porte maillot, paris 17

GUEZ INGENIERIE2, rue Nicolas Ledoux

SILIC 25094568 RUNGIS CEDEX

BRGML'ENTREPRISE AU SERVICE DE LA TERRE

CLIMATISATION DU PALAIS DES CONGRES(PORTE MAILLOT, PARIS 17ème)

PAR EAU DE NAPPEETUDE DE PREFAISABILITE HYDROGEOLOGIQUE

G. BRETTE

R36173IDF 4S/92

Novembre 1992

BRGM AGENCE ILE DE FRANCEZJ. LA HAIE ONtELLE27, rua du «Md 1*4«

alu20e94478 BMMV SAINT LEO» CEDEX

T«. : 4S.W JS.Mft*. : 4S.»« .34.34

GUEZ INGENIERIE2, rue Nicolas Ledoux

SILIC 25094568 RUNGIS CEDEX

BRGML'ENTREPRISE AU SERVICE DE LA TERRE



G. BRETTE

R36173IDF 4S/92

Novembre 1992

BRGM AGENCE ILE DE FRANCEZJ. LA HAIE ONtELLE27, rua du «Md 1*4«

alu20e94478 BMMV SAINT LEO» CEDEX

T«. : 4S.W JS.Mft*. : 4S.»« .34.34



RESUME

N" Rapport : R36173 ffiF 4S/92

N» P.R. : 93 158 16266

La Société GUEZ INGENIERIE étudie la possibilité d'utiliser l'eau souterraine pour laclimatisation du Palais des Congrès, Porte Maillot, Paris 17ème.

Trois aquifères existent ici : Calcaire grossier du Lutétien, Sables de l'Yprésien et Craiecampanienne.

Par absence d'écran imperméable, les aquifères du Lutétien et de l'Yprésien sont encommunication.

Cet aquifère bicouche est le plus favorable au projet.

Le sous-sol dans le secteur de la Porte Maillot connaît de nombreux aménagementssouterrains, jusqu'au toit de l'Yprésien.

Il faut envisager un rejet en nappe, ce qui provoquera des interférences hydrodynamiques etthermiques sur les puits de pompage.



RESUME

N" Rapport : R36173 ffiF 4S/92

N» P.R. : 93 158 16266

La Société GUEZ INGENIERIE étudie la possibilité d'utiliser l'eau souterraine pour laclimatisation du Palais des Congrès, Porte Maillot, Paris 17ème.

Trois aquifères existent ici : Calcaire grossier du Lutétien, Sables de l'Yprésien et Craiecampanienne.

Par absence d'écran imperméable, les aquifères du Lutétien et de l'Yprésien sont encommunication.

Cet aquifère bicouche est le plus favorable au projet.

Le sous-sol dans le secteur de la Porte Maillot connaît de nombreux aménagementssouterrains, jusqu'au toit de l'Yprésien.

Il faut envisager un rejet en nappe, ce qui provoquera des interférences hydrodynamiques etthermiques sur les puits de pompage.

SOMMAIRE

RESUME

INTRODUCTION 1

1. LOCALISATION DU SITE ETUDIE 2

2. CONTEXTE GEOLOGIQUE 4

3. CONTEXTE HYDROGEOLOGIQUE 6

4. PRODUCTIVITE PREVISIONNELLE DES AQUIFERES 8

5. CHIMIE DES EAUX ET TEMPERATURES PREVISIONNELLES . 10

6. VARIATIONS PIEZOMETRIQUES 12

7. PRELEVEMENTS D'EAU AU VOISINAGE 15

8. ENCOMBREMENT DU SOUS-SOL 16

9. EXAMEN DES CONDITIONS DE REJET 18

10. APPROCHE ECONOMIQUE 19

11. APERÇU SUR LES NAPPES PROFONDES 20

CONCLUSION 22

nCURES DANS LE TEXTE

Figure 1. - Plan de localisation 3

Figure 2. - Coupe géologique prévisionnelle 5Figure 3. - Evolution piézométrique 14

Figure 4. - Profil géologique le long de l'Avenue de la Grande Armée etposition des aménagements souterrains 17

SOMMAIRE

RESUME

INTRODUCTION 1

1. LOCALISATION DU SITE ETUDIE 2

2. CONTEXTE GEOLOGIQUE 4

3. CONTEXTE HYDROGEOLOGIQUE 6

4. PRODUCTIVITE PREVISIONNELLE DES AQUIFERES 8

5. CHIMIE DES EAUX ET TEMPERATURES PREVISIONNELLES . 10

6. VARIATIONS PIEZOMETRIQUES 12

7. PRELEVEMENTS D'EAU AU VOISINAGE 15

8. ENCOMBREMENT DU SOUS-SOL 16

9. EXAMEN DES CONDITIONS DE REJET 18

10. APPROCHE ECONOMIQUE 19

11. APERÇU SUR LES NAPPES PROFONDES 20

CONCLUSION 22

nCURES DANS LE TEXTE

Figure 1. - Plan de localisation 3

Figure 2. - Coupe géologique prévisionnelle 5Figure 3. - Evolution piézométrique 14

Figure 4. - Profil géologique le long de l'Avenue de la Grande Armée etposition des aménagements souterrains 17

INTRODUCTION

Le Palais des Congrès, Porte Maillot, Paris 17ème, est actuellement climatisé par uncircuit comprenant des aérothermes en toiture.

Il est prévu de rénover les installations de climatisation. Par ailleurs, il est envisagédes extensions de locaux.

La société Guez-Ingénierie étudie le nouveau système de climatisation à mettre en

oeuvre pour le Palais des Congrès. Elle envisage l'utilisation de nappe d'eausouterraine.

Les débits recherchés sont de l'ordre de 350 mVh.

La société Guez-Ingénierie a demandé au BRGM Ile de France de réaliser une étudede préfaisabilité hydrogéologique, en vue d'indiquer dans quelles conditions ce débitpourrait être atteint, ou quel pourrait être le débit à espérer.

L'étude est menée à partir de données documentaires.

INTRODUCTION

Le Palais des Congrès, Porte Maillot, Paris 17ème, est actuellement climatisé par uncircuit comprenant des aérothermes en toiture.

Il est prévu de rénover les installations de climatisation. Par ailleurs, il est envisagédes extensions de locaux.

La société Guez-Ingénierie étudie le nouveau système de climatisation à mettre en

oeuvre pour le Palais des Congrès. Elle envisage l'utilisation de nappe d'eausouterraine.

Les débits recherchés sont de l'ordre de 350 mVh.

La société Guez-Ingénierie a demandé au BRGM Ile de France de réaliser une étudede préfaisabilité hydrogéologique, en vue d'indiquer dans quelles conditions ce débitpourrait être atteint, ou quel pourrait être le débit à espérer.

L'étude est menée à partir de données documentaires.

Climatisation du Palais des Congrès Porte Maillot - Paris 1 7ème

1. LOCALISATION DU SITE ETUDIE

Le Palais des Congrès se situe Porte Maillot, à la limite des 16 et 17èmearrondissements de Paris, et en bordure de la commune de Neuilly sur Seine (92).

Le plan de localisation est présenté en Fig 1 .

