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Association des Résidents de l’Esplanade : 10 rue d’Ankara • BP 15 • 67043 Strasbourg CedexTél. 03 88 61 63 82 - Fax. 03 88 41 15 78 • www.ares-le-site.com • [email protected]
Président : Claude Gassmann • Responsable ARES-FLASH : Catherine Barasch • Fondateur ARES : Jean-Marie Lorentz
Tirage mensuel sur papier recyclé à 80% : 8 100 ex - Impression : Ott Imprimeurs - Dépôt légal : février 2010Infographiste : Véronique-E. Wolff - Illustrations : Caro 03 44 54 82 45 - Têtière de couverture : S. Courreau
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Ça se passe à l’ARES 4 Les secteurs de l’ARESEnvie de culture ?
Dossier à détacher En sécurité chez soi !
Le quartier 12 L’allée de sculptures de l’avenue Général de Gaulle : Isabelle WaldbergCarnaval de l’EsplanadeDossiers sur le feuCharly tire sa révérenceInterview : Capitaine François TrostLes permanences à l’ARESCalendrier Pierrots Vauban
BULLETIN D’ADHESION 2009/2010
Cotisation ARESSoutenez l’action de l’ARES !
Nom Prénom Date de naissance Adresse Courriel Je verse la somme de 16,50 E ou Epar chèque - en espèces*.C’est ma façon de participer à votre action.* Bulletin adressé à l’ARES - BP 15 - 67043 Strasbourg Cedex RIP CCP Strasbourg : 20041 01015 0062279E036 74
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?Une adhésion à un projet
L’ARES est une association au service des habitants, elle agit
par et pour les Esplanadiens. Elle défend leurs intérêts, leur
rend des services et participe à l’animation du quartier.
L’ARES est ouverte à tous les Esplanadiens soucieux du
quartier dans lequel ils vivent et qui souhaitent s’investir
bénévolement dans ces actions.
Une adhésion reconnaissance
L’ARES, un état d’esprit basé sur l’ouverture à tous, la
tolérance et la solidarité, valeurs fondamentales portées
par l’association.
Déduction fiscale de votre adhésion à l’ARES
Un reçu fiscal vous sera systématiquement remis lors de
votre adhésion à notre association. Ce reçu joint à votre
déclaration de revenus vous permettra d’en déduire la
somme donnée à l’ARES.
Une raison de plus de nous manifester votre soutien
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La sécurité, jusqu’où ?Sur internet circule un diaporama qui explique que tous ceux ayant plus de quarante ans devraient être morts, car ils ont fait du vélo sans casque, du patin à roulettes sans genouillères, de la voiture sans ceinture et assis à l’avant, et ont subi toutes sortes d’autres avanies qui, aujourd’hui, feraient passer pour criminels leurs parents, leurs enseignants ou tout autre encadrant. Le sens de l’exposé est clair : l’excès de prudence et de précautions ne se justifie pas, dans la mesure où l’on n’a pas, à l’époque, assisté à l’hécatombe que l’on supposerait aujourd’hui.La première réaction est en général de se dire que les auteurs ont raison et que l’on se complique beaucoup la vie pour un résultat qui n’apparaît pas évident.Dans un second temps, on va forcément plus loin en se disant que (pour prendre cet exemple) rouler en voiture sans être attaché est dangereux (le nombre de morts sur les routes a été divisé par trois depuis les années 70 alors que le trafic et la puissance des voitures ont au moins doublé) et qu’un certain nombre de mesures de sécurité sont tout simplement de bon sens. Nous savons bien que ce qui est toujours le plus difficile à chiffrer, c’est ce qui ne se produit pas : combien d’accidents, de handicaps, de maladies sont évités ? On ne le saura jamais. Par contre, on peut (partiellement) imaginer les remords pouvant survenir après un drame dont on suppose que, en prenant davantage de précautions, on aurait pu l’éviter ou en amoindrir les effets.Nous sommes donc dans un domaine où la marge est étroite entre le trop et le pas assez et, pire, où elle fluctue : il n’est que de voir la question des doses de vaccin contre la grippe A.Ce dernier exemple peut d’ailleurs donner des pistes pour sortir de ce dilemme ; c’est sans doute dans la manière d’appréhender le danger, plus que dans tel ou tel acte, que réside la bonne attitude. Se laver les mains chaque fois que l’on a touché un objet ne sert sans doute pas à grand-chose dans la vie courante, hormis à affaiblir nos défenses immunitaires ; par contre, ne pas nettoyer une blessure relève de l’inconscience. Lorsque la précaution imaginée empêche de vivre normalement, on franchit la limite, la vie normale pouvant être définie comme celle qui permet tout simplement de réaliser ses aspirations.Enfin, n’oublions jamais que nous sommes là dans un domaine où, très souvent, c’est la société qui assumera les conséquences des comportements individuels. Il faut en tenir compte aussi dans l’appréhension du danger dont je parlais plus haut.
