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Découvrez l'analyse des 8 marchés cibles du plan stratégique de Cap Digital 2013 - 2018. Pour en savoir plus : www.capdigital.com/evenements/cap2018/
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NOUS
VOUS
PRÉSENTATION DE CAP DIGITAL
FOCUS MARCHÉ
8 MARCHÉS LEVIERS 3 MARCHÉS TECHNOLOGIQUES
CONCLUSIONOBJECTIFS GÉNÉRAUX DE DÉVELOPPEMENT DU PÔLE
PRÉSENTATION DE CAP DIGITAL
FOCUS MARCHÉ
8 MARCHÉS LEVIERS 3 MARCHÉS TECHNOLOGIQUES
CONCLUSIONOBJECTIFS GÉNÉRAUX DE DÉVELOPPEMENT DU PÔLE
PRÉSENTATION DE CAP DIGITAL
1 INTRODUCTION CAP DIGITAL
Il regroupe plus de 700 adhérents : 620 PME, 20 grands groupes, 50 établissements publics, écoles, et universités ainsi que 10 investisseurs en capital.
Cap Digital œuvre à faire de la Région Île-de-France l’une des références mondiales du numérique, tant d’un point de vue industriel que stratégique.
Le développement de la R&D, la croissance des entreprises, la mise en réseau de ses adhérents et leur promotion à l’international sont autant de missions pour soutenir la créativité et la compétitivité de cet important secteur industriel. Avec en moyenne 280 projets de R&D reçus chaque année, dont 140 labellisés et 76 financés, Cap Digital a soutenu plus d'1 milliard de R&D depuis sa création dont 460M€ d’aides publiques
CAP DIGITAL EST LE PÔLE DE COMPÉTITIVITÉ DE LA FILIÈRE DES CONTENUS ET SERVICES NUMÉRIQUES
www.capdigital.com - @cap_digital - www.facebook.com/capdigitalparisregion - [email protected] // #cap2018
POUR EN SAVOIR PLUS
1 INTRODUCTION PLAN STRATEGIQUE 2013 – 2018
Ils doivent y présenter leurs objectifs technologiques et d’innovation, ainsi que leurs marchés-cibles dans un projet comprenant des objectifs quantifiés et collectifs. L’objectif étant de fixer les grandes priorités et renégocier leur contrat de performance avec les acteurs publics pour les 5 années à venir.
Cette présentation est le fruit d’une partie du travail effectué pour établir la feuille de route
EN 2013, LES 71 PÔLES DE COMPÉTITIVITÉ SONT AMENÉS À RÉFLÉCHIR À LEUR NOUVELLE FEUILLE DE ROUTE DANS LE CADRE DE LA PHASE 3.0 DES PÔLES DE COMPÉTITIVITÉ.
PRÉSENTATION DE CAP DIGITAL
FOCUS MARCHÉ
8 MARCHÉS LEVIERS 3 MARCHÉS TECHNOLOGIQUES
CONCLUSIONOBJECTIFS GÉNÉRAUX DE DÉVELOPPEMENT DU PÔLE
PRÉSENTATION DE CAP DIGITAL
FOCUS MARCHÉ
8 MARCHÉS LEVIERS 3 MARCHÉS TECHNOLOGIQUES
CONCLUSIONOBJECTIFS GÉNÉRAUX DE DÉVELOPPEMENT DU PÔLE
8 MARCHÉS CIBLES / LEVIERS / 3 MARCHES TECHNOLOGIQUES
INTRODUCTION / Marchés cibles, leviers et marchés technologiques
MEDIA SERVICES DE
COMMUNICATION
RÉSEAUX SOCIAUX
COMMUNICATION PUBLICITÉ
EDUCATION FORMATION
ENTREPRISE ETAT
TOURISMECOMMERCE
DISTRIBUTION
MAISON VILLE TRANSPORT
SANTÉ
INTRODUCTION / Marchés cibles, leviers et marchés technologiques
GLOBALISATION, STRATÉGIES TERRITORIALES ROBOTIQUE EXPÉRIENCE UTILISATEUR
L’ECONOMIE DE LA DONNEE :DATA, OPEN DATA, CLOUD
DESIGN, OBJETS CONNECTÉS, HYBRIDATION MONDE PHYSIQUE /MONDE VIRTUEL
THD, MOBILE
GAMIFICATIONSTANDARDSMIDDLEWARE
MODÈLE ÉCONOMIQUE
INTRODUCTION / Marchés cibles, leviers et marchés technologiques
GLOBALISATION, STRATÉGIES TERRITORIALES ROBOTIQUE EXPÉRIENCE UTILISATEUR
L’ECONOMIE DE LA DONNEE :DATA, OPEN DATA, CLOUD
DESIGN, OBJETS CONNECTÉS, HYBRIDATION MONDE PHYSIQUE /MONDE VIRTUEL
THD, MOBILE
GAMIFICATIONSTANDARDSMIDDLEWARE
MODÈLE ÉCONOMIQUE
MEDIA SERVICES DE
COMMUNICATION
RÉSEAUX SOCIAUX
COMMUNICATION PUBLICITÉ
EDUCATION FORMATION
ENTREPRISE ETAT
TOURISMECOMMERCE
DISTRIBUTION
MAISON VILLE TRANSPORT
SANTÉ
INTRODUCTION / Marchés cibles, leviers et marchés technologiques
GLOBALISATION, STRATÉGIES TERRITORIALES EXPÉRIENCE UTILISATEUR
THD, MOBILE
GAMIFICATIONSTANDARDSMIDDLEWARE
MODÈLE ÉCONOMIQUE
MEDIA SERVICES DE
COMMUNICATION
RÉSEAUX SOCIAUX
ROBOTIQUE DE SERVICE
COMMUNICATION PUBLICITÉ
EDUCATION FORMATION
ENTREPRISE ETAT
TOURISME
DESIGN, OBJETS
CONNECTÉS, HYBRIDATION
MONDE PHYSIQUE /VIRTUEL
COMMERCE DISTRIBUTION
MAISON VILLE TRANSPORT
ECONOMIE DE LA DONNÉE
SANTÉ
INTRODUCTION / Marchés cibles, leviers et marchés technologiques
GLOBALISATION, STRATÉGIES TERRITORIALES EXPÉRIENCE UTILISATEUR
THD, MOBILE
GAMIFICATIONSTANDARDSMIDDLEWARE
MODÈLE ÉCONOMIQUE
MEDIA SERVICES DE
COMMUNICATION
RÉSEAUX SOCIAUX
ROBOTIQUE DE SERVICE
COMMUNICATION PUBLICITÉ
EDUCATION FORMATION
ENTREPRISE ETAT
TOURISME
DESIGN, OBJETS
CONNECTÉS, HYBRIDATION
MONDE PHYSIQUE /VIRTUEL
COMMERCE DISTRIBUTION
MAISON VILLE TRANSPORT
ECONOMIE DE LA DONNÉE
SANTÉ
PRÉSENTATION DE CAP DIGITAL
FOCUS MARCHÉ
8 MARCHÉS LEVIERS 3 MARCHÉS TECHNOLOGIQUES
CONCLUSIONOBJECTIFS GÉNÉRAUX DE DÉVELOPPEMENT DU PÔLE
PRÉSENTATION DE CAP DIGITAL
FOCUS MARCHÉ
8 MARCHÉS LEVIERS 3 MARCHÉS TECHNOLOGIQUES
CONCLUSIONOBJECTIFS GÉNÉRAUX DE DÉVELOPPEMENT DU PÔLE
MARCHES CIBLES MARCHES TECHNOLOGIQUES
Commerce, Distribution
Communication et Publicité
Education et Formation
Entreprise et Etat
Maison Ville Transport
Médias et services de télécommunications
Santé
Tourisme
RobotiqueEconomie de la donnée : Big data,
open data, cloud Design, internet des objets
COMMERCEDISTRIBUTIONMARCHE CIBLE
COMMERCE, DISTRIBUTION / Segments de marché
• Les ventes sur internet: 45 milliards € (en hausse de 19% sur un an).
• 117 500 sites marchands. 32 M de cyber-acheteurs (+5% en un an).
• M-commerce : 1Md€, 2% du CA des ventes sur internet(source FEVAD 2012)
E-COMMERCE
DISTRIBUTION
• Ralentissement de la croissance des distributeurs français
COMMERCE, DISTRIBUTION / Segments de marché
MARCHE A LA RECHERCHE DE RELAIS DE CROISSANCE
COMMERCE, DISTRIBUTION / Quelques segments
Chiffres 2011
COMMERCE, DISTRIBUTION / Segments de marché
BANQUES ET ASSURANCES
Le marché de la banque à distance (banques en ligne « pure-players », agences virtuelles des grands réseaux) montre des
signes de convergence vers un modèle unique de banque multicanal :
•les « pure-players » tendent à développer leur catalogue de produits et services. Certaines, également, se dotent de points de contact physiques, à l’image du « Café ING Direct ».
