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f^^Aanée. — JV? 100. -^ClM O ^fgW IlM ES ~ lt«, Paraissant le Jeudi et le Dimanche. JO U R N A L l ) f O e M L I# Rédacteur en chef î BER'WtOZ. Paraissant lé tleiKH et le éH B a ri^ SonOc «I Obe. Va io....;................ 6 fr. £ix pois ..... .............. 4 fr. 4é». 8 fr. 8 fr. t e s*iMin(i Aux BoMMUi da JoamU'etdâBfl tÔH* ^ boréaux de {>09te. — L’abonnement «it payable d’aeaace et continue de plein droit jusqu’à r^eption d ans contraire. * » r Zes AbonnemeiOa pttrteai du oa da iB dm ehaqum moirn. BUREAUX. SENI.IS — 11 , Place de l’H 6 te|.de.^illé, 11 — S E N tlS r r É i .: É p a o i « x i a* ■» Les manuscrits, insérés ou n<^ ne sont pas reniîfts. -±»bÉ;^ 313 (NSB- A^i«w« îttassc.'i^r.Tr.i. Annonces voibnteiiies. .wo» ............. V w’iOOHMB PAS.i)^S®nON€^ÏMûps M i ■* L.sanoonces,x4cl»e..etc..coà^j^^^^ . Id. •• ’P— îw A nos Lecteurs. AVIS IMPORTANT L'Imprimerie Administrative et Com merciale de Sentis est trop connue dans la région pour avoir besoin de réclame. On sait depuis longtemps que notre Maison se charge, à des prix défiant tDute concurrence, de tous, les tra vaux d’impressions typographiques, lithographiques et de gravure sur cuivre : Cirtes k îisitg, Circfliiires. Fattares. Hggtslres. B ie fs I arire. Lettres et Biefs ie prt, AÉeies et Prespecfes, Brielares. Liîres, ete. Par notre outillage perfectionné et le personnel que nous possédons, nous sommes à même de livrer rapidement un travail de quelque importance qu’il soit, et exécuté avec soin. A cette période de Vannée, où MM. les Commerçants et Industriels ont sou vent besoin de renouveler leurs impri més, nous ne saurions trop leur recom mander de ne pas attendre à la der nière heure pour nous confier leurs travaux. * N. B. Avant de s’adresser à une autre maison, nous engageons les clients à bien vouloir nous consulter pour cons tater les diminutions importantes dont ils pourront bénéficier à l’Imprimerie Administrative et Commerciale. Senlis, le 14 Décembre. lie Congrès de la FédéraHon Hépublieaine. La Fédération Républicaine a tenu ses assises lundi, mardi et mercredi dernier. Nous avons déjà dit, dans le compte-rendu des premières séances, tout le succès qu’avait obtenu ce Congrès qui a groupé autour de M. Thierry, président de la Fédéra tion, de nombreux délégués venus de tous les départements. Tous les Jourr 7MUX progressistes et libéraux de l’Oise étaient représentés par leur directeur ou des rédacteurs. On a déjà vu, dans un précédent numéro, à quels travaux importants les journalistes de notre parti avaient prêté le concours de leur parole, de leur tedçnt, de leur expérience. Des vues qui ont été échangées, pendant les séances et élans les sections, il résulte que l’accord le plus parfait règne entre les écrivains pour la défense et. la propagande de la cause républv- caine libérale et progressiste. On verra plus loin les prindpaudf ' vœux qui ont été émis d l’unanimité- au cours de la dernière séance. Au lendemain de la clôture de ce Congrès qui a eu un grand retèntis- serâent dans le pays, nous ne poiipô^ mieux faire que de reproduire l’dcceU lent article que publie notre grand confrère parisien le Journal des Dé bats, qui donne une idée si juste.de phÿeûmornie de cette irnportante ma nifestation républicaine. L. B. Le-Ck>Q^ès de' la Pédération répu blicaine s’est terminé jeudi par une assémblée générale et par un bancpiét. Le -banquet a été particulièrement brillant ; l’assemblée générale eu qu’un défaut, qui est d ayoif paru trop courte. Elle a du se bt^’aer .à enregis trer, presque sans débats, -une cin^ quantaine de vœu^ qui avai^t été, b vrax dire, précédés de discuaSions^ès remarquables dans les sections. Mais tout le monde ne peut pas êtrë à là fois. dans toutes les sections, -iCt il semble bien qu[il y anraitpitérèi ^ ce: ^ e les gestions les plus grases fussent Tobjet d’une «mtroveisaétoit-= due et comj^ète devant tons les 4 ^- gués des ccmntés' départementénz. Aux vœux qui ont été émis, idusiénrs congreMistès ont ajfmiæ;inpetto,'l^ souhîâts qhe.lesOrganisateurs de cette' maiHfestafion anfiuelle troàya^ent.lÇ, moyen, en prolongent ün peu 'Ja durée de cette réunion .finale;,. 4 s Ju i donner toute l’amplèùr qn’eUe oom-’ porte . . .. ; ' . „ . . Telle qu’elle.a été mercredi, eBêfigi commission de la réforme électorale. II s’est attaché à établir que la repré sentation proportionnée, qui corres pondait à une idée, juste en soi, pou vait cacher un pi%e redoutable, et dans lequel il importait de ne pas laisser trébucher la représentation proportionnelle. Il a demandé, avec des arguments puisés à la fois dans la raison et dans l’histoire, que la repré sentation proportionnée combinée avec le maintien du scrutin uninominal et accomplie par une majorité que les scrupules n’ont jamais étouffée, ne peuvent qu’aboutir à un remaniement arbitraire des circonscriptions, et risquait d’aggraver, au lieu de l’atté nuer, l’injustice électorale. Le Congrès a pensé avec lui que lorsqu’on voulait la justice, il fallait en vouloir jusqu’au bout, et que la justice intégrale ne pouvait être réalisée que par la repré sentation proportionnelle. . Quant a la discussion soulevée, par M. Méline, eSé portait sur ik ^ëstion de la remise aux communes du princi pal de l’impôt foncier. M. Touron a combattu cette proposition par un. ar gument qui a fait impression, en ex primant la crainte que si l’on aban donnait, sur un point, le système cédulaire, on ne prêtât plus facilement le flanc aux entreprises de l’impôt global. Tous les congressistes pen saient, avec l’ancien président du Conseil, que la question de l’allége ment du régime fiscal de la terre devait être mis au premier plan dans les préoccupations des républicains modérés; mais on a demandé à réflé chir sur les voies et moyens, et la solution de cet intéressant déliât a été ajournée. Le banquet a été l’occasion de très nombreux discours. M. Lafond, direc teur du Joumal de Rouen, a parlé aü nom de la presse de province avec beaucoup de finesse et d’humour et l’assemblée a salué par des applaudis sements chaleureux un des hommes qui font le plus grand honneur à notre corporation. De nombreux délégués de province ont, de Lyon, de Tou louse, de Nantes, de Montpellier, ap porté au Comité central les souhaits et les encouragements des organisa tions départementales. Faute de pou voir les nommer tous, il est équitable d’accorder une mention particulière à M. Gitton, président de la Fédération républicaine d’Orléans, dont le dis cours d’une sobre et émouvante sim plicité a déchaîné de longs applaudis sements. Avant la province, Paris et la banlieue avaient eu l’inteiprète le plus autorisé dans la personne de M. Félix Roussel, président du Conseil général de la Seine, et enfin le Parle ment avait été représenté avec éclat parM . Thierry, M. Ribot, M. Méline. M. Thierry, qui connaît les devoirs de l’hospitalité, s’était borné à une brève et spirituelle allocution de bien venue. M. Méline, un peu plus, long, avait montré beaucoup ^éxcessive bonne humeur, en appliquant e la po litique le propos d’iÈdipe, que nul n& peut se dire heureux qu après s» tnort. Le « grand » discours de la soirée a été pronopcé par.M.jRibot. Le'réSumé qui en a été communiqué .à . la presse n’en donne peut-être pas, dans saÿre- une meilleure répartition des charges fiscales, d’assurer la protection de la vieillesse et de l’enfance, de faire ac céder les travailleurs à la propriété. Tout ce que M. Ribot a dit se trouvait en substance dans les vœux du Congrès. Sa tâche a consisté à grou per tous ces éléments épars dans une admirable synthèse, et à les revêtir de 1 éclat d’un langage qui avait rarement eu plus d’autorité et plus d’accent. A la Commission i’ idos BT roBy«».«g Radicaux malmenés. M. Bourrât, député, candidat au Conseil gé néral pour l’élection de ballottage de dimanche dans le canton est de Perpignan, s’était rendu a Cabestany, en. compagnie de M. Kérguézeo, député des Côtes-du-Nord, et .d’amis radi caux pour donner une réunioi’Bâ accueil vio lent lui fût fait par les habitai^'''^ Les automobiles ont été cnblëés par une grêle de pierres. M. de Kerguézec a reçu un Coup de pierre. ..................... La crise du Midi n’est pas aussi apaisée flu on Veut bien le dire. Les vignerons, le font voir un peu rudement aux politiciens blocardï. Grave tampomnement. Jeudi, dans l’après-midi, un train de voya- reurs qui stationnait en gare de Vallerois-ie- Bois, sur la ligne de Vesoul à Besançon, a été tamponné par un train de marchandises allant a grande allure. Quatre voitures du train om nibus ont été télescopées. Il y a, d’après les derniers renseignements, 3 tues et 20 blessés. = m iè re p a ^ quia été la-partie.criti que, que idée tout k fait complète. L’orateur a fait plus qu’une allusion aux sujets dp tristesse et d’inquiétude qui hantent -les bons F r ^ ç ^ . ij. a trouvé des aècentsindijm&pour.^rir la grave atteinte portée par l’a loi sur la dévolution des biens cultuels aux principes généraux du droit, n a dé ----- , ------- ----- - .. WAI.S.VV444 .peiroettent à Ja Ghambj^ de bp.^leYe^- ser tout lé ifroit compii^^ droit fiscal dans la suipnsé d’une sé^ce de nuit,,Et il a hautement dé claré qu’il préférait s’exposer au re proche injuste d’un peu depessimîsmé' que de s’abandonner- « aux mîSfes complaisances et aux trop faciles réài- gnatibns». Ceperidaht, dans là situation ac- -tuellp, M. Ribot relève, comme un symptôme rassurant ÿie des répiûili- çains « séparés de nous par les cir- jBonstances sont amenés,par la consta tation des péÆs que nou§, avons dé- ‘nWn/vAa ^ ♦cv-rvvw» ilL— Tl-y __ -noncés, k tenir ün làngagê ^ se rap- s du nôtte-»; CéSib pàrfMtém^t proche ^ _________ exact. Mais il faut répéter, à satiété prés^>té,k c^tains m om ents,^ très ' vif iutérê^ SUe,«étép»artieia!ifeenifet' marœtée par qm r h p ^ de S . Remue, e t par-iMfe' qui s’hst eogagée au Stgét aùa jçêiï.' de M. Méline.,M.,Jutés R oche,; roènl6; •’ 8 âns un ex^'sè.LhMH^^ \udde, les résolutions ae la sous- d ^ s une politigue de contre des périls œiagmaires, ’ au lirâ de n’attacher k la réalisation méthodique d’un îH-og^ratnnîe pi^cis et •mesuré. rM . Ribot a nïontré'lâ contri- butiou que le» r^ubficâÎHs ‘proi^es-' l^ara-afitaxae .cé nrqg^ d’kcT,. ficm-TI çômpoi^' ^(hiptiom dea.mesuâBs iWU^jnpreÀpfigr petter la harihedàns< JEU; BUfStème de fivorifisine e« d’« è i- tr^ gtarisqueidènefas ïaif'e*«WinKét‘ a'dlîteftrr Les Instituteurs de la Seine. Jeudi a eu lieu l’élection des conseillers dé partementaux (instituteurs) pour le départe- ment de la Seine. Tous les syndicalistes ont été élus et réélus. M. Glay, qui a obtenu le plus grand nombre de voix, est un apologiste de M. Hervé I ^ ° Les disciples de MM. Hervé, Buisson et Jaurès restent l immense majorité, et couvrent la VOIXdes instituteurs restés fidèles aux en- sewnements des Paul Bert et des René Goblet. Que MM. Clémenceau, Briand et Gasquet nous épargnent au moins leur consolation ha bituelle, qui consiste à dire : « Les instituteurs antimilitaristes ? Peuhl minorité infime 1 Les instituteurs syndicalistes? Bahl Insignifiante exception !» Assez de vaines dissimulations. La vérité, c eÿ que les instituteurs syndicalistes sont les maîtres de l école. Vif Incident : Démission de M. de Freycinet» ^La commission sénatoriale de l’armée s est réunie hier sous la présidence de M. de Freycînçt pour continuer l’examen des textes relatifs à la réduction des périodes des 28 et 13 jours, dont elle est actuelle ment saisie. Tous les cominissaires étaient présents. M. de Freycinet, ouvrant le débat, a ex- pose avec beaucoup d’énergie les raisons qui le déterminent à repousser toute mo- difl.cation du régime actuel. M . Rolland, paftisan de la réduction a parle ensuite ; puis MM. Labrousse, Bou- denoot, deGoulaine et le général Langlois ont pris_la parole, les deux premiers en faveur de la réduction, les deux derniers contre. "M. die Freyêmet enfin, est revenu à là charge et a proposé nu vote de ses collè gues une motion tendant au maintien de la durée de 28 jours pour la première pé riode des réservistes. Cette motion a été repoussée par 9 voix contre 8 et M. Bon- nefoy-Sibour, qui, absent pendant le scru tin, rentrait à ce moment dans le local de la commission, a déclaré que, présent, il aurait voté la réduction. M. de Fr^cinet s’est levé alors et afait connaître à ses collègues que, se trouvant en désaccord avec la majorité de la com- I inission, il se considérait comme hbis d’état de diriger ses travaux et, par suite I abandonnait ses fonctions de président. Malgré les protestations empressées des commjssaires, l’ancien président du conseil a persisté dans sa manière de voir et a œ- fusé de retirer sa démission, laissant en tendre qu’il pourrait avoir à combattre à la tribune la décision de ses collègues. A rÉtrangèr. lies IBaladesetie Bloe. L Histoire nous a conservé le souvenir fiffuistre, qiii disait allègrement' : — Périssent nos colonies, plutôt <nte nos principes! L anticléricalisme de certains de nos politiciens s’exprime volontiers de même en ce qui.concerne les pensionnaires des hôpitaux et, eux aussi, diraient s’ils osaient: -- Périssent les malades, pourvu que nulle atteinte, même légcte, ne. soit portée ad sàcrosaint principe de la laï cité dés hôpitaux I ^ Je n ai pas la prétention de. rouvrir, ici la grande querelle pour ou contre les sxurs. Non esthiclocus.-Xes nronorfzo/is tdarticulets ■ comme celui-ci n y sufA- raieiU pas. Je veux simplement-noter à quels résultats d’incohérenoe peut ame ner la manie delà laïcisationa outrance. C’est un, confrère vosgien, la Tribune r^^ubiicainô de Saint-Dié, Vecko de deux faits con^rhporains, oui seraient vaudevillesç^t^es, s f la -santé et la vie d'un certain nombre de malades Etats-Unis. yUle prise par'des brigands-, Ottmande de New-Vopk au Stai^ciTdftpxe 500 nommes environ, armés et masqués, ont sm^îsé, ïd^lp de dans 1mat de Kentuchy, et arrêté les services' de la police, des pompes, du téléphone et du chemin de feCi ^ Tous les habitants qpi.essayèrent de sortir furent capturés et détroussés ; l’un d’eux même fut tué. Entre temps, les bandits inêendièrent trois, entrepôts de tabac représéntant une valeur d un million de francs. ’ . I Les habitants tentèrent de les poursuivre, mais sans succès. On croit que ces honimek . masqués étaient des planteurs de tabacs, qui ont eu recours à ce moyen peu banal pour pro tester contre le trust des tabàcs. ! P.ris.àupuuê part, à; l ’augmentation eu. au i maintien de l’indemnité parlemehtaice portée ,418.000 francs, adresse à' ses élus toutes ses féjicitatiens .pour leur attitude pleine de correction: ef de dignité. « Validation des Députés. vant proposé le vœu sui- « P ^ r les élections au Sénat ét à là .Chambre des Députés, la- vérification dés pouvoirs doit être faite, en cas de contes tation, par une commission ex-tra-pàrle- mentmre,. composée d-’un nombre-égal de conseillers i la Gour de cassation- et- an Conseil d,Etat. Cette commission procède elle-même, s’il y a lieu, aux enquêtes qu elle juge nécessaires et se prononce souyerameiBEntsur Invalidité desélections cont&st^s. Il y a lieu de compléter ce sens les lois-constitutionnèlfes de 18T 5 . iiihëTtè « Que ia, liberté i^i^eignemeat, sdit reMunue et garanMêâàr.la hiidan&son principe ; que le droit aensaignm? eb celui! Uà^fiCBrBniétaMiMMaantdWmânoflniBqf soient reconnuSr-:à grade égal,, à tous.les fibi n’ont pas été ibàppés. d’une déchéance,pénale ; que la fermeture des mais^S; d’éducation dans les cas prévus ; par la loi soit réservée aux tribunaux ; d.ordre judiciaire ou dIscipliBaire, mais dans aucun cas à l’arbitraire d’un pouvoir public. » L’Antimilitarisme. . . 0 Que la propagande antimilitariste soit énergiquement poursuivie, et qu’elle soit -soumise en vertu d’une loi spéciale, à la loi de 4804 sur les menées anarchistes. » Hommag^ à l’armée 4 « Le Congrès a adressé um solennel témoignage de sympathie aux troupes L-ançaises combattant au Maroc. » Divers. M. Marin fait adopter, au nom de la section de décentralisation, plusieurs TûBux,, de môme M. Méline en raveur de l’agriculture et M, Audiffred visant pagahdè. Le Congrès demande aus__. « Que l’avancement dans la magistra ture soit Pobjet d’qne réglemeiitafion spé- ciâie.qui fixé en même temps leV incqm- pâti.bilités élqctivçs de la inagistràtuf ê. ’ j u Oliô lai rr'i'îâètîArv Ann _ ïàîfè i ses-^ ï ’«d«râtion, le citoyen Coûtant quhmoteimti,«sfcpwff4à%ianièr6 énergique, n ad aüJeurspas hésité. questionnait sur ses intentions, le citoyen dëhuti (flvirt â inots lapiiiires q i^ ^ : bouohe-ë|ù«no comme des periés ; « Je lëà emmène-l ia eâthpagne ». ' Vous déyinez'bieii .que notre confrêi» ■ que Cout^ a^rius-bref. La-F^nationavait envoyé une lettre: Coûtant lui en a renvoyé cinq. On ne' ■ compte pas entre, amis. ; '— à— —— ^ Ijroihyçùeq Mgr Douais, évêque de Beauvais, rendi deux oirionnances, l’une ioMitiiaot an bureau des œuvres d’action ot d’apostolat.' àfe&stique des acctdén.ts J|rtu de l^Qcle ts de la loi du «àïffl '908’ troisième triméshre qa . les .f ^ r e s dopnés dans les ta bleaux récapitulatifs de l’Oise : Nombre des personnes tués ou blessées : honomes de moins de 46 ans, 2 ; hommes a» îft plus, 43; femmes de m S i Totah 47 ' Cas de mort : 4. Cas d’incapacité permanente totale. 0' cas d incapacité permanente partielle, 43 * Nombre pour le cas de morts ; des S s ! 2.®’ ^ ---------------- *— ------------- CpntrlbMtions dRteetes;. M. Capon, contrôleur de3“ claasi est hommë'contrôleurde3‘classér M. Peuchaud, contrôleur dë 4« cla'sso (Charente), est nommé contrôleur de l" classe (Oise). - -Çft® M retrmtes‘ouvriè res Mit résolue, tout eh laissant une part àussj toge gua possible à. riqüiative iudi- yiduelte. ' La véeotte dès betteravesr Températur® moyenne de la huirame 6»4 contre 3»0 en 4906 et 5°8 en 190S7to température a été généralement doucé ^ bruipeuse ou pluvièusè. A Paris, on a té- IftVfi -nfifi Arvarèe Aa âom a i n„r\ -al. Siulyse. ... Election du Prisidént ie la République. . L’assemblée fédérale a élu président de l à - Confédératioà helvétique pour 1908, Bar-186 voix sur 188 bulletins vatablès,--! H. Ernest- Brenner, actuellement vice-président du Conseil fédéral, député radical modéré de ■ I Berne. L’Assemblée fédérale a élu ensuite yise- président du Conseil fédéral pour 1908 M. Joseph Zemp, représentant catholique du can ton de Lucerne, par 160 vmx sur 181 bulletins valables. :. QqfsjtlQBs [Nonveaamaatéan pour les cavaliers. . ® t o g l Ç m p s Qn se,plaigoajt dans.la VnsuperbeJiâpitaffuteonst^itnouriiù I ôes inconvénients que présente le de tous les I manteau à pèlerine. Souvent gênant “.-xio 5 ^ ^y~ I to® exercices &cheval, .il est encore plus incommode à pied, à cause de sa longueur et de son poids. . . " Aussi vient-on de mettre à l’essai, au 23* dragons,, à Vincennes, un nouveau modèle de. maotéau qni se compose dé deux parties : un pardessus et une pèlerine. Le pardessus est K civiL’mais un-peui:..) ôlus côurl, d#façotf^Tï^àrgènér1à nîS^eV Les boutons ne sont pas apparents ; le col, iarge et relevé, protège-une partie de afiriRgure.- * La pèlerme,. .destinée puTteut A être poifee cheval, est ample et se fixé au col par des boutons. Ce nouveau manteau est gris bleuté, F - , xr- ... ^ui Aoux uuuiere contre le Tayontisme toutes les garanties auxquëHèS iis ont fifoit pour leur recrütë- inent; que les.fonctionnaires soient mbins i nqmbrrax, mieux payés, et qu’ifs 'Sbiént tenus d observer la neutralité politique fa plus rignurèuse. -j ; «'La Fédération exprime le vœu que le' règlement dë' la Chambre, exigeant le 1 renvoi du scrutin à la prochaine séance, 1 quand le g a o ;^ - n ’est pas atteint, soit appliqué c’est-â-^î*e que cette prochaine séance soit tenue le len- n’étaient enjeu. Dans les Vosges, àMoyenmoutier, une Aotitlian- / anMmjn deuil voulut giéun cher sou venir se perpétuât pàrim lôna bienfait. . I A i-aris, on are- '« Que les fonctionnaires soient pourvus I . l “i à -|- 8°9 pàr ’rap-i au plus tôt d’un statut, qui leur confère I normale. Pour la huitaine,T’éCârf ! loa I moyen est de-)-3°0. Latempëratürë'dbtto '' et humide a favorisé là croissance dësiæ- réales en terre et permis d’adhévè'r semailles. On commence à parler des marchés de betteraves à sucre peur iSâiX La culture, sôfiicitée par la d i s t ^ ^ q ™ favon,se,le haut cours de l’alcool, et m -- les prix relativement avantageux -des - réajes, mon,trépeu do: -dimosition ê iàira de la betterave à sqcr-e. La.' fàbriaüada i sucre, d autre pârt,,ne peut guère mmèle. ver le prix de fabettérave, étant d^c^é le * m a m a ü ‘plés tôt; ët mm pas'lèbiSMe i -77 , 1“— --y joufi-if^ : ' V. - ^ ’ I DJtoesetraugmeptationiluprix derewént Enfin PaSsemblée décide qu’an -mani- 'l ? sUcre qui en est . la conséquence.-Qiia feste de, propagande sr ■pays,’ â rrisoasioni' des pales, par les soins de Le Rahqi^t. .nardÿiKrantzvBrice, MariBr-Sprohefc à L ÿ lff iô P ? to .s le commerce, con Gontaul-Biron, de-Moustiers, Prache, etc '1 t0“5es ëo Î906-0Î députés.;.Méline, Audiffred^ général j 1waôgeri là fàbricàtion estte'ràlnéa glois, Francis Charmes, GotteSnn,fl!ourôiK 4 .“àns. nombre d’uSînes. Lé rendem.ent en ;Prevet,,Souriu, MHliard,Ee8sarf,.ete7 sé./ rflurfeTtiont natecirs'i-v^àm: Goûtant.: Audigiei*, .-Duoiiss- flûl /Mil .¥\ 1 . _«- giène moderne. Les fondateurs y ers- gloutirent un demi-million, rie mettant ■qu’une, pondition à leur libéralité ■; dest que Vétablissement gui-leur aj^partient. serait occupé par des religieuses. Mais le Bloc veUlàit. Les robes de bure lu i la rë.çoliejB’annôpce comme tardive et fdé- temént déficitaire. .yiournal des.fabricants de sucre.)': ’ , depuis quatre ans, l’hôpital, achevé m a^ désert, dresse sur.. laJtauteur ses . murailles aux fenêtres closes. Combien, de malades y auraient trouvé, depuis quatre ans, la guéfison et le soulage- im nt de leurs rndùx 1 Ces messieurs du . Bloc n en ont cure. Les malades peuvent mourir. Les soeurs ne reoiknàr.mtt pas. Dans uneautrecomrnüfiè.à Çorcieuk, un philanthrope, Pierre Nicole, deux fois prix de vertu de l’Académie frais- çaise, dirige un hospice de vieillards in firmes qu il a fondé et qu’il entretien de ses deniers. Il y a quélgues années, un rnirmtre, que_ ses eff orts dp noble cha rité intéressaient, fit accorder à la com mune Une somrhé 'de 42.000 francs sur lei fonds du pari mutuel pour la cons truction dTune annexé à 'cet hôpital. lié — --— ™... ...... remplacer par une infirmière mqUe, il n*y fallait pas songer, à cause de la dépense d abord et peut-être aussi le mangue de garan tes morales suffisantes. Bne'^sœur eût tü Pàffaire avec ‘SO. francs par mois. ,jais introduire une sœur dans un Kôpi- ,talf y,pensez-vous ? Jamais t .... Il vaut mieux voir mourir les malades laïqué- meplgve de les voir soigner cléricale- ffiént. , ., ' - , EtfÇomme l’hôpitataihiieonstruitni ^rvaitd nen, ilja été loué à dJtonora- A la Fédération Rëpiiidicm^ {Suite et fin.) Le Congrès de là Pédération Répnblii came s’est clôturé mercredi à neuf henr^' I et demie, par une séance plénière 'qui a réuni près de SOO'délégués des prdVmoeh et de Paris, autour du présidant M. Thierry. . Totoi’lee principaux vœux qui mit été l'unanimité ; Là Rèprésentàtion prppoytfcisnéÙB^ « La Pédération républicaine, toute en se déclarant prête ê accepter comme 'fiée conséquence et nn complément la téSum- OD du nel, ^ r t ^ u l a t , .qolonel -Roasset,-', anciens cépifiésj Rri Glêmenti LatMie, Exhcavat, Georges Picot, etc. , Plusieurs discours empreints de »«- ■ , gesse, :de .loyauté etiie patriotisme ont été I ' proito^ par MM . (rtiierry, - Ribot, Më- J , I line, .Fé|ix Roussel, président -du Gonseil- [.général dejta Seine, et.lfls^rëpréS’éntants des Fédéiktions du Rhône, du Sud-Ouest, I n jii -t j deJ M r ^riU, de r o ^ a ^ . e t . . , d e .N^rT-J . 4 'SEpSTp.DE 19p7 _ Présidencr^ë M, Assesseurs : MM. LoiiiCHE et Picquet V.’lùi. -itu- • I ♦ il a ■» . PrtKsse ,e ce a;ac-. fiervauanen, w ^ '(désindmtrulrqui Vcnftransf&rmém LâdAStu^n.. liAiEi fnÀsnAe>a_i POUUllll€T,,iI)€. ^ T t ê e/tAê fgnds ’dttl poülaD^r,,ibe sorte pari mutuel, prélei des malades et des réalité servi, qu’à F hàssekouf. " . - .^,<Lestle cgs,pù Jflmçfis de mus,inter dire fout commentaire. ” L. M. énttetien\ n’ont, en dune tien du nombre des-‘députés, amrme- qu aucun progrès réri. ne .saurait éteè accômpU dans le fQnctionneii)e0 t(,-dû a r f - . .WnstitBAiqn préalable -, du -scrutin fe, liste, avqc .renrésentation proportionnelle, et éidèt’lè vœu quertâ propogtion rapportée paÿ’Iâ 'Ê èrii^ b tf & îfS . ' tièa qiunze ‘iniüé îriinbsj ^ ^ ^ ^ - :M. Bonnefoua fait adepter iet acclameb J.e vœu;,suivant : élus’ ’ont , i-' ' DaJournal de Clermont tout mme. Voici que , la ^ritcffen ' Goûtant dTitfë (ndblqss.e t e â n m de'i^tis’ to Ü M m 'pîS^ïMpn, en;' sumitaôfi dans'fe P a r t i o M ^ qeS;jonrsîaeAiiers, le citoÆ ffii avipt inififè tfms 4ês « t o iM n W ^ du.Parti,DëVèzé, défepse, i-’- (rirtè' Ebre oü mSjrîri pratéüts’’4’aco8bto.,Tiririlaœim réunit» 'ôtsa^litè 'îi % hsy-- - d’une-dïganisatibn boui^ôîs.. tt' * iW ’Qôdtaflt 'ë f sén’ .a ê^aire Eudesil fViolj.,., . Eudes (François), âgé de 34 ans, ma- pouvner, sans domicile, est r e n s ^ de vant la Cour d’assises de l’Oîse s o ^ l’iif- çufoation d’avoir, le 28 j«irt907, commis. ; a Montherlant, un. attentpt- tenté ou consommé avec violendës sur la personné -4eja dame G..., M e4s4g,sns. r Les débats onTTièü a huis clos. Trois Jémoins sont entendus, -prmr fésqüéls la . vicfiise, fem ie d'çgieboooraibfiité éêd’m ' . toMs,dft U-PPfaittsdU-%^ qui, à Ta suite de 1attentat, a été n '—^ ------ a Beauvaia - « I^^Ctargrès, çonsidéeant que les é du parti républicain progressiste n’i A I4bO ,’ÿtwSë,'iàaiidu„. près avqir été des « -^-“iës années, Cou.„„, . raneniiêliàiiieMwéïé |m’Ÿ a'ïril Sttide^uVî fflstèâi. »aaai''b&üt*rtüfejtidêê» l’aufr^lflB lorF qtiéae ftîèdï’fl -tétiA malicieux, mais •pWMssàut u«ao nfôm és, le prétendent; mms ntobb-r rez ùjiigae ce sôntTà deS éhdSàÂüf né sa’ I d ^ ’latf 'ùàtoqLfiq ‘Mssî la vërtu que les milieux socialistes. , 'M btoip, s’^ û j^ l sur laid. un [• GiTlés ‘ 'jBÿàn^ë JlhL.»,^ „„ Pàlu#'ç 9 és>hl' pu fg^ûisme de son client et'dSm --^- ‘r a - i t '■^PPfter ■ ffn'- verdict ui»™ ] adriiSibo des ciiÿonstancês att^ÜM’ dM es, sans orëoflgtahcés afenanl la Gcfar a prononcé coSitrèW t o ciTiÿ années de réclusion^ . -r ' **• ' ^ • vaiq, qm.défll fifig iïéton néjpriS:' le Te pr^en Tàccusê, quçr le érimè'ddnt jj s’èst i

