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Paris 17e - le bonbon 05/2010

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Découvrez le magazine Le Bonbon Paris 17eme arrondissement du mois de mai 2010.

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édito“bon”jour

RÉGIE PUBLICITAIRE06 33 54 65 [email protected]

Président

Jacques de la Chaise

[email protected]

Rédactrice en chef

Mélanie Taieb

[email protected]

Design original

Laurel et Hardy

[email protected]

Secrétaire de Rédaction

Élise Boulay

Rédaction

Sandra Fargnier, Céline Lepan, Laure de

Grivel, Aurore Bouter, Alexandra Silbert,

Aurelia Saïd

Photographes

O.J.R, Léo Ridet, Audrey Wnent,

Florian Claudel, Élodie Petit

Maquette

Alexandra Praud

Illustrateurs

Guillaume Ponsin,

Paulina Leonor

Styliste

Anthony Watson

Remerciements

Yann-Edouard, Tina, Diana

Chef de Pub

Lionel Ponsin

Petites annonces

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01 48 78 15 64

Le Bonbon

30, place St Georges,

75009 Paris.

SIRET 510 580 301 00016

ISSN : en cours

Dépot légal : à parution

OJD : en cours de validation

Imprimeur

Centre Impression

Erratum

Librairie Apo (k) lyps

120 rue Legendre

75017 Paris - 01 42 28 01 50

BONNE FÊTE LES MAMANS !

Saviez-vous que la fête des mères remonte à l’Antiquité ?

Les Grecs anciens fêtaient déjà leur déesse Rhea au printemps tandis que les Romains célé-

braient le jour des Matraliae (du latin mater, mère). Autant dire que l’association printemps, fécondité, maternité est ancestrale.

Bien plus tard, au XVIe siècle, les Anglais instaurèrent un dimanche de fête de mères. Après des tentatives avec les fêtes des familles nombreuses ou encore la journée des mères de familles nombreuses, il faudra attendre 1928 pour que nous autres Français fixions le jour de la fête des mères au dernier dimanche de mai. Rien de purement commercial donc comme certains s’insurgent. Le calendrier nous rappellerait ainsi, comme pendant l’Antiquité, que le temps de songer aux bienfaits de la famille est venu.

Maintenant à vous de faire votre tambouille avec ça ! En tout cas, nous autres petits Bonbons adorons les mamans, leur souhaitons une merveilleuse fête et leur offrons un numéro de mai plein de surprises :

On découvrira d’abord, rue Truffaut, le savoir-faire des artisans luthiers de l’Atelier d’Arthur. Nos pas nous conduiront alors rue de la Condamine chez le fondateur des éditions Hugo & Cie, Jean-Loup Chiflet, l’éditeur le plus drôle de la profession. Juste à côté, chez Sanhugi, rue des Dames, on restera sans voix devant la beauté des tatouages. Un art à porter qui pourrait bien vous séduire ! Enfin, la créatrice Stella Cadente nous dévoilera son univers féerique et décalé et nous expliquera ses mille et un talents de créatrice de mode, décoratrice d’intérieur et photo- graphe. Et si vous rencontrez, au détour d’une rue, Sélim Niederhoffer, le coach en séduction, n’hésitez pas à tendre l’oreille, il vous donnera de précieux conseils pour faire tomber les filles ! Allez, il est bientôt de l’heure de l’apéro, alors venez prendre un verre au West Bar ! Ambiance Saloon garantie !

Mélanie Taieb

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EnseigneLe nom du commerçant

CoordonnéesAdresse et téléphone

DescriptionLe type de commerce

LES BonBonS moDE D’EmPLoICommEnT PRofITER DES Bonbons

DESCRIPTIf D’Un Bonbon

1 ChoISISSEz

Repérez les Bonbons pré-découpés au milieu du magazine.

2 DÉTAChEz

Détachez ces Bonbons qui vous feront bénéficier d’offres et d’avantages.

3 PRofITEz

Présentez vos Bonbons au moment de payer et vous bénéficierez immédiatement de l’avantage annoncé !

AvantageDéfinition du type d’offre

l’endroit

Apero rigolo entre 18h et 21h Café restaurant74, rue Legendre - Tél. 01 42 29 50 00*uniquement pour les mamans !

** sauf samedi et dimanche

-10%PouR tout AchAt

1 CAfé ou 1 bisou* offert pour le

déjeuner**

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sommairemiam miam !

Page 6. le west bar

Page 34. jean-loup chiflet

Page 10. stella cadente

Page 38. l’atelier d’arthur

Page 14. sanhugi

Page 44. le conte est bon

Page 5. Le Bon TimingPage 6. Le Bon CommerçantPage 10. La Bonne ÉtoilePage 12. Les Bons PlansPage 14. Le Bon ArtPage 16. Le Bon en ArrièrePage 18. Le Bon Look

Page 21. Le Casse BonbonPage 22. La Bonne RecettePage 25. La Bonne Séance Page 26. Le Bon Astro Page 28. Les Bons TuyauxPage 31. La Bon’BonnePage 32. Le Bon Écolo

Page 34. Le Bon HommePage 36. Les Bons ShopsPage 38. Le Bon ArtisanPage 40. Les Bons P’tits DiablesPage 42. Les Bons SnapshotsPage 44. Le Conte est BonPage 46. Le Bon Agenda

mai 2010 | 17

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Le Divan Du MonDe / 75 rue Des Martyrs 75018 Paris / M° PigaLLe ou anvers / Parking à 500 Mètres

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le Bon timingles évènements à ne pas manquer

© D

DR

© D

DR

sAVeurs À l’Heure de l’ApéroPlus de 250 artisans s’installent du 15 au 18 mai à l’espace Champerret pour le Salon Saveurs des plaisirs gourmands. Ils y présentent leurs spéciali-tés pour nous faire redécouvrir les apéros dinatoires. Le plus du salon ? Des happy hours de 18h à 20h et le soir nocturne jusqu’à 22h. Vendredi de 10h à 22h - Samedi et Dimanche de 10h à 20h - Lundi de 10h à 19h Espace Champerret, Halls A, B et C Tarifs : 8 € plein tarif - 4 € tarif réduit

nouVeAu bloG des bAtiGnollesLancement modeste et progressif pour ce blog des-tiné à récolter et partager coups de cœur, petites et grandes histoires, photographies, portraits d’anonymes et de personnalités, bref tout ce qui peut faire l’actua-lité et la mémoire d’un des quartiers parisiens les plus attachants.À découvrir sur :http://www.mesbatignolles.blogspot.com

eXposition « WAll tAttoos «La très urbaine Galerie Ligne 13 présente Paul SAN-TOLERI. L’artiste incontournable de la scène Street Art aux États-Unis. Ses installations juxtaposent peintures murales, graffs, incrustations, céramiques et jeux de lumières et donnent ainsi une nouvelle âme au lieu. Du 6 au 30 mai 2010. Performance ouverte au public du 1er au 5 mai 2010, de 19h à 20h Galerie Ligne 13, 13 rue la Condamine http://www.galerieligne13.com

ZAYed & le rÊVe Les BALLETS CARACALLA du Liban reviennent à Paris pour présenter leur nouvelle œuvre théâtrale Zayed et le Rêve, un voyage historique au cœur du désert d’Arabie pour deux séances exceptionnelles le samedi 8 mai à 20h30 et le dimanche 9 mai à 15h00, création produite par le Comité D’ABU DHA-BI pour la Culture et le Patrimoine (ADACH).Le 8 et 9 mai au Palais des Congrès de Paris , 2 place de la Porte Maillot

vernissage

internet

salon et appéro

spectacle

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le Bon commerçant

un saloon new age !C’est un bar à thème complètement atypique qui vous emmène en plein cœur des Mystères de l’Ouest, et tout ça au cœur des Batignolles pour jouer aux cowboys et aux indiens!

