Plaquette Atelier 8 IIIème année ENSP-V

Ecole Nationale Supérieure de Paysage - Versailles

AT8 2015/2016 Master 2ème année

SACLAY : Quelles formes d’organisation paysagère inventer pour conduire la transition écologiQue du territoire dans un contexte d‘intégration métropolitaine ?

ENSP Département du Projet10, rue Maréchal Joffre - 78100 Versailleswww.ecole-paysage.fr

ATELIER 8 2015/2016

ENSEIGNANTS :

Marion TALAGRAND – enseignant responsable AT8, professeur associée ENSP

Giulio GIORGI – enseignant, coordinateur dép. projet ENSP

Sonia KERAVEL et Valérie KAUFMANN – enseignants 1ère phase

Stéphane RÉMILLET – enseignant 2ème phase

p. 3

INDEX

p. 7

p. 9

p. 32

INTRODUCTION

PEDAGOGIE

PROJETS

BIBLIOGRAPHIE

2

SUJET « Saclay : quelles formes d’organisation paysagère inventer pour conduire la transition écologique du territoire dans un contexte d‘intégration métropolitaine ? »

Précision terminologique : projet de paysage et projet de territoire

L’atelier introduit les étudiants au projet de

territoire en tant que projet de société énoncé et

concrétisé spatialement en un lieu donné par une

communauté d’acteurs. Le « projet de paysage »

est ainsi entendu comme versant matériel d’un «

projet de société » qui le précède.

Transition écologique en situa-tion métropolitaine

La problématique de la transition écologique est

proposée comme notion que les étudiants sont

invités à définir et enrichir par leur recherche et

ceci au regard de la situation métropolitaine du

territoire de projet.

Quelques prémices de réflexion sur la notion

de « transition paysagère » :

• La transition concerne l’organisation (ou

réorganisation) d’une société dans toutes ses

dimensions et pas uniquement / ni premièrement

spatiale (mais écologique, énergétique,

économique…)

• Les enjeux actuels de la transition

écologique sont reliés à d’autres enjeux de

transition : énergétique (trouver de nouvelles

solutions énergétiques durable c.à.d. non

carbonées), économique (rompre avec le modèle

de la croissance sans fin qui induit un épuisement

des ressources naturelles), mais également

sociale (ajustement de l’organisation sociale

en vue d’une meilleure équité dans l’accès aux

ressources naturelles par exemple)

• La transition s’inscrit dans le temps, elle

suppose un état initial et un état final, ainsi qu’une

dynamique (évolution).

• Peut-on parler de « transition

paysagère » et selon quelles acceptions ?

> Transition concernant l’organisation

paysagère du territoire comme résultante

d’un nouveau mode de gestion et d’utilisation

des ressources naturelles mais également de

nouvelles organisations urbaines…

> Transition concernant les modes de

production des paysages (processus de projets

négociés, plus ancrés dans les réalités locales et

facteurs d’intégration sociale)…

3

Saclay - de quel territoire parle-t-on ?

• L’évidence de la géographie : Il y a certes un

plateau donné par l‘évidence de la géographie,

délimité au Nord par la vallée de la Bièvre et

au Sud par la vallée de l’Yvette… A l’est ses

contreforts sont bien marqués… mais à l’ouest

l’étendue du plateau s’élargit devenant région.

• Une histoire urbaine périphérique : Il y a un

système urbain ancien périphérique… organisé

le long des vallées alors que le plateau demeurait

cultivé…

• … mais il y a aussi une histoire urbaine marquée

par l’intervention de l’Etat et qui a fortement

marqué Saclay (Versailles et à travers la ville de

nouvelle de Saint-Quentin en Yvelines) ;

• Une identité agricole reconnue : Il y a un

espace agricole relativement unifié et qui semble

homogène (l’est-il ?)… aujourd’hui préservé et

protégé ;

•Le rayonnement universitaire et scientifique

: Il y a des sites universitaires et de recherche

implantés de longue date déjà, organisés

en campus en différents lieux de ce plateau

dessinant un espace plus mosaïque ;

• Un projet du Grand Paris : Il y a un projet de

développement économique et scientifique de

dimension internationale et porté par l’Etat. Ce

projet est défini par un périmètre « politique »,

celui de l’EPPS (35 000 hectares) et un périmètre

« opérationnel », celui de l’OIN (7 700 hectares).

« Saclay » est un territoire très investi et dont

l’avenir semble écrit. De nombreux projets

s‘y concentrent touchant à de nombreuses

composantes ou objets territoriaux (transports,

campus universitaires, quartiers urbains,

agriculture…) et mobilisant de nombreux

acteurs nationaux et locaux (EPPS, collectivités,

associations locales, SGP…). Saclay est sur la

carte de la métropole. L’exercice d’atelier ne

propose pas de développer une alternative au

projet d’ensemble. Il propose plutôt de construire

un regard critique et constructif à partir d’un point

d’entrée : celui de la transition paysagère en tant

qu’elle incarne (ou concrétise) spatialement les

enjeux de la transition écologique.