Paraissant le Jeudi et le Dimanche. J O U R N A L l ) f O ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1907/bms_js_1907_12_15_MRC.pdf · f^^Aanée. — JV? 100. - ^ C l M O ^ f g W I l M E S ~ lt«,

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Page 1: Paraissant le Jeudi et le Dimanche. J O U R N A L l ) f O ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1907/bms_js_1907_12_15_MRC.pdf · f^^Aanée. — JV? 100. - ^ C l M O ^ f g W I l M E S ~ lt«,

f^^Aanée. — JV? 100.- ^ C l M O ^ f g W I l M E S ~

lt«, P a r a is s a n t le J e u d i e t le D im a n c h e . J O U R N A L l ) f O e M L I #Rédacteur en chef î BER'WtOZ. P a r a is s a n t lé tleiKH e t le é H B a r i ^

SonOc «I Obe.Va io....;................ 6 fr.£ix p o i s . . . . . .............. 4 fr.

4é».8 fr.8 fr.

t e s*iMin(i Aux BoMMUi da JoamU'etdâBfl tÔH*^ boréaux de {>09te. — L’abonnement «it payable d’aeaace et continue de plein droit jusqu’à r^eption d ans contraire. * » r

Zes AbonnemeiOa pttrteai du oa da iB dm ehaqum moirn.

BUREAUX.S E N I . I S — 1 1 , P l a c e d e l ’H 6 te | .d e .^ i l lé , 1 1 — S E N t l S

r r É i . : É p a o i « x i a* ■»Les manuscrits, insérés ou n < ^ ne sont pas reniîfts.

-±»bÉ;^ 313

(NSB-A^i«w« îttassc.'i^r.Tr.i.Annonces voibnteiiies. .w o»

.............V w’iOOHMB PAS.i)^S®nON€^ÏMûps M i ■*

L .s a n o o n c e s ,x 4 c l» e ..e tc . .c o à ^ j^ ^ ^ ^ .Id. •• ’P— î w

A nos Lecteurs.A V IS IM P O R T A N T

L'Imprimerie Administrative et Com­merciale de Sentis est trop connue dans la région pour avoir besoin de réclame. On sait depuis longtemps que notre Maison se charge, à des p r ix défiant tDute concurrence, de tous, les tra ­v a u x d ’im pressions typographiques, lithographiques et de g rav u re sur cu iv re :

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Par notre outillage perfectionné et le personnel que nous possédons, nous sommes à même de livrer rapidem ent un travail de quelque importance qu’il soit, e t exécuté avec soin.

A cette période de Vannée, où MM. les Commerçants et Industriels ont sou­vent besoin de renouveler leurs impri­més, nous ne saurions trop leur recom­mander de ne pas attendre à la d er­n ière heure pour nous confier leu rs tra v a u x . *

N. B. — Avant de s’adresser à une au tre m aison, nous engageons les clients à bien vouloir nous consulter pour cons­tater les dim inutions im portantes dont ils pourront bénéficier à l’Imprimerie Administrative et Commerciale.

Senlis, le 14 Décembre.

lie Congrès de la FédéraHon

Hépublieaine.La Fédération Républicaine a tenu

ses assises lundi, m a rd i et m ercredi dern ier. Nous avons déjà dit, dans le com pte-rendu des prem ières séances, to u t le succès qu ’avait obtenu ce Congrès qui a groupé au tour de M . T h ierry , p résiden t de la Fédéra­tion, de nom breux délégués venus de tous les départem ents. Tous les Jourr 7MUX progressistes e t libéraux de l ’Oise étaient représentés p a r leur d irec teur ou des rédacteurs.

On a déjà vu, dans u n précédent num éro, à quels tra va u x im portants les journalistes de no tre p a r t i avaient p rê té le concours de leu r parole, de leu r tedçnt, de leur expérience. Des vues qui ont é té échangées, pendant les séances et élans les sections, il résulte que l’accord le p lus p a r fa it règne en tre les écrivains p o u r la défense et. la propagande de la cause républv- caine libérale e t progressiste.

On verra p lu s loin les p r in d p a u d f ' v œ u x q u i ont é té ém is d l ’unanimité- a u cours de la dern ière séance.

A u lendem ain de la clô ture de ce Congrès qu i a eu u n g ra n d re tèn tis- serâent dans le pays, nous ne p o iip ô ^ m ie u x fa ire que de reprodu ire l’dcceU len t article que publie no tre g ra n d con frère parisien le Journal des Dé­bats, q u i donne une idée s i ju ste .de phÿeûm ornie de cette irnportante m a­n ifesta tion républicaine. L. B.

Le-Ck>Q^ès de' la Pédération répu­blicaine s ’est term iné jeu d i p a r une assém blée générale e t p a r un bancpiét. Le -banquet a été particulièrem ent brillant ; l ’assem blée générale eu qu’un défaut, qui est d ayoif paru trop courte. Elle a du se bt^’a e r . à en reg is­trer, presque sans débats, -une cin^ quantaine de v œ u ^ qui a v a i^ t été, b vrax dire, précédés de d iscuaS ions^ès rem arquables dans les sections. Mais tou t le monde ne peu t pas êtrë à là fo is . dans toutes les sections, -iCt il sem ble bien qu[il y an ra itp ité rè i ^ ce: ^ e les g e s t io n s le s plus g ra se s fussent Tobjet d’une «m troveisaétoit-= due e t com j^ète devant to n s les 4 ^ - gués d es ccmntés' départem enténz. Aux vœ ux qui ont été émis, idusiénrs congreM istès ont a jfm iæ ;in p e t to ,'l^ souhîâts qhe.lesO rganisateurs de cette' maiHfestafion anfiuelle troàya^en t.lÇ , m oyen, en p ro lo n g e n t ün peu 'Ja durée de cette réunion .finale;,. 4 s J u i donner toute l’am plèùr qn ’eUe oom -’ porte . . ..; ' . „ . .

Telle qu’elle.a été m ercredi, eBêfigi

commission de la réforme électorale. II s’est attaché à établir que la repré­sentation proportionnée, qui corres­pondait à une idée, juste en soi, pou­vait cacher un p i% e redoutable, et dans lequel il importait de ne pas la isser trébucher la représentation proportionnelle. Il a demandé, avec des argum ents puisés à la fois dans la raison et dans l ’histoire, que la repré­sentation proportionnée combinée avec le maintien du scrutin uninominal et accomplie par une majorité que les scrupules n ’ont jam ais étouffée, ne peuvent qu’aboutir à un rem aniem ent arbitraire des circonscrip tions, et risquait d’aggraver, au lieu de l ’atté­nuer, l ’injustice électorale. Le Congrès a pensé avec lui que lorsqu’on voulait la justice, il fallait en vouloir ju sq u ’au bout, et que la justice intégrale ne pouvait être réalisée que p a r la repré­sentation proportionnelle.. Quant a la discussion soulevée, par M. Méline, eSé portait sur ik ^ ë s t io n de la rem ise aux communes du princi­pal de l’im pôt foncier. M. Touron a combattu cette proposition p a r un. ar­gum ent qui a fait im pression, en ex­prim ant la crainte que si l’on aban­donnait, sur un point, le système cédulaire, on ne prêtât plus facilement le flanc aux entreprises de l’impôt global. Tous les congressistes pen­saient, avec l’ancien président du Conseil, que la question de l ’allége­ment du régime fiscal de la terre devait être mis au prem ier plan dans les préoccupations des républicains m odérés; mais on a demandé à réflé­chir su r les voies et moyens, et la solution de cet intéressant déliât a été ajournée.

Le banquet a été l’occasion de très nombreux discours. M. Lafond, direc­teur du Jo u m a l de Rouen, a parlé aü nom de la presse de province avec beaucoup de finesse et d’hum our et l’assemblée a salué p a r des applaudis­sements chaleureux un des hommes qui font le plus grand honneur à notre corporation. De nombreux délégués de province ont, de Lyon, de Tou­louse, de Nantes, de Montpellier, ap porté au Comité central les souhaits et les encouragem ents des organisa­tions départementales. Faute de pou­voir les nommer tous, il est équitable d’accorder une mention particulière à M. Gitton, président de la Fédération républicaine d’Orléans, dont le dis­cours d’une sobre et émouvante sim­plicité a déchaîné de longs applaudis­sements. Avant la province, Paris et la banlieue avaient eu l ’in teiprète le plus autorisé dans la personne de M. Félix Roussel, président du Conseil général de la Seine, et enfin le Parle­ment avait été représenté avec éclat parM . Thierry, M. Ribot, M. Méline.