Claude Gassmann, Président
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n pour les tout-petits Avant sa démolition, le “1001” (bâtiment Arts Plastiques) accueille la Petite Enfance pour ses premiers pas vers le monde du cirque.
C’est avec joie et amusement que les enfants de la Crèche Familiale et du Multi-Accueil ont pu démarrer leurs premières séances de circomotricité avec l’association Graine de Cirque.
Avant que ce bâtiment, mémorable dans l’histoire de l’ARES, ne soit démoli à partir de juillet 2010 pour laisser place au chantier du nouveau bâtiment, les enfants (et les adultes !) du Pôle Petite Enfance en profitent pour apprendre leurs premiers pas d’équilibristes.
Sébastien Pfeiffer, intervenant à Graine de Cirque, emmène tous les mardis matin petits et grands dans le monde fantastique et imaginaire du cirque.
C’est ainsi que tout le monde apprend à son rythme à “faire” l’éléphant, puis le rhinocéros, la girafe... et même le papillon, à l’aide de foulards multicolores. Marcher sur une poutre, passer en dessous et au-dessus d’objets, traverser un tunnel, en voilà des expériences riches. Un travail sur le corps et l’imaginaire merveilleux qui fait rêver.
Ces ateliers, expériences totalement novatrices pour les petits comme pour les grands, sont également l’occasion de créer des moments de complicité et d’échanges entre l’enfant et l’adulte.
Au-delà d’une expérience nouvelle, cet atelier est aussi une première façon pour le Pôle Petite Enfance de “faire la fête au 1001” et de lui dire tout doucement au revoir...
n pour les enfants • Pour les vacances de février, du 8 au 19, c’est Hollywood !Durant les vacances de février, faites un tour dans le monde magique et féerique du cinéma !Découvrez tous les corps de métier qui se raccrochent au cinéma comme le réalisateur, le caméraman, le preneur de son, ainsi que les costumières, les décorateurs ou encore les maquilleurs.Mais surtout, passez des castings et jouez dans nos superproductions !
Diffusion au grand public (les parents) vendredi 19 février, à partir de 18h15
A cette occasion, nos petits chefs proposeront un “cocktail” préparé par leurs soins. Des journalistes interrogeront nos vedettes et recueilleront leurs impressions, ainsi que celles de l’équipe de tournage.Venez donc nombreux à ces superbes vacances aux allures hollywoodiennes et vous aurez peut-être vous aussi votre étoile sur le boulevard “Areswood” !
Egalement prévues :Sortie au cinéma, vendredi 12 février (suppl. 5 E).Soirée familiale, vendredi 19 février, dès 18h15 (les enfants sont sous la responsabilité des parents).
• Les mercredis de février :Les 4/5 ans iront au cirque. Les enfants y rencontreront des clowns ! Ils feront du jonglage, des cerceaux ou encore des rubans ou du lancer d’anneaux.Pour les gourmands, nous verrons aussi “le cirque en cuisine” et, pour tous, le cirque à travers la peinture et le modelage.Les plus grands, les 6/11 ans, pourront tester leur fairplay à travers des jeux d’extérieur, tels “la gamelle de la sardine” ou encore la célèbre “balle
Pour tout renseignement, un seul numéro : 03 88 61 63 82Séance de circomotricité avec Graine de Cirque
Vous le savez, la Ville de Strasbourg a décidé la construction d’un nouveau bâtiment pour l’ensemble des activités de l’ARES. Le chantier commencera en juillet 2010 par la démolition des bâtiments 1001 et 1002.Ceci nous impose de déménager les activités qui ont lieu dans ces deux bâtiments. Nous aurons, dans le numéro de juin de votre journal de quartier, l’occasion de revenir en détail sur ce chantier. Mais nous souhaitions vous fournir ces explications car, dans les articles qui suivent, plusieurs actions ont un lien avec cette future démolition.
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assise”, mais aussi en allant à la patinoire ou lors du concours géant de dominos.
• InscriptionsInscriptions et programmes détaillés :- mercredis et vacances de février : dès le 19 janvier4 [email protected]
n pour les jeunes • Pour les collégiens (11/15 ans) :n Accompagnement scolaire des collégiensLes lundis, mardis, jeudis et vendredis des périodes scolaires, de 17h30 à 19h. Il reste des places...L’inscription s’y fait par semestre (de septembre à janvier et février à juin) pour un montant de 10 E par personne (+ 16,50 E d’adhésion annuelle et familiale à l’ARES).
n Les mercredis de 10h à 18hTrois formules : à la matinée, à l’après-midi ou à la journée.Tarifs à la journée de 2 E à 10,80 E selon les revenus et la composition de la famille. - les matins : “coup de pouce collégien”.- entre 12h et 14h : possibilité de restauration par traiteur (entrée, plat, dessert) pour 5 E en supplément.- les après-midi : Nous travaillerons sur la maquette des bâtiments de l’ARES pour Carnaval.