Il ne va pas de soi de définir un périmètre,

ni une unité territoriale (ou même géographique)

qui serait première :

4

Quelles formes d’organisation paysagère inventer pour conduire la transition écologique du territoire dans un contexte d‘intégration mé-tropolitaine ?

Cette question implique d’autres questions.

• Qu’est-ce que le paysage à Saclay ?

• Comment prendre soin des ressources naturelles ?

• Comment gérer les risques naturels (ou induits par les activités humaines) ?

• Quelles sont les fonctions, usages et valeurs attachées aux espaces ouverts (alimentaire,

énergétique, récréatifs, paysagers…) ?

• Quelles sont les dispositifs spatiaux permettant d’articuler et lier les différentes composantes

programmatiques du projet de Saclay ?

• Quelles formes paysagères peuvent être produites en réponse à ces questions ?

• Quelle image ce territoire affiche-t-il sur la carte de la métropole et comment le paysage y participe-

t-il ?

• …

5

QUESTION

1.Recherches, explorations, visionsDans le premier temps d’atelier, les étudiants

appréhendent le sujet de trois façons : par

une exploration géographique du site, par

une exploration historique et par une prise de

connaissance des réalités territoriales (acteurs,

pratiques et projets). L’exploration sensible

et cartographique du site (deux premières

semaines) permet aux étudiants de développer

une compréhension du territoire indépendante

de la connaissance sur les projets qui sera

transmise dans un second temps par les acteurs

rencontrés.

2.Stratégie de transition

Dans un second temps, les étudiants construisent

une esquisse d’ensemble pour Saclay répondant

à la question et se décomposant selon deux

dimensions :

> les grandes lignes directrices d’»une stratégie

de transition»; cette stratégie exprime un

fonctionnement, un équilibre territorial en mettant

l’accent sur certains thèmes que vous avez

choisis (la mobilité, l’agriculture, l’énergie...)

> les grandes lignes directrices du projet de

paysage» c.a.d. le spatialisation de cette stratégie

de transition en relation avec un contexte physique

et territorial : quelles structures paysagères et

selon quelles échelles (le plateau, la relation à son

environnement urbain, au-delà…) ?

3.Projet de paysage

Cette troisième étape permet d’aboutir un projet

d’ensemble en approfondissant les concepts,

thèmes, esquisses de l’étape précédente.

4.Illustration du projet par zoom(s) Cette quatrième étape consiste à approfondir un

ou plusieurs zooms illustratifs de la démarche

et du projet d’ensemble. Le choix du ou des

secteurs d’étude (dimension / échelle / nombre)

et spécifique pour chaque équipe selon les

caractéristiques du projet.

PEDAGOGIE

L’atelier est un lieu de pensée et de réflexion collectif et individuel : les deux dimensions se nourrissent.

La pédagogie, les exercices, les modalités de partage du travail… ont pour objectif de favoriser

la construction d’un savoir collectif et la formulation de questionnements, de réflexions et de

positionnements conceptuels personnels.

Les étudiants sont amenés à utiliser différents outils afin d’affermir la définition spatiale du projet et

l’expression des idées qui le sous-tendent et afin d’articuler visions prospective et contextuelle :

transects, maquettes, rédactions etc. Le déroulé de l’atelier a suivi 4 étapes :

6

7

PROJET I

Résilience

La démarche croise volontairement une double approche contextuelle et une approche prospective.

D’une part l’exploration des conditions de « résilience » du plateau aux crises probables engendrées par

les effets du changement climatique et de la pénurie énergétique. D’autre part la reconnaissance précise

et rigoureuse des structures paysagères existante. Prenant appui sur celles-ci, le projet contextualise les

modèles prospectifs et aboutit à la création d’un maillage paysager d’une extrême finesse combinant

réseau hydraulique, trame de cheminements, trame arborescente, rubans résidentiels… formant un

paysage extrêmement robuste.

Cerise David / Ahyoung Gu / Marie Perra / Mathilde Szydywar-Callies

8

ChangementClimatique

CriseEnergétique

Mutation des modes de vie

EauForêt

AgricultureStructureurbaine

PROXIMITEAUTONOMIE

PROXIMITEAUTONOMIE

STRATEGIE DEPRODUCTION

- réorganisation des usageseriudér te resihcrareih -

tnemecalpéd ed spmet el uaesér nu reppoleved -

ne tnemecalpéd ed eimonotuaseéllav te xuaetalp reil -

- rendre la forêt productive eirtémysid enu relliavart -

LUTTER CONTRE LES INNONDATIONS ET SÉCHERESSES

- développer le reseau de drainage existant

uaesér uaevuon nu renissed -d’irrigation

- démembrement

- parcellaire agricole dessiné semètsys sertua sed noitacirbmi’l rap

Concept de transition : developper les potentiels et les mettre en interrelation

sortie de ville du Haut-Buc

sortie de ville de Toussus-le-Noble

rigole de Toussus-le-Noble

rigole plantée de Toussus-le-Noble

haies sur le plateau grandes cultures aux abords de Toussu-le-Noble

bosquets d’arbres sur le plateau ferme de Viltain

Etat Existant : accroches sur le territoire vers des opportunités de structures

état existant des rigoles état existant des déplacements et de la morphologie des villes