M. Thierry, qui connaît les devoirs de l’hospitalité, s ’était borné à une brève et spirituelle allocution de bien­venue. M. Méline, un peu plus, long, avait montré beaucoup ^éxcessive bonne humeur, en appliquant e la po­litique le propos d’iÈdipe, que nul n& peut se dire heureux qu ap rès s» tnort.Le « grand » discours de la soirée a été pronopcé par.M .jRibot. Le'réSumé qui en a été communiqué .à . la presse n ’en donne peut-être pas, dans s a ÿ re -

une meilleure répartition des charges fiscales, d’assurer la protection de la vieillesse et de l ’enfance, de faire ac­céder les travailleurs à la propriété. Tout ce que M. Ribot a dit se trouvait en substance dans les vœux du Congrès. Sa tâche a consisté à grou­p e r tous ces éléments épars dans une admirable synthèse, et à les revêtir de 1 éclat d ’un langage qui avait rarem ent eu plus d’autorité et plus d’accent.

A la Commission i’

i d o s B T r o B y « » . « gR adicaux m alm enés.

M. Bourrât, député, candidat au Conseil gé­néral pour l’élection de ballottage de dimanche dans le canton est de Perpignan, s’était rendu a Cabestany, en. compagnie de M. Kérguézeo, député des Côtes-du-Nord, et .d’amis radi­caux pour donner une réunioi’Bâ accueil vio­lent lui fût fait par les habitai^'''^

Les automobiles ont été cnblëés par une grêle de pierres. M. de Kerguézec a reçu unCoup de pierre. .....................

La crise du Midi n’est pas aussi apaisée flu on Veut bien le dire. Les vignerons, le font voir un peu rudement aux politiciens blocardï.

Grave tampomnement.Jeudi, dans l’après-midi, un train de voya-

reurs qui stationnait en gare de Vallerois-ie- Bois, sur la ligne de Vesoul à Besançon, a été tamponné par un train de marchandises allant a grande allure. Quatre voitures du train om­nibus ont été télescopées.

Il y a, d’après les derniers renseignements,3 tues et 20 blessés. = ’

m i è r e p a ^ q u ia été la -pa rtie .c riti­que, que idée tout k fait complète. L’orateur a fait p lus qu’une allusion aux sujets dp tristesse et d’inquiétude qui hantent -les bons F r ^ ç ^ . ij. a trouvé des a è c e n ts in d ijm & p o u r.^ r ir la grave atteinte portée p a r l’a loi sur la dévolution des biens cultuels aux principes généraux du droit, n a dé

----- , ------- ------ .. WAI.S.VV444.peiroettent à Ja Ghambj^ de bp.^leYe^- se r tout lé ifroit compii^^ lédroit fiscal dans la su ip n sé d’une s é ^ c e de nu it,,E t il a hautem ent dé­claré qu’il préférait s’exposer au re­proche injuste d’un peu depessimîsm é' que de s’abandonner- « aux mîSfes complaisances et aux trop faciles réài- gnatibns» .

Ceperidaht, dans là situation ac- -tuellp, M. Ribot relève, comme un symptôme rassuran t ÿ ie des répiûili- çains « séparés de nous p a r les cir- jBonstances sont am enés,par la consta­tation des péÆ s que nou§, avons dé-‘nWn/vAa ♦cv-rvvw» .«ilL —Tl-y __-noncés, k tenir ün làngagê ^ se rap-

s du nôtte-»; CéSib pàrfM tém ^tproche _________exact. Mais il faut répéter, à sa tié té

prés^>té,k c^tains m om ents,^ très ' vif iutérê^ SUe,«étép»artieia!ifeenifet' marœtée par qm r h p ^ de S .Remue, et par-iMfe' qui s’hst eogagée au Stgét aùa jçêiï.' de M. Méline.,M.,Jutés R o c h e , ; roènl6; •’8âns un ex^'sè.LhMH^^ \udde, les résolutions ae la sous-

d ^ s une politigue de contre des périls œiagmaires, ’

au lirâ de n’attacher k la réalisation méthodique d’un îH-og ratnnîe pi^cis et •mesuré. rM. Ribot a nïontré'lâ contri- butiou que le» r^ubficâÎHs ‘proi^es-'

l^ a r a - a f i ta x a e .cé nrqg^ d’kcT,. ficm-TI çô m p o i^ '

^(hiptiom dea.mesuâBs iWU^jnpreÀpfigr petter la harihedàns< JEU; BUfStème de fivorifisine e« d’« è i- t r ^ gtarisqueidènefas ïaif'e*«WinKét‘

a'dlîteftrr

Les Instituteurs de la Seine.Jeudi a eu lieu l’élection des conseillers dé­

partementaux (instituteurs) pour le départe- ment de la Seine. Tous les syndicalistes ont été élus et réélus. M. Glay, qui a obtenu le plus grand nombre de voix, est un apologiste de M. Hervé I ^ °

Les disciples de MM. Hervé, Buisson et Jaurès restent l immense majorité, et couvrent la VOIX des instituteurs restés fidèles aux en- sewnements des Paul Bert et des René Goblet.

Que MM. Clémenceau, Briand et Gasquet nous épargnent au moins leur consolation ha­bituelle, qui consiste à dire : « Les instituteurs antimilitaristes ? Peuhl minorité infime 1 Les instituteurs syndicalistes? Bahl Insignifiante exception !»

Assez de vaines dissimulations. La vérité, c eÿ que les instituteurs syndicalistes sont les maîtres de l école.

V if I n c id e n t : D é m is s io n d e M. d e F re y c in e t»

La commission sénatoriale de l’armée s est réunie hier sous la présidence de M. de Freycînçt pour continuer l’examen des textes relatifs à la réduction des périodes des 28 e t 13 jours, dont elle est actuelle­ment saisie. Tous les cominissaires étaient présents.

M. de Freycinet, ouvrant le débat, a ex- pose avec beaucoup d’énergie les raisons qui le déterminent à repousser toute mo- difl.cation du régime actuel.

M. Rolland, paftisan de la réduction a parle ensuite ; puis MM. Labrousse, Bou- denoot, deGoulaine et le général Langlois ont pris_la parole, les deux premiers en faveur de la réduction, les deux derniers contre.

"M. die Freyêmet enfin, est revenu à là charge et a proposé nu vote de ses collè­gues une motion tendant au maintien de la durée de 28 jours pour la première pé­riode des réservistes. Cette motion a été repoussée par 9 voix contre 8 et M. Bon- nefoy-Sibour, qui, absent pendant le scru­tin, rentrait à ce moment dans le local de la commission, a déclaré que, présent, il aurait voté la réduction.

M. de F r^cinet s’est levé alors et afait connaître à ses collègues que, se trouvant en désaccord avec la majorité de la com-

I inission, il se considérait comme hbis d’état de diriger ses travaux et, par suite

I abandonnait ses fonctions de président. Malgré les protestations empressées des commjssaires, l’ancien président du conseil a persisté dans sa manière de voir et a œ- fusé de retirer sa démission, laissant en­tendre qu’il pourrait avoir à combattre à la tribune la décision de ses collègues.

A r É t r a n g è r .

lies IBaladesetie Bloe.L Histoire nous a conservé le souvenir

fiffuistre, qiii disait allègrement' :— Périssent nos colonies, p lu tô t <nte

nos principes!L anticléricalisme de certains de nos

politiciens s’exprime volontiers de même en ce qui.concerne les pensionnaires des hôpitaux et, eux aussi, diraient — s’ils osaient:

- - Périssent les malades, pourvu que nulle atteinte, même légcte, ne. soit portée a d sàcrosaint principe de la laï­cité dés hôpitaux I Je n ai pas la prétention de. rouvrir,

ici la grande querelle pour ou contre les sxurs. Non esthiclocus.-Xes nronorfzo/is tdarticulets ■ comme celui-ci n y sufA- raieiU pas. Je veux simplement-noter à quels résultats d’incohérenoe p eu t ame­ner la manie delà laïcisationa outrance.

C’est un, confrère vosgien, la Tribune r^^ubiicainô de Saint-Dié,Vecko de deux fa its con^rhporains, oui seraient vaudevillesç^t^es, s f la -santé et la vie d'un certain nombre de malades

Etats-Unis.yUle prise par'des brigands-,

Ottmande de New-Vopk au Stai^ciTdftpxe 500 nommes environ, armés et masqués, ontsm^îsé, ïd ^ lp dedans 1 mat de Kentuchy, et arrêté les services' de la police, des pompes, du téléphone et du chemin de feCi ^

Tous les habitants qpi.essayèrent de sortir furent capturés et détroussés ; l’un d’eux même fut tué.

Entre temps, les bandits inêendièrent trois, entrepôts de tabac représéntant une valeur d un million de francs. ’ .

I Les habitants tentèrent de les poursuivre, mais sans succès. On croit que ces honimek . masqués étaient des planteurs de tabacs, qui ont eu recours à ce moyen peu banal pour pro­tester contre le trust des tabàcs.

! P.ris.àupuuê part, à; l ’augmentation eu. au i maintien de l’indemnité parlemehtaice portée ,418.000 francs, adresse à' ses élus toutes ses féjicitatiens .pour leur attitude pleine de correction: ef de dignité. «

V alidation des Députés.vant proposé le vœu sui-

« P ^ r les élections au Sénat ét à là .Chambre des Députés, la- vérification dés pouvoirs doit être faite, en cas de contes­tation, par une commission ex-tra-pàrle- mentmre,. composée d-’un nombre-égal de conseillers i la Gour de cassation- et- an Conseil d,Etat. Cette commission procède elle-même, s’il y a lieu, aux enquêtes qu elle juge nécessaires et se prononce souyerameiBEntsur Invalidité desélectionscont&st^s. Il y a lieu de compléter ce sens les lois-constitutionnèlfes de 18T5.

iiihëTtè« Que ia, liberté i^ i^eignem eat, sdit

reMunue et garanMêâàr.la hiidan&son principe ; que le droit aensaignm? eb celui! Uà^fiCBrBniétaMiMMaantdWmânoflniBqfsoient reconnuSr-:à grade égal,, à tous.les

fibi n’ont pas été ibàppés. d’une déchéance,pénale ; que la fermeture des mais^S; d’éducation dans les cas prévus ; par la loi soit réservée aux tribunaux ; d.ordre judiciaire ou dIscipliBaire, mais dans aucun cas à l’arbitraire d’un pouvoir public. »

L’A ntim ilitarism e. . .0 Que la propagande antimilitariste soit

énergiquement poursuivie, et qu’elle soit -soumise en vertu d’une loi spéciale, à la loi de 4804 sur les menées anarchistes. »

H om m ag^ à l’arm ée4

« Le Congrès a adressé um solennel témoignage de sympathie aux troupes L-ançaises combattant au Maroc. »

D ivers.M. Marin fait adopter, au nom de la

section de décentralisation, plusieurs TûBux,, de môme M. Méline en raveur de l’agriculture et M, Audiffred visant pagahdè. Le Congrès demande aus__.

« Que l’avancement dans la magistra­ture soit Pobjet d’qne réglemeiitafion spé- ciâie.qui fixé en même temps leV incqm- pâti.bilités élqctivçs de la inagistràtuf ê. ’ ju Oliô lai rr'i'îâètîArv Ann _

ïàîfè i ses- 1® ï ’«d«râtion, le citoyen

Coûtant quhmoteimti,«sfcpwff4à%ianièr6 énergique, n a d aüJeurspas hésité.

questionnait sur ses intentions, le citoyen dëhuti (flvirt â

inots lapiiiires q i ^ ^ : bouohe-ë|ù«no comme des periés ; « Je lëà emmène-l ia eâthpagne ». '

Vous déyinez'bieii .que notre confrêi» ■que C o u t^ a ^ r iu s -b re f . •

La-F^nationavait envoyé une lettre: Coûtant lui en a renvoyé cinq. On ne' ■ compte pas entre, amis.

; • '— à— —— ^Ijroihyçùeq

Mgr Douais, évêque de Beauvais, rendi deux oirionnances, l’une ioMitiiaot an bureau des œuvres d’action ot d’apostolat.'

àfe&stique des acctdén.ts

J |r tu de l^Q cle t s de la loi du « à ïf fl '908’ troisième triméshre qa

. les . f ^ r e s dopnés dans les ta­bleaux récapitulatifs de l’Oise :

Nombre des personnes tués ou blessées : honomes de moins de 46 ans, 2 ; hommes a» îft plus, 43; femmes de m S ‘i Totah 47 ’ '

Cas de mort : 4.Cas d’incapacité permanente totale. 0 '

cas d incapacité permanente partielle, 43* Nombre pour le cas de morts ; des

S s ! 2.®’ ’

— ---------------- *— -------------

C pntrlbM tions dR tee te s;.M. Capon, contrôleur de3“ claasi

est hommë'contrôleurde3‘classér M. Peuchaud, contrôleur dë 4« cla'sso

(Charente), est nommé contrôleur de l " classe (Oise).

- -Çft® M retrmtes‘ouvriè­res Mit résolue, tout eh laissant une part àussj to g e gua possible à. riqüiative iudi- yiduelte. '

L a v é e o tte d è s b e t t e r a v e s r •Températur® moyenne de la huirame

6»4 contre 3»0 en 4906 et 5°8 en 190S7to température a été généralement doucé ^ bruipeuse ou pluvièusè. A Paris, on a té-IftVfi -nfifi Arvarèe Aa ■ âom a i n„r\ -a l.

Siulyse. . . .

Election du Prisidént ie la République.. L’assemblée fédérale a élu président de l à - Confédératioà helvétique pour 1908, Bar-186 voix sur 188 bulletins vatablès,--! H. Ernest- Brenner, actuellement vice-président du Conseil fédéral, député radical modéré de ■

I Berne.L’Assemblée fédérale a élu ensuite yise-

président du Conseil fédéral pour 1908 M. Joseph Zemp, représentant catholique du can­ton de Lucerne, par 160 vmx sur 181 bulletins valables. :.

Q q f s j t l Q B s

[ Nonveaamaatéan pour les cavaliers. . ® t o g l Ç m p s Qn se,plaigoajt dans.laV nsuperbeJiâp ita ffu teonst^itnouriiù I ôes inconvénients que présente lede tous les I manteau à pèlerine. Souvent gênant“.-xio 5 ^ y~ I to® exercices & cheval, .il est encore plus

incommode à pied, à cause de sa longueur et de son poids. . . "

Aussi vient-on de mettre à l’essai, au 23* dragons,, à Vincennes, un nouveau modèle de. maotéau qni se compose dé deux parties : un pardessus et une pèlerine. Le pardessus est

K civiL’ mais un-peui:..)ôlus côurl, d#façotf^Tï^àrgènér1à nîS^eV Les boutons ne sont pas apparents ; le col,

iarge et relevé, protège-une partie de afiriRgure.- * La pèlerme,. .destinée puTteut A être poifee cheval, est ample et se fixé au col par des boutons. Ce nouveau manteau est gris bleuté,

— F - , xr- . . . ^ u i A oux u u u i e r econtre le Tayontisme toutes les garanties auxquëHèS iis ont fifoit pour leur recrütë-inent; que les.fonctionnaires soient mbins inqmbrrax, mieux payés, et qu’ifs 'Sbiént tenus d observer la neutralité politique fa plus rignurèuse. - j; «'La Fédération exprime le vœu que le ' règlement dë' la Chambre, exigeant le 1 renvoi du scrutin à la prochaine séance, 1 quand le g a o ; ^ - n ’est pas atteint, soit appliqué c’est-â-^î*e quecette prochaine séance soit tenue le len-

n’étaient en jeu.Dans les Vosges, àMoyenmoutier, une

Aotitlian-/ a n M m jn deu il voulut g iéun cher sou venir se perpétuât pàrim lôna bienfait.

„ . I A i-aris, on a re -'« Que les fonctionnaires soient pourvus I . l “i à -|- 8°9 pàr ’rap-i

au plus tôt d’un statut, qui leur confère I P® normale. Pour la huitaine,T’éCârf! loa I moyen est de-)-3°0. Latempëratürë'dbtto ' '

et humide a favorisé là croissance dësiæ- réales en terre et permis d’adhévè'r semailles. On commence à parler des marchés de betteraves à sucre peur iSâiX La culture, sôfiicitée par la d i s t ^ ^ q ™ favon,se,le haut cours de l’alcool, et m -- les prix relativement avantageux -des - réajes, mon,trépeu do: -dimosition ê iàira de la betterave à sqcr-e. La.' fàbriaüada i sucre, d autre pârt,,ne peut guère mmèle. ver le prix de fabettérave, étant d^c^é le

* m a m a ü ‘plés tôt; ë t mm pas'lèbiSMe i -77 ,1“ — --yjoufi-if : ' V. - ‘ ’ I DJtoesetraugmeptationiluprix derewént

Enfin PaSsemblée décide qu’an -mani- 'l ? sUcre qui en est . la conséquence.-Qiiafeste de, propagande sr • ‘

■pays,’ â rrisoasioni' des pales, par les soins de

Le R ahqi^t.

.nardÿiKrantzvBrice, MariBr-Sprohefc à L ÿ l f f iô P ? to .s le commerce, con Gontaul-Biron, de-Moustiers, Prache, etc ' 1 t0“5es ëo Î906-0Îdéputés.;.Méline, Audiffred^ général j 1 w aôgeri là fàbricàtion estte'ràlnéa glois, Francis Charmes, GotteSnn,fl!ourôiK 4 .“àns. nombre d’uSînes. Lé rendem.ent en ;Prevet,,Souriu, MHliard,Ee8sarf,.ete7 sé./ rflurfeTtiontnatecirs'i-v^àm: Goûtant.: Audigiei*, .-Duoiiss-flûl /Mil .¥\ 1._« -

giène moderne. Les fondateurs y ers- gloutirent un demi-million, rie m ettant ■qu’une, pondition à leur libéralité ■; dest que Vétablissement gui-leur aj^partient. serait occupé par des religieuses. Mais le Bloc veUlàit. Les robes de bure lu i

la rë.çoliejB’annôpce comme tardive et fdé-temént déficitaire.

.yiournal des.fabricants de sucre.)': ’

, depuis quatre ans, l’hôpital, achevé m a ^ désert, dresse sur.. laJtauteur ses . murailles aux fenêtres closes. Combien, de malades y auraient trouvé, depuis quatre ans, la guéfison et le soulage- im n t de leurs rndùx 1 Ces messieurs du . Bloc n en ont cure. Les malades peuvent mourir. Les soeurs ne reoiknàr.mtt pas.

Dans uneautrecomrnüfiè.à Çorcieuk, un philanthrope, Pierre Nicole, deux fo is p r ix de vertu de l’Académie frais- çaise, dirige un hospice de vieillards in­firmes qu il a fondé et qu’il entretien de ses deniers. I l y a quélgues années, un rnirmtre, que_ ses eff orts dp noble cha­rité intéressaient, fit accorder à la com­mune Une somrhé 'de 42.000 francs sur lei fonds du pari m utuel pour la cons­truction dTune annexé à 'cet hôpital.

lié

— --— ™... ...... remplacer parune infirmière m qUe, i l n*y fa lla it pas songer, à cause de la dépense d abord et peut-être aussi le mangue de garan­te s morales suffisantes. Bne'^sœur eût

tü Pàffaire avec ‘SO. francs par mois. ,ja is introduire une sœur dans un Kôpi- ,talf y,pensez-vous ? Jamais t.... I l vautm ieux voir mourir les malades laïqué- m eplgve de les voir soigner cléricale- ffiént. , . , ■ ' -, EtfÇomme l’hôp ita ta ih iieonstru itn i ’ ^ r v a i t d nen , ilja été loué à dJtonora-

A l a F é d é r a t i o n R ë p i i i d i c m ^

{Suite et fin.)

