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Philippe Ploncard d' Assac LE COMPLOT MONDIALISTE SOCIÉTÉ DE PHILOSOPHIE POLITIQUE

Philippe Ploncard d'Assac - Le Complot Mondialiste

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  • Philippe Ploncard d' Assac

    LE COMPLOT MONDIALISTE

    SOCIT DE PHILOSOPHIE POLITIQUE

  • LE COMPLOT MONDIALISTE

    "On ira ensemble vers ce Nouvel Ordre Mondial".

    "Et Personne, je dis bien personne, ne pourra s'y opposer".

    Nicolas Sarkozy Discours dul 6 janvier 2009

  • I - INTRODUCTION

    Notre poque apparat domine par ce que l'on appelle la mondialisation.

    Elle tend vers l'imbrication de toutes les conomies en mme temps que tout est fait pour faire disparatre les nations, obstacles au vieux rve messianique de la Rpublique Universelle, l'aide de l'immigration-invasion issue de la dcolonisation.

    Livrs au no-colonialisme mercantile qui a pris notre place, confronts la pauprisation, aux guerres tribales et au retour des pidmies, les peuples dcoloniss ne voient d'autre espoir de survie que dans l'immigration vers nos pays europens.

    Par les lgislations antinatalistes et l'immigration impose, le mondialisme tend faire disparatre tout sentiment d'appartenance sous l'avalanche de l'immigration et le mtissage qui en dcoule, fai-sant des immigrs des dracins, agressifs et revendicateurs qui, par leur masse, appauvrissent les pays qui les accueillent.

    Si l'on veut ragir et se prmunir contre la dictature mondia-liste qui s'installe, il faut d'une part savoir ce que l'on a dfendre, au nom de quels principes et d'autre part, connatre les buts et les mthodes du complot mondialiste.

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  • De mme, si l'on veut combattre le mondialisme, il faut com-mencer par dfinir ce qu'est la nation, ce qu'elle reprsente comme soutien et protection du citoyen en socit, ce qui va par l mme, nous amener comprendre les raisons des attaques contre sa souve-

    rainet. Sans ce travail de formation pralable, les Franais, comme

    les autres peuples soumis aux mmes attaques, seront la proie facile des manipulateurs de !'Histoire et ne sauront ragir la diabolisation des ides qui seules peuvent sauver les nations du mondialisme.

    Ce travail de formation passe par la rvision de toutes les ides enseignes par l'cole de la Rpublique sur les vnements cls de notre Histoire depuis la Rvolution dite franaise jusqu' la Hme guerre mondiale, qui expliquent ceux que nous subissons aujourd'hui.

    Sans la connaissance des forces qui tendent dtruire les nations, asservir et mtisser les peuples pour n'en faire que de simples consommateurs sans sentiment d'appartenance, aucune raction n'est possible.

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    II - AUX ORIGINES DE LA FRANCE

    La France ne nat pas en 1789 comme l'affirmait nagure Robert Badinter en 1995 (1 ).

    Pas plus que comme l'affirmait Henry de Lesquen du Plessis Casso, le prsident du trs libral, rpublicain, gaulliste et maon-nique Club de /'Horloge (2), ce qui faisait ragir Arnaud de Lassus, dans sa Note sur le Club de !'Horloge (3) :

    "Le Club de !'Horloge ne serait-il pas une sorte de relais de la franc-maonnerie pour gens de droite" ?

    Ce que Robert Badinter et Henry de Lesquen dfinissent l, ce n'est plus la France, mais une construction idologique abstraite qui nie l'hritage lgu et cherche le dtruire.

    ( 1) Robert Badinter, ancien Garde des Sceaux : "La Nation franaise est ne avec la dclaration des droits de l'homme", Var Matin, 1.12.1995.

    (2) Henry de Lesquen, prsident du Club de /'Horloge, de La Voix des Franais et du Mouvement Associatif pour l'Union des Droites, (MAUD) initiales reprises du nom de sa femme Maud, Lettre d'information du Club de /'Horloge, N40 :

    "La dclaration des droits de l'homme et du citoyen du 26 aot 1789 est l'acte de baptme de la Nation franaise ".

    11 En gestation depuis des sicles, celle-ci n'tait pas pleinement constitue tant qu'on n'avait pas consacr son existence en reconnaissant sa souverainet ".

    (3) Action Familiale et Scolaire, 31, rue Rennequin, 75017 Paris

    -7-

  • Si cela peut se comprendre de la part du no-Franais Robert Badinter dont la communaut a t mancipe par la Rvolution, cela se comprend moins de la part d'un descendant d'une aristocra-tie cre pour services rendus au Roi et au pays, non la Rvolution.

    Elle ne nat pas non plus comme le voudrait la Nouvelle Droite, athe (4) dans les chnes, sous la faucille des druides cueil-lant le gui, ni d'une prtendue civilisation hyperborenne ( 5), pas plus que d'un mythique dieu Thor .

    Qu'est-ce donc que la France ? La France, la plus ancienne nation constitue, nat en 496

    avec le baptme de Clovis par St. Rmi. Grce l'influence de sa femme Clotilde, "brlant ce qu'il

    avait ador, et adorant ce qu'il avait brl" ce nouveau Constantin devient le protecteur du catholicisme.

    Le meilleur exemple de ce rle, est son action contre l'aria-nisme, hrsie diffuse par le moine Arius, qui infestait jusqu'aux plus hautes sphres de l'glise.

    Ainsi se ralise l'alliance entre un dessein politique et un plan divin, qui commence avec la promesse de Tolbiac, se concr-tise par le baptme de Clovis et se perptuera par le sacre des rois de France Reims, confirm par la conscration de la France au Sacr Cur par Louis XIII en 1682.

    Ses successeurs croiront pouvoir s'en passer et partir de l, la chute sera rapide.

    (4) Tel le GRECE d'Alain de Benoist, (alias Fabrice Laroche, alias Robert de Herte), athe, europiste et sotrico-gnostique, crypta-maonnique, aux nostal-gies homophiles de Sparte et d1Alexandre, pour certains de ses membres.

    (5) Thse dfendue par Dominique Venner. Histoire et traditions des Europens, dit. du Rocher.

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    On peut ainsi voir une mission divine de la France monar-chique, France, Fille ane de l'glise; France, Nouvel Isral du Nouveau Testament, de la Nouvelle Alliance (6) qui l'a protge tant qu'elle est reste fidle l'engagement de Clovis.

    C'est dans ce contexte de son mergence et du rle qu'elle va tre amene jouer, qu'il faut voir et comprendre le complot qui allait aboutir la Rvolution dite franaise et, au del, au mondia-lisme destructeur de notre entit nationale.

    Il apparat ainsi, que tant que la monarchie franaise est res-te fidle aux principes constitutifs qui l'avaient cre, elle s'est dveloppe, devenant la premire puissance au monde.

    partir du moment o la socit monarchique cesse de dfendre ses principes constitutifs, cesse d'tre fidle sa mission, la France entre en dcadence.

    C'est l'volution fatale et logique de toutes les structures humaines qui s'abandonnent :

    Familles, nations, empires, mais aussi journaux, partis, jusqu' la partie humaine de l'glise.

    Ds lors qu'elles cessent de dfendre les principes qui les ont fait natre, cessent d'tre fidles leur mission, elles priclitent.

    Ainsi, s'il ne faut pas croire au prtendu "sens de !'Histoire" invoqu par nos adversaires pour donner l'impression de la fatalit de l'volution du monde afin de dcourager toutes ractions, par contre il y a une logique de !'Histoire, par logique des principes.

    En effet, partir du moment o certaines ides sont au pou-voir, elles vont drouler logiquement leurs consquences, bonnes ou mauvaises, selon l'adquation ou non des principes qui les inspirent avec l'ordre naturel.

    ( 6) Saint-Pie X, 29.11.1911 : "France fille ane de l'glise, nation prdestine, vase d 1lection ".

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  • C'est pour cela que l'on peut dire avec le prsident Salazar que "la politique est une philosophie en action".

    Voil pourquoi il faut tre trs attentif aux principes qui ins-pirent l'tat.

    Dans notre combat contre le complot mondialiste, maon-nique et cosmopolite, il faut bien voir que derrire l'apparence de ''patriotisme" des conjurs de la Rvolution, vont transparatre les vritables buts des hauts initis :

    Dtruire la France monarchique et catholique, condamne pour ce qu'elle reprsentait et prner la Rpublique universelle, athe, avec entre autres, les juifs et francs-maons Adam Weishaupt et Anarcharsis Kloots (7), (8).

    Cette dmarche devait fatalement aboutir ce que nous vivons aujourd'hui, dernire tape du complot mondialiste :

    La disparition des nations en tant qu'entits souveraines, remplaces par un gouvernement mondial de plus en plus loign du citoyen, livr sans recours cette dictature anonyme, cosmopolite.

    Derrre le pseudo patriotisme invoqu par les conjurs appelant les citoyens dfendre, comme ils disaient, "la Patrie en danger" (7), ce n'est pas la Patrie qui tait en danger, mais la Rvolution, d'o le mot rvlateur de Robespierre au procs de Louis XVI:

    "Si Louis est innocent, 'en est fait de la Rvolution''. Pour liminer leurs adversaires, les rvolutionnaires avaient

    besoin de les faire har du peuple en les prsentant selon leur logo-machie, comme des "ennemis du peuple" ou des "tratres" la Nation.

    Cela justifiait leur massacre.

    (7) P. P. d'Assac. Le Nationalisme franais. dit. S.P.P. (8) P. P. d'Assac. La Maonnerie. dit. S.P.P.

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    Prs de 150 ans plus tard, /'puration gaullo-communiste allait reprendre la mme recette, pour les mmes raisons, avec la mme efficacit, avec les mmes forces sous-jacentes.

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  • III - FACE LA RVOLUTION, LA RACTION NATIONALISTE

    Dans ses Mmoires pour servir /'Histoire du Jacobinisme (!), parus en 1797, l'abb Augustin Barruel rapporte un texte du grand initi Adam Weisshaupt, fondateur de la secte maonnique des Illumins de Bavire.

    Ce texte saisi par la police du Grand lecteur de Bavire, fai-sait partie d'une correspondance de Weisshaupt ses conjurs.

    Elle contenait ses recommandations pour l'agitation rvolu-tionnaire toujours valables jusqu' nos jours et Weisshaupt y divisait les hommes de son temps en deux groupes :

    "Ceux qui" comme lui, ''professaient l'Amour gnral, uni-versel", qu'il opposait " ceux qui professaient l'Amour national ou nationalistes" (1 ), qu'il recommandait de combattre.

    C'est donc un ennemi de la nation, juif et franc-maon qui cre le terme Nationaliste, pour dsigner ceux qui s'opposent leurs menes rvolutionnaires universalistes.

    (1) A. Barruel, Mmoire pour servir !'Histoire du Jacobinisme, Londres 1797; Rdition par les Edit. de Chir. On regrettera l'trange Prface de Ch. Lagrave

    qui dprcie la valeur des documents de l'ouvrage qui drangent la maonnerie.