•Les agences virtuelles des grandes enseignes tentent de reprendre à leur compte le principal argument des « pure-players » : les tarifs bas et les promotions exclusives.
Chiffres INSEE sur les 768 établissements de crédit (2008) : 420 000 emplois, 285 milliards d’€ de capitaux propres, 6350 milliards d’€ total des bilans
En 2011, le chiffre d’affaires de l’assurance française s’élevait à 190 milliards d’euros, en recul de 8 % par rapport à 2010 (INSEE, FFSA).
COMMERCE, DISTRIBUTION / Acteurs et tendances
BANQUESTransparence des offres, Concurrence des offres low cost et pression sur les prixDesintermédiation des agents/courtiers,Clients exigeants: prix, flexibilité Rôle majeur des sites comparatifs
SPIN-OFFS D’ACTEURS TRADITIONNELS
Amaguiz, BforBankB&You, Sosh, RedOpen Street Map,…
DISTRIBUTIONDépendance des acteurs à 80% du marchés français Concentration du marché achevée, surcapacités, concurrence internet non maîtrisée, Pouvoir d’achat durablement dépriméEnjeu technique du cross-canal: supply chain
EXEMPLES D’ACTEURS TRADITIONNELS
EXEMPLES D’ACTEURS DU NUMÉRIQUE
PURE PLAYERSAmazon, Vente PrivéeMarket places: E-Bay, Price Minister, Le Bon Coin etc.
STARTUPSBankin, Leetchi, Lescommis.com, etc.
PEER-TO-PEERE-Bay, Price Minister, Le Bon Coin, Vente-Privée
COMMERCE, DISTRIBUTION / Leviers et opportunités
CAPTURE ET ANALYSE DE DONNÉES
Usages de consommationDynamiques socialesSatisfaction (KXEN)Déplacements
MOBILE NFC (LemonWay, Skimm)Géolocalisation in-door (SoTouch, Pole Star, InSiteo)Réalité augmentéeM-data
AUTOMATISATION RobotiqueAvatars
NOUVEAUX MODÈLES ÉCONOMIQUES
CouponingAbonnements, box/paniersMonnaies virtuellesDestockage (Groupon, Vente-Privée)/
TOUCHER LE CLIENT « ATAWAD » M-commerceT-commerce
RÉTENTION DU CLIENT PersonnalisationAdaptation de l’offre et service suivant retours CRMSuggestion
RÉTENTION DU CLIENT PAR UNE EXPÉRIENCE 360
Nouveaux services (essayage virtuel: FlipMyLook Confortvisuel)Expérience 36° (ROPO, Showroommming), gamification
OPTIMISATION DE LA SUPPLY CHAIN Automatisation de segments de la chaîneTrackingAnticipation des demandes par analyse prédictive
NOUVEAUX SEGMENTS Economie collaborativePlaces de marché peer-to-peerBio, social & solidaire, sense-making
COMMERCE, DISTRIBUTION / Synthèse des scénarios d’action
VISIBILITÉ ET MISE EN RESEAU
Monter une plateforme de mise en relation entre acteursOrganiser un concours de startups « Cap Digital Connected Commerce Awards » avec un Demo Day à Futur en Seine, pour valoriser les startups en France et à l’étranger
VEILLE ET PROSPECTIVE « THINK DIGITAL »
Créer un observatoire et des études de marché adHoc pour analyser :
• Les nouvelles expériences d’achats• Les tendances et nouveaux usages:
désintermédiation bancaire, attentes de renforcement du lien social et de la proximité
RDI Soutenir des projets sur les technologies et outils permettant la continuité online et physique
PASSAGE DU PROJET AU PRODUIT : PLATEFORMES ET INCUBATION
Créer un showroom / Living Lab sur le commerce du futur, comportant un volet spécifique sur la consommation responsable et collaboratrice.
Ces scénarios sont issus des réflexions menées lors des Stratcamps du plan stratégique 2013/2018 de Cap Digital en mars 2013 www.capdigital.com/evenements/cap2018/
COMMUNICATIONPUBLICITÉMARCHE CIBLE
COMMUNICATION, PUBLICITÉ / Segments de marché
COMMUNICATION & PUBLICITÉ
• En 2010, selon l’INSEE le Chiffre d’Affaire Hors Taxe estimé des agences de communication représentait 12,442 milliards d’euros
• En 2011 en France, les dépenses publicitaires des annonceurs représentent 31,4milliards d’euros, ce qui correspond au marché de la publicité (source AACC et IREP, UDA)
• Les recettes publicitaires des médias s’élèvent à 10,7 milliards : TV : 3,5 md€, cinéma 0,1; Radio 0,7; internet 0,6 (+14%); presse 3,5; pub ext 1,2; annuaires 1.. (Source IREP 2011)
PUBLICITÉ & INTERNET, REAL-TIME BIDDING(RTB)
• En France, en 2012 le moyen de communication INTERNET (display, search, mailing) est estimé à 1774 M€ soit prés de 6% des dépenses totales des annonceurs avec une évolution de 6,4% sur 2011-2012 (source France PUB). World Advertising Research Center estime lui à 8,8% cette évolution sur le marché français.
• Le real time bidding(RTB), enchère en temps réel d’acquisition d’espaces publicitaires en ligne, est évalué à 51 M€ en France en 2012. Le marché mondial devrait croître de 59% par an pour atteindre 13,9 Mds de dollars en 2016. (Source : une étude du cabinet IDC pour la plate-forme Pubmatic. http://bit.ly/10TznNr )
COMMUNICATION, PUBLICITÉ / Acteurs du marché publicitaire
COMMUNICATION, PUBLICITÉ / Acteurs de la publicité en ligne
Edit
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SSPCiblage
comportemental & reciblage
Place de marché
des données
Adexchange DSP Agence
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Annonce
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COMMUNICATION, PUBLICITÉ / Acteurs de la publicité en ligne
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AD SERVEURS ÉDITEURS
AD SERVERS AGENCES
AdServeurs Editeurs : gestion inventaire publicitaire site et optimisation multi-critères de la diffusionAdServeurs Agences: hébergement, création publicitaire ou annonceurs; diffusion, mesure des interactions et tracking post click/postimpression.
COMMUNICATION, PUBLICITÉ / Leviers et opportunités
Repenser l’expérience utilisateur : avec des campagnes de communication 360°qui associent le média/hors média et qui invitent le public à interagir
Stimuler la créativité : avec des campagnes toujours plus innovantes : le multi-canal, la télévision connectée avec le mobile/tablette comme second écran , les lieux concepts et la continuité avec le on-line, la gamification, le Rich Media et l’optimisation des créations, le crossmédia, etc …
LES PRINCIPALES TECHNOLOGIES BIG DATA UTILISÉES DANS LA PUBLICITÉ EN LIGNE :
Analyse du public cible, écoute des réseaux sociaux, géolocalisationAnalyse des données générées sur les points de vente, études comportementalesWeb analytique, analyse des données de trafic, compréhension des parcours Mesure et Vérification des campagnesPersonnalisation des messages, retargetingRTBData visualisation
COMMUNICATION, PUBLICITÉ / Synthèse des scénarios d’action
VISIBILITÉ & MISE EN RÉSEAU
Pérenniser le concours AACC startup projectOrganiser une place de marché répertoriant les offres Big Data/ciblage/géolocalisation Organiser des Demo Days : « Big Data appliqué à la publicité »
VEILLE ET PROSPECTIVE « THINK DIGITAL »
Monter des groupes de réflexion sur :• Le ciblage pour contrer la montée de l’ « ad-
avoidance »• La sémantique dans la chaine de valeur• Les standards de publication des contenus
publicitaires
PASSAGE DU PROJET AU PRODUIT : PLATEFORMES ET INCUBATION
Mettre en place des Hackatons (avec accord de confidentialité) entre des développeurs et des grands comptes Monter une plateforme sur le transmedia pour améliorer la créativité des contenus
Ces scénarios sont issus des réflexions menées lors des Stratcamps du plan stratégique 2013/2018 de Cap Digital en mars 2013 www.capdigital.com/evenements/cap2018/
ÉDUCATIONFORMATIONMARCHE CIBLE
ÉDUCATION, FORMATION / Synthèse des scénarios d’action
EDUCATIONL’édition scolaire représente 15,5% du CA du secteur de l’édition française, soit 414,9 millions d’€ (« Le livre en chiffres » - SNE- 2012, données 2011)Soutien scolaire75 M€ sur l’exercice 2011/2012 (source: Xerfi). Il représenterait en réalité environ 2,2 md€ (matériel et immatériel)Part numérique faible (en dizaines de M€ ?)