Pat a ouvert le West Bar avec Mélodie il y a 8 ans, après un essai aux Abbesses avec déjà un bar à thème (celui des Têtes brûlées) : le Hub. C’est une figure du quartier depuis le temps, qu’il aime tout autant pour sa tranquillité, son calme, sa propreté que sa population bobo mais sympa et respectueuse ! D’ailleurs l’in-cendie de son bar il y a 2 ans ne lui a pas fait baisser les bras. Une année pour tout recons-truire, redécorer, et c’est reparti ! Et même si 90% de la clientèle a été à reconquérir elle a été au rendez-vous !

Quand vous entrez dans le West Bar vous vous immergez dans l’univers de la série Wild Wild West, dite les Mystères de l’Ouest. Cette série, diffusée originellement de 1965 à 1969, fait partie des séries dites cultes. On peut dire que Pat est tombé dedans tout petit et n’en est plus jamais ressorti ! Pour vous mettre dans l’am-

biance, cette série met en scène, dans le grand ouest américain, les deux super-agents spéciaux James West et Artemus Gordon, qui se dépla-cent dans leur luxueux train. Pat est tellement imprégné de son personnage, que vous pourrez le voir vous servir, habillé de son foulard, son gilet, et de son chapeau de cow-boy. J’entends un client l’appeler « Robert » en quittant le bar, du nom de l’acteur Robert Conrad qui incarne dans la série le personnage de James West. Il l’a bel et bien dans la peau !

Tout le bar est aux couleurs de la série : à com-mencer par divers objets chinés dans les bro-cantes, en passant par des fauteuils cosy rouges, des abat-jours et des lustres qui recréent l’am-biance des saloons d’autant, et jusqu’aux toi-lettes carrément déments ! Tout ceci dans une atmosphère à ce point si bien retranscrite que l’on se croirait dans un wagon de train tout juste sorti de la série. Sur grand écran, Pat dif-fuse continuellement quelques uns des cent quatre épisodes que contient la série. Le clou du spectacle, ce petit train en hauteur qui fait le tour du bar, et tellement connu que les en-fants aiment venir ici à l’ouverture du bar pour

texte Célin e lepan / photo aUDReY WnenT

West Bar

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le west bar

le voir en action. Un lieu incroyablement cosy et chaleureux, où l’on se sent bien, très amical et à l’ambiance familiale, et où le temps semble passer plus vite. « Les clients se sentent tellement bien ici qu’ils finissent par y passer toute la soi-rée. »

Le West Bar vous ouvre ses portes dès 18h pour un happy hour. Au programme, mojito, ti punch, caipirinha, et tequila sunrise à 5 €, la pinte de 25cl étant au prix de la bière classique, soit à 50%. Personnellement je vous conseille le mojito, riche en menthe et pilé à souhait ! À côté toute la gamme de cocktails, bières, dès 3,50 €, apéritifs et boissons sans alcool vous attendent. Pour éponger le tout n’hésitez pas à commander des tartines à 2 €, au saumon fumé, au fromage de chèvre, au jambon de pays, au caviar d’aubergine ou au fromage frais et tomates marinées. Outre les cacahuètes c’est aussi un des rares bars qui vous servira des bon-bons !

On aime le lieu, le personnage, l’ambiance à la fois atypique mais aussi intimiste de ce bar lounge, autant fréquenté par les hommes que les femmes. D’ailleurs la parité s’affiche aussi derrière le bar !

west bar61, rue LegendreTél. 01 46 27 31 59Ouverture du mardi au samedi de 18h à 2h00Happy hours de 18h à 21h

Les bonnes adresses de Pat : Le Bistrot F4, 17 rue brochantLa Loggia, Traiteur italien, 41 rue Legendre

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la Bonne étoile

Stella Cadente

texte mélan i e Tai eb / photo FlOR ian ClaUDel

À la fois créatrice de mode et d’accessoires, décoratrice d’intérieur et photographe, Stel-la Cadente n’a de cesse de réinventer son univers féerique décalé.

Si tout était écrit d’avance… Passionnée de mode depuis sa tendre enfance, Stanislassia Klein se souvient de sa grand-mère, coutu-rière, qui lui a sans doute insufflé le goût de la création. Des études à Sciences-Po n’ont pas eu raison de sa vocation artistique. Elle s’envole bientôt pour New York où elle fait ses premières armes à la très rigoureuse école de mode Fashion Institute Technology pour ache-ver sa formation à Paris aux cours Berçot. C’est ensuite l’épreuve des stages qui l’attend, et voici qu’elle décroche son premier job chez Cacharel en tant qu’assistante au bureau de style. Ici, elle se familiarise avec les imprimés liberty ; plus tard, chez Claude Montana, elle apprivoise les couleurs et la ri-gueur du vêtement. « Dans ce milieu très hiérar-chisé, j’ai dû monter chaque échelon avec patience et sans piston », reconnaît-elle.

Naissance d’une étoile C’est en 1992, qu’elle crée sa marque, un univers singulier entre féerie et décalage, Stella Cadente : « Cela si-gnifie étoile filante en italien ; celle qui permet de faire un vœu. C’est un clin d’œil de bon au-gure pour tous, et une aura bienveillante au-tour de mes créations. » révèle la créatrice. La rencontre d’une étoile et d’un lion, quand le décalage devient harmonie magique Stella Cadente, un univers donc féerique em-preint d’un onirisme décalé loin des contes

de fées niais et travestis par Disney : « les véritables contes de fées comme celui de Peau d’Âne racontent des histoires terribles d’où émergent des si-tuations insolites qui poussent les héros à partir en quête ; ce qui m’intéresse c’est cet étonnant mélange entre le merveilleux et

l’horreur. » Très vite, la créatrice évoque l’un des réalisateurs qui l’inspire par-dessus tout, Tim Burton. Stella Cadente file la métaphore du dé-calé jusqu’à lancer « j’aime qu’il se dégage de mes créations comme une odeur de pot d’échappement mêlée aux senteurs de la rose, j’aime le côté rock ! »

“ J’AiME quE MES BiJoux SoiEnt DES SCuLPturES quE L’on SE MEttE Au-tour Du CorPS ”

« le mariage d’une étoile etet d’un lion »