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    Ainsi, ds l'Avant-Rvolution, le Nationalisme est consi-dr par les agents de la Rvolution comme contre-rvolution-naire, dfenseur de l'identit, de l'hritage et de la prennit de la Nation, face l'Amour gnral, universel que prnait Weisshaupt.

    Amour gnral qui prfigurait le mondialisme cosmopolite au nom de leur utopique Rpublique Universelle, dont "l'Europe communautaire n'est qu'une tape" (2).

    Pourtant, cette raction nationaliste, dnonce par Weisshaupt, n'tait pas encore structure, conceptualise et la socit monarchique ne l'aide en rien dans son opposition aux "ides nouvelles" qui vont dtruire la monarchie.

    Cette raction nationaliste est avant tout un tat d'esprit qui s'inquite des sophismes rvolutionnaires, qui ne se reconnat plus dans cette nouvelle France idologique athe, aux fondements dia-mtralement opposs ceux de la France catholique.

    Ce qu'il faut bien comprendre c'est que lorsque les rvolu-tionnaires en appellent au peuple pour sauver "la Patrie en danger", ce n'est ni par nationalisme (3), ni par patriotisme, car il ne s'agit plus de la mme patrie que prcdemment.

    Ce n'est plus la patrie chamelle, la terre des pres, inspire par l'esprit des pres, difie par les gnrations antrieures qui nous l'ont transmise.

    Dsormais, c'est une construction idologique qui fait "du pass table rase" comme disaient les conjurs (4).

    (2) Selon 11expression de Jean Monet, l'un des 11pres 11 de l'Europe. cf. 24. (3) Ineptie de Jacques du Perron, dans Prsent, 15.6.06. Pour lui "le nationalisme est rvolutionnaire", au sens de la Rvolution, alors

    qu' aucun moment les conjurs, ni leurs hritiers, n1ont utilis ce terme pour dfi-nir leur action.

    (4) Siys.

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    Cette nouvelle patrie idologique, est ouverte tous ceux qui

    acceptent les ides nouvelles quelle que soit leur nationalit.

    Elle est par contre ferme aux Franais qui refusent les nou-veaux prmc1pes.

    Ils en sont exclus, rejets, guillotins, ils ne font plus partie de la nouvelle communaut, issue de la Rvolution.

    Par contre tout tranger qui adhre l'idologie nouvelle, est "franais".

    C'est ainsi que le Juif prussien Anarcharsis Kloots est fait citoyen franais par la Convention, aprs la publication de son livre intitul La Rpublique universelle ...

    Les alles de la Rvolution sont encombres d'trangers, Cagliostro alias Joseph Balsamo, Franklin, Marat, Necker, Weisshaupt, Kloots, Ramsay, pour ne parler que des principaux conjurs, sans compter les nombreux isralites et protestants, de France et d'ailleurs, qui se mlent l'agitation rvolutionnaire et la financent.

    Chaque poque a ses Cohn-Bendit, ses Badinter, ses Strauss-Kahn, ses Veil, ses Rothschild et aujourd'hui ses Sarkozy ... !

    De ce processus rvolutionnaire va merger un autre type de nation, la nation idologique, qui s'oppose la nation traditionnelle, et tend la dtruire.

    Ainsi deux concepts de la nation s'affrontent dsormais : D'un ct la Nation hritage, qui reprsente tout l'acquit

    intellectuel, moral, spirituel, artistique, territorial, dvelopp pro-gressivement par les gnrations prcdentes.

    C'est--dire, tout ce qui a faonn la personnalit particu-lire de la France, qui fait qu'elle est unique et diffrente de toutes les autres nations, comme un individu est unique et diffrent de tout autre.

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  • C'est ce que dfend le nationalisme en raction aux ides nouvelles, internationalistes et anti-catholiques.

    De l'autre, cette nouvelle patrie artificielle, la Nation contrat, qui refuse et hait l'hritage national.

    Elle lui substitue une nouvelle nation faite d' individus qui n'ont de commun que leur adhsion l'utopie rvolutionnaire, inter-nationaliste, quelque soit leur pays d'origine.

    Ds lors la nation n'est plus un hritage que l'on se doit de prserver et de transmettre.

    Elle dpend de la volont populaire, et au nom de la sacro-sainte utopie dmocratique, peut tre mise aux voix et disparatre par volont populaire ...

    Dans cette optique, l'appartenance nationale ne dfinit plus l'individu, ce qui le dfinit dsormais c'est l'idologie.

    On comprend ainsi que, dans cette logique, la nation hri-tage ne peut que disparatre puisqu'elle n'est plus, ni le cadre, ni la rfrence du citoyen.

    Il devient dsormais un citoyen du monde et de ce fait, la nation n'a plus de raison d'tre.

    Telle est la logique interne, destructrice, du mondialisme.

    Nous voyons aujourd'hui l'aboutissement de cette alination. Voil contre quoi ragissaient des contemporains de la

    Rvolution dite franaise, entranant la mise en garde du franc-maon Weisshaupt envers leur raction nationaliste (5).

    (5) Philippe Plancard d'Assac, Le Nationalisme Franais, Origines, Doctrine, Solutions, dit. Socit de Philosophie Politique,

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    IV - UNE SOCIT DCADENTE

    Si cette raction nationaliste merge d'hommes forms par les principes de la monarchie de droit divin, elle n'en mane pas pour autant de la socit monarchique de l'poque.

    La dcadence morale et spirituelle de l'poque la laisse ds-arme face aux ides nouvelles quand elle ne pactise pas, par na-vet, par lchet ou consciemment, avec les ides nouvelles.

    Elle se laisse aller, ne dfend plus les principes qui l'avaient fonde.

    On connat la fameuse anecdote sur le comte de Laurageais, revenant d'Angleterre, auquel Louis XV, le voyant rapparatre la Cour, lui demande :

    "Tiens Laurageais ? O tiez-vous" ?

    Et Laurageais de rpondre : "J'tais en Angleterre, Sire" et "qu'y faisiez-vous donc"

    s'tonne Louis XV. ''J'apprenais penser, Sire". "Les chevaux" ? lui rtorque moqueur le Roi (1 ).

    (!) Jacques Ploncard d'Assac, Le Secret des Francs-maons, dit. de Chir. Jeu de mots entre penser, rflchir et panser les chevaux.

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    Cette anecdote dfinit parfaitement comment une certaine aristocratie de Cour, un certain clerg et une certaine haute bourgeoi-sie ambitieuse, se sont fait capter par les "ides nouvelles", maon-niques, importes d'Angleterre, croyant devenir intelligents en agitant les sophismes la mode dans les salons de l'poque, ne comprenant pas o cela allait les mener.

    Cela d'autant plus qu'ils taient aveugls par leurs ambi-tions, croyant s'lever en abaissant la monarchie.

    Telle fut la grande astuce de la maonnerie.

    Leurs ttes commencrent par tourner avant que de tomber sous la lame du "bon" docteur Guillotin.

    Ainsi va le soi-disant "sens de !'Histoire" avec la btise de beaucoup et la malignit d'une minorit qui mne les vnements.

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    V - LA PRISE DE CONSCIENCE NATIONALISTE

    Tant que la monarchie incarnait l'indpendance nationale, restait fidle ses principes constitutifs, protgeait les plus faibles des oligarchies de l'poque au travers du systme corporatif et des corps intermdiaires, la raction nationaliste n'avait pas de raison d'merger.

    Mais partir du moment o la monarchie cde face aux ides de la Rvolution, o une certaine haute aristocratie "initie" pactise, comme Philippe Egalit, avec les agioteurs de la finance anglaise, juive et protestante de l'poque, qui accaparent les biens de consom-mation pour en faire monter les cours et, par voie de consquence, la colre populaire, ds lors la raction nationaliste, qui inquite Weisshaupt, va merger par dfaut de la monarchie qui a dmis-sionn de son rle.

    La raction nationaliste merge ainsi, en raction aux ides nouvelles qui nient la patrie et les principes lgus et du fait de la carence de la socit monarchique qui ne se dfend plus, qui ne sait plus que dire, telle la du Barry, sur l'chafaud :

    "Encore une minute monsieur le bourreau" . . . ! La raction nationaliste apparat ainsi comme la rgence de

    la monarchie, par dfaut de celle-ci.

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    Joseph de Maistre qui avait t franc-maon, "martiniste" (1) et qui en tait sorti, comprenant quoi allait aboutir le complot maonnique, a parfaitement cern, ce qui tait sous-jacent la Rvolution :

    "Jusqu' prsent, crivait-il son ami le vicomte de Bonald, les nations ont t tues par conqute, c'est--dire par voie de pn-tration, mais il se prsente ici une grande question :

    "Une nation peut-elle mourir sur son propre sol, sans trans-plantation, ni pntration, uniquement par voie de putrfaction, en laissant parvenir la corruption jusqu'au point central et jusqu'aux principes originaux et constitutifs qui font ce qu'elle est" ? (2).

    Cette interrogation dfinit parfaitement le processus qui commence la Rvolution et qui va aboutir la disparition pro-gramme des nations, si les peuples ne ragissent pas.

    Elle est l'origine de toute l'analyse nationaliste, jusqu' nos Jours.

    Barruel avait parfaitement compris la nature du faux patrio-tisme rvolutionnaire et sa critique du cosmopolitisme des conjurs vaut pour tous les temps :

    "Cet Amour universel, que prnent les hauts initis de la maonnerie, est le manteau de la plus odieuse hypocrisie".

    "Il ne prtend aimer tous les hommes galement que pour se dispenser d'en aimer un seul vritablement".

    "Il dteste l'amour national parce qu'il hait les lois des nations et celles de sa patrie".

    "Il dteste jusqu' l'amour de la famille et il y substitue l'amour universel".

    "li nous dit aimer tout d'un ple l'autre pour n'aimer rien autour de lui ".

    (!)P. P. d'Assac. La Maonnerie, dit. S.P.P. (2) P. P. d'Assac. Le Nationalisme franais. dit. S.P.P.

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    "Voil ce que c'est que nos cosmopolites " crivait Barruel dans ses Mmoires pour servir /'Histoire du Jacobinisme (3).

    Cela peut paratre bien loin et pourtant c'est l que se trouve la gense de ce que nous voyons et subissons aujourd'hui.

    (3) Londres 1797; D.P.F. 2006,

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  • VI - LE COMPLOT MONDIALISTE

    La dclaration de Roger Leray, Grand Matre du Grand Orient de France au Convent de 1968 ( 1 ), dmontre la prennit et la poursuite acharne du complot mondialiste :

    "Il y a deux cents ans, le chevalier de Ramsay a annonc la Rpublique universelle.

    "Depuis inlassablement, les francs-maons du monde entier participent son dification", rappelait-il.

    Aujourd'hui, les conjurs du mondialisme le proclament ouvertement, tel le financier juif amricain Paul Warburg, qui affir-mait devant le Snat des tats-Unis, le 17 fvrier 1950:

    "Nous aurons un gouvernement mondial, que cela plaise ou non".

    "La seule question est de savoir s'il sera cr par conqute ' ou par consentement".

    Thme repris vingt ans plus tard par un autre grand de la finance cosmopolite, le baron Edmond de Rothschild (2), dclarant :

    "Le verrou qui doit sauter, c'est la nation". Voil ce que l'on cherche nous imposer avec l'Europe corn-

    . munautaire supranationale, pour dtruire les nations europennes.

