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PARTIE PARTIE PARTIE PARTIE 2 DÉCOUVERTE DES TECHNIQUES

PARTIE PARTIE 2 222 - ecole-dec26.frecole-dec26.fr/uploaded/5-partie-2-da-couverte-des-techniques.pdf · l’écriture ; écriture formée selon cet art » (Larousse), qui débouche

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PARTIE PARTIE PARTIE PARTIE 2222

DDDDÉCOUVERTE

DES TECHNIQUES

1/ Les différentes techniques artistiques (Source : http://www.almanart.com/Les-techniques-artistiques.html)

Acrylique Cette invention moderne (1920) est d’emploi facile, ce qui explique son grand succès contemporain : les couleurs acryliques réunissent les caractéristiques de l’huile, la souplesse de la détrempe, la transparence de l’aquarelle et la résistance aux agents atmosphériques ; irrésistible... En peinture, l’art contemporain occidental utilise aussi bien le pinceau que les bombes avec ou sans pochoir (graffitis), la projection directe (dripping), etc…

Aquarelle Peinture diluée à l’eau, l’aquarelle est constituée de pigments minéraux solubles dans l’eau additionnée de gomme arabique ; elle s’applique par pinceaux à poils souples sur papier ou carton ; son usage est proche du lavis, mais son rendu peut être plus lumineux et translucide.

Bronze État final d’une sculpture obtenue par coulage d’un métal alliant cuivre et étain, dans un moule ; le motif est réalisé par exemple en plâtre ou argile, recouvert en fin d’œuvre d’une cire, puis d’ une couche réfractaire enveloppant le tout ; l’œuvre "master" est alors prête pour être multipliée : lors de la mise en chaleur la cire fond et s’évacue par des conduits forés dans l’enveloppe ; le métal en fusion est coulé par d’autres conduits, les gaz s’évacuant aussi par les trous pour la cire.

Calligraphie « Art de former d’une façon élégante et ornée les caractères de l’écriture ; écriture formée selon cet art » (Larousse), qui débouche aussi sur l’enluminure (décor miniature peint autour du texte d’un manuscrit). Plusieurs plasticiens se sont intéressés à la beauté de l’écriture au niveau de la forme (souvent liée au contenu, par la collaboration de poètes), notamment ceux du groupe Cobra, où Dotremont à inventé la notion de "logogramme", sorte de parole hâtivement peinte (on parlerait aujourd’hui de graffiti) (Alechinsky, Michaux, Degottex...).

Chalcographie Ancienne appellation de la gravure sur cuivre ; vient du grec "écriture sur cuivre".

Crayon, crayon Conté, mine de

plomb, graphite

Facilement effaçable mais moins volatile que le fusain, il convient bien aux dessins spontanés ; Découvert en Angleterre en 1560 le graphite d’origine minérale est aujourd’hui remplacé par le graphite artificiel inventé en 1794 par le chimiste français Conté ; David, Ingres, Delacroix, Corot, Degas…s’en sont servi pour leurs études plutôt que le fusain.

Cliché-verre Sur une plaque de verre photographique enduite d’encre et poudre, le dessin est tracé directement à la pointe d’acier ; on obtient donc un négatif qui permet des tirages sur papier. L’intérêt est la finesse du procédé, abandonné actuellement.

Découpage-assemblage (collage)

Technique consistant à découper, assembler et coller ou fixer des fragments de matériaux hétérogènes sur un quelconque support.

Dessin Représentation graphique des formes exécutée à main levée ou au trait.

Détrempe Technique picturale où les couleurs sont broyées puis détrempées à l’eau avec de la colle de peau tiède, juste au moment de peindre. C’est le plus ancien procédé de peinture connu.

Encaustique Dans la peinture à l’encaustique les couleurs sont délayées dans de la cire fondue ; les variations de ce procédé sont multiples et les artistes contemporains conservent leurs secrets (Roland Cat, Philippe Cognée...) ; cela donne une surface mate très douce et modère les couleurs qui semblent fondues.