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Un univers fantastique, ouvert sur l’autre Pour chacune de ses collections mode, Stella Cadente part d’un thème ou d’une histoire d’où découle une gamme de couleurs et de matières. Cette saison, elle puise son inspira-tion dans la poésie des contes : entre maléfice et enchantement, elle développe la thématique de la méchante sorcière qui se transforme en corbeau. La gamme des couleurs s’étire du noir au violet foncé nettement tranché par des fluo ou des teintes d’or et d’argent. Le jeu sur les matières vient souligner le merveilleux avec des cuirs métallisés, des plumes ou encore des velours souples. Elle prépare actuellement une ligne de bijoux argent aux tonalités féodales : « j’aime que mes bijoux soient des sculptures que l’on se mette autour du corps ». Stella Ca-dente est une créatrice aux mille et un talents qui se plaît à fabriquer des univers pour que chacun s’y sente à son aise. Dans ses maisons

d’hôtes, elle recherche le confort et la beauté à travers des matériaux nobles et des couleurs gourmandes qui réchauffent l’atmosphère : « Quand je décore un appartement, je l’habille comme si j’habillais une femme avec légèreté » confie Stella Cadente avant d’ajouter : « Ma marque est transversale et me permet de réaliser une multitude de choses tout en restant en adé-quation avec mon univers originel. »

Expo photos de Stella Cadente au Sofitel Arc de triomphe, 14, rue Beaujon, 75008http://www.stella-cadente.com/

Sa vision du 17ème près du Parc Monceau :Nowhere, pas vraiment Paris !Son photographe de prédilection :Richard Avedon « pour sa capacité à photogra-phier la beauté intérieure des gens »

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Vous avez envie d’une soirée à deux et d’un bon restaurant ? Envie

de casser un peu la routine aussi ? Pour cela, il y a le Secret Square. Discret, sur l’avenue des Ternes, c’est l’un des deux res-taurants aphrodisiaques de Paris,

mais le seul qui lui allie un club sexy. La carte en elle-même fait déjà saliver ! Le menu aph-rodisiaque et le menu des saisons, que vous pourrez marier à votre gré, vous attendent pour tenter vos papilles. Une avalanche de pro-duits aphrodisiaques

la parsème, accompagnés d’une farandole d’épices : champagne, huitres, gingembre, saté, sésame ... À votre place, je me laisserais tenter par un foie gras de canard aux deux poivres et champagne, des gambas au curry et curcuma, pour finir par sa soupe de fraise

au gingembre et muscade. Le tout arrosé de champagne évidemment pour un effet aphrodisiaque maxi-mum ! Une carte gastronomique, une ambiance feutrée et tamisée, un bel endroit dans un cadre inti-miste à l’ambiance très sensuelle et chaleureuse. Vous pourrez aussi voir évoluer les danseuses, très glamour, de loin ou de plus près, dans la partie club qui leur est dé-volue et vous initier au striptease à la française.le secret square27, avenue des TernesTél. 01 47 66 45 00www.secretsquare.frRestaurant dès 20h30 et club dès 22h. Fermé le dimanche

tout le confort de l’hôtellerie de luxe dans des « aparthotels » raffinés

C’est en plein cœur du 17ème arrondis-sement que la créatrice Stella Ca-dente a élu domicile pour créer trois « aparthotels » de prestige aux noms évocateurs ; Em-pire, Bonaparte et Joséphine. Stella Cadente aborde la dé-coration intérieure comme une de ses collections de prêt-à-porter féminin : ha-biller les lieux avec légèreté et poésie comme on revêt une femme d’un vêtement élé-gant et souple. Ici le style napo-léonien rencontre le raffinement de l’univers féerique aux tonalités gourmandes de la créatrice qui se plaît à marier les codes.

Les « apartholtels » peuvent accueillir quatre à huit personnes, tous bénéficient du confort d’un grand

hôtel : room service, service de restauration ou réservation dans un restaurant de la

capitale que vous aurez trouvé dans le livret personnalisé par Stella

Cadente avec ses meilleures adresses et service de trans-port. Si l’envie vous en prenait, vous pourriez apprécier les cours de cuisine ou encore la dégustation de vins et de fromages. Changez donc d’air

et venez vous relaxer dans un nouveau boudoir à deux pas de

chez vous. Tellement romantique, n’est-ce pas ?

Aparthotels159, avenue de Wagram

www.bedandstyle.com/index.php/fr/

les Bons planson a testé pour vous

le secret square, le restaurant aphrodisiaque par Céline Lepan

« Aparthotels » signés stella Cadente par Mélanie Taieb

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les bons plans

Le bon plan culinaire du mois, c’est le restau-rant d’application gastronomique de l’institut Vatel. une école hôtelière qui s’est spécia-

lisée dans la formation du meilleur personnel destiné à travailler dans les plus grands établis-sements de luxe français et internationaux.

Depuis 1981, l’Institut Vatel propose aux étudiants de faire carrière dans l’hôtellerie de luxe. Si vous rêvez de palaces, de décors somptueux, direction les bancs de cette école de commerce spécialisée, située rue Nol-let. La cerise sur le gâteau c’est le restaurant gastro-nomique de l’école, tenu par les étudiants. Du lundi au vendredi, midi et soir une dizaine d’étudiants se mettent en quatre pour vous accueillir. Que ce soit en cuisine, à la réception, au service ou en pâtisserie, les étudiants tiennent leur rôle. Au cours de leur formation, chacun des étudiants pratiquera tous les postes afin d’être po-lyvalent et de posséder une vision d’ensemble de son futur environnement professionnel. Trois menus sont à la carte midi et soir et un quatrième uniquement le midi. Il faut compter de 33 * à 45 * pour les menus clas-siques et 21 * pour celui du midi. Vous pourrez alors

déguster des plats fins composés de produits de qua-lité et d’un service aux petits oignons. Saumon mi-cuit et sa crème glacée de courgettes, duo de cailles aux fruits secs et son pain d’épice pour les entrées, filet de bœuf sauce foie gras ou filet de canette au curry vert et patates douces au lait de coco pour les plats. Mais l’apothéose gustative est sans conteste, le dessert, pensé spécialement pour les gourmands. Les étudiants pâtissiers arrivent en salle avec un chariot d’une dou-zaine de desserts. Millefeuille caramélisé, macaronnade de fruits exotiques ou encore tartine cuite chocolat-noisettes sont les desserts que l’on peut déguster au restaurant d’application de l’école. Vous comprendrez sans doute qu’il est préférable de réserver pour obtenir une table malgré une capacité de soixante-quinze cou-verts. L’ autre plus de l’école, c’est le programme Marco Polo. Un dispositif semblable à celui d’Erasmus qui per-met aux étudiants de l’Institut Vatel de partir pour un semestre suivre l’enseignement des vingt-trois autres écoles implantées en France et à l’étranger. institut Vatel, 122, rue NolletTél. 01 42 26 26 60 - http://www.vatel.frDu lundi au vendredi : 12h-15h et 19h-22h

institut Vatel, le palace ! par aurélia Saïd

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le Bon arttexte SanDRa FaRgn i eR / photo O.J .R.