DIE (DÉPENSE INTÉRIEURE D’EDUCATION) : 137,4 MILLIARDS D’EUROS SOIT 6,9 % DU PIB (2011, SOURCE INSEE)
FORMATION PROFESSIONNELLE CONTINUE
Organismes de formation: en 2010, 55 300 organismes ont dégagé un chiffre d’affaires de 13 milliards € (Les prestataires de la formation continue en 2010 – Dares Analyses)
Part numérique faible
• Le marché mondial du e-Learning devrait s’élever à 49,9 milliards de dollars en 2015 • (source: étude mc²i Groupe)• 17 % des entreprises françaises (contre près de 40 % pour le Royaume-Uni, l’Espagne et le
Benelux) ont formé plus de 50 % de leurs salariés en e-Learning en 2010 (source: CrossKnowledge, Ipsos, cabinet Féfaur)
• En 2011, le marché du e-Learning en France aurait représenté entre 150 et 200 millions d’€ • (source: Observatoire économique de la Fédération de la Formation Professionnelle)
E-LEARNING
• Marché mondial 2,35 milliards € (projection à 6,6 milliards en 2015), marché français en 2012 : 47 M€
• (source IDATE)
SERIOUS GAMING
ÉDUCATION, FORMATION / Acteurs
EDITEURS DE CONTENUS• Editeurs de livres scolaires (Belin,
Editis, Hachette, etc..)• Langues : English Attack / 4N
Media• Livres numériques : myBlee, …• Edition collaborative : Simple IT
SOUTIEN SCOLAIRE• Maxicours, Acadomia, Paraschool,
…
ENT• Itop, Numerique1
TECHNOS• Vision Objects• Stylo (Kayentis, …)• Plateformes de lecture
collaborative (Mantano)• Vidéos enrichies (Advocate
Hypermedia ...)INTÉGRATEURS - LOGICIEL• CGI, Atos…• Microsoft, Google, 3DS...
TABLETTES• Apple, Samsung, BIC,
Archos
TBI• Promothean, Smart
Robotique• Aldebaran Robotics,
Awabot
ACTEURS PUBLICS• CNED, CNDP• Universités/écoles• Etat/collectivités• EPIC
(Universcience/FranceTV/INA)
SERIOUS GAME• KTM Advance,
Genious Interactive
LMS• CrossKnowledge,
Demos, e-Doceo, Vodeclic, Féfaur, …
ÉDUCATION, FORMATION / Leviers et Opportunités
BIG DATAPersonnalisation des parcours, Cloud et Sécurité
RÉSEAUX SOCIAUX ENTRE ACTEURS, NOUVELLES FORMES D’ÉDITION COLLABORATIVE
GAMIFICATION, LMS, Serious game
Développement de la ROBOTIQUE pour l’éducation
Dynamique du MARCHÉ DES TABLETTES
MARCHÉ MONDIALISÉForte prédominance des acteurs US et UK, pas d’acteurs français dans la compétition mondiale
SAVOIR-FAIRE/COMPÉTENCES DES ACTEURS FRANÇAIS
RÔLE/OPPORTUNITÉ DU NUMÉRIQUE DANS LES ACTIONS DE FORMATION DE GRANDE AMPLEURLe numérique permet de répondre à l’enjeu que représente la formation massive individualisée (exemple: automobile/aéronautique)
FORTS GISEMENTS DE CROISSANCE SUR LE ELEARNING À L’INTERNATIONALOpportunité d’une approche globale des acteurs du secteur privé+publicSon revenu mondial devrait passer de 73,8 milliards de dollars actuellement à plus 220 milliards de dollars d'ici 2017 (source MarketsandMarkets), 150 M$ en France en 2011Le phénomène MOOC
/
ÉDUCATION, FORMATION / Scénarios d’action
VISIBILITÉ ET MISE EN RESEAU
Développer et maintenir les actions à l’international pour promouvoir le savoir faire françaisOrganiser des Demo Days avec l’ensemble des parties prenantes (Entreprises, Parents d’élèves et enseignants, via leurs syndicats)
VEILLE ET PROSPECTIVE « THINK DIGITAL »
Organiser un groupe de réflexion sur les MOOC : quels enjeux, quels contours pour les offres françaises / européennes, émergence de MOOC ciblés (par ex : en entreprise ou pour la « silver economy ») Fédérer les acteurs sur les standards d’interopérabilité entre plateformes et outils / contenus
RDI Soutenir le montage de projets sur ces thématiques : • Développement de l’offre en ligne et solutions en mode
Cloud, plateformes (création et distribution de contenus, de ressources, outils de personnalisation).
• Expérimentations grande échelle de contenus sur tablette
• Outils de « rénovation pédagogique » en classe• Serious gaming
PASSAGE DU PROJET AU PRODUIT : PLATEFORMES ET INCUBATION
Créer un Living Lab dédié au professionnels de l’EducationCréer un Edulab de la classe et de l’e-learning du futur Encourager les tests et expérimentations autour des standards
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ENTREPRISEÉTATMARCHE CIBLE
ENTREPRISE, ÉTAT / Impact de la transformation numérique
LA TRANSFORMATION NUMÉRIQUE IMPACTE L’ENSEMBLE DES PROCESSUS ENTREPRISE
RH•Gestion des compétences, KM
•Sourcing des compétences stratégiques, rôle des RSE
MARKETING•CRM•Analytics clients, prédictif, recommandation
•E-réputation ,écoute client
SAV•E-réputation•Support Client
JURIDIQUE•Propriété Industrielle
LOGISTIQUE/SUPPLY-CHAIN•Machine to Machine
SI•BI, Analytics process•Cloud - SAP… les ERP•Collaboratif, RSE
ETUDES ET STRATÉGIE•Intelligence économique•Etudes de marchés/marketing
•Co-conception
R&D•CAO, 3D and co•PLM/PLC•3D relief collaboratif…
DISTRIBUTION/VENTE•Commerce connecté•Multi-canal : showrooming VS ROPO (research online, purchase offline)
ENTREPRISE, ÉTAT / Numérique dans les services publics : e-démocratie, e-Gov, Open data …
• Le marché français de l’ouverture et de la réutilisation des données publiques est estimé à 827 millions d’euros en 2011 (serdaLAB)
• 87% de ce marché est constitué par le marché « traditionnel » de la réutilisation des données publiques (juridiques, économiques…)
• Services en ligne autour d’une identité citoyenne garantie, dans le cadre d’une dématérialisation croissante dans les services publics
OPEN DATA
DÉMATÉRIALISATION
ENTREPRISE, ÉTAT / Leviers et Opportunité
BIG DATA Ingénierie des connaissances, gestion documentaire, sémantiqueAnalytics, tableaux de bord
ENTREPRISE COLLABORATIVE ET OUVERTE
Réseaux sociaux d’entreprise, e-réputation, social marketingCanaux exploitant l’intelligence artificielle
CONNAISSANCES ET EXPERTISES
Gamification, learning management system, serious gaming
STRATÉGIE TERRITORIALE Modèles économiques, impression 3D et stratégies territoriales, relocalisation possible d’une partie de la production
SÉCURITÉ Des transactions, des identités client/citoyen Fédération d’identités
/Le ROI des Big Data est démontrable - Tableau de bord, dataviz, profitabilité
Passage de la supply-chain à la demand-chain grâce au numérique
Personnalisation/individualisation du service/produit
Responsabilité sociale des entreprises
- Éthique, VRM, environnement, traçabilité
Les silos peuvent disparaître avec la démocratisation des API (Lisibilité, automatisation via webservices)
Transparence des organisations, Lean-transformation : souplesse dans les développements SI, interopérabilité interservices
- L’entreprise as-a-platform
Généralisation du temps réel
Aspiration au télétravail
ENTREPRISE, ÉTAT / Synthèse des scénarios d’action
VISIBILITÉ ET MISE EN RÉSEAU
Mettre en place une place de marché de solutions permettant une médiation entre les entreprises en transformation et les offreurs de technologies/service/conseilOrganiser des Demo Days pour permettre aux firmes en transformation de « toucher » des solutions innovantes
VEILLE ET PROSPECTIVE « THINK DIGITAL »
Mettre en place du e-learning sur la e-transformationOrganiser un groupe de réflexion pour produire une cartographie de l’impact de la e-transformation« Small Business Act » : mener une action pour encourager les services publics à se tourner vers les PME pour la commande publique dans le cadre de clauses d’achats innovantes.