    (1) Humanisme, juillet 1969 (2) Entreprise, 18.7.1970

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    Cela sous prtexte de constituer une force capable de s'oppo-ser aux intrts amricains, or c'est tout le contraire que l'on constate.

    Plus on dtruit les souverainets nationales, moins l'Europe communautaire cense prendre le relais, rsiste aux ordres de Washington et plus elle s'engage dans les guerres voulues par le mondialisme cosmopolite dont les tats-Unis sont le bras arm.

    Il est regrettable, dans ce contexte, que des hommes qui pr-tendent combattre le cosmopolitisme, rvent d'une Europe-Nation, base sur un rgionalisme folklorique.

    Ils ne font que le jeu du mondialisme et se comportent comme des "compagnons de route" de celui-ci (1).

    Cette Europe supra-nationale, n'est qu'un prtexte pour faire accepter aux peuples d'Europe leur abandon de souverainet.

    Dj en 1976, le mondialiste Jean Monnet, homme des Amricains, dvoilait dans ses Mmoires, le but poursuivi :

    "La Communaut elle-mme, crivait-il, n'est qu'une tape vers les formes d'organisation de demain".

    Cette dclaration devait prendre tout son sens lorsque la revue de la Grande Loge de France (2), proclamait :

    "Les francs-maons du Grand-Orient ne sont pas les seuls prner la destruction des nations, ceux de la Grande Loge de France tiennent le mme langage".

    "La construction d'un espace europen n'est, pour les maons, que le prcurseur d'un espace universel, d'une Terre-Patrie".

    ( 1) P. P. d'Assac. Enqute sur la Nouvelle-Droite et ses " Compagnons de route" . dit. Socit de Philosophie Politique.

    (2), Points de Vue Initiatiques, N72, 1989

    -24-

    On voit ainsi que l'utopie mondialiste de la Rpublique uni-verselle n'a pas cess d'tre en marche depuis les prmices de la Rvolution dite franaise.

    De Ramsay, Weisshaupt, Kloots, on aboutit Monnet, Rothschild, Warburg, annonant "un gouvernement mondial", impos au besoin "par la force".

    Aujourd'hui, la connivence d'un Nicolas Sarkozy avec le mondialisme clate lors de son discours devant l'Assemble gn-rale de l'ONU en octobre 2007 :

    "Au nom de la France, j'appelle tous les tats se runir pour fonder un nouvel ordre mondial du Xl(Jme sicle" (2).

    Et dans la lettre de mission envoye le 27 aot 2007 son ministre des Affaires trangres, Bernard Kouchner, d'origine juive comme lui, Nicolas Sarkozy crivait :

    "C'est en dfinitive vers un "ministre de la Mondiali-sation" que nous vous demandons de faire voluer notre outil diplo-matique" (3).

    Et dans son discours du 16 janvier 2009, Nicolas Sarkozy avertissait menaant :

    "On ira ensemble vers ce Nouvel Ordre Mondial". "Et personne, je dis ben personne, ne pourra s '.Y opposer". Qu'est-ce cela, sinon l'invocation la mythique et messia-

    nique Rpublique universelle ? ! Il oublie simplement que le propre des utopies est de s'effon-

    drer, car elles portent en elles les germes de leur autodestructtion.

    (3) La Politique N 77. Novembre 2007.

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  • VII - LE MONDIALISME, PARAVENT DE LA HAUTE FINANCE COSMOPOLITE

    Pour parvenir faire accepter le projet de dictature mon-diale, les conjurs de ce gouvernement mondial anonyme utilisent le rve de tout homme vivre en paix.

    partir du moment o il n'y aurait plus qu'une seule entit, qu'un seul gouvernement mondial, une fois les nations disparues, on entrerait dans une re de paix.

    Paix garantie, impose par la force d'une entit supranatio-nale qui ferait tenir tranquilles ceux qui ne se soumettraient pas.

    Leur dialectique peut se rsumer ainsi : "Pour avoir la paix, faisons disparatre les nations, causes

    de guerre". Qu'un tel sophisme puisse troubler les esprits dforms dans

    les loges et arrires loges, quoi de plus normal quand l'on connat le travail de dstructuration intellectuelle auquel sont soumis les nafs qui s'y aventurent.

    Sophisme qui ne rsiste pas la ralit du sentiment natio-na!.

    En outre, le mondialisme messianique dans sa volont de dtruire les nations, de fondre les cultures et les religions dans un syncrtisme universel, est responsable de guerres de plus en plus sanglantes.

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    Belle paix que voil !

    La mondialisation des conomies, toutes interdpendantes les unes des autres, la suppression impose des frontires pour favo-riser la mobilit des capitaux et ainsi les trafics de la haute finance internationale, entranent des consquences incalculables.

    C'est le cas des dlocalisations, qui aggravent le chmage et dtruisent des pans entiers du savoir faire national.

    Aujourd'hui la finance mondiale ressemble un bateau o, sous prtexte d'allger la structure et favoriser la libre cir-culation, on aurait supprim les cloisons tanches conues pour viter que le navire soit envahi par l'eau d'une brche et coule.

    On en a vu les consquences avec les monumentales escro-queries de Enron et World Cam., celle de Vivendi de la paire Messier-Bronfmann, celles des manipulations de Georges Soros ...

    Celles des "edgesfunds" et des "subprimes" jusqu'au krach de l'automne 2008, comme nous verrons plus loin.

    Ces placements bancaires trs hauts risques, fragilisent les marchs mondiaux et ruinent des centaines de milliers de petits pargnants, sans que les banquiers aient rendre gorge.

    C'est cette finance artificielle, sans cloisons de protection, qui fait s'crouler les bourses mondiales.

    On juge de la mentalit mondialiste de ces financiers, par la dclaration d'un J-M.Messier, qui proclamait :

    "La spcificit culturelle franaise est morte" (1 ). Il avait t responsable des 50% de pertes de Vivendi Univer-

    sal, 13 milliards d'euros en 2001. Plus une dette de 34 milliards !

    (!)La Politique, N9, janvier 2008

    -28-

    Cela ne l'a pas empch de bnficier d'un trs luxueux appartement New York pay par les Bronfman et d'obtenir 10 mil-lions d'euros d'indemnits et des garanties contre toutes poursuites que pourraient lui intenter ceux qu'il a ruins.

    Effectivement en fvrier 2010 le Tribunal fdral de New-York l'a acquit alors que la firme tait condamne ... ! (4)

    Tel est l'homme de paille, intouchable, des Bronfman qui ont mis profit la chute du titre pour les racheter bon compte.

    Rappelons que la tribu Bronfrnann qui avait fait fortune avec la contrebande d'alcool du temps de la prohibition (2) dicte aujourd' hui sa loi par l'intermdiaire du Congrs juif mondial dont l'hritier Edgar, est le prsident et les Suisses l'ont appris leur dpend ...

    Les consquences de ce capitalisme apatride sont telles que Jean-Claude Trichet, prsident de la Banque centrale europenne, dnonait le 11 septembre 2007 devant la Commission des Affaires conomiques et montaires du Parlement europen :

    "Le degr de complexit de certains produits (financiers) conus dans le but de vendre des instruments de dette", "le formi-dable accroissement de la sophistication des instruments financiers" et "le rle trouble des grandes agences de notation" (3) !

    C'est l dnoncer le rle des grandes firmes Goldman-Sachs, Lehman Brothers, entre autres, qui font monter et descendre les cours selon les intrts de la Haute finance cosmopolite ... !

    force de jouer, ce systme financier s'est effondr l'automne 2008, victime de montages artificiels frauduleux, par recherche de profits toujours plus grand.

    Et avec, toutes les conomies mondialises.

    (2) La Politique, N13, mai 2002 (3) La Libre Belgique, 12.9.07. ( 4) Le Monde 1.2.1 O.

    -29-

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    Rvlateur de la main mise financire juive sur l'conomie, mondiale, George W. Bush a impos le "no cons" Robert Zoellick de la banque Goldmann Sachs (5), en remplacement son coreligion-naire Paul Wolfowitz, destitu pour concussion, la tte de la Banque mondiale.

    Ainsi avec la nomination de Dominique Strauss-Kahn, au F and montaire international - salaire un demi million de $ par an -avec l'appui de Bush et Sarkozy, et de Ben Bemake la tte de la F ederal Reserve ( 6), la finance mondiale est entre les mains du clan cosmopolite.

    La nomination de la mondialiste Christine Lagarde en rem-placement de Strauss-Kahn, n'y changera rien (7).

    Ce "systme" qu'ils ont instaur commence craquer de par-tout et cela va faire trs mal, avais-je annonc dans la premire di-tion de cette tude en fin 2007.

    Aujourd'hui nous y sommes. Mais peut-tre aurons-nous l, l'occasion d'une redistribution

    des cartes avec l'abaissement de cette puissance financire cosmo-polite.

    (5) Henry Paulson nomm par Georges Bush, Secrtaire aux Finances, est lui aussi un ancien dirigeant de la Goldmann Sachs.

    (6) La Fed n'est pas un organisme d'Etat, mais une structure entre les mains des grands financiers cosmopolites amricains. Cf Annexe 11, p. 148.

    (7) cf. p. 120, (3)

    -30-

    VIII - LA SUBVERSION MONDIALISTE ET SES MTHODES

    Dans sa dmarche de conqute mondiale, le mondialisme cosmopolite et maonnique utilise de bien curieuses mthodes qu'il convient de dmasquer.

    L'un des exemples dmonstratifs est celui des "attentats" du 11 septembre et la premire question que l'on doit se poser est :

    " qui a profit le crime" ? Il faut noter que les premiers commentaires, immdiatement

    aprs les "attentats", les comparaient l'attaque de Pearl Harbor par l'aviation japonaise le 7 dcembre 1941.

    Visiblement, les journalistes et leurs commanditaires qui, comme un seul homme, ont fait ce rapprochement, n'en ont pas mesur toute sa signification.

    En effet, on sait aujourd'hui malgr le silence mdiatique sur les causes et les responsabilits relles de la Hme guerre mondiale, que le prsident Roosevelt tait parfaitement au courant de la prpa-ration de l'attaque japonaise.

    , Elle faisait suite au blocus conomique impos au Japon par les Etats-Unis du fait de la concurrence de l'conomie nippone aux intrts yankees.

    -31-

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    C'est ce que rvle dans ses Mmoires, Henry L. Stimson, ministre de la guerre des tats-Unis de 1940 1945 (1).

    Roosevelt tait parfaitement au courant de la prparation de l'attaque japonaise qu'il laissa faire aprs l'avoir provoque par son blocus conomique et son refus de toutes discussions.

    Il a ainsi laiss massacrer plusieurs milliers de marins am-ricains et leurs familles, en parfaite connaissance de cause pour par-venir ses fins.

    C'est l que le parallle avec les attentats du 11 septem-bre devient intressant, car le pige tendu aux Japonais Pearl Harbor avait pour fonction essentielle de crer un choc mdia-tique motionnel dans l'opinion publique amricaine, jusqu' alors hostile l'entre en guerre des tats-Unis.