Mercredi 3 février : sortie à la patinoire
• Les vacances de février :Nous proposons aux plus courageux d’entre vous de participer à “La quête”, une grande épreuve passionnante et mystérieuse. Les musiciens en herbe découvriront les différentes étapes de la réalisation d’un clip, au travers d’une phase d’écriture puis d’enregistrement, pour terminer par son tournage.Ceux qui aiment raconter des histoires auront la possibilité de mettre en cases et en bulles leurs idées, lors d’une initiation à la bande dessinée. Diverses activités sportives seront aussi au rendez-vous : squash, jorkyball, bowling, tournoi de ping-pong...Pour ceux qui ont beaucoup de devoirs, nous proposons trois matinées (16,17,18) de coups de pouce collégiens.Vendredi 12 février : journée à la piscine de Karlsruhe
(suppl. 10 E) Vendredi 19 février : sortie luge à la Bresse (suppl. 10 E)
• Inscriptions, renseignements : Permanences les mercredis et vendredis soir de 17h à 19h et sur rendez-vous les mardis et jeudis de 17h à 19h.
Programme pour les 15 ans et + :n La permanence “coup de pouce lycéen”Permanence d’aide scolaire pour les lycéens chaque mer-credi durant les périodes scolaires avec la participation de professeurs de mathématiques et d’étudiants américains.Participation gratuite, mais adhésion à l’ARES obligatoire.Entre 16h et 18h, salle Mozart, ARES, 10 rue d’Ankara.
n Des accueils dynamiquesOuverture du Club Jeunes les mercredis de 18h à 20h, les lundis et vendredis de 19h à 21h pour discuter, débattre, rencontrer des intervenants et monter des projets.
n Une permanence d’accompagnementEn partenariat avec Vilaje, venez nous demander un soutien pour la réalisation de vos projets personnels (job d’été, recherche de logement...) les jeudis de 12h à 14h.Le Club Jeunes déménage !En vue du début des travaux pour le nouveau bâtiment, nous allons déménager le contenu du Club Jeunes vers l’ARES 35. Un grand chantier en perspective auquel nous souhaiterions vous associer.
• Inscriptions, renseignements : 4 [email protected]
n pour les familles Le Secteur Vie Sociale et Familiale vous propose :• des “Cafés-rencontres” pour les parents et les grands-parents qui souhaitent s’informer, échanger et débattre sur les relations parents-enfants, la vie de famille...
Jeudis 25 février et 25 mars de 14h à 16h à l’ARES’Edel - 16 rue Edel
Et jeudis 4, 25 février et 11 marsde 18h à 19h à l’ARES - cuisine du Tambourin
Intervenante : Elisabeth Dupeux-Weber, Conseillère Conjugale et Familiale de la Mutualité Française d’Alsace.• des ateliers parents-enfants :
Mercredis 3, 10 et 24 février de 14h à 16h30 à l’ARES’Edel - 16 rue Edel.
Pour découvrir des jeux, participer à des ateliers bricolage ou cuisine, préparer un goûter et organiser des sorties.• Inscriptions, renseignements : 4 [email protected]
Après-midi “boule de neige” !
Thé dansant .
Paso doble, valse, tango... que virevoltent les robes et les jupes au son d’une musique entraînante !
Musicien : Gilbert Moser
Vendredi 5 février à 14hn Tarifs : 5,50 E - 4 E pour les adhérents ARES
Une collation sera offerte à 16h aux participants.
Envie de culture ?AU TAMBOURIN / Scène Esplanadienne de Culture
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Concert .
Autour de Jean-Sébastien Bach
Chantal Baeumler_viole de gambeEva Valtova_clavecin
Marc Hervieux_flûte à bec
Intime dans la formation, concertant dans une conversation à trois, entre flûte, viole de gambe et clavecin, ce programme met en scène des modes d’écriture et des modes de jeu différents. On pourra entendre des sonates où la partie mélodique confiée à la flûte est soutenue par le clavecin et viole de gambe dont le rôle de basse continue laisse à l’interprète un espace d’improvisation. La conversation entre ces trois parties écrites confère à ces sonates avec clavecin une impression de densité et de jeu en perpétuel mouvement.
Dimanche 28 février à 11hn Entrée libre_plateau
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• BRIAND_soul http://www.myspace.com/briandsoulD’origine Congolaise, ce jeune chanteur a débuté au cœur de “La source”, puis il s’est laissé guider par les voix du Gospel et du Négro Spiritual (soliste au sein des “High Rock Gospel Singers”). Dorénavant seul sur scène, il offre à découvrir sa voix grave et puissante. Ses textes lui ressemblent, ils sont passionnés, émouvants et sincères.• QRS_rock http://www.myspace.com/qrsmosaik• TOM KOBZ_folk rock http://www.myspace.com/tomkobzTom KOBZ est un groupe de chanson folk mêlant énergie rock et sonorité acoustique. A travers ses textes, Tom KOBZ fait partager son regard sur les doutes et les espoirs de sa génération. • STEREO FUSION_pop-decado-sentimentale http://www.myspace.com/stereofusionmusicStéréo Fusion, premier groupe de pop-décado-sentimentale, sorti d’un manoir enchanté, ravira petits et grands en les transportant dans un monde édulcoré, pailleté sans être pour autant négligé et superficiel.