état existant des boisements état existant du parcellaire agricole

Rivières

RigolesViaduc

AutoroutesNationales / DépartementalesBus RERVilles sur le plateauVilles étendus dans les vallées

Lisière nettePorositéBocageEspace ouvertTalweg

Grandes cultures céréalesPetites culturesFermes

TIRER DES FILS, EMERGER DES SURFACES L’ExISTAnT En pUISSAnCE

N

9

Concept spatialisé : les grandes lignes

Dans la continuité de la grande échelle

rigoles boisments

découpage agricoleorganisation de la ville

systeme d’eau système de pôles d’emplois importants

système de déplacements en lien avec les pôles agricoles système agricole

centres de recherches : centres d’intercommunalités Redécoupage du parcellaire pour diversifier les cultures asociées à l’agroforesterie

la ferme organise l’échelle locale d’une ville

rigole urbaine bosquets nord avant-après

haies sud avant-après

rigole à travers champs

TIRER DES FILS, EMERGER DES SURFACES STRUCTURER LA RESILIENCE

Céréales (association et rotation biannuelle)

Maraîchage

Pré-verger

Petit élevageParcelles de cultures en lien avec la ville

10

Concept spatialisé : les grandes lignes

Dans la continuité de la grande échelle

rigoles boisments

découpage agricoleorganisation de la ville

systeme d’eau système de pôles d’emplois importants

système de déplacements en lien avec les pôles agricoles système agricole

centres de recherches : centres d’intercommunalités Redécoupage du parcellaire pour diversifier les cultures asociées à l’agroforesterie

la ferme organise l’échelle locale d’une ville

rigole urbaine bosquets nord avant-après

haies sud avant-après

rigole à travers champs

TIRER DES FILS, EMERGER DES SURFACES STRUCTURER LA RESILIENCE

Céréales (association et rotation biannuelle)

Maraîchage

Pré-verger

Petit élevageParcelles de cultures en lien avec la ville

11

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PROJET II

Super Saclay

Le projet fait le pari d’un méga-projet-urbain dont le projet actuel ne serait qu’une première étape.

Super-Saclay s’impose comme en miroir de Saint-Quentin en Yvelines – chaque ville campée de part

et d’autre d’un plateau agricole resserré. 300 000 habitants – c’est la masse critique nécessaire pour

que Saclay s’impose et rayonne à l’échelle francilienne non seulement comme « cluster scientifique et

industriel » mais comme ville à part entière. Voilà ce que nous dit ce projet.

Lucile Chapsal / Anaïs Costéramon / Léo Jolly / Alric Munoz / Aude Schneider

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SUPER SACLAY300.000 habitants pour le plateau

Lucile ChapsalAnaïs Costeramon

Léo JollyAlric Muñoz

Aude Schneider

Des lieux d’éducation éparpillésUn manque d’échanges et de structure, des inégalités

La possibilité d’un ancrage territorial singulierEchelle : 1/200.000e

Une enclave à raccrocherUn maillage de réseaux de mobilité en cohérence avec le Grand Paris

2015 : SITUATION

écoles primairescollèges et lycéesécoles supérieures

Une situation à l’entre-deuxSous l’influence de Versailles / St-Quentin et Massy / Orly

N

surface urbaniséesurface boiséesurface agricole

Un plateau agricole fragiliséMorcellement des espaces de culture et pression urbaine

TRANSITION ÉCOLOGIQUE : CHAQUE M3 COMPTE

PRINCIPES FONDATEURS Vecteurs de nouvelles spatialités et de futures pratiques

Un espace agricole fonctionnel, intensif et structurant

Une ville compacte et intelligente

La ville dense empêche

l’étalement urbain et le mitage du

territoire

Gestion de l’eau qui dessine les espaces publics : stockage, drainage, traitement, réutilisation de l’eau s’intègrant aux espaces plantés

Espaces publics propices aux rencontres et au lien social

Toits investis par des terrasses, des jardins...contribuent aux corridors écologiques

Nouvelles possibilités de déplacementsauxquelles s’adaptent les espaces (places convertibles qui peuvent accueillir une multiplicité de fonctions, parkings sillos)

Grandes écoles et universités ouvertes sur la ville et à un plus large public

Circulations douces qui maillent le territoire, elles sont accompagnées de dispositifs pour éviter le piétinement des champs (haies, fossés, alignements...)

Parcelles expérimentales liées aux établissements de recherche (INRA...)