RDI Soutenir le montage de projets sur les outils qui permettent de « créer du sens » à partir des données
PASSAGE DU PROJET AU PRODUIT : PLATEFORMES ET INCUBATION
Monter un « Bac à Sable » autour des environnements ouverts des industriels (CRM, Business Cloud, Partage de modèles 3D, ..), et autour des plateformes académiques (Mines Télécom, INRIA)
Ces scénarios sont issus des réflexions menées lors des Stratcamps du plan stratégique 2013/2018 de Cap Digital en mars 2013 www.capdigital.com/evenements/cap2018/
MAISON, VILLE, TRANSPORTMARCHE CIBLE
MAISON, VILLE, TRANSPORT / Tendances
LE NOMBRE D’OBJETS Le nombre d’objets connectés passera de 62 millions à 21 milliards en 2020, selon Analysys MasonLes croissances les plus fortes sont attendues sur la santé, la sécurité et les bâtiments intelligents
LE NOMBRE DE CONNEXIONS Le nombre de connexions entre objets communicants au niveau mondial passerait de 110,6 millions à 365 millions en 2016, soir 27% d’augmentation, selon ABI Research
LE MARCHÉ DE LA CONNECTIVITÉ MACHINE TO MACHINE ATTEINDRA 35 MILLIARDS DE DOLLARS EN 2016 (SELON ABI RESEARCH )
Les secteurs les plus porteurs sur le marché de la connectivité sont l’automobile (15,5 Mds $) et la gestion de l’énergie et de l’eau (7,5 Mds $)
MAISON, VILLE, TRANSPORT / Segments de marché
SMART HOME (OU : « USER-CENTRIC HOME »)Aujourd’hui encore une niche : 370,7 million d’euros en chiffre d'affaires "produits" fin 2010 en Europe selon BSRIA mais des enjeux financiers importants :
Pour les compteurs intelligents (première étape des smart grids) en France, ERDF va installer 35 millions de compteurs Linky (4 milliards d’euros).
Le déploiement de compteurs intelligents devrait générer un marché (fabrication des compteurs, installation…) de 40 à 50 milliards d’euros d’ici 2020 selon Eurostat
DÉMATÉRIALISATIONServices en ligne autour d’une identité citoyenne garantie, dans le cadre d’une dématérialisation croissante dans les services publics
TRANSPORT INTELLIGENTLe volet « Intelligent Transport System » des transports en commun européen estimé à 1.3 milliards en 2015 contre 0.65 en 2010 (source Berg Insight ).
Des plateformes smart car en conception chez des constructeurs automobiles ou des fabricants de chipsets
MAISON, VILLE, TRANSPORT / Acteurs
SI, Software, Intégrateurs
Infrastructure et réseaux IT
OS mobile, robotique et domotique
Intégrateurs
Opérateurs
Eau
Électricité
Telcos
Transport
Constructeurs
Mobilier urbain
Domotique
Electroménager
Hardware CE
Automobile
Internet des Objets
Objets communicants personnel
Vêtement intelligent
Les apps : QS
Collectivités
MAISON, VILLE, TRANSPORT / Leviers et Opportunités
Des leadersDans l’internet des objets, la domotique, l’électroménager
Des nouveaux entrantsPure players en domotique ou objets communicants personnels, ou acteurs du middleware avec des approches design numériqueDes leaders étrangers du consumer electronics ou de
l’électroménager
Des concepts de méta-servicesAu-delà des silos maison/voiture/ville/transports, expérience continue de type smart-life
La nécessité absolue du désengorgement des centres urbains
Multi-modalité et expérience usager continueInformation transports en temps réelTiers-lieuVéhicules connectés, robotisation des véhicules
Emergence des plateformes citoyennesUrbanisme collaboratif, relation au citoyen, économie sociale etsolidaire proposent de nouveaux modèles pour penser, gérer et vivre la ville et les territoires
Développement de la « Sharing economy »Co-voiturage, auto/vélo-partage qui peuvent concurrencer des réseaux de transports privés
Emergence de standards(Standards réseaux (IPV6, protocoles WPAN)
Plateformes de data management et API
Modèles économiquesRemise en cause des modèles
d’équipements domotiques classiquesSegment de capteurs personnels <100$
Offres de services pour la télésurveillance sur de l’abonnement mensuel
Modèles à la performance
TechnologiesBig-data
Analytics, optimisation
Intelligence ambiante, prédictibilité de la consommation des services
Exploitation des open data
Machine learning : un environnement apprenant
Image & géolocalisationPlaques minéralogiques pour gestion des flux
; Géoloc, guidage outdoor
/
MAISON, VILLE, TRANSPORT / Synthèse des scénarios d’action
VISIBILITÉ ET MISE EN RÉSEAU
Organiser des Demo Days pour les collectivités locales pour accompagner la mutation « smart city »
VEILLE ET PROSPECTIVE « THINK DIGITAL »
Structurer les filières autour d’actions sur les standards et autour des industriels qui peuvent proposer des API (« smart home », plateformes pour voiture connectée, voiture, Système d’information urbain…)
RDI Encourager les projets sur le verrou du big data/ prédictif et sur le développement durable Promouvoir des projets autour des plateformes ouvertes et APIsables, préalablement répertoriéesMener des études et obtenir des retours d’expérience sur l’éthique, l’acceptabilité et la privacyFavoriser l’intégration de plus de « smart » dans les objets (tissu intelligent) et dans les infrastructures (smart grid, gestion intelligente des fluides) en s’appuyant sur les Big Data
PASSAGE DU PROJET AU PRODUIT : PLATEFORMES ET INCUBATION
Monter un plateau technique/techshop pour les technologies d’intelligence ambiante afin d’encourager l’expérimentation des objets utilisant ces technologiesSe rapprocher des initiatives en cours Encourager les plateformes Open Data
Ces scénarios sont issus des réflexions menées lors des Stratcamps du plan stratégique 2013/2018 de Cap Digital en mars 2013 www.capdigital.com/evenements/cap2018/
MÉDIA, SERVICES DE COMMUNICATION,
RÉSEAUX SOCIAUXMARCHE CIBLE
MÉDIAS ET TELECOMS / Trois secteurs interconnectés
Réseaux44 Mds €
Interactivité
Conten
us
AudiovisuelCinémaEditionJeu vidéoPresseRadio
Réseaux
sociaux
4GTHD
Réseaux sociauxEffet de stimulation de plateforme par Facebook évalué à 1,9 milliards d’euros en France et 22 000 emplois vs un CA direct de 5,1 milliards €
Services de télécommunication Enabler du THDMarge brute d'exploitation en recul de 14% (source Arthur D Little pour la FFT) -> impact sur la capacité d’investissement et sur les effectifs
MÉDIAS ET TELECOMS / Ordres de grandeur dans les industries des contenus
Edition
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TV
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Livre
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Chiffres France en milliards d’euros2010, 2011 ou 2012 selon sources
ORDRES DE GRANDEUR DANS LES INDUSTRIES DES CONTENUS
MÉDIAS ET TELECOMS /Transition vers le numérique – Chiffres d’affaires des ventes par secteur
Livre
TV gratuite
Presse
Musique enregistrée
Vidéo
Ventes de jeu vidéo
4 109
5 610
8 900
364
1,257
1,296
21
45
300
125
219
500
"Traditionnel" Numérique
Chiffres France en millions d’euros
MÉDIAS ET TELECOMS / Focus Cinéma
Exploitation
1 370
Droits de diffusion
TV900
Exportation105
Edition
Vidéo (+TV)1 257
VàD219
Production
1 390
Distribution
1 785
Industries
techniques
1 180
Chiffres France en millions d’euros 2010, 2011ou 2012 selon sources
FOCUS CINÉMA
MÉDIAS ET TELECOMS / Focus Audiovisuel
Chaînes TV9 200
Exportation111
Edition
Vidéo (+cinéma)
1 257
TV de rattrapage
45
Industries techniques
1 180
Production 2 428
Hors films institutionnels et publicitaires
FOCUS AUDIOVISUEL
MÉDIAS ET TELECOMS / Acteurs et Tendances par secteur
LE MARCHÉ DE L’ÉDITION NUMÉRIQUE ATTEINDRA
75 M€ EN 2015Les revenus du secteur Edition sont relativement stablesIls sont mesurés par les revenus nets des éditeurs (source SNE, 2,8 Mds€ en 2011) et par les ventes en sortie de caisse (4,13 milliards d’euros en 2012, source GfK)
L’édition numérique est encore marginale: 2 % du CA des éditeurs en 2011 (source SNE), 0,6%
du marché total du livre en 2012 à 21M€ (GfK). Il pourrait atteindre 75 M€ en 2015. C’est très inférieur aux marchés américains et anglais, où le livre numérique atteint respectivement 20 et 15% de la valeur (GfK)
est portée par la généralisation des appareils destinés à la lecture numérique (25M en 2013, selon GfK)
MÉDIAS ET TELECOMS / Acteurs et Tendances par secteur
LA PRESSE ÉCRITE : VERS DE NOUVEAUX MODÈLES ÉCONOMIQUES
CA de 9,15 milliards d’euros en 2011(Ministère de la culture et de la
Communication/ DGMIC) réalisé essentiellement par 25% des titres.