• RUE DES PUCELLES_pop rock http://www.myspace.com/laruedespucelles“Rue des Pucelles” est une formation récente, dotée d’un répertoire allant de morceaux jazzy au pop-rock, et mettant toujours en avant des mélodies à l’accordéon. • FRANCOIS ESCH_chanson française http://www.myspace.com/francoiseschSeul avec sa guitare, sa voix et son parterre de pédaliers, il tisse les mailles d’un univers sonore subtil et émouvant. Les sons s’entremêlent pour former un écrin à des textes précis dont les airs et les mots vous invitent au voyage, au rêve et à la réflexion sur la vie, l’amour et la condition humaine. • THE DIRTY VIRGIN_rock http://www.myspace.com/thedirtyvirgin• KULCHA K AND THE ELECTRICS_reggae • SUPER SYMPA_hip-hop http://www.myspace.com/mrrien• Association OAZART_slam http://oazart.com/u-bic/ateliers.html• BRUNO_slam http://www.myspace.com/lesoeur
Festival de musicalités diverses.
ARES’Idiv, saison 10 - Samedi 6 mars dès 20hEntrée : 3 E
A l’intérieur :• Ranger les paliers et les cages d’escalier qui peuvent être encombrés de meubles ou d’objets (poussettes, caddies...) empêchant la libre circula-tion des pompiers ou des ambulanciers en cas d’interventions.• Ne pas y stocker de bouteilles de gaz ou autres produits explosifs.• Ne pas confondre les espaces collectifs avec une aire de jeu qui occasionne des courses poursuites à risques pour soi et pour les autres.• Ne pas jeter dans le vide-ordures de produits inflammables ou de mégots qui peuvent provoquer un incendie ; des objets trop volumineux
• Equiper les balcons et les terrasses de rambardes et de treillis de protection qu’un enfant ne peut pas escalader. Des normes précises ont été définies en 1978 : espace maximum entre les barreaux = 11 cmhauteur minimale de la rambarde = 1m.• Les risques de basculer par-dessus la rambarde existent quand un meuble (chaise, tabouret, etc.) est poussé contre elle.• Bien choisir ses plantes d’apparte-ment avec le conseil d’un jardinier ou d’un fleuriste, afin d’éviter les plantes toxiques.
En sécurité chez soi !
Le balcon, la terrasse : pour ne pas tomber de haut
Il y a encore aujourd’hui, en France, de nombreux accidents domestiques. Le plus souvent les victimes en sont les enfants... mais les adultes se blessent aussi ! Voici donc quelques rappels de conseils pour votre sécurité.Et n’oubliez pas que, dès 2 ans, les enfants sont capables de comprendre ce qu’il ne faut pas faire !
Les parties communes : on ne prend pas, on partage
peuvent également le boucher.- Ne pas jeter de bouteilles en verre dans le vide-ordures, préférer le tri des ordures ménagères.• Dans l’ascenseur, accompagner les enfants en bas âge et respecter le bon fonctionnement de celui-ci ; ne pas sauter et respecter la charge maximale.
A l’extérieur :• Respecter les allées et les passages pour voitures, ce ne sont pas des terrains de jeu. Utiliser les aires de jeu car les équipements installés sont appropriés aux enfants.• Laisser libres les voies d’accès réservées aux pompiers et les bornes à incendie.
A vérifier :
• Un plan du sous-sol et du rez-de-chaussée, avec les cheminements (couloirs, escaliers...), les chaufferies, les
conduites de gaz, les transformateurs électriques... doit être affiché dans le hall, près des escaliers et de l’ascenseur.
• Les extincteurs sont obligatoires près de la chaufferie des immeubles construits depuis 1978.
• Afficher dans le local à poubelles la documentation du tri des ordures.
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D’une manière générale, dans les pièces d’eau :
• Débrancher les appareils électriques après utilisation.
• Ranger en hauteur et hors de portée des enfants couteaux, ciseaux et
appareils électriques... mais aussi les cosmétiques et les médicaments.
• Les sols de la cuisine et de la salle de bains sont souvent en carrelage, donc
glissants dès qu’un peu d’eau tombe dessus. Un tapis devant les points d’eau, et
éventuellement un peu de double face aux quatre angles, éviteront les glissades.
Tous les circuits qui desservent un local contenant une baignoire ou une douche doivent être protégés par un ou plusieurs dispositifs différentiels à haute sensibilité :
• Près de la baignoire ou du bac à douche, sont autorisés appareils d’éclairage ou interrupteurs alimentés en Très Basse Tension.
•Au-delà de 60 cm, sont admis appareillages et matériels électriques de classe I et boîtes de connexion.
Tous ces matériels doivent porter la mention NF et être protégés contre les projections et les chutes verticales de gouttes d’eau.