Encre L’encre est le moyen du dessin élaboré, non modifiable. Il y a différentes qualités : encre noire de Chine (la plus commune actuellement), brune, bistre de suie de bois bouilli, ferrogallique à base de noix de Galle de sulfate de fer et de gomme arabique, sépia à partir d’encre de seiche... ; l’instrument fut d’abord la plume d’oie, supplantée dès le XVIIIe siècle par la plume métallique ; en Asie le pinceau et ses très grandes variétés de tailles et de substances, est toujours l’instrument privilégié de dessin et de calligraphie.

Estampe Terme générique qui s’applique à toute œuvre à tirage (les "multiples") ou reproduction d’œuvre d’art, imprimée ou pressée sur papier après avoir été gravée ou dessinée sur un quelconque support : métal, bois, pierre... ; le langage courant étend cet usage à plusieurs procédés de reproduction : lithographie, sérigraphie, etc…

Fresque Usuellement grand panneau mural peint ; vient du mot "frais", allusion à la technique d’origine qui consistait à peindre (très rapidement) sur du plâtre frais avec de la peinture à l’eau, procédé qui à l’époque garantissait une bonne tenue dans le temps. Elle utilisait des pigments végétaux résistant à la chaux, délayés à l’eau, appliqués à la brosse dure ou souple sur un enduit de mortier frais composé de sable et chaux éteinte ; ainsi la fresque classique exige un travail rapide et précis qui exclut toute retouche.

Fusain Procédé de dessin le plus ancien qui emploie un matériau très tendre obtenu par carbonisation de rameaux de saule ou de vigne ; il s’efface facilement par soufflage, l’idéal pour les esquisses ; au XIXe siècle on parvient à le fixer sur le papier et il devient une technique de dessin définitif qui connaît un grand essor grâce à Delacroix, Corot, Millet...

Gouache Peinture pâteuse et opaque provenant d’un mélange proche de celui de l’aquarelle, dans lequel on a ajouté un liant, la gomme, qui lui donne son aspect mat. La gouache blanche est souvent utilisée pour rehausser un dessin à la plume, au crayon ou à l’aquarelle

Gravure : burin, pointe sèche, manière noire, eau forte, aquatinte, mezzo-tinto, carborundum, taille douce

Image confectionnée par gravage puis transfert par un procédé chimique ; le langage courant en étend l’usage à plusieurs procédés de reproduction similaires non automatisés ; le terme gravure est parfois confondu avec celui d’estampe (ci-dessus), mais les techniques diffèrent. Le procédé comprend deux phases : d’abord inscrire un motif en relief au sein d’un support, qui ensuite sert de transfert sur papier. On distingue deux techniques de base : la gravure en relief ou taille d’épargne ou xylographie, et la gravure en creux ou taille douce. Cette technique ancienne a toujours un grand succès car elle constitue un media spécifique.

Huile Utilisable sur tout type de support enduit, cette peinture est constituée de couleurs broyées liées avec de l’huile siccative additionnée de résine, diluées grâce à une essence volatile. Voir aussi l’huile acrylique.

Lap Désigne les émaux lapidaires ; a été beaucoup utilisé dans les panneaux "arts déco", mais aussi pour créer des sculptures murales.

Laque La laque voit une reconnaissance auprès des artistes actuels, alors qu’elle n’était depuis longtemps qu’une technique certes noble de décoration ; les procédés se sont diversifiés depuis la laque végétale d’origine vers des substances de synthèse polychromes.

Linogravure Procédé de gravure directe sur linoléum, creusé par des gouges en acier en V ou en U (ce qui créer un master négatif) ; cette matière semi-molle est préférée à la gravure sur bois par sa facilité.

Lavis Manière de complémenter ou de colorier un dessin avec de l’encre de Chine ou autre couleur diluée dans de l’eau ; le lavis s’applique seul en larges aplats. Van Goyen et Van Ostade, Guardi, Canaletto, le Guerchin… ont utilisé le lavis gris ; Le lavis bistre est fréquent jusqu’au XVIIIe siècle. Au XIXe siècle les artistes lui préfèrent le lavis sépia.

Lithographie Cette technique ancienne d’impression à plat a toujours un grand succès et même se renforce par opposition aux nombreuses techniques actuelles d’impression de bonne facture. Elle a une noblesse par sa qualité alliée à sa difficulté : intervention manuelle, intervention nécessaire de l’artiste, grande attention aux couleurs, précision de la superposition des passages...