Une situation fragile: Forte dépendance envers les subventions publiques Affaiblissement structurel (sous-capitalisation, faible rentabilité économique
freinant l’investissement dans l’outil de production, peu de R&D, faiblesse des investissements publicitaires
Fort impact technologique, qui entraîne des restructurations importantes et la recherche de diversifications stratégiques au sein des groupes de presse.
Les principales entreprises de presse technique et professionnelle réalisent ainsi plus de la moitié de leur CA dans des activités hors presse écrite (internet, édition d’ouvrages, salons, services aux entreprises, etc.)
à l’international, les abonnements aux éditions numériques de journaux anglo-saxons deviennent substantiels (Financial Times, NY Times) et commencent parfois à dépasser les revenus publicitaires.
MÉDIAS ET TELECOMS / Acteurs et Tendances par secteur
LES INDUSTRIES TECHNIQUES DU CINÉMA ET DE L’AUDIOVISUEL
Stagnation du secteur du fait notamment de l’obsolescence plus rapide du matériel à l’ère numérique alors que les immobilisations sont déjà élevées, des délocalisations dans un contexte de concurrence fiscale, qui a conduit à l’adaptation du crédit d’impôt.
Problématique sur 3 segments Dans l’audiovisuel: tension sur les prix en raison de la pression sur les budgets des
diffuseurs, du surcoût dû à la HD, entraînant une concentration des acteurs Dans le cinéma: forte hétérogénéité entre acteurs industriels et artisanaux,
valorisation insuffisante des prestations Fort taux de délocalisation (60%) et internalisation des fonctions de postproduction
par les agences.
R&D : enjeu de mise en commun des ressources à grande échelle, à la suite des projets HD3D et Play All
Alors que la dématérialisation finit d’être déployée, l'automatisation des process de diffusion (gestion des variantes de formats, contrôle qualité, …) qui en découle, reste à parachever, tandis qu’apparaît le besoin de retrouver une vision de moyen/long terme (R&D, innovation), et de restaurer des capacités d’investissement
MÉDIAS ET TELECOMS / Focus Télécommunications
SERVICES DE TÉLÉCOMMUNICATIONS
Intensification de la concurrenceContexte réglementaire et fiscal tendu>> Impact sur la capacité d’investissement
(Source http://www.lefigaro.fr/societes/2012/11/01/20005-20121101ARTFIG00452-les-telecoms-ont-atteint-la-cote-d-alerte.php)
MÉDIAS ET TELECOMS / Leviers et Opportunités
RENOUVELLEMENT DESINDUSTRIES TECHNIQUES4K, UltraHD, relief, previz-postvizConvergence cinéma/JV
CO-CRÉATION, IMPLICATION DES SPECTATEURS DANS LE CONTENU (crowd + interactivité)
CRÉATION DE MÉTADONNÉES à la production
DÉPLACEMENT DES USAGES DE CONSOMMATION vers des formats Transmedia
DÉVELOPPEMENT DE L’INDUSTRIE DES FORMATS sur un marché peu préempté par les acteurs français
EXPLOITATION DES MÉTADONNÉES et des données d’usage pour diversifier la consommation
MONTÉE EN PUISSANCE DU BIG DATA : Recommandations (cf le modèle de Netflix, 60% des contenus vus suite à une recommandation) et personnalisation
OPTIMISATION DES MODÈLES PUBLICITAIRES
FORT DÉVELOPPEMENT DES PLATEFORMES DE DISTRIBUTION
GÉNÉRALISATION DES NORMES ET STANDARDSDroits, DRMHBBTVFIMS, IMFW3C, ePub3
Production Distribution Standards
MÉDIAS ET TELECOMS / Synthèse des scénarios d’action
VEILLE ET PROSPECTIVE « THINK DIGITAL »
Comprendre les mutations : constituer une cellule d’observation et de benchmark dédiée à l’économie des plateformes dans le domaine des médiasStructurer la filière pour faire émerger des acteurs de taille internationale en distribution de contenus – (ex : un ou plusieurs « Hulu » français ?)Fédérer les acteurs autour des standardsFavoriser les échanges de connaissances pratiques et savoir faire grâce à une plateforme contributive de capital humain professionnel
CROISSANCE Expérimenter l’incubation de startup / accélérateurs transmedia avec du Crowdfunding, modèles Leanstartup du web appliqués à l’audiovisuel
RDI Soutenir la R&D sur les nouveaux processus de fabrication et de diffusion des contenus (gestion des métadonnées, automatisation des processus…)
PASSAGE DU PROJET
AU PRODUIT : PLATEFORMES ET INCUBATION
Monter et exploiter un plateau technique : production des médias du futur + expérimentation sur le site de Saint-Denis / Maison des Sciences de l’HommeTester des modes innovants de distribution des contenus en mode cross-terminaux (IHM)Concevoir une Plateforme proposant des services aux professionnels de l’audiovisuel en mode SaaS Créer une plateforme : Formations/test contenus transmédia/formatsMonter un « Bac à Sable » regroupant les API industrielles (ex : de type OpenEMI) et les métadonnées associées
Ces scénarios sont issus des réflexions menées lors des Stratcamps du plan stratégique 2013/2018 de Cap Digital en mars 2013 www.capdigital.com/evenements/cap2018/
MÉDIAS ET TELECOMS / Références
Secteur Références
Audiovisuel
• CSA, Les chiffres clés de la production audiovisuelle en 2011, décembre 2012• CSA, Bilan financier des chaînes payantes 2011, décembre 2012• CSA, Bilan financier des chaînes gratuites 2011, novembre 2012 • CNC, Bilan 2011 du CNC, mai 2012• CNC/TVFI, L’exportation des programmes audiovisuels français en 2011,
septembre 2012• CNC, L’économie de la télévision de rattrapage en 2012, mars 2013
Cinéma
• CNC, Bilan 2011 du CNC, mai 2012• J-F. Lepers et J-N. Portugal,
Avenir à 10 ans des industries techniques du cinéma et de l’audiovisuel en France, janvier 2013
Jeu vidéo
• GfK pour CNC, Les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français, novembre 2012 (chiffres 2011)
• GfK pour le CNC, Le marché du jeu vidéo sur support physique en 2011, octobre 2012
Musique• SNEP, Le marché de la musique enregistrée 2012, janvier 2013• IFPI, Digital Music Report 2013, février 2013
Livre
• GfK, Bilan 2012 du marché du livre, mars 2013 (CA des ventes de livres – en caisse)
• Ministère de la Culture et de la Communication/DGMIC, Le secteur du livre: chiffres clés 2011-2012, mars 2013
• SNE, Le livre en chiffres-2011, 2012 (CA des éditeurs)• Association of American Publishers & Book Industry Study Group, BookStats
2012, juillet 2012
Presse• Ministère de la Culture et de la Communication/ DGMIC,
Chiffres clés de la presse écrite en 2011
Radio • IREP/France Pub, Le marché publicitaire en 2012, mars 2013
Télécommunications • INSEE, Tableaux de l’économie française 2013, chapitre « Communication
SANTÉMARCHE CIBLE
SANTÉ / Le marché de la e-Santé en France
MARCHÉS ÉMERGENTS
MARCHÉ DE L’E-SANTÉ BTOB 2,4 MDS € + 4 À 7% / AN
MARCHÉ DE L’E-SANTÉ BTOBTOC ET BTOC ENTRE 3,4 & 4 MDS €
20132014
PRÉVENTIONBIEN VIEILLIR
20152018
Modèle économiqueDéploiementAppropriation
ExpérimentationInvestissement
LE MARCHÉ DE LA E-SANTÉ EN FRANCE
SANTÉ / Quelques chiffres clés
DÉMOGRAPHIE 25% des français meurent chez eux alors que 80% souhaiteraient le faire80% des français souhaitent rester vivre à domicile en cas de forte dépendance La France se classe au 10ème rang des pays de l’OCDE concernant la durée de vie sans invalidité
DÉPENSES DE SANTÉSoins longue durée : 25 Mds €Dépenses de santé : 180 Mds €Prévention : 5,8 Mds d’€
AUTONOMIE - DÉPENDANCE – MAINTIEN À DOMICILE
AcVC : 11 Millions – 4,5 M urgence – 20 000 morts/anDiabétique : 3,5 M en 2010 dont 700 000 s’ignorentAVC : 130 000 / anChute : 8.000 chutes mortelles par an en France chez les 65+
Quelle est aujourd’hui la part de la dépense des ménages
qui contribue à une meilleure santé ?