    L'Histoire regorge de ces provocations et coups bas des tats-Unis, bras arm du mondialisme cosmopolite, dans leur marche vers la domination mondiale, qu'il convient de rappeler :

    - La guerre avec les Indiens d'Amrique, fut seme de perfi-dies pour les dloger de leurs territoires et les dtruire tout jamais aprs la victoire militaire yankee.

    Loin de l'imagerie chevaleresque et hroque des films de cow-boys, les Indiens furent non seulement parqus dans des rserves, mais dcims par l'alcool et la variole qui infectait les cou-vertures que les vainqueurs leur distribuaient.

    - Mme perfidie, sauvagerie et provocation de la part des Nordistes, lors de la guerre de Scession.

    - Teclmique de provocation, encore plus affine, lors du faux sabotage, le 15 fvrier 1898, du vieux croiseur amricain Maine, en baie de la Havane, imput aux Espagnols par les Amricains.

    (!) Henry Stimson et McGeorges Bundy; On Active service in Peace and War; et J. Bordiot. Une main cache dirige. Librairie Franaise. 1974.

    -32-

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    C'tait le prtexte pour dclarer la guerre l'Espagne et l'vincer de Cuba et des Philippines.

    - Provocation encore, l'assassinat Sarajevo de l'archiduc Franois Ferdinand, futur hritier de l'empire austro-hongrois, par le terroriste juif et franc-maon Prinzip, prlude de la Ire guerre mon-diale.

    - Provocation toujours, l'utilisation de paquebots neutres, transportant des passagers civils, mais aussi, secrtement, du mat-riel de guerre pour l'Angleterre, ce qui ne pouvait que provoquer leur torpillage par les U boots allemands.

    Tel le Lusitania le 7 mai 1915 en route vers Liverpool, Churchill ayant donn l'ordre d'en supprimer l'escorte ...

    Construit par l 'Amiraut anglaise, il figurait selon l'historien anglais Michael Glover (2), comme croiseur auxiliaire ...

    L'motion suscite par ces torpillages, allait tre, selon le schma habituel, le prtexte l'entre en guerre des tats-Unis contre l'Allemagne, comme l'a rvl Henry Bames (3).

    - L'assassinat de l'attach de l'ambassade d' Allemagne Paris, Ernst von Rath, le 7 novembre 1938, par le terroriste juif Herschell Grynszpan.

    Cet assassinat allait aggraver les tensions entre le IIIme Reich et le monde juif, d'o la fameuse "nuit de cristal", allusion aux vitrines de magasins juifs dfonces par les manifestants.

    La provocation de cet assassinat s'ajoutait au blocus cono-mique de l'Allemagne, impos ds 1933 par la haute finance juive, et anglo-saxonne, prmices la Hme guerre mondiale dclare par l'Angleterre et la IIIme rpublique ... (4).

    (2) Le Tlgramme, 28.6.08, cit par Rivarol, 28.7.08. (3) H.Barnes. The Genesis of War, A. Knopf, New York, 1926. ( 4) cf. Annexe. J, p. 41.

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    - De provocations en guerres programmes comme on l'a vu avec le pige tendu par Roosevelt Pearl Harbor, la bombe ato-mique servira rayer de la carte les villes d'Hiroshima et Nagasaki, villes majorit catholique du Japon.

    Ce programme - nom de code S 1 - fut impos, rappelle Alexandra Robbins ( 5) par les membres de la socit secrte des Skull and Bones l'origine de la fabrication et de l'utilisation de la bombe atomique :

    Henry Stimson, secrtaire la guerre de Roosevelt, Archibald MacLeish, Georges L. Harrison, Robert A. Lowett, W. Averell Harriman et McGeorge Bundy.

    - Puis ce seront les guerres de dcolonisation avec la liquida-tion de l'empire colonial franais suite aux promesses de De Gaulle Roosevelt par son discours de Brazzaville en 1943.

    Nous en vivons aujourd'hui les consquences, de mme que les populations "libres" du colonialisme europen :

    Pour elles, les guerres tribales, les famines, le retour des pi-dmies que nous avions radiques, qui les poussent immigrer chez nous pour survivre.

    Pour les nations europennes, la submersion, selon le plan mondialiste, par la dferlante de l'immigration-invasion, multiplie par le regroupement familial instaur par les Giscard d'Estaing et Jacques Chirac, aujourd'hui aggrav par la "discrimination positive" impose par Nicolas Sarkozy.

    Vritable ''prfrence trangre", elle donne le travail des Franais aux immigrs, sous peine de poursuite par la HALDE (Haute autorit de lutte contre les discriminations et pour l'galit) dirige par Louis Schweitzer, envers les particuliers et les entre-prises qui ne s'y soumettraient pas.

    (5) Alexandra Rabbins, Skull & Bones. La vrit sur l'lite secrte qui dirige les tats-Unis, ditions Max Milo, Paris 2005.

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    C'est au point que la HALDE est alle jusqu' envoyer 5620 faux Curriculum vitae diffrentes entreprises franaises, pour tester leur obissance la "discrimination positive" ... ! (6).

    Ce sont l des mesures terroristes que n'auraient pas ds-avoues la Gpou ou autres NKVD sovitique.

    Qui ose encore dire, sans rire, que nous sommes libres !

    - L'tape suivante sera la guerre suscite entre l'Irak et l'Iran. Dpossds de leur mainmise sur le ptrole en Iran par l'ar-

    rive au pouvoir du Dr. Mossadegh en 1951, les services amricains useront de tous les coups tordus pour le dstabiliser, jusqu' lui imputer de faux documents vantant le communisme et dcriant l'Islam ... !

    Renvers par ces manuvres, le Dr. Mossadegh allait tre remplac par une marionnette des tats-Unis, celui que l'on appelle le Shah d'Iran, simple soldat de fortune.

    Il fera poursuivre sauvagement ses adversaires par sa police secrte, la Savak, permettant aux anglo-saxons de retrouver leur mainmise sur le ptrole iranien.

    Son renversement par la rvolution de l'ayatollah Khomeiny en 1978, allait rendre l'indpendance l'Iran face aux intrts ptro-liers anglo-saxons.

    Ce sera la cause de la guerre entre l'Irak et l'Iran, les tats-Unis se servant de Saddam Hussein pour tenter de renverser les mol-lahs iraniens, trop peu souples envers les intrts yankees.

    Aprs s'tre servi de l'Irak, ce sera le tour de Saddam Hussein, victime de la duplicit amricaine.

    Estimant avoir droit quelque gratitude des Amricains, il entreprenait en 1990, de rcuprer le Koweit qu'il revendiquait comme partie intgrante de l'Irak.

    (6) La Politique N 85-86, juillet-aot 2008

    -35-

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    Peu reconnaissants envers les services rendus, les Amri-cains allaient le pousser bout pour justifier la guerre du Golfe :

    - Runion de !'OPEP qui abaisse le prix du brut sans raisons apparentes, ce qui rend plus difficile le remboursement de la dette irakienne, en rduisant sa seule monnaie d'change.

    - clatement du conflit latent sur les nappes ptrolires fron-talires entre l'Irak et le Kowet et l'accs au Golfe.

    C'tait une vieille revendication irakienne. Elle dcoulait du partage artificiel de la rgion par le Foreign

    Office britannique aprs la dfaite de l'empire ottoman alli de l'Allemagne en 14-18.

    Pour les Irakiens, ce partage injuste tait aussi provocateur que le Trait de Versailles pour l'Allemagne en 1918, l'une des causes de la Hme Guerre mondiale.

    Les consquences taient du mme type.

    En fait, ce que rclamait Saddam Hussein au Kowet, l'Arabie Saoudite et aux tats-Unis, pour avoir combattu Khomeiny, c'tait "le prix du sang".

    C'est l que va se placer la deuxime manipulation et la pro-vocation amricaine de Georges Bush pre.

    Saddam Hussein qui veut rcuprer cette province du Koweit estimant qu'on le lui doit bien, demande l'ambassadrice Bagdad, Miss April Glaspie, quelle serait la position amricaine, or cette dernire lui laisse entendre le 25 juillet 1990 que :

    "Les tats-Unis n'interviendraient pas dans cette affaire intrieure" ... mais dans le mme temps l'administration amricaine incite le Kowet repousser tout arrangement avec l'Irak.

    Curieusement, l'ambassadrice amricaine sera "exfiltre" d'Irak avant que ne commence le conflit.

    Par contre les ressortissants amricains et occidentaux ne seront pas pousss au dpart !

    -36-

    Cela fera partie de la justification la guerre contre l'Irak "afin de librer les otages " ... !

    Ce sera le prtexte l' "indignation" des mdias et aussi de la mise en place de la panique organise sur le risque de privation de carburant en Europe, si on laissait faire Saddam Hussein ...

    En outre, pour parer toute tideur, le Snat amricain adop-tait le 10 septembre 1990, une rsolution "avertissant les pays qui ne contribueraient pas assez l'effort contre l'Irak, d'une possible dtrioration de leurs relations avec les tats-Unis "(7).

    De fait, tous les pays occidentaux, dont la France, s'associ-rent pour vaincre ce "danger pour le monde" que l'on agitait aux yeux des trop crdules citoyens.

    On peut juger de la duplicit amricaine et de l'infodation du gouvernement franais, par les rvlations de Pierre Salinger et Eric Laurent (8) :

    "Le 3 aot Saddam Hussein se dclarait prt retirer ses troupes ds le 5 du mme mois" .

    "Un dialogue interarabe tait amorc".

    Or selon Salinger et Laurent, "les Amricains feront chouer les ngociations par l'intermdiaire d'Hosni Moubarak", le prsi-dent gyptien.

    On connat la suite, le 2 aot 1990 les troupes de Saddam Hussein envahissaient le Koweit.

    Immdiatement le montage politico-mdiatique mondialiste se mettait en place pour justifier l'intervention :

    - Prsentait l'Irak comme la quatrime puissance militaire mondiale!

    (7) Le Soir, Bruxelles, 11.9.90. (8) Pierre Salinger et Eric Laurent . La guerre du Golfe, ditions Olivier Orban,

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    - L'affaire dite "des couveuses", montrait la "soldatesque" irakienne renversant les couveuses dans lesquelles se trouvaient nous affirmait-on, "des enfants kowetiens", etc ...

    Bref toute la panoplie des horreurs psychologiquement mises au point depuis la Hme guerre mondiale.

    Prs de six mois aprs la fin de la guerre, on devait appren-dre que ce n'avait t qu'un montage mdiatique d la "collabora-tion", entre l'ambassade du Kowet Washington, le gouvernement amricain et la chane CNN ...

    L' "infirmire plore", prsente comme tmoin, n'tait autre que la propre fille de l'ambassadeur du Koweit.

    Elle n'tait mme pas infirmire ... Du "cinma"! Voil comment se fait !'Histoire, bien loigne des clichs

    moralisateurs anglo-saxons et juifs. Cela se fit au dtriment de nos intrts commerciaux rgio-

    naux, mais qu'importe, la France n'aura pas t montre du doigt par les tats-Unis, tant pis pour les producteurs et industriels franais !

    - Puis ce furent les provocations de Madeleine Albright, ne Korbel, juive tchco-amricaine, ministre des Affaires trangres de Bill Clinton.