(création) numérique Les procédés numériques ont fortement amplifié les possibilités de création ; d’une part les artistes créent des images originales sur ordinateur qui sont impossibles à produire autrement, d’autre part ils y traitent leurs photos ou leurs vidéos soit par transformation soit simplement pour en retoucher les défauts ; en sculpture les plasticiens conçoivent et aussi pilotent par

ordinateur la taille directe de sculptures en plastique.

(impression) numérique

En sortie d’ordinateur l’impression jet d’encre ou laser permet l’exécution rapide et bon marché "d’épreuves d’artiste", qui peut alors mieux se concentrer sur la conception artistique plutôt que sur la réalisation ; les procédés haut de gamme utilisent des jets de pigments et permettent l’impression directe des œuvres finales. L’impression actuelle permet de produire des œuvres en nombre, des multiples que l’artiste peut produire parfois lui-même, rapidement, à relativement meilleur marché, avec une excellente qualité, ceci en concurrence directe avec la sérigraphie ou les procédés quadri des grands imprimeurs, mais à condition que l’œuvre soit créée pour cela : l’impression numérique n’est pas un bon procédé de recopie car respecter les couleurs est encore extrêmement difficile et peu fiable.

Pastel Technique de dessin ou de peinture ? les deux sans doute... Le pastel est issu de plusieurs éléments broyés et mélangés : couleurs pures, blanc, colle, plomb, talc, gomme arabique… ; il est préparé sous forme de bâtonnets dans une large gamme de coloris ; utilisé en France puis en Italie durant le XVIe siècle, il atteint son apogée au XVIIIe siècle, puis Degas, Toulouse-Lautrec, Odilon Redon... l’ont utilisé avec bonheur. Il demande beaucoup de doigté (le doigt servant à estomper). Attention : il est fragile et se détériore à la lumière vive, craint les attouchements mais, bien conservé, garde toujours sa fraîcheur.

(impression) à plat (et print)

"à plat" signifie sans gravure en relief ni en creux ; on distingue les procédés : - demandant une intervention manuelle, comme la lithographie - d’impression automatisée, comme la sérigraphie ou les prints informatiques.

Peintures mixtes Les premiers contemporains (1945...) n’hésitaient pas à obtenir des effets en mixtant toutes sortes de procédés : ajout d’objets sur le tableau, projection de matière (sable, paillettes...), etc… Depuis l’on recherche moins à étonner qu’à trouver des matériaux exactement adaptés à l’expression recherchée : par exemple certaines "huiles" de Philippe Cognée sont en fait constituées de "pigments purs, cire d’abeille, résine de carnoba". Certains artistes restent discrets sur leur procédé : comment donc sont constituées les toiles mystérieuses de Roland Cat ? il ne vous le dira pas !

Pierre noire Concurrent du fusain issu d’une pierre d’Italie (son autre nom) qui a une densité plus forte et par conséquent est moins facilement effaçable ; il permet différents effets associé à de la craie blanche ; abondamment utilisé dès le 16e siècle, ce type de crayon permet de faire non seulement des esquisses mais des croquis rapides et des modelés, selon sa taille fine ou large.

Le crayon pierre noire est encore utilisé par des artistes dessinateurs qui recherchent des effets classiques, comme Ernest Pignon-Ernest par exemple.

Pochoir C’est la plus ancienne technique : rappelons-nous les mains servant de masque aux hommes des cavernes et autres africains ; c’est aussi une très ancienne façon de mettre en couleur, par des masques découpés successifs appliqués sur l’épreuve en repérage manuel. La couleur (aquarelle, lavis, gouache) est posée par une brosse ronde, et ensuite adoucie ou tamponnée suivant l’effet recherché ; on découpe autant de pochoirs que de nuances, jusqu’à 25 ou 50 pochoirs. Le pochoir est actuellement très utilisé par les artistes des rues, qui appliquent les couleurs par des bombes aérosols.

