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Poème composé d’après le tableau : « de Claude Monet

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Poème composé d’après le tableau : « Champ de coquelicots près d’Argenteuil »

de Claude Monet.

1875, huile sur toile, Metropolitan Museum of Art, New York (Etats-Unis).

Champ de coquelicots

Les nuages, de leur royaume, contemplent la terre

Et se réchauffent au soleil,

Pendant que l’homme admire le champ de coquelicots vert

Et prend son bain de merveilles.

Les arbres, dans leurs somptueux manteaux dorés,

De gauche à droite se balancent

Et les fleurs, dans leurs robes colorées,

Font la cour à l’homme et dansent.

Tel un roseau sous le vent, la nature se penche

Devant le ciel immense comme une mer blanche.

Pendant que la boule de feu céleste nous réveille,

Loin de la ville, tout semble paisible et sommeille.

Jonathan et Hugo 6eC

Poèmes composés d’après le tableau : « Paysage tahitien » de Paul Gauguin.

1891, huile sur toile. Institut d’art, Minneapolis (Etats-Unis).

Le marcheur et la nature

Les nuages font un câlin au promeneur d’argent.

Un arbre s’incline devant un nuage dansant.

Ils se regardent tous en souriant.

L’arbre aperçoit une fleur rectangulaire

Et s’approche pour respirer son air.

La fleur se tourne et ne le regarde guère.

Le marcheur s’avance vers une abeille

Il voit un gorille à l’intérieur du soleil.

Qui parle à un écureuil mauve.

Il s’en approche doucement,

Et part vers un monde de lumière et d’argent.

Nathan et Sofia 6eC

La chaleur de la nature

La nature jaune, l’été, ressemble au soleil.

La verdure éclaircit la terre qui sommeille.

Le ciel se cache derrière les nuages,

Que montagnes cherchent à dépasser.

Les palmiers grandissent,

Et par petites touches, toutes belles,

Les différentes couleurs se tissent

Et forment un arc-en-ciel.

Les fougères cachent des fortunes…

Les hommes et les animaux, unis,

Coopèrent en harmonie,

Et les palmiers, de leurs bras tombants,

Protègent ce paradis.

Hugo 6eD

Souvenirs lointains

Le coeur de la montagne, grâce au soleil, est réchauffé

Et le vent traverse l’île enchantée.

Les palmiers chatouillent le ciel.

Le volcan rougit face à la paysanne, si belle,

Et les arbres donnent des fruits aux passants.

Souvenir d’enfance,

Toi qui m’as donné tes connaissances

Pour forger mon armure,

Je te remercie en te récitant mon aventure.

Amine 6eD

L’île ardente

Le soleil réchauffe le coeur de la montagne,

Celle-ci rougit face à ses bras rayonnants,

O quelle chaleur ! S’écrient les palmiers,

Nos palmes vont tomber sous nos pieds !

Alors les papillons s’envolent,

Et les battements de leurs ailes résonnent.

Oh, quelles belles couleurs ont les fleurs !

Disent les papillons, en allant butiner.

Alors, les oiseaux se mettent à chanter.

Quelle belle mélodie ! se dit un paysan enchanté.

L’été sur cette île est un havre de paix.

Yann 6eD

Sur mon île magique

La montagne grande et chaude barre la route des nuages.

Les arbres colorés décorent tout le paysage,

Tandis que les palmiers volent tranquillement.

L’herbe jaune rit et bouge lentement.

L’eau de la rivière coule joyeusement,

Les nuages blancs volent rapidement

Et l’île est décorée de milles feuilles.

Sur les arbres courent de petits écureuils.

Cette montagne cache un paysage magnifique,

Le vent des arbres me souffle dans l’oeil,

Toute cette île est magique.

Les étoiles sont là dans le ciel

En se reflétant dans la rivière

Oh ! Qu’elles sont belles !

Cette île se nomme « L’île d’Eléonore »

Car le lever du soleil éveille l’aurore.

La couleur du ciel orangé

Me donne envie de rester éveillé.

Alix et Solann 6eD

La savane paradisiaque

Derrière la calme rivière se cache une montagne multicolore.

Les arbres respirent la beauté de ce décor

Et s’inclinent devant l’homme rêveur,

Pendant que la rivière admire la savane du bonheur.

L’été orangé calme l’océan léger.

Les montagnes prennent des airs paradisiaques.