SanhugiSitué rue des Dames, Sanhugi est une gale-rie d’expressions artistiques plurielles prin-cipalement dédiée à l’art du tatouage.

Sang, l’élégance, Nhuc, la lumière et Giau, l’abondance forment ensemble le trio indis-sociable de Sanhugi (contraction de leurs trois prénoms vietnamiens). L’un impulse les projets avec brio, le deuxième leur donne forme avec un talent infini et la troisième fait le lien, ci-mentant avec beaucoup de sensibilité le fond et la forme, les relations intérieures et extérieur, le yin et le yang en somme…Car pour cette fratrie extraordinaire, le ta-touage est un art familial qui doit faire sens.Il n’est pas question de se « faire faire un simple tatouage » mais de raconter une histoire.« Chaque tatouage est avant tout un projet artistique, une histoire et une intimité intel-lectuelle et physique ». Et même si Sanhugi travaille beaucoup pour le milieu de la mode et de la photographie, ils envisagent leur vocation avec beaucoup de déontologie et de sensibilité.« Le tatouage n’est en aucun cas un accessoire ou un « must have » et nous dissuadons les gens qui sont dans cette approche en leur faisant com-prendre qu’il s’agit avant tout d’une démarche ar-

tistique très personnelle qui relie inexorablement passé-présent-avenir. » Chez Sanhugi, on ne porte pas un tatouage, on le vit. Il leur est donc tout simplement impos-sible de s’impliquer dans un projet et de créer un tatouage sans connaître l’histoire ou la per-sonnalité de celle ou de celui qui le vivra. On trouve une approche holistique, emprunte de philosophie et de psychologie qui relèverait presque d’un rituel initiatique séculaire s’il n’y avait pas la modernité de leurs œuvres gra-phiques accrochées au mur « avant tatouage », les dernières technologies et la sacro-sainte hy-giène clinique de leur laboratoire pour nous rappeler notre aire numérique. Un labora-toire où cohabitent deux parties. La première

est consacrée à l’approche graphique (dessins d’art, estampes représentant des animaux sacrés ou des fi-gures modernes dessinées par le talentueux Nhuc) et une autre dédiée aux instru-

ments de tatouage (bécanes constituées de buse avec aiguilles à usage unique, même le matériel qui n’est pas en contact direct avec la peau est continuellement stérilisé en autoclave). Les passionnés seront ravis de savoir que Sanhugi a l’honneur du 1er prix international du Ta-touage. Un prix qui ne surprend personne

“ CHAquE tA-touAGE ESt AVAnt tout un ProJEt ArtiStiquE ”

À fleur de peau

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et encore moins les fidèles clients, comme Jacques, qui accueille sur son dos une sublime fresque depuis bientôt quatre mois et qui à la fin du reportage me glisse à l’oreille « Pudeur et modestie obligent, ils ne vous le diront pas mais vous savez ce sont les seuls au monde à pouvoir pratiquer un tatouage à plusieurs mains sur une seule et même partie du corps, tellement ils sont en symbiose de gestes, de philosophie et d’âme. »Enfin, même si vous n’êtes pas un adepte du tatouage, rien que pour la qualité des photos et des dessins exposés le long de leur gale-rie, la visite vaut le détour. Et s’il vous venait

l’envie de changer de tête, vous serez aussi les bienvenu(e)s dans le salon de coiffure arty si-tué dans l’avant galerie… Quant à ceux qui cherchent à se faire un tatouage de tête, inutile de préciser que c’est l’adresse la plus indiquée !

Sanhugi88, rue des Dameswwww.sanhugi.comdu mardi au samedi de 11h à 20hTél. 01 42 93 13 39

mai 2010 | 17

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Bon en arriÈre

Une source d’inspiration à l’origine du natu-ralisme.

Zola est le père du naturalisme, mouve-ment littéraire qui reprend les principes du réalisme de Courbet en peinture et en sculpture de du Barye. Nous sommes en 1866. Le village des Batignolles vient d’être annexé par Paris et Zola n’est encore que critique littéraire. Il a 26 ans et reste bien résolu à vivre de sa plume lorsqu’il s’installe aux Batignolles avec sa compagne Alexandrine Meley où il vivra jusqu’à son insta l lat ion à Médan en 1877. Il l’épouse à la mairie des Batignolles le 31 mai 1870 avec Paul Alexis et le peintre Paul Cézanne, son meilleur am i , comme t émo ins . Grâce à Cézanne, il s’ac-coquine aux artistes de ce pet i t v i l lage de campagne. Les « paysagistes », comme il les appelle, aiment peindre sur le vif. Il sympathise vite avec Manet qui habi-tait boulevard des Batignolles puis avec Sisley, Stevens, Bazille, Pissaro, Monet, Renoir et Fantin Latour. Il participe avec ferveur aux réunions du café Guerbois qu’il décrira comme un berceau révolution-naire. Fantin Latour l’immortalisera au milieu du groupe des Batignolles, ces « paysagistes » futurs impression-nistes, dans « Un atelier aux Batignolles » en 1870 (voir le Bonbon de février), Bazille dans son « Atelier»

(1870), installé rue de la Condamine et Manet lui croquera le « portait » (1868) dans son atelier de la rue Guyot, qu’il lui offrira en guise de remerciement.. Nadar , organisateur de la première exposi-tion impressionniste, rejoindra bientôt le groupe et in i t iera Zola à sa pass ion : la photogra-phie, qu’il exercera notamment aux Batignolles. L’on retrouve sa trace du 1, rue Moncey, actuelle rue

Dautancourt, au 11, avenue de Clichy, en 1867, à deux pas du café Guerbois.

Puis 23, rue Truffaut, en 1868, 14 , rue de la Condamine en

1 8 6 9 , e t 2 1 , r u e S a i n t -Geo rges , f u tu re r ue des

Apennins de 1874 à 1877. Témoignages de cet te forte présence de Zola

aux Bat igno l les , de son intégration au sein du groupe

des Bat ignol les , mais aussi de sa quête sur l ’humain et sa

nature , qu i nourr i ra toute son œuvre, un certain nombre de lieux

des Batignolles se retrouveront dans ses romans. Le Café Guerbois devenu Café Bau-dequin dans L’œuvre, son square, ses chemins de fer et sa gare Cardinet, ses rues et ses habitants. L’œuvre et La Bête humaine sont les deux romans de Zola qui ont véritablement éclot aux Batignolles.

Émile Zola et les Batignolles

texte Célin e lepan / photo élOD i e p eTiT

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Émile Zola et les Batignolles

texte Célin e lepan

Stéphanie et Clotilde ont associé leurs bonnes idées pour ouvrir une boutique qui offre à la fois des bouquets et du vin biodynamique pour un petit moment de convivialité partagée.