Le site correspond à l'intersection du Boulevard Périphérique avec un des axesmajeurs de Paris (Champs-Elysées, Arc de Triomphe, Grande Arche de la Défense).Il correspond aussi à un secteur où les aménagements souterrains sont nombreux.

Rapport BRGM R36173 IDF 4S/92


1. LOCALISATION DU SITE ETUDIE

Le Palais des Congrès se situe Porte Maillot, à la limite des 16 et 17èmearrondissements de Paris, et en bordure de la commune de Neuilly sur Seine (92).

Le plan de localisation est présenté en Fig 1 .

Le site correspond à l'intersection du Boulevard Périphérique avec un des axesmajeurs de Paris (Champs-Elysées, Arc de Triomphe, Grande Arche de la Défense).Il correspond aussi à un secteur où les aménagements souterrains sont nombreux.


Climatisation du Palais des Congrès Porte Maillot - Paris 17ème .

S E I N E \

18 E ARR. Y \

''•* SACRE COU«Ot M O N T M M T M

Fig 1 . PLAN DE LOCALISATION


Climatisation du Palais des Congrès Porte Maillot Paris 1 7ème

2. CONTEXTE GEOLOGIQUE

Le Palais des Congrès se situe sur des alluvions de Seine, reposant eux mêmes sur desformations carbonatées datant du Lutétien.

Le fleuve a ici érodé certaines couches (sommet des Marnes et caillasses. Sables deBeauchamp), que l'on rencontre plus à l'est et au nord-est du site.

Les formations géologiques existant au droit de la Porte Maillot sont, de haut en bas :

- les remblais.

- les alluvions anciennes, limoneuses et sableuses. Ces alluvions correspondent à uneterrasse haute de la Seine, Localement ces alluvions ont été décapées et remplacéespar des remblais,

- les Marnes et caillasses (Lutétien supérieur) formées d'une altemance de litsmameux et de niveaux de calcaire dolomitique plus ou moins fissuré, et de calcairemameux,

- le Calcaire grossier (Lutétien moyen et inférieur), formé d'une altemance de bancscalcaires compacts, plus ou moins durs, plus ou moins fissurés et de niveaux decalcaire plus friable, voire sableux, avec de minces interlits argileux.La base du Calcaire grossier est plus sableuse et s'enrichit en glauconie verte.

- les Sables supérieurs (Yprésien supérieur) constitués de sables quartzeux, fins, gris ànoirâtres, contenant de la pyrite, et parfois des cristaux de gypse épars.

- Fausses Glaises (Yprésien), constituées d'argiles de couleur sombre (bmn à noir),renfermant de la lignite et de la pyrite. Localement, des lentilles d'argiles sableuses

peuvent être rencontrées,

- les Sables d'Auteuil (Yprésien moyen), formés de sable quartzeux, parfoisferrugineux,

-l'Argile Plastique : argile compacte, de couleur grise à bariolée lie de vin.

- Montien : altemance de calcaires et de mames, avec des lentilles sableuses

possibles.

- Craie : craie blanche à silex

Rapport BRGM R361 73 IDF 4S/92


2. CONTEXTE GEOLOGIQUE

Le Palais des Congrès se situe sur des alluvions de Seine, reposant eux mêmes sur desformations carbonatées datant du Lutétien.

Le fleuve a ici érodé certaines couches (sommet des Marnes et caillasses. Sables deBeauchamp), que l'on rencontre plus à l'est et au nord-est du site.

Les formations géologiques existant au droit de la Porte Maillot sont, de haut en bas :

- les remblais.

- les alluvions anciennes, limoneuses et sableuses. Ces alluvions correspondent à uneterrasse haute de la Seine, Localement ces alluvions ont été décapées et remplacéespar des remblais,

- les Marnes et caillasses (Lutétien supérieur) formées d'une altemance de litsmameux et de niveaux de calcaire dolomitique plus ou moins fissuré, et de calcairemameux,

- le Calcaire grossier (Lutétien moyen et inférieur), formé d'une altemance de bancscalcaires compacts, plus ou moins durs, plus ou moins fissurés et de niveaux decalcaire plus friable, voire sableux, avec de minces interlits argileux.La base du Calcaire grossier est plus sableuse et s'enrichit en glauconie verte.

- les Sables supérieurs (Yprésien supérieur) constitués de sables quartzeux, fins, gris ànoirâtres, contenant de la pyrite, et parfois des cristaux de gypse épars.

- Fausses Glaises (Yprésien), constituées d'argiles de couleur sombre (bmn à noir),renfermant de la lignite et de la pyrite. Localement, des lentilles d'argiles sableuses

peuvent être rencontrées,

- les Sables d'Auteuil (Yprésien moyen), formés de sable quartzeux, parfoisferrugineux,

-l'Argile Plastique : argile compacte, de couleur grise à bariolée lie de vin.

- Montien : altemance de calcaires et de mames, avec des lentilles sableuses

possibles.

- Craie : craie blanche à silex



Département : PARIS 17

Commune : PORTE MAILLOT

N classement : 01B3-2C-0000

COUPE LITHOLOGIOUE COUPE TECHNIQUEOr

lo

20

ao

40

a

c

X

3a

I

ao

O1

80

60

70U«ce

BC3

frfîîi:

-E-3-C-I-J-E-3-L

X XXXX

0 0

xnSew5KTTTTT"T^T

se555

r»"i'C-I-I-E-3-

i-ril-i¿rii-i

i-ril-C-I-D'

RMLAIS

'ALunrióÑs

NAflNES CT CAILLASaeS'

a.M

4.00L

11.00

CALCAIRE 8R08SIB1

87.00

SAflLES SUPSUEUnS

M.oe

FAUSSES BLAISES

SAflLES D'AUTEUIL

47.00

00.00

ARBIU PLASTIQUE

oa.oo

NONTIBIHrrw lt ciUalrt

70.00

CRAIE

Fig 2. COUPE GEOLOGIQUE PREVISIONNELLE.



Département : PARIS 17

Commune : PORTE MAILLOT

N classement : 01B3-2C-0000

COUPE LITHOLOGIOUE COUPE TECHNIQUEOr

lo

20

ao

40

a

c

X

3a

I

ao

O1

80

60

70U«ce

BC3

frfîîi:

-E-3-C-I-J-E-3-L

X XXXX

0 0

xnSew5KTTTTT"T^T

se555

r»"i'C-I-I-E-3-

i-ril-i¿rii-i

i-ril-C-I-D'

RMLAIS

'ALunrióÑs

NAflNES CT CAILLASaeS'

a.M

4.00L

11.00

CALCAIRE 8R08SIB1

87.00

SAflLES SUPSUEUnS

M.oe

FAUSSES BLAISES

SAflLES D'AUTEUIL

47.00

00.00

ARBIU PLASTIQUE

oa.oo

NONTIBIHrrw lt ciUalrt

70.00

CRAIE

Fig 2. COUPE GEOLOGIQUE PREVISIONNELLE.



3. CONTEXTE HYDROGEOLOGIQUE

Parmi les formations géologiques énoncées ci-dessus, certaines sont perméables etsusceptibles d'être le siège d'écoulements.

D'autres (Fausses Glaises, Argile Plastique) sont imperméables ou peu perméables etconstituent ainsi des écrans entre deux aquifères.