Aussitôt que le marcheur rayonne, émerveillé,

La nature s’incline, comme son chapeau usé

Devant l’éternel aboyeur si joyeux,

Les nuages s’irritent dérangés

Et le soleil orange brûle les yeux.

La montagne caresse le ciel merveilleux.

Les arbres respirent joyeusement l’odeur de la savane épicée.

Oh belle chaleur intense de l’été !

Mélyne et Elouan 6eD

La savane multicolore

Les nuages flottent dans le chaud paysage,

Pendant que les grands palmiers transpercent le ciel sage.

Les arbres verdâtres habillent l’orange du soleil.

La chèvre s’envole au-dessus du champ, cette merveille.

Et l’homme transporte l’amour de la nature.

La jolie rivière coule le long du bonheur,

Tandis que les arbres de la montagne cachent le cœur.

Le chemin conduit à un endroit imaginaire,

Et les oiseaux multicolores volent dans l’air, tout autour.

Le vent d’été nage dans le bonheur

Comme les fleurs qui chantent l’amour

Car elles aiment le poète, ce promeneur.

Léa avec Rayan 6eD

Rêve d’une fin de journée

De toute sa grandeur,

Sur les palmiers arrondis,

Veille le mont,

Fatigué d’avoir porté le ciel de coton.

Avec un regard amusé, le soleil est épuisé

D’avoir arrosé de ses rayons les champs d’or.

Le chien regarde son maître rentrer,

Qui après avoir récolté

Toute la journée

Revient fatigué, le dos courbé.

Vivement les retrouvailles

Qui marqueront la fin du travail !

Gabin 6eD

Poèmes composés d’après le tableau : « Pêcheurs en mer » de William Turner.

1796, huile sur toile, Tate Gallery, Londres (Royaume-Uni)

Le navigateur

Dans la mer rude et profonde,

Un tronc, seul, divague,

Seul comme la barque transportant les vagues

Pour atteindre la montagne qui gronde.

L’ouragan et le tonnerre trônent sur l’océan.

Il n’est pas prudent d’aller plus en avant.

Dans la nuit, la peur ne cesse d’errer.

Elle fait échouer les naufragés,

Trop sûrs d’arriver,

Et ne leur laisse rien espérer.

Dans le blanc du néant,

Les navigateurs vont rêvant.

Enzo 6eC

Les vagues face au bateau

Un bateau s’endort dans l’océan.

Il sommeille, il ferme ses yeux, rêvant.

Les vagues le portent et le poussent en avant.

Les mouettent volent, en se moquant

De ce bateau qui chavire doucement.

Les matelots se réveillent en sursaut

Et jettent les filets à l’eau.

Mais la mer engloutit les poissons goulument.

Soudain, l’éclair tape les rochers, le sable est écrasé

Et une grande vague arrive, élancée.

Le bateau s’envole, bercé.

Abygaëlle 6eC

La guerre des marins

La lune, cachée dans les nuages,

Regarde ce spectacle épouvantable.

Tout est incroyable !

La Mort sort de son royaume effrayant

Pour mener le navire aux enfers.

Les vagues sont en fer.

Le navire se balance dans le vent

Face à la violence de la mer.

La tempête s’accroche aux roches,

La fin approche !

La mort des marins sera proche.

Paul 6eC

Le bateau dans la tempête

Difficilement, le bateau avance dans la tempête.

Il fait sombre, la lune éclaire la mer formidablement.

Les hommes rament fermement et naviguent rapidement.

La mer est agitée comme lors d’un jour de fête.

Les nuages volent tout autour de la lune.

Les hommes tiennent, dans leurs mains brunes,

Des lanternes sous ce ciel terne.

Ils se sont endormis.

L’un est resté éveillé, pour ne pas dériver.

La mer rugit telle une lionne en cage.

Le bateau est abimé à cause de l’orage !

Alizée 6eC

Le bateau contre la mer

Un soir, la magnifique lune se lève

Mais les nuages la cachent de leurs bras.

Ils courent vers la grève,

Tandis que les gros rochers s’ennuient, las.

La clarté de la lune illumine l’océan,

Les hommes volent sur la mer tourmentée,

Pendant que les nuages voguent dans le vent.

La mer s’agite et panique : le monstre est déchainé.

Furieuse, elle fait voler le bateau

Comme un oiseau qui danse au-dessus de l’eau.

Heureusement, la lune va disparaître pour laisser place au soleil.

Les hommes sont sauvés. Quelle merveille !

Clément 6eD

La mer grise

Les gros rochers s’ennuient

A traverser les nuages qui fuient.