SANTÉ / Acteurs - Evolution du panorama (hors institutionnels)
LES ÉDITEURS DE LOGICIELS /OPÉRATEURS DE SERVICES
LES ACTEURS
EN 2013
LES NOUVEAUX ACTEURS
EN 2018
LES PRESTATAIRES DE SERVICES INFORMATIQUES,
LES HÉBERGEURS DE DONNÉESDE SANTÉ À CARACTÈRE PERSONNEL
LES FABRICANTS DE DISPOSITIFS MÉDICAUX ET DE MATÉRIEL ÉLECTRIQUE(LEGRAND, SIEMENS, …)
LES SPÉCIALISTES DE LA TÉLÉSANTÉ /TÉLÉMÉDECINE
LES ASSUREURS ET ORGANISMES DE PROTECTION SOCIALE, FOURNISSEURS DE SERVICES À LA PERSONNE
LES PRESTATAIRES DE SERVICES (SODEXO, LE GROUPE LA POSTE …)
LES ÉDITEURS DE JEUX SÉRIEUX, DE JEUX ET DE E-LEARNING
LES ÉDITEURS DE SOLUTIONS POUR PERSONNES ÂGÉES / MALADES CHRONIQUES / GESTION DU CAPITAL SANTÉ
LES DÉVELOPPEURS D’APPLICATIONS MOBILES
LES RÉSEAUX SOCIAUX SPÉCIALISÉS / ASSOCIATION DE E-PATIENTS
LES BANQUES
Des places de leadership à saisir pour des pure players et nouveaux entrants
SANTÉ / Acteurs - Les axes d’innovation identifiés pour Cap Digital
OBJETS COMMUNICANTS
APPLIS WEB ET MOBILES
QUANTIFIEDSELF
ACTIVITÉ PHYSIQUE, NUTRITION
[CAPTEURS]
RÉSEAUX SOCIAUX / SITES D’INFORMATIONS
ROBOTIQUE DE SERVICE
TRACABILITÉ / OPEN FOOD FACTS / ALLERGIES
SIMULATION 3D
SERIOUS GAME
FORMATION
MÉDECINS
FORMATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ,
DES ÉTUDIANTS
PATIENTS
RÉÉDUCATION FONCTIONNELLE
FORMATION DU GRAND PUBLIC
AIDANTS
FORMATION DES AIDANTS
BIG DATA
TRAITEMENT DES DONNÉES
PHARMACOVIGILANCE /
EPIDÉMIOLOGIE
QUANTIFIEDSELF
[CROWDSOURCING DES DONNÉES]
Au service de la prévention, du bien-vieillir, de la gestion du capital santé, de l’autonomie, de la médecine
SANTÉ / Points de vigilance
MARCHÉ FRAGMENTÉpar une diversité d’acteurs pluridisciplinaires
ACCOMPAGNER LES PREMIERS DEPLOIEMENTS par des aides financières (R&D, fonds propres, capital risque)
STRUCTURER L’OFFREpour passer d’un marché de quelques dizaines d’unités à quelques milliers de produits vendus
RENFORCER LES ÉCONOMIES D’ÉCHELLEet passer d’expérimentations locales à un marché d’ampleur national, un déploiement à grande échelle
DEVELOPPER LA DISTRIBUTIONfluidifier les divers canaux de distribution
COMMUNIQUERauprès du grand public mais également auprès des professionnels de santé
LA SOLVABILISATION DE LA DEMANDE mais aussi LA RÉDUCTION DU COÛT DE L’OFFRE
SANTÉ / Leviers et Opportunités
IHM, DESIGNExtraction et gestion de connaissances, Big Data, Moteurs de rechercheMultilinguismeDatacenter
EMERGENCE DE STANDARDS
ROBOTS ET OBJETS COMMUNICANTS
EMERGENCE DU SERIOUS GAMING
« EMPOWERMENT » DES PATIENTS, DES RÉSEAUX DE PATIENTS ET DES INDIVIDUS
Quantified SelfPlateformes d’échange, conseils, coaching, sites d’informations santé
SANTÉ / Synthèse des scénarios d’action
VISIBILITÉ ET MISE EN RESEAU
Monter une place de marché en ligne pour démontrer les usages de l’e-santé dans les années à venir. Représenter les adhérents TIC&Santé auprès des pouvoirs publics en participant à différents groupes de travail.Organiser des Demo Days « accès au marché »
VEILLE ET PROSPECTIVE « THINK DIGITAL »
Organiser des groupes de réflexion entre acteurs pluridisciplinaires (PME, GE, professionnels de santé, représentants des usagers, pouvoirs publics, assurances/mutuelles) par segment de marché identifié : Silver Economy Well-Being Simulation / Formation / Serious Game Epidémiologie / Pharmaco-vigilance / Big Data
RDI Accompagner en particulier les projets financés sur 3 points majeurs : Interopérabilité Multidisciplinarité Modèles EconomiquesOrganiser des Demo Days « R&D » - autour d’une thématique précise, lancement d’appels à démonstrations
PASSAGE DU PROJET AU PRODUIT : PLATEFORMES ET INCUBATION
Renforcer les liens avec les acteurs ayant des initiatives en cours : CGEIET, CNR-Santé, ICM, Institut de la Vision (StreetLab), CEN STIM-CO, Ivry-sur-Seine, Villejuif, Communauté d’Agglomération du Val-de-Bièvre, en partenariat avec les pôles TIC&Santé.
Ces scénarios sont issus des réflexions menées lors des Stratcamps du plan stratégique 2013/2018 de Cap Digital en mars 2013 www.capdigital.com/evenements/cap2018/
TOURISMEMARCHE CIBLE
TOURISME / Segments de marché
•La France : première destination touristique mondiale . 81,4 M de touristes en 2011 (source DGCIS 2012)
•Le tourisme en France un marché de 131 Milliards d’euros (INSEE 2009, 2011)•Dont 8,81 Milliards d’euros de Tourisme d’affaires•Dont 21 Milliards d’euros pour la valorisation et le tourisme patrimonial
LE E-TOURISME•Le e-tourisme : premier secteur du e-commerce en France avec une croissance de 7% (source FEVAD)
•17,7 Milliards d’euros pour le voyage/tourisme (VS 37 Milliards d’euros pour le e-commerce global) (source FEVAD)
•Cible BtoC : en France 46,1% du e-commerce B2C (source FEVAD)
LE M-TOURISME•Les acteurs du tourisme ont une présence encore faible sur mobile : 3% des Offices de Tourisme et 37% des agences de voyage, et agences en ligne. (DGCIS, 2012 http://bit.ly/17huTAW ) même si les stratégies « SoLoMo » de grands acteurs comme Voyage Sncf.com sont le signe d’une transformation en cours.
•Des usages naissants : 35% des internautes ont préparé leurs vacances depuis leur mobile mais seuls 10% ont finalisé l’acte d’achat (Fevad, 2012). C’est un nouveau marché à cibler avec un potentiel de 8 à 14 millions de consommateurs mobile d’ici à 2015 (source CCM Benchmark)
LE TOURISME EN FRANCE
TOURISME / Segments de marché
LE TOURISME EN ILE DE FRANCE, UN FORT ENJEU ÉCONOMIQUE•L’Ile de France : première destination touristique mondiale (Source : CRT Ile de France, 2012 : http://bit.ly/14sgcz1)
•Les entreprises dont l’activité principale est liée au tourisme emploient plus de 500 000 personnes soit 9,5% de la population salariée de la Région.
•Tourisme d’affaires•1ère destination nationale pour le Tourisme d’affaires•Les salons professionnels ont réalisé un chiffre de 3,7 Milliards d’euros de retombées économiques en 2011 (source CCIP, Tourisme d'affaires à Paris Ile-de-France 2012 - Mars 2013)
•Tourisme d’agrément et de loisir•Une offre culturelle : avec une concentration des visites sur les principaux sites•Les événements culturels, sportifs et festifs qui attirent jusqu’à 500.000 visiteurs (exposition Grand Palais 2011)
•Un plan national de numérisation de 750 millions d’euros (audiovisuel/Ina, Cinéma, Livre, musique et Presse/ BNF, Art Contemporain) dont la valorisation offre des opportunités pour le tourisme
•Vers une nouvelle expérience utilisateur du Patrimoine (cf expositionDynamo, RMN 2013) : expériences immersives, modélisation des villes et des territoires en 3D, réalité augmentée
PATRIMOINE CULTUREL ENRICHI PAR LE NUMÉRIQUE
TOURISME / Des acteurs très diversifiés et verticalisés
TOURISMECompagnies aériennes , Transport ferroviaire, Réseaux de location de voitures, Réseaux de transport urbainChaînes hôtelières, Autres hébergementsChaînes de restauration Sites culturels et récréatifs, institutions Evénements: festivals, expositions Salons, congrès, événements professionnels Tour-opérateurs, Agences de voyagesOffices de tourisme, CRT, CDT
ETOURISME - MTOURISMEAgences de voyages en ligne, Sites de réservation d’hôtel , de chaines hôtelières, de location de voitures Sites de compagnies de transports : aérien, ferroviaire, maritime, transports locaux, ..Sites de coffrets cadeaux : smartbox,… Infomédiaires (guides, comparateur, sites d'avis,...) Annuaires : Solocal/Pages Jaunes,Sites de cartographies : Google Maps, Mappy, IGN, Open Street Map,…
NUMÉRISATION PATRIMOINE CULTUREL
Fournisseurs de technologies et applications pour la numérisation, visite virtuelleDétenteurs de catalogues : bibliothèques, producteurs, éditeurs,…
ECONOMIE DE LA CONTRIBUTIONHébergement entre particuliers : AirBnB ..Co-voiturage : Comuto …Greeters : hôtes locaux…
TOURISME / Synthèse des scénarios d’action
Ces scénarios sont issus des réflexions menées lors des Stratcamps du plan stratégique 2012/2018 de Cap Digital en mars 2013 www.capdigital.com/evenements/cap2018/
VISIBILITÉ ET MISE EN RÉSEAU
Organiser un concours e-tourisme « Grand prix de l’innovation touristique »Créer un espace dédié au tourisme numérique à Futur en Seine
VEILLE ET PROSPECTIVE « THINK DIGITAL »
Animer un groupe de réflexion e-tourisme/m-tourismeSoutenir la structuration de filière : quelle distribution de produits touristiques serait-elle plus propice à la médiation offreur/touristes (VS l’approche des grands groupes comme Groupon, Tripadvisor, Booking, …) ?