Petits boisements disséminés dans l’espace agricole pour ne pas faire rupture, ils servent à la production de bois et à l’hébergement des auxilliaires

Haies arbustives situées dans les points bas, où elles ne bouchent pas la vue, elles ont les mêmes fonctions que les haies bocagères

Rigoles restaurées et entretenues, elles servent d’appuis à des haies et sont le support de promenades.

Agriculture intensive par différents moyens, comme les pré-vergers, qui permettent d’assurer deux productions différentes sur une même parcelle

Fermes polyfonctionnelles regroupent en leur sein plusieurs activités et mutualisent leurs équipements et engins afin d’améliorer leur productivité.

Route agricole centrale réservée aux engins agricoles et qui dessert les principales fermes en passant par Toussus-le-Noble

Haies bocagères basses dessinent des parcelles en longueur et permettent une production de bois énergie en même temps qu’une meilleure productivité agricole grâce aux auxilliaires

L’espace agricole offre productions locales, espaces

d’expérimentations et de détente à la ville

Mutualiser

Produirelocal

DensifierAérer

GrefferEduquer

Ville compacte et cohésion métropolitaineAvec ses 1500 Ha, 55 m² d’espace urbain / habitant

Un territoire agricole renforcé, contrepoint à la ville compacte3000 Ha de parc agricole = 100 m² / habitant du plateau

Des centralités polarisées au sein d’un réseau de mobilités15 km en 7 minutes avec la ligne 18 et diffusion multimodale sur le plateau

Des espaces naturels ouverts et fermés mis en réseauTraversées, perceptions et usages au sein d’un écosystème complexe et généreux

UNE GÉOGRAPHIE CONTRASTÉE COMME TERRAIN FERTILE

Compostière

Elevage & Bocage

Ferme énergétique

Cueillette

Maraîchage urbain

M

usé

e & Céréaletum

Recherche INRA

Cultures céréalières

Cultures céréalières

Inondations évitées

Pisciculture

Aviculture

Grandes culturesStrate arborée existante

Système de bassins d’orage pour gérer les eaux pluviales

Espaces naturels ouverts

Système hydraulique existant et dysfonctionnel

Cultures particulièresNouvelle strate arborée

Sytème de lagunage pour traiter la consommation d’eau urbaine

Versailles Chantiers

Rer C

Massy-PalaiseauRer B Rer CTGV

Rer B

Rer C N118

A86

Aérodrome Vélizy-Villacoublay

1 km

500 m

Gares du métro de la ligne 18

200 logements / Ha

150 logements / Ha

100 logements / Ha

Etangs et réserve ornithologique

prairies inondables

M

MM

M

M

Esp

ace agricole muté

710 H

a redonnés à l’agriculture

DGA

ZA

AérodromeGolf

Golf

N0 0,5 1 2 3 5 km

1:25.000e

14

GREFFE DE NOUVEAUX QUARTIERSLeur sédimentation s’appuie sur la structure hydraulique et le système d’espaces publics

2015

Structure hydraulique Système des espaces publics, urbains et naturels Intensification urbaine

2020

2030

2040

2050

15

20

PROJETS III

Saclay symbiotique

L’hypothèse initiale est celle d’une « croissance à surface constante » : croissance résidentielle, croissance

agricole, croissance énergétique. Autrement dit : comment développer la ville pas densification des

villes existantes et sans aucune ponction de surfaces agricoles ; comment augmenter la production

agricole in situ ; comment produire une énergie localement ? Le projet explore ces possibilités – chiffres

à l’appui – et démontre que cette vision que l’on pourrait croire productiviste et fonctionnaliste conduit

au contraire à une valorisation fine des ressources du territoire : gisements fonciers des lotissements,

potentiels agricoles différentiés selon les espaces, exploitation des ressources multiples (vent, eau,

biomasse)… et ainsi conduit à terme à une diversification et complexification paysagère du plateau.