Les différents aquifères existants au droit de la Porte Maillot sont de haut en bas :

- LES ALLUVIONSElles sont situées ici nettement au dessus du niveau actuel de la Seine. Elles sontdénoyées.Ne peuvent exister que des niveaux "perchés", soutenus par un niveau mameux, etalimentés par infiltration d'eau de pluie (mais les sols sont ici fortementimperméabilisés) ou par des fuites de réseaux.Cette nappe a ici une importance nulle ou très faible.

- LES CALCAIRES LUTETIENSCet aquifère comporte à la fois une perméabilité de fissures et une perméabilitéd'interstices.La perméabilité en grand ou perméabilité de fissures est surtout développée dans lapartie supérieure et moyenne du Calcaire grossier.La densité de fracturation ainsi que les tailles de fissures peuvent varier trèsfortement et rapidement d'un point à un autre.La perméabilité d'interstices existe surtout dans la partie inférieure du Calcairegrossier, là où le calcaire devient sableux.L'aquifère du Calcaire grossier s'étend sur une grande partie de Paris mais, ici, onest proche d'une limite d'extension. En effet, les Calcaires grossiers disparaissentquelques centaines de mètres au sud du site, par érosion.L'écoulement naturel de la nappe se fait vers le NNW, mais des pompages peuventmodifier, localement, cette direction.La nappe est libre, ou semi captive sous les Mames et caillasses.En condition naturelle, la nappe est alimentée par infiltration d'eau de pluie auniveau du Bois de Boulogne, La nappe s'écoule vers la Seine, qui constitue sonniveau de base (+ 23,2 m NGF en amont de l'écluse de Châtou).Cependant, à la suite de pompages au voisinage, il a déjà été observé un niveaupiézométrique inférieur à celui de la Seine : la nappe draine alors le fleuve (Cf.chapitre 6).



3. CONTEXTE HYDROGEOLOGIQUE

Parmi les formations géologiques énoncées ci-dessus, certaines sont perméables etsusceptibles d'être le siège d'écoulements.

D'autres (Fausses Glaises, Argile Plastique) sont imperméables ou peu perméables etconstituent ainsi des écrans entre deux aquifères.

Les différents aquifères existants au droit de la Porte Maillot sont de haut en bas :

- LES ALLUVIONSElles sont situées ici nettement au dessus du niveau actuel de la Seine. Elles sontdénoyées.Ne peuvent exister que des niveaux "perchés", soutenus par un niveau mameux, etalimentés par infiltration d'eau de pluie (mais les sols sont ici fortementimperméabilisés) ou par des fuites de réseaux.Cette nappe a ici une importance nulle ou très faible.

- LES CALCAIRES LUTETIENSCet aquifère comporte à la fois une perméabilité de fissures et une perméabilitéd'interstices.La perméabilité en grand ou perméabilité de fissures est surtout développée dans lapartie supérieure et moyenne du Calcaire grossier.La densité de fracturation ainsi que les tailles de fissures peuvent varier trèsfortement et rapidement d'un point à un autre.La perméabilité d'interstices existe surtout dans la partie inférieure du Calcairegrossier, là où le calcaire devient sableux.L'aquifère du Calcaire grossier s'étend sur une grande partie de Paris mais, ici, onest proche d'une limite d'extension. En effet, les Calcaires grossiers disparaissentquelques centaines de mètres au sud du site, par érosion.L'écoulement naturel de la nappe se fait vers le NNW, mais des pompages peuventmodifier, localement, cette direction.La nappe est libre, ou semi captive sous les Mames et caillasses.En condition naturelle, la nappe est alimentée par infiltration d'eau de pluie auniveau du Bois de Boulogne, La nappe s'écoule vers la Seine, qui constitue sonniveau de base (+ 23,2 m NGF en amont de l'écluse de Châtou).Cependant, à la suite de pompages au voisinage, il a déjà été observé un niveaupiézométrique inférieur à celui de la Seine : la nappe draine alors le fleuve (Cf.chapitre 6).


Climatisation du Palais des Congrès Porte Maillot - Paris 1 7ème .

LES SABLES YPRESIENSL'aquifère des Sables yprésiens (Sables supérieurs et Sables d'Auteuil) est unaquifère à perméabilité d'interstices.Il n'existe pas ici de niveau imperméable entre Sables supérieurs et Calcairegrossier : ces deux aquifères communiquent et ont des niveaux piézométriques trèsvoisins.La nappe contenue dans les Sables d'Auteuil est captive, c'est à dire que son niveaupiézométrique est à une cote supérieure à celle du toit de la formation.L'aquifère des Sables yprésiens a une très grande extension. Il est particulièrementimportant au nord de Paris dans la "fosse de Saint-Denis".L'alimentation de la nappe se fait ici par infiltration d'eau de pluie dans la partie sud

du Bois de Boulogne, là où les terrains yprésiens sont à faible profondeur.Des communications existent également avec la Seine en amont (secteur Pont des

Invalides - Pont de Bir Hakeim) et en aval (secteur Pont de Suresnes - Pont de

Neuilly).L'écoulement naturel se fait vers le NW .

Cette nappe était et reste encore très sollicitée au nord et au N-0 de Paris, tant poul'alimentation en eau potable des collectivités que pour des besoins industriels.

LA CRAIE CAMPANIENNECet aquifère a essentiellement une perméabilité de fissures. Sa perméabilitéd'interstices est très réduite.L'aquifère couvre l'ensemble du bassin Ile de France mais ses caractéristiquesvarient très fortement, selon que l'on se trouve dans une vallée ou que la craie soitrecouverte par d'autres terrains.Lorsque la craie est subaffleurante (secteur de Boulogne par exemple) la fissurationest en général bien développée et les fissures ne sont pas recolmatées par des résidusargileux.Lorsque la craie est sous recouvrement important (cas de la porte Maillot), lafissuration est généralement peu développée.Cependant il est possible qu'existent dans le secteur étudié des circulations d'eaupréférentielles correspondant à d'anciens chenaux creusés dans la craie et recoupantl'actuel méandre de la Seine,Nous ne possédons pas de données permettant de mettre en évidence ces circulationspréférentielles.



LES SABLES YPRESIENSL'aquifère des Sables yprésiens (Sables supérieurs et Sables d'Auteuil) est unaquifère à perméabilité d'interstices.Il n'existe pas ici de niveau imperméable entre Sables supérieurs et Calcairegrossier : ces deux aquifères communiquent et ont des niveaux piézométriques trèsvoisins.La nappe contenue dans les Sables d'Auteuil est captive, c'est à dire que son niveaupiézométrique est à une cote supérieure à celle du toit de la formation.L'aquifère des Sables yprésiens a une très grande extension. Il est particulièrementimportant au nord de Paris dans la "fosse de Saint-Denis".L'alimentation de la nappe se fait ici par infiltration d'eau de pluie dans la partie sud

du Bois de Boulogne, là où les terrains yprésiens sont à faible profondeur.Des communications existent également avec la Seine en amont (secteur Pont des

Invalides - Pont de Bir Hakeim) et en aval (secteur Pont de Suresnes - Pont de

Neuilly).L'écoulement naturel se fait vers le NW .