■ Le Congrès de là Pédération Répnblii came s’est clôturé mercredi à neuf h e n r^ '

I et demie, par une séance plénière 'qui a réuni près de SOO'délégués des prdVmoeh et de Paris, autour du présidant M. Thierry. . •

Totoi’lee principaux vœux qui mit été l'unanim ité ; •

Là Rèprésentàtion prppoytfcisnéÙB^« La Pédération républicaine, toute en

se déclarant prête ê accepter comme 'fiée conséquence et nn complément la téSum-

OD d u

nel, ^ r t ^ u la t , .qolonel -Roasset,-', anciens cépifiésj Rri Glêmenti LatMie, Exhcavat,Georges Picot, etc. ,

Plusieurs discours empreints de »«- ■ , gesse, :de .loyauté etiie patriotisme ont été I ' p r o i t o ^ par MM. (rtiierry, - Ribot, Më- J ,

I line, .Fé|ix Roussel, président -du Gonseil- [.général dejta Seine, et.lfls^rëpréS’éntants

des Fédéiktions du Rhône, du Sud-Ouest, I n j i i - t j deJ M r ^riU, de r o ^ a ^ . e t . . , d e .N rT-J

. 4 ' S E p S T p .D E 19p7 _

Présidencr^ë M,Assesseurs : MM. LoiiiCHE et Picquet

V.’lùi. -itu- • I ♦ il a ■».

P r t K s s e

,e ce a;ac-. fie rva u a n en , w^ '(désindmtrulrqui Vcnftransf&rmémLâdAStu^n.. liAiEi fnÀsnAe>a_i POUUllll€T,,iI)€. ^T tê e/tAê fgnds ’dttl

i époülaD^r,,ibe sorte pari m utuel, prélei des malades e t des réalité servi, qu’à F hàssekouf. " . - .^,<Lestle cgs,pù Jflmçfis de m us,inter dire fout commentaire. ” L. M.

énttetien \ n’ont, en

d une

tien du nombre des-‘députés, amrme- qu aucun progrès réri. ne .saurait éteè accômpU dans le fQnctionneii)e0t(,-dû a rf - .

.WnstitBAiqn préalable -, du -scrutin fe , liste, avqc .renrésentation proportionnelle, et éidèt’lè vœu quertâ propogtion rapportée paÿ’Iâ 'Ê è r i i^ b tf

& î f S .' tièa qiunze ‘ in iüé îriinbsj -

:M. Bonnefoua fait adepter iet acclameb J.e vœu;,suivant :

élus’ ’ont

, i-' '

DaJournal de Clermont„ to u t m m e. Voici que , la ^ritcffen ' Goûtant dTitfë (ndblqss.e t e â n m d e 'i ^ t i s ’ t o Ü M m 'pîS^ïM pn, en;'sumitaôfi dans'fe P a r t i o M ^

qeS;jonrsîaeAiiers, le c ito Æ ff ii avipt inififè tfms 4ês « t o i M n W ^ du.Parti,DëVèzé,

défepse, i-’- (rirtè' Ebre oü m Sjrîri pratéüts’’4’aco8bto.,Tiririlaœimréunit» 'ô ts a ^ litè 'îi % h s y - - - d’une-dïganisatibn boui^ôîs..

tt' *iW ’Qôdtaflt 'ë f sén’ .a

ê ^ a i r e E udesilfViolj.,.,

. Eudes (François), âgé de 34 ans, ma- pouvner, sans domicile, est r e n s ^ de­vant la Cour d’assises de l’Oîse s o ^ l’iif- çufoation d’avoir, le 28 j« irt907, commis.

; a Montherlant, u n . attentpt- tenté ou consommé avec violendës sur la personné -4eja dame G..., M e4 s4 g ,sn s . r

Les débats onTTièü a huis clos. Trois Jémoins sont entendus, -prmr fésqüéls la . vicfiise, fem ie d'çgieboooraibfiité éêd’m ' . toMs,dft U-PPfaittsdU-%^qui, à Ta suite de 1 attentat, a été n '— ------ ’

a Beauvaia -

« I^^Ctargrès, çonsidéeant que les é du parti républicain progressiste n’i

A I4b O,’ÿtwSë,'iàaiidu„. près avqir été des «-^-“iës années, Cou.„„,

. raneniiêliàiiieM wéïé |m’Ÿ a'ïril Sttide^uVî fflstèâi. »aaai''b& üt*rtüfejtidêê»

l ’aufr^lflB lo rF qtiéae ftîèdï’f l -tétiA malicieux, mais • pWMssàut u«ao n fô m és, le prétendent; mms ntobb-r rez ùjiigae ce sôntTà deS éhdSàÂüf né sa’ I d ^ ’l a t f 'ùàtoqLfiq ‘Mssîla vërtu que les milieux socialistes.

, 'M b to ip , s’ û j ^ l sur laid.

un

[• GiTlés ‘'jBÿàn^ë J lh L .» ,^ „ „ P à lu # 'ç 9és>hl' pu

fg^ûisme de son client e t'dS m --^- ‘r a - i t '■^PPfter ■ ffn'- verdict ui»™ ] adriiSibo des ciiÿonstancês att^ÜM ’

d M e s , sans orëoflgtahcés a fe n a n l la Gcfar a prononcé coSitrèW t o n ô ciTiÿ années de réclusion^ .

-r ' **• ' •

vaiq, qm.défll

fifig i ïé to n néjpriS:'le Te pr^en Tàccusê,quçr le érimè'ddnt jj s’èst i

Page 2: Paraissant le Jeudi et le Dimanche. J O U R N A L l ) f O ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1907/bms_js_1907_12_15_MRC.pdf · f^^Aanée. — JV? 100. - ^ C l M O ^ f g W I l M E S ~ lt«,

jsa

:. du mardi 10 diermbre.. Affaire Ulchot.

' 7.' . à la pudeur),g ^ r t o i e Micftit, S4*ns, aatien institu-

révoqué, boutoMfer à Jouy-

ooBïmis un attentat à la g ^ s u r deux fillettes â g é ^ ^

s exprime facilement. ‘*®?,.**ébàts, il prend des notes

n n L ia • P®S'.t*ODS des témoins et fait poseur des questioifs aux enfants en essayant de les mettre en contradiction. ^

â plusieurs condamna­tions en Belgique et notamment à un an et SIX mois de prison par la Cour d'appel de Liège pour attentat au mœurs.

“fini reconnaît une partie des faitsqui sont d ailleurs confirmés par les en- lants, leurs parents et un genaarme.' p h r ^ t A n i ™ * é n e r g i q u e de M. Christophe, juge suppléant, M« Vermont plaide pour son client qu’il représente comme « victime du parti clérical en Bel­gique »!

' . f e mry rapporte un verdict de culpabi­lité mitigé de circonstances atténuantes et le condamne à quatre ans de prison.

Affaire Hautmann.( Meurtre.)

L’accusé Aloys Hautmann, âgé de 17 is, d’origine belge, ouvrier agricole àa n te u i l - l f t - H a i iH n in p c f l in iû itn r t ___

ble“sLre“s®ni!iPn°'^^“ quatregnures. ^ faraissaient être des égrati-

nne'h^i™ **''''^?.^ qu’“ blossé ààtfes l^nf= ? a“an‘ porter de la verdure a des bœufs à 1 herbage, ce oui fur re-f^ste .'""^ '® ® “ *’‘®*’‘® médeqin-

Porchetaà rieiif AA aff '’“ ® compromettantes « m P H i u déclarén.Ü u 1 ta femme Barré,avait '® ®®“P ®‘ qu‘revolve? » *® ®°u

De plus, le 16 octobre dernier, Porchet a ^sayé de s évader de la prison de Scnlis. av,T(® ® charges pesant sur Por-innL'ent allinne qu’il est

Porchet, interrogé par le président, ré­pond avec calme ; îl assure n’a v o S l i s été 1 amant de la femme Barré

l a | i s T n S ? f i i ? “ - ®

CUUilhiüih Uü L'üisis

ans, uu.ig.nc uBige, ouvrier agricole à Nanteuil-le-Haudoin, est un jeune homme imberbe qui n a pas l’air d’un mauvais sujet.

Il ne comprend ni ne parle pas un mot" de français ; aussi est-il assisté d’un inter­prète, M. Vandenbogaerde, adjudant au

Le 22 septembre dernier, dans la soirée, les époux Corme Onésime, M. Coulon et sa soeur, Mme Tremblay, regagnaient leurs domiciles à Nanteuil et passaient dans la grande Rue, quand ils rencontrèrent trois oulTiers belges, Vandeneyde, de Laen, et Hautmaml, qui se qiÆrellaient.

Sans provocation, M. Coulon, qui mar­chait en avant de ses compagnons, fut as­sailli par deux des belges qui le terrassé rent.

M. Corme se porta au secours de If. Coulon, et au moment où il maintenait l’un des agresseurs, il reput d’un autre un violent coup de couteau à la nuque.

Le blessé fut transporté chez lui où il mourut le 29 septembre.

Les renseignements sont assez favora-Ae à rar>nilCA <rni Ovaha Qiri\;i« om A ---------------------------------------SSVUb iaYOi‘4”bles à l’accusé qui avoue avoir agi à Tins- tigation de Laen. Après l’audition des témoins, M. Joly demande avec éloquence l’acquittement de son client, et M. Magnin prononce un réquisitoire modéré.

Le jury rapporte un verdict affirmatif, avec circonstances atténuantes.

La Cour acquitte Hautmann comme ayant agi sans discernement, ordonne sa mise en liberté et le condamne aux frais envers l’Etat.

L’audience est levée à sept heures du soir.

Audience du mercredi H .l i ^ e O z * ix x ie d e B e x * o z x .

Affaire Porchet.(Assoisinat.)

Tous nos lecteurs ont encore pré­sente à la mémoire la scène tragique de Baron, la découverte du malheureux Barré et l’arrestation du coupable, présumé Porchet. C’est ce dernier qui comparait aujourd’hui devant la Cour d assises.

Ulysse Porchet, d’origine suisse, 81 ans, vacher â la ferme de la Montagne de Ro­sières, est un jeune homme intelligent, froid, calme, se contenant, 11 est considéré comme un bon ouvrier et nie absolument tonte culpabilité.

i ’aeeusation.Le 8 septembre dernier, dans l’après-

midi, M. Théodore Barré, U ans, charre­tier â la ferme de la Montagne, commune de Rosières, et habitant e.i face la ferme s’en alla faire des achats â Baron, et né rentra pas à son domicile.

Le lendemain, vers six heures du matin un passant, M. Ducerf, trouva, dans uiî champ de pommes ne terre, derrière le talus de la route de Baron à Rosières le corpis ensangknté de Barré.

La tête était réduite en bouillie èt mé- concaissable, le larynx et le crâne frac-t iir4 « /

, Parce que je ne pouvais vivre ainsi épié par les autres détenus qui allaient rac^onter des mensonges au juge d’instruc-

crimeT^ l’auteur du

eant et j ai toujours protesté avec indigna- moi „ ® accusation portée contre

Les témoins.L’audition des témoins est extrêmpmpnt

longue : 57 â charge et 3 à décharge.Le docteur Pauthier, médecin légiste

est entendu le premier. ° ’Requis par le parquet de Senlis nour

faire les constatations médicales, il a tout d abord remarqué des tâches de sang sur la route et sur un tas de cailloux, ce oui prouve ou il y a eu une lutte. ^

Le cadavre a été traîné de la route ffanc trouvé™^ *1® pommes de terre où il a été

fn/i e- du cadavre et a cons­taté d abord des traces de strangulation ■ puis sur la figure de la victime, if a relevéalfAi AZ® s'’f® ?”®®*’^*'entes et le crâne était défoncé â la tempe et sur la partie suné rieure du crâne. ^

Il a examiné également les cicatrices que Porchet porte à la figure.

On entend M. Eloi Roux, 19 ans, vacher à Baron ; Alphonse Ducerf, maçon; Mme Delsau, journalière, qui ont cru croiser Porcher aux abords du bois de Putinval

Victoria Barré, 19 ans, fille de la vieY\A rw..n p. _ _ 1_ -

heures moins le 10 heures.!/.i et pas avant.è S h e S re s f f® ” ' toujours y être arrivé

fw o . s Æ S , n

time, raconte que son père ne voulait plus rentrer chez lui parce qu’il était traité comme un chien par sa femme et Porchet

Elle ne veut rien dire de ce qui se pas­sait au foyer familial,

Le lendemain du crime, elle a aperçu des égratignures sur la ligure de PoW et et un soupçon lui a traversé l’esprit

Elle a demandé d Porchet d’où prove­nait les égratignures qu’if avait.

Il a répondu qu’elles provenaient d’un grillage sur lequel il était tombé.

M. François Barré, ouvrier agricole qui travaillait avec la victime, a reçu les conüdenees de ,son compagnon qui lui a dit que « le torchon brqlait cfiez lui »

Le lendemain du crime, au café Dupa- quier, il y » vu pordjer qui paraislait troublé et portait des égratignures au cou et à la ligure.

M- Baude (Jean), manouvrier à Rosières, qui était autrefois garde particulier, a surpris, dans Ips feois, la femme Barré en conversation intime aye.o un maréchal- ferrant. ■

On entend les dépositions de Mlle Aman- dine Pelorme, de M. et Mme Dupasquier, débitant» i Rosières : ces derniers affir­ment que 1 inculpé n’est pas venu dans leur café entre 6 et 8 heures ainsi qu’il 1 assurait. 4<* “

M, Coulon, manouvrier à Rosières, ra-)r)rA fl nno rar>nn n_ ’ .

H y ÿ è n e j o e i a l e

Prellininalrès — Programme.A , P^éxidonyme SiTens, ^abrite

caractérise un des membres de la Faculté de Médecine appréciés, dont les conseils

P ja tm e s et autorisés seront, n o u T ^ doutons pas, très goûtés du public.■Dourniv^nn-"^^^ pour nous de

Nous sommes heureux de nous être ossuré cette précieuse collaboration et nous remercions notre sumvathinue docteur de bien couloir nous éclairer de

questions d’hygiène mté)essantes au premier chef. 'Les nations n’ont pas de nluserand intAvM

,1“®®®'“' d® la ^ n lé pubiiqùe : f S n c (O H l la scicncô sociale iiare.xcclicnce F lin tr,çho à tous les pi-oblcMiiesmi c o n ^ des peuples. Elle a les crnexbnsTes ?,b‘s ?ôm'iq®ue.“''®“ cl l’Economie

En France on parle beaucoup d’hysibnesociale. Des sociétés savantes, des conér?»s en occupent ; les journaux politiques luv-mtnies en entretiennent le public Malheiireîtsement si elle fait si souvent r îb je t de „ sconversations et de nos lectures, ofio est Wnde trouver dans nos actes, une InmorLlÀcorrespondante. C’est que pour être nifse réeflement en pratique et porter tous sès frui?!'elle comporte d une part une étroite solidariténationale et la pleine conscience cbez tous lescitoyens de la nécessité de cette solidarUé e!d autre part un gouvernement dégagé de toutpréjugé parlieulariste et des mesquine in?»“L"aT P®'®'’»'®*- Sous ce rappo^rufnoul laissons beaucoup à désirer • SS... i..mauvaise grâce à soutenir que nous r^mnuf ^ mm ----------sons convenablement ces conditions Eh I t n ra # •ne nous sommes très audacieux mais en ^ O S i l l t Sique nous restons bien en arrière de presque" # J

Î,aÜ®u»“ . bien le v o S n ipou de toraps. lorsauA vn vonSi. __ _:r“^

montobts,“ l l u ^ S e ^ S t ^ * ^ * ? ® " "

l’absiW hè;»it prohiM e en F r » ^ ' ^ ‘® 1 l’est dabs d ’autres pays notanariéiît^^^® en Belgique. Mais le M in U ù l^ aeéP " '® * ® ’' consulté, a répondu par uu^^ aXAP Izsc I__.1 -

veniion aes^eius « lionne âlîsinthe «."Et 'c'èsT’aï nous, prise entre les influenees p,!®,*;.. ® î*!®* nécessités linancièées, i’hvéièneV^ S?*? ®* ’®®

a ^ l n lumiè'?e’ q 'u 1 i ; . f e ? S <fu‘i t I Z pas encore connues ou accenté« è» ia ..! ? • monde. II faut démontrer et prouver à tous queèx 'par tos f ® " ’ ®®eux par les liens d une solidarité élrniie ai

aux moyens que l’hyeièneS ï i V i ï s s . r -

faU P 'r j “ on‘‘nè“ s M 'T r o ^ S r " • Çest qiiun peuple qui veut continuer à vivre doit, avant tout, entretenir sa population parce que le jour où son accroissement cesse S’èlre en rapport avec celui des nations qui fentnii-cAni ïi* ? I*® prospérité dans le pré­sent et do son existence dans i’avenir

Nous rechercherons ensuite et nous ferons connaître les moyens de diminuer la mbrtafité Pour cela assainir nos villes, nos b a b i lS s •' tournir aux classes laborieuses une alimenta’ tion saine ; élever les enfants drm aSèîc à Z Z P Z ®‘'® ®“* >® l’ésislance de notre

uos|ÿle pou, lu, i c e iu u ,^

d ttlairer leur esprit et former leur juffément sur les mesures de salubrité morale et m té- rielle qui s imposent dans le siècle où nousmAnl”®,?ém ““ gouvernement essentielle­ment démocratique qui se trouve par son essence môme, dans la nécessité d’établir une?es devoirr" “ ®"q®er à tous

D*" SlLEXS.Dans le prochain article nous parlerons du

toS?dA"fa"ié‘''=’®.P'ÎP®'®‘'®" ®" ?>ance““ sur- mo?ens de te to r . '" '’’ ®‘ ‘'®®

2a rSserté j t * - ____g ir^ a r te m e u .t d é ij’O i e ^ aimiKche procèhain, ■*Sclmftick de |f . C .,

A— COuromvA-

____________A ^ ««“PèfifÉ

l e u « 50 f r . « t u n e ^ ï ï i S ‘c t a S ® i 2 fQ u i p prix a e ro n td é c e rX aux

peu de temps& nouvelle loi su r la Pœ tcction c K t l i l é

Il faut bien comprendre en effet, que l’hv gièno sociale est, qn quelque sorte, le résultat suprême d’une organisation socia li très forto et très savante. Il n’v a nas. il ,.a.,7 ®.

èèiaiiuuviici d n u s .conte d’une façon amusante que'Barèé'*a avoué âtous les ouvriers de la ferme de la Montagne que le torchon brûlait chez lui et 11 veut expliquer cette locution aux jurés.

f„Air “'"roiiiques, ou rindividu se libère Hoc rte des resçonsabililés, des charges eî des devoirs collectifs et croit, en conséqucn n avoir que des droits. Dans lés Société» fo?ei?i?A AA°'‘® m'®1®.* ®‘ cohérentes on smVle Fêle oonsidérable que jpueqt les éléments mo­raux « 1 âme de la race » comme l’annelln Gustave Le Bon, en hygiène sociale. Il sulllra

fePü,P®r'® heaucoup aujourd’hui du rôle de la IaÏ'i Hon p® ®o®'été : Nombreux et acharnés Sopt. dans 1 un comme dans l’autre sexe loa partisans tle rémanoipatiqn de la ftimmé* il nV

""® f®mme, une docZessê a osé éOPirp , « m inalprnjté ne sers plus qu’une épisode dans l’ealstenoe de la feiiiiC »bua^tm im S ir p ' ''homme en' cullurein-tellectuelle. En d autres termes quand il n’v aura plus m foyer, ni famille, la femme accoii? fIhf? ®oco®e quelquefois (le plus rarement pos-

Cation» Aujourd hui on s occupe bcaucoim nt èjusle lltjg dp l’ÿifflenMtiq^et dc - n des nourrissons, afin de diminuer îe pli/s“S sible llénorme mortalité qui les frapSe. l \ v - giène infantile indique les précautions àprendro pour I alimentation comme pour les vêtements dps flQuvBaux-nés, b’hygiène sociale Uant oompte do ces mdioatioûs assurphnlmi. H

sn indique d’autres : elle mom™ m h»

turés.Le .inalheureux avait été frappé à coups

de èailfoux, le cou portait des traces de strangulation et le porte-monnaié qu’il avait dans sa poche avait disparu.