    Ce fut le prlude la promotion de l'Islam en Europe, "sous protection amricaine et europenne de la KFOR onusienne" avec la guerre du Kossovo et l'clatement de la Yougoslavie ...

    - "Last but not least", les mensonges inous de Bush et de son entourage juif - Rumpsfeld, Wolfowitz, Perle, Fleicher, etc ... associs l'anglais Tony Blair, allaient pousser la seconde guerre contre l'Irak, au nom de la dmocratie et de la libert ...

    L'expert britannique David Kelly, qui refusait de cou-vrir de son autorit les diffrents faux "forgs" par l'quipe Blair-Bush sur les pseudo armes de destruction massive, tait dcouvert "suicid " le 18 juillet 2003. 1~'

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    Ainsi disparaissait un tmoin peu docile, bien gnant ...

    L'occupation de l'Afghanistan (9) et de l'Irak sous prtexte de lutte contre le terrorisme, allait servir supprimer tout obstacle l'imprialisme du Grand Isral - l'Eretz Isral d'Ariel Sharon - le Grand Moyen Orient de George W. Bush et son clan sioniste.

    C'est ce que Sharon en mai 1993, la Convention du Likoud avait annonc :

    "Isral doit fonder sa politique officielle sur la notion des frontires bibliques".

    Dj en dcembre 1981, il y a prs de trente ans, il avait annonc:

    "Dans les annes qui viennent la sphre des intrts strat-giques d'Isral, ne s'tendra pas seulement aux pays de la Mditerrane, mais elle doit s'tendre l'Iran, au Pakistan, au Golfe, l'Afrique et la Turquie" (10).

    Aujourd'hui avec l'implantation isralienne en Gorgie cela va encore plus loin et le "gouvernement mondial" auquel Paul Warburg appelait, devant le Snat des tats-Unis le 17 fvrier 1950 (10), doit servir l'accomplissement de ce rve messianique.

    Qui dira Je nombre incalculable de morts civils provoqus depuis la cration des tats-Unis par l'hypocrisie moralisatrice pro-testante et juive, vritables crimes bibliques, contre l'humanit, pour des intrts qui n'ont rien voir avec la morale ? !

    Ainsi, le prtexte scuritaire contre le terrorisme sert rduire progressivement les liberts des citoyens.

    Aux tats-Unis avec le Patriot Act et en Europe avec des mesures similaires.

    d (9) Le rsultat le plus tangible est l'explosion de la production d'opium radiqu u temps des talibans. (10) cf. p. 23.

    -39-

  • La hantise d'attentats est insuffle aux citoyens pour les ame-ner abandonner des pans entiers de leur libert, alors que curieuse-ment on n'arrive pas dcouvrir les auteurs des attentats perptrs ou de ceux que l'on nous dit avoir t neutraliss.

    Mme si priodiquement on nous annonce l'arrestation de suspects islamistes, ils sont relchs faute de preuves.

    Alors, terrorisme islamiste ou "terrorisme d'tat" pour mettre les populations en condition ... ?

    C'est la question qu'il faut se poser au vu de toutes les mani-pulations-provocations dj connues.

    Aujourd'hui, aprs que Dominique de Villepin par son dis-cours l'ONU au printemps 2003, ait refus de laisser entraner la France dans la Hme guerre d'Irak, Nicolas Sarkozy s'empresse de s'aligner sur le clan sioniste.

    Il nous engage encore plus dans la guerre d'Afghanistan alourdissant notre dficit financier pour des intrt contraires aux ntres et transforme nos soldats en "chair canon" des intrts mondialistes ....

    Ainsi va l'histoire du monde avec la manipulation des opi-nions publiques par une minorit qui tient les mdias et le monde politique.

    -40-

    Annexe 1

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    Daily Express, 24 mars 1933 : "Le monde juif dclare la guerre l'Allemagne". "Les Juifs du monde entiers 'unissent". "Boycott de l'conomie allemande".

    - 41-

  • IX - LE COMPLOT DU 11 SEPTEMBRE 2001

    Avec de pareils prcdents, on comprend que l'on se soit pos des questions sur les tenants et aboutissants des attentats du 11 septembre (1 ), (2), (3).

    Il est en effet trange qu'une pareille action de "guerre", ait pu chapper aux services secrets amricains et la surveillance par les coutes lectroniques ultra sophistiques du systme chelon.

    On est surpris surtout, que les services secrets israliens, Sin Beth et Mossad, capables d'infiltrer les mouvements islamistes ou palestiniens, et d'assassiner leurs dirigeants, n'en aient pas eu connaissance, non plus.

    Dans ce contexte, l'tude de la Army's School of Advanced Military's Studies, (SAMS), publie le 10 septembre 2001, en pre-mire page du Washington Times, prenait toute sa signification :

    "Le Mossad isralien, sans scrupules, cruel et rus, a la faisabilit de toucher des cibles amricaines en donnant l'appa-rence d'une action arabo-palestinienne ", affirmaient les militaires duSAMS.

    (1) La Politique, N 6, 7, 8, oct., nov., dc. 2001 (2) Faits &Documents. N127, (3) Thierry Meyssan, L'Effroyable Imposture, Carnot, mars 2002.

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    Moins de vingt-qnatre heures aprs avaient lieu les atten-tats et les islamistes taient points du doigt !

    "On" n'avait pas retrouv les botes noires des appareils et "on" n'avait rien vu venir, mais "on" tait capable "instantanment" dans les minutes qui suivaient, de nous dsigner les "responsables" des attentats partis en fume, alors que leur incomptence comme pilotes tait souligne par leurs instructeurs (1 ).

    Ce qui semble indiquer qu'il y a eut utilisation du nom d'is-lamistes inscrits dans des coles de pilotage pour monter l'apparence du complot, mais sans leur participation effective. cf. p. 46.

    N'est-il pas trange, en outre, que l'ancien premier ministre isralien Benyamin Nettanyaou, sans la moindre motion l'ide que nombre de ses coreligionnaires avaient d prir dans les deux tours, se soit immdiatement rjouit :

    "C'est une excellente chose pour nos intrts" .. ! Quant Dan Rubinstein, spcialiste isralien de !'Autorit

    palestinienne, il dclarait (2): "Isral peut faire maintenant ce qu'il n'osait pas encore

    fi . ,, 1 aire .... On est confondu devant ce cynisme tay par le comporte-

    ment de Tsahal dans les Territoires occups, sans aucune raction de rejet de la part des occidentaux.

    Ou devait rapidement savoir par le dcompte des victi-mes, que trs pen de Juifs se trouvaient dans les btiments lors des attentats et la qnestion surgit :

    Pourquoi, alors qu'ils taient trs nombreux dans les branches d'activits reprsentes dans les deux tours ?

    (!) Sddeutsche Zeitung, 1.10.01. Washington Post,19.10.01, (2) Haaretz, 12.9.01

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    Aprs les attentats, la Fox Movietone faisaient tat de l'arres-tation d'nne centaine d'tudiants israliens en arts plastiques, de 22 30 ans qui, "sous couvert de vendre des peintures, contactaient des fonctionnaires de divers ministres travaillant dans diffrents sec-teurs stratgiques aux tats-Unis".

    Parmi leurs cibles, la DEA (Drug Enforcement Administra-tion) l'agence anti-drogue amricaine, les principales agences lies la Dfense et le FBI.

    Fait significatif, tous ces "tudiants" avaient fait leur ser-vice militaire dans les services de renseignements israliens.

    Curieusement la chane Fox qui, du 11au14 dcembre 2001, avait commenc de diffuser les rsultats des enqutes des agents de la DEA, de l'INS (Immigration and Naturalisation Service), du FBI et de !'US Air Force, sur l'espionnage isralien aux tats-Unis, en arrtait la diffusion sur son site.

    On devait apprendre que les diffrents lobbies de pression israliens aux tats-Unis - le Jewish Institute for National Security Affairs, et l'American-Isral Political Action Commitee (AIPAC), taient intervenus ...

    Cependant, prs de 120 de ces curieux "tudiants" israliens, taient expulss ...

    Ainsi, l'avertissement du SAMS prenait tout son sens. De l affirmer que les "renseignements israliens"

    auraient prvenu leurs coreligionnaires de ne pas se rendre leur tra-vail le 11 septembre, il n'y avait qu'un pas.

    moins que ce ne soit pass par les propres services du Dpartement d'tat ?!

    Le cynisme d'Ariel Sharon, ne faisait que confirmer cette thse.

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    Rpondant son ministre des Affaires trangres, Shimon Prs, qui s'inquitait d' ventuelles ractions amricaines suite aux massacres perptrs par l'arme isralienne dans les territoires pales-tiniens occups, Sharon s'tait gauss (3) :

    "Ne vous inquitez pas des pressions amricaines sur Isral".

    "Nous le peuple juif, contrlons l'Amrique et les Amri-cains le savent" ...

    D'autres informations troublantes apparaissaient, telle celle rvle par le site < geonotes @men.net> selon lequel :

    "Les attaques terroristes du 9-11 auraient t orchestres par le Zionist Commando Daniel Lewin, qui aurait vol les passe-ports de plusieurs pilotes arabes et pris l'identit de /'gyptien Mohamed Atta aprs l'avoir assassin".

    On trouve confirmation de cet clairage par le fait que Zacharias Moussaoui dsign par les Amricains comme l'un des auteurs des attaques du 11 septembre, tait en prison depuis le 16 aot 2001 (4) !

    Mme si Moussaoui a plaid coupable lors de son procs le 22 avril 2005 pour avoir la vie sauve (5), cela ne change rien l'im-possibilit matrielle.

    Claude Cheysson, alors ministre socialiste des Affaires trangres, dclarait le 16 septembre :

    "Ben Laden n'est pas capable de monter une action aussi sophistique contre les tats-Unis".

    "Seul un tat est capable de cela" et il ajoutait : "Cet attentat est une catastrophe pour la Palestine".

    (3) Ko! Isral (Radio Isral) 3.10. 2001. (4). Aujourd'hui en France, 6.3.06. (5) Selon la loi amricaine, plaider coupable permet une remise de peine .

    -46-

    Ds lors on comprend pourquoi Dan Rubinstein, spcialiste isralien de !'Autorit palestinienne, dclarait au quotidien isralien Haaretz, 12.9.01 :

    "Isral peut faire maintenant ce qu'il n'osait pas encore faire".

    Outre l'trange absence, ce matin l, du personnel juif dans les deux tours, d'autres faits attirent l'attention :

    - Des ventes massives d'actions d'American Airlines, juste avant le 11 septembre.

    - Les revendications exorbitantes aux assurances de Larry Silverstein qui, peu avant les attentats, avait lou par un bail de 99 ans, les deux tours (6).

    D'o, nouveau, l'ternelle question : qui profite le crime ? l'vidence, Isral, au clan sioniste des Rumsfeld, Wolfo-

    witz, li l'ancien directeur du Budget du Pentagone, l'hypersio-niste Dov Zakheim, Richard Perle, conseiller pour la dfense, ancien salari de la socit isralienne d'armement SOLTAM, etc ...

    Or ces deux derniers avaient t impliqus en 1986 dans l'af-faire d'espionnage militaire isralienne aux tats-Unis avec l'espion Johnathan Pollard.