• Dans la baignoire ou la douche, tout matériel électrique (sèche-cheveux, rasoir, téléphone portable, etc.) est interdit.
• Les dangers pour bébé, dans la salle de bains, ne manquent pas. Ne vous éloignez jamais de la baignoire ou de la table à langer et ne quittez jamais bébé des yeux. Equipez la table à langer de poches de rangement.
• Tourner systématiquement le manche de la casserole vers l’intérieur de la plaque de cuisson.
• Ne jamais laisser de casseroles, poêles ou plats sur le feu sans surveillance.
• Mettre une protection sur la porte du four afin d’éviter les brûlures.
• Acheter des produits avec bouchons de sécurité.
• Ne jamais utiliser une bouteille de boisson pour stocker ou conserver un produit ménager.
• Ranger les sacs plastiques.
La cuisine, haute fréquence ! Un accident domestique sur 4
La salle de bains : la vigilance s,impose
• Toujours débrancher le fer à repasser dès qu’on s’en éloigne, afin d’éviter tout accident.
• Ne pas laisser de bougies allumées sans surveillance : elles peuvent provoquer des incendies.
• Eviter les prises électriques surchargées qui peuvent chauffer et provoquer des courts-circuits.
• Débrancher les rallonges électriques branchées mais non raccordées qui peuvent produire des électrocutions.
• Enfermer prises, dérivations et rallonges, autant que possible, dans des plinthes creuses ou des goulottes.
• Les plantes vertes au salon peuvent être toxiques.
• Lors de repas de fête, surveiller les enfants et ne pas les laisser seuls devant des olives, des cacahuètes, des amuse-gueule épicés, des verres d’alcool, des couteaux pointus, etc.
• Eviter de mettre une nappe trop longue sur une table chargée.
• Choisir un lit adapté à l’enfant : assez profond et avec des barreaux suffisamment serrés.
• Proscrire les couvertures électriques.
• Ne pas fumer au lit.
• Respecter les indications portées sur l’emballage des jouets (“ne convient pas à un enfant de moins de 36 mois”).
• Etre très attentif au choix d’un coffre à jouets (couvercle pouvant coincer les doigts, risque de s’y trouver enfermé) et prévoir un système de blocage.
Le»salon et la salle à manger : convivialité à surveiller
La chambre à coucher mais pas sans risques
D’une manière générale, dans les pièces à vivre :
• Fixer les tapis et carpettes avec du double-face.
• Protéger les prises de courant de tout l’appartement par des caches.
• Choisir des meubles stables et des armoires et commodes qui ferment.
En retirer la clef.
• Ranger les jouets, notamment les billes.
• Ne pas mettre de chaises près des fenêtres et installer des bloque-portes.
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SAMU
POLICE
POMPIERS
03 88 37 37 37 Centre ANTI-POISON
03 88 67 44 01 SOS MAINS
Médecin traitant
Numéros d'urgence
Pictogrammes de danger
• Intoxications par des produits ménagers :➜ ne pas donner à boire ni faire vomir.• Brûlures (liquides bouillants, fer à repasser, acides...) :➜ refroidir la partie brûlée à l’eau froide.• Brûlures électriques : contact avec une installation défectueuse (fil dénudé...) :➜ couper le courant ou débrancher l’appareil avant de toucher la victime.• Coupures (couteaux, ouvre-boîte, boîte de con-serve ouverte...) :➜ nettoyer la plaie à l’eau savonneuse, puis avec un antiseptique ; comprimer avec une compresse.• Incendies :➜ en cas d’huile bouillante qui prend feu, étouffer avec un couvercle, ne pas mettre sous l’eau,➜ ne pas raccorder la hotte sur l’aspiration de la VMC.
Les premiers gestes
Détecteurs de fumée :
Il est conseillé d’installer des détecteurs de fumée dans l’habitation. Dans un proche avenir, ce type d’installation (non onéreuse) est destiné à devenir obligatoire.
• Couper l’alimentation principale en eau.• Couper l’arrivée de gaz.• Débrancher les appareils électriques non nécessaires (téléviseur, ordinateur, écrans...) et éteindre le réservoir à eau chaude.• Vider les poubelles.• Laisser un numéro de téléphone et confier un double des clefs à un voisin qui pourra vous joindre en cas d’urgence.
Avant de s'absenter plusieurs jours
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Corrosif Irritant Polluant
Toxique InflammableNe convient pas à un enfant de
moins de 36 mois
• Couper le courant.Le corps humain étant conducteur d’électricité, il ne faut jamais toucher la victime d’une électrocution sans avoir au préalable coupé le courant (interrupteur ou compteur) ou éloigné la victime de la source électri-que à l’aide d’un objet non conducteur (bâton, balai en plastique...).• Si la victime est restée consciente, surveillez son état général jusqu’à l’arrivée des secours.