Cette nappe était et reste encore très sollicitée au nord et au N-0 de Paris, tant poul'alimentation en eau potable des collectivités que pour des besoins industriels.

LA CRAIE CAMPANIENNECet aquifère a essentiellement une perméabilité de fissures. Sa perméabilitéd'interstices est très réduite.L'aquifère couvre l'ensemble du bassin Ile de France mais ses caractéristiquesvarient très fortement, selon que l'on se trouve dans une vallée ou que la craie soitrecouverte par d'autres terrains.Lorsque la craie est subaffleurante (secteur de Boulogne par exemple) la fissurationest en général bien développée et les fissures ne sont pas recolmatées par des résidusargileux.Lorsque la craie est sous recouvrement important (cas de la porte Maillot), lafissuration est généralement peu développée.Cependant il est possible qu'existent dans le secteur étudié des circulations d'eaupréférentielles correspondant à d'anciens chenaux creusés dans la craie et recoupantl'actuel méandre de la Seine,Nous ne possédons pas de données permettant de mettre en évidence ces circulationspréférentielles.



4. PRODUCTIVITE PREVISIONNELLE DESAQUIFERES

Les productivités prévisionnelles sont déduites des forages déclarés réalisés autour dusite.

Elle sont les suivantes :

- PRODUCTIVITE DE LA CRAIEAlors que des débits de 2{X) à 4(X) m^/h ont déjà été observés là où la craie estsubaffleurante et draine la Seine comme à Boulogne, on ne peut espérer ici que des

débits beaucoup plus faibles : 10 à 50 m^/h par forage.Exemple de forage captant la craie sous recouvrement : forage 183. 6A.0247 au Parcdes Princes : productivité de 0.4 m^/h/m de rabattement.La probabilité de recouper des circulations préférentielles correspondant à d'ancienschenaux (Cf. chapitre 3), avec débits plus importants (plus de 100 mVh) est faible etpeut être estimée entre 5 et 10 %.

- PRODUCTIVITE DES SABLES YPRESIENSLes Sables supérieurs ont fait l'objet de tests au droit de la porte Maillot, lors de laconstruction du RER.Les tests ont mis en évidence des transmissivités de 2 à 10"^ m^ /s.Les débits à espérer sont de 60 à 1(X) m^/h avec une probabilité d'occurenced'environ 80 %.

- PRODUCTIVITE DES CALCAIRES LUTETIENSLes essais de débit déclarés dans les Calcaires lutétiens concement des secteurs unpeu plus au nord et à l'ouest que la Porte Maillot, c'est à dire dans des conditionshydrogéologiques légèrement différentes (Cf. tableau 1),

Plusieurs forages captent simultanément deux aquifères.Les débits à espérer sont de l'ordre de 100 mVh avec une probabilité d'occurenced'environ 80 %,

Des débits plus importants (150 à 200 m^/h) sont peu probables, mais restentpossibles si sont recoupées des fissures particulièrement larges, La probabilitéd'obtenir de tels débits est de l'ordre de 5 à 10 %,Il est exclu d'obtenir 350 mVh par forage.



4. PRODUCTIVITE PREVISIONNELLE DESAQUIFERES

Les productivités prévisionnelles sont déduites des forages déclarés réalisés autour dusite.

Elle sont les suivantes :

- PRODUCTIVITE DE LA CRAIEAlors que des débits de 2{X) à 4(X) m^/h ont déjà été observés là où la craie estsubaffleurante et draine la Seine comme à Boulogne, on ne peut espérer ici que des

débits beaucoup plus faibles : 10 à 50 m^/h par forage.Exemple de forage captant la craie sous recouvrement : forage 183. 6A.0247 au Parcdes Princes : productivité de 0.4 m^/h/m de rabattement.La probabilité de recouper des circulations préférentielles correspondant à d'ancienschenaux (Cf. chapitre 3), avec débits plus importants (plus de 100 mVh) est faible etpeut être estimée entre 5 et 10 %.

- PRODUCTIVITE DES SABLES YPRESIENSLes Sables supérieurs ont fait l'objet de tests au droit de la porte Maillot, lors de laconstruction du RER.Les tests ont mis en évidence des transmissivités de 2 à 10"^ m^ /s.Les débits à espérer sont de 60 à 1(X) m^/h avec une probabilité d'occurenced'environ 80 %.

- PRODUCTIVITE DES CALCAIRES LUTETIENSLes essais de débit déclarés dans les Calcaires lutétiens concement des secteurs unpeu plus au nord et à l'ouest que la Porte Maillot, c'est à dire dans des conditionshydrogéologiques légèrement différentes (Cf. tableau 1),

Plusieurs forages captent simultanément deux aquifères.Les débits à espérer sont de l'ordre de 100 mVh avec une probabilité d'occurenced'environ 80 %,

Des débits plus importants (150 à 200 m^/h) sont peu probables, mais restentpossibles si sont recoupées des fissures particulièrement larges, La probabilitéd'obtenir de tels débits est de l'ordre de 5 à 10 %,Il est exclu d'obtenir 350 mVh par forage.



Tableau 1.

PRODUCTIVITE DES FORAGES AU LUTETIENSECTEUR NORD DU BOIS DE BOULOGNE

lndic« duforag«

183.2C.0187183.2C.0106

183.2C.0107

183.2C.0108

183.20.0016183.2D.0512183.3C.0015

Localisation

NEUILLY. Rua D«rou!MeSaint-Gobain. Limita NEUILLY

LEVALLOISSaint-Gobain. Limite NEUILLY

LEVALLOISSaint-Gobain. Limita NEUILLY

LEVALLOISNEUILLY. Avenue de NeuillyPARIS 1 6*me. Rue de TilsittNEUILLY. Avenue de Neuilly

Dibit te«t«m'/h

105250

150

250

141210

Débit «pécifiquam'/h/m d«

rabattamant33.923.1

39.5

26.4

3.53.510

Aquifiraa capt<«

LutétienLutetian -¥ Alluvion*

Lutétien -t- Alluvion*

Lutétien -f Alluvions

LutétienLutétien -f YprésienLutétien -f Yprésien



Tableau 1.

PRODUCTIVITE DES FORAGES AU LUTETIENSECTEUR NORD DU BOIS DE BOULOGNE

lndic« duforag«

183.2C.0187183.2C.0106

183.2C.0107

183.2C.0108

183.20.0016183.2D.0512183.3C.0015

Localisation

NEUILLY. Rua D«rou!MeSaint-Gobain. Limita NEUILLY

LEVALLOISSaint-Gobain. Limite NEUILLY

LEVALLOISSaint-Gobain. Limita NEUILLY

LEVALLOISNEUILLY. Avenue de NeuillyPARIS 1 6*me. Rue de TilsittNEUILLY. Avenue de Neuilly

Dibit te«t«m'/h

105250

150

250

141210

Débit «pécifiquam'/h/m d«

rabattamant33.923.1

39.5

26.4

3.53.510

Aquifiraa capt<«

LutétienLutetian -¥ Alluvion*

Lutétien -t- Alluvion*

Lutétien -f Alluvions

LutétienLutétien -f YprésienLutétien -f Yprésien



5. CHIMIE DES EAUX ET TEMPERATURESPREVISIONNELLES

Peu d'analyses sont disponibles pour la craie :

- Piézo 2 de l'IGC (Butte Mortemard)pH = 7,4 ; TH = 44 degrés françaissulfates = 120 mg/l ; Cl = 22 mg/lTempérature = 12°C

- Piézo 3 de 1' IGC (près du cimetière d'Auteuil )pH= 7,6 ; TH 44 degrés français ;

Sulfates = 70 mg/l ; Cl = 82 mg/l

Pour le Lutétien et l'Yprésien, les données recueillies sont résumées au tableau 2,

Des mesures de température ont été réalisées sur le piézomètre n" 1 de l'IGC(Boulogne nord, rue de Madrid, Paris 16ème),

Pour la saison 1979-1980 il avait été noté :

- ll,8°Cenété,- 12,2°C en hiver.