Des effets pour les yeux et pour les papilles. Depuis cinq mois, elles conjuguent leurs talents dans ce lieu qui a été un vrai coup de cœur et pour lequel elles se sont battues. Pour Clotilde, le vin et les fleurs, c’est un peu la même chose : le bouquet, les arômes, la texture, les couleurs, le partage, la convivialité. Stéphanie, elle, aime le concept et l’idée de mode, de collection, de redé-couverte des saisons et du travail des fleurs comme d’un tissu. Le mélange des deux a donné cette fabrique où elles souhai-tent créer un univers à part, susciter une émotion : partage, convivialité et rencontres, où finalement vin et fleurs mènent à la même satisfaction. Avec un défi, s’adresser autant aux hommes qu’aux femmes !Ici le vin est biodynamique. La biodyna-mique va encore plus loin que le label AB d’agri-culture biologique qui garantit uniquement une culture sans engrais ni produits chimiques. Plus connue sous le label Demeter, l’agriculture biodynamique intègre également un travail sur la terre, nourricière, et en-suite sur le processus de vinification au cours duquel est adjoint un minimum de composants et toujours de façon raisonnée. En tout, ce sont une dizaine de vins

biodynamiques, Pays de la Loire, Bourgogne, Borde-lais, pour une gamme de prix allant de 5,50 € la demi-bouteille à 14 € , en sus du champagne.Côté fleurs, les bio étant encore très rares, vous trouverez ici des fleurs naturelles, toujours dans une logique de développement durable. C’est une ques-tion d’état d’esprit qu’elles partagent volontiers avec leur clientèle. Toutes les fleurs sont de saison, et sont achetées chez de petits producteurs indépendants d’Ile de France, où confiance rime avec qualité.

Et en parlant de saison, pensez à repartir avec votre pot d’herbes aromatiques bio. Ils

« n’ont pas toujours une belle tête mais c’est bon ! » Et puisqu’elles aiment l’esprit de partage et de

service, vous trouverez égale-ment chez elle les paniers bio de bioculture.Vraies citadines mais écolo convaincues, elles veulent juste vous dire que oui, il faut prendre

soin de notre planète, mais que le bio, loin d’être triste, ça peut être

fun ! Prochain effet : le 30 mai pour la fête des

mères avec des surprises dans vos bouquets.

la fabrique d’effets104, rue LegendreTél. : 09 62 37 41 02 www.fabriquedeffets.com Ouvert du mardi au samedi : 10h - 20hDimanche :10h - 13h30

DES FLEurS Et Du Vin : un MAriAGE réuSSi !

La Fabrique d’eFFets

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le Bon homme

38, rue de la Condamine. J’inspire, j’ex-pire, je sonne. Derrière la porte les édi-tions Hugo & Cie, comprenant différents labels dont Chiflet & Cie. C’est avec son créateur éponyme que j’ai rendez-vous. Mais n’allez pas croire qu’il soit égocen-trique. C’est un homme aux yeux pétillants et sourire en coin qui me reçoit, le Bonbon du mois d’avril à la main. « Je l’ai récupé-ré ce midi à ma cantine Les 3 Compères*. J’aime bien ce que vous faites. » Je respire.

Jean-Loup Chiflet, un homme au parcours atypique. Quarante ans qu’il est dans le métier. N’allez pas croire

qu’il est vieux. Il a juste com-mencé très tôt. Après une forma-tion de juriste, il travaille pour les éditions Hachette pendant près de vingt ans. Pour s’amuser, il sort en 1985, Sky my Husband ! traduction littérale des expressions françaises dans la langue d’outre-manche, avec, bien en-tendu, leurs véritables synonymes en anglais. Son violon d’Ingres est trouvé : apprendre en s’amusant. À cette fin, il s’associe à Jean-Louis Fournier, pour La Grammaire impertinente. En 1994, il moque la loi Toubon, avec Sky, Mister Allgood. Il trouvait « scandaleux de bouter l’an-glais hors de France ». Aujourd’hui encore il n’a

rien contre le slam ou encore l’écriture twitter. En ce sens, il publie avec Nathalie Kristy, Le Mokimanké, le dico des mots qui existent enfin. Il est l’écolo de la langue française. « On ne peut pas empêcher une langue d’évoluer », mais il réprouve les mots creux, inutiles qui parasitent notre langage au quotidien. Il met 99 mots et expressions à foutre à la poubelle. Parmi elles : « tout à fait », « y’a pas de soucis », « bonne fin de journée »… Qu’il utilise pourtant, parfois. Dix ans qu’il est dans le 17ème, d’abord rue Caroline, aujourd’hui rue de la Condamine. S’il reconnaît avoir regretté le quartier latin,

il en est revenu. « Le 17ème est un arrondissement qui bouge à une vitesse folle. » Un peu comme lui, à l’affût de l’idée insolite. Le grand succès de Chiflet

& Cie ? Les Cahiers de vacances pour adultes. « Il y a trois ans, c’était un été pourri…, et puis les libraires en sont tombés amoureux. C’était pas l’idée du siècle et ça ne va pas être éternel mais ça permet de prendre des risques sur des choses plus pointues. » Vient de paraître 92 inventions inu-tiles et indispensables par l’auteur du Coup du lapin, Andy Riley. En mai sortira un pamphlet de Salome Van Pelt, Comment devenir rien et

texte aURORe bOUTeR / photo aUDReY WnenT

Jean-Loup Chiflet

“ on nE PEut PAS EMPêCHEr unE LAnGuE D’éVoLuEr ”

le plaisir du mot, l’humouren plus

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le rester, manuel d’anti coaching. De l’humour mais « non gratuit » se défend-il. Face au livre numérique, il ne cache pas son enthousiasme et nous confie que c’est une « invention gé-niale », tout en reconnaissant préférer le pa-pier et le stylo à l’ordinateur. Il (se) rassure en évoquant le plaisir sensuel du lecteur à tou-cher, feuilleter un livre, flâner dans une librai-rie. Son coup de cœur, la Librairie de Paris*. Avant de partir, il me confie qu’il aurait voulu être un poète du quotidien tel Alexandre Via-latte ou Francis Ponge. Me tendant sa carte, il ajoute « j’aime bien mes titres », une lueur d’es-

pièglerie dans le regard. Je lis « spécialiste, an-cien élève, grammairien buissonnier ». Je souris. Le Bonbon aussi aime bien ce que vous faites, Monsieur Chiflet ! hugo & cie38, rue de la Condamine Tél. 01 53 04 41 51

Ses bonnes adresses :Les 3 Compères, 92, rue Legendre*Librairie de Paris, 7-9-11, place de Clichy

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les Bons shopsles nouvelles boutiques du quartier

WAssAnA tHAï beAutY institutun PAssePoRt PouR LA séRénité

Pénétrez dans cet espace intimiste pour vous initier au massage thaï ou nuad Bo’rarn tel qu’il est enseigné à l’école de Wat Po en thaïlande.

