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Paris 17e - le bonbon 04/2010

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Découvrez le magazine Le Bonbon Paris 17eme arrondissement du mois d'avril 2010.

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édito“bon”jour

RÉGIE PUBLICITAIRE06 33 54 65 [email protected]

Directeur de la publication

Jacques de la Chaise

[email protected]

Rédactrice en chef

Mélanie Taieb

[email protected]

Design original

Tom & Léo

[email protected]

Secrétaire de Rédaction

Élise Boulay

Rédaction

Claire Schneider, Rebecca Chapel,

Sandra Fargnier, Mathilde Boinet, Laure

de Grivel, Céline Lepan, Aurélia Saïd,

Marine Roblin

Photographes

Matthew Oliver, Élodie Petit, Zoé Forget,

Sarah Bastin, O.J.R, Marine Roblin,

Amelie Chassary

Maquette

Alexandra Praud

Illustrateurs

Paulina Leonor,

Guillaume Ponsin

Styliste

Anthony Watson

Remerciements

Franprix

Chef de Pub

Stéphanie Baniel

Tel : 06 62 11 24 25

Petites annonces

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Rejoignez Le Bonbon

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Contactez-nous

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09 75 71 48 34

Le Bonbon

30, place St Georges,

75009 Paris.

SIRET 510 580 301 00016

ISSN : en cours

Dépot légal : à parution

OJD : en cours de validation

Imprimeur

Centre Impression

VIVE LE PRINTEMPS !

Les petits Bonbons que nous sommes commençaient à se congeler. Heureusement

que les journées s’allongent, que la douceur s’installe peu à peu. Les arbres en fleurs et le chant des oiseaux donnent envie de pointer notre nez dehors et de flâner… aux Batignolles, bien sûr !

Nous irons d’abord nous promener au Square des Batignolles, pour mieux connaître son histoire : premier jardin à l’anglaise de Paris dites-vous ? Du côté de la rue Brochant, nous déjeunerons à La Bonne Heure, élu bon commerçant du mois. L’accueil y est exceptionnellement chaleureux, du coup, on y retourne. Et c’est si bon ! Notre cœur de Bonbon fondera à la rencontre de l’acteur et musicien Adrien Jolivet qui connaît le 17e comme sa poche pour y vivre depuis l’enfance. On plongera dans l’univers romantique de Sandra Woolfenden. Cette créatrice habite et vend ses bijoux aux Batignolles, elle nous révèle ses secrets et ses mystères. Envoûtement assuré ! Enfin, si vous êtes amateurs de B.D., foncez chez vos commerçants préférés, un jeu-concours organisé par l’association « Au Bonheur du Commerce » vous propose de devenir le nouvel auteur d’une B.D. de quartier. En grands curieux que nous sommes, nous avons rencontré Nadine de Lhopital, chef du projet qui pourra vous en dire bien davantage.

On fera aussi un détour du côté des Ternes où un personnage à part entière nous attend. Mayumi Tsubokura, peintre japonais, s’est amouraché de la mer et peint des vagues fascinantes sem-blables à celles des plus grands spots de surf. On veut voir et on veut tout savoir ? Alors vite à vos Bonbons !

Mélanie Taieb

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EnseigneLe nom du commerçant

CoordonnéesAdresse et téléphone

DescriptionLe type de commerce

LES BonBonS moDE D’EmPLoICommEnT PRofITER DES Bonbons

DESCRIPTIf D’Un Bonbon

1 ChoISISSEz

Repérez les Bonbons pré-découpés au milieu du magazine.

2 DÉTAChEz

Détachez ces Bonbons qui vous feront bénéficier d’offres et d’avantages.

3 PRofITEz

Présentez vos Bonbons au moment de payer et vous bénéficierez immédiatement de l’avantage annoncé !

AvantageDéfinition du type d’offre

B&R ColleCtion

Créations de vêtements et accessoires en 100 % cashmereHommes-femmes-enfants30 coloris existants. Collection été et hiver15, rue Henri Rochefort Tél. 01 56 33 70 03 – 06 69 42 94 88 www.bnrcollection.com

-10%PouR tout AchAt

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sommairemiam miam !

Page 6. la bonne heure

Page 34. nadine de lhopital

Page 10. adrien jolivet

Page 38. sandra woolfenden

Page 14. le bon art

Page 44. mayumi tsubokora

Page 5. Le Bon TimingPage 6. Le Bon CommerçantPage 10. La Bonne ÉtoilePage 12. Les Bons PlansPage 14. Le Bon ArtPage 16. Le Bon en ArrièrePage 18. Le Bon Look

Page 21. Le Casse BonbonPage 22. La Bonne RecettePage 25. La Bonne Séance Page 26. Le Bon Astro Page 28. Les Bons TuyauxPage 31. La Bon’BonnePage 32. Le Bon Écolo

Page 34. Le Bon FemmePage 36. Les Bons ShopsPage 38. Le Bon ArtisanPage 40. Les Bons P’tits DiablesPage 42. Les Bons SnapshotsPage 44. Le Conte est BonPage 46. Le Bon Agenda

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ABD EL HAQULOLA BAÏ

TWIN TWIN

TOUFO

GREG GILG

MONO FOCUS UKULÉLÉ BAZAR

THIS IS THE HELLO MONSTER !

OSHENNICOLAS FRAISSINET

MONO FOCUS

LOLA BAÏ

JADE

DAVID TÉTARD MAUD LÜBECK

TWIN TWIN

UPPERCUT

ÉRIC TOULISARTHUR RIBO

ARTHUR RIBO

MONSIEUR LUNEARTHUR RIBONICOLAS FRAISSINET

ÉRIC TOULIS

THIS IS THE HELLO MONSTER !

MAUD LÜBECK FRED OSCAR

RACHEL DES BOIS ET SANCHEZ

NAMELESS

PERRINE EN MORCEAUX

DES FOURMIS DANS LES DOIGTS

GREG GILG

UKULÉLÉ BAZAR

AGNÈS BIHL

DAVID TÉTARD

AVR IL 2010

lestroisbaudets.com01 42 62 33 33

réserVatioN/iNFo

SALLE DE CONCERTS BARS & RESTAURANT

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le Bon timingles évènements à ne pas manquer

© D

DR

© D

DR

SéRie de pHotogRapHieS SuR leS doudouSL’exposition a lieu dans la boutique de vêtements pour enfants Rose Desbois. Bénédicte propose au jeune public et au moins jeunes de faire photogra-phier leur doudou, pour un souvenir unique et un exemplaire exclusif ! Idéal pour décorer la chambre des enfants ! RDV le 6 avril à partir de 18h pour le vernissage 6, rue Meissonier http://web.me.com/benedictelassalle/doudou

leS aventuReS extRaoRdinai-ReS d’adèle BlanC-SeCVenez retrouver le réalisateur Luc Besson et l’auteur et dessinateur Jacques Tardi autour de la sortie du film Les aventures extraordinaires d’Adèle Blanc-Sec. En 1912, un œuf de ptérodactyle, vieux de 136 millions d’années, a éclos et la créature s’envole dans le ciel semant la terreur sur Paris. Adèle Blanc-Sec mène une enquête jusque dans l’Égypte des pharaons…Au forum des rencontres de la Fnac des Ternes 26, avenue des Ternes. Tél. 08 25 02 00 20

au BonHeuR du CommeRCeParticipez à la création d’une bande dessinée du sa-medi 13 mars au samedi 10 avril 2010. Le concept : les commerçants de la rue des Batignolles et de la rue des Dames proposent à leurs clients de raconter une courte histoire sous forme de synopsis que chacun déposera dans une urne. La meilleure d’entre elles sera sélectionnée par un jury et illustrée. Et si vous aviez un talent caché ?