La rumeur publique désigna immédiate­ment comme étant l’aufeur du crime Ulysse Porchet, compagnon 'de travail de la victime, qui prenait pension cher les éponx Barré et passai! pour être l’amant de la femme.

On accusait la femme Barré d’avoir p o i ^ Porchet au crime pour être iibre at poiff toucher ie montant d’un legs qu’un de « s anciens amants avait fait à ses deux enfants et aüitl' èile ne pOuv^t bénéficier qu’après la mort de son m a r ir ” “ '

Porctot, appréhendé par la gendarme- ne, étabht un alibi qui ne fut nullement justifié.

• %y •

Audience du J e m i lg .SUITE DE L’AFFAIRE DE BARON Le défilé des témoins continue : MM.

Joly, buraliste ; Job Rémy, maréchal-fer­rant ; Burgeonnier, charretier, dont les témoiMages ne sont pas favorables à Por­chet. Les trois enfants Barré ne sont pas précis et se contredisent.

La femme de Barré, vêtue de noir, a hautement protesté et manifesté son indi­gnation contre ie,s racontars des habitants de son pays. Elle a Hiiirmé n’avoir jamais eu de relations intimes avec Porchet nas plus qu avec te « père Mercier » qui lu i aurait, ditr-on, laissé une certaine somme d argent en souvenir,

Le témoin^, fait-connaître nu* c'était son marv qui avait désiré qÆ Porchet devint son pensionnàire ; a p rk ia erime- ne doutant nullement de la culpabilité dé Ipcusé, elle n’a pas craint de le garder chez elle comme auparavant,

Mmes Lalné, Loùise Bureau, MM, Ro­bert Hubert, Auguste Lainé, Mmes Lainé, Devaux, M," Pétrin adlrment tous qu’ils nont vu Porchet i Ja fête do ’Rosîlres

r ■ J- ^ jV'®'®’"®®® aasuréiiiÉiit, maïs ? ’li V ®"“’®* ’ ®"« wontre le da igwqu il y a d envoyer ses enfants en nourrice

-”'®"'® ‘I® l’aJIaiteinent au biberon ' £lenréponise surfont l'gllaiteinent par la mèro

H “H**'® ®'’*."‘ag8 de metfre l'enfant dans de meilleures conditions de survie et de consolider la famille, véritable cellule Ha i» Société Si r.lnqu!étant’e n r o K e de la doet, * resse dont je parlais tout i l'heure, se réafi- sait 1 hygiène sociale en celte question n’au-

".®‘! ^ ‘®*'’®- I-® famille aurait vuè disparue et les enfants iraient, à peine nésde s^éfixder’’’ f*®®

Autre exemple ; L'hygiène sociale connaît H valeur de la vie humaine et établit ifcSmpto SAA?ii ■'ï® ‘’®PÇ®‘’i®ai et de ce que coûtent à la riâmntü- ? ehfaal? larés, les alcooliques, lesOéinpntf». es cr mine s ai

A Saint-Vincent.l i t t S " â V® ^ * *'• 30- matinéemteraire a Saint-Vincent, sous la ort^sî-dence de M. de 'Waru, maire de Senlis^'^A particulièrement consacréeà José-Mana de Hérédia, académicien »tg??mme : ''® ®o"ège. En voici le pro-

à f ln{fn“' “«verture pour piano

préridrnr® C"' Maarat,

(Bfrofde’M?cSuj!'“’“^” ’ eafantine

p £ m lïa u m rD rifS y eÎTeTa f e l !

h f e f e l? .® '' ®‘ ■'®®®P‘'®“ ‘'®a nouveaux élus

loD ^^ iS fitoe l! '’® '"®'® P“‘"' P'®h«®‘ vio-humoristique de José-Maria Ha

p " a r M ^ . r é e r i æ

en aitom^nd!' scène dialoguée

fflahre! Ff"h9®Çéç h Is Rgr

lo^ÿafo“®e?’h O „ '® f ' ‘‘‘- P®- vio-

vcrs‘dîkC?Lédie-rf.J,^,^j;'^^^ ^ propos en P ‘ii'anytrqueyitaù<,

TT ra de moiiJn Fr-xnqah.(J.-xM. DE IJkhÉUIA )

------- f

Conférence de M. J ea n G aîlla i^ .’t o ô m S » » * lû i té s , eu

g ra % uMlè SaHH-"»* la CQwrettôe^ie Iifi léKn rchipÿétre ®oorler*^*^'*

le donféleneier,de ^élmeàé^de IX ^

oeauvais. Il ajoute qu'un deuîTimprévu dans sa famille n’a pu l’empêcher de s’ac­quitter de sa promesse de conférence à oenlis.

Gaillard se lève alors; et avec autant d éloquence qpe de simplicité nous tient, trop peu longtemps malheureuse­ment, sous ie charme de sa parole. Il Joue toutes nos œuvres senlisiennes, na-tronages, société de gymnastique '*d études, parlant de 1 éducation^

*1® a j?""*® e®“S <I“f tfhiNènt être plus tardée bons chrétiens, jje bons citoyens, de bons français. Ces' œuvres Ai,li-i®i ®''hÇ,t-Postes, pour ainsi tfirè.’ du o Z l f®,'® france. Us. SDBtv.toujmirsiaii: combat, toujours sur la brèché, et quand viendra la victoire, ce sera, pour beau­coup, grâce à eux’?1 A applaudissements accueil-lent les énergiques paroles du conféren­cier qui est chaleureusement félicité.

Deux petits monologues ont suivi : le Bachot et la Bourrique, récités fort aisé- “ ®".- P®J {Pesant et Kierre Char­pentier du Patronage Saint-Rieul.

Nous assistons ensuite à la désopilante comédie-bouffe d’Antony Mars : Quand on conspire, qui nous transporte en Rus­sie, au temps de Catherine II. André Bau- deloque a été un maitre de Police parfait • son jeude_physionomie est excélfent, sa diction nette et précise. ComplimentonsR?hinÏHT® .'''•.o'el qui est un comte Bibinoff calme, distingué et conspirateur bonenfant. Quant au jeune Morlet sonélogè n’est plus à faire, c’est un comiqw I nouverux“débuts‘'"vA®°''’ ® ‘*® g r S ’ I P ® / ^ Cabaret, et L i P'^nd'c Hftss dans«=® P®®.'’'’® ap-S é f f l ! a ? ï i t " ® ^ ° '® “"® ‘■'■®"®® ' ?®?“®®‘®®®“’aDézé-^.®,®!5^':®*®®ssur-

Très agréable soirée qui a laissé la oius mmable impression parmi tous les assis

• 1 -a f t ig ju e f f n a i i n s s a r t i r

gim?St de ’O ^ s ^ s f f Æ f d a n f d’attente 4e la gare de couchait. Mardi H n e ildesagents Pont’arrêté.

dinand-".ÉéS* né *à *® ^^^^nn Per­d re p’a « ’ S a r ti“ orde°nlr •mercreidi dernier avant n» Senlis,,lin, Le, motHd? â fugue qu il avait de son s o u s ^ f l l c S Ç®®*" -

Com.mun étaitvenuànieH i n Pejoton. »Il a été remis à la genKi'^A®-!^':^®®- reconduire à Senlis. “ ®' '® <1®* 1 a fait

Le Cirque des Singes.

représemŸtiôn de recuriiHM ipins légitime succte j I L ® P'®®. '«enfants du Patronage et ri» pl-'’” '.*''’ ont passé un après-miHi^i i c’était un s S c t o  ®®/’'®®®8Téables■300 enfantsTnriron a C u T ^ '. ‘® lents artistes du Cirage n » ® c®i' véritablement des S e ^ f®”®'’ 1“'. S“®t vue de l’adresse, de L nricf-H®®-?®'®' de de la souplesse dans lL ? f f ® Ivariés et SI difficiles exercices si

table S S r?p rofltf7T “i''®'’ “®® '’ rr-ce Cirque dans no s '® P-’d^ence de

D ? S ,® C tin é ’e'rs''t®®®‘®‘'®"-Lnndi, clôture par'^^Vf S eoirée- cinq nouveaux début» de gala :

Messe de la Croix-R ouge.,I I I Bappelons que c’est demain di- I T I îife® I-1®? •^'nité des DamesI 1 aI mk “ ; de ia Croix Rouge.'feraI e^idbrer à neuf heures, àlaCathé-dés des"??r ®®®H *®® “ ‘'‘'aires décé­dés des armées de terre et de mer

prenants au trapèze- ri®®® exercices sur- clùens géants- le»' ^ " ' ’®et César, fieux par clown et clownesre modernes, parles nnatr.’r i 'Jongleurs: lina et c Æ , ®poiëi!?H‘ '!i®'?er ; Pau- Cyrieii, cheval de feu etc *® ’

part?? &‘S L n 7 y ?lie°r"i^“ ques heures agréables. Passer quql-

Les Autobus.. i S ' i

cours de Senlis à Chantilly Sa marche douce et régulière «an» o..

r r s e r i ? S l i ? ? ’i*‘ ' ' ' ' - 8 “® ® desf rosserie ont fait la meilleure imbresrinnsur les habitants des localités trare??é«?P ^ . ’autob®s; elle a surtout r S r é l«habitants de Chantilly qui avaient cpeintg , ta t a q u i i w d , ' 1,V

ficAiei I raisons administratives et

l’Hospice de CQiiilé, * P*®®® de

Pharm acie ouverteDemain dimanche M DarHA

1 Apport-au-Pain. ' ®‘ dou, rue de

E tat cIvU de SenUs“ ® au 13 décembre 1907.

. , , . Naissances.'• c^Ptoc-Clémence Boulillier ri,A i

7 , M *!?“rg-Saint-Martin. ’ “® d” *^au-

- , . Décès.7. Liicieii-Etienne Miehoud 9 «.a-

Haut-de-Villevei-t “ ®‘®> rue ûu7. Mme veuve Sagnv, née „

priétaire, et ans, rue ^ “ïl®î> pro-8. M. Louis-Eugène DétcaiUpf '^■^‘P'V-nne.

ins, rufi fin Pq vv. * romoirvriet* 12. Mme Vert, née Augè‘ie-™aS"3S|?*'>'*'-riiii.’

vnère, 22 ans, nie ito ÏJ ? “ 'anou-Martin. ’ ®® *^aabourg-saj,„.

riZmAn.. 1 ‘ares, les alcooliqueson Z f j ’’ ' I? ®ri‘«.'n®'s et démontre que ïoiir i lîhr absorbe|près du tiers des dénensos fHa‘i?i®A® *®“ - ®"®“ avantage compensateur. S ta. X ® ”®**®®®.®®?®' lue ce sont les hon­nêtes gens qui entretiennent de leurs contri-

apaehes dans de confortables pri- sqns fit qi|e dp-s gaillards solides jeûnent 8 çpuiseiU et nieurerit pour tarder inimii^^onro

® ‘® d®( “® « S . "î?i‘Œt est II 1 élément moral qu'elle fait annol en aIÎ *®*?®* notions de prophylaxie puëlique mi A^f PP®"» Ç^acubmcnt de la responsabi- lté Odlleciiye à I égard des tares, fies vices et d®a inaladies de la oiyilisatiqn. '

MalhMreusémént ppiir réi^plir son pcqgcam- e de réformes et ramélioratiqné, I’h}|iène

Curnet mondain.

i î Æ ! S „ p rToutes nés félicitations.

I-r?.®i*i‘'.‘ iP‘?®'}®‘® ^ cnze heures, a lieu àfemenant' l '®p'®®'’‘“8'® de M. Le Brun, lieutenant a Gosne, avec Mile niaîro

Roussel, hlle alitée de M. le D' Roussel,

A Bazourdy.: C’est ie nom du toqué qui adresse de

I temps à autre aux Conseillers Municipaux I des communications qui dénotent

u» UO dérangement^ c é r S " * Æ l’avons pas voulu accorder à sa prose l?s

honneur» de la publicité ; ce ne s K t p?| tare, du journalisme, nous avons à nous occuper d« choses plus intéras.antA. i? parait qu’il en est qui tirnuyent la» élu'cii

A nan détoiiiiaiUà cela ; « un sot trouvé toujours un plus sfit tjui l’admire

AcUons en-révocation.Pour la première fois à sa dernière aii-

diencB’ le tribunal civil avait â connaîtrefiiA z®'\-“® 1®® ®" ‘■'-■vocation de legs pour inexécution des charges intentées contrevertu"d?1ltof"l ‘'®®..l9‘®a'nes, tant en

A H®®®,'® P';«n‘‘®ve, M. Huet, receveur de ve?sm m. ®®,‘R‘®'j'ô de légataire uni- lAtat H ®“ son vivant proprié-lAire, demeurant à Neuilly-en-Thelle de-în mn f " '*'‘'‘9®.“' de révoquer le le ^ de 10.000 francs fait par ce dernier â la fa brique de NeuilIy-en-Thelle.

Dans l^ seconde, M. le comte de Ribes

e u e î f e a i r e •' ®®“ ® ®® -“

F a i t s j ^ c a u x

' f t ‘ de''®rs"nteTB^be^\'J™-jj^®>^^ heu le 8 décembre est reiffis-e n

t ï . ' ’. ' ‘ “ ' « S r ' î ' . T ï . ' !

Bonneuii-en-Vaioi« nnncx MESURE.'; On ‘’omsoommmune : Nous voyonr'^H' ' ® .®®“ ® Courrier de l'Oise n»»» « i ^ le tan ts pris en llagrâiu dé?it'"i"^®*-‘ ® ddbi- tardive d’établissement u , b L ''“ ®‘®‘’® pums pour avoir donné à br,;; ? ','®‘ s®®' mes (i^â ivres. A Honneuii ? ®®pareil, et la loi ne i ® est pasdu moins pour certains' ®PP"fiuée,

tantra"a|,%^?e de ®os débi-.sewent, â l’ocoasi??7unemandé une autorisation Ayant de-

w >-.Actes de générosité.

. ^ ''eocasion du décès-de Mme Sao-nv la famille a versé au-Bureau de Bienfa^’

®e'““ e de 200 francs pour SuB soit lait une distribution supplémentaire de secours aux indigent?,.

r ' ' V:crtn A ‘’egretté M, Fétizon a fait don de de -nnf??®® ®® ,®P*’eeo de Bienfaisance et fie 300 francs à la société de secours-miiluels des Sapeurs-Pompiers.

( 5 ) RtonLKTOM PO CO.ÜBjRÏÉRde L’OISE

Jusque-là rien n, A l ‘®®‘ 'ecmait. ' deux dimanches suivants "m?''»®'’ 'es tant, malgré les presc? uto?. • “’e débi- son élîihiissement quAs hp *5 l'ermait sans être inquiété. ^ niatin,

me*sur«fc’e s u Ô 're.'^®®* ' ' “'d® deux

3heurei’par‘*?e t^mbo?ht^'le ’' “®''®’ "

soucier de la loi • on .« Ito ® “e, ?nére se- (12 kilomètres) oui nnif.^a®®® 2 distance* gendarmes de Grépy • Atoff T ® ®®''®® Tfiivreit qui perd f ’i ' ^ ® eertain,fiuns la rue, en plein jour à rifA®“®“*’?®i“ sortie des écoles^. “'’e de la

PAB

p o u r

Jean K ERVALL.. - - - ■ r > ■ » •

^ in (tuiu)Les d eu smaxs.

• A -

, , Np.OVBXLE PIGORBCe fut oac vraie joie à

Tont foMMS «evs- raeevttiiNl^mi.' 7

Leièt^avécaf .sè trbuVéi 'à i#-sta- à o n r ’eèitWhfée.

LmtiiâtteSleclù firent vite ^ I* eentièr ‘qui<ioaddwf M ^edfent afa ctMietç

L’alM'tle'’PàtriceB*ét{(if pikd uii ama- de la nature.

/qM'a-faisait était, A vrai

MU que iesrocliere abrupts; iè brouhaha dés ^Res aux

ot.Tfen.

i , î Æ S î S . r

®® 9l“ ’dprouva de Beaudran le' ï jou r de son arrivée. «u le |

K ‘e*d«.'Iw I«P<m f fêter le t o u Æ le lac était dans toute sa splendeur.

sous laj venaient effleurer

las pieds de Beaumauoir.La riche et plaDtureusexôte de la Sa

î® connaîtra jam ais la chloa t t auloto®®^*

ses bords

n - Z i f 2.°'^® ‘'■“‘‘S'es surprendre. t i l . Evian, il n y a qu’un vol d’oiseau n est*ce pas ?

— P as davantage.— E t dans tes voisina de campagne ?

ne fa i visité et à qm tu n aies eu à rendre une visite ?

Aucun.1 .I^est vivre comme un bénédictin

cela ! J ’ai bien fa t d’arriver rn ra ara"’ tu vas prendre ta revanche ! ’

\ ° “f,e“ causant, de Beaudran ins- pMtait les abords du chalet.

clochetons de la villa

s t

-' • -■ ' -j f . v 'ü Ifrr, ^Beaudi^ân'tfittitÿas'

'«her,_»,.-rêsidendè je tue nerai a. toi,pour lechnur. Quèfais tu, ici, toüte la , journée!

— Ma vie est calme.— Comment, calme î Tu jne t* con

Mtomepds, je mippi^, A une elaustra tion n^naMi^tté.'.. Dtÿuis.un mois que fu as^dîsé ta tente en Suisse, tii as dû. ' te créer des rélàtions.../

~ Non’, vraiment !... , -t

ir J^«prm»r«iP|>résenceenSàv.. ,

“ ttc délicieuse demeure, ^ fp b 'e . E st elle habitée ?

J j -A-' , --J— P a r qui?

npm d êcrapoL “ “ '* 1“ '

‘ ~ I^est ce qui m’a été dit.- De Crepol ? répéta Théophile.

pourrait... Elles

aimÛ^ elle est ia à e pour être— C’est cela, d it Patrice.

'®“ 9l“e je les connais I... Mme de Creppl ne m ’est pas parente M IS elle est la cous ne, par alliance’ d une de mes tantes. Je îa rencontre fréquemment dans les salons parisiens- C est une ralstipn A entretenir. Mnje de

t«S»„éafterni m

«.vruuaMXaxs-lUr — ■ Madame de Crée qui a deux

filles, Emmehne et M îcfelleT— Il y a, en effet, deux jeunes filles.— La mère est une belle femme, un

peur hautaine. *«rae, unI T '® connais pas, ou du moins

. SI je la i rencontrée, c’est sans savoir ,.qui elle était.

> ~ I f ? jeunes filles ne se ressemblent pas. L une est mince, une figure de tourne f 1 autre au contraire, a du 'ch ic ,

« . ••o’*' une visite, 1 irai Jui‘® Se'a

Il r t ^ n l i t l ' ’ ^ «térieu^:^.pe/àccom pagnerai pas? D’abord

S if tfo ®e®e"8êne qui ne trouve-®*®“ 2®^^'^P^*®^e ta quasi pa-

IA nA ’m H®“ ^ “ ’ 'I® “.e^w s pas pourquoi d e ^ r ^ o L visiterM -»

parole, tu t deviens ermitei Comment, tu recules à te présenter

fie Crepol,!... toi, île plus élé­gant des jeunes gens!... Arrange-toi comme bon te W w e r a . je t’emmène* rai sans rémission; mene

Patrice ne répondit pas.Après que^u es instants d’un silence

réciproque, ■niéophüe dit :- Mon c te r , la soKtude t’est néfastetu tournes à la mélancolie, il te faut

une cure, je serais, fon em pirique": Mais, est-ce que, par hasard, iq b ifijug ’

n ^ a i t pas atterri dans la port de 1 amour t... T u m ’en a tout l’air.” '

Le jeune avocat posa sa main sur lé bj-as de son ami-. Il avait entendu grin­cer la porte de l’allée. ®

jMme Laiteyran arrivait,ônTiA fijf'fii-, *fia mère croiraitque les arômes des pHeuls et des myrtes ne me suffisent pas et que j ’ai déiàtrans- plante ma tente où fleurit l ’oranger ' imaYf®. "'■fP-"® ‘®‘‘ ‘ 'e «hftlet dor-

- ® j;®y°“® . lumineux des ' constèllatjoQs célestes. J

c t U l l fi“ choS‘e T q ? f i l ? e S « «n*

C’est un travaili- s accorde aucun*

. . IV .Dans la villa,

po Théophile alla chez mgdame de Cre-

prfm Ei-e'v^iîfe."-- ^®“® ®«Lé jeune Beaudran fut reçu â bras

tClXip j ou iJ- TkAneo«4 __ « ^vo

SM anm .nm ’i

f min,I I - le mérite,leur obstine qui ne I plaisir. __

d u to e z 'l^ o r ie ^ ® Ie r rL " ’® ‘' ” ®’' com p fe rd an sm esT v H e^ \"7 „^

leur ami logeait à Beaumaw?r?*“ '""®’

e x c la m ^ m m â fn e 'u rd é * ’***'^"^"*®^'

|; MnfiteHe-nefusa. ‘

« J H I ï £ T O l ï ï L n i ‘» 'S ? u S l , . ; ’ '! ''K E & r s t i p ' s a F ' p » ? 't r ^ n ^ t . pressentiments me

ttBtette*.d*ei£aràions.