Haut et bas reliefs C’est un genre particulier de sculpture datant de l’antiquité ; peu de chose les distinguent : - le bas-relief est taillé en creux sur une surface plane (un mur, un panneau...) et le volume des motifs se détache assez peu du fond ; on peut ainsi réaliser des frises décoratives de grande surface ; les monuments antiques grecs ou romains en sont largement pourvus. - le haut relief relève de la même technique mais les motifs se détachent nettement du fond, n’y étant lié que par un minimum de matière pour qu’ils s’y raccrochent ; les cathédrales en sont garnies. En fait ce qui distingue ces reliefs de la sculpture habituelle est qu’on ne peut tourner autour.

Sanguine Utilisation en dessin d’une argile rouge qui doit sa couleur à un oxyde de fer ; La sanguine était déjà utilisée au paléolithique par les hommes des cavernes ; elle eut un immense succès du XVIe au XVIIIe siècle, en Italie en France et dans les pays nordiques (Vinci, Watteau, Boucher…) ; à l’exception de Renoir, les artistes du XIXe siècle l’employèrent peu ; elle est a presque inutilisée maintenant.

Sérigraphie Procédé d’impression à plat plus récent que la lithographie, il est simple à mettre en œuvre. Il est aussi utilisé comme media spécifique de création, ou à faire des transferts sur des supports variés (bois, verre, tissu...). Il sert aux reproductions nombreuses mais de qualité ou faire des livres d’artistes. L’image est créée ou reproduite (autrefois par pochoir ou gouache, maintenant par flashage d’une photo ou d’une image informatique) à travers un écran de soie (qui est à l’origine du mot) maintenant de nylon, à raison d’un écran par couleur, que des aplats d’encre obturent selon l’image.

Tempera Désigne uniquement le procédé de détrempe à l’œuf : on dit "à tempera" ; c’est donc une couleur délayée à l’eau additionnée d’un liant à base d’œuf ou de colle ; procédé médiéval toujours utilisé.

Transferts Plusieurs moyens sont utilisés, par exemple : - Seurat pour ses dessins double-faces transparents et flous, couvre une 1ère feuille encrée par une 2e feuille translucide ; par la pression du crayon qui dessine, il y a transfert de l’encre sur le dos de cette 2e feuille ; cela accentue la ligne et y apporte un aléa, du flou et des petits parasites.

Vitraux La création d’un vitrail traditionnel comprend toujours les mêmes étapes : maquette, calque, tracé des motifs, découpe ou calibrage, peinture ou coloration (la grisaille est une peinture délayable comprenant un oxyde métallique), traitement, coupe, cuisson, sertissage ou montage, pose. Les contemporains utilisent des techniques variées : inclusion de matières, traitements du verre, assemblage par collage, etc.

Xylographie Procédé d’estampe à partir d’une pièce plate de bois qui est creusée par brûlure, au moyen d’un fer chaud soit directement en creusant des sillons (ce qui créer un master négatif), soit à l’épargne c’est-à-dire autour du motif (ce qui créer un master positif) ; peu utilisé actuellement. Cette dénomination concerne aussi la technique d’impression par planche de bois supportant l’image gravée

2/ Production de séquences par le groupe

La légumogravure Séquence adaptable pour les 3 niveaux : PS, MS, GS Compétence travaillée : Adapter son geste aux contraintes matérielles Objectifs :

- Développer une technique : la légumogravure - Prendre plaisir à laisser des traces - Constater des effets produits - Tamponner, faire rouler, frotter

Outils : poires, pommes, châtaignes, bogues, carottes, potiron, poireau, pomme de terre, kaki, noix, noisettes Peinture. Objectif final : Réaliser un imagier des fruits et légumes de saison : au recto d’une page : l’empreinte du fruit/légume, au verso : la photo et le nom.

Première phase : Phase de langage Nommer, décrire, toucher, goûter les fruits/légumes proposés.

Deuxième phase : Mise en situation Choisir un fruit ou un légume et laisser une trace (activité en groupe, sur une grande affiche)

Troisième phase : Mise en commun Associer al trace aux fruits/légumes. Faire des hypothèses : c’est la trace de…..