danSe folkloRique RuSSeCe printemps, la Russie est à l’honneur ! Le National Danse Show de Russie est un magnifique voyage à travers l’histoire de la Grande Russie Mystérieuse retraçant l’introduction du christianisme jusqu’à nos jours. Ce spectacle est un tableau vivant de l’évolu-tion de la Russie orthodoxe, laïque, héroïque, qui vous projette au cœur de la culture et de l’histoire de ce si grand pays. Le 13 avril au Palais des Congrès de Paris , 2 place de la Porte Maillot

jeu

rencontre cinéma

vernissage

spectacle

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le Bon commerçant

Un endroit pas comme les autres au cœur des Batignolles, un restaurant où l’on vient prendre du bon temps !.

Claude, le patron, et son associé, le chef cui-sinier Emmanuel, m’accueillent dans ce res-taurant au cadre atypique. Une équipe qui fonctionne depuis treize ans, qui a connu ses débuts au Bistro d’à côté de Michel Rostang et maintenant ici, rue Brochant, depuis six ans. « On travaille ici de façon différente, plus dé-contractée, on vient même travailler en jean ! » Car ce qu’ils apprécient particulièrement dans ce quartier des Batignolles, c’est le contact avec une clientèle sympa, plutôt jeune, décontrac-tée et dynamique !L’endroit évoque à dessein l’ambiance de bis-trot grâce à son décor convivial et chaleureux. Des murs de briques rouges, de vieilles tables de bistrot chinées, des fauteuils clubs et des ri-deaux rouges à carreaux. Tout cela contribue à une atmosphère dont le seul but est de met-tre le client à l’aise. « Le travail en salle est le plus important, plus encore que la nourriture. La première impression est toujours celle qui reste : une attention, un sourire ; il faut savoir

faire plaisir aux clients et aimer leur faire plai-sir pour (bien) faire ce métier. » Et les clients apprécient. Ils n’hésitent pas à faire un tour à la cuisine, semi-ouverte sur la salle, pour parler avec le chef cuisinier et échanger des recettes. Et d’ailleurs les maîtres des lieux n’apportent plus la carte aux habitués. Leur ambition ? Juste apporter un moment de bonheur aux gens…

« Tout le monde sait faire de la cuisine, il faut savoir se démarquer ». Par l’accueil, mais aussi par la décoration ! Il faut vous dire, si vous ne connaissez pas encore le lieu, que le nom de ce restaurant n’est pas dû au hasard ! Des horloges, de toutes formes, de toutes tailles et de tout âge. Il n’y en a pas loin d’une cen-taine, elles parsèment la salle de restauration et même le patron n’en connaît pas le nombre exact. « La plus ancienne remonte au début du XXe siècle. » Évidemment, aucune ne marche ! Le bruit serait assourdissant. Mais comme me révèle avec malice Claude « elles sont tout de même à l’heure deux fois par jour », évidem-ment… Collectionneur dans l’âme et grand amateur des puces, il a tout chiné lui-même

texte Célin e lepan / photo Matthew oli v i er

LA BONNE HEUREla bonne bouffe à l’état pur

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la bonne heure

avec beaucoup de plaisir et de cœur et aime les histoires autour de ces horloges.Toujours dans un esprit de convivialité, des concerts de jazz sont organisés toutes les deux semaines : les vendredis ou samedis soirs. Et l’été, vous vous installerez en terrasse pour déguster une véritable cuisine du terroir que le chef, Emmanuel, qualifie lui-même de cuisine « canaille ». Un chef formé chez Vatel, Alain Dutournier et Michel Rostang. Une nouvelle carte vous attendra à chaque saison, l’ardoise change tous les jours, à l’exception de quelques grands classiques (terrine de foie de volaille, filets de hareng, rognons, tartare de bœuf) pour des formules allant de 14,50 € le midi à 29,50 € le soir. Ils n’utilisent que des produits frais qui arrivent le matin même. La carte des vins s’adapte à tous les budgets. Pour le chef ce sera un Mas du notaire accom-pagné de rognons et pour Claude un Brouilly avec un tartare de bœuf coupé au couteau. Et pour vous ? Communiqué

la bonne heure11 rue BrochantTél. 01 46 27 49 89http://www.la-bonneheure.fr Ouvert tous les jours midi et soir de 12h à 14h15 et de 19h à 23h

Leurs bonnes adresses : Le West Bar, 61 rue LegendreL’accroche fleur, 81 rue Lemercier, qui leur four-nit tous leurs amyrillis, touche florale du restau-rant

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la Bonne étoile

Adrien Jolivet

texte Mélan i e tai eb / photo Matthew oli v er

Comédien mais aussi auteur-compositeur et leader du groupe Jolijo, Adrien Jolivet est un artiste talentueux et accompli capable de faire fondre votre cœur de bonbon.

C’est au théâtre Aire Falguière que nous retrouvons Adrien Jolivet à l’occasion des Lundis de l’humour. Il y interprète

Hormone dans Le Grand Vizir de René de Obaldia, sous l’œil attentif de l’auteur excep-tionnellement présent. Son jeu est juste et sa présence saisissante. Il porte sur son visage une aura d’une sim-plicité chaleureuse qui donne la merveilleuse impression que le texte l’habite. Il est drôle est percutant. Adrien a conquis son public ce soir-là et son l’auteur. Adrien est le petit-fils de la comédienne Arlette Thomas, le fils du réalisateur Pierre Jolivet et le neveu de l’humoriste Marc Jolivet. Petite graine d’artiste, Adrien a pourtant eu une en-fance tout à fait banale dans son 17e arron-dissement qu’il adore. Collégien à Condorcet puis lycéen à Carnot, Adrien coule des jours

heureux sans songer aux feux de la rampe. Mu-sicien dans l’âme depuis son plus jeune âge, il concrétise sa première passion dès ses 19 ans en montant son groupe Jolijo aux airs funk, pop & soul. Sensible aux mots, il écrit ses textes et compose ses chansons. Dans sa vie actuelle d’acteur, Adrien reconnaît la nécessité pour lui de faire de la musique : « quand je chante sur scène, je ne triche pas, c’est une libération ! ».