• Si la victime a perdu connaissance mais respire, placez-la en position latérale de sécurité, puis surveillez son état général jusqu’à l’arrivée des se-cours.Dans tous les cas, il est préférable que la victi-me soit examinée par un médecin, car le courant électrique peut avoir provoqué des brûlures internes.Recommandation : il est souhaitable que chacun se forme aux gestes de premiers secours (Croix Rouge Française).
En cas d'électrocution
En cas d’accident, téléphonez au numéro concerné et décrivez la situation ainsi :
1. Présentez-vous :• Ici madame ou monsieur (votre nom)• J’habite (votre adresse)• Mon numéro de téléphone est le (votre numéro)
2. Précisez qui est la victime et la nature de l’accident :
• Ma femme, mon mari, mon enfant, un ami...• est victime d’une chute, d’une coupure, d’une asphyxie...
3. Précisez l’état de la victime :• conscient ou inconscient, parle ou pas, saigne ou pas...
4. Ne raccrochez pas le premier, faites répéter le message et attendez les instructions s’il y en a.
Comme l’espèce humaine dans son ensemble, la population esplanadienne se compose des deux sexes. Ce que l’on
sait moins, c’est que le mot geste comporte aussi les deux genres.
Honneur au beau sexe, commençons par le féminin – même si cette forme est d’un usage moins répandu (je parle
du mot, pas des personnes, les statistiques démographiques étant suffisamment claires à ce sujet). Substantif dérivé
du verbe latin gerere qui avait le sens de « faire » ou d’« accomplir », la geste a désigné, dès le XIe siècle, les exploits
d’un même héros relatés par une suite de poèmes ; dans un tel ensemble, un poème était qualifié de « chanson de
geste », l’exemple le plus connu de ce genre littéraire étant la Chanson de Roland. Peut-on, pour autant, en déduire
que les gestes de sécurité désignent les récits des exploits de la police ?...
Quoi qu’il en soit, malgré les apparences et une idée largement répandue, l’expression « les faits et gestes », plus
connue de nos contemporains, se rapporte – on le comprendra mieux maintenant – à la forme féminine du mot.
Passons à la variante masculine, la plus répandue, issue du même verbe latin. Mouvement des bras, des mains ou de la
tête, mais aussi action, le geste est apparu dans la langue française au début du XIIIe siècle avec le sens de « façon de
se comporter ». Il peut être beau, mais on peut se demander quels en sont les canons ; précis, mais on est à la limite
du pléonasme puisqu’on sait qu’un précis est une forme de manuel ; auguste, mais cela est à l’opposé de l’attitude
d’un clown ; déplacé, mais on peut s’interroger sur la manière dont on l’a changé d’emplacement !
Enfin, un geste de prévention peut être une attitude de répulsion, mais aussi l’ancienne forme de la mise en
détention provisoire...Jean-Pierre Beck
Sources : Dictionnaire historique de la langue française, Le Robert, 1998 et Le Petit Robert de la langue française, 2006.
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Le Club du Vin Le Club du Vin de l’ARES poursuit son cycle de découverte... et propose de voyager à travers les principaux vignobles de France afin de retrouver les typicités et les différences entre les régions françaises. Regardez, respirez et goûtez votre vin et le jeu des arômes.
Vendredi 05 février à 19h30 à l’ARESBourgogne Côtes de Beaune
Vendredi 26 février à 19h30 à l’ARESLes Trésors du Languedoc Roussillon
Animée par Fabrice Badré, diplômé de l’Université du Vin de Suze-la-Rousse (Drôme Provençale), caviste à Strasbourg.n Tarifs à la séance : 20 E - 15 E pour les adhérents.Sur inscription, à l’accueil de l’ARES.
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé.A consommer avec modération.
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Une info, un renseignement...une seule adresse :
www.ares-le-site.comwww.ares-le-site.com
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Isabelle Waldberg est née à Oberstammheim (Suisse) en 1911 et décédée à Chartres en 1990. Après une première formation de sculptrice à Zurich, elle s’installe à Paris en 1956, où elle fréquentera assidûment le milieu surréaliste (Giacometti, Patrick Waldberg, son mari, Michel Leiris, Georges Bataille). Durant la guerre, elle suivra une partie d’entre eux dans leur exil new-yorkais (Breton, Duchamp, Ernst...) où l’originalité de son art s’affirmera puis se confirmera après son retour en France et sa rencontre avec Brancusi. L’influence de l’art zen, perceptible dans son travail dès les années 70, accentuera encore le caractère poétique et méditatif de sa sculpture.La sculpture présente dans l’allée de l’Esplanade est, malgré sa discrétion et son apparente simplicité, très représentative des questions qui traversent toute son œuvre : oppositions extérieur/intérieur, raide et souple, voilé et dévoilé, organique et inorganique...Ces oppositions s’inscrivent dans la représentation d’architectures intimes et closes (châsses, boites, palais...) :
une armure, cuirasse, bouclier ou carapace protégeant un secret dérobé à nos yeux, une interrogation sur l’intériorité...Une glyptothèque est un musée, ou une collection,
consacré aux sculptures (comme la célèbre glyptothèque de Munich), mais les mots grecs gluptos (pierre gravée) et thek (collection, mais aussi coffre) peuvent également être lus ici comme la présentation d’un coffre mystérieux, une châsse contenant peut-être un secret perdu de la sculpture...