Quatrième phase : Réalisation de l’imagier à l’aide des fruits/légumes aux formes les plus représentatives Pour les PS se contenter des pommes de terre, carottes, pommes, poires, châtaignes Ajouter plus de fruits/légumes pour les MS/GS Nom des fruits/légumes : en capitale d’imprimerie pour les PS, en capitale d’imprimerie + scripte pour les MS, en capitale d’imprimerie + scripte + cursive. Réaliser la première de couverture avec des traces. Prolongements possibles : - Réaliser un personnage à l’aide des traces - Prendre une histoire et associer une forme à chaque personnage. Décorer la première de couverture avec les empreintes. Utiliser des livres/albums qui utilisent des symboles ou dessins en place des personnages dans le texte (exemple : le petit chaperon rouge) Voir les œuvres de J. Dubuffet, Jaccard, Claude Viallat.

Notions plastiques : Impressions, Empreintes, Rythme.

Plâtre sur armature Compétence : Réaliser une composition en volume selon un désir exprimé. Objectifs :

- Travailler le schéma corporel - Utiliser un matériau nouveau - Utiliser une nouvelle technique - Pour les PS : 3 réalisations collectives

1ère séance : Présentation de l’œuvre de Giacometti « L’homme qui marche », 1948 Plâtre sur fer (pour inspiration) Canson noir + craie blanche

Ce que les élèves font

Ce que l’enseignant fait ou dit

Temps

Observations Hypothèses Questionnement Dessinent la sculpture

Présentation d’une photo, une affiche Qu’est ce que vous voyez ? Proposition de réaliser une sculpture qui ressemble. Dessine-le pour t’en rappeler

15 mn

2ème séance GS : Réalisation du squelette

Matériel : GS : 2 morceaux de fil de fer (électrique) Notice/descriptif en images de la réalisation du squelette (armature) à la disposition des élèves après explications.

Ce que les élèves font

Ce que l’enseignant fait ou dit

Temps

Ecoute. Un élève fait un modèle. Réalisation individuelle. Retour sur son travail.

Présenter, décrire la notice. Demander aux élèves : le sens de la lecture. Faire un modèle. Aide pour chacun. Ecoute.

10 mn 20/30 mn 10 mn

2ème séance PS/MS 3ème séance GS

Matériel :

Armature en fil de fer, bandes de papier, eau + colle Ce que les élèves

font Ce que l’enseignant

fait ou dit Temps

1. Déchirer les feuilles en bandes larges. 2. Les froisser. 3. Les tremper dans la colle. 4. Habiller l’armature, laisser sécher

Préparer les feuilles de catalogue. Donner les consignes successives. Préciser que l’on ne doit plus voir l’armature.

Environ 30 mn.

3ème séance MS 4ème séance GS Matériel : Sculptures réalisées

Ce que les élèves font

Ce que l’enseignant fait ou dit

Temps

Exprimer ses ressentis. Constater les différences, en chercher les raisons.

Vous allez observer vos réalisations. Lequel ressemble le plus au modèle. Le trouvez-vous gai ?

10 mn

4ème séance PS/MS 5ème séance GS Matériel : Peinture/vernis

Ce que les élèves font

Ce que l’enseignant fait ou dit

Temps

Choisir les couleurs. Peindre.

Comment voulez-vous les décorer ? Quelles couleurs ?

5ème séance PS/MS 6ème séance GS Découverte autres artistes : CALDER, MIRO, SAINT PHALLE

Construction d’un mobile à l’image de Calder Alexander (américain)

Compétence : Réaliser une composition en volume selon un désir exprimé. Matériel : 1 cintre, du fil de fer souple, cartonnette (neutre à peindre) ou de couleur, formes géographiques (type ASCO pour gabarits) Bibliographie : Calder DADA n° 146 Alexander Calder ; réunion des musées nationaux Alexander Calder ; Sylvie Delpech, éditions Palette (2005) La petite galerie ; Sylvie Delpech (2009) 1ère séance : Observation d’un mobile et reproduction d’Alexander Calder Faire deviner ce dont on a besoin pour faire un mobile. 2ème séance : Choisir les formes géométriques : Tracer, découper environ 7 formes. 3ème séance : Selon le projet, peindre les formes avec les couleurs primaires. 4ème séance : Participer à l’assemblage de son mobile. Perforer, passer le fil.