Mais le cinéma, com-ment ça a bien pu commencer ? En tant que technicien stagiaire sur un cours métrage. « Finalement, c’est par opportunisme que j’ai démarré » révèle

Adrien. Ayant fait l’objet de castings sauvages à la sortie de l’école pour tourner des pubs, il comprend rapidement que sa « gueule » intrigue et qu’il a peut-être un physique pour le cinéma. On lui trouve effectivement une âme sensible et un visage intéressant. Le déclic pour le métier d’acteur, il l’a au cours de son stage d’assistant sur le film de son père, Pierre Jolivet, Le Frère du guerrier (2002). Au

“ qUAnD Je ChAnTe sUR sCène, Je ne TRiChe PAs, C’esT Une LiBéRATion ! ”

l’enfant des batignollesdevenu artiste

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contact de Vincent Lindon et de Guillaume Canet, Adrien se prend de passion pour le jeu : « voir de tels acteurs jouer une si belle his-toire, dans des rôles magistraux en costume ; les voir prendre du plaisir à tourner m’a donné envie de jouer à mon tour ; j’ai compris que la place d’acteur était la meilleure pour obser-ver le tournage, ça m’a plu, j’ai voulu observer à mon tour de la meilleure place qui soit ! » Tout s’enchaîne assez vite après. Chez Eva Saint-Paul, il suit une formation classique : « c’est formateur d’apprendre de très grands textes, on progresse rapidement grâce à la qualité et au rythme des phrases ». Mais son expérience clé est le premier rôle qu’il décroche dans un téléfilm de Jean-Louis Milési, Fragile (2002) avec Martin Lamotte, lequel le prend sous son aile. Le film reçoit le prix du festival du film de Luchon. Lorraine Levy, membre du jury,

remarque le jeune acteur et lui propose un rôle dans La première fois que j’ai eu 20 ans (2004). Sa carrière est lancée, même si Adrien recon-naît avec humilité que : « rien n’est jamais acquis, il faut toujours travailler, mais plus je fais de films, plus je gagne en sérénité ». Nous avons hâte de le retrouver dans son dernier film d’auteur Noir Océan de Marion Hänsel où il joue le rôle d’un jeune militaire témoin d’essais nucléaires. Pour les plus impatients, courez en avril au Caverne Club pour des soirées funk & groove avec Adrien et son groupe Jolijo !

sa vision du 17e en trois mots : Vaste, éclectique, énigmatiqueson bar péféré : Trois pièces cuisines, 101, rue des Dames

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Un petit coin de para-dis pour les yeux et la bourse !… S’il n’y avait

pas dehors sur la tablette, la fa-meuse « farfouillette » à moins de 15 euros, on pourrait pres-que passer devant sans le voir… Et là, ce serait le drame !

Car Le coin des arts est une adresse exemplaire. Christine connaît parfaitement la valeur des choses et souhaite que tout le monde puisse se faire plaisir. Passionnée de peinture, Christine sé-lectionne de jolies trou-vailles. Alors comment

ne pas craquer pour ces ravissants petits oiseaux (15€ l’un) ? Et ces fleurs, ces paysages, ces portraits, toutes ces images qui vous invitent à des voyages immobiles tandis que d’autres œuvres, carrément cotées, nous font succomber… En ce moment deux splendeurs

orientalistes (1930) du peintre Jeanne Janogé. Et surtout aucune complaisance de goût ou de style. Belle vaisselle, adorables bon-dieuseries, bijoux…et jolis jouets comme ces charmants « pouets pouets » des années 40 à 70. En-fin, pour les petits espaces, Chris-tine propose de ravissants petits meubles à des prix minis. On cra-que et l’on revient forcément car ici, même les splendides antiquités ont un prix brocante ou vide grenier.

le Coin des artistes89 rue LegendreTél. 0615279321 Du mardi au samedi.11h-13h et 14h-19h

Laurent di Mascio redonne vie à vos chaus-sures et vous permet de trouver LA paire qui n’existe nulle part ailleurs.

Rare expert du glaçage et de la pa-tine, Laurent di Mascio fait briller le bout de vos souliers, voire en change carrément la couleur. Initié à cette technique par un professionnel de la maison Hermès, il garde aujourd’hui jalousement son secret. « Cireur de pompes haut de gamme » comme il le dit lui-même, il redonne une seconde vie à vos paires préférées (7* à 34*) ou à vos nouvelles chaus-sures jaune poussin achetées sur un coup de tête qui retrouvent ici une couleur disons… plus traditionnelle ! (64*). Laurent di Mascio propose également quelques mo-

dèles de chaussures pour homme personnalisables, de quoi rendre fou de jalousie tous vos collègues

(240*). Enfin, mesdames, le magasin pro-posera bientôt de réaliser la paire d’es-

carpins qui ira à merveille avec votre robe aux motifs improbables

achetée à l’occasion du ma-riage de la cousine Berthe. « Mon plaisir : le sourire du client en partant ». Sa clien-tèle, plus que satisfaite, se bouscule chez lui et vient parfois de province ou même

d’Europe. Notre spécialiste confesse juste deux gros dé-

fauts : « Bavard et toujours en retard ! ». Laurent est déjà tout par-

donné bien sûr !20, rue St Ferdinand

Tél. 01 44 09 92 90 - www.laurentdimascio.com

les Bons planson a testé pour vous

le Coin des arts par Sandra Fargnier

glaçage & patine texte par Rebecca Chapel, photo par Élodie Petit

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les bons plans

Dans un 17e aux allures de village, un coif-feur atypique a fait de son salon un petit havre de paix au style rétro qui s’appelle

les copains d’abord, les copains d’abord...

En descendant la rue Nollet, cherchant le coiffeur rêvé pour nous rafraîchir notre coupe de cheveux, c’est à deux fois que l’on vérifie le numéro. 95 ? La vitrine est décorée de photos de paysages paradisiaques. Une agence de voyage ? Impossible ! Des figurines pour enfants, des cyclistes et autres babioles.... s’entassent dans la vitrine. Nous sommes pourtant au 95, rue Nol-let, chez le coiffeur « Les copains d’abord ». En passant le pas-de-porte, deux hommes s’activent, parlent haut, ciseaux à la main. Les copains d’abord se coupent en quatre pour leurs clients. Le salon est un vrai kiosque à journaux. Bob, le patron, s’explique : « II y en a pour tous les goûts, je veux qu’on se sente bien ici ! A l’époque, lorsque les hommes allaient chez le barbier, c‘était pour se détendre. C’est l’atmosphère qui doit régner ici aus-si». Le concept a marché, l’ambiance est chaleureuse et l’on se sent bien. Pourquoi « Les copains d’abord » ? Parce qu’il était une fois un coiffeur amoureux de son

quartier. Les clients sont devenus des personnes que l’on aime voir, avec lesquelles on a envie de parler, des copains finalement… C’est ainsi que Bob ouvrit en 2000 « Les copains d’abord ». Ce coiffeur ne ressemble à aucun autre. Les mannequins aux coiffures « wild », lisses ou peroxydées ne tapissent pas les murs comme dans les autres salons. Ici, ce sont des affiches chinées qui décorent les lieux : les Beatles, les Stones côtoient un maillot de basket encadré. Bob a trois passions : les films, le sport et les brocantes. Ce salon serait son auto-portrait. Ainsi on peut se détendre en lisant l’actualité ou en suivant les résultats sportifs en direct sur l ‘écran du salon. Pour les plus bavards, Bob et Loïc se feront un plaisir de refaire le monde. Chacun ressort donc avec le sourire et sans produits pour les cheveux… Ici on vend une coupe de cheveux et du plaisir exclusivement. N.B. : Pour les filles, le lundi est un jour mixte.