Pénétrez dans cet espace intimiste pour vous initier au massage thaï ou Nuad Bo’rarn tel qu’il est enseigné à l’école de Wat Po en Thaïlande.Otez vos chaussures dans le petit salon aux persiennes ajourées qui vous couperont de la rue avant d’aller vous changer pour une tenue confortable (pyjama thaï) dans le vestiaire privé, équipés de sandales. Puis direction la tradi-tionnelle salle de massage thaï : une grande salle commune où les futons sont alignés. Des paravents vous isolent parfaitement. L’atmos-phère, sereine, dans une pénombre éclairée de bougies et sous l’aura d’une musique douce, vous procure un effet très reposant et apaisant.Le Nuad Bo’rarn mêle trois traditions an-ciennes : le massage ayurvédique, indien, le shiatsu, japonais et le yoga. C’est le massage le plus complet. Il est à la fois énergétique et relaxant. Proposant un travail sur les points d’acupuncture et d’acupressure et se pratiquant habillé, il est autant apprécié des hommes que

des femmes. Très utilisé dans la tradition thaïlandaise et pratiqué très régulièrement, son but est de rephaser les énergies en travaillant sur les méridiens. Dès que l’on sort, on se sent bien ! Vous voilà prêts à regagner le salon d’at-tente où un petit thé vous revigorera agréable-ment et où vous reprendrez doucement contact avec la réalité ! Pionnière en matière de démocratisation du massage thaï en France, Wassana a ouvert son premier salon il y a huit ans ; il est le seul agréé par l’ambassade de Thaïlande. Massage traditionnel thaï ou simple réflexologie plantaire ou du crâne et visage ou wassanita qui associe massage thaï et palpé-roulé pour un effet amincissant, la gamme est vaste. Venez éga-lement en famille, avec votre bébé (dès trois mois et durant 30 minutes) ou votre enfant (dès 4 ans), qui pourront se faire masser en même temps que papa et maman. Ils adorent ! D’ailleurs Wassana montre également aux pa-rents comment masser les bébés durant cette baby-séance de massage. Céline Lepan 17, rue du Mont DoréTél. 01 45 22 44 44Ouvert du Lundi au samedi de 11h à 20h

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les bons shops

éClipse & VousVénus BeAuté

éclipse & Vous est la nouvelle adresse pour prendre soin de soi et se faire plaisir. Hammam, gommage, massage, soins amincissants, il ne tient plus qu’à vous d’être prête pour cet été.

La spécificité du lieu, c’est son hammam avec une salle privative attenante. Plus besoin de partager son intimité avec des inconnues, Éclipse & Vous a pensé à tout. Compter 55 * pour une séance d’1 heure de hammam et gommage et 105 * pour 1 heure et demie de hammam, gommage et massage. Et pour celles qui ne sortent pas sans leur bande, l’institut offre la possibilité de privatiser l’espace hammam entre copines. L’établissement propose, en plus des soins esthétiques plus classiques comme les soins du visage et du corps . . . , un espace consacré à affi-ner la silhouette. Trois types de machines sont mises à disposition sous l’égide d’un coach : une de presso-thérapie, une autre de palper-rouler et une dernière de bio-stimulation. L’institut met un point d’honneur à assurer un accueil de qualité, un espace tisanerie permet d’attendre son soin. Et si vous souhaitez faire profiter de l’adresse à vos amies ou à votre maman pour sa fête, le salon propose des bons cadeaux et des packs cadeaux. Aurélia Saïd

6, rue Pierre Demours Tél. 01 78 76 60 00Ouvert de 11h à 20h du mardi au samedi www.eclipseetvous.com

smArtboX MiLLe et une iDées cADeAux

Pas d’idées cadeaux ? Pas de panique ! Avec ses quatre conseillers et ses soixante-dix coffrets, Smartbox est là !

Depuis décembre, c’est une boutique design aux lignes épurées et à l’accueil chaleureux qui a élu domicile au 17, avenue des Ternes. Avec des pres-tations aussi diverses que variées, votre Smartbox 17ème vous surprendra. Du cocooning à la gastrono-mie, de l’aventure au court séjour en France et en Europe, sans oublier le divertissement. Atelier d’œno-logie, Invitation au château, Séjours pittoresques, ou encore Tables de chefs, face à toutes ces offres, le plus difficile sera de choisir. Au fait, pour les indé-cis, ne ratez pas les coffrets ponctuels, comme en ce moment, Tentation à deux. À la recherche d’une idée très originale ? The Store vous surprendra avec ses chemises ou parfums sur mesure. Mais le must en ce moment reste le coffret limité Coupe du monde Fifa 2010. Les vrais amateurs de football pourront aller vibrer en Afrique du Sud au rythme des matchs. Si les enfants sont un peu en reste, Smartbox devrait prochainement combler ce vide. Et pour la fête des mères, des coffrets Bien-être maman sauront faire leur bonheur ! Aurore Bouter

17, avenue des ternes Tél. 01 44 09 97 72 Du lundi au samedi, de 10h à 19h Coffrets entre 30 € et 690 €

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L’atelier d’Arthur

le Bon artisantexte laURe De gR i v e l / photo léO R i DeT

une rue reculée des Batignolles, un ate-lier bercé de musique propice au tra-vail du bois et du métal, deux artisans

passionnés et mélomanes avertis : Arthur Dubroca et Alexandre Aumont. Entrons dans l’univers de l’archèterie avec l’Atelier d’Arthur.

Pour un violoniste, un bon archet est aus-si important qu’un bon instrument ! C’est le mouvement de l’archet et le frottement de la mèche sur des cordes tendues qui crée une vibration.

L’archèterie n’est pas éloignée de la lutherie, il n’existe cependant pas de formation spécialisée en France mais une école renommée de lutherie dans les Vosges : l’école de Mirecourt. Pour pouvoir ai-guiser leur maîtrise de l’archèterie, véritable artisa-nat d’art, Arthur et Alexandre ont fait leurs armes auprès du maître archetier Jean-François Raffin. Pendant huit années, Arthur Dubroca se familia-rise à la restauration et à la fabrication d’archets. En 2004, il monte son propre atelier dans le 17ème – de l’autre côté du quartier de l’Europe, déjà célèbre pour ses luthiers – et s’associe à Alexandre Aumont. Le 17ème, Arthur l’a choisi pour son creuset d’arti-sans, et pour la tranquillité qu’il y trouve, nécessaire au travail d’atelier, plus qu’au côté « marchand » de la rue de Rome. « Nous ne sommes pas des artistes puisque nous travaillons l’outil, mais des artisans ! »