Exploitation de l’album « Tournicotte » de Bonniol Compétence : Réaliser une composition en volume selon un désir exprimé. Matériel : Fil de fer souple ; cure-pipe (chenilles toutes douces, carton, photo d’identité de l’enfant, boules de cotillon, plot de sport (forme conique), pistolet à colle 1ère séance : Lire l’album Observer le personnage de Tournicotte. Faire un parallèle avec le corps. 2ème séance : Apporter le matériel et faire chercher l’utilisation (pour quel membre du corps) 5 brins de cure-pipe par enfant (les cheveux, bras, jambes), 1 fil de fer d’au moins 60 cm par enfant (le corps) 3ème séance : 4 boules de cotillon (pieds, mains) Tracer un rond pour la tête (environ 5 cm). Assembler les différentes parties (pistolet à colle). Coller la photo de l’enfant sur le rond de la tête.

TOURNICOTTE

www.fiche-maternelle.com/boucles.html

Cernes et vitraux Auteurs :

Le baptême de Clovis

Chagall

Miro

Nuit de Noël

Matisse Matériaux : 1/ Calque, pochette plastique, rhodoid 2/ Encre gel, feutre, acrylique, windows color, papier vitrail, papier de soie, plexiglass 3/ Feutre noir, encre de chine, « detailer tip », aluminium, scotch noir, drawing gum, fil électrique fin (alarme) Objectif : Adapter son geste aux contraintes matérielles. « Cerner » et « travailler la lumière ». Déroulement : 1/ Visites d’église

- Observation des vitraux - Rôle du cerne - Couleurs utilisées – agencement - Formes représentées - Luminosité

2/ Présentation de différentes œuvres

- Faire ressortir les caractéristiques - Choix d’une forme avec gabarit ou non - Choix du support - Choix de l’outil - Choix de la forme - Choix de la fragmentation

3/ Production du cernage 4/ Observation des œuvres et analyse des couleurs/lumière…

5/ Mise en couleur

6/ Re-cernage si besoin

7/ Exposition

8/ Prolongation - Sans cerne - Dessin sur papier - Hourloupes / Dubuffet - Haring - Combas - Chaissac - Léger - Picasso - Di Rosa - Mondrian - Klee (viaduc)

Objectifs : - Les différentes activités d’un peintre. - Comprendre la construction d’un vitrail. - Sensibiliser à la luminosité des couleurs.

Support culturel :

Le Sacré Cœur d’Audincourt, 1951

Fernand Léger Démarche opérationnelle : Observer les vitraux de Fernand Léger. Faire un inventaire des couleurs utilisées. Lesquelles semblent lumineuses ? Transparentes ? Comment le peintre fait-il ressortir les motifs qu’il a choisis de mettre en valeur ? S’inspirer de sa technique pour inventer un vitrail qui met en relief un arbre. Tracer une (ou deux) silhouette(s) d’arbre. Imaginer les lignes qui vont partager le motif en morceaux. Eviter les morceaux trop petits. Voici quelques possibilités :

Mettre en couleur en agençant les parties lumineuses et ternes, utiliser pour cela l’aquarelle et la gouache. Tracer au feutre noir les lignes d’assemblage.

Matériel : aquarelle, pinceau, feutre noir, gouaches

3/ Référents

Sculpture

Femme se coiffant

Gonzalez

Vénus de Milo

Joan Miro

Boule suspendue Alberto Giacometti

Petite fille sautant à la

corde Pablo Picasso

Roue de bicyclette

Marcel Duchamp

Le cheval

Fernando Botero

Baluba

Tinguely Jean

Dona i Ocell Buddy Di Rosa

Penseur Rodin

Joan Miro

César Le poing

Collage

Kleines Merzbild aus vielen Teilen

Kurt Schwitters

La Gerbe Matisse

Nature morte chaise cannée

Pablo Picasso

Dubuffet

Tête mécanique

ou l’esprit de notre temps Raoul Hausmann

Collage sans visage Gaston Chaissac

George Braque Nature morte

Land Art

Andy Goldworthy

Andy Goldworthy

Andy Goldworthy

Andy Goldworthy

Waterhouse Udo Nils

Vitrail

Verrière du pignon Georges Braque

« Excentrique(s), travail in situ »

Daniel Buren

Le baptême de Clovis

Chagall

Miro

Nuit de Noël

Matisse