Les copains d’abord95 rue Nollet Tél. 01 53 31 13 73Coupe coiffage. 23 € – 25 €

Ouvert du lundi au samedi de 9h à 21h sur rendez vous

les copains d’abord communiqué par Marine Roblin

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le Bon arttexte Marine roblin

La galerie Amandine

Ludovic Mariault et Yann Deshoulières ont décidé de faire de nos mythiques « polas », de vraies œuvres d’art. Un concept est né sous la marque Polayou. L’artiste en lui-mê-me, c’est le polaroïd. et il expose à la galerie Amandine.

Le « pola » fait son grand come back

Ludovic et Yann sont des nostalgiques du po-laroïd. Ce qu’ils préfèrent dans cet appareil moyenâgeux, ce sont ses défaillances techni-ques qui offrent une instabi-lité des couleurs et surtout un caractère unique à chacun des clichés : « on ne peut jamais prendre deux fois la même photo et elles ne peuvent être redéveloppées », explique Lu-dovic. Loin de n’intéresser que les « soixante-dixards » sur le retour, le polaroïd séduit encore et n’en finit pas d’avoir de nouveaux émules. « La plu-part des gens qui viennent acheter des appareils ou des films à la galerie sont des jeunes d’une vingtaine d’années » s’enorgueillit Ludovic,

fier du succès de ses « chouchous ». La galerie Amandine s’est liée à ce qu’on appel-le dans le milieu, « The impossible project ». Florian Kaps, un homme d’affaires autrichien a décidé par amour du polaroïd, de faire des pieds et des mains pour reprendre la produc-tion de films instantanés. C’est ainsi que « The Impossible Project » est né. Yann et Ludovic veulent faire perdurer le rêve polaroïd. Avec la galerie Amandine, comme distributeur officiel des derniers appareils et de leurs films, c’est chose faite !

Le Polayou « un autre regard sur vous »

Dans un cadre pour pochette vinyle de 33 tours, Yann et Ludovic ont inséré des plan-

ches de montages par 4, sur lesquelles se trou-vent les photos polaroïds. Il suffit de choisir des photos qui vous plaisent, qui racontent une histoire ou qui vont tout simplement bien ensemble et Polayou créé un objet décoratif contemporain rétro et unique ! À noter que si le concept vous plaît mais que

“ on ne PeUT JAMAis PRenDRe DeUx Fois LA MêMe PhoTo ”

le « pola » dans tousses états !

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l’inspiration n’y est pas, des planches de photos prises par des photographes sont disponibles à la galerie.

L’art et la manière d’un Polayou

Polayou propose à tous de s’improviser artiste… Il suffit de choisir quatre photos numériques, de préférence, de belle qualité. Celles-ci seront alors polarisées par Yann et Ludovic. Grâce à un logiciel informatique, les photos numériques standard deviennent de beaux polaroïds prêts à être exposés. On aimera retrouver les planches aux couleurs chaleureuses et vintages des po-laroïds d’autrefois. On entend presque encore

le bruit inimitable des vieux appareils… Pour soi ou pour un cadeau original, les planches de photos personnalisées changent des objets décoratifs habituels. Et puis ça change de votre portrait (x4) à la Andy Warhol. Et parce que le new style c’est le « pola » maintenant !

Galerie Amandine17 rue des moinesSite intenet : www.amandine.com4 polaroïds, 31,5 X 31,5 cm, prix : 20 euros (dont 1 euro reversé à médecin du monde)Tél : 01 46 27 46 57

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Bon en arriÈre

AEn 1836 lors de son exil, puis en 1855, Napoléon I I I part en Angleterre. I l y découvre les jardins de sa capitale et l’art des jardins à l’anglaise ! Déjà pas-

sionné lui-même de jardinage et féru de botani-que (il s’en passionnera lorsqu’il sera prisonnier au fort de Ham), il développe très vite un goût pour les jardins. Il participera même à l’aménagement de ceux du duc de Hamilton pendant son exil ! Avec l’envie de faire de Paris l’une des plus belles capitales du monde – les grands travaux du baron Haus-smann viennent de lui – il veut implanter cet art des jardins qui lui est cher. Sous sa férule, en l’espace de vingt ans, ce seront 1830 hectares de jardins qui seront conçus et aménagés pour agrémenter la capitale d’espaces verts dans le but de contenter le peuple ! En 1860 , le v i l l age des Bat i -gnolles est annexé à Paris, et en 1862 le square des Batignolles est créé, véri-table petite bulle d’air pour ces bourgeois qui voient encore la campagne en ce quartier retiré. Le square devient ainsi le plus grand espace vert de l’arrondissement, avec ses 1,7 hectares ! L’ingénieur Jean Charles Alphand, associé de près aux grands travaux haussmanniens de Napoléon III,

est le directeur du service des promenades et plan-tations de la ville de Paris. Avec l’ingénieur Belgrand et le jardinier Jean-Pierre Barillet-Deschamps, il réa-lisera entre 1852 et 1870 onze des vingt-quatre jardins qui fleuriront à Paris à cette époque. Outre le square des Batignolles, naîtront le square du Temple, le Parc Monceau, le Bois de Vincennes, le Parc Montsouris, le Bois de Boulogne, le Parc des Buttes-Chaumont, le square Santiago du Chili, les jardins des Champs-Élysées, sans oublier les plan-

tations de l’avenue de l’Observatoire et celles du boulevard Richard Lenoir.

C’est le début de l ’urbanisme !

Sur le modèle des jardins à l ’anglaise, loin de la sobre

disposition à la française, on retrouve rochers, ruis-seaux, grotte et même un

lac miniature habité par des canards et des cygnes. La

fantaisie britannique s’est instal-lée dans le 17e arrondissement.

Le lieu de son aménagement est celui

d’une ancienne place publique (aménagée en 1835) et nommée la place de la promenade où se déroulait la fête patronale du village : tout un symbole !

Le square des Batignolles11, place Charles Fillion

Le Square des BatignollesUn petit parc à l’anglaise

texte Célin e lepan / photo éloD i e p etit

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texte Célin e lepan / photo éloD i e p etit

Faire ses courses dans un supermarché entière-ment bio dans le 17e, c’est maintenant possible depuis que Bio c’bon a ouvert ses portes le 5 février dernier.