Mais comment passe-t-on du travail de l’ins-trument à l’archet ? « Le travail de l’archet est plus immédiat contrairement à l’instrument qu’on peut travailler pendant des années. » Outre le travail du bois, l’archèterie demande égale-ment le travail du métal, de la nacre et de la mèche. Rappelons tout d’abord que l’archet est fait de bois brésilien : le pernambouc qui a valu son nom au Brésil (appelé bois-brésil car rouge comme la braise). À l’origine, on tirait de ce bois d’une grande du-reté et d’une grande résilience une teinture brun rouge très utilisée dans l’industrie textile. C’est François Xavier Tourte, luthier et archetier fran-çais du XVIIIe siècle qui a introduit l’utilisation du pernambouc en 1775, qui se fait de plus en plus rare à cause de la réduction de son habitat naturel et classé espèce en voie de disparition. Nommé ainsi pour sa ressemblance avec un arc, l’archet est une baguette de pernambouc, len-tement courbée au-dessus d’une source de cha-leur afin d’adopter une forme légèrement courbe vers l’intérieur, et sur laquelle est fixée une mèche de crins tendue entre la tête de l’archet et la hausse. C’est elle qui en coulissant, assure la ten-sion des crins. Souvent faite d’ébène et de mé-tal, on en rencontre en os, en ivoire ou en écaille. Elle est généralement ornée d’un grain de nacre. Enfin, le bouton est le système de réglage de la

la magie de l’ archet

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tension du crin, relié à l’écrou situé au-dessus de la hausse et glissé à l’intérieur de la baguette.Faut-il être musicien pour être un bon arche-tier ? « Évidemment nous avons une formation classique d’instrument à cordes, mais je ne joue que pour essayer les archets, nous confie Arthur. » Les archets français sont devenus les partenaires évidents des stradivarius de nos voisins transalpins. Musiciens amateurs et professionnels pourront dé-couvrir à L’Atelier d’Arthur la collection d’archets proposée par Arthur et Alexandre ainsi que la réé-dition d’archets anciens. Nos deux artisans propo-sent également l’entretien de la mèche, mise à rude épreuve par les concertistes !

l’atelier d’arthur 3, rue truffauttél. 01 55 06 12 01Ouvert de 10h-12h30/14h15-18h30 du lundi au vendredi

son resto préféré :Le bistro des Dames, 18, rue des Dames, pour l’accueil, la cuisine et le jardin au printemps

sa découverte du quartier :L’atelier des vélos, 91, rue la Condamine

son livre de chevet :Le gang de la clé à molette d’Edward Abbey

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les Bons petits diaBlestexte aleXanDRa S i lb eRT / photo élOD i e p eTiT

À la sortie de l’école, rien de tel qu’un cours de capoeira pour se dégourdir ! C’est tonique, amusant et les enfants adorent. Cet art martial dansé brésilien a su charmer ceux du 17ème.

Espace Macaq, 17h, un mardi. Isaure, Guillaume, Philippe, le petit Eduardo et les autres entrent dans la salle de cours.

À peine pieds nus, ils courent en tous sens. Renato, mieux connu sous le titre de Père Ve-requete enlève ses baskets et dévoile sa te-nue immaculée. Le cours commence par des échauffements, des étirements, sous forme de jeu, toujours au son du tambour battu par Re-nato. Face aux miroirs, les enfants apprennent une attaque et une esquive nouvelles, immédia-tement mises en pratique à deux. Ensuite, assis en cercle, ils chantent les airs qui accompagnent les rencontres dans la ronde. Enfin, le combat commence. Les enfants, très à l’aise, enchaînent les mouvements et semblent vraiment s’amuser. Il est surprenant de voir que le vocabulaire por-tugais prononcé avec l’accent « do Brasil » n’a

aucun secret pour eux, mais surtout à quel point ils progressent vite. Chaque posture est assimi-lée dans l’instant et exécutée dans une bonne humeur contagieuse. Les mères assises au fond sont d’ailleurs mortes de rire ! Selon la maman d’Isaure, sa fille a besoin de se dépenser. « C’est acrobatique et ludique, mais il y a des règles à respecter. C’est valorisant pour les enfants car ils retiennent bien les mouvements. Et puis cela leur permet de s’affirmer ; il en faut du courage pour entrer dans la ronde ! » Cette activité semble en effet séduire par son acces-sibilité, comme le confirme Guillaume, 9 ans. Il a été conquis dès le cours d’essai.

Kid capoeiraEspace Macaq123, rue de Tocqueville

Tous les mardis de 17h à 18h, Tél. : 01 58 59 01 73Cotisation annuelle, 150€

KidCapoeira

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Aux Batignolles, Frédérique initie de charmantes petites filles aux arts plastiques. Dans cette ambiance « comme à la maison », papote et créativité vont bon train.

Enseignante, Frédérique adore les en-fants et les travaux manuels. De ces deux passions est né « Le tout petit ate-

lier » dans lequel elle reçoit le mercredi des groupes d’enfants. Ils réalisent une production par semaine et bien souvent repartent avec. Di-rection la rue des Appenins, mercredi, 17h30. Noémie, Inès, Mathilde et les autres sont autour de la table et reproduisent au crayon à papier le tour de leur main sur une feuille blanche. C’est la base du futur arbre à fées, artefact du jour. Mais où sont les garçons ? « Mangés par le cochon apprivoisé ! » répondent en chœur les fillettes. Le cochon est le personnage mystère de l’ate-lier qui surgit quand on dépasse son coloriage… Frédérique explique étape par étape ; d’abord les contours, puis le passage du feutre, la peinture et enfin le collage. Toutes les techniques sont

abordées et les enfants sont très consciencieux. Aujourd’hui, elles apprennent que la peinture à l’eau peut s’estomper avec de l’eau justement. Noémie négocie, elle préfère la peinture toute seule, Maya manque d’y plonger sa longue cheve-lure blonde en rouspétant. Inès la comprend : « tu trouves pas que c’est énervant de se coiffer ? » Frédérique fait appel à la réflexion ; pourquoi uti-liser telle ou telle technique, comment obtenir tel résultat ? La bonne réponse arrive toujours très rapidement et le résultat est une vraie réussite pour chacune.

le tout petit atelier26, rue des Appenins, mercredi 17h-18h3028, rue Daubigny, mercredi 13h30-15h

Tél. : 01 47 86 22 46/06 30 35 57 06 Tarifs : 130 € le trimestre avec des avantages en cas d’inscription à l’année ou de plusieurs enfants. http://letoutpetitatelier.blogspot.com/

petit atelier Le tout

texte aleXanDRa S i lb eRT / photo élOD i e p eTiT

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Pour profiter des “bonbons” de réductions, il vous suffit de prononcer le mot magiquele Bonbon au moment de payer et vous bénéficierez de l’offre annoncée !

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retrouvez encore plus de bons plans surwww.leBonbon .fr

© élodie Petit

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le conte est Bontexte aleXanDRa S i lb eRT / photo léO R i DeT

Sélim NiederhofferLe Piège à Filles est une société de coaching en séduction pour hommes, portée par un jeune homme dans le vent. Cette figure de proue arbore la barbe courte et les lunettes savantes.

Sélim Niederhoffer, nouvel Alex Hitchens* version 2.0 a 26 ans et l’élégance en étendard. À 14 ans il rédigeait les SMS amoureux de ses camarades et divulgue désormais son savoir à ses clients.

GENÈSE

Diplômé de l’ESC Grenoble, Sélim tient quelques temps un poste ennuyeux avant de flatter ces dames, en cabine chez Gap. Il de-vient conseiller en achat chez Jaguar et un plan de départ s’organise avec un package pour monter sa structure. Jackpot, notre coach se met illico à son compte. Son désir ? Partager ses connaissances sur la Femme. Car selon lui il est grand temps que l’homme apprenne à la déchiffrer. Ses clients se livrent : accès à Mee-tic, Adopte un mec et autres sites de rencontres, Sélim a la main sur tout et distribue les bons points mais aussi les mauvais.