RDI Soutenir des projets innovants : « big data » (analyse prédictive) et tourisme Numérisation et modélisation 3D des paysages,
monuments, environnements urbains, et usages associés en tourisme/patrimoine
PASSAGE DU PROJET AU PRODUIT : PLATEFORMES ET INCUBATION
Co-construire avec l’incubateur dédié au Tourisme de la Ville de Paris : un lieu de communication, d’échanges, d’expérimentation
ROBOTIQUE DE SERVICEMARCHE TECHNOLOGIQUE
ROBOTIQUE / Segments de marché
•Malgré la crise économique, le marché émergent de la robotique de service connaît une forte croissance :
•Le marché total de la robotique de service à usage professionnel est évalué au niveau mondial à 16 milliards de dollars (chiffres 2010)
•Celui de la robotique de service vers les particuliers est projeté à 5,4 milliards de $ en 2014 (source International Federation of Robotics), ou 8 milliards de dollars en 2015.
•L’Europe représente 33% du marché mondial de la robotique de service (5 milliards d’€, projection de la Commission européenne à 100 milliards d’€ en 2020).
•En 2011, le nombre total de robots industriels en service est estimé à 1 035 000 produits. Le marché 2011 représente un chiffre d'affaires mondial de 5,7 milliards de dollars.
•En France, le nombre de robots industriels est d'environ 34 000 (vs 144 000 en Allemagne)
•En Europe, l’Allemagne est en position de leader sur le créneau de la robotique industrielle, l’Italie bien placée en robotique médicale. La France arrive en troisième position avec un CA de 600 M$, soit 12% seulement du marché européen
ROBOTIQUE DE SERVICE
ROBOTIQUE INDUSTRIELLE
ROBOTIQUE / Acteurs
EN FRANCE, NI LES GRANDS GROUPES INDUSTRIELS, NI LE CAPITAL-RISQUE, NE SONT AUJOURD’HUI INVESTIS SUR CE SECTEUR, qui est le terrain des académiques (CEA, INRIA, Institut Mines Telecom, Supelec, …) et des startup et PME (Aldebaran Robotics, EOS innovation, Induct, RB3D, Robosoft, …).
Le travail de recherche portant principalement sur des applications à haut niveau de complexité (robotique «intelligente »), LES ENTREPRISES NE TRAVAILLENT QUE PEU SUR DES ROBOTS SPÉCIALISÉS, OU SUR L’INDUSTRIALISATION DE PRODUITS SUSCEPTIBLES DE FAIRE L’OBJET D’UNE DIFFUSION LARGE À COURT TERME.
En l’absence d’acteurs de dimension mondiale, LA FILIÈRE FRANÇAISE NE SE BÂTIT PAS SUR UN SOCLE D’ENTREPRISES VENANT DE LA ROBOTIQUE INDUSTRIELLE. Elle est composée d’une majorité d’entreprises jeunes et de petite taille, et compte néanmoins quelques intégrateurs et équipementiers de haut niveau, et quelques ETI de pointe positionnées sur des marchés très spécialisés (logistique, drones, …).
ROBOTIQUE / Leviers et Opportunités
CE PLAN PRÉVOIT 100 MILLIONS D’EUROS D’INVESTISSEMENT AVEC L’AMBITION DE PLACER LE PAYS EN POSITION DE « LEADER MONDIAL » D’ICI 2020
MARCHÉ DE L’ASSISTANCE AUX PERSONNES EN PERTE D’AUTONOMIE :télésurveillance, télémédecine, aide à la rééducation, assistance de vie. Evaluation du marché : entre 1 et 2,5 Milliards d’euros en 2018.
MARCHÉ DES ROBOTS DOMESTIQUES ET ROBOTS COMPAGNONS (entretien, jeux et jouets, applications domestiques diverses… Ce marché pourrait représenter un volume de 11 millions d’unités entre 2011 et 2015.
MARCHÉ DES ROBOTS DE SURVEILLANCE, DE GARDIENNAGE, ET DE SURVEILLANCE ENVIRONNEMENTALE.
ROBOTIQUE / Scénarios stratégiques
STRUCTURER UNE POLITIQUE DE FILIÈRE Sensibiliser les donneurs d’ordre potentiels/grandes entreprises
(grands acteurs des services, de l’assurance, du bâtiment, etc..), les inciter à lancer des appels d’offre ; Sensibiliser les pouvoirs publics (commande publique –éducation, santé, transports intelligents, …)
CONSOLIDER L’EFFORT DE R&D ET LA RECHERCHE PARTENARIALE
Organiser des appels à projets regroupant donneurs d’ordre, industriels et chercheurs, et impliquant des phases de tests et d’évaluations en vraie grandeur
Ouvrir la possibilité de petits projets collaboratifs courts pour les start-up et TPE/PME (subventions de l’ordre de 100 k€), et de petits projets entre PME
Favoriser les transferts de technologie entre le monde de la recherche académique et les industriels
CRÉER ET ANIMER UN PLATEAU TECHNIQUE « ROBOTIQUE DE SERVICE » OUVERT AUX PME INNOVANTES
Progresser sur les capacités techniques, l’acceptabilité sociale, les modèles économiques sous-jacents
ÉCONOMIE DE LA DONNÉEMARCHE TECHNOLOGIQUE
ÉCONOMIE DE LA DONNÉE / Le phénomène du Big Data
http://www.emc.com/leadership/programs/digital-universe.htm
ÉCONOMIE DE LA DONNÉE / Le phénomène du Big Data
'Big Data' Is Only the Beginning of Extreme Information Management (Gartner, 2011)
ÉCONOMIE DE LA DONNÉE / Le phénomène du Big Data
Big data:the next frontier (McKinsey, 2011)
ÉCONOMIE DE LA DONNÉE / Le phénomène du Big Data
Demystifying big data (TechAmericaFoundation_2012)
ÉCONOMIE DE LA DONNÉE / Acteurs
ÉCONOMIE DE LA DONNÉE / Adhérents Cap Digital
ÉCONOMIE DE LA DONNÉE / Le Big Data en France
http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/tech-medias/actu/0202677949236-le-big-data-peine-a-decoller-en-france-555051.php
ÉCONOMIE DE LA DONNÉE / Scénarios stratégiques
VISIBILITÉ ET MISE EN RÉSEAU
Mettre en place une place de marché des expertises des membres de Cap Digital sur le Big Data et proposer des modules e-learning sur la mise en œuvre de solutions Big DataOrganiser des session DemoDays pour permettre à des utilisateurs finaux de pouvoir « toucher » les solutions innovantes et comprendre leur ROI.
VEILLE ET PROSPECTIVE « THINK DIGITAL »
Animer la communauté Big Data pour présenter les outils et services disponibles à des acteurs de marchés
ciblés mutualiser les moyens de formation recueillir auprès d’entreprises, services de l’état ou usagers des idées de
modernisation et d’adaptation aux attentes Identifier les applications métiers où des fonctionnalités Big Data peuvent
être intégrées via API
RDI Soutenir l’émergence de grands projets structurants dans les domaines de la collecte multi-sources et l’exploitation des métadonnées le stockage dans les grandes bases de données et dans le cloud la valorisation de la donnée
ensemble des mécanismes pour rendre intelligente la recherche de contenus (liens entre contenus, web sémantique, indexation collaborative)
modélisation descriptive et prédictive services de recommandation, géo-localisation
l’assemblage de services à valeur ajoutée multi-plateformes (web et mobiles)
PASSAGE DU PROJET AU PRODUIT : PLATEFORMES ET INCUBATION
Structurer des actions de mutualisation (accès à des sets de données, outils, expertises, formation…) autour des grandes plateformes Big Data académiques (Mines Télécom, Inria) industrielles et gouvernementales.