C’est un véritable supermarché qui a ouvert ses portes et c’est ce que les clients apprécient ici. Le magasin a d’ailleurs reçu un très bon accueil de la part de leur clientèle car il manquait un tel endroit dans le quar-tier, d’autant qu’il est ouvert le dimanche matin ! Un espace large et clair, coloré et calme, un joli design, pour faire ses courses dans la bonne humeur. Moderne aussi, avec assez de place entre les allées pour que les pous-settes passent allégrement. Un supermarché qui offre du choix, avec une vaste gamme de produits et de marques en rayon, comme dans n’importe quel supermarché. Sauf qu’ici, tout est bio ! Sans oublier le rayon de produits sans gluten pour les into-lérants. Bio c’bon est une nouvelle chaîne de magasins bio a peine âgée d’un an qui souhaite mettre en avant son expertise et son savoir-faire en matière de produits sains dits bio dans un souci de respect et de préser-vation, de l’homme et de la nature, tout en souhaitant rendre ces produits bio accessibles à tous : le maître mot de leur charte. « C’est une nécessité ». Tout ceci

dans un triple objectif : sélectionner les meilleurs pro-duits dans leur biodiversité, être actif en terme d’infor-mation et de sensibilisation sur le bio et le dévelop-pement durable tout en cultivant une politique de prix bas. Différents labels biologiques se retrouvent donc distribués chez Bio c’bon : le label AB, mais également le label Nature et Progrès, bio et européen, BDIH, Cosmebio, Demeter et Ecocert. Consommer un ali-ment bio c’est consommer « un aliment sans pesticide,

herbicide chimique, fertilisant artificiel et hormone de croissance ». L’arrivage de produits

frais se fait tous les deux jours et tous les jours pour le pain.

Mon coup de cœur ? Les paniers de fruits et de légumes de sai-son garantis AB que le magasin vous compose selon la saison. Panier solo, couple ou familial, il vous nourrira entre quatre jours

et une semaine pour un prix allant de 13 € à 25 * ! Et pour les bio ac-

crocs, le magasin met à votre disposition une carte de fidélité. Sans compter que les

résidents disposent d’une réduction à vie de 10% et ont eu droit à un panier de fruits et légumes gratuit !

bio c’bon46 rue des AcaciasTéléphone : 01 40 68 73 08 Ouvert du lundi au samedi de 10h-20h et le dimanche de 10h-13h

Le Bio A MAinTenAnT son sUPeRMARChé

Bio c’Bon

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la Bonne Femme

Personnalité créative et débordante d’en-thousiasme, nadine a travaillé comme illus-tratrice et responsable marketing. Forte de son expérience polyvalente et solidement attachée à l’esprit « village » de certains quartiers de Paris, elle a imaginé et créé l’ini-tiative « Au Bonheur du Commerce » comme une fête de quartier où les habitants sont conviés à échanger avec leurs commerçants de proximité. Vous n’avez pas pu manquer cet événement qui s’affiche partout sur les vitrines des Batignolles !

Le principe du « Bonheur du Com-merce » est simple, ludi-que et participatif : les

habitants, comme vous et moi, sont invités à se rendre chez les commerçants et à déposer une histoire de quelques lignes, vé-cue ou imaginaire, dans la boîte à idées. Si elle est sélectionnée par le jury, l’histoire sera adaptée en planche de B.D. Les meilleures seront publiées dans un album célébrant le commerce de proximité et offert aux gagnants, ainsi que téléchargea-ble sur le web et relayé par les réseaux sociaux. Cette première édition est parrainée par la cé-lèbre dessinatrice des Triplés, Nicole Lambert. Ce projet, « Au Bonheur du Commerce »,

Nadine l’a pensé et créé de A à Z. C’est un peu comme son bébé, un bébé qu’elle veut voir grandir et pourquoi pas se développer à l’échelle nationale. Le but de cette opération non lucra-tive étant de fédérer les commerces d’un même quartier (commerçants indépendants et chaî-nes de magasins) afin de créer de l’animation. Il faut dire que Nadine s’est investie corps et âme, de la création du concept à la prospection des commerçants, les uns après les autres. Un véritable travail de fourmi qui s’est concrétisé le 20 mars dernier, par le lancement de la toute première opération dans trois arrondissements

parisiens dont les 15e, 19e et 17e, car dit-elle, « il existe une vraie vie de quartier dans ces ar-rondissements ». Pari-sienne, Nadine est née à Lyon dans le quartier de la Croix Rousse où

l’ambiance « village » humanise considérable-ment la grande ville, idée qu’elle illustre avec cette opération, « c’est un moyen de créer du lien et de mettre à l’honneur le rôle social, vi-tal des commerçants » au sein de leur quartier. Pour réaliser ce projet, elle s’est dite soutenue, mais également impressionnée par l’éner-

texte Math i lDe bo in et / photo Zoé ForGet

Nadine De Lhopital

“ AU BonheUR DU CoMMeRCeCoMMe Une FêTe De qUARTieR ”

fait le bonheur descommerçants

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gie déployée par les présidents et les mem-bres du bureau des associations de quartier qu’elle a rencontrés, notamment par Vahé (Van Diam), Gaby (La chocolaterie) et Fré-déric (Brocart du Soir) de l’association « Ba-tignolles en Fête ». Animés d’un réel désir de nouveauté, ils ont su discerner le potentiel du concept « Au Bonheur du Commerce » et convaincre leurs adhérents. Dans notre cher 17ème, c’est grâce au dynamisme de l’associa-tion des commerçants « Batignolles en fête » que l’opération a lieu, ayant pour axes prin-cipaux les rues des Batignolles et des Dames. Il faut aussi noter le parrainage de Nicole

Lambert qui a beaucoup aimé que le pro-jet fasse dialoguer le monde de l’illustra-tion avec celui du commerce. Qui a dit que l’art et l’argent ne pouvaient pas s’entendre ? au bonheur du commercedu 20 mars au 10 avril rue des Batignolles et rue des Dames

Les bonnes adresses de nadine :Les commerces des Batignolles et de la rue de Lévis, toujours très animés

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les Bons shopsles nouvelles boutiques du quartier

Sev’ optiqueDu SoLEIL DANS LES YEuX ?

et pourquoi pas une jolie paire de solai-res ? Voici une enseigne ensoleillée de la rue des Batignolles où séverine vous propose un large choix de lunettes. elle vous y attend dans une atmosphère cha-leureuse et familiale.

Séverine est une jeune maman, elle est aussi opticienne diplômée d’État.Les habitants du quartier la connaissent bien, c’est elle qui s’occupait déjà de leur prescrip-tion lunetière depuis 2 ans avant de pouvoir racheter l’enseigne au mois d’octobre. Un ma-gasin convivial où chacun peut trouver le style qui lui convient en solaires comme en lunettes de vue. Travaillant en étroite collaboration avec les ophtalmologistes du 17ème arrondisse-ment, Séverine assure des équipements et un conseil toujours adaptés aux besoins du client. Un éventail riche en lunettes tendances, modè-les très régulièrement mis à jour, et montures invisibles. D’autres marques plus pointues offrent un choix d’artisanat lunetier français. « Nous privilégions surtout la qualité, et nous aimons proposer des créateurs que l’on ne trouveraient pas forcément chez les grandes enseignes ».Des tarifs également très compétitifs sur bon

nombre de marques, encore un point qui ne peut que satisfaire sa clientèle.On ne vient pas chez un opticien indépendant par hasard, c’est forcément qu’on attend quel-que chose en plus, un conseil et une écoute.Séverine soigne ses clients, elle les conseille avec attention. « Ici, on prend le temps. On peut rester essayer autant de paires de lunettes qu’on le souhaite. L’important c’est de trouver ce qui nous va et ce qui nous fait plaisir. »Que ce soit pour des solaires ou des lunettes de vue, elle tient à prendre le temps nécessaire pour aiguiller au mieux ses visiteurs. Un conseil qui vise aussi bien l’esthétique de la monture en fonction des visages et des morphologies, que la garantie d’un équipement de qualité pour les enfants comme pour les adultes.Et petite cerise sur le gâteau, les lecteurs assi-dus du Bonbon pourront bénéficier d’une paire achetée, une paire offerte pour 1€ de plus ! * *Voir conditions en magasin. Laure De Grivel

42, rue des BatignollesTél. 01 43 87 73 81Ouvert du mardi au samedi de 10h à 19h.