Le piézomètre capte le Calcaire grossier inférieur et les Sables supérieurs, mais sur cesite existent des relations avec la nappe alluviale, plus froide.

Les eaux du Lutétien-Yprésien sont bicarbonatées dures, sulfatées.

Dans les eaux des Sables yprésiens, il est possible de trouver des teneurs notables en

hydrogène sulfuré, générateur de corrosion.

Enfin, il a été signalé sur plusieurs forages avoisinants la présence de bactériessulfato-réductrices.

Rapport BRGM R36 1 73 IDF 4S/92 1 0


5. CHIMIE DES EAUX ET TEMPERATURESPREVISIONNELLES

Peu d'analyses sont disponibles pour la craie :

- Piézo 2 de l'IGC (Butte Mortemard)pH = 7,4 ; TH = 44 degrés françaissulfates = 120 mg/l ; Cl = 22 mg/lTempérature = 12°C

- Piézo 3 de 1' IGC (près du cimetière d'Auteuil )pH= 7,6 ; TH 44 degrés français ;

Sulfates = 70 mg/l ; Cl = 82 mg/l

Pour le Lutétien et l'Yprésien, les données recueillies sont résumées au tableau 2,

Des mesures de température ont été réalisées sur le piézomètre n" 1 de l'IGC(Boulogne nord, rue de Madrid, Paris 16ème),

Pour la saison 1979-1980 il avait été noté :

- ll,8°Cenété,- 12,2°C en hiver.

Le piézomètre capte le Calcaire grossier inférieur et les Sables supérieurs, mais sur cesite existent des relations avec la nappe alluviale, plus froide.

Les eaux du Lutétien-Yprésien sont bicarbonatées dures, sulfatées.

Dans les eaux des Sables yprésiens, il est possible de trouver des teneurs notables en

hydrogène sulfuré, générateur de corrosion.

Enfin, il a été signalé sur plusieurs forages avoisinants la présence de bactériessulfato-réductrices.



Tableau 2.CARACTERISTIQUES CHIMIQUES DES EAUX

DU LUTETIEN ET DE L'YPRESIEN

Indica

183.2C.0097

183.2C.0106

183.2C.0108

Piézo 1 IGC

ImmeubleGaumontSCI Etoile

Situation

NEUILLY

NEUILLY

NEUILLY

Bois de Boulogne

NEUILLY

NEUILLY

pH

7,5

7.3

7,51

7

8.2

THdegré*

françai*79

75

69

54

60

22

30,

mg/l

400

290

320

200

279

52

F*mg/l

0,1

0,1

0,02

Résidusac mg/l

808

956

NH,

mgl

0.1

0

Mgmg/l

29,5

85

18,9

Horizon* capté*

Yprésien +Lutétien inférieur

Alluvion -t-

Lutétien inférieurAlluvion* -¥

Lutétien InférieurLutetian inférieur

+ YprésienLutétien inférieur

Yprésien

Rapport BRGM R36173 IDF 4S/92 11


Tableau 2.CARACTERISTIQUES CHIMIQUES DES EAUX

DU LUTETIEN ET DE L'YPRESIEN

Indica

183.2C.0097

183.2C.0106

183.2C.0108

Piézo 1 IGC

ImmeubleGaumontSCI Etoile

Situation

NEUILLY

NEUILLY

NEUILLY

Bois de Boulogne

NEUILLY

NEUILLY

pH

7,5

7.3

7,51

7

8.2

THdegré*

françai*79

75

69

54

60

22

30,

mg/l

400

290

320

200

279

52

F*mg/l

0,1

0,1

0,02

Résidusac mg/l

808

956

NH,

mgl

0.1

0

Mgmg/l

29,5

85

18,9

Horizon* capté*

Yprésien +Lutétien inférieur

Alluvion -t-

Lutétien inférieurAlluvion* -¥

Lutétien InférieurLutetian inférieur

+ YprésienLutétien inférieur

Yprésien



6. VARIATIONS PIEZOMETRIQUES

Les nappes subissent des variations de niveaux :

- naturelles : en fonction de l'infiltration des pluies et surtout des crues et décrues dufleuve.

- artificielles : en fonction des pompages et épuisements de fouilles effectuées auvoisinage.

Les variations naturelles, saisonnières, ont une amplitude modérée (1 à 2 m).

Les crues du fleuve se transmettent à l'intérieur des terres mais avec un décalage et unamortissement .

Lors des travaux du RER, un suivi simultané Seine- nappe avait été mis en place . Il a

été constaté que lorsque la Seine montait de 2 m au pont de Neuilly et reste plusieursjours à ce niveau de crue, la montée de la nappe à la porte Maillot était alors del'ordre de 1 m au bout de 10 à 15 jours.

Les variations artificielles peuvent être beaucoup plus importantes.

A la fin du siècle demier, le niveau de la nappe phréatique se situait entre 27 et 28 mNGF, qui peut être considéré comme le niveau naturel en régime non influencé.

Par la suite, divers travaux et pompages ont rabattu le niveau de la nappe,particulièrement dans la période 1965-1977, où le niveau est descendu jusqu'à près de19 m NGF.

De 1965 à 1968 le percement du RER à l'air comprimé a totalement bouleversé lesniveaux statiques. Il a fallu, en même temps, rabattre la nappe par pompages pourappliquer cette technique de foration.

De 1970 à 1972, la constmction du périphérique a nécessité des pompages sur letronçon Porte d'Auteuil - Porte Maillot, dans la traversée du Bois de Boulogne, maisaussi sur le tronçon Porte Maillot- Porte de Champeret.

A la même époque la construction de sous-sols profonds (dont le Palais des Congrès)a entraîné des pompages supplémentaires.

Rapport BRGM R36173 IDF 4S/92 1 2


6. VARIATIONS PIEZOMETRIQUES

Les nappes subissent des variations de niveaux :

- naturelles : en fonction de l'infiltration des pluies et surtout des crues et décrues dufleuve.

- artificielles : en fonction des pompages et épuisements de fouilles effectuées auvoisinage.

Les variations naturelles, saisonnières, ont une amplitude modérée (1 à 2 m).

Les crues du fleuve se transmettent à l'intérieur des terres mais avec un décalage et unamortissement .

Lors des travaux du RER, un suivi simultané Seine- nappe avait été mis en place . Il a

été constaté que lorsque la Seine montait de 2 m au pont de Neuilly et reste plusieursjours à ce niveau de crue, la montée de la nappe à la porte Maillot était alors del'ordre de 1 m au bout de 10 à 15 jours.