« La sculpture telle que je la conçois se consacrerait uniquement à la création d’objets “intimes” (par opposition à publics), de préférence peu durables et d’une inutilité évidente. C’est sans doute pourquoi je ne suis pas un sculpteur sérieux. »
Alain Allemand
Bibliographie : Michel Waldberg, Isabelle Waldberg, Editions de la Différence
(disponible à la Médiathèque Malraux)
« L’influence de l’art zen (...) accentuera encore le caractère poétique et méditatif de sa sculpture. »
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L’allée de sculptures de l’avenue du Général de
Gaulle
Isabelle Waldberg : une sculpture
poétique
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Carnaval de l’EsplanadeComme vous le savez, cette année l’ARES entre dans une grande période de travaux qui sera marquée
par la démolition cet été du Club Jeunes et du “1001” (bâtiment Arts Plastiques).
Pour marquer cet évènement, notre Carnaval sera sous le signe de la démolition !
Ainsi une énorme “bombe” sera transportée tout au long du défilé qui débutera place de
l’Esplanade où de courtes animations seront proposées.
Durant le trajet, le cortège sera guidé par des musiques venues de divers horizons,
le Brésil et l’Afrique seront de la partie.
Notre “bombe” sera acheminée jusqu’à la place de l’Esplanade où elle fera voler en éclats une
maquette de nos anciens bâtiments.
samedi 13 mars à 14h, place de l’Esplanade
Le trajet du défilé :Départ place de l’Esplanade ➜ Avenue du Général de Gaulle ➜ Rue de Londres ➜ Rue d’Oslo ➜
Rue de Stockholm ➜ Rue Tarade ➜ parc de la Citadelle
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Pour de belles plantes en forme...Les Esplanadiens qui ont parcouru le parc de la Citadelle au mois de janvier ont pu apercevoir une nouvelle “plantation”, installée par les services mu-nicipaux. Cette plantation n’a que peu de rapport avec la botanique ou l’horticulture. Les pratiquants des salles de sport et de fitness auront reconnu quelques-uns des appareils qu’ils peuvent trouver dans leurs salles favorites.Il sera donc possible maintenant aux Esplanadiens (et à tous les utilisateurs du parc) d’agrémenter leur foo-ting de quelques autres exercices, pour maintenir leur forme.A l’autre extrémité du parc, une autre transformation, très attendue, la rénovation de la pataugeoire. A sa place vont être installés des jeux d’eau pour les enfants. Les travaux doivent commencer d’ici quelques semaines pour que ce nouvel espace de jeux soit utilisable dès cet été.La municipalité, en installant ces agrès et ces jeux, répond à des demandes d’habitants. Elle montre ainsi l’intérêt qu’elle porte non seulement à l’entretien du parc pour éviter qu’il ne se dégrade, mais aussi à son amélioration en réponse aux nouvelles demandes des usagers. Il reste à souhaiter qu’elle se penche aussi - pour les restreindre - sur certains usages nocturnes et peu recommandables du parc. Les usagers matinaux du parc apprécient peu les traces qu’ils retrouvent parfois. Et certains parents préféreraient ne pas avoir à répondre aux questions de leurs enfants sur divers objets trouvés sur le sol. Même si le problème n’a pas de solution miracle, il n’est pas impossible de progresser en la matière. Cela aussi peut faire partie d’un programme d’amélioration de la qualité du parc de la Citadelle.
Henri Gaudier
(Dans son numéro du mois de mars, ARES-FLASH détaillera tous ces nouveaux aménagements.)
Dossiers sur le feu...
Prochaines commissions de l’ARES :• Comité des fêtes : mercredi 3 février à 19h
• Bâtiments : mercredis 3 et 17 février à 10h30
• Développement Local : jeudi 4 février à 20h
• Communication : mercredi 24 février à 18h15
3 décembre 1974 - 31 décembre 2009, 35 ans de
présence au 2, place (anciennement Rond-Point) de
l’Esplanade. Après plus de trois décennies, Charles
Sengel a décidé de tirer sa révérence. Charly Coiffure,
salon familial et convivial, était un commerce connu
et reconnu dans le quartier. Charly Coiffure, c’était
aussi une équipe de coiffeurs et coiffeuses unis et à
votre service. « Ce n’est pas sans un pincement au
cœur que j’ai donné mon dernier coup de ciseaux le
31 décembre », a confié Monsieur Sengel. « Une page
s’est tournée, il faut l’accepter. Je remercie tous les
collaborateurs avec qui j’ai pu travailler durant tout
ce temps ainsi que tous les clients et, bien entendu,
les plus fidèles d’entre eux. »
Le successeur ? Vous le connaissez. Il s’appelle
Vincent Schneider. Buraliste avenue du Général de
Gaulle depuis 2005, le président de l’association des
commerçants de l’Esplanade, également successeur
de Charles Sengel à ce poste, s’est lancé dans la
création d’une Maison de la Presse qui devrait ouvrir
ses portes le 15 février. « En ce début d’année, je
lui souhaite tous mes vœux de réussite. Son idée
est intéressante. Il réussira », dixit Charles Sengel.