^‘®'t «fie femme‘ (A ain’era.1

— U n m a soir, à 9 h. ! taire L..., ; du Pont de d’ébriété, éU gagner son i quille, mais i vaijon, le pol colè; (' menaq allai t même I de fait enveil sence de cettl conduit à Seq sur,ce d’auti vient il y a qu avec sursis p fiant qu’on m l laine de jean j agents pour n est que su ri qui a dû sorr suivant les in | â la loi, que I sence fie ce gd

— F ê t e d e l décembre a eu une petite fêta

Une délégan ciété de Secoif la gare de Crg leur ancien ancien chef victime d’un bras.

M. Hiédel Bonlies, qui lance.

■ — ü.N BAIN I 40 h. l /2 du |appartenant à ] quai d’Amont,! ÿest jetée dan^ fie nombreux d du personnel d l saine et sauve.f

— B ic ï c l e t . . rappelle le vol fut victime le

' Ces bicyclettes I dans un champl mier, entre F Pierrefitte. 111 en raison de faite sur ce vol | barrasser, de ci les vendant.

— Us E.VTIILAqu’ayant la tétel hivers, M. D .f résistèr lundi il* belle inconnue,! olTrir une consd il était entré pri pos en tendres naire se rapprc amie, qui aiirèsl ci, s’empara du I barbon, conteiia elle disparut. Ha amoureux trous^ cour» fie iiorter i

— D iv e r s . — I çon boulanger,! journalier, 18 ^ deux samedi défi conipii,gnie à la i tant, 19 «lis, rat ramassé le jpêi ivresse. Quiutera Creil, âgé de 45 j âgé de 18 ans, oj lundi dernier po puhiique.

£tat civil du *Maissatices. — t

génie. 10, Cailier 1 10, Boriveiit René ] neufbourg Louis

Décès. — S, Oli 10 mois, 10, Carré ans. 12, Le Cazoïill Cao, ménagère, 27l • Mariages, — 6, r d’usine. etZimmenj nagèrc, tous deux i

7. Diot Albert J» Berlhe Joséphine, * mieiliés ù Crcil.

7. Kadot Raoul, * Vieioria Pauline, bu mieiliés ù Creil.. I

9, Piltot Paul Evq Thill Anne Marie, ciliés à Creil.

Publications de\ Woerncr Joseph, lof Creil et Mlle Dcscaé tarière domiciliée ^

Entre M. Eflgel NT Cérodin Marie l.éoil fioaMeiliés à Creil.

Entre M. Martin L sinë, dosiieilié h Cri Jeanne, ouvrière en neuil.

En.tre M. Pinot domicilié ù Creil, i 10, et .Mlle Lesage-,

.-profession, domicilf taire numéro 139.Asdience de sitnp

du e ISonl condatitnét 4

Jute», Monchecoiu^ ehaeuD 1 franc d'ooff toire. Boulet Julea Chariea, Levert Cj ;* Hyacinthe, Lereinilo Oiwÿ Joseph, Cheé Edouard, Demichy J Oufourfinile, tous | d’amende.

Lereeuleur Léon, j condamnés pour tt 11 francs-d'amenda Bivet, trois Ibis i L infracttoos relevée^

Yiolesieet *"■’ rite, femme r

- at;

Page 3: Paraissant le Jeudi et le Dimanche. J O U R N A L l ) f O ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1907/bms_js_1907_12_15_MRC.pdf · f^^Aanée. — JV? 100. - ^ C l M O ^ f g W I l M E S ~ lt«,

f Fermeture tardive, ivresse, attentat aux mœurs, tout passe, à Bonneuil ! On aurait jjesoin d’une bonne police.

Il est à espérer que l’administration chargée de veiller au respect des lois, à la securité des habitants, à l’observation de la morale, prendra bonne note de cette juste observation.

C lian tU ly . — F o o tb a l - A sso cia tio n . — L’Union Sportive de Chantilly, doit aller demain dimanche, contre l’Union Sportive du Centre, à Bagatelle.

Nous en donnerons le résultat dans notre prochain numéro.

C re ll . — V oyageurs sans b i u e t . — Deux jeunes russes aux allures d’étudiants et ne parlant pas le français, Barsky Mi­chel et Winic Nicolas, 11) ans tous deux, qui avaient pris le train à Paris pour se rendre à Bruxelles, sans billet et sans au­cun argent ont été arrêtés pour vagabon­dage et écroués à Senlis.

— Formation des tableaux de recen­sement. — Le maire de la ville .de Creil donne avis que, conformément à la loi du 21 mars 1905, le tableau de recensement des jeunes gens de la classe 1907, est ou­vert à In mairie.

En conséquence, il invite ceux des jeunes gens domiciliés à Creil, à faire avant le 2,7 décembre prochain (terme de rigueur) la déclaration prescrite par la loi.

— Un .ma uva is cou ch eu r . — Mercredi soir, à 9 h. 3/1, un manœuvre de Monla- taire L..., âgé de 31 ans, se trouvant près du Pont de la place Carnot, en léger état d'ébriété, était invité par les agents à re­gagner son domicile et à se tenir tran- (juille, mais prenant mal cette juste obser- vaiion, le poivrot se mit dans une violente colère menaçant et injuriant les agents et allai t même jusqu’à se livrer à des voies de fait envers l'un d'eux. Aussi en pré­sence de cette attitude a-t-il été arrêté et conduit à Senlis, où il aura à s’e.xpliquer sur,ce d'autant plus mauvais cas qu’il vient il y a quelques mois d’être condamné avec sursis pour un fait analogue. Pen­dant qu’on menait L... au poste une ving­taine de jeunes vauriens entouraient les agents pour dégager le prisonnier et ce n’est que sur la menace de l’agent Jouvre qui a dù sortir son revolver, pour que suivant les Instructions reçues force reste à la loi, que la bande de vauriens en pré­sence de ce geste résolu s’est éclipsée.

— F ê te d e f a m il l e . — Le dimanche 1 décembre a eu lieu, au bulfet de la gare, une petite fête intime.

Une délégation des membres de la So-

moiselle Magniez, une journée de travail. Bourgy Henri, par défaut, pour violences sur Alexandre.Alfred, deux jours de travail. Holtée (àaston-Louis,; qui s’est livré à des violences sur Pabbé Martin, et est coutumier du fait, trois joure de travail par défaut. Deliet, de l’usine Benillmn, est condamné par défaut à une jonrnéo de travail, le patron civilement responsable. Hoyot et Leclerc, du même éta­blissement, sont renvoyés sans amende ni dé­pens, le ministère public abandonnant l’accu­sation. Bazin Félix et Compifcgne Maurice, ce dernier par défaut, sont condamnés chacun à trois jours de travail. Les époux Janot, le mari par défaut, sont condamnés chacun à une journée de travail pour violences sur la famille ■Mouret. Le père, la mère et la demoiselle Mouret sont renvoyés sans amende ni dépens.

Police du roulage. — Roedsens, pour aban­don de voilure et défaut de plaque, est con­damné deux fois à 1 franc d’amende, Vantde- pontselle, son patron, est condamné à 2 francs d’amende pour la plaque, et déclaré civilem îiiL responsablé de l’amende et des frais. Dubour- get Eugène, par défaut, au service de Dela- fontaine, pour voiture sans plaque, le charre­tier, 1 franc, le patron, 2 francs d’amende, cc- lui-ci civilement responsable de l’amende et des frais. Ravy Edouard, par défaut, au service de Bailly Victor, pour défaut de.guides 1 franc d’amende, le patron civilement responsable. Lcvéque I.ouis, 1 franc pour mème.délit.

Police des bicyclettes. — Daniii Georges, défaut de plaque d’identité, t franc d’amende ; Clarey Albert, par défaut, comme récidiviste pour bicyclette non allumée, 3 francs d’amende ; Cucelli Baptiste, 1 franc pour même délit.

Divers. — Maitre Victor et Lefèvre I.éon, pour conduite de bestiaux sans laisser-passer,1 franc d’amende ; Houx Jules, pour avoir laissé couler du purin sur la voie publique,1 franc d’amende ; Souillard Albert, par défaut, pour chien sans collier, 2 francs d’amende ; Daubin Ernest, 1 franc pour même délit; Len- glet Gustave, par défaut, 2 francs d’amende pour jet de corps sur la propriété d’autrui. Pommery Albert, pour défaut d’eclairage de sa voiture, i franc d’amende.

ciété (ie Secours mutuels des employés de la gare de Creil offraient un objet tî’art à leur ancien trésorier, M. Charpentier, ancien chef pointeur à la gare, qui fut victime d’un accident qui le prive d’un bras.

M. Hiédel prononça des paroles bien senties, qui émurent fortement l’assis­tance.

— ü.x BAIN FROID. — Jeudi dernier, vers 40 h. 1/ 2 - du matin, une vache laitière appartenant à M. Boulanger, cultivateur, quai d’Amont, s’est échappée et affolée s’est jetée dans l'Oise. Ce n’est qu’après de nombreux efforts que les vachers aidés du personnel de la ferme ont pu la retirer saine et sauve.

— B ic y c l e t t e s r e t r o u v é e s . — On se rappelle le vol des deux bicyclettes dont fut victime le mois dernier M. Lepage. Ces bicyclettes viennent d'être retrouvées dans un champ de luzerne sous un pom­mier, entre Sarcelle et le barrage de Pierrefitte. Il est probable que le voleur en raison de l'enquête très minutieuse faite sur ce vol a jugé prudent de s'en dé- bari-as&er, de crainte de se faire pincer en les vendant.

— U n en t o l a g e . — Toujours vert, quoi qu’ayant la tète iiuudrée du frimas de 02 hivers, M. D... de Saint-Vaast, ne sut résistée lundi dernier, à la prière. d’une belle inconnue, (|ui lui demandait de lui offrir une consommation dans le débit oh il était entré près de la gare. De gais pro­pos en tendres avœuï le galant sexagé­naire se rapprocha si près de sa belle amie, ijui après quelques badinages, CfUe- ci, s’empara du porte-ronnnsi.e du ideux barbon, contenant 2.5 francs, avec lequel elle disparut. Honteux et confus le pauvi’P airioureux trousé, n’eut plus que le re­cours de porter plainte.

— D i v e r s . — ’Vinet Jean Baptiste, gar­çon boulanger, 25 ans, et Garde Paul, journalier, 18 ans, ont été arrêtés tous deux samedi dernier, pour s’être livré de compagnie à la meuoieité. Duviviar Cons­tant, 19 ans, rattacheur i Boubaix, a ramassé le même jour à la gare pour ivresse. Quinlerne Casimir, manouvrmr 4 Creil, âgé de 45 ans, at Jdelot de Nôgent, âgé de 18 ans, ont été ramassés tous deux lundi dernier pour iypesse, rue de Jâ Ré­publique.

Etat civil du S au t3 décembrt 1007. Naissances. — 8. Dumondel Marguerite Eu>

génie. 10, Cariier Paul. 10, Eogel Lisa Mélaoie 10, Borivent René Alphonse Ambroise. 10, De- nenfbourg Louis Ambroise.

Décès. — 5, Olivier Maurice Eugène Emile,I :0 mois, 10, Carré Louise, manouvrière, 2S

ans. 12, Le Cazoulat Marie Yvonne, femme Le I Can, ménagère, 27 ans.

Uariaget, — 6, Bruyer Théotime, ouvrier I (i’usine, et Zimmermann Elise GuiUemette, mé- I iiagère, tous deux domiciliés à Creil.J 7. Diot Albert Julien, pontonnier, et Henry iBenbe Joséphine, domestique, tous deux do- I niiciliés à Creil.I 7. Nadot Raoul, employé un Nord, et Jaequat I Victoria Pauline, hlanehisseuse, tous deux do- I niieitiés à Cr^,

9, Pillot Paul Erarisle Albert, menuisier, et rhill Anoe Mane, ménagère, tous deux domi­ciliés à Creil,

Publications de Mariages. — Entre M. l'Koerner Joseph, tourneur en fer, domleilié h

Zrfül et Mlle Descarpentrie* Julie Emélie, coa- urière domiciliée à Saiut-Sauveur (Oise). . Entre M, Engel Nicolas, galvaniseur et Mlle

Zéiodin Marie léonie, manouvrière, tous dees' doarieiiiés à Creil. ,

Entre lf. Martin LéotaAjKUfSe, otntrier ira-' oinë, domieibé h Creil, et Bile Lebitté Octsvie Jeanne, ouvi^re en boAons, doaiieibée peu il. ■ . . f, Entre Ki®l«--F^naMj, oiusteur^Boiiifcaié à Oeit, rue de Eewvmsis, mmiér»-:

et Mile Lesage JuSetm'JUemdrine, saim,. profession, domiciliée è CreiL fos de Mbntftè aire numâftfT39'. .L jdience de simple poSde ducanton de Cre’Sj'-

d u 9 éSfeetdbre i S ^ .. Sont condamnés pour ivreite. — Lefèvre Iule», Monehecomt AMl^, geretemont Louis,, fchæan i fraæ ramende; Noêl oire Boaiet Jules, John Gonfnez, Drtwok; Jhatlea, Leveit Cyrille, Bouchot Eoil», 1 # ^ ^ Bvacintbe, Lerecolepr Léon, Adriénseos Rêne,, Dbrir Joseph, Chewt Jean-Eeptiste,-Secarw EdMW^emtHiy André, L w i te Bngène et DutbarEoUe, to«t«par défanf» francs■’anettdde - •

Lereealedr Léon, Bouchot Emile et.Roaz sont adamnés pour ta m ^ .nocturne chacun à francs (fhieende, Bosalie lliidiard, femme

ynt, trois ftii» 1 fifane d’amende noar Wds fraetions relevées â son registre de ptner, Yiolenees légères. — Lanonrenx Matgue-

Kte, femme Béwrt, pour Yiolenees sor » de-

C r é p y - e n - \ ’a Io is . — S o i r é e t u é a - t r a l e . — Dimanche prochain, salle du Vieu.x Château, le Cercle Artistiq.ue don­nera; à huit heures et demie, une soirée qui promet d’être un nouveau succès. Elle comprendra deux parties. Au cours de la seconde sera joué l’amusant vaudeville Francs-Maçons, qui tint l’alliche 450 fois au Théâtre Cluny. En voici le pro­gramme :

P b e x i é b e P a r t i e

Haydêe (Auber), par l’Orchestre. histoire d’une Canne, monologue, par M. Du-

four.Le Chardonneret de Rose (paroles de Lorin,

musique de Henrion), par Mlle Vande- worde'

Les Mamans pleurent (Botrel), romance, par M. M. Colmont.

Le Printemps, valse chantée (paroles de Ro­che, musique de Elsen), par Mlle Vande- vvorde).

Aoh ! très amusant (Villemer-Delormel), mo- logue par M. Lhermitte.

Quêt^ au prolit des Pauvres.D e u x iè m e P a r t i e

Pierrot poète (Hirchmann), par l’Orchestre. — A . Mazurka des Pierrots ; r . Pierrot et Co- lombine ; c. Colombine-Gavotte ; d . Valse des Colombines.

F 'r o n c s - M a ç o n s Vaudeville en 3 actes de MM. Claude Roland

et Lcprince.André Chevilly............... MM. M. Colmont.Leverdier....................... Lhermitte.Saint-.Vrchanee.............. ,. Bonniol.Paul Dubreuil................. Dufour.Brunois.......................... Bertin.Un agent....................... Cousin.

Cariier Emile continuent leur tournée dans notre région ; ils étaient samedi dernier à Crépy où ils firent, salle de la Justice de Paix, une conférence qii’écoutaient beau coup de nos concitoyens.

Rêsin, en quelques mots, nous présenta le but du groupement qu’il vient ae créer, et les principaux desiderata qu’il formule ;

Carte d’identité pour les infirmes, portant, avec leur photographie, le certificat médical certifiant la réalité de leur blessure.

Création, par l’Etat, d’une Commission char­gée d’examiner les ofl'res faites par les assu­rances du travail aux victimes d’accident.

La carte d’identité aurait le grand avan­tage de dévoiler les simulations, dont le conférencier nous détaille les trucs et d’empêcher les malheureux auxquels une infirmité défend tout travail, de no plus être la « tête de Turc » de la police ; quant au second désir formulé, il éviterait aux- blessés d’ètre exploités par les Gompa gnies assurant leurs patrons.

La conférence fut très applaudie, et les unijambistes vendirent de nombreuses cartes postales (c’est leur seul moyen de vivre) les représentant tels qu’ils le seront dans le numéro des Lectures pour tous de janvier: vareuse, casquette et pantalon blancs, sac militaire au dos, pèlerine roulée.. .Nos confrères parisiens, le Journal,

YEclair, le Petit Journal, le Petit Pari­sien, le Monde illustré, ont tous souhaité réussite aux représentants des Estropiés Français : nous associons nos vœux aux leurs, et sommes sûrs qu’ils finiront, grâce â leur persévérance, par être écoutés.

— A l ’occasion de la S a in t-N ic o la s. — Nous croyons savoir ()u’à l’occasion de la Saint-Nicolas, un groupe de jeunes gens de notre ville ont décidé d’organiser un bal le 28 courant, dans les salons de l’hû- tel des Trois Pigeons. Nous ne pouvons qu’applaudir à cette initiative qui, nous le savons, sera bien acceillie. Nous tiendrons nos lecteurs au courant sur ce sujet.

— E n r a m a s s a n t d u b o is . — Ces jours derniers, en faisant du bois dans une pro­priété de Mme Picard, Mme Vve Chalfois s’est grièvement blessée à l’œil gauche • la guérison sera longue.

— E n tre cam arades. — Il y a quelques jours, sans provocation aucune, le charre­tier Mélaye qui venait de recevoir du commis de culture, des observations justi­fiées s’élança sur .son camarade Duorocq Alfred, en lui disant : « Quand le patron est là tu ne dis rien ». Ces paroles étaient accompagnées d’un formidable coup de poing qui lui brisa deux dents et d’un autre qui lui auréola magnifiquement Tœil gauche. Instilè dé Jdit’e:.;<qae Dncrôôq a porté plainte et que l’afl’àire aura son épi­logue à Senlis.

jime Vanderbergue.’l M'“ Cousin.

Boulanger. Noirot.Lelièvre. Fernande.B...C...

M“' Leverdier...............Claire.............................M“' Brunois...................Marthe...........................Angèle............... ...........Colombe........................Simonne d’Argenteuil. . .Lilli des Bruyères..........

Cette soirée est exclusivement réservée aux membres du Cercle et aux personnes de leur famille ou à leur service et habitant sous le même toit.

Le bureau de location sera ouvert le vendredi 20 décembre, chez la concierge du théâtre, de neuf heures à midi et de uiiè heure et demie à cinq heures, et le samedi i l jusqu’à midi, chez M. Boucher, trésorier, .