Les variations artificielles peuvent être beaucoup plus importantes.

A la fin du siècle demier, le niveau de la nappe phréatique se situait entre 27 et 28 mNGF, qui peut être considéré comme le niveau naturel en régime non influencé.

Par la suite, divers travaux et pompages ont rabattu le niveau de la nappe,particulièrement dans la période 1965-1977, où le niveau est descendu jusqu'à près de19 m NGF.

De 1965 à 1968 le percement du RER à l'air comprimé a totalement bouleversé lesniveaux statiques. Il a fallu, en même temps, rabattre la nappe par pompages pourappliquer cette technique de foration.

De 1970 à 1972, la constmction du périphérique a nécessité des pompages sur letronçon Porte d'Auteuil - Porte Maillot, dans la traversée du Bois de Boulogne, maisaussi sur le tronçon Porte Maillot- Porte de Champeret.

A la même époque la construction de sous-sols profonds (dont le Palais des Congrès)a entraîné des pompages supplémentaires.

Rapport BRGM R36173 IDF 4S/92 1 2


Un graphique de l'évolution piézométrique est présenté figure 3.

Nous ne disposons pas de données piézométriques récentes au droit du site. La RATPa arrêté ses mesures et les piézomètres de l'IGC sont éloignés. On s'attend à unniveau statique proche de 24 m NGF.



Un graphique de l'évolution piézométrique est présenté figure 3.

Nous ne disposons pas de données piézométriques récentes au droit du site. La RATPa arrêté ses mesures et les piézomètres de l'IGC sont éloignés. On s'attend à unniveau statique proche de 24 m NGF.


Io

8

Oí**

VICo

to

JJ-,

3wenre

c

5*3

o

s»-1

cre

Pomp^êj RUR fííriphtriûa. tI 1 ....,s j 1

PaUU c/es ConjrJs

2ZA

21,7Z

2iA

20.

S2,o6

^¿0,00

Pii/geot : Pjirkin^ MdiiJ/ot

f9,3o

Í3. I tjc I ro7r '

3"

I

S-

Í

1966- \ 65 \ iS ^ 67 T~68 ^ 63 ^ 70 ' 71 ^ 7¿ ^ 73 ^ 7á ' 75 ' 76 ''077

SCb

Io

8

Oí**

VICo

to

JJ-,

3wenre

c

5*3

o

s»-1

cre

Pomp^êj RUR fííriphtriûa. tI 1 ....,s j 1

PaUU c/es ConjrJs

2ZA

21,7Z

2iA

20.

S2,o6

^¿0,00

Pii/geot : Pjirkin^ MdiiJ/ot

f9,3o

Í3. I tjc I ro7r '

3"

I

S-

Í

1966- \ 65 \ iS ^ 67 T~68 ^ 63 ^ 70 ' 71 ^ 7¿ ^ 73 ^ 7á ' 75 ' 76 ''077

SCb


7. PRELEVEMENTS D'EAU AU VOISINAGE

Les prélèvements d'eau, en nappe, sont soumis à une obligation de déclaration auprèsde l'Agence de l'eau. Une taxation est appliquée sur les prélèvements. Par ailleurs,les rejets en égout, sur Paris, sont également soumis à une taxation.

On note une diminution, ces demières années, des prélèvements dans le 17ème

arrondissement, ainsi qu'à Neuilly et Levallois-Perret, par suite du départd'industriels.

Par contre, les prélèvements dans le 8ème ont tendance à augmenter (climatisation delocaux).

Les prélèvements déclarés sur Paris sont indiqués au tableau 3 (fichier Agence de

l'Eau).

Aucun prélèvement n'est déclaré dans le 17ème ni dans le 16ème (hormis unprélèvement en nappe profonde à l'Albien et un prélèvement de surface), ni à

Levallois-Perret.

Tableau 3.Prélèvements d'eau déclarés selon

fichier Agence de l'Eau

Adresse

22 avenue de Wagram. Paris Sème22 rue Bayard. Paris 8ime31 rue du Colisée. Paris Sème49 avenue des Champs Elysées. Paris Sème62 avenue Victor Hugo. Neuilly-sur-Seine

Volume annuel en m*

913.000316.00042.00056.0001 1 .000

Année

19901990199019901989

A ces prélèvements déclarés à l'Agence de l'eau, doivent être ajoutés les exhaures dela R.A.T.P.

Sur la ligne 1, il existe trois postes d'épuisement à la porte Maillot (postes EM2,EMUlll et EMU112), Les exhaures sont faibles : quelques dizaines de mVan,

Sur la ligne RER, il existe un poste d'épuisement à la porte Maillot. Les exhaures

sont beaucoup plus importantes. Ainsi en 1986, le volume pompé atteignait240.000 m'. Le volume pompé actuellement est de l'ordre de 30 mVh.

Rapport BRGM R361 73 IDF 4S/92 15


7. PRELEVEMENTS D'EAU AU VOISINAGE

Les prélèvements d'eau, en nappe, sont soumis à une obligation de déclaration auprèsde l'Agence de l'eau. Une taxation est appliquée sur les prélèvements. Par ailleurs,les rejets en égout, sur Paris, sont également soumis à une taxation.

On note une diminution, ces demières années, des prélèvements dans le 17ème

arrondissement, ainsi qu'à Neuilly et Levallois-Perret, par suite du départd'industriels.

Par contre, les prélèvements dans le 8ème ont tendance à augmenter (climatisation delocaux).

Les prélèvements déclarés sur Paris sont indiqués au tableau 3 (fichier Agence de

l'Eau).

Aucun prélèvement n'est déclaré dans le 17ème ni dans le 16ème (hormis unprélèvement en nappe profonde à l'Albien et un prélèvement de surface), ni à

Levallois-Perret.

Tableau 3.Prélèvements d'eau déclarés selon

fichier Agence de l'Eau

Adresse

22 avenue de Wagram. Paris Sème22 rue Bayard. Paris 8ime31 rue du Colisée. Paris Sème49 avenue des Champs Elysées. Paris Sème62 avenue Victor Hugo. Neuilly-sur-Seine

Volume annuel en m*

913.000316.00042.00056.0001 1 .000

Année

19901990199019901989

A ces prélèvements déclarés à l'Agence de l'eau, doivent être ajoutés les exhaures dela R.A.T.P.

Sur la ligne 1, il existe trois postes d'épuisement à la porte Maillot (postes EM2,EMUlll et EMU112), Les exhaures sont faibles : quelques dizaines de mVan,

Sur la ligne RER, il existe un poste d'épuisement à la porte Maillot. Les exhaures

sont beaucoup plus importantes. Ainsi en 1986, le volume pompé atteignait240.000 m'. Le volume pompé actuellement est de l'ordre de 30 mVh.

Rapport BRGM R361 73 IDF 4S/92 15


8. ENCOMBREMENT DU SOUS-SOL

De nombreux aménagements existent en sous-sol, au niveau de la porte Maillot. Ilscompartiment ainsi les aquifères et perturbent plus ou moins les écoulements.