Kevin Barthalay / Mathilde Bourrat / Raphaël Goven Saclay: plateau symbiotique

60 m2

1=10200 kwh/an

3 ha

1=11400 kwh/an

2015: des ressources dispersées 2050: retrouver l’équilibre par le local

calcul des ressources énergétiques

interactions et échanges entre les ressources du plateau

objectifs transition 2050: croissance à surface constante

terres agricoles nécessaires: 400 m2 / habitant

3000 ouvriers agricoles soit 1 pour 33 habitants et un enfant

1 ha pâturé/ tête de bétail100m2/ habitant

cultures céréalières 214 m2 / habitant

150kg

par

par

an

maraîchage/agroforesterie 90m2 / habitant

186kg

par

par

an

Potentiels et paramètresplan 1/25000e

calcul et répartition des ressources agricoles

Plan du projet énergétique1/25000e

Val d’Albion 2120 lgts/haemprise bâtie 1600m2/haCOS 11200m2



Saclay20 lgts/haemprise bâtie 2400m2/haCOS 4800m2

Saclay40 lgts/haemprise bâtie 2400m2/haCOS 9600m2

Toussus-le-Noble12 lgts/haemprise bâtie 2040m2/haCOS 4080m2


Toussus-le-Noble72 lgts/haemprise bâtie 3200m2/haCOS 12800m2

+ 20%+ 180%

+ 20%+ 100%

+ 0%+ 200%

+ 12%+ 100%

+ 35%+ 190%

+ 35%+ 190%

+ 40%

Emprise batiCOS

+ 200%

+ 22%+ 100%

+ 0%+ 100%

+ 30%+ 150%

Saclay: plateau symbiotique

espace céréalier lisière forestière au contact des céréales

relation de l’agroforesterie au maraîchage

relation des pâtures à l’agroforesterie espace maraîcher

Optimisation énergétique du bâti issue de la densification

Création de nouveaux repères dans le paysage

Avec l’activité énergétique, amener l’activité humaine, créer des espaces ludiques

L’énergie animale, de la vie en plus sur le plateau

espace agroforestier

Diversifier le paysage agricole

Densifier les espaces urbains

Valoriser l’énergie locale

Transitions entre les différents espaces agricolesPlan de répartition des sufaces et productions agricoles1/25000e

Plan de densification urbaine à surface constante1/25000e

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Saclay: plateau symbiotique

60 m2

1=10200 kwh/an

3 ha

1=11400 kwh/an

2015: des ressources dispersées 2050: retrouver l’équilibre par le local

calcul des ressources énergétiques

interactions et échanges entre les ressources du plateau

objectifs transition 2050: croissance à surface constante

terres agricoles nécessaires: 400 m2 / habitant

3000 ouvriers agricoles soit 1 pour 33 habitants et un enfant

1 ha pâturé/ tête de bétail100m2/ habitant

cultures céréalières 214 m2 / habitant

150kg

par

par

an

maraîchage/agroforesterie 90m2 / habitant

186kg

par

par

an

Potentiels et paramètresplan 1/25000e

calcul et répartition des ressources agricoles

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PROJET IV

Perma-conquète

Le projet propose une conversion radicale de l’agriculture du plateau de Saclay : un plateau « permacole

» où l’activité agricole est recréatrice d’un éco-système durable. La démarche combine recherche

théorique et pragmatisme contextuel : développant des modèles théoriques de fermes permacoles

et analysant les conditions réelles de mutation du système agricole en place (foncier, fonctionnalités,

filières…). S’appuyant sur les initiatives déjà présentes et imaginant un jeu de domino complexe, le

projet propose un scénario de transition progressive du plateau vers une permaculture totale.

Anne Genest / Baptiste Henry / Justine Noël / Thomas Ropion

23

2424

25

26

PROJETS V

Sphagnaceae

Le projet explore les conditions d’adaptation du territoire au changement climatique à l’horizon 2050

– 2100. Les hypothèses climat montrent que le bilan en eau sera critique tout au long de l’année :

pénurie chronique et risques d’inondations fréquentes. Le projet propose d’imaginer à grande échelle

un nouveau dispositif de gestion et régulation des eaux pluviales… s’appuyant à l’évidence sur ce qui

reste de l’ancien réseau des rigoles et le complétant, le transformant, le renforçant. Réseau de rigoles

nouvelles, prairies inondables au cœur du plateau, bassins étagés dans les thalwegs périphériques…

structurent un nouveau paysage auquel s’ajustent les activités humaines de demain.

Lorian Gascon / Julien Robin / Foucault Sarrazin / Mathieu Zago

HYPOTHESE CLIMAT 2050: +T° + 20% Evapotranspiration + Pluies intenses = - Eau disponible et + risques innondations

PARIS-SACLAY 2050 : SphagnaceaeENSP-V / Atelier 8 2015/2016Encadrants: M.Talagrand, S. Remillet, G.GiorgiEtudiants: Laurian Gascon, Julien Robin, Foucault Sarrazin, Matthieu Zago

Pluie : 657mm/an

Evapotranspiration 491mm/an

Aujourd’hui un plateau au bilan hydrique positif

=> Pluies bien réparties sur l’année.=> Climat tempéré.=> 74% d’ETR, 25% d’écoulements et 1% d’infil-tration.=> P-ETR = bilan hydrique positif.

Pluie : 657mm/an

Evapotranspiration 618mm/an

Demain un plateau qui suffoque

=> Hypothèse pluies identiques.=> + Intensité pluies hiver, été + chaud.=> 94% d’ETR et 6% d’écoulements. => Probabilité de sécheresse estivale et innonda-tions hivernales.

Aujourd’hui une Réserve Utile du sol rechargée

=> Pluies bien réparties sur l’année.=> RU dépend de la nature du sol.=> Capacité des limons permet de répondre aux besoins des plantes pendant un mois maximum.