Tout en formant des dunes,

On dirait qu’ils ressemblent à une lune.

Cet océan nous montre sa colère

En agitant la mer,

En faisant naviguer ce bateau

Dans ses magnifiques eaux.

La belle lune se lève

Mais les nuages la cachent de leurs bras.

Et dans ce grand ciel gris,

Le monde s’aigrit.

Léona 6eD

La mer

Un bateau marche sur l’eau,

Avec ses matelots sur le dos.

Le soleil frappe les nuages et le ciel se fend

Pour laisser une couleur brutale, violemment.

La lune se reflète dans le miroir de la mer.

Et ce mélange de couleurs rend la nuit claire.

Le soleil se promène sur les nuages dormeurs,

Qui sont de toutes les couleurs !

Léandro 6eD

La lune et la mer

Un bateau marche sur l’eau avec ses matelots sur le dos.

Il navigue sur la brise de la nuit.

La lune se reflète dans le miroir de la mer qui luit.

Le ciel se fend pour laisser entrer une lueur brutale

Et mélange ses couleurs pour rendre la nuit fatale.

La lune se promène sur les nuages qui flottent sur la douce marine

Et de ce pas si magnifique, elle illumine le monde, câline.

Pour se faire remarquer, elle diffuse une brume fine

Qui envahit la terre divine.

Le soleil revient et la lune nous quitte,

C’est la fin d’une nuit agitée.

Puis le soleil se couche, ensommeillé

Sentant venir une nouvelle nuit, vite.

« La marine s’agite, s’agite ».

Mathilde T. 6eD

Lune et Mer

Un jour où la lune est pleine

Mais que la mer est pleine de haine,

Les nuages en colère

Se déversent sur la mer.

La nature est dérangée

Car la lune est cachée.

Elle exerce un pouvoir sur l’océan.

De son amour éternel,

Elle le fait monter jusqu’au ciel,

Attaché à ses ailes.

Puis la mer, désespérément,

Retombe à bout de forces.

Mer, tu es si belle,

Lune, tu brilles comme un diamant !

C’est alors que la lune promet :

« Je serai toujours à tes côtés ».

Puis elle disparait,

Quand le soleil apparait.

Maély et Mathilde C. 6eD

L’océan lunaire

Les nuages noirs,

Courtisans de la lune,

La poussent en avant,

Pour que leur reine d’ivoire

Illumine l’océan.

Apeurée, celle-ci se balance

Dans tous les sens.

Les marins terrorisés

Allument une lumière

Pour se rassurer.

La brume glaciale et épaisse

Encercle toutes les espèces.

L’océan calme ou même agité

Restera inexpliqué.

Gaëtan 6eD

Les nuages sombres

Pendant que le bateau glisse sur la mer,

Agité comme un skieur fendant l’air,

L’océan est reflété par la lune, plutôt son ombre,

Cette lune blanche qui éclaire la terre.

Ils sont là, ils sont partout ces nuages sombres.

La mer apeurée se balance dans tous les sens.

Les marins, terrorisés, allument une petite lumière et s’éclairent.

La brume épaisse et glaciale gèle l’onde.

L’océan, même agité, reste silencieux au monde.

Madeleine 6eD

L’océan se déchaîne

La brume, au-dessus de l’eau, se pose lentement.

Brillante, elle aveugle les arbres violemment

Qui regardent les marins, tout en hochant la tête

Sous la puissante tempête.

Le vent souffle brutalement

Les nuages se rapprochent doucement

De leur mère la lune.

Le ciel dans les airs, de sa grise tristesse,

Provoque le vent, le vent puissant, sans cesse.

De sa lame aiguisée,

La foudre transperce le ciel

Et frappe la mer

Avec des milliers d’éclairs.

Le bateau vole au-dessus des poissons,

Puis s’élève dans le fourbe drap du tourbillon.

La lumière de cette forme ronde donne l’espoir

De sortir de ce trou noir.

Ethan et Tiago 6eD

Poèmes composés d’après le tableau : « Coup de vent » de Camille Corot.

1870, huile sur toile, musée des Beaux-Arts, Reims.

Le vent méchant

Les grands buissons verts perdent leurs feuilles.

Les fleurs de toutes les couleurs se balancent.

C’est le vent qui les pousse en silence,

Ce vent méchant qui souffle dans tous les sens.

Les grains de terre s’envolent sur le sentier

Et la pluie commence à tomber,

C’est lui ! C’est le vent ! Il va souffler !