Les données que nous avons pu recueillir concement :

- la ligne de métro n° 1, située dans les Marnes et caillasses et le sommet du Calcairegrossier, entre les cotes 24 et 33 m NGF,

- la ligne RER, profonde, creusée dans les Sables supérieurs et la base du Calcairegrossier,

- la base de la chaussée du périphérique est à + 31.94 NGF au niveau de la porteMaillot. La bretelle de raccordement côté Neuilly descend à + 30.53 NGF,

- la galerie de collecte des eaux de ruissellement du périphérique est située en-dessousde la ligne de métro n" 1, entre 19.5 et 23 NGF,

- une galerie PTT traverse la porte Maillot,

- un immeuble au 30 avenue Charles de Gaulle (immeuble "Gaumont") à Neuillypossède 7 niveaux de sous-sols,

La position de ces divers aménagements est synthétisée en figure 4,



8. ENCOMBREMENT DU SOUS-SOL

De nombreux aménagements existent en sous-sol, au niveau de la porte Maillot. Ilscompartiment ainsi les aquifères et perturbent plus ou moins les écoulements.

Les données que nous avons pu recueillir concement :

- la ligne de métro n° 1, située dans les Marnes et caillasses et le sommet du Calcairegrossier, entre les cotes 24 et 33 m NGF,

- la ligne RER, profonde, creusée dans les Sables supérieurs et la base du Calcairegrossier,

- la base de la chaussée du périphérique est à + 31.94 NGF au niveau de la porteMaillot. La bretelle de raccordement côté Neuilly descend à + 30.53 NGF,

- la galerie de collecte des eaux de ruissellement du périphérique est située en-dessousde la ligne de métro n" 1, entre 19.5 et 23 NGF,

- une galerie PTT traverse la porte Maillot,

- un immeuble au 30 avenue Charles de Gaulle (immeuble "Gaumont") à Neuillypossède 7 niveaux de sous-sols,

La position de ces divers aménagements est synthétisée en figure 4,


Io

«o

CD

Coles NGF

/lûJ

n7o

oo \n

?V o5' s"

ro £M CD

i!CD» o

03 latafo a3 «ro

S>w <

5- CD

"1 roeu

n0)3Q.ro

>3ro»n

Lio

L35

L3i>ligne J» fftf.-v n'i

\.2S

Q3"Q)

S"

O"

5r

?

V.20Í

VI

0»

\-lS

Echtl/e Jes longueurs : t/ 5.000

Io

«o

CD

Coles NGF

/lûJ

n7o

oo \n

?V o5' s"

ro £M CD

i!CD» o

03 latafo a3 «ro

S>w <

5- CD

"1 roeu

n0)3Q.ro

>3ro»n

Lio

L35

L3i>ligne J» fftf.-v n'i

\.2S

Q3"Q)

S"

O"

5r

?

V.20Í

VI

0»

\-lS

Echtl/e Jes longueurs : t/ 5.000


9. EXAMEN DES CONDITIONS DE REJET

Les exutoires possibles pour le rejet des eaux pompées sont :

- les égouts,- la nappe.

Les contraintes sont les suivantes :

* pour le rejet en égout : un accord des Services de l'Assainissement est nécessaire.L'importance des eaux claires sur l'ensemble du réseau d'égout de Paris gêneactuellement le bon fonctionnement de ce réseau. Il est probable que le débit de350 m^/h ne soit pas accepté.Rappelons que tout rejet d'eau de nappe en égout est soumis à taxation (environ1 F/m3).

* pour le rejet en nappe : techniquement, le rejet ne doit pas compromettre la sécuritédes biens situés aux alentours : il ne doit pas créer de fissurations dans lesimmeubles voisins, ni de venues d'eau dans les sous-sols. Le rejet dans les remblaiset les Mames et caillasses est exclus.Par ailleurs, le rejet ne doit pas perturber le milieu naturel.Aussi le rejet ne doit pas dépasser 26°C. Au-delà une étude d'impact peut êtredemandée.Sur le plan pratique, le rejet va interférer hydrauliquement et thermiquement sur lepuits de pompage. Le calcul des interférences probables nécessite une étudespécifique.Enfin, des phénomènes de colmatage peuvent exister sur le puits de rejet. Il fautdonc prévoir une maintenance de l'ouvrage. Les risques de colmatage sont plusimportants dans les sables que dans les calcaires et sont plus difficiles à traiter. Dansles calcaires, les baisses d'injectivité se traitent généralement bien et assez

simplement par acidifications.



9. EXAMEN DES CONDITIONS DE REJET

Les exutoires possibles pour le rejet des eaux pompées sont :

- les égouts,- la nappe.

Les contraintes sont les suivantes :

* pour le rejet en égout : un accord des Services de l'Assainissement est nécessaire.L'importance des eaux claires sur l'ensemble du réseau d'égout de Paris gêneactuellement le bon fonctionnement de ce réseau. Il est probable que le débit de350 m^/h ne soit pas accepté.Rappelons que tout rejet d'eau de nappe en égout est soumis à taxation (environ1 F/m3).

* pour le rejet en nappe : techniquement, le rejet ne doit pas compromettre la sécuritédes biens situés aux alentours : il ne doit pas créer de fissurations dans lesimmeubles voisins, ni de venues d'eau dans les sous-sols. Le rejet dans les remblaiset les Mames et caillasses est exclus.Par ailleurs, le rejet ne doit pas perturber le milieu naturel.Aussi le rejet ne doit pas dépasser 26°C. Au-delà une étude d'impact peut êtredemandée.Sur le plan pratique, le rejet va interférer hydrauliquement et thermiquement sur lepuits de pompage. Le calcul des interférences probables nécessite une étudespécifique.Enfin, des phénomènes de colmatage peuvent exister sur le puits de rejet. Il fautdonc prévoir une maintenance de l'ouvrage. Les risques de colmatage sont plusimportants dans les sables que dans les calcaires et sont plus difficiles à traiter. Dansles calcaires, les baisses d'injectivité se traitent généralement bien et assez

simplement par acidifications.



10. APPROCHE ECONOMIQUE

Pour un ouvrage captant le Calcaire grossier et l'Yprésien, profond de 50 m, équipéde tubages PVC (insensibles à la corrosion), permettant l'introduction d'une pompe8", le coût estimatif est de 300 à 350 KF H.T. environ,(pour une réalisation à l'extérieur du bâtiment).

Le coût estimatif d'une pompe 8" (débit jusqu'à 150 mVh), en inox, d'une colonned'exhaure, des sondes de protection de la pompe de l'armoire électrique, de la vannetête de puits, y compris pose des matériels est de 180 à 220 KF H.T. environ.

A ce coût, doivent être ajoutées les liaisons hydrauliques et électriques entre forage etlocal technique.



10. APPROCHE ECONOMIQUE

Pour un ouvrage captant le Calcaire grossier et l'Yprésien, profond de 50 m, équipéde tubages PVC (insensibles à la corrosion), permettant l'introduction d'une pompe8", le coût estimatif est de 300 à 350 KF H.T. environ,(pour une réalisation à l'extérieur du bâtiment).

Le coût estimatif d'une pompe 8" (débit jusqu'à 150 mVh), en inox, d'une colonned'exhaure, des sondes de protection de la pompe de l'armoire électrique, de la vannetête de puits, y compris pose des matériels est de 180 à 220 KF H.T. environ.