    En change de fortes sommes d'argent, il avait fourni aux Israliens le manuel de base de la NASA, !'Agence amricaine d'coutes tlphoniques, le RASIN (Radio signal notation) et le SIGINT fournissant les codes d'accs et de cryptage du RASIN.

    C'est ce clan, intimement li Isral qui, utilisant l'motion suscite par les attentats du 11 septembre, a pouss de toutes ses forces la guerre contre l'Afghanistan, puis contre l'Irak.

    (6) Rivarol, 26.10.01.

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    Aujourd'hui il tente d'aller encore plus loin, la Syrie et l'Iran, afin de favoriser les ambitions sionistes "bibliques" du Grand Moyen-Orient, que voudrait imposer G-W Bush et son clan sioniste.

    On peut juger de cette paranoa, par les dclarations de Richard Perle, (Perlemann) (7) exigeant l'poque, la dmission du chancelier allemand Gerhart Schroeder, coupable d'avoir refus de s'associer aux plans de Georges W. Bush.

    Aujourd'hui on sait avec certitude, comme le reconnaissent tous les spcialistes, de Hans Blick Scott Ritter et David Kelly, que les armes de destructions massives n'ont jamais exist, pas plus que les contacts entre Al Qada et Saddam Hussein.

    Tout dans cette affaire du 11 septembre et ce qui s'en suivit n'est que faux semblants en vue des buts atteindre :

    - Le dclanchement de la guerre en Afghanistan, puis la guerre contre l'Irak et le renversement de Saddam Hussein, ancien pion des Amricains,

    - La rduction des Droits civiques aux tats-Unis l'abri de Patriot Act, sous prtexte de lutte contre le terrorisme.

    D'o la dcision du George W. Bush, ds le lendemain du 11 septembre, de confier l'amiral Pointdexter "la responsabilit d'un systme informatique permettant de croiser toutes les bases de don-nes du pays sur les citoyens amricains" (8).

    Or le logo de l'amiral Pointdexter est "une pyramide maonnique avec un globe en son centre".

    Confirmation de cette composante maonnique l'allusion du Grand Matre du G.'.0.'. italien Di Bernardo l'appartenance de George Bush pre aux Skull and Bones, 33me degr, le "Trs Puissant Souverain, Grand Commandeur" ... (9).

    (7) Handelsblatt, 2.10.02, (8) Le Monde, 13.11.01. (9) La Stampa, 23,3.1990,

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    Telles sont les influences qui rgissent la politique mon-diale !

    Cela devenait vident lorsque George W. Bush, membre lui aussi des Skull & Bones (! 0), annoncait la nation amricaine :

    "Ce que nous faisons va dfinir l'avenir du monde pour les cent ans venir" !

    C'est le vieux rve maonnique et messianique de la Rpublique universelle!

    Il y a l toute une opration liberticide, occulte, de domina-tion mondiale.

    Ainsi, l'attribution des attentats du 11 septembre 2001, comme ceux du 11 mars 2004 Madrid et du 11 juillet 2005 Londres, etc ... , aux islamistes, apparat fallacieuse.

    S'ils en taient vraiment responsables, pourquoi les gou-vernements occidentaux continuent-ils imposer l'immigration musulmane, suppose vivier de terroristes islamiques ?!

    , (10) Alexandra Robins, Skull & Bones. La vrit sur l'lite secrte qui dirige les Etats-Unis, Max Milo, ditions, Paris 2005.

    -49-

  • X - NOUVEAUX LMENTS ET QUESTIONS PENDANTES

    Depuis ma premire tude sur ce sujet en 2001 (!), nombre d'lments nouveaux sont venus tayer la certitude d'un complot destin faire accepter aux Amricains, la guerre contre l'Afghanis-tan, puis contre l'Irak, sous prtexte de lutte contre le terrorisme.

    Nombre d'analyses dmontrent les incohrences entre la thse officielle et la ralit :

    Wayne Madsen, officier des renseignements de la US Navy et ancien analyste de la NSA, constate :

    "Aprs plus de cinq ans de discussions au sein de la com-munaut du renseignement, j'en viens la conclusion que les attentats du 11 septembre rsultent d'une opration militaire clan-destine, fortement compartimente, destine la mise en condition aux tats-Unis" et de pointer, avec d'autres spcialistes, les tranges caractristiques de l'effondrement des tours du WTC "d'une dure infrieure 7 secondes"!

    On est frapp aussi par la curieuse disparition l'poque, de certains faits des bulletins d'information, tays par de nombreux documents photo et vido disponibles sur Internet :

    (1) P. P. d'Assac. Nationalisme ou mondialisme, /'Enjeu du !Ilme millnaire.

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    - La dsintgration totale des WTC 1 et 2 en une fine poudre de bton, impossible par le seul fait de la percussion des avions dans les btiments, d'o l'vocation par certains chercheurs, tel Steven Jones, de l'utilisation de puissants explosifs militaires.

    - La prsence de trs fines poussires de fer, apparemment vaporises par les explosions,

    - La projection d'lments de structure de prs de 20 tonnes plus de 200 mtres,

    - La prsence de grandes quantits d'acier fondu dans les sous-sols des WTC 1 et 2,

    - La disparition complte (fondue ou vaporise) d'une presse de 50 tonnes, entrepose au sous-sol.

    - En dpit d'un arrosage continu des dbris sur plusieurs jours, l'acier fumait encore plusieurs semaines aprs les effondre-ments,

    - La trs faible hauteur des dbris, en rapport avec la pulv-risation des lments de bton en fines poussires,

    - L'absence de restes d'quipements de bureaux, mmes tor-dus, attestent de cette pulvrisation, donc de la puissance explosive,

    - La destruction des circuits lectroniques dans un large pri-mtre, ce qui atteste aussi de la puissance du souffle,

    - Les tranges enregistrements sismiques du Earth Observatory de l'Universit de Columbia plusieurs kilomtres des WTC, immdiatement aprs le dbut des effondrements,

    - Un taux anormalement lev de Tridium, mesur sur le site, or le Tridium est le principal sous-produit de la fusion ther-monuclaire.

    Cela amne penser un double aspect des attentats : - Percussion des immeubles par les avions d' American

    Airlines. La partie visible des attentats, - Charges explosives au sous-sol des immeubles, actives

    aprs l'impact des avions. L'aspect occulte des attentats.

    -52-

    La destruction des immeubles apparaissant aux yeux du public comme due uniquement l'impact des avions.

    Ce n'est que la face visible de l'action que l'on a voulu que le public enregistre, mais cette vision ne tient pas l'examen, pour les raisons exposes et en fonction de l'analyse des dbris.

    Il y a eu minage des fondations des deux tours. La question est de savoir avec quel explosif? La prsence de Tridium semble indiquer des charges

    nuclaires, les "mini nukes ", bombes atomiques miniaturises ou des bombes neutron.

    L'vacuation des dbris en Asie ... (!), drogeant aux rgles de conservation des preuves, est minemment suspect et constitue une preuve supplmentaire de la volont officielle de dissimuler la vrit.

    Rappelons encore ces autres faits suspects : - L'trange non intervention de l'aviation de chasse am-

    ricaine entre les diffrentes "attaques", dont le vol 77 d'American Airlines qui, selon la thse officielle, a pu poursuivre sa route sur le Pentagone, sans tre intercept.

    - L'absence de dbris d'avion dans l'attaque contre le Pentagone, comme si, l encore, le trou bant dans un btiment d'une zone non sensible, avait t produit par un explosif ... !

    - Pourquoi le prsident Bush a-t-il continu tranquille-ment sa visite d'une cole, tandis que se droulaient les vne-ments?

    - Comment les services officiels amricains ont-ils pu produire si rapidement les indications sur l'identit des prten-dus pirates et leurs planques si vite dcouvertes, alors que ces mmes services n'avaient rien vu venir. .. ?!

    Aujourd'hui la preuve est faite de l'impossibilit de la des-truction des tours par le seul impact des avions.

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    Seules les tours WTC 1 et 2 ont t frappes tandis que la 7 s'effondrait, "victime", selon la thse officielle, d'incendies de propa-gation, pourtant peu importants.

    Ainsi, l'effondrement des tours serait d l'explosion de charges sous les structures porteuses, beaucoup plus qu' l'im-pact des avions (2).

    C'est la seule faon d'expliquer la fragmentation en pous-sire du bton et non pas en blocs parpills, si l'effondrement n'avait t d qu' l'impact des avions.

    En outre, confirmation de ce que je dmontrais, ds la fin 2001 (3), l'impact des avions s'est faite sous une trajectoire qui confirme que le guidage des avions n'a pu se faire que depuis le sol.

    (2) Jean Dumont. 9.11, L'ignoble vrit. Quand l'inconcevable devient ralit . 21.04.07, http:// byll lfd.bayll l.hotmail.msn.com/ cgibin/getmsg~8D83B48EC288-4D9 et Arnaud de Lassus, Le 11 septembre et la thorie du complot, AFS.

    (3) P. P. d'Assac. Nationalisme ou Mondialisme, /'Enjeu du Illme millnaire, dit. S.P.P.

    -54-

    XI - LES BUTS. LES INTRTS

    Avec les lments d'apprciation nouveaux acquis depuis le 11 septembre 2001, on voit trs bien qui ont profit les mensonges et le crime du 11 septembre.

    1 Isral, dont le premier ministre de l'poque, Ariel Sharon, le provocateur de !'Esplanade des Mosques, se dclarait prt dclencher une "une troisime guerre mondiale, si celle-ci devenait ncessaire la survie d'Isral".

    Il faut rappeler qu'en mai 1993, il avait affirm la Convention du Likoud (1):

    "Isral doit fonder sa politique officielle sur la notion des frontires bibliques" .

    Dj en dcembre 1981, il y a donc plus de trente ans, rap-pelons le encore, il avait annonc :

    "Dans les annes qui viennent, la sphre des intrts stra-tgiques d'Isral, ne s'tendra pas seulement aux pays de la Mditerrane, mais elle doit s'tendre l'Iran, au Pakistan, au Golfe, l'Afrique et la Turquie" (2)

    (!)Le Monde, 20-21.9.01 (2) Bernard Granotier, Isral, cause de la Il/me guerre mondiale. dit.

    L'Harmattan, 1992.

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    On en voit la traduction dans le projet du Grand-Moyen-Orient, allant du Pakistan au Maroc, propos par G-W Bush l'Occident et confirm au Forum de Davos le 24 janvier 2004 par Dick Cheney, le vice-prsident amricain.

    Telle apparat la marche vers la ralisation du rve mes-sianique juif de domination mondiale, l'abri de la puissance arme amricaine.

    "Nous tenons l'Amrique et les Amricains le savent", triom-phait Ariel Sharon au lendemain du 11 septembre, comme nous l'avons dj vn.

    On en voit les effets et l'on comprend ainsi que, tant que les tats-Unis seront la botte du clan sioniste, il n'y aura pas de paix au Moyen-Orient et l'on risquera, tout moment, une Illme guerre mondiale pour Isral.

    2 Aux intrts ptroliers, auxquels participent la famille Bush, son vice-prsident Dick Cheney et la plupart des membres de son gouvernement.