DESIGN, OBJETS CONNECTÉS, HYBRIDATION MONDE
PHYSIQUE-VIRTUELMARCHE TECHNOLOGIQUE
DESIGN, OBJETS CONNECTÉS, HYBRIDATION MONDE PHYSIQUE/MONDE VIRTUEL
Historiquement associé à la sphère artistique ou décorative, il devient aujourd’hui chargé de concevoir des objets, réels ou virtuels, capables de créer de la relation.
A la croisée de la technologie, de la culture, de l’économie, le design se présente comme l’intégration, la convergence, la « synthèse » des différentes disciplines qui concourent à la production industrielle et à la création du désir et de l’appropriation chez les utilisateurs.
Le contexte de l’économie numérique et de l’internet des objets
constitue une opportunité unique pour développer une filière industrielle des objets du quotidien, appuyée sur les atouts de l’industrie « traditionnelle » et dynamisée par le design et la robotique de service.
ÉCONOMIE NUMÉRIQUE, INTERNET DES OBJETS : LE RÔLE DU DESIGN ÉVOLUE
DESIGN, OBJETS CONNECTÉS, HYBRIDATION MONDE PHYSIQUE/MONDE VIRTUEL
Vers 50 milliards d’objets connectés en 2020 (source Ericsson) ?
Si les chiffres varient, toutes les études prévoient une explosion des connexions entre objets, du M2M et de l’Internet des Objets.
Estimation du marché global des services de connectivité dans le monde : 18 Mds € en 2011, 27,7 Mds € en 2013 (Idate), et 35 milliards de dollars en 2016 (source ABI Research) .
Selon ABI Research, les secteurs les plus porteurs seront l’automobile (15,5 Mds $ pour les connexions intégrées, les services pour l’assurance, le management de flotte), et la gestion des énergies et de l’eau (7,5 Mds $ pour le smart grid et smart meter).
Premier pas vers l’Internet des Objets, le marché du Machine to Machine est tiré par trois secteurs verticaux : l’automobile (+ fort taux de croissance annuel, +40% jusqu’en 2016), l’électronique grand public (15%) et les services publics.
Le marché mondial des modules Machine to Machine (2012) est de 140 millions de modules pour un total de 22 milliards d’euros, en forte croissance.
L’Europe, principal marché du Machine to Machine avec près de 7 milliards d’euros de chiffre d’affaires, devrait conserver cette position au moins jusqu’en 2015, date où il pèsera plus de 10 milliards d’euros.
La carte SIM soudée (eSIM) devrait jouer un rôle moteur dans le développement du marché Machine to Machine .
LE MARCHÉ DE LA CONNECTIVITÉ DES OBJETS VA EXPLOSER
DESIGN, OBJETS CONNECTÉS, HYBRIDATION MONDE PHYSIQUE-VIRTUEL / Scénario stratégique
CRÉER UN TECHSHOP/LABORATOIRE DE LA PRODUCTION INDUSTRIELLE DES NOUVEAUX OBJETS DU QUOTIDIEN
Le pôle Cap Digital peut être moteur sur l’une des composantes de la ré-industrialisation, en montant un plateau technique/TechShop spécialisé sur le marché des objets communicants, de la robotique de service, du smart home, des objets pour la e-santé, …
Avec la contribution et la participation active des industriels du 3D, de la CAO, de l’impression 3D, créer et animer un lieu où les individus et/ou les startup peuvent venir créer des objets en petite série, les expérimenter, les produire dans un circuit court grâce à la robotique.
PRÉSENTATION DE CAP DIGITAL
FOCUS MARCHÉ
8 MARCHÉS LEVIERS 3 MARCHÉS TECHNOLOGIQUES
CONCLUSIONOBJECTIFS GÉNÉRAUX DE DÉVELOPPEMENT DU PÔLE
OBJECTIFS GENERAUX DE DEVELOPPEMENT DU POLE
1. L’ADN du pôle : développer la compétitivité par l’écosystème
2. Faire de Cap Digital un outil au service d’une politique industrielle du numérique
3. Fédérer les acteurs autour des standards mondiaux
4. Développer une stratégie de plateformes
5. Accélérer le développement international des membres
6. Faire évoluer le modèle de financement du pôle
L’adn du pôle : développer la compétitivité par l’écosystème
Un tissu industriel très
spécifique, petites
structures, peu d’ETI, et
bouleversement des chaines
de valeur
Une innovation à la fois
structurée (labos, …) et
diffuse (utilisateurs,
réseaux sociaux, …)
Des effets de filières mais
aussi beaucoup
d’innovation transdisciplinai
re
Des questions d’équité et de réglementatio
n dans la compétition
internationale des industries
culturelles
Innover
tout en favorisant la co-création et le co-design
Animer
les
filières
tout en organisant les transversalités
Développer
les entreprises
tout en organisant des modèles de financement hybrides
L’ADN DU PÔLE : DÉVELOPPER LA COMPÉTITIVITÉ PAR L’ÉCOSYSTÈME
Faire du pôle un outil au service d’une politique industrielle du numérique
Soutenir les actions
de structurati
on de filières,
autour de standards
et de ressources partagéesTester et évaluer
les pistes pour une nouvelle
industrialisation par le numérique
(Techshop, Fablabs, …)
Expérimenter de
nouvelles formes de financement pour les startups
FAIRE DU PÔLE UN OUTIL AU SERVICE D’UNE POLITIQUE INDUSTRIELLE DU NUMÉRIQUE ET DE LA E-TRANSFORMATION DES ENTREPRISES
Fédérer les acteurs autour des standards mondiaux
FÉDÉRER LES ACTEURS AUTOUR DES STANDARDS MONDIAUX
Accompagner les acteurs des industries culturelles et créatives dans le « choc culturel » de la normalisation
Organiser le partage d’expérience autour de démonstrations, de « Proof of Concept »
Mettre en place une stratégie de plateformes
METTRE EN PLACE UNE STRATÉGIE DE PLATEFORMES
L’ économie numérique se structure sur le paradigme de la consolidation applications/plateformes
Socle technique : les questions d’API, de portabilité et d’interopérabilité. Business : le développement d’écosystèmes, la maîtrise des plateformes de distribution-clé de la relation avec le client
Le pôle doit jouer un rôle moteur : promotion des API dans les projets, mutualisation de ressources pour stimuler la création d’écosystèmes
Pour cela, le pôle mettra en place un « réseau de la vie numérique » : réseau de lieux d’expérimentation et d’incubation de projets, thématisés, et permettant la
synergie entre les plateformes issues des laboratoires publics et privés, les innovations issues des startup, et les publics finaux.
Accélérer à l’international
ACCÉLÉRER À L’INTERNATIONAL
Le terrain de jeu est européen et mondial, mais dans certaines filières des barrières culturelles, réglementaires, fiscales … ainsi que l’atomisation du tissu industriel ont freiné la dynamique d’internationalisation
L’action internationale du pôle (missions B2B, soft landing, incubation, appui sur les actions des grandes entreprises membres, ….) doit être articulée avec son pendant : « attractivité de l’Ile de France » vis-à-vis des entreprises étrangères
Vers un nouveau modèle de financement du pôle
La dynamique de croissance du pôle, et la mise en place des nouvelles actions (plateaux techniques et lieux d’incubation / d’expérimentation) imposent de trouver de nouvelles modalités de financement.
Financement public, dans une logique d’investissement dans le moteur de croissance
Financement européen Financement privé, dans une logique de développement
des services, de contribution en industrie de la part notamment des grands comptes et de création d’un fonds de dotation
VERS UN NOUVEAU MODÈLE DE FINANCEMENT DU PÔLE
Prochaines étapes
PROCHAINES ETAPES
Fin juin 2013 - Synthèse des travaux et finalisation du plan stratégique du pôle et remise du contrat de performance avec les acteurs publics
ÉTAPES DE L’ÉVOLUTION VERS LE PÔLE 3.0 :
S2 2013 : préparation de l’évolution du modèle économique (définition des nouveaux services, mise en place de nouveaux instruments financiers ou juridiques si besoin)2014 : ouverture des plateaux de Saint-Denis et Paris
Aménagement des espaces, définition et installation des premières plateformes techniques, ouverture des services associés aux plateformes vers les PMEAmplification des services PME (international, accompagnement personnalisé). Mise en place progressive des nouveaux services (place de marché, démonstrations, expérimentations) et des « Labs », définition et expérimentation de nouveaux services RH/FormationMise en place du réseau : partenariat avec d’autres plateformes
2015 : pôle 3.0 pleinement opérationnelDu projet au produit : suivi des résultats des projets jusqu’aux marchés, via des démonstrations, des expérimentations, des places de marché pour la réutilisation des briques technologiques, programme d’accélération pour les startups« Labs » et TechShop opérationnels
Fin 2015 : évaluation à mi-parcours de la stratégie du pôle et actualisation
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