Communiqué

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les bons shops

B&R ColleCtionFINI LE cAShmERE chIP Et chER

B&R collection fait découvrir à ses clients la beauté du cachemire de bonne qualité sans en gonfler les prix.

Émilie et Romain ont découvert, lors d’un voyage au Népal, le cachemire. Fascinés par la fabrication de ce textile, ces deux entrepreneurs ont décidé de partager leur trouvaille : le cachemire, comme ils l’entendent. « Notre exigence : le luxe et la douceur. On propose une excellente qualité, à des prix abor-dables » expliquent-ils. Leur volonté est de créer une rencontre entre le client et leur produit. Fabriqués au Népal dans un extrême souci de qualité, les produits proposés par Émilie et Romain ont tout pour plaire. Une trentaine de colories, toutes plus lumineusesque les autres, sont proposées dans une gamme allant de l’écharpe au bonnet en passant par l’étole, le t-shirt d’été ou encore la couverture pour enfant. Le plus B&R collection, c’est la possibilité de per-sonnaliser certains articles avec ses initiales. Le but d’Émilie et Romain est de créer un lien pérenne avec leurs clients et de transmettre l’amour de leur créa-tion. Qui ne rêve pas d’avoir une pièce classique, de bonne qualité et bien coupée dans sa garde robe ? Hommes et femmes s’entendent bien volontiers sur ce point ! Marine Roblin

15 rue henri Rochefort Tél. 01 56 33 70 03http://www.bnrcollection.com

aRmoRiC-SaveuRS J’AImE LA gALEttE… AvEc Du bIo DEDANS !

quand elle est bien faite, avec du beurre de-dans ! La chanson de notre enfance résonne toujours dans nos têtes.

Mais il faut ajouter que chez Armoric-Saveurs, le beurre est demi-sel, breton… et bio comme tous les ingrédients de cette table. L’emmental au lait cru, les poireaux et leur lit de courgettes de la bien nommée « Du jardin », les pruneaux de « L’Agénor », le poulet cuisiné au cidre et les champignons de « La Vallée d’Auge », le boeuf haché aux herbes de Provence de « La Cactus », tous les produits sont issus de l’agriculture biologique. Ajoutez à cela une grosse pincée de savoir-faire, la crêpière tourne les galettes depuis 30 ans ! Et vous obtenez une pause-repas à la fois équilibrée, avec ses galettes ou ses grosses salades composées, et gourmande avec ses crêpes au froment, classiques ou fatales comme cette « Irrai-sonnable » à la crème d’amandes, ses morceaux de pommes... ou cette « Brocéliande » avec son chocolat, ses amandes et sa noix de coco. Pour les anniver-saires, craquez pour le gâteau de crêpes original et savoureux pour petits et grands. Le tout pour une addition digeste qui ne reste pas sur l’estomac. Faites chauffer les crêpières !

95 rue de saussure Tél : 01 40 53 93 47 Ouvert du lundi au samedi, midi et soir www.armoric-saveurs.com

Communiqué

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Sandra Woolfenden

le Bon artisantexte laure De Gr i v e l / photo sarah bastin

C’est un peu par hasard que sandra Wool-fenden s’initie à la création de bijoux.Lors d’un séjour à Venise, elle se sent ap-pelée par un flacon de perles en verre de Murano chez un antiquaire. Plus tard, en-ceinte de son premier fils, elle essaiera d’enfiler ces petits « trésors » anciens avec une bobine de fils de lin qui traîne, encore par hasard, non loin du flacon de perles... Voilà comment naît le premier collier !

Véritable « nomade professionnelle » comme elle le précise avec humour, Sandra a plus d’une corde à son arc. Elle multiplie les mis-

sions dans les domaines de la communication et de la publicité et est aussi rédactrice. Elle aime écrire, une manière d’illustrer découvertes et rencontres, encore une vocation qu’elle exerce avec talent. Autodidacte, pianiste à ses heures, passionnée de cuisine Thaï, amatrice de bons vins de Bourgogne, Sandra nous propose de jolis voyages immobiles grâce à un éventail coloré d’idées et de créativité ! « Je crois que je me suis trompée d’époque, j’aurais adoré travailler comme les couturières d’antan, qui recevaient chez elles autour d’une tasse de thé… » Établir un lien étroit et privilégié avec une clien-

tèle, proposer une approche artisanale, l’idée de « sur-mesure », avoir la possibilité de fabri-quer des mini séries et surtout laisser libre cours à la création sont les maîtres mots de Sandra. Elle privilégie l’utilisation de matériaux nobles. Les chaines de cuivre sont rehaussées de perles anciennes qu’elle chine pendant ses voyages au détour de bro-cantes et magasins d’antiquités, de corail naturel qu’el-le réussit à se procurer et même de pierres semi-pré-cieuses : grenat, améthyste, agathe, pierre de lune… Ces pierres jouent de leurs charmes dans bon nombre de ses créations, elles se mêlent élégamment aux chai-nes en argent massif ou en or, telle la goutte discrète de ce bracelet qui tombe avec délicatesse près du poignet. Quant au verre de bohème, il vient joliment souligner dormeuses, sautoirs, bracelets et an-neaux qui répondent aux doux noms de Gi-rofle, Jasmin, Lotus, Samovar, Plénitude… Les passementeries sont elles aussi revisitées, en broches ou petits accessoires divers. Même les futures mariées pourront venir prendre conseils auprès de Sandra et imaginer ensemble accessoires de cheveux, bouquets originaux et autres parures. Si on demande à Sandra quelles sont ses sour-

fantaisies précieusessur-mesure

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ces d’inspiration, elle n’oublie pas de men-tionner le design d’Andrée Putman, les pho-tos de Steichen, de Seeberger, évidemment la poésie et la littérature de Baudelaire, Stephan Zweig, la peinture de Soulages, Bonnard et Rothko. Passionnée d’art mais aussi de cuisine, San-dra aime inventer des recettes : yaourts parfu-més à la lavande, crème de céleri et pâtissons à la truffe… Une imagination sans limite sans cesse mise à l’épreuve par ses trois enfants ! L’Incontournable situé rue des Batignolles et French Touche rue Jacquemont sont les deux concept stores des Batignolles à proposer quelques modèles bien choisis. Pour la collection complète, un peu de pa-tience encore, Sandra nous prépare très bien-tôt un site internet, une jolie vitrine pour nous offrir un bijou unique !

sandra woolfenden entrée libre sur rendez vousTél. 06 20 51 35 [email protected]

livre de chevet :Le prophète de Khalil Gibran

musique de prédilection :Concertos n°2 et 3 de Rachmaninov

restaurant préféré : Zenzan, rue Brey

découverte dans le quartier : Le passage secret de la cité des FleursLe fabuleux caviste et ses Bourgognes au 47, rue Pouchet...