UN JOUJOU EXTRA

Le Piège à Filles propose un bilan à son client pour comprendre ses attentes, ses désirs et sa personnalité. L’idée est de jouer sur ses points forts pour les rendre attirants. Ils déterminent un but (mariage, aventures etc.) puis une stra-tégie et des exercices afin de trouver sa voie. Quand nous étions petits, nos parents avaient coutume de dire « arrête de faire l’intéressant ». Pour Sélim, c’est au contraire une idée à creu-ser. Intéresser, captiver, avec humour et curio-sité. Les hommes doivent reprendre confiance, écrasés qu’ils sont par toutes ces années de fé-minisme. Ils ont besoin de retrouver des codes et surtout une place à leurs yeux et auprès des femmes. Voilà le rôle du Piège à Filles : redon-ner de l’estime de soi à ces hommes en mal d’amour et leur apprendre à séduire selon leur personnalité. Du véritable sur mesure.

Dites coach, vous n’avez pas des conseils à nous donner ? Comment aborder une fille ?S.N. : La drague est à éviter, la séduction à pri-vilégier car l’approche est plus fine. Le sourire est un impératif.

moi, j’ai un piège À filles…

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C’est quoi un rendez-vous original ?S.N. : C’est réussir à surprendre. Tout est possible, si le rendez-vous est organisé avec de l’humour et un contexte, taillé sur mesure pour sa partenaire.

Quelle phrase fait mouche ?S.N. : Si elle existait tout le monde l’utiliserait ! Ce qui compte ce n’est pas ce que l’on dit, mais comment on le dit. Encore une fois le sourire, l’humour et la mise en place d’un jeu sont pri-mordiaux.

Quels sont les écueils à éviter ?S.N. : L’hygiène de soi doit être irréprochable tout comme le respect envers la femme. La vul-garité et la médiocrité sont à proscrire.

Y a-t-il un vrai piège à filles ?S.N. : Le secret : prendre son temps. Pour séduire, il faut être à l’aise avec soi et bien se connaître. Jouer un personnage rebute. *Film dans lequel Will Smith interprète un sé-ducteur professionnel.

http://www.lepiegeafilles.com mail to : [email protected]

Ses bonnes adresses : Le café Dada, 12 avenue des Ternes Pour l’ambiance after work improvisé du jeudi soir.La terrasse, C’est un des rares cafés de Paris où la terrasse n’est pas collée au bord du trottoir !En face de la mairie du 17ème

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le Bon agendaagenda des manifestations culturelles

THÉÂTRE

Atelier Berthier, À partir du mardi 18 jusqu’au vendredi 11 juin - La vraie Fiancée, d’après les Frères Grimm, adapta-tion et mise en scène Olivier Py

SPECTACLE

Palais des Congrès, Samedi 8 et dimanche 9 - « Zayed et le rêve », les ballets Caracalla

L’EUROPÉEN

Dimanche 2 - Natacha Ezdra chante Jean Ferrat, chansonLundi 3 à 20h - Amparo Sanchez, chanson espagnol Mardi 4 à 20h - Balimurphy, chanson Folk RockMercredi 5 à 20h - Marc Antoine, rnbJeudi 6 et vendredi 7 à 20h30 - Lokua Kanza, musique du mondeSamedi 8 à 20h - Arnold, chanson françaiseMardi 11 à 20h - Lonely Drifter Karen, Alternatif Pop FolkSamedi 15 à 20h30 - Jay Brannan,Pop FolkMardi 18 à 20h30 - Terca Feira Trio, musique du mondeMercredi 19 à 20h - Syan, Aurelie Ca-brel, Erik Karol, chanson/pop rockJeudi 19 et vendredi 21 à 20h00 - Olivier Villa, chanson française/humourSamedi 22 à 19h30 - Azal Belkadi,chanson lyriques berbèresMardi 25 à 20h - Paul Kern, chanson

Mercredi 26 à 20h - Nuiver, cubain world jazz

EXPOSITION

Mairie du 17e

Jusqu’au 7 mai - « Jardins rêvés », Judith Wolfe

SALLE PLEYEL

Lundi 3 à 20h - Accentus, Laurence Equibey, Chœur de chambre Eric Ericson

Mardi 4 à 20h - Nelson Freira, Récital Jeudi 6 à 20h - Rolando Villazon

Vendredi 7 à 20h - Orchestre de Paris, Guennadi Rozhdestvensky

Dimanche 9 à 11h - Orchestre National

d’Île-de-France, Christophe Mangou, Concert en famille Chantons avec …

Lundi 10 à 20h - Joshua Bell, violoniste américain

Jeudi 13 et vendredi 14 à 20h - Harry Connick Jr

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Nutrition et Diététique

Mode et Accessoires

DermocosmétologieParapharmacie

Vétérinaire

centres De nutrition et ParaPharMacie

veterinaireMoDe et accessoires

c4v L’esPace santé n°1 Pour Les chiens et Les chats

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ouverture non stop du lundi au vendredi de 10h à 19h30 et le samedi de 10h à 19h

Page 34: Paris 17e - le bonbon 05/2010

les Bonnes adressesRÉGIE PUBLICITAIRE06 33 54 65 [email protected]

Le Bonbon est imprimé sur du papier issu de forêts gérées durablement, sur un site labellisé imprim-vert avec des encres végétales. Ne pas jeter sur la voie publique.

1/ g .J U l i e n

18, rue Hélène – 20, rue Lemercier

Tél. 01 42 93 45 56

2/ b&R C O l l e CTi O n

15, rue Henri Rochefort

Tél. 01 56 33 70 03 - 06 69 42 94 88

3/ DaSKa l i DÈS

39, rue des Batignolles

Tél. 01 42 94 98 19

4/ l a b O n n e H e U R e

11, rue Brochant

Tél. 01 46 27 49 89

5/ l’e n D R O iT

74, rue Legendre

Tèl : 01 42 29 50 00

6/ pUb Sa i nT p e Te R Sb O U R g

1, rue de Cheroy

Tél. 06.84.03.14.61

7/ C O i n D e naTU R e

93, rue Lemercier

Tél. 01 42 28 34 84

8/a l e TH v i gn O n

98, rue Legendre

Tél. 01 42 63 75 40

9/aR O mDa

5 et 17, rue des Moines

Tél. 01 46 27 46 57

10/ paR i S paR FU mS

46, rue des Dames

Tél. 01 43 87 77 23

11/ n O Uv e l l e S F R O nTi e R e S

45, rue des batignolles

Tél. 01 43 87 76 14

12/ l a v i l l e aUX C Ham pS

71, avenue de Clichy

Tél. 01 44 70 94 13

13/ e S paC e R e n O vaTi O n

37, rue Boursault

Tél. 01 40 05 94 10

14/ b O U C H e R i e m e i S S O n i e R

8, rue Meissonier

Tél. 01 47 63 00 19

15/ vU e D ’a i l l e U R S O pT i C i e n S

19, rue des Moines

Tél. 01 42 29 60 90

16/ baST i e n D e a lm e i Da

46, rue La Condamine

Tél. 01 42 93 54 70

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