Jan Fev Mar Avr Mai Jui Jui Aoû Sep Oct Nov Dec

Demain, une Réserve Utile du sol insuffisante

=> Hypothèse pluies identiques.=> + Intensité pluies hiver, été + chaud.=> RU du sol épuisée en été (apport irrigation si cultures identiques), débit écoulements plus forts en hiver.

Jan Fev Mar Avr Mai Jui Jui Aoû Sep Oct Nov Dec

Demain

Aujourd’hui

Projet

Pics de sécheresse et d’innondation d’ici a 2050 Stocker et liberer l’eau dans le temps

Absorption(en m3)

Temps (en heure)

=> Sphaigne absorbe jusqu’à 20 fois son volume (ex innondation)=> Se rétracte au plus possible pour diminuer ses pertes (ex sécheresse)

Surfaces impermeables et rejet en eau

Surface imper-méable 2800 hec-tares

Surface plateau6800 hectares

=> 100% rejet des eaux sur sur-face imperméable=> potentiellement 110mm/mois pendant l’hiver (soit 3.55mm/jour, soit 100.000 m3/jour)

Redimensionner le réseau hydrologique

Inscrire le plateau dans une séquence d’espaces ouverts

Utiliser les espaces en déshérence comme points d’accroches pour une mobilité douce.

=> Gérer le surplus d’eaux pluviales hivernales (débit des écoulements plus fort, vo-lume plus important).=> Réccupérer les EP des zones imperméables.=> Affiner le réseau dans l’optique d’une irrigation de sécurité en été.

=> Accompagner le réseau hydraulique par le boisement.=> Liaisons vertes entre les vallées et le plateau.=> Proteger le coeur agricole du plateau par des lisières urbaines.

=> Dans une logique d’appauvrissement en eau, quel avenir pour les espaces de loisirs comme les golfs ? =>Etendre le réseau du GR et l’inscrire dans l’armature hydro-forestière.

1/50000

Localisation des TalweigsN

Coteaux boisés

Lignes de talweigsExutoires

Lignes de crêtesTalweigs

Limites du PPRI

Réseau hydraulique (rigoles, cours d’eau, bassisn)

Sens d’écoulement des eaux

1/50000

Cartes des zones innondables et d’écoulement des eaux

N

Lignes de crêtes

N

Zones urbaines d’équipement

Zones urbaines autour du plateau Zones urbaines d’habitation

Talweig 1/50000

Disposition de l’urbain autour du talweig

Paris

Plaine de Montesson

Plateau de Saclay

Triangle de Gonesse

Tremblay en France

Coubron

Paris

Forêt dom. de Marly

Plateau de Saclay

Paris

1/200000

Les espaces agricoles proches de Paris

N

27

Outils de redimensionnement du réseau hydraulique

Outils d’accompagnement du réseau hydraulique

Superposition des trames hydrauliques, forestières et de mobilités.

Protéger les rigoles de l’évaporation par des ripisylves disposées au sud de celles-ci.

Renfort de la rigole par un remblais servant de digue.

Entourer les étangs de boisements pour limiter l’évaporation.

Zone sylvicoles permettant de ralentir l’écoulement des eaux.

Haies bocagères permettant de ralentir l’écoulement des eaux.

Veiner le réseau pour redistribuer.

Zones de lagunnages à proximité des villes afin de traiter les eaux polluées.

Créer des zones humides.

Agrandir les étangs existants afin de stocker.

Aménagement de zones inondables par débordement.

PARIS-SACLAY 2050 : SphagnaceaeENSP-V / Atelier 8 2015/2016Encadrants: M.Talagrand, S. Remillet, G.GiorgiEtudiants: Laurian Gascon, Julien Robin, Foucault Sarrazin, Matthieu Zago

1/50000

Accompagnement du réseau hydraulique par le végétal

N

Coteaux boisés

Zones humides et bois innondables autour des plans d’eau

Ripisylves et bocages qui acompagnent le reseau hydraulique

1/50000Retenues d’eau sur le plateau

N

Bassins existants

événements éxcéptionnels Rigoles

événements très éxcéptionnels Cours d’eau 1/50000

Prolongement du bois sur le plateau par des cultures sylvicoles

N

Emprise urbaine

Nouvelles zones sylvicoles

Coteaux boisés

1/50000

Plan de récupération et de distribution de l’eau, des crêtes vers le plateau.