Les arbres s’inclinent sous le vent invincible.

Les herbes, les rochers, les maisons si sensibles

Et le chemin recouvert d’eau subissent ce vent terrible.

La nature, envahie, disparaît en un coup de vent.

« Vent, pourquoi es-tu si méchant ? »

Noah C. 6eC

Hurle le vent

En ce temps hivernal,

Hurle le vent glacial,

Colérique, il souffle puissamment,

Et les arbres luttent courageusement.

Mais les feuilles mortes dansent joyeusement,

Les oiseaux jouent de tourbillon en tourbillon,

Et les nuages pleurent des grêlons.

Le Dieu Eole passe lentement,

Traverse la maison discrètement

Et Laisse derrière lui

Une odeur de terre et de pluie.

Toute la nature attend patiemment

L’arrivée du beau temps.

Nyla 6eC

Le vent

Dans la forêt, le vent doux chatouille les arbres dans l’air

Pendant que les fleurs, en colère

Disent, échauffées : « Eh le vent, arrête de ronfler ! »

Le vent grand et fort vocifère,

Il s’agite fortement et fait tout plier.

Les arbres basculent, les fleurs sont déracinées.

Le vent enragé, dans les cieux, part voyager.

Les fleurs et les arbres, blessés,

Du départ du vent sont soulagés.

Les hommes sortent, préoccupés

Et voient la forêt abimée.

Pour se consoler, ils décident de s’en occuper.

Hugo 6eC

La fureur du vent

Les nuages parfumés

Se posent

Sur les arbres agités,

Prêts à se déraciner.

Cela continue de plus belle,

Les feuilles s’envolent

Le vent est si violent

Que les arbres s’emmêlent.

Le vent est comme un orage,

Qui aspire tout sur son passage.

Les maisons vont être enlevées

Si le vent continue de souffler.

Quelques arbres s’arrachent de temps à autre.

Prudence ! Il faut se mettre en sûreté !

Les arbres continuent de tomber

Sur les maisons peintes en vert.

Les animaux frissonnent de bonheur

En sentant le vent se calmer.

Tout se tait d’un coup

Sur la vallée du Courou.

Aloïs avec Angélo 6eD

La tempête

Le vent prend le sable dans la tempête

Puis le chemin qu’il occupait auparavant.

On voit les nuages jouer au saut de mouton.

Les arbres sont frappés par un éclair long

Et le vent crie que l’homme est méchant.

La pluie humidifie l’air,

Les petites fleurs sont arrachées violemment

Puis les feuilles s’envolent, tourbillonnant.

Le vent vole au-dessus de la terre,

Ce vent sauvage de novembre.

La tempête éparpille les feuilles de l’arbre qui errent,

Faisant fuir la tristesse du temps.

Matys avec Eléane 6eD

Poèmes composés d’après le tableau : « Nuit de clair de lune au bord d’un étang »

d’Alexei Kondratyevich Savrasov.

1870, huile sur toile, Museum of Art, Russie.

La nuit ou tout a commencé

Un soir d’hiver lent et glacé,

Tout le monde se sent lassé.

Le paysage est sombre et lumineux.

Pendant que le vent souffle, les coquillages roulent.

Sur le sable collant, l’eau douce illumine la ville, rêvant.

Pendant que tout le monde dort sous le ciel vaste et déserté,

Dans le sable se repose l’eau bleutée.

La mélodie de l’eau est une comptine pour les dormeurs.

Les rochers roulent sur les pas rugueux des promeneurs.

Les bateaux naviguaient sur le tapis rectangulaire de la mer.

Il fait sombre au clair de lune brillant.

La nuit tombe rapidement sur ce bateau qui erre

Sur la tristesse où repose la plage des pleurs et de la peur.

Il fait froid au grès du vent.

Mélodie et Noah R. 6eC

Clair de lune

La lune surplombe les nuages de sa sagesse éternelle.

Et danse habilement dans le ciel,

Tandis que le phare, de son rayon lumineux, l’appelle.

La mer étale ses paillettes sur le sable argenté et doux.

Le sable brille, consumant, de la lune, le feu roux.

Les bateaux se tapissent dans l’ombre,

Et les algues marchent lentement sur le sable sombre.

Enfin, le soleil, dans son sang, s’est noyé

Et mon verre, comme un éclat de rire, s’est brisé.

Une nuit mélancolique et lourde d’été

Pleine de silence et d’obscurité

Berce sur l’azur, qu’un vent doux effleure

L’ombre qui frissonne et l’oiseau qui pleure.

