 31 21 Prem ièr.marq. 46 47 29 29 29 Bonnes m arq .. 45 , 46 28 66 29 M arquesord... 43 45 27 38 28 66

Conditions : le sao de 159 k ., toile à rendre, rendu au domicile des ache­teurs, avec, en boulangerie 1 0 /0 d’es­compte, ou & 30 jours sans escompte.

Courant......................... 44 25 à »» »»Prochain....................... 44 25 44 50Janvier-février 43 50 43 754 prem iers................... 43 75 ^> a»

C É R É A L E S . . ■lé*« au Doids de 76/77 k . * Fbeor. tolitre, les 100 k . net compt. entrepôt.

S e ig l e s , au poids de 67/69 k . à l’hectolitre, les 100 k . net comptant.

A v e l a e s , au poids de 45/47 k . à l’hectolitre, les 100 k. net.

■ l é s . S e l g l . A v o l* .Courant 20 60 13 75 18 25P ro c h a in ... . 20 75 14 00 18 25Mars-Avril... 21 00 14 00 17 604 pre m ie rs .. 21 00 14 00 17 60

Farines de commerce :Le sao de 159 k . brut, toile perdue,

en entrepét, avec bonification du ca- mionnage, esc. 1 1 /2 0/0 au comptant.

t-- X i r e ri. 2e » / 3e q. Paille de b lé .. 22 24 19 21 16 19

— de seigle 28 33 26 28 23 26— d’avoine 20 23 16 18 14 16

Foin nouveau. 40 45 36 40 34 36Luzerne nouv. 36 40 34 36 30 34Regain 42 49 38 42 36 88Sainfoin 45 50 42 46 38 42

Le tout rendu dans Paris au domi­cile de l’acbeteur, frais de camionnage et droits d’entrée oompris par 104 bot­tes de 5 kil.; savoir : 6 fr. pour foin et fourrages seos, 2 fr. 40 pour paille. Pourboire 1 fr. par 100 bottes.

En Gara.On cote sur wagon, par 620 kil.,

en gare d’arrivée A Paris :Foin......................................... 30*38Luzerne, première qualité.. 30 38Paille de nié.......................... 15 18

i - de seigle p. l’industrie 24 28 . — ordinaire... 18 24

— d’a v o in e .... 15 17Pour les marchandises en gare, les

frais de déchargement, d’octroi et de camionnage sont à la ôharge de l’acheteur.

Folna e t Paillea preaaéa en ballaa.

On cote aux 100 kil. : *Foin............................... 7 25 à 7 50LOMêm»*,** 7Ü 5 ' 7 U LFaille de bld................. 4 25 4 50

—^ de seigle 4 75 5 »»— a’avoi'S A , ,» , , , , é»*v 4.

H alles cen tra les .

V IA N D E

Quantités vendues : I I 4.I68 k.

Bœuf.. 40.237k. I Mouton 14.464k. Veau. . 55.293 | Poro. . . 4.174

1/4 de derrière, le kil. 0 90 à 1 60

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Nos éditions bi-hebdomad aires et hebdomadaires, répandues partout, s'adressent à la clientèle l a p l u s p r o d u c t i v e de la région.

La réputation du J o u r n a l d e S e n l i s , dont l'origine remonte à 70 ans, défie toute concurrence pour ceux qui veulent lalre de la publicité qui r a p p o r t e .

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Par le ministère de M* Tissbrant, notaire à Cbambly, commis & cet effet.

ST adresser p our Us renseignements:1* A M' MORAND, avoué * Senlis,

poursuivant la vente ;2* A M- ESCAVY, avoué & Senlis,

présent à la vente;3- A M* TISSE R A N T , notaire à

Cbambly, dépositaire du cahier des charges.

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d deux heures de relevée,En l’Etude et par le ministère

de M' B a l é z k a u x , notaire a Chantilly commis à cet effet.

S’adresser pour les renseignements I* A M* MORAND, avoué à Senlis

poursuivant la vento;2' A M' SAINTE-BEUVE, avoué à

Senlis, présent à la vente;3* A M* A. BALÉZEAUX, notaire

à Chantilly, dépositaire du cahier des charges.

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Avenue de la Gare, n ' 45.L’adjudication aura lieu le M a r d i

h u i t A o û t 1 8 9 » , heure de m idi,

gn l’audience des criées du Tribunal civil do première instance de Senlis, au Palais-de-Justice, rue de la République.

S’adresser pour tous renseignements: 1* A M* MORAND, avoué à Senlis,

2 ' A M' ESCAVY, avoué * Senlis, présent à la vente ;

3* A M' TISSERANT, notaire à Chambly;

4“ A M'LOMBOIS, notaire à Précy- sur-Oiso;

6* Et au Greffo du Tribunal civil de Senlis, où le cahier des charges est déposé.

L’adjudication aura lien le D im an ch e tren te J u ille t

1 8 9 9 ,d deux heures de reUvée,

En la aalle de la Mairie de Mouaay- — — le - N e u f , ------------------

Et par le ministère de M* Fauvbl, notaire à Dammartin (Seine-et-Marne),

commis à cet effet.S adresser pour les renseignements :

1' A M* MARTIN, avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

2' A M* MORAND, avoué * Senlis, présent & la vente;

3 ' A M* FAUVEL, notaire à Dam­m artin , dépositairt du cahier des

/M" MORAND, licencié en [ droit, avoué à Senlis, 1 rue Saint-Ililaire, n’

Etudes de i 10- (Successeur de * J M' Lkvieux);

f TISSERANT, notaire \ à Chambly.

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de M* Dbsabib, notaire à Creil, commis à cet effet.

S'adresser pour ici renseignem ent 1* A M* SAINTE-BEUVE, avoué

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I* A M’ MARTIN, avoué à Senlis, poursuivant la vente;

2' A M* LÉPINE, huissier * Betz 3’ Et au Greffe du Tribunal civil

de Senlis, où le cahier des charges est déposé, et où chacun peut en prendre connaissance.

Etude de M' Paul DELAPORTE,licencié en droit,

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l e D i m a n c h e 2 3 J u i l l e t 1 8 9 » ,

d deux heures de relevée,En la Mairie de S&int-Vaast-les-Mello. S* adresser pour les renseignements :

1* A M' DELAPORTE, avoué * Senlis, poursuivant la vente;

2' A M* COLLAS, notaire à Mello, rédacteur et dépositaire du cahier des charges.

Etude do M' P hilippe MARTIN, avoué à Senlis (Oiso),

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S'adresser pour les renseignements : l ’A M" ESCAVY et SAINTE-BEUVE,

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5’ Maison, sise rue de M eaux, n* 63;

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