N

Talweig Recupération

Exutoires Orientation de la distribution

Zones de stockage Redistribution gravitaire

28

PARIS-SACLAY 2050: Sphagnaceae ENSP-V / Atelier 8 2015/2016Encadrants: M. Talagrand, S. Remillet, G. Giorgi, V. KauffmanEtudiants: Foucault Sarrazin, Laurian Gascon

Système hydraulique et végétal

Développement des zones urbaines

Réseau des grandes randonnées sur le plateau

Systéme hydraulique en période de crue

Systéme hydraulique en période estivale

Plan projetEchelle 1/10 000e

29

PARIS-SACLAY 2050: Sphagnaceae ENSP-V / Atelier 8 2015/2016Encadrants: M. Talagrand, S. Remillet, G. Giorgi, V. KauffmanEtudiants: Foucault Sarrazin, Laurian Gascon

Coupe AA’Echelle 1/500e

A

A’

Vue aérienne de la ferme d’ Orsigny

Coupe BB’Echelle 1/500e

B B’

Vue aérienne de Saclay

Coupe CC’Echelle 1/500e

C’

C

Vue aérienne de Villiers-le-Bâcle

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PROJET VI

Chaine et trame

S’appuyant sur une lecture fine du paysage existant, le projet propose une vision nouvelle des équilibres

« ville-agriculture » telles qu’ils pourraient être envisagés. Une armature forte se dégage avec un axe «

naturel » Est-Ouest inscrit dans le fin repli topographique du plateau et deux axes « urbains » Nord-Sud

connectés aux polarités voisines des vallées qui l’enserrent. Cette armature laisse une grande liberté

d’ajustement des projets à venir quels qu’ils soient dans l’esprit d’un « plan guide ».

Elise Cassagnabere / Maxence Doré / Stanislas Jung / Laëtitia Poirier

Fil de chaine fil de trameUn nouveau tissu pour le plateau de saclay AT8 Elise - Laetitia - Maxence - Stanislas Encadrants : V.KAUFFMAN M.TALAGRAND G.GIORGI

Palaiseau

Orsay

VelizySt Quentin

Versailles

Toussu

Saclay

La BretecheSt RemyBur sur yvette

Chat de roches

Gommonvillier

Jouy en Josas

Zone de loisirs

Projet Existant

Matin

Journée

Soirée

Légende:

Fil de trame : direction naturelle liée à l’eau

Talweg de Saclay (étangs/zones humides/parcs/balades/transports en commun)

Fil de chaine: urbanité pour relier les deux vallées

Bandes poreuses (campus/points de ventes/ activités/transport)

Accroches territoriales Nord Sud Accroches territoriales Est Ouest : de Saint Quentin à Massy

Carte des flux journaliers Un réseau hydraulique et hydraulogique orienté

Schémas de principe

Lecture du territoire et Intentions

Principes de transition

Ville en mouvement

Pas de plan directeur fixe mais des intentions modulables, adaptables selon les évolutions socio économiques tou-jours plus rapides.

De la centralité aux centralités en réseau

Connecter, mettre en réseau, favoriser le lien et le mou-vement. Multiplier les centralités thématiques, en évitant la clusturisation exessive et le mitage diffus du territoire.

Econome en place et en moyens

Ne pas aller à l’encontre de l’expantion urbaine, mais la conduire en économisant le sol en dansifiant et en recon-vertissant les squelettes d’espaces plus d’actualité.

Zoom Toussus le Noble et son aérodrome

Plans thématiques

Découpage parcellaire et viaire

PLAN PROJET 1/ 5 000

Plan masse bâti Plan masse végétal

Schemas de principe

Contexte d’insertionPlan de situation

Fil de chaine fil de trameUn nouveau tissu pour le plateau de saclay AT8 Maxence - Stanislas

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Légende Les étangs Les aqueducs Les rigoles Les cours d’eau La continuitéLégende Trâme primaire Trâme secondaire Trâme des circulations douces

2020 2035 2050

-Mise en eau de la continuité Est-Ouest.-Requalification de la trâme viaire en H, en tant que axes multimodaux.

-Développement des villes sur les axes Nord-Sud, et densification des villes historiques.-Développement du maraichage entre les extensions urbaines, le long des axes, en préalable à l’installation de l’urbain.

-Densification sur l’ensemble des axes Nord-Sud-Mise en place d’un transport en commun sur l’axe Est-Ouest

Phasage

De St Quentin à Massy Un parc agricole entre paturages rigoles et circulations douces

L’urbain à la conquête du plateau Trame viaire et densité

Spatialisation des intentions : un système souple et évolutif

Insertion : le parcellaire existant ré adaptéInsertion : le parcellaire existant ré adapté

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PROJET VII

Clairières

Le projet s’appuie sur les perspectives de changement climatique et de son impact sur les écosystèmes

pour imaginer une nouvelle trame arborescente sur le plateau de Saclay. Celle-ci a pour vertu de réguler

les effets négatifs du changement climatique (risque d’inondation, sécheresse…) mais également de tirer

profit de ses effets positifs (croissance végétale augmentée, transition des peuplements végétaux…).

La trame arborescente prend forme en s’appuyant sur la topographie et la géométrie foncière du

plateau de Saclay et dessine une structure paysagère nouvelle porteuse d’un développement mesuré

où se joue une intimité entre les communautés humaines locales et la vie naturelle.

Catarina Bento Goncalves / Mathilde Sivré / Joris Thau / Etienne Vazzanino

IMPULSER

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MISE EN ABYME DES CLAIRIÈRES

CRÉATION DE MICRO-CLIMAT PAR LE DÉVELOPPEMENT DES BOISEMENTS.