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les Bons petits diaBlestexte Célin e lepan / photo éloD i e p etit

À peine aurez-vous franchi le seuil que vous serez transportés en enfance : les parents y retrouvent leur âme de gosse et les enfants y dénichent des cadeaux par milliers !

« Les enfants ont de la chance aujourd’hui, on n’avait pas tout ça à notre époque » s’ex-clame Romuald, le maître des lieux. Vous

l’aurez compris, s’il s’est lancé dans cette entre-prise, en avril dernier, c’est avant tout par pas-sion ! D’ailleurs comment ne pas être conquis ? Le Bonhomme de bois est une enseigne qui compte quelque vingt magasins en France. Il remet à l’honneur le jouet traditionnel et les valeurs d’antan. Le jouet en bois est avant tout un jouet de qualité, démontable, esthétique et surtout qui se transmet de génération en géné-ration. Il se propose dès l’âge de un an. Vous trouverez de tout : de ces magnifiques mobiles aux cubes à jouer, mais aussi des véritables sur-vivants d’une autre époque comme des pupitres de bois, des tableaux d’écoliers, des jeux de cro-

quet, des chevaux à bascule, des voitures à pé-dale, des chariots de marche, des théâtres, des maisons de poupées, des instruments de musi-que… on en aurait presque le vertige. Certains sont encore travaillés artisanalement et la plu-part sont fabriqués en France. De nombreuses marques sont représentées : Vilac, Tirot, Papo, l’Oiseau bateau et Moulin Roty entre autres. Mais l’offre ne se limite pas à cela. Pour les nour-rissons, vous trouverez toute une gamme qui va de la puériculture et la décoration aux jouets en tissu, sans oublier les classiques jouets des plus grands.

le bonhomme de bois46 avenue Niel

Tél. 01 40 54 79 88Journées spéciales promotionnelles à - 20% les 22 et 29 avril

Le

de Bois L’antre du jouet ancien

Bonhomme

L’antre du jouet ancien

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enfin une adresse sur rue et sur le net pour les parents débordés qui n’ont pas le temps de courir les grands magasins et les corners spécialisés en équipements et accessoires pour bébés !

Enfin un concept intelligent et éco(lo)nomique : chez Turbulon, inutile d’ache-ter le provisoire : il se loue ! Que ferez

vous d’un transat pour nourrisson dans 5 mois, si vous n’êtes pas déjà enceinte du prochain et que vous ne pouvez pas pousser les murs de votre cave ? Partant de ce constat, Juliette et Laurence proposent à la location (mais aussi à la vente !) du gros et petit équipement pour bébé : Poussette a une, deux, trois... pla-ces, siège auto, chaise haute, parc, ou équipe-ment d’éveil et de confort , Turbulon peut aussi répondre à des demandes plus originales ou plus spécifiques… si vous avez repéré un article à l’étranger ou un nouveau produit dans la presse. Pas étonnant donc que ce concept soit soutenu par la Mairie de Paris dans le ca-

dre du programme « Vital quartier » !! Exemples : le COCOONABABY (super co-que qui permet à bébé de retrouver la po-sition fœtale pour dormir) : 25 euros/ mois au lieu de 150 euros à l’achat. Des formules « abonnement » avec un kit complet neuf : poussette + parc + baignoire + prépara-teur culinaire… pour 65 euros par mois ! Et si vous craquez pour de jolis biberons ou pe-tits accessoires en vente, c’est pas grave, les prix sont mini-mimis !

turbulon41 Rue Pouchet

Tél . 01 42 28 35 48Lundi 10-18h et du mardi au samedi 10-19 hVente/location en ligne sur : www.turbulon.com

baby cool ! Jouets pour petits malins

Baby boom,

texte sanDra FarGn i er / photo éloD i e p etit

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le 19 mars, le bonbon fêtait ses 1 an au divan du monde.plus de photos sur le facebook du bonbon

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retrouvez encore plus de bons plans surwww.leBonbon .fr

© Deyan Parouchev

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le conte est Bontexte Clai re sChne i Der / photo Matthew oli v er

MAyumi T subokuraimaginez un mélange entre Jackie Chan (la ressemblance est frappante !) et Kelly slater, les cheveux longs en plus ! Mayumi, peintre japonais aux mille et une vies, nous ouvre les portes de son monde. Une vague d’exotisme et de plaisirs en tous genres.

Mayumi a beaucoup à partager et ça se sent. Il ne sait lui-même pas trop par où com-mencer... Grand rêveur un peu rebelle, on se demande presque s’il est bien réel. Ce qui est sûr, c’est que nous sommes face à un homme sensible et magnétique, bour-ré d’anecdotes qu’il a envie de partager.

Sa vie dans son Japon natal est déjà riche en expériences : il y apprend les arts martiaux, la cuisine, le shiatsu, le surf et la peinture. Et il n’a que 19 ans lorsqu’il décide de faire un tour du côté de Pipeline, l’un des plus beaux et plus dangereux spots de surf du monde à Hawaï, afin d’aller tester les vagues les plus réputées de la planète. Il n’est pas déçu quand, dès son arrivée, il manque de se noyer. Par chance, un surfeur lui sauve la vie. Une belle leçon d’hu-milité pour lui qui se croyait invincible, et qui

selon ses propres mots, avait pris la grosse tête au Japon. Courageux, il remonte dès le lende-main sur une planche. Et depuis l’obsession de la vague ne cesse de grandir chez Mayumi. Elle est pour lui le plus bel élément de la terre, bien qu’elle lui ait parfois arraché des compa-gnons de route. C’est donc tout naturellement que lorsque ses amis tahitiens lui demandent de leur décrire les fameuses vagues d’Hawaï, il prend ses pinceaux, plonge dans sa mémoire et peint ses plus beaux souvenirs de Pipeline. Il n’a depuis jamais cessé de les transfigurer sur des toiles. Elles sont belles et imposantes, réel-les et puissantes, et dégagent une énergie qui nous plonge directement dans son monde, ce-lui de la mer et des tropiques. Lorsque l’on lui demande qui sont ses clients, il évoque les plus grands surfeurs mais préfère rester discret. Car au-delà d’acheter ses toiles, ils sont pour la plu-part ses amis, qu’il a côtoyés durant ses nom-breux voyages et parfois même sauvés lorsqu’il était life guard dans les années 1990. En 1998, il met en relation son ami producteur Franck Marty et le surfeur Laird Hamilton. De cette rencontre naîtra le célèbre documentaire sur le surf Riding Giants.

le peintre et la mer

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Mayumi veut transmettre. Il raconte des anecdotes, parle de mythologie, montre des DVD, sort ses toiles... sa passion l’anime. Cet homme vit tout à fond. Les valeurs de par-tage et de générosité prennent tout leur sens à ses côtés. Et cela passe aussi par la cuisine. S’il dit que les meilleurs sushis de Paris se trouvent rue Saint Ferdinand, on peut vous affirmer qu’ils sont sans aucun doute chez lui !