— Le Concert du Cercle Artistique. — Ainsi que nous l’avions annoncé, le Cercle .Irtistique a donné dimanche dernier, dans la salle du Vieux-Château, une ma- lipéiJ fi.ifclusivement musicale que, disons- le de siiita, q été un nouveau succès pour le délicieijic .orclmstre sympUonique dont le clief dévoué est un iflusicieu de talent et un impeécgble directeur : ÜPus ayons nommé M. H. Vérin,

Ls programme comportait des tnopcépjï de paître sui ont été écoutés dans un silence pFOWfld î L’PBYerture de Mireille fut chaleureusement applaudip ainji tiue \ Evocation de la Vierge de P. Ppuÿdjmn, od SA aûrpfissèrent les deux solistes, idlle Lacr,oi? jOt M .-Jt Juillet; ce fut

— T i r a g e d ’o b l i g a t i o n . — Nous sommes informés que le vendredi 20, à trois heures de relevée, il sera procédé publiquement, à l’Hôtel de Ville, au tirage au sort des 4 obligations de l’emprunt de 100.000 fr. du service des eaux, amortissables en 19t)7.

Conformément à l’article 1" du cahier des charges, le remboursement des titres aura lieu à la caisse du Receveur munici­pal, le 10 janvier prochain.

— D iv e r s . — Pharmacie ouverte aujour­d’hui dimanche ; M. Petit, rue Jeanne- d’Arc.

Etat civil de Crépy du S au 12 Décembre. Naissances. — 7 : Capet Jeanne-Ernestlne,

place de la République ; 8; Sauce Jeanne- Pauline, rue H. Clair ; 11 : Detrez H.-Georges rue de la Cloche.

Mariages. — 7 : Perthuisot Emile, ouvrier d'usine, et DIlo Claire Bahu, chapelière, tous deux à Crépy.

Décès. — Tessier Victor, 68 ans, rue de Paris.

— M a r c u é a u B l é d u 7 D éce m b re . — Blé, 4" qualité, 21 fr. 50 ; 2“ qualité, 21 fr. »» ; 3" qualité, 20 fr. 50. — Seigle,17 fr. »». — Avoine, U® qualité noire,18 fr. »»; 2“ qualité grise, 17fr. 50; 3® qualité blanche, 16 fr. 50, — Orge, 19 à »» fr. — Farine, l™ qualité, 32 fr’. 50 ; 2® qualité, 32 fr. »».

— M a r c h é d u 11 d éc e m b re . — Beurre le kilog, 3 fr. 20 à 3 fr. 40. — OEufs le cent, 20 fr, »» Poulets, 5 fr, 50 [a paire. Pigeons, 1 fr. 50 à 2fr, »» la paire, Lapins, 2 fr, »» à 2 fr. 50, — Perdreaux,1 fr. 50 pièce. — Garennes, 2 fr. 50.

Audience de simple police de Crépy.PouyfapagB poçfume, Rjelmfil A,, guj fait

défaut, et t|'. Tiquel cécqlfenj le upemief l l i f ; le second 5 ’fr. d ’ainénde. Dematquey dharles, d’Eméville, qÜiaéiéréncpnti’é en étal d’ivresse se voit cmtdafnflé ê i fp, d’aiBsude, « Ça «g

J,; jyaiia-m’était pas arrivé depuis dip gns » décl t-il. « Faites en sorte de rester encore dix ans sms recommencer » lui répondit le Juge de

impg fut admir^lejpept fendue I ssVre; la mHpie ayep ainsi,;

gteuse musi par l’orches lolo de flûte fut partiqii■m m tw .

ihereiBent , J ngB là Dame de Phryné. t ’.on 8,ait flu’t .11 Cercle, les pauvres ne

sont j3jn.^s obbliés, aussj g , Marti­net et Bfitlà vinrent-elles, accompagnées de MM. H. YémetU, BPHcJier, depjahder ' aux spectateurs de . penser w ssi gu$ déshérités et recueillirent ainsi la somme de iS francs. Au nom des malheureux I

aix, Perppt V)clop »fl!l8î|i3tp è AHffPPSslBI mcent, n’a pas teàu en iSgla spn pemstiie do

voyageurs, coût : ï fr. d'alneodéi M. et Mme Carat!, ^^bitants, ont fermé tardivement leur ê.énff ,'î.s, .senf eenéampés à t fp. d'amende ainsi d ailleurs gup les Pqnspmfliateurs Lepiepe A., yanhjep. Lemairé Lpüis, manouvrier, (Jadot, Ed., rabrioant de bàflbpg. Rencontré mgBti sans guides, le nommé Fontaine, charretier chez M. Raoul, cultivateur à Lévignen, paiera t fr. d’amende, son patron est rendu civile­ment pesegg.sBb|e,

Fontaiqe-lesnCo|)p8i>M udg|, — PeçDE CHEMINÉE, — Alortc sublto, dîmauché soir, dans notre commune! Un feu de cheminée venait'de se déclarer chez M. Jjqnda, rue des Carrières.

De ilputenqqt Tqroy grganisa papida- roent las secours, et,’ au Bout de péu de temps, tout danger était écarté.

S j i C h a p e lle -e n -S e rv a l. — La

et la mme, dn peu.longue aüj0üfdîâii,'’d|-" Bébé cigarette. Si cela est trop? jeu ' pour' Sainte Barbe, ce n’est pas assez no^ ^ ^ s pour lès pom t^b -, ; ^ j

, ;y;Fzt ponï^iér 'LajÇhaijç^lek'eii-Seitva^

LECTION DE DEHilN. 4 - A uX .é l è d t l0 n s ' '. l ! ( j^ ''piémentciires dé dimanchÂ^ m e r JatAbâ- taille a-été chaude. La victpiré n est qû’â moitié- complète, puîsgu'e'i nous n’ayons qu’un élu sûr deux, mais nos troupesbbu- chentsur leurs positions. L’àgènce Gyand.- koch, Tficoche et Manitlon,''deBomais'(^-’j ièbre, avait pourtant convoqué le bancet i'arrière-banc des éleéteürs. C’est ainsi qu’ii en ékt venu de j Liancourt, de Dam- marlin, de Paris et des environs, rien n’y Ut, pas même le succès si prdbiaturément escompté. Quoi que l’on fasse, dire et pense, il faudra toujours en revenir au vieux gita-de i’honnéteté, il n’y a encore que cela de vrai. Dimanche prochain la victoire sera complète et la déroute aussi.

Vous voterez tous pour :M. Auguste COTTARD.

Monlatalre. — N écro lo g ie . — Mardi dernier, à deux heures et demie, ont eu lieu les obsèques du lieutenant honoraire Peauceilier, qu’une foule nombreuse et recueillie avait tenu à accompagner à sa dernière demeure. La Compagnie dasHa- peurs-Ppmpiers et les principales Sociétés de la ville étaient représentées. Sur la tombe, des discours ont été prononcés par le lieutenant Basset, de Montataire, M. Pinei, au nom de l’Union des Travailleurs de Montataire et de Creil, M. Neckebrock. au nom des Pompiers de l’Usine.

— S o ir é e de la L y r e . — La-grande soirée artistique, organisée sametii der­nier par la Lyre Amicale, salie VanTiche- ien.aété des mieux réussies, et les artistes parisiens qui s’y sont fait entendre, ont été particulièrement appréciés. Très goû­tés également les chœurs et les morceaux exécutés par la Société dont on aie plaisir de remarquer à chaque audition de nou­veaux progrès.Etat civil de Montataire du 6 au 13 décembre.

Naissances. 9. Bellard Armand-Maurice.Décès. — 7. Lafontaine Ernest-Alphonse,

31 ans, entrepreneur de peinture; Barré Laure- Célestine, femme François, 53 ans, sans pro- fession.'A- 9. Barthe Jean-Marie, 69 ans, on- vrier d’usine. — 8. Peauceilier Marie-AdriM 67 ans, ouvrier d’usine. - 10. Van Cleemput Edouard, 47 ans, ouvrier d’usine.

Mariage. — 7. Thiolier Edouard, 24 ans machiniste à Montataire, et Bouvier Marial Georgette, 23 ans, sans profession à Nogent- sur-Oise.

ba^qâe

' L a S a in te -B a r b e . — les .sapeurs-pomp'ers a di-

^.^idhtê'Barbe samedi soir, J lv É te l du TétfigSiîIfte. >Le !issàït''pius de ’JO'c'onvîves. ' le^|s'.tètnsès,’ le lieutenant lo^riroé sa'Salisfaotiop des

, complis par ses pompiers et a i??^S*^^?tSâ:rvenu présider cette cor-

'àa|é;. réaîhite; , L. de' Maindreviiie, inair^ d:àhs( ûfffiangage éloquent et avec eptram, à M'sàjm'e de'; voir ce. banquet si réussr,_ et.'à'^qainiCFcië les invités. Parmi ceux-ci : MMi Cérbbn, ie dévoué conseiller d’arrondissement, Disch, Arcqlaine, Es- chard, Bouffet, conseillers municipaux, Maugin. notaire, Bullot, directeur des écoles, Thouvenet, directeur de la fanfare, Mennecier, sergent-major, Mahon, Rottée, Hénoqiie, etc.

Après l’audition de jolies chansons, iijl bai a, jusqu’à bien avant dans la nuit, diverti la jeunesse.

É j e c t a a u T r iln io a i

d e C o u m t c e d t S e u i l s .

Demain dimanche, ont lieu les élections au Tribunal de Commerce.

Electeurs, votez pour :MM. V iv ie n , président ;

L epap ie , juge titulaire ;D r lv le re , juge suppléant.

gAiNTE-BABBF. - - Chez nous, Sainte Barbe psycip satisfaite, pas

. .. . . [pntlpssix morceaux furent chaleureusement sp> piaudies, mais le grand succès du concert fut Ja première andihon de Belle Nuit parOftenbach, aywsoti 4e vifllqu pt d’alfo par Mlle U cfoix dt Jt. fiuillpt, Ipg cqrdes solistes noùê y donnèrent l’impressiQu d'une brise soulBant meiiement dens la nuit d'été pendanf ique par rorgâqp des autres ib w u ^ n iÿ très pas, cpantp janature avec ses frémissements wdéflnjg, i jp lifqire âu^tfaditionnél banquet,' pai Aussi fut-ce avec enthousiasme quel assis- à"n,îiriint niii« ni Rucnn ffnnoBîns,

bre bonoraife. Où donc étaient tous ces

leurs que lés pompiérs. Cette S brijlantp, ne l’est ’(je plus pi la veille de

leqtet les inter­

prètes durent leconcert se te ^ in a lt Mp pnp spjtp

d'mrabestrp snr VArlésienAe. dp Rlzet, ItriUamfflfiBt enlevée, le menuet si déli- ^iHx àveqion sûlfikde-ftilfe.f»t iwaer-

et f fm n m à p fe pp 41 vd permit aux artistes de mon-

indéniables de virtudses. £ NoHsiêyoM 4 é m , m em bw du Cbnüté; qui eu re^ rid ée de cettp mptinép, dirpp; leur qui .jpiJdâuisit aven tant d’art ses nombreuiiejlécutants, artistes qiii mirent lÿutp Ip u f^n e-^o sles diverses cqmposi- tiondeid^tÏM .'nos sincprep féMtations. C’est ânoweapAua beau sncpés poup le

lus,'ète, .

lus; elle pst upème us ternè pt semble eemme 4

tre tOût 4 fait, Pas de ' ' ■ laa

er

g-lâ?-Cela ne s’était pas çncprç YIJ, I^ps braves gpmplers pourtant sont tous

. ta population. ! id é « ^ .

itbiqUeS à la population. Ce des vietimes. D écidëm ^, tout ce

qq! apprpobp ou tgucbe « l’horome â la petite cognée >1 est marqué d'une’ tare bien spéciale. Ses mnip, qu il peut facilement

adrent qui

M o n t l é v e q u e . — L a S a in te -B a r b e . -^jJiaifieBaifSMiie'ûies Sapeurs-Pompiers a dignement célébré samedi dernier, la fête annuelle de la Sainte-Barbe. Un banquet, servi d’une façon irréprochable par la maison Debout-Laurent, groupait dans une même salle une trentaine de convives parmi lesquels on remarquait MM. de Pontalba, maire ; Péohon, lieutenant ; Debout Lucien, Laurent Clotaire, Degens Ernest, Chrétien, Becquet, Dekerpel Lu­cien ; Levasseur, sergent ; Rouiller, ser­gent ; Fleury Lucien, etc.

M. Moquet, adjoint, empêché d’assister à cette fête en raiso.ii d’un deuil récent s’était fait excuser.

Nos pompiers et leurs invités ont joyeusement terminé la Sainte-Barbe par un bal qui a eu le plus vif succès chez M. Laurent Clotaire. Comme on le voit la petite commune de Montlévèque ne lecètle en rien aux autres localités plus impor­tantes, quand il s’agit, suivant la traduion de fêter la patronne des brayes pompiers.

I V o g e n t . L a 8.ainte-B a r b e . — La Compagnie des sapeurs-pompiers a fêté dimanche dernier, la Sainte-Barbe, avec l’entrain et l’éclat accoutumés. A 6 heures a eu lieu, a l’hôtel des Trois Rois, sous la présidence de Af- Pierrot maire, un ban­quet des plus animés, où la plus parfaite cordialité n’a cessé de règnep. Au dessert, M. Pierrpt a pris la parole pour féliciter la Compagnie et son cpef, le lieutenant Butteux, des succès remportés pendant l’année aux concours de Just-èn-Chaussée et de Limours, puis, M. Butteux s’est en­suite levé pour remercier, dqng upp Pltar- mantp allQcqtlpn, le? inyités ' d'avoir bien voulu assister a cette fête qui a laissé àtous le meilleur souvenir.

■— U n e p e r so n n e g é n é r e u se . — Mme LeduCy femme d’un bravê ouvrier, qui avait trouvé, il y a un qn, enveloppé dans un moMequ de papier, une somme de 10 francs 25, qu’elle avait déposée à la mairie, étant entrée en .possession de cette sgrome, a remis 5 fr, pour la Caisse des Ecoles, Nous sommes heureux de signaler ce fait et d’en complimenter Mme f.educ,

O v m o ^ x V l l l e r s t — Cu a sse a c o u rre .— Le prince Murât avait convié ■ses invi­tés â une chasse à courre donnée lundi dernier dans les .hol* d’Orrouy.

A trois, heures et demie, une troisième tête prenait sa course devant leg chiens et les menait de Largny oû avait eu lieu l’at­taque, à travers les allées et les taillis de la forêt. L’animal commençait, vers les cinq heures, à donner des signes de fati­gue, mais l'obscurité qui tombait très vite força les chasseurs à sonner le rappel au chien.

Souhaitons meilleure chance au vaillant maître d’équipage lors d§ la prochaine Obfisse,

P o n tp o in l . — Volé. — M. Gourland

S y m p a f li ie l i c i p q u e

e n t r e G l e m i t e t S i n i i t .

La nouvelle ci-dessous est publiée ici parce que nous savons partager les peines

les plaisirs de nos voisins. Mme veuve Ceroy, 14, rue de Paris, Clennont, nous dit : « A présent que je suis guérie grâce aux Pilules Foster pour les Reins, je suis bien heureuse de vous témoigner ma reconnaissance en recommandant à mon tour ce bienfaisant remède. Il y a déjà longtemps que je me plaignais dies reins mais depuis les six derniers mois jeressen tais des douleurs de plus en plus aigu’és et presque continuelles qui se portaientdans l’aine et jusque dans les côtés. La nuit je né reposais pas ; je passais tout 'mon temps a me retourner dans mon lit pour trouver une position convenable ; aussi le matin en me levant j ’avais des vertiges, des éblouissements et j ’étais prise d’une telle faiblesse qu’il me semblait que tout tournait autour de moi. Le travail m’était très pénible et cemme rien ne me réus­sissait je ne savais plus quelle détermina­tion prendre quand j ’eus l ’idée de recourir aux Pilules Foster pour les Reins, vendues à Senlis, Pharmacie Le Conte. Je fus aussi heureuse que surprise dès les premiers jours du résultat obtenu; mes nuits devinrent plus calmes et mes douleurs diminuèrent comme par enchantement. Moins de deux semaines après je. dormais aussi bien qu’autrefois et je pouvais reprendre mon travail sans ressëntir au­cune douleur. Je certifie exact ce qui pré­cède et vous autorise â le publier. »

Les Pilules ï ’oster pour les Reins ra­mènent à la santé doucement et sans secousse tout le délicat appareil des reins les aidant à purifier le sang §t 4 chasser du corps avec les urjnes, les iléchets qui sont la cause du mal de tête, du rhuma­tisme, des désordres urinaires, de la gra-

-velle, des pierres tlans lavesaie, Qn trouve les Pilules Foster (iParque originale) chez ou| les pharqiaciens, 3 fr. 50 la boite ;

19 francs les six ou frauoc contre man­dat : Spécialités Fogter, H, Binac, Phar­macien, 23. rue Saint-Ferdinand, Paris. Dans 1 in|érétde votre santé, si vûüs voulez avoir un bon résuhat, exigez ia véritable boîte avec la Stgnature « James Foster » et rerasez toute imitation ou substitution. 8

LA HERNIESON V É R IT A 8 L * T R A IT E M E N T

Po-ir être très répandue, la heroie n’est cenen. dant pas une infirmité ordinair-, «ar les malades qu elle >flecte doiveqt ^(4a seulement .crain 'pc les atteintes d« aussi ]• s pièifes que tendenta le^p bqnno 1--1 nombre de faux spécjàliaite< qui. à grnnd P*nfort de discours et de «i^daiUes, cter- ^ e n t à ecouler dans le nubVc i«urs drogues mlri> fiques ou leu-s apnai*eils hors d usaee., Ma s ^a tJ U'îment viHtabhment séneûx jngô à ses résultats. Chicun sait que les nouTeaux Appareil» pntummtiques inrentcs par le ffpand Spécialiste de Paris, M . A. Ç liA V E R lI î . et portés à leur plus hqut par25qqqde8 ' curé à piiiti de

gènèsan^ gene^jan^ de trawtil, U sou-lagetrunt définitif- de lA r infirmiU.

D ailla A . C L A V E R I E , dout Us tra-T.ux oat reçu les éloçf! tes p lusdaiteors de (ftu»e la Presse Médicale, visite notre ren trée depuis de longues années, et s a p " ” ------

compter, ne l’encadrent’ que de loin, cpffime l’on voit. Pourquoi aussi suppri­mer ce traditionnel défilé, drapeau d é ^ ÿ é et iqusique en tête, oû les hommes étaient fiers de faira admirer leur belle tenue et les gradés leurs galons? Pourquoi né va-

intarmé et â Thierevisiter^ r c f e Ai'^f^Wpt'POBggomffle.sheureux I jgg càroaradês décès deux pays qtii étaient d e le n re g js u ^ '. heureux de rendre la politèsse reçue?

— ’liE e 'l f f u iH B ia r E S a C r é p y . — Nos I C’était |à non seulement une vieillé tràdi-ffleteoraonttitetBiomnent entendu parler tion, mais encore un moyen d’occuper de l'Association des EstropUs français, \ “o® après-midi forcément nn peü creuse. qùFvient de »» créer 4 Marseille et dont G'Atatt de la bonne eonfraternité.. Leles délteués se sont rendus à pied de cette commerce anasi y trouvait son compte. Hville 4 Paris, afin d’entretenir M. Clémen» | parait que p'était « vieux jeu u, mais ceceau de teurg doléances.

Aiirès dëuxhoaveaux voy^es pédestres de .i& js 4 Lille par Reims, et fe LiUe 4 Paris par Amiens, le secrétaire et fonfia- teapde Rosin François et

n’est pas vieux jeu que de boire etm anger eomme des bêtes sans voir personne ni autre chose que, de notre commandant les belles épaulettes et |a mâle près!e cailloux Üénuiié de ton ami ^faol

ipe;loch

itpo(Gustave), commis à la féculerie Man­cheron, demeure au hameau de Saint- f iîr re , • ® .