    3 Aux intrts gostratgiques des tats-Unis qui non seu-lement veulent mettre la main sur le ptrole des ex-rpubliques sovitiques, au nord de l'Afghanistan : Tadjikistan, Ouzbkistan et Turkmnistan, mais aussi trouver une voie d'acheminement du ptrole pour contourner la Russie et l'Iran.

    C'tait dj la raison de la guerre suscite nagure par les tats-Unis, contre les sovitiques en Afghanistan.

    Dj ils utilisaient des combattants islamistes, dont Ben Laden.

    De mme, l'insurrection tchtchne, islamiste, finance par les tats-Unis, tendait fragiliser Moscou dans les rpubliques ptrolires d'Asie Centrale, majorit islamique.

    -56-

    Aujourd'hui, aprs la guerre contre l'Afghanistan et l'Irak, sous prtexte de lutte contre le terrorisme ou de pseudo armes de destruction massive, les Amricains occupent les sources d'approvi-sionnement de ptrole et de gaz d'Irak , en attendant celles d'Iran et des pays d'Afrique.

    Dans ce contexte, il est intressant, de connatre les intrts ptroliers de la famille Bush et de ses proches :

    - George W. Bush appartient une famille de ptroliers et il fut impliqu dans le scandale d'Enron (3), (4).

    - Jusqu' la campagne prsidentielle, le vice-prsident Dick Cheney dirigeait la firme Halliburton, leader mondial des services de l'industrie ptrolire.

    Il fut au cur d'un scandale "pour manipulations fraudu-leuses de prs de 1 OO millions de dollars imputes la firme Halliburton, alors qu'il en tait le PDG " (4).

    Bien que la Cour suprme l'ait entendu sur les surfactura-tions abusives de cette firme qu'il a imposes pour les fournitures en Irak, il n'a pas t inquit, exemple type de la protection maon-nique ...

    - Condoleeza Rice, directrice du Conseil national de scurit qui chapeaute, il faut le souligner, toutes les agences de renseigne-ments, a t de 1991 2000 directrice du ptrolier Chevron, trs implant en Asie Centrale.

    - Donald Evans, secrtaire au commerce, a fait sa carrire chez le ptrolier Tom Brown.

    - Spencer Abraham, secrtaire l'nergie, a aussi fait sa car-rire dans le secteur ptrolier,

    - Kathleen Cooper, sous secrtaire au commerce, "tait la chef conomiste du gant mondial Exxon" ( 4 ).

    (3) Rivarol, 25.1.02 et 19.7.02 (4) Le Monde, 17.12.03.

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    Voil pour quels intrts, entre autres, ont t lances, la guerre en Afghanistan, appele "Justice immuable" (sic), puis celle contre l'Irak en attendant les autres ...

    Le 11 septembre aura aussi et surtout, comme on l'a vu, servi rduire les liberts civiques aux tats-Unis.

    Sous prtexte de lutte contre le terrorisme, c'est un vrita-ble coup d'tat interne que l'on a assist le 11 septembre 2001.

    Bush, rappelons-le, ayant confi l'amiral franc-maon, Pointdexter dont le logo est "une pyramide maonnique avec un globe terrestre en son centre ( 5), la responsabilit d'un systme informatique permettant de croiser toutes les bases de donnes du pays sur les citoyens amricains.

    Il faut aussi s'interroger sur l'action meurtrire d'Al-Qada, notamment en Irak, dont le seul rsultat aura t de lancer les communauts chtes et sunnites l'une contre l'autre au lieu de les unir contre les troupes anglo-amricaines.

    Aujourd'hui apparaissent des tmoignages troublants de la part d'officiers occidentaux (6) qui affirment qu'ils auraient pu avoir Ben Laden, mais n'ont pas reu l'ordre de leurs tats-majors.

    L'un des tmoins interrogs, le commandant afghan Hadji Abdullah, chef de la tribu des Ruguiani, accuse les Amricains :

    "Ben Laden ne s'est pas chapp". "On lui a laiss la voie libre".

    Rien d'tonnant, Al-Qada est trs pratique pour endos-ser tous les crimes d'tat - ceux du 11 septembre, de Madrid et Londres, etc ... - visant provoquer une psychose pour justifier la rduction des liberts civiques et pousser l'Occident dans les bras d'Isral.

    (5) Le Monde, 13.11.01. (6) chane TV Plante, 7.2.07,

    -58-

    XII - RVOLUTIONS ET GUERRES, VECTEURS DU MONDIALISME COSMOPOLITE

    Quand commence rellement une guerre ? sa dclaration, ou bien du fait d'vnements plus ou moins

    passs inaperus ou mme occults ?

    C'est bien cette recherche de la causalit des vnements qui intresse l'historien pour dceler, derrire l'actualit, les causes pre-mires qui les expliquent.

    Toutes les rvolutions et les guerres qui ont maill l'histoire de l'humanit depuis la Rvolution dite franaise, ont eu pour but d'affaiblir les grandes nations chrtiennes en vue de la progression du mondialisme cosmopolite en marche vers l'utopique Rpublique Universelle.

    La Rvolution dite franaise, marque ainsi un tournant dans l'volution voulue des socits, par rupture avec la loi divine et l'or-dre naturel qui en dcoule.

    Dsormais, sous prtexte d'une fallacieuse "libert" abstraite on va faire croire au citoyen qu'il est libre de ses choix, qu'il n'a qu' exprimer avec son bulletin de vote.

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    C'est l, la grande escroquerie des conjurs de la Rvolution. On octroie un droit de vote au citoyen sur des sujets qu'il ne

    connat plus directement pas ses activits professionnelles ou sociales, mais uniquement par la reprsentation que va en donner la presse naissante dite "d'information".

    Dsormais grce cette illusion de dmocratie, il sera "formatable" volont, car qui tient la presse, crite et audio-visuelle, tient dsormais l'opinion.

    C'est ainsi que la dmocratie est impossible, car elle tombe fatalement en ploutocratie, c'est--dire le gouvernement par l'argent entre les mains de la haute finance cosmopolite et maonnique.

    Dans nos socits dmocratiques, pour faire admettre les guerres aux populations, il faut les amener progressivement har l'adversaire dsign, par une savante gradation de "prsentation" de nouvelles et de faits, propres les inquiter, puis les indigner.

    Il faut relever que les premires guerres de dcolonisation des empires catholiques espagnols et portugais, furent menes par des trangers qui ont particip la Rvolution dite franaise.

    C'est notamment le cas des F.'. Simon Bolivar, Antonio-Jos Sucre, son lieutenant, Juan-Jos San Martin, etc ... (1).

    De l'affaiblissement de ces empires catholiques aprs la destruction de la monarchie de droit divin en France, allait merger la nouvelle puissance amricaine, cration maonnique ds ses dbuts.

    Entre le XIXme sicle et la premire moiti du XXme si-cle, on verra la puissance conomico-militaire passer de l'empire britannique, premier bnficiaire de l'abaissement des nations catho-liques continentales, aux tats-Unis.

    (!) P. P. d'Assac, La Maonnerie. dit. S.P.P.

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    La haute finance apatride migrera de la City Wall Street, les tats-Unis devenant le "bras arm" du mondialisme cosmopolite en marche vers sa vision messianique de domination mondiale.

    Les rvolutions qui s'en suivront pour renverser l'empire autro-hongrois et l'empire tsariste, serviront rduire les puissances qui pouvaient s'opposer aux rves d'hgmonie anglo-saxonne et cosmopolite, aux intrts dsormais lis et subordonns.

    L'assassinat Sarajevo du prince Franois-Ferdinand, hri-tier de l'empire austro-hongrois, par des terroristes francs-maons et juifs, de mme que la rvolution bolchevique de 1917, de mme ins-piration, massacrant la famille impriale, avaient le mme but ( 1 ).

    Comme pour la famille royale en France, ce massacre tendait radiquer toute possibilit de renaissance de ces pouvoirs.

    Les boucheries de la Ire et Hme guerres mondiales, fau-chant les lites des puissances europennes, aboutiront avec la pseudo Libration, l'installation sur l'Europe de la puissance financire, commerciale et militaire des tats-Unis et de la finance cosmopolite, dsormais matresse des grandes structures financires mondiales.

    Les guerres de dcolonisation suivront. D'une part pour continuer d'affaiblir les nations europennes

    et d'autre part pour mettre la main sur les richesses en ptrole et en minerais, qu'elles avaient mises en valeur.

    Or pour parvenir leurs buts, les instigateurs de ces conflits, ont besoin de donner bonne conscience ceux que l'on va entraner dans la guerre.

    On dnoncera donc le colonialisme des nations europennes pour en crer un bien pire, le nocolonialisme mercantile yankee et cosmopolite.

    (!) P. P. d'Assac. La Maonnerie. dit. S.P.P.

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    C'est ce que Nicolas Sarkozy, commis du mondialisme cos-mopolite, a occult le 2 dcembre 2007 devant les Algriens, en fltrissant uniquement le colonialisme civilisateur des Europens.

    On voit pourtant aujourd'hui les effets de la dcolonisation : Les pays dcoloniss sombrent dans l'anarchie des guerres

    tribales attises par le mondialisme pour les affaiblir, dans les famines et dans la rsurgence des pandmies radiques par les pre-miers colonisateurs.

    Dsormais, le no-colonialisme mondialiste peut piller les richesses de ces pays sans risquer de se heurter aux anciennes puis-sances colonisatrices et civilisatrices.

    Quant aux pays insuffisamment souples, on invoquera la "morale internationale", la "conscience universelle", l'"a.xe du mal", le "droit d'ingrence", etc ... , pour justifier l'agression envers eux.

    Sous ce prtexte, les tats-Unis ont pu envahir la Grenade, Panama, l'Irak une premire fois, puis la Serbie pour imposer l'Islam au cur de l'Europe, puis l'Afghanistan et nouveau l'Irak, en mas-sacrant des milliers de civils.

    Pendant ce temps Isral rasait des villages palestiniens entiers et massacrait leurs habitants dans l'indiffrence complice de l'Occident dit "chrtien" ...

    On peut juger du cynisme des milieux financiers amricains devant ces conflits dstabilisateurs, par ce commentaire rapport peu avant la guerre du Golfe par l'agence d'information Belga.

    Elle faisait tat, le 27 .11.1990, d'une apprciation de l'agence de courtage new-yorkaise Davis Research, filiale de la Davis, Mendel & Regenstein :

    "Dans une priode o l'motion joue un gros rle, le march commence par baisser".

    "Mais une fois la premire flambe d'motion dissipe, on peut bnficier d'une fentre d'opportunits l'achat".

    -62-

    Antony Tabell, directeur de Delafield, Harvey & Tabell, reconnaissait la vracit de l'apprciation du cabinet Davis, Mendel & Regenstein :

    "La thorie a t globalement vrifie pour toutes les guerres depuis la premire guerre mondiale".

    En clair, cela veut dire que lorsqu'un conflit clate, les bourses baissent, qu'il faut laisser passer l'motion des premiers jours, le temps que les bourses se stabilisent avant de remonter, car c'est ce moment l "que l'on peut bnficier d'une fentre d'oppor-tunit l'achat " ...