A ce coût, doivent être ajoutées les liaisons hydrauliques et électriques entre forage etlocal technique.



11. APERÇU SUR LES NAPPES PROFONDES

Trois nappes profondes existent au droit du secteur :

- L'ALBIENCette nappe est protégée (décret-loi de 1935). Tout nouveau prélèvement eststrictement réglementé. Seul un prélèvement avec réinjection dans l'Albien peut êtreenvisagé. Ceci exige la constitution d'un dossier complet, une demanded'autorisation auprès de la DRIRE (qui peut fort bien refuser). La procédure estlongue (environ 1 an). La nappe est relativement bien connue.Des prélèvements dans l'Albien pour l'AEP existent, à proximité (Neuilly), ainsique pour la climatisation (ORTF), (Cf. tableau 4).L'eau est très douce (TH =11* degrés français),

- LE NEOCOMIENPour l'instant, les prélèvements dans cette nappe ne sont pas réglementés.Le forage dépassant la profondeur de 80 m, une autorisation préfectorale estnécessaire. La profondeur à atteindre est d'environ 750 m.La productivité réelle de la nappe reste mal connue. Très peu de forages ont testécorrectement cet aquifère.

- LE DOGGERAquifère très profond, relativement bien connu. L'eau est chaude (62° en tête deréservoir) et ne convient pas au problème posé.

Rapport BRGM R36 1 73 IDF 4S/92 20


11. APERÇU SUR LES NAPPES PROFONDES

Trois nappes profondes existent au droit du secteur :

- L'ALBIENCette nappe est protégée (décret-loi de 1935). Tout nouveau prélèvement eststrictement réglementé. Seul un prélèvement avec réinjection dans l'Albien peut êtreenvisagé. Ceci exige la constitution d'un dossier complet, une demanded'autorisation auprès de la DRIRE (qui peut fort bien refuser). La procédure estlongue (environ 1 an). La nappe est relativement bien connue.Des prélèvements dans l'Albien pour l'AEP existent, à proximité (Neuilly), ainsique pour la climatisation (ORTF), (Cf. tableau 4).L'eau est très douce (TH =11* degrés français),

- LE NEOCOMIENPour l'instant, les prélèvements dans cette nappe ne sont pas réglementés.Le forage dépassant la profondeur de 80 m, une autorisation préfectorale estnécessaire. La profondeur à atteindre est d'environ 750 m.La productivité réelle de la nappe reste mal connue. Très peu de forages ont testécorrectement cet aquifère.

- LE DOGGERAquifère très profond, relativement bien connu. L'eau est chaude (62° en tête deréservoir) et ne convient pas au problème posé.



Tableau 4.

Nom

Forage A l'Albiende Passy

Forage è l'Albienda la CGE

Forage Maison dela Radio

N» BSS

183.6A.0039

183.2C.0336et

183.2C.0337

183.6A.0032

Situation

SquareLamartine

16émeNeuilly

Angle BdLeclerc et

rue du PontQuai daPassy

Date d«réalisation

1861

1982

1981

1956

Profondeurfinale (m)

586

642

640

753

ProfondeurAlbien

566 i 586

530 A 637

530 h 637

520 é 573

T»

27'>2

27»4

27»1

Q aux*s*al* m*/h

> 300

240

220

250



Tableau 4.

Nom

Forage A l'Albiende Passy

Forage è l'Albienda la CGE

Forage Maison dela Radio

N» BSS

183.6A.0039

183.2C.0336et

183.2C.0337

183.6A.0032

Situation

SquareLamartine

16émeNeuilly

Angle BdLeclerc et

rue du PontQuai daPassy

Date d«réalisation

1861

1982

1981

1956

Profondeurfinale (m)

586

642

640

753

ProfondeurAlbien

566 i 586

530 A 637

530 h 637

520 é 573

T»

27'>2

27»4

27»1

Q aux*s*al* m*/h

> 300

240

220

250


Climatisation du Palais des Congrès Porte Maillot Paris 1 7éme

CONCLUSION

Seuls deux aquifères peuvent être envisagés pour le projet de climatisation du Palaisdes Congrès par eau de nappe : l'aquifère des Calcaires lutétiens et l'aquifère desSables yprésiens.

Ces deux aquifères sont en communication, d'une part par absence de couchesimperméables entre les deux formations, d'autre part parce que plusieurs forages auxenvirons captent simultanément les deux aquifères et renforcent ainsil'intercommunication.

Pour obtenir le plus grand débit possible, il faut envisager de capter simultanément lescalcaires et les sables. Ceci conduit à la réalisation d'un forage techniquement pluscomplexe et, surtout, à la nécessité d'une maintenance de l'ouvrage (mélange d'eauxde chimisme légèrement différent ; colmatages possibles dans les sables).

Le débit qui peut être espéré est de l'ordre de 120 mVh, avec une probabilitéd'environ 80 %.

Ces chiffres tiennent compte de la présence d'aménagements souterrains profonds auvoisinage.

Il paraît exclu d'obtenir 350 m'/h sur le site même avec plusieurs forages(interférences entre les forages).

La température prévisionnelle est de 13° à 14*0.

Il est probable que le rejet en égout ne soit pas autorisé par le Service del'Assainissement. Dans ce cas, il faut envisager un rejet en nappe, qui provoquera uneinterférence hydrodynamique et thermique sur le forage de pompage.

Le rejet se fera de préférence dans les Calcaires grossiers.

Seule une partie des besoins en eau peut donc être couverte, avec une probabilitésatisfaisante.


Climatisation du Palais des Congrès Porte Maillot Paris 1 7éme

CONCLUSION

Seuls deux aquifères peuvent être envisagés pour le projet de climatisation du Palaisdes Congrès par eau de nappe : l'aquifère des Calcaires lutétiens et l'aquifère desSables yprésiens.

Ces deux aquifères sont en communication, d'une part par absence de couchesimperméables entre les deux formations, d'autre part parce que plusieurs forages auxenvirons captent simultanément les deux aquifères et renforcent ainsil'intercommunication.

Pour obtenir le plus grand débit possible, il faut envisager de capter simultanément lescalcaires et les sables. Ceci conduit à la réalisation d'un forage techniquement pluscomplexe et, surtout, à la nécessité d'une maintenance de l'ouvrage (mélange d'eauxde chimisme légèrement différent ; colmatages possibles dans les sables).

Le débit qui peut être espéré est de l'ordre de 120 mVh, avec une probabilitéd'environ 80 %.

Ces chiffres tiennent compte de la présence d'aménagements souterrains profonds auvoisinage.

Il paraît exclu d'obtenir 350 m'/h sur le site même avec plusieurs forages(interférences entre les forages).

La température prévisionnelle est de 13° à 14*0.

Il est probable que le rejet en égout ne soit pas autorisé par le Service del'Assainissement. Dans ce cas, il faut envisager un rejet en nappe, qui provoquera uneinterférence hydrodynamique et thermique sur le forage de pompage.

Le rejet se fera de préférence dans les Calcaires grossiers.

Seule une partie des besoins en eau peut donc être couverte, avec une probabilitésatisfaisante.


Documents

porte maillot, paris 17