IJans la matinée de dimanche, il s’est aperçu qu on avait arraché, dans son jar-

de choux, jetés ensuite d un pâté et d’autre,

On avait également coupé et abîmé un plant de poireaux.

Le préjudice éprouvé par M. Courland 8 élève à trois francs. Pareils faits s’étaientnovembre dans les premiers jours de

Pont - Sainte-M axen ce. — U neGRAVE AFFAIRE. — .Uu négociaiit de cette ville, dont les affaires n’étaient pas bril­lantes, avait trouvé un moyen, assez in ^ - nieux cependant, pour les fairoproSpérer»

En bon blooard qu’il est, il songea. pour.Ja vente des vins et alcools, à appli- quer’à ses'fu'.àilles le syslèmë des urnes à double fond. La régie, de cette façon, n y retrouvait peut-être pas son compte, cela importait peu à l’agent de M. Chopi- nst, mais, on le sait, tant va Ja cruche à 1 eau qu à la fin elle se casse I Le commer­çant en question s’est fait pincer et le ^(jpureur de la République, sur la plainte de 1 administration, va exercer des pour­suites contre le fraudeur de Pont.

On raconte que la, « Ligue des Droits de 1 Homme » serait disposéo à intervenir

u r sortir ce b l û c a r d T T i m p Ï Ï X s -uene il.se trouve ; nous ne le croyons

Si Jâ: iustice no suivait pas son coiirs. e. scandale serait. encoFe ftfttgLffrand, oap

Spmirnt 4 la Chambre des dépiités, où il donnerait lieu 4 une mterpeHalion,

ment coqqqq pqar1*>8 éiqî:ieq(«8 qu«il.«8 un ce rroiessioanei d« pre* iilior ordre. I sulüt que no..s rapperons à nos !eç- teurs e t à nos Icctn.-es att-ints de H aN |iM où de DcjpIftCeilldltS ÛUÔC st A *sèurqu’ils doiveat f td cw d fleu r et

bftureuji de fouToir aoon- aJa que chacun PUiss» ^ nrofiter poup «lier H wudrdi «site. ^ ^ f

M. A. €LÀ%'Ei|IE, recevra.de 9

DlmaBch. 22, U* tel de23 Bic., H ê to l d e C hcM le

H itei a « Ç n u « iSte Fer.

a s t l t U S , Mardi 24 D4o Cerf.mlîh .* m Brrnie " où cette nonvellom ithole est clairemant e.Tp’iquée, ejt envové era- tmtement et diiorètemcnt à toutes les pe-FoSes3 Î . 'S N demande 4 H . A . C l A F i ---------Ï34, Fauhourg Saint Martin, t Paria. l(

M t f i f l l i f e A PROBOIT

CtamlMlUliUl«EI18II4C

m m tifen t ■. m m ù mAMbqgAfanw

m S S i iPAimtbw

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J ’ac h è te a u co n ù ttaa t, l e s D e iite lle s « n c le m ie s .

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Jss Gérant : SAvutvx-BujniaàRB.

distinctions pour ses incalculables résab^ 'r. v tûtspbtenus par son invention humaaimî? . ‘ taire va arriver parmi nous. : •

Cette invention con.siste en un appareik-; : MUS ressort porté jour et nuit sans aucune ; »gêne et n’a rien de commun avec les vulgaires bandages vantés à grand ren fo rt. . de réclames ; c’est le seul qui, assurant .la, . contraction absolue de toute hernié conduit à la guérison. Des milliers d’attes­tations authentiques de malades soulagés pour toujours de cette cruelle infirmité 'sont la preuve évidente de la supériorité ■ = de cette unique méthode. Aussi, fort de' lui-même, M. G la se r défie qui que ce soit d obtenir pareils résultats à ceux qu’il obtient chaque jour. En conséquence nous ne pouvons résister au désir d’inviter toutes les personnes : hommes, femmes et - - enfants, atteints de hernies, efforts, des­centes, déplacements des organes, à pro­fiter de cette heureuse occasion de venir- essayer ces incomparables appareils :

A Saint-Valéry-sur-Somme, le 16 dé­cembre, Hôtel du Commerce ;

A Senlis, le 17, Hôtel du Gra,nd-Cerf •A Saint-Just-en-Chaussée, le» 18, Hêtel

S iint-Nicolas ;■f p,rpil> le J9> Hôtel du Chemin de fer:A Méru, le 20, Hôtel du Commerce ;A Bjauyais, le 21, Hôtel Continental; - 'A Gimpiègne, le 22, Hôtel de France.M. (JL.1SER, à Courbevoie-Pâris, envoie

son traité de la Hernie gratis sur demandef

Annonces Judiciaires.Aeticls

Étude de G eorges ÜIORjliVD.licencié en droit, avoué à Sentis

rue Saint-Uilaire.

DIVORCE ç

Asdstanee Judiciaire.Décision du Bureau de Senlis

du 13 octobre 1906.

défaut rendu par le Tribunal civil de première ins-miïïei?f®ro®®i"*-®’ décembremu neuf cent six, enregistré ;

‘'® “ A ame Marie-Elise Bo-quet, manouvi-ière, épouse de Monsieur Ërnest-AIexandre Nattier

• avec lequel elle demeure de droit’rK uTa*® r ^ r é s i d a n t de fait à Senlis, rue Vieille-de-Paris •

Demanderesse comparant et plai- ■ dant par M» Georges Morand, son avoué constitué ; D’une part ;

Contre Monsieur Brnest-AlexandreNattier, manouvrier, demeurant ci-toirU « ®®‘“ellement sansdomicile m résidence connus •

Défendeur défaillant ;D’autre part ;

11 appert :.OiJ® }e divorce a été Srononcé

d entre es époux Nattier-BocquelNaffier.

Et enregistré.

Pour extrait :Signé : MORAND.

1093

Ë t i i d e s d e

**'■ *’OLSS.\Ki>, avouc-agréé à oenlis ;

A rm and ROLiAAli, huissier a Chantilly ;

'>“>ss‘er âChantilly,

judiciaire de M. CI1ÉR4- ÜAME, ancien négociant ea épi­cerie, mercerie, nouveautés, rouen-

, ®J,'û'''l6s de chasse et de pêche, à Gouvieux, rue de Creil.

Vente m Enclièreii M i p spat' autorité (le justice, eu vertu d’une ordonnance de Monsieur le Ju““: Coinmissatra do ladite liquidatîon judiciaire, à Gouvieux, rue de Creil prba 1 Eglise, dans l'établissement ou s exploitait le commerce, les Di­manche 22, Lundi 23, Mai-di 24Marti -*■ “ et^ Décembre t907,à une heure précise, ot joure postérieurs s’il w a lieu, d un bon Cheval et dos ’Voi- ÿres (deux Voilures livraiç^n el une Voitures à deux roues), c C ts Mo-bmert et Marçhanffisei dépendantp? ,iî®. D<l“*dati.on judiciaire de M. Rnfnnrt * ministère de L» i i ’ ‘I® M® Guétin, 11

•'‘® Poossard, liqui­dateur judiciaire définitif de M. ciié-

(Pmtr la désignation,- note les affiches).

Conditions o i-àinalres. E xp i-essém eu i^u C om ptant.

Ordre de la vente : J" îodi> cbe- val, voitures, mobilier- et marchan­dises; jours siBvants, marchajidises.

-POTr tous renseignements, s’adres­ser a M® R oland. 1094

ViUe de La Ferté-ÎMüon ■'— (A ISN E )—

l e Diqianclie 29 Déeembro I9C7 à une_ heure et demie.

Salle Racine,

M j m l i c a t i f i i i i l e T i a i f a i i x; pour la .

C o n s tv n c tio n J* u n e lÉIcote d e G a rç o n s ,

évalués 50.000 francs.

Le cahier dos charges est déposé à la Miuric de celte ville.

L g

Glieifaîy.^ fîieHe e t d’Atteiag®.

A VENDRE Oü ALO^j e R^ pour cl,^se, .

S’adresser à M, FRÀNCf ii IN -v i .Chapelle-en-SemlfOis^;. *-®.

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S ans, taille s’altHant et ^'montaût,T»Ûvan'. « »

conduit par une dame.S’adr. an Bureau du Joutna;,. jotis

; -

I

Page 4: Paraissant le Jeudi et le Dimanche. J O U R N A L l ) f O ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1907/bms_js_1907_12_15_MRC.pdf · f^^Aanée. — JV? 100. - ^ C l M O ^ f g W I l M E S ~ lt«,

LE COURRIER DE L’OISE

A n^pnçe? Judiciaires*' ’. C M ’î '- ' ]

SuivantàiBfe reçu par M® <2ÿenlier, BOtaireja'Ch^bly, le onze oecembrê » il n e u ^ a l sôpt,.Monsieur Emile-; Joseph C5rtiS, marchand de vins à Chainb^<a vendu à Monsieur I^ouis-t Joseph MARAIS j entrepreneur à" Chaoroly, le fonds de commerce « C a fé d e r H a r m o n ie » , ex­ploité par lui place du Parterre, aux prix et conditions insérés audit acte.

Entrée en jouissance du premier décembre mil neuf cent sept.

Les oppositions seront reçues en TEtude de M* Quentier.

Pour insertion i089 QÜENTIER.

AaT. 3.Par acte du Greffe du Tribunal

civil de première instance de Senlis en date du huit octobre mil neuf cent s e p t , Monsieur LHOMME, ancien huissier à Creil, a déclaré avoir cessé ses fonctions et vouloir opérer le retrait do son cautionnement.

Le Greffier $11 P. BEAUNIS.

Études de !U‘ L o u is ESC A V Y ,.ttvoué à Senlis,

et de M ' R IC H A R D , notaire à Pont-Sainte-Maxence.

V EN TE SUR U O T A T IO NDE : UNE

M A I S O NCirconstances et Dépendances,

s i s e s i ï VERAEUII-,en la rue des Bois.

Études de M ' L o u is E SC A V Y , j:. ^voué à Senlis,

. 7, >ue de Villevert.

yfinî*SEfR LICITATION< DE

W l é M a i s o nCirconstaicps et Dépendances,

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réunies en H lots.L’adjudication aura lieu le

D iniM che 2 2 D écem bre 1907, A deux heuirs de rélevéej

en fa Salle d’Ébole de la commune d’Aumont (Oise),

par le ministère de M” FERTÉ, notaire à Senlis,

commis à cet effet.

S'adresser pour les renseigne­ments

A M« L o u is iESCA V Y , avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

Et è M' FERTÉ, notaire à Senlis, dépositaire du cahier des charges.

L’adjudication aura lieu le D im anche 29 D écem bre 1907,

à deux heures de relevée, en la salle de la ïa ir ie

de la commune de Vemenll-snr-O'se . par le ministère de M® RicuAnn, notaire à Pont-Sainte-M axence

commis à cet elîet.

Mise à prix : 500 fr.

Études de M» L o u is ESCAV’Y,, avoué à Senlis,

Et M« BEAUCH AM PS," notaire "i Pont-Sainte-Maxenee.

V E N T Es o u s b é n é f ic e d ’i n v e n ta i r e

ijf

U N E M A ISO NCIRCONSTANCES et DÉPE.NDANCES

Sises à Sai.m -Paterse, Commune de Pontpoint,

L’adjudication aura lieu le D im anche 29 D écem bre 1907,

à deux heures de relevée, en la salle de la Haine de Saint Oervais-Poatpoint,

par le Ministère de M“ Beauchamps, notaire à Pont-Sainte-Maxence,

commis à cet effet.

Etude de G e o rg e s MORAND ,licencié en droit, avoué à Senlis,, !

iO, rue Saint-Hilaire.

Vente sur saisie immoliilièreDE

UNE M A ISO n Isise à B é th i s y -S a in t - P ie r r e ,

lieu dit Richehourg, joignant la rue de la Bacone,

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L’adjudication aura lieu le M a rd i | 3 4 D é c e m b r e 1 9 0 7 , heure d e l midi, en l’audience des-criées d u | Tribunal civil de première instance I de Senlis, au Palais de Justice, rue l de la Réiiuhtique.

S'adresser pour les renseigne­ments :

A .M 'G e o rg e s MORAND, avoué I il Senlis, poursuivant la vente ; •

A M ' EY.MARD,huissier à Crépy- en-Valois ;

Et à M' FE R R Y , notaire à Bé- j thisy-Satiit-Pierre.

Etudes de M‘ G e o rg e s MORAIVD,licenciencié en droit, .

avoué à Senlis, 10, rue Saint-HHaire, | et do M' F E R R Y ,

notaire à Béthisy-Saint-Pierrc.

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A M ' L o u is ESC.AVY, avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

A M» MORAND, avoué, présent à la vente ;

A M ' B E A U C H A ïiP S , notaire à Pont-Sainte-Maxence ;

Et à M« R IC H A R D , notaire à Pont-Sainte-Maxence, dépositaire du cahier des charges.

les reiïseigne-] Mise à prix r 1 ,500 Ff,S'adresser pour les renseignements :

A M ' L o u is E SC A V Y , avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

Et à M» B E A üC H A SIPS , notaire à Pont-Sainte-Maxence, dépositaire du cahier des charges.

Études de M® S .W A R Y , avoué à Senlis,

et M ' D E SA B IE , nôtaire à Creil.

Études de M ' i ,o u îs v t s c A V Y , ^ ' ^ ^ r t e p a r j T e l J u c l i c a f i o navoué à Senlis (Oise),

et de M ' BOCQÜET, notaire à Neuilly-en-Thelle.

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AMUSONSsises commune de

IVELTLLY-EA’-TH E LL E ;

1 5 P i è c e s â e î e r r e

'A CREILen l’Étude et par le ministère de

M' DESABIÉ, notaire à Creil,le L im d i 1 6 D écem bre 1907 ,

à deux heures de relevée, D’UNE

C R É A N C Es’élevant à-7.600 fr.

dont 6 ,5 0 0 f r . en principal et 1 . 1 0 0 f r . pour intérêts,

sur M. FAUCONNET, marchand bou­langer à Montataire, et dépendant de la faillite de M. Albert PAVIÉ, ancien marchand boulanger à Mon- tataire.

sises terroirs de F o n la n g u e s , C ire s - le s -M e llo

et N le u iU y -e n -T h e lle (Oise).

L’adjudication aura lieu à la re- {quête de M“ Oscar Savary, avoué- agréé près le Tribunal de Commerce

L’adjudication aura lieu le ÿ tm aa i- c h e 3 3 d é c e m b r e 1 Q 0 9 , A u n e h e u r e e t d e m ie , en la mairie de Morienval, par le ministère de M' Eèrrÿ, notaire à Béthisy-Saint- Pierre, commis à cet effet. '

S'adresser pour les renseignements:A M' Georges MORAND, avoué à

Senlis, poursuivant la vente ;Et à M' FERRY, notaire àiBéthisy-

Saint-Pifirre, dépositaire du cahier des charges.

I Études de M 'G e o rg e s MORAIVD,licencié en droit, avoué à Senlis,

10, rue Saint-Hilaire, et de M ' J . R O B E R T , notaire

à Baron.

V EN TE B É N É F IC IA IR EDE : UNE

T M L A X & O Nsise h A a u te u i l - le -H a u d o u In ,

rue de Crépy,AVEC

Circonstances et Dépendances. L’adjudication aura lieu le D im a n -

e h e 3 9 D é c e m b r e 1 9 0 7 , àdeux heures de relevée, en la Mairie de Nanteuil-le-Haudouin, par le ministère de M' ROBERT, notaire à Baron, commis à cet effet.

Mise à prix : 5 0 0 francs.

pour les renseigne-

Étude de M ' M a n r ie e ROU X,commissaire-priseur

de l’arrondissement de Senlis.

A O R R Y -LA -V ILLErue de l’Abbé-Clin, n» 8 ,

après le décès de M. L.-A. Louvet, vente aux enchères publiques

n’uK

M O B I Z . I E Bdépendant de sa succession,

le Dimanche 13 Décemhre 1907, à une heure très précise.

Étude de M ' M a u r ic e RO U X ,commissaire-priseur

de l’arrondissement de Senlis.

M P B I X . I E BM a té r ie l & M a rc h a u d is e s

dépendant de la succession de Madame Marie-Ciara DRIEÜX,

en son vivant marchande foraine, à vendre aoz enchères publiques

par suite d’acceptation bénéficiaire, le Dimanche 22 Décembre 4907,

à une heure, à S eu liS ÿ H ô té l d e s V en tes*

l^tude de M® lU a u r lc e RO U X , commissaire-priseur

de l’arrondissement de Senlis.

M a rd i 17 D écem bre 1907^ à une heure,

à S e n l i s , lieu dit le Potèau,I au domicile de veuve Coelle,

A niB A IL DE COLTUREà vendre aux enchères publiques

A . L O X J E R ,

FERMEde M hect. de Terre,

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F acilité* d e s ’a g ra n d ir E n tré e an Jo u issa n ce d a su ite .

Pour tous renseignements, s’a­dresser à M. BIMONT, cultivateur- propriétaire à Fosses. 867

MÉMB ÉTUDE

CABINET D’AFFAIRES v®*’*™™* dépendsut- ■ d 'an .. maison sise à Senlis, rue duHautbergier, n‘ 8 . — S’adresser à M* Louât, notaire à Senlis.

Nous n’avons pas aujourd’hui de fonds do commerce à vendre d’occasion. Pour­tant parmi les lecteurs une personne a le désir de vendre son commerce, et une autre personne voudrait achetor ce com- mierce dans de bonnes conditions. Or, les deux personnes qui ont le plus grand intérêt A se connaître ne se rencontre­ront pas, faute de voir ou d’écrire à régence ROZIAU, Porte de Paris, à Oépy-en-Valois.^ laquelle consent des avances de capitaux aux acquéreurs sérieux. 100

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S’adresser à M'PETIT, notaire. 720

agi,... le iiiuuiiat ue uoiiiiiieree S adresser , de Senlis, agissant au nom et comme ments :syndic de; la faillite de M. Albert I a M' G e o r g e s MORAXD,

Dour les a boulanger, demeurant avoué à Senlis, poursuivant la vente;pour les à Montataire, et Comme étant-spé-d - , , ■ . . _ , . „ . ' I El E XI. -I- R O B E R T , notaire il

Étude de M« D H E R B E , huissier à Pont-Sainte-Maxence.

FaiUite de M. L E M A m E , marchand de Tins.

VIN, GIDRÊ, ALCOOLL’adjudication. aura lieu

treize pièces de ^ rre et bois, ' cialement autorisé à cet effet aux ..v....... «sises'terroirs de Foulangues et termes d’une ordonhànce de Mon- ®‘' dépositaire duj

lè Juge-Commissaire de ladite'4 5 D é c e m b r e 1 9 0 7 , d 'u n e r„;i,:.- 'heure de relevée, en la Maison î d’Ecole du Tillet, commune, de Cires-les-Mello ( Oise ) , par le ministère de M'Bocquet, notaire h Neuilly-en-Thelle, commis à cet effet ;

Et pour les deux pièces de terre et les quatre maisons sises A Neuilly- en-Thelle, l e L u n d i 1 6 D é­c e m b r e 1 9 0 7 . à deux heures de relevée, en l’Etude et par le ministère dudit M' Bocquet, no­taire a Neuilly-en-Thelte.

S ’adresser pour les renseignements:A M' L o u is E SC A V Y , avoué à

Senlis, poursuivant la venteA M* MORAXD, avoué à Senlis,

présent à la fente ;Et A M‘ B O C i^ E T , notaire k

Neuilly • en - Thelle, dépositaire du eahier des charges

faillite, en date du '12 novembre 1907

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Étude de M- H. BALÉZEAUX, notaire ^ à Chanti ly.

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la vente ; „AH* L ereÿ;'lth{airè h Liancog^; H t k H* B é a w iu M & i^ o i& i r ^

PoBt-Sairie-rlpaience, dépositaire du ^aUer des cha% ef

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