CONTINUITÉ URBAINE EN APPUIE AUX BOISEMENTS. Extension urbaine

VILTAIN

VAL D’ALBIAN

VAUHALLAN

Demain, l’habitat sera en relation direct avec les fermes.

S’installer dans les coteaux boisés devient une vraie opportunité pour bien vivre le changement climatique. Ces structures batis proposent des continuités urbaines douces.

À Viltain, un pôle rural émerge. L’habitat se glisse dans les avancées du boisement, comme un jeu de coulisse.

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0 50 m

0 50 m

0 50 m

0 50 m

L’implantation de nouvelles fermes restructure les ruptures entre Val d’Albian et les champs agricoles. De nouveaux quartiers émergent.

Demain, l’habitat sera en relation direct avec les fermes. Des épaisseurs différentes de boisements permettent de hiérarchiser les espaces de culture et de vie. Leurs gestions particulière mettent en mouvement ces divers espaces.

Entre maraîchage, boisement, canaux et bassin de stockage, l’habitat s’organise dans des zones de fraicheur particulières: des micro-climats. Un réseau hydrique bien structuré permet de gérer l’impact des orages et l’irrigation des parcelles maraîchères.

MISE EN ABYME DES CLAIRIÈRES

CRÉATION DE MICRO-CLIMAT PAR LE DÉVELOPPEMENT DES BOISEMENTS.

CONTINUITÉ URBAINE EN APPUIE AUX BOISEMENTS. Extension urbaine

VILTAIN

VAL D’ALBIAN

VAUHALLAN

Demain, l’habitat sera en relation direct avec les fermes.

S’installer dans les coteaux boisés devient une vraie opportunité pour bien vivre le changement climatique. Ces structures batis proposent des continuités urbaines douces.

À Viltain, un pôle rural émerge. L’habitat se glisse dans les avancées du boisement, comme un jeu de coulisse.

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BIBLIOGRAPHIE

Documentation sur le plateau de SaclayPublications EPPS :

• Panneaux de l’exposition « Paris-Saclay, le futur en chantier(s) », diptyque

• Brochure «Un projet scientifique, économique et urbain» - mars 2014

• Schéma de Développement Territorial - janvier 2012

Ouvrages:

• Debiesse Martine, Terres Précieuses, . Témoignages de femmes et d’hommes qui font l’agriculture

du plateau de Saclay, Grand Carroi, 2015.

• Vialle Antoine, Clément Gilles, Saclay-panorama, paysages superposés, Kaiserin éditions, 2014.

• Michel Desvigne, Le paysage en préalable, grand prix de l’urbanisme 2011, sous la direction d’Ariella

Masboungi, éd. Parenthèses.

Articles :

• Bouraoui Moez, « L’agriculture, nouvel instrument de la construction paysagiste du rural périurbain.

Le cas du plateau de Saclay », Les Carnets du paysage n°8, 2002.

• Bedrif Hervé, « Quel projet d’intérêt national pour le plateau de Saclay? », Espace géographique,

01/09/09.

Ouvrages – le projet territorial

• Alberto Magnaghi, Le projet local, Architecture + Recherche, éd. Mardaga, 2000

• Alberto Magnaghi, La biorégion urbaine, petit traité sur le territoire bien commun, Eterotopia France,

éd. Mardaga, 2014

• Pernet Alexis, Le grand paysage en projet. Histoire, critique et expérience. MétisPresses, 2014.

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Ouvrages – la transition écologique• Rob Hopkins, Manuel de transition, de la dépendance au pétrole à la résilience locale, éd. Ecosociété,

2010 (édition française)

• Actes du Colloque Paysage de l’après pétrole : solutions paysagères pour territoires en transition,

Collectif paysage de l’après pétrole, 11.2014 : http://resaue.caue-idf.fr/documents/CAUE_91/

Documents/Actes-colloque-PAP-2014.pdf

• Paysages de l’après pétrole ?, Collectif paysage de l’après pétrole, éd. Passerelles N°9 09/2013,

2013 http://www.coredem.info/IMG/pdf/apres_petrole.pdf

• Jean Haentjens, La ville frugale, un modèle pour préparer l’après pétrole, éd. FYP, 2011

• Masboungi A., Projets urbains durables. Stratégies, Le Moniteur, 2012.

• Masboungi A., L’énergie au cœur du projet urbain, Le Moniteur, 2014.

Ouvrages sur le Grand Paris (lectures, analyses et projets)

• Bernardo Secchi, Paola Vigano, La ville poreuse, un projet pour le grand Paris et la métropole de

l’après Kyoto, Métis presses, 2011.

• Philippe. Panerai, Paris métropole, formes et échelles du Grand Paris, éd. de la Villette, 2008

• Le grand Pari(s). Consultation internationale sur l’avenir de la métropole parisienne. Coll. AMC.

29/04/2009.