Zeyneb et Eliott 6eC

La plage de nuit

Les chuchotements de la mer bercent les habitants

Pendant que la boule blanche cherche ses enfants.

Le feu danse dans la lanterne abîmée,

Pendant que la galette argentée se reflète sur l’eau agitée.

Les voyageurs supplient la nuit éternelle

Qu’elle cesse ! Le phare danse avec elle.

Les bateaux et les cailloux jouent sous les flots.

Qui court sur l’eau ?

Gabriel 6eC

Sous la lune

Dans le blanc du néant, les paysans vont, rêvant.

Dans le blanc de la lune, des humains rament lentement en dormant

Pendant que la mer reflète les nuages qui pleurent

Et qui jouent à cache-cache avec leur malheur.

Les rameurs allument leur lampe calmement

Le phare marche sur la plage en les éclairant.

La nuit est triste. Tout le monde se couche. Il fait noir.

Les vagues arrivent en même temps que le beau temps.

Les feuilles reviennent : C’est le printemps !

Johan 6eC

La mer douce

Le bruit de la mer berce tranquillement

La lune avec ses claquements.

Les bateaux blancs et noirs

Continuent d’errer sur la vallée.

Le rocher rêve de ramer fortement

Pendant que la lune se maquille doucement.

L’arbre ramasse des coquillages

Toutes les nuits, à minuit.

Au printemps, le reflet de l’eau avance,

Pour que le bonheur recommence.

La vague rame sur l’arbre doucement

Pendant que les feuilles dansent rapidement.

Dans le blanc du néant

Les paysans vont rêvant.

Ethan R. 6eC

La mer

Les larmes du ciel plongent dans la mer étonnée,

Qui roule bruyamment, désespérée,

Lorsque le rapide fantôme s’agite.

Des humains éclairent leur chemin

Vers la mer bleutée.

La lune qui s’enfonce dans l’obscurité

Emporte avec elle son grand bras argenté.

Lorsque le robuste soleil apparait à l’horizon

Et que la mer descend,

Le paysage s’éclaircit pour de bon.

Les nuages sommeillent,

Quand le royaume se réveille.

Célia et Djiguiba 6eC

Poèmes composés d’après le tableau : « Nuit étoilée » de Vincent Van Gogh. 1889, huile sur toile, MoMA, New York (Etats-Unis).

Nuit étoilée

Une nuit étoilée et sombre, un village endormi

Ronfle dans le vent froid et gris.

Il dort dans son lit de nuages

Qui ressemblent à des vagues sages

S’écrasant sur la plage.

Ce village est libre, libre de rêver.

Les étoiles et la lune l’observent, éloignées,

En scintillant, loin d’ici.

Le cyprès danse dans le vent

Comme une flamme de bougie.

Et dans le noir, les champs

Se confondent avec la nuit.

A l’aube, les cloches de l’église sonnent

Et réveillent le village paisible.

Apparaît alors une lumière fluide.

Le vent souffle doucement dès le matin.

Ce rapide fantôme va toujours plus loin.

Lise et Ethan C. 6eC

Nuit mouvementée

Dans la nuit étoilée

Tourbillonnent les vagues du ciel.

Elles s’agrandissent de plus belle,

Observées par la forêt émerveillée.

Sous la force du vent,

Tombe l’arbre géant.

Le tapis d’étoiles

Eclaire les habitants pâles.

Les montagnes vont, observant

Une lune plus brillante qu’avant.

Les arbres, perdant leurs feuilles si belles,

Montent de plus en plus haut dans le ciel

Pour voir comme la nature est belle.

Tristan 6eC

Le bleu étoilé

Pendant que l’arbre géant

Ecoute le chant étoilé,

Il grandit, il construit,

Il monte en hauteur vers la galaxie.

Le bleu règne sur les étoiles,

Comme la nuit sur les montagnes éloignées.

Et la lune argentée

Rayonne à travers ce voile.

Elyan 6eC

La nuit

La nuit, dans son sombre ciel,

Est éclairée d’étoiles couleur miel.

Elles nagent dans la mer

Et le vent ravage la terre.

Son souffle glaçant,

Frappant jusqu’aux portes,

Jusqu’à faire voler les feuilles mortes

Rebrousse chemin, quittant les maisons,

En fin de soirée.

La nuit est terminée,

Le soleil peut s’avancer.

Nel et Noah 6eD

***