    N'tait-ce pas dj par ce procd que les Rothschid s'taient enrichis l'occasion de Waterloo (1 ).

    Ainsi, la haute finance cosmopolite joue les rvolutions et les guerres, source pour elle de bnfices financiers en mme temps que du dveloppement de sa puissance mondiale messia-nique.

    On pourrait multiplier les exemples de ces manipulations-provocations dans le but de justifier une intervention militaire pour des buts et des intrts trs loigns de ceux des peuples impliqus dans ces conflits.

    (1) P. P. d'Assac. La Maonnerie. dit. S.P.P.

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  • XIII - L'ARME PSYCHOLOGIQUE DE LA DIABOLISATION

    Le drame en dmocratie et ce n'est pas l la moindre de ses tares, c'est que les gouvernements dits "dmocratiques", pour avoir l'aval de l'opinion publique pour leurs guerres, doivent la pousser la haine de l'adversaire dsign.

    C'est ainsi que les dmocraties ont toujours besoin d'inven-ter un "monstre" combattre, pour pouvoir le massacrer en toute "bonne conscience".

    Hier, c'tait le "mchant" Indien qui ne voulait pas se laisser dpossder de sa terre.

    Puis les empires coloniaux catholiques espagnols et portu-gais, sous prtexte de soustraire leurs populations !' "oppression", mais en fait pour s'y substituer et accaparer leurs richesses.

    Puis les Boers - les Afrikanders d'Afrique du Sud - pour leur prendre les richesses minires qu'ils avaient dcouvertes.

    Elles sont aujourd'hui entre les mains du trust cosmopolite Oppenheim en liaison avec Isral.

    Puis l'Allemagne nationale-socialiste et le Japon, dont la puissance conomique et militaire concurrenait la Haute Finance cosmopolite yankee.

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    Hlas, la paranoa d'Hitler, pouss par son clan athe, (1),(2),(3) allait donner l'occasion recherche par les "dmocraties" de lui dclarer la guerre.

    Elles purent, avec l'URSS, liquider leur rival conomique ainsi que des centaines de milliers de civils sous leurs bombes, au nom de "l'anti-fachisme" et surtout en profiter pour briser les rac-tions nationalistes qui s'imposaient l'poque dans toute l'Europe.

    Ce sont ces intrts messianiques que les peuples manipuls par le pouvoir politico-mdiatique, mconnassent totalement.

    Telle est la ncessit de la diabolisation de l'adversaire par le monde anglo-saxon protestant et cosmopolite.

    Telle fut aussi, elle l'est toujours, la raison de la diabolisation des ractions nationalistes du XXme sicle, pour dtourner les citoyens des ides qui, seules pourraient rgler les problmes engen-drs par la dmo-ploutocratie et par le marxisme ( 4).

    Il n'est que de voir le foisonnement d'ouvrages, films et missions TV qui prtendent, jusqu' la nause, traiter de cette priode selon la vision des vainqueurs.

    Ils prosprent sur !'Histoire mensongre et l'interdiction de toute critique historique.

    Vae victis, malheur aux vaincus. La "bonne" dmocratie "moralisatrice" n'y droge pas !

    (!)Par le Concordat du 20 juillet 1933, le IIIme Reich, remettait l'glise 11enseignernent dans les coles d'Allemagne.

    La monte en puissance du clan sotrico-athe, au sein du Illme Reich, allait entraner la dtrioration des rapports avec l'glise aux consquences incalcula-bles pour toute l'Europe nationaliste en dtournant le rgime de sa ligne de dpart.

    (2) P.P.d'Assac. Enqute sur la Nouvelle-Droite et ses compagnons de route. ditions S,P,P.

    (3) La Politique, N26, juillet-aot 2003, Les Leons de /'Histoire. (4) P. P. d'Assac. Le Nationalisme franais. ditions S.P.P.

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    XIV - UNE POLITIQUE CONTRAIRE NOS INTRTS

    L'Histoire nous dmontre que toutes les guerres de l'poque moderne ont t voulues pour faire progresser le mondialisme.

    Par leur cause sous-jacentes, elles diffrent totalement des guerres d'avant la Rvolution dite franaise.

    Dsormais ce sont les nations - "la nation en armes" - qui sont en guerre et non plus des armes de mtiers.

    Il en dcoule, avec le perfectionnement des armes de des-truction massive, que les populations civiles sont les premires en souffrir, pour faire plier ses gouvernants.

    Cela aura t, notamment le cas pour l'Allemagne et le Japon avec les bombardements inhumains au phosphore et l'atome sur les populations civiles.

    Avec et depuis la Rvolution dite franaise, chaque conflit a servi, saigner les nations europennes par les guerres d'Empire, la Ire et Hme guerres mondiales.

    Puis dtruire les empires coloniaux pour leur voler les richesses qu'elles avaient dcouvertes, provoquant par l mme l'im-migration-invasion, facteur aggravant de notre faiblesse.

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    Aujourd'hui, si les gouvernements amricains successifs, veulent continuer privilgier les intrts d'Isral et mettent ainsi en danger leurs citoyens, c'est leur problme.

    Ce sera au peuple amricain de leur demander des comptes. Mais nous Franais, avons-nous nous impliquer dans cette

    politique qui nous est trangre ? Non videmment!

    C'est pourtant ce que voudraient certains, sous prtexte de lutte contre l'Islam tels :

    - Le journal prosioniste Prsent de Jean Madiran et Bernard Antony (1), engag dans Tsahal pendant la Guerre des Six-jours.

    - Les pseudo antismites/pro sionistes Serge de Beketch (2), lui aussi engag volontaire dans Tsahal, Daniel Hamiche et Patrick Gofman (3) du Libre Journal et de Radio Courtoisie ;

    - Le gaulliste Alain Griotteray de !'Alliance France-Isral; Alexandre Del Valle, affili auB'naB'rith, etc ... , le sioniste antica-tholique Guy Millire, tous piliers de Radio-Courtoisie;

    - Guillaume Faye (4), issu du GRECE qui nie que "les com-munauts juives aient jamais reprsent une puissance".

    Il occulte ainsi l'action de l'American Isral Public Ajfairs Commitee, de l'Anti Defamation League, du B'na B'rith, du Congrs Juif Mondial, du Conseil reprsentatif des Institutions juives de France qui, par leur pression, faonnent la politique occiden-tale.

    (1) Dans son livre Histoire des Juifs d'Abraham nos jours, il dveloppe une illustration du Talmud et prtend concilier judasme et christianisme, l1exemple du cardinal Lustiger, cf. La Politique N 76, 77, 78.

    (2) P. P. d'Assac. La Maonnerie. Edit. S.P.P.; S. de Beketch aujourd'hui dcd, mlange de La Taxil et d'Arthur Meyer, n'a rien reni de ses sympathies maon-niques et juives, soutenait qu' ,,il nous faudrait un Ariel Sharon" (sic).

    (3) Apologiste dans les colonnes du Libre Journal de Serge de Beketch, du juif franco-russe Serguei Limonov qui uvre pour un national-communisme, "notre nouveau Dreyfus 11, selon les termes de Patrick Gofman.

    (4) Guillaume Faye. La Nouvelle question juive.

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    Tous occultent que l'Islam est pouss par le judasme depuis ses origines, contre le christianisme.

    On connat les ravages faits par le dcret d'Adolphe Isaac Crmieux (5), juif et franc-maon, qui, en 1870, donnait en bloc la nationalit franaise aux Isralites d'Algrie, ce qui allait provoquer ]'insurrection du bachaga Si Mokrani, qui venait de se battre pour la France contre la Prusse (6), (7).

    La guerre sainte prche contre la France allait tre mate dans le sang par la IIIme rpublique de Thiers qui s'installait, rede-vable aux Rothschild de grosses sommes d'argent.

    Pourtant, tous les chefs militaires et civils franais en Algrie avaient mis en garde contre les consquences incalculables qui en dcouleraient, comme l'annonait douard Drumont (6).

    Cette provocation envers les populations arabes que l'on humiliait, faisait que la France cessait d'tre une puissance amie, protectrice et civilisatrice, pour ne plus tre qu'une puissance occupante favorisant les intrts de leurs usuriers.

    Dsormais Franais, les Juifs d'Algrie pouvaient devenir magistrats et allaient avoir juger des litiges entre musulmans et juifs.

    On imagine les consquences.

    Le rapport de cause effet, dans nos rapports avec le monde arabe, est flagrant lorsque l'on sait que l'abrogation de ce funeste dcret par le marchal Ptain allait lui garder la fid-lit des populations musulmanes d'Afrique du Nord malgr notre faiblesse, les intrigues gaullistes et les apptits anglo-amricains.

    (5) Prsident de !'Alliance Isralite Universelle. (6) douard Drumont. La France Juive. dit. Charlemagne (7) Ph. Plancard d'Assac. Le Nationalisme franais. dit. S.P.P.

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    Ce rapport de cause effet est confirm par le fait que, ds que le dcret fut rtabli par le "Gouvernement provisoire" gaulliste Alger, ce fut nouveau l'insurrection.

    Ainsi, l'insurrection de Stif, 8 mai 1945 (7), marque le dbut de la guerre d'Algrie et de sa perte.

    Le mondialisme cosmopolite aprs avoir impos nouveau ce dcret, utilisait la rancur des Musulmans contre la France pour nous vincer et prendre notre place.

    Voil ce qu'il faut que les Franais et le monde arabo-musul-man, sachent et comprennent.

    On ne peut jamais rgler un problme si l'on se refuse remonter aux causes premires.

    La politique systmatiquement favorable aux intrts juifs, suivie depuis la Illme Rpublique, mis part l'intermde de Vichy, nous a fait perdre le respect et l'affection du monde arabe qui s'tait pourtant battu pour nous en 1870, 14-18, 40-44, puis en Indochine et en Algrie.

    Aujourd'hui, l'ayant humilie, mprise, abandonne, nous nous trouvons face une masse arabe immigre remplie de haine notre gard, utilise par le mondialisme pour nous submerger.

    Pourtant tout reste possible si l'on change de politique. Le 5 fvrier 1992, le quotidien Le Soir de Bruxelles, faisait

    tat d'une dclaration du vice-ministre iranien de la Culture, propo-sant au Vatican, "une alliance contre l'athisme".

    La raison invoque, pour cette surprenante recherche d'al-liance, est particulirement intressante et toujours d'actualit :

    "En instaurant le Nouvel Ordre Mondial, les forces de l'ar-rogance mondialiste agissent avec dtermination pour liminer la mentalit religieuse", dnonait le ministre iranien.

    (7) Ph. Ploncard d'Assac - Le Nationalisme franais. 2me dit. S.P.P.

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    Ainsi, face au mme danger, des lites arabes en arrivent aux mmes conclusions que nous nationalistes franais et dsignent le mme adversaire : Le Nouvel Ordre Mondial et l'athisme.

    Il faut noter que c'est l'glise catholique qu'tait faite cette proposition, pas aux protestants, ni aux juifs, vecteurs du mondialisme.

    On retrouve cette similitude de positions sur les problmes de la famille et de la vie, lors des runions internationales avec l'al-liance de facto entre les positions du Vatican et celles du monde musulman, auxquelles s'opposent toutes les nations maonnises.