« Ces encouragements me touchent. Je suis fier de
succéder à Charly et heureux qu’il puisse poursuivre
son métier ailleurs », répond Monsieur Schneider.
Eh oui, à 57 ans, Charles Sengel quitte un quartier
qui lui est cher mais n’est pas encore à la retraite.
Patron-coiffeur depuis ses 22 ans, l’entrepreneur
strasbourgeois poursuit sa carrière professionnelle
au 104, route du Polygone à Neudorf, un salon de
coiffure qu’il a repris en 2005. Un simple transfert de
compétences, en somme.
Charly tire sa révérence
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Capitaine François Trost
Chef du service Prévision du groupement Centre SDIS 67
ARES-FLASH : Que faut-il faire pour devenir sapeur-pompier professionnel ou sapeur-pompier volontaire ?
Cne François Trost : Le sapeur-pompier profes-sionnel est un fonctionnaire territorial de la filière incendie-secours, recruté par voie de concours. Il existe deux concours, celui de sapeur et celui de lieutenant (officier).Une fois lauréat du concours, le candidat doit alors faire acte de candidature auprès d’un SDIS (Service Départemental d’Incendie et de Secours) en adressant une lettre de motivation manuscrite et un CV.Le sapeur-pompier volontaire quant à lui exerce des missions incombant aux services d’incendie et de secours parallèlement à son activité professionnelle ou à ses études.Pour devenir volontaire, il faut notamment être âgé de 16 ans au moins et de 55 ans au plus, jouir de ses droits civiques, répondre aux conditions d’aptitude physique et médicale exigées et s’engager à exercer son activité avec obéissance, discrétion, responsabilité et assiduité.
AF : Quelles sont les qualités requises pour être sapeur-pompier ?
Cne François Trost : Etre sapeur-pompier requiert des qualités physiques telles que l’endurance, l’équilibre et la coordination, et des qualités mentales parmi lesquelles le courage, la ténacité et la maîtrise de soi. Il faut bien entendu avoir le goût du travail en équipe. Enfin, être sapeur-pompier volontaire exige une grande disponibilité.
AF : Quels sont les problèmes spécifiques que posent les immeubles de grande hauteur comme ceux de l’Esplanade, lors de vos interventions ?
Cne François Trost : L’architecture de ces bâtiments rend nos techniques habituelles d’attaque et de lutte contre les incendies et les sinistres inapplicables (établissement de lances, déploiement des grandes échelles). Cela a conduit nos services à s’adapter et
Samedi 16.01.10 16h00 VAUBAN - CHAUMONT
Samedi 30.01.10 16h00 VAUBAN - SARRE-UNION
Dimanche 07.02.10 15h00 JARVILLE - VAUBAN
Samedi 13.02.10 16h00 VAUBAN - ST LOUIS
Si vous souhaitez accompagner le club lors de ses dépla-cements à l’extérieur, vous pouvez appeler le clubhouse au 03 88 61 38 49 ou consulter le site des Pierrots Vauban : www.pierrotsvauban.fr/Coordonnees.htm
Groupe Pierrots VaubanCFA2 Groupe B - Calendrier Saison 2009-2010
L’ARES vous accueille :• à l’année : du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 20h, le mercredi en continu de 9h à 20h et le samedi de 9h à 12h et de 14h à 17h.• pendant les vacances scolaires : du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h.
Les permanences d’associations à l’ARES
• ABCDE (Association Bas-Rhinoise des Chômeurs et Demandeurs d’Emploi) :1 fois par trimestre - Madame Duman au 06 03 13 43 58
• DAL (Droit Au Logement) :tous les samedis matin (sauf vacances scolaires)
à appliquer des procédures d’intervention spécifiques (nombre plus important de moyens matériels et humains, approche et attaque du sinistre, etc.).
Les principales difficultés rencontrées par nos équipes viennent de la complexité de ce type de quartier et de la forte densité d’urbanisation. Il est nécessaire que les secours soient accueillis et guidés rapidement vers les lieux du sinistre. Chacun de ces « immeubles de grande hauteur » compte un grand nombre d’occupants (quasiment la population d’un petit village). De ce fait, les secours peuvent être amenés à prendre en charge beaucoup de personnes. Bien évidemment la hauteur du bâtiment rend l’intervention difficile et éprouvante pour nos personnels. Une fois équipé de sa tenue de protection et de son matériel, chacun de nos agents se voit lesté d’une charge d’environ 25 kg.
Propos recueillis par Martine Olff-Sommer