À la fin de cet entretien complètement hors du temps, une seule question nous brûle les lèvres... que fait cet homme à Paris ? Pourquoi n’est-il pas près de ses vagues ? Il nous parle de ses enfants qui sont nés à Paris (il est venu ici en 1973 pour faire les Beaux Arts), et desquels

il voulait être proche. Mayumi redevient alors un homme comme les autres, la sincérité, l’exi-gence et le talent en plus !

maison de «tahiti et ses îles»28, boulevard Saint-Germain 75005 Paris Tél. 08 11 46 46 80Pour voir ses œuvres : http://mayumi.fr/Pour joindre l’artiste : 06 62 55 53 08

Le meilleur restaurant japonais de Paris selon lui : Kifune, 44 rue Saint-Ferdinand

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le Bon agendaagenda des manifestations culturelles

Palais des congrès

Jeudi 1er à 18h00 - showcase de Kyrie Kristmanson

Vendredi 2 avril à 18h00 - Mini-concert de Camelia Jordana

Samedi 3 avril à 15h00 - dédicace du créateur Talus Taylor de Barbapapa

Mercredi 7 - mini-spectacle de l’humoriste Éric Antoine

concerts

Jusqu’au dimanche 4 avril - Roméo et Juliette

Vendredi 9 et samedi 10 - Show Dance

Mardi 13 - National Danse Show de Russie Kostroma

Samedi 17 et dimanche 18 - Les chœurs de l’Armée Rouge

Samedi 24 et dimanche 25 - Shen Yun

théâtre hébertot

Tout le mois - La Serva Amorosa

l’euroPéenne

Vendredi 2 à 20h00 - Voctor o, musique du monde

Samedi 3 à 20h00 - King Mensah, musi-que du monde

Mercredi 7 à 20h30 - Vicente Pradal, musique du monde

Vendredi 9 et samedi 19 à 20h30 - Ber-nie Bonvoisin, chanson

Dimanche 11 à 15h00 - Les enfantasti-ques et monsieur No « Une petite fête entre amis », spectacle musical et familial Les dimanches 18 et 25 à 20h00 - Ro-berto Strizzi, l’expérience inédite, menta-liste

Mardi 20 à 20h30 - Juan Carmona, flamenco

Mardi 27 à 20h00 - Evelyne Evelyne, chanson Le Sentier des Halles, 19h45

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aPéro

Tous les jeudis soirs au DADA12 ave des Ternes Tél . 01 43 80 60 12

Trois pièces cuisines 101 rue des Dames Tél. 01 44 90 85 10

Et pour organiser votre apéro à la maison en toute simplicité faites appel à Allo Apéro9 Bis r Labie Tél. 01 71 71 69 69

saVeurs

Marché des terroirs de France

L’association « Batignolles en fête » invite les gourmets et les gourmands du 17e à venir découvrir les produits des terroirs sur la place Richard-Baret. Une délicieuse manière de voyager à travers nos provinces. Du 8 au 11 avril, de 9 h à 19 h 30 Place Richard-Bare

Flanerie

Brocante aux BatignollesLe « village » des Batignolles fête le retour du printemps en accueillant la traditionnelle brocante, installée autour du square et de l’église Sainte-Marie. Entrée libre jusqu’ au 5 avril Place du Docteurs Félix-Lobligeois Tél. 01 34 08 77 77.

solidarité liVres

Partagez vos livres!

Chaque second dimanche du mois, de 11 h à 13 h, Circul’Livre se tient dans le quartier de la Fourche. Cette association met gratuitement des livres à la disposition des habitants. Devant le 132 avenue de Clichy http://circul-livre.blogspirit.com/

dacruZ eXPlosition

Exposition du 1er au 24 avril 2010du mardi au samedi de 14 h 30 à 19 h 30. Jeune artiste de la scène parisienne, Dacruz présente ses dernières créations Galerie Ligne 13 du 1er au 24 avril 2009. C’est une démarche sur la diversité et l’art Populaire qui va au delà du Street Art. [email protected]étro : La Fourche ou Place ClichyParking : 51 rue Lemercierhttp://www.galerieligne13.com

le bon agenda

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Le Bonbon est imprimé sur du papier issu de forêts gérées durablement, sur un site labellisé imprim-vert avec des encres végétales. Ne pas jeter sur la voie publique.

les Bonnes adressesRÉGIE PUBLICITAIRE06 33 54 65 [email protected]

1/ b o u C h e r i e M e i s s o n i e r8, rue MeissonierTél. 01 47 63 00 19

2/ b&r C o l l e Cti o n15, rue Henri Rochefort Tél. 01 56 33 70 03 - 06 69 42 94 88

3/ van D iaM54, rue des Dames Tél. 01 43 87 30 11

4/ l a b o n n e h e u r e11, rue Brochant Tél. 01 46 27 49 89

5/ C rÊp e r i e ar M o r i C- sav e u r s95, rue de Saussure Tél. 01 40 53 93 47

6/ Fran C K p r o v o st50, rue des Batignolles Tél. 01 58 60 18 66

7/ M e l i M e lo 52, rue des Batignolles Tél. 01 53 11 09 81

8/ l e s D i s C r ete s101, rue Nollet Tél. 01 58 59 22 32

9/ l e p r o G rÈs62, rue Legendre Tél. 01 47 63 30 46

10/ pub sa i nt p e te r sb o u r G1, rue de CheroyTél. 06.84.03.14.61

11/ C o i n D e natu r e93, rue Lemercier Tél. 01 42 28 34 84

12/a l e th v i Gn o n98, rue Legendre Tél. 01 42 63 75 40

13/ar o MDa5 et 17, rue des MoinesTél. 01 46 27 46 57

14/ par i s par Fu Ms46, rue des Dames Tél. 01 43 87 77 23

15/ n o uv e l l e s F r o nti e r e s45, rue des batignolles Tél. 01 43 87 76 14

16/ l a v i l l e auX C haM ps71, avenue de Clichy Tél. 01 44 70 94 13

17/ e s paC e r e n o vati o n37, rue Boursault Tél. 01 40 05 94 10

18/ b o u C h e r i e D e to CQ u e v i l l e80, rue de Tocqueville Tél. 01 42 27 63 23

19/ v i l l a M o n C eau16, rue des Acacias Tél. 01 44 09 85 59

20/ vu e D ’a i l l e u r s o pt i C i e n s19, rue des Moines Tél. 01 42 29 60 90

1001 F e n etr e s71 rue Condorcet 75009Tél: 01 45 33 03 86

22/aCti F Z e n11, rue Denis PoissonTél. 01 45 74 58 18 ou 06 11 29 12 53

23/ bast i e n D e a lM e i Da46, rue La Condamine Tél. 01 42 93 54 70

24/ l’e n D r o it74, rue Legendre Tél. 01 